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Ils ne veulent pas l'enlever car le crucifix de la chambre des députés est considéré comme partie intégrante du patrimoine.

Sauf que la croix est "patrimoine" sur ce mur-là depuis 1936. Or, les kippas se promènent dans Montréal depuis ... 1768, date de la fondation de la première synagogue. Et les kippas ne font pas partie du patrimoine. Cherchez l'erreur ...

les amérindiens avaient pas ce crucifix...

  • Habitués
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Pour beaucoup, Duplessis était un dictateur qui idéalisait dans ses discours les valeurs de l'église catholique. Les québécois de la génération de mon mari ont choisi la libre pensée, en opposition aux pensées dictées par une religion. Quant au crucifix de la chambre des députés, honnêtement, quel public va le voir ?

Duplessis a été élu la première fois suite à une commission d'enquête qui blâmait le parti Libéral de l'époque pour de la corruption. Probablement que c'était encore pire avec Duplessis, mais ce n'est pas tout rose ou tout noir.

Les historiens disent que Duplessis était représentatif du peuple québécois au début de ses mandats, mais il ne l'était plus à la fin et c'est un peu cela qui a amené la Révolution tranquille et aujourd'hui tout s'oppose à ce que Duplessis représentait. L'égalité homme-femme et la Laïcité sont important pour nous aujourd'hui.

Si vous saviez à quel point la religion était importante pour mes grand-parents, le crucifix à l'assemblée Nationale est la représentation de notre histoire. Bonne ou moins bonne, mais je ne le vois pas comme un objet religieux !

voilà tu ne vois pas un gros crucifix géant comme symbole religieux

pourquoi sommes nous obligés de voir le but de tissu comme un?

moi je dis tout le monde dehors on va demander aux vrais natifs ce qu'ils pensent hehehe :)

bla bla bla

quand on va quelque part faut respecter...

je ne vois personne vivre dans un tipi!...

fais pas aux autres... ce que tu veux pas qU'on te fasse

... :) :) :P

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Tu as tout à fait raison comme toujours, et ta réponse éclaire parfaitement ma question initiale. Qui était, je le précise : pourquoi la croix fait partie du patrimoine et non les kippas qui lui sont bien antérieures?

M'en va te répondre par une question: Est-ce que les catholiques portent une croix sur la tête? :biggrin2:

Plus sérieusement, il y a une distinction à faire entre les divers objets religieux, leurs fonctions et leurs usages respectifs. Je ne comprends pas trop sur quelle base tu t'appuies pour affirmer que la kippa est injustement considérée comme étant non patrimoniale. Est-ce à dire que toutes les pièces de vêtement religieux sont des éléments patrimoniaux? À ce compte, on va déclarer les cornettes des religieuses, la mitre des évêques et plus généralement l'usage de la calotte romaine (l'équivalent de la kippa) par les membres du clergé catholique comme étant de nature patrimoniale.Cela n'a aucun sens commun.

Je ne comprends pas non plus pourquoi tu affirmes que la kippa est antérieure à la croix. Tu parles de "à l'origine des temps?" Je n'en sais fichtrement rien mais qu'importe, on peut affirmer sans se tromper que la portée symbolique et réelle de la croix chrétienne a été particulièrement présente, envahissante même et hautement significative pour la très vaste majorité (97%) de la population québécoise. On conviendra que c'est très "formateur"...

Ceci dit, je ne place aucunement la kippa juive (attribut vestimentaire) au même niveau qu'un objet de culte comme le crucifix.

Ici, le débat est le port des signes religieux par les croyants employés de l'État qui sert, tant pour eux-mêmes qu'au regard des autres, de marqueur identitaire. Cela n'a rien à voir avec le patrimoine culturel ou religieux du Québec.

Tant qu'au fameux crucifix de l'Assemblée Nationale, même si je comprends l'attachement qu'ont certains Québécois envers sa valeur patrimoniale bien réelle, je suis d'avis qu'il n'a pas sa place dans l'enceinte des délibérations politiques. Va falloir lâcher du lest.

  • Habitués
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Si vous saviez à quel point la religion était importante pour mes grand-parents, le crucifix à l'assemblée Nationale est la représentation de notre histoire. Bonne ou moins bonne, mais je ne le vois pas comme un objet religieux !

Il y a des Québécois qui s'opposent à ce que la croix reste là, à croire que vous n'avez pas eu la même histoire.

En ce qui me concerne, on peut la garder où elle est pour des raisons patrimoniales. mais pourquoi, dans ce cas, supprimer ce qui est patrimonial pour les autres?

J'ai l'impression qu'avant d'interdire aux gens ce qui est important pour eux, on devrait se rappeler que ce n'est pas toujours une bonne idée.

Quelques exemples: l'église a interdit aux juifs de pratiquer leur religion. Résultat: ils ont créé leurs propres institutions où on peut se permettre d'interdire le porc sans se faire crier dessus. On a interdit aux autochtones de parler leur langue. Résultat: qui est fier de ce qu'ils sont devenus depuis?

J'en mourrai pas si le crucifix disparaît, mais je t'expliques pourquoi il est là et pourquoi je pense qu'il devrait rester.

On ne refait pas l'histoire, mes ancêtres avaient leurs bons et mauvais coté. Cependant devrait-on s'excuser d'être majoritaire ? Tu parles avec l'idéal multiculturaliste, mais l'Assemblée Nationale fait partie intégrante de l'histoire de mon peuple, demande aux Juifs qui est leur modèle, ils te diront Moïse, mais moi je dirai le Rocket ou Lévesque et notre liberté à commencer là à l'Assemblée Nationale et c'est mon histoire.

Max gros-louis le chef autochtone a déjà dit qu'il n'a jamais voté aux élections fédéral ou provincial, tu peux être sûr qu'il ne se sent pas rejeté si il y a un crucifix à l'Assemblée Nationale !

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Tu as tout à fait raison comme toujours, et ta réponse éclaire parfaitement ma question initiale. Qui était, je le précise : pourquoi la croix fait partie du patrimoine et non les kippas qui lui sont bien antérieures?

M'en va te répondre par une question: Est-ce que les catholiques portent une croix sur la tête? :biggrin2:

Plus sérieusement, il y a une distinction à faire entre les divers objets religieux, leurs fonctions et leurs usages respectifs. Je ne comprends pas trop sur quelle base tu t'appuies pour affirmer que la kippa est injustement considérée comme étant non patrimoniale. Est-ce à dire que toutes les pièces de vêtement religieux sont des éléments patrimoniaux? À ce compte, on va déclarer les cornettes des religieuses, la mitre des évêques et plus généralement l'usage de la calotte romaine (l'équivalent de la kippa) par les membres du clergé catholique comme étant de nature patrimoniale.Cela n'a aucun sens commun.

Je ne comprends pas non plus pourquoi tu affirmes que la kippa est antérieure à la croix. Tu parles de "à l'origine des temps?" Je n'en sais fichtrement rien mais qu'importe, on peut affirmer sans se tromper que la portée symbolique et réelle de la croix chrétienne a été particulièrement présente, envahissante même et hautement significative pour la très vaste majorité (97%) de la population québécoise. On conviendra que c'est très "formateur"...

Ceci dit, je ne place aucunement la kippa juive (attribut vestimentaire) au même niveau qu'un objet de culte comme le crucifix.

Ici, le débat est le port des signes religieux par les croyants employés de l'État qui sert, tant pour eux-mêmes qu'au regard des autres, de marqueur identitaire. Cela n'a rien à voir avec le patrimoine culturel ou religieux du Québec.

Tant qu'au fameux crucifix de l'Assemblée Nationale, même si je comprends l'attachement qu'ont certains Québécois envers sa valeur patrimoniale bien réelle, je suis d'avis qu'il n'a pas sa place dans l'enceinte des délibérations politiques. Va falloir lâcher du lest.

Justement, je parlais de cette croix-là et non de toutes les autres qui essaiment à travers le Québec. Entre autres lieux, dans le bâtiment où je travaille et où, ni la croix, ni la chapelle qui l'héberge ne dérangent absolument personne. Je la nomme parce que c'est un signe "visible" au même titre que les autres signes, qu'on peut porter sur sa tête, son cou, sa poitrine ou accrocher aux murs de son bureau.

Autrement dit : le projet du PQ veut interdire les signes religieux portés par des personnes. qu,en est-il de ceux portés par des murs ou des meubles? Selon la proposition, ce qui est sur les murs est intouchable car ça fait partie du patrimoine. OK. Alors, l'employé juif pourra accrocher l'étoile de David sur sa porte ou la poser sur son bureau à côté de la photo de ses enfants, mais ne pourra pas porter sa kippa? L'un fait partie du patrimoine mais pas l'autre? Tu vois la contradiction?

En ce qui me concerne, contrairement à toi, je ne souhaite pas que la croix soit décrochée. On ne refera pas l'Histoire et personne ne m'a encore démontré comment cette croix, ou ce qu'elle symbolise, influence les décisions du parlement. Mais je ne veux pas non plus qu'on empêche aux gens de porter quelque chose qu'ils considèrent comme important pour eux. Nous sommes une société diverse et la diversité religieuse est une des formes de diversité parmi tant d'autres (il y a aussi la diversité de couleurs, d'opinions politiques, de tailles, de volumes, de langues, de coutumes et j'en passe). À ce rythme-là, on m'empêchera aussi de m'adresser à une collègue qui comprend le swahili dans cette langue? Pourquoi bannir la diversité religieuse en particulier? Depuis quand sommes-nous devenus des crinqués de l'homogénéité?

En passant, on peut pousser tous les hauts cris qu'on veut et monter dans tous les rideaux qu'on veut, mais le Québec ne s'en sort pas si mal dans la gestion de sa diversité.

Modifié par Kweli
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Tu parles avec l'idéal multiculturaliste

Et toi, tu parles avec quel idéal tu penses? L'ethnocentrisme?

Max gros-louis le chef autochtone a déjà dit qu'il n'a jamais voté aux élections fédéral ou provincial, tu peux être sûr qu'il ne se sent pas rejeté si il y a un crucifix à l'Assemblée Nationale !

Justement, tu fais bien d'illustrer ce à quoi les interdictions à tout va mènent : on a interdit à son peuple de faire ce qui est important pour lui: parler sa langue et pratiquer sa culture. Le résultat est édifiant n'est-ce pas?

  • Habitués
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Tu parles avec l'idéal multiculturaliste

Et toi, tu parles avec quel idéal tu penses? L'ethnocentrisme?

C'est qu'il y a deux conceptions du vivre-ensemble qui s'affrontent. Je n'appelle pas la seconde ethnocentrisme.

Conception libérale versus conception républicaine.

Pour un compromis historique

Le débat sur la Charte des valeurs québécoises est bien mal engagé. En présentant un tel projet de loi, affirment certains, le gouvernement se rangerait dans le camp de la réaction islamophobe, de la fermeture à l’autre, de l’ethnocentrisme. Pauline Marois et Vladimir Poutine : même combat !

En réalité, ce qu’a montré la crise des accommodements raisonnables, c’est que nous sommes face à deux projets bien modernes, l’un libéral, l’autre républicain. L’un résolument centré sur l’individu abstrait, affranchi des pesanteurs de l’histoire, jaloux de ses droits universels toujours menacés par la « tyrannie de la majorité », l’autre préoccupé par les règles communes du vivre-ensemble d’une communauté de destin, règles communes qui permettent au citoyen de s’affranchir de ses origines ethniques ou religieuses et de prendre part aux grands débats de sa Cité en tant qu’être de raison.

Le Canada du dernier siècle a résolument opté pour une conception libérale de la modernité, comme l’attestent la Loi constitutionnelle de 1982 et son gouvernement des juges. Le Canada multiculturel d’aujourd’hui a définitivement tourné le dos à l’une des traditions les plus sacrées de la culture politique britannique : la souveraineté du Parlement. Ce Canada-là, qui a pris le parti de renier son passé, malgré la renaissance de la symbolique monarchiste, n’a plus rien à voir avec celui de 1867.

Avec sa Charte des valeurs québécoises, le Québec tente une synthèse originale tout en fait en phase avec sa culture politique et son histoire.

Comme le montrent des travaux récents, le Québec hérite d’une tradition républicaine marquée notamment par des principes comme la lutte à la corruption, la souveraineté populaire et la séparation de l’Église et de l’État.

C’est inspiré par des idées républicaines que le Parti des patriotes combattit l’influence néfaste de certains marchands britanniques, réclama des institutions qui relaieraient les véritables aspirations du peuple et tenta de mettre sur pied un réseau d’écoles publiques financé par l’État (non par l’Église).

Animé par les mêmes idéaux, le Parti québécois adopta la première loi sur le financement des partis politiques, chercha à valider son projet souverainiste par une victoire référendaire et déconfessionnalisa les commissions scolaires.

C’est cet éthos républicain qui s’affirma lors des audiences de la commission Bouchard-Taylor. Les Québécois, dans leur très grande majorité, ont alors répété que celles et ceux qui oeuvraient au sein de nos institutions publiques devaient afficher une complète neutralité religieuse. Sur cet enjeu délicat, ils refusaient de déléguer la souveraineté du peuple aux juges d’une Cour suprême inspirée par une Charte qui, entre autres choses, faisait du multiculturalisme une doctrine d’État (article 27).

Esprit républicain

Cet esprit républicain, qui conçoit que l’État puisse établir les règles du vivre-ensemble, n’a cependant rien de radical ou de jacobin. Nous sommes loin du syndrome de la table rase.

Durant les années 1960, les indépendantistes jacobins souhaitaient que l’État québécois cesse complètement de financer les institutions de la minorité anglophone, un point de vue que ne partageaient ni les militants conservateurs du Ralliement national, ni René Lévesque lui-même.

Les jacobins d’aujourd’hui voudraient instaurer une laïcité revancharde qui permettrait enfin de liquider les symboles religieux du passé et par le fait même de tourner le dos à tout un pan de notre histoire.

D’une certaine façon, le gouvernement du Parti québécois refuse aujourd’hui de rompre avec ce passé chrétien comme, en 1977, avec sa Charte de la langue française, il a refusé de rompre avec le passé d’une minorité historique. J’y vois un compromis honorable, le signe d’une prudence politique propre aux petites nations qui, souvent, laissent aux grandes les refondations symboliques spectaculaires.

La sensibilité républicaine de la Charte des valeurs québécoises est donc modulée par un conservatisme identitaire qui rechigne aux ruptures trop radicales avec le passé. Comme les autres sociétés occidentales, le Québec a été façonné par le christianisme. Même si les Québécois pratiquent peu ou plus du tout, plusieurs continuent de considérer la religion catholique comme un marqueur identitaire et ne souhaitent pas dépouiller nos édifices et nos places publiques des symboles de ce passé. Cela dit, ils seraient probablement d’accord pour qu’à l’avenir, les bâtiments publics qui seront construits n’intègrent aucune référence explicite à la religion des ancêtres.

Ce qu’ont de commun cette sensibilité républicaine et ce conservatisme identitaire, c’est une référence forte à une aventure collective porteuse de sens, sans laquelle les individus vivent isolés les uns des autres sans grand dessein commun.

Un texte de Éric Bédard, historien et professeur à laTELUQ. http://m.ledevoir.com/politique/quebec/387208/pour-un-compromis-historique

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Tu parles avec l'idéal multiculturaliste

Et toi, tu parles avec quel idéal tu penses? L'ethnocentrisme?

Max gros-louis le chef autochtone a déjà dit qu'il n'a jamais voté aux élections fédéral ou provincial, tu peux être sûr qu'il ne se sent pas rejeté si il y a un crucifix à l'Assemblée Nationale !

Justement, tu fais bien d'illustrer ce à quoi les interdictions à tout va mènent : on a interdit à son peuple de faire ce qui est important pour lui: parler sa langue et pratiquer sa culture. Le résultat est édifiant n'est-ce pas?

Oui elle adore donner des qualificatifs aux autres mais n'essayer pas de lui en donner, elle va hurler au racisme! Elle excelle égalemet à juger ce qui a été fait aux autochtones au Canada, à pointer du doigt, mais que fait-elle ou dit-elle en ce qui a trait à son pays d'origine qui a excellé à montrer du doigt et même plus. Elle excelle à dire au Québec d'oublier ses origines, sa culture, son histoire. Elle excelle à trouver des exemples tel que l'étoile de David cette étoile qui a toujours été respecter. Elle ne peut ou veut pas reconnaître que par le passé tout allait en général assez bien jusqu'à certains extrémistes commencent à exiger que nous changions.

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oui je pourrais mettre des piÑatas sur mon bureau? :) yeeeeeeeeeeepAAA

chers amis du foRUm, le 15 septembre est la fête du Mexique, allez faire un tour pour voir

  • Habitués
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Si je donne mon avis sur le Québec c'est par ce que j'y vis c'est mon présent.

Si un jour je devais partir je ne signerais pas une page d'insulte...

Il y a 3-4 ans j'avais dis que ça allait mal se passer avec les étudiants, ça c'est mal passé, et je suis pas vraiment un devin... l'année dernière je disais qu'il y avait des pertes d'emplois massives au Québec on me disait "non les chiffres de 2010 corrélés à la moyenne par rapport à ceci celà, puis finalement ça pris 1 an avant que le gouvernement ne l'admette, c'était gros comme le nez au milieu de la figure.

Depuis toujours je dis que le P.Q est comparable au F.N on me dit "mais non n'importe quoi":

Quand on lit ;

Maria Mourani "Elle se demande si son expulsion du Bloc fait partie d'une stratégie électoraliste identitaire. Elle dit que jusqu'à maintenant, les leaders passés du mouvement indépendantiste ont réussi à chasser ce qu'elle appelle les démons de l'intolérance populiste. À son point de presse dans son comté, elle a demandé si ce temps était révolu. Rappelant ses origines libanaises, elle a dit ne plus savoir si des gens comme elle ont leur place dans le mouvement indépendantiste."

Est ce que je dis que les anglophones sont moins racistes? j'ai jamais dit ça, mais je vis au Québec et quand Lysée ou Lepage parlent comme des cadre du F.N mais se disent super ouvert et se placent proche du P.S... ça me fait pas rire.

Par contre quand j'entends Lysée au milieu d'anglophones qui le ridiculisent... ça ne me fait pas rire non plus.

  • Habitués
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Tu parles avec l'idéal multiculturaliste

Et toi, tu parles avec quel idéal tu penses? L'ethnocentrisme?

Max gros-louis le chef autochtone a déjà dit qu'il n'a jamais voté aux élections fédéral ou provincial, tu peux être sûr qu'il ne se sent pas rejeté si il y a un crucifix à l'Assemblée Nationale !

Justement, tu fais bien d'illustrer ce à quoi les interdictions à tout va mènent : on a interdit à son peuple de faire ce qui est important pour lui: parler sa langue et pratiquer sa culture. Le résultat est édifiant n'est-ce pas?

Oui elle adore donner des qualificatifs aux autres mais n'essayer pas de lui en donner, elle va hurler au racisme! Elle excelle égalemet à juger ce qui a été fait aux autochtones au Canada, à pointer du doigt, mais que fait-elle ou dit-elle en ce qui a trait à son pays d'origine qui a excellé à montrer du doigt et même plus. Elle excelle à dire au Québec d'oublier ses origines, sa culture, son histoire. Elle excelle à trouver des exemples tel que l'étoile de David cette étoile qui a toujours été respecter. Elle ne peut ou veut pas reconnaître que par le passé tout allait en général assez bien jusqu'à certains extrémistes commencent à exiger que nous changions.

Un jour, les Québécois se rendront compte que les gens comme toi sont bien pires que les femmes voilées qui ne demandent rien d'autre qu'à aller travailler en paix. Et à mon avis, ce jour n,est pas loin.

  • Habitués
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Tu parles avec l'idéal multiculturaliste

Et toi, tu parles avec quel idéal tu penses? L'ethnocentrisme?

C'est qu'il y a deux conceptions du vivre-ensemble qui s'affrontent. Je n'appelle pas la seconde ethnocentrisme.

Conception libérale versus conception républicaine.

Pour un compromis historique

Le débat sur la Charte des valeurs québécoises est bien mal engagé. En présentant un tel projet de loi, affirment certains, le gouvernement se rangerait dans le camp de la réaction islamophobe, de la fermeture à l’autre, de l’ethnocentrisme. Pauline Marois et Vladimir Poutine : même combat !

En réalité, ce qu’a montré la crise des accommodements raisonnables, c’est que nous sommes face à deux projets bien modernes, l’un libéral, l’autre républicain. L’un résolument centré sur l’individu abstrait, affranchi des pesanteurs de l’histoire, jaloux de ses droits universels toujours menacés par la « tyrannie de la majorité », l’autre préoccupé par les règles communes du vivre-ensemble d’une communauté de destin, règles communes qui permettent au citoyen de s’affranchir de ses origines ethniques ou religieuses et de prendre part aux grands débats de sa Cité en tant qu’être de raison.

Le Canada du dernier siècle a résolument opté pour une conception libérale de la modernité, comme l’attestent la Loi constitutionnelle de 1982 et son gouvernement des juges. Le Canada multiculturel d’aujourd’hui a définitivement tourné le dos à l’une des traditions les plus sacrées de la culture politique britannique : la souveraineté du Parlement. Ce Canada-là, qui a pris le parti de renier son passé, malgré la renaissance de la symbolique monarchiste, n’a plus rien à voir avec celui de 1867.

Avec sa Charte des valeurs québécoises, le Québec tente une synthèse originale tout en fait en phase avec sa culture politique et son histoire.

Comme le montrent des travaux récents, le Québec hérite d’une tradition républicaine marquée notamment par des principes comme la lutte à la corruption, la souveraineté populaire et la séparation de l’Église et de l’État.

C’est inspiré par des idées républicaines que le Parti des patriotes combattit l’influence néfaste de certains marchands britanniques, réclama des institutions qui relaieraient les véritables aspirations du peuple et tenta de mettre sur pied un réseau d’écoles publiques financé par l’État (non par l’Église).

Animé par les mêmes idéaux, le Parti québécois adopta la première loi sur le financement des partis politiques, chercha à valider son projet souverainiste par une victoire référendaire et déconfessionnalisa les commissions scolaires.

C’est cet éthos républicain qui s’affirma lors des audiences de la commission Bouchard-Taylor. Les Québécois, dans leur très grande majorité, ont alors répété que celles et ceux qui oeuvraient au sein de nos institutions publiques devaient afficher une complète neutralité religieuse. Sur cet enjeu délicat, ils refusaient de déléguer la souveraineté du peuple aux juges d’une Cour suprême inspirée par une Charte qui, entre autres choses, faisait du multiculturalisme une doctrine d’État (article 27).

Esprit républicain

Cet esprit républicain, qui conçoit que l’État puisse établir les règles du vivre-ensemble, n’a cependant rien de radical ou de jacobin. Nous sommes loin du syndrome de la table rase.

Durant les années 1960, les indépendantistes jacobins souhaitaient que l’État québécois cesse complètement de financer les institutions de la minorité anglophone, un point de vue que ne partageaient ni les militants conservateurs du Ralliement national, ni René Lévesque lui-même.

Les jacobins d’aujourd’hui voudraient instaurer une laïcité revancharde qui permettrait enfin de liquider les symboles religieux du passé et par le fait même de tourner le dos à tout un pan de notre histoire.

D’une certaine façon, le gouvernement du Parti québécois refuse aujourd’hui de rompre avec ce passé chrétien comme, en 1977, avec sa Charte de la langue française, il a refusé de rompre avec le passé d’une minorité historique. J’y vois un compromis honorable, le signe d’une prudence politique propre aux petites nations qui, souvent, laissent aux grandes les refondations symboliques spectaculaires.

La sensibilité républicaine de la Charte des valeurs québécoises est donc modulée par un conservatisme identitaire qui rechigne aux ruptures trop radicales avec le passé. Comme les autres sociétés occidentales, le Québec a été façonné par le christianisme. Même si les Québécois pratiquent peu ou plus du tout, plusieurs continuent de considérer la religion catholique comme un marqueur identitaire et ne souhaitent pas dépouiller nos édifices et nos places publiques des symboles de ce passé. Cela dit, ils seraient probablement d’accord pour qu’à l’avenir, les bâtiments publics qui seront construits n’intègrent aucune référence explicite à la religion des ancêtres.

Ce qu’ont de commun cette sensibilité républicaine et ce conservatisme identitaire, c’est une référence forte à une aventure collective porteuse de sens, sans laquelle les individus vivent isolés les uns des autres sans grand dessein commun.

Un texte de Éric Bédard, historien et professeur à laTELUQ. http://m.ledevoir.com/politique/quebec/387208/pour-un-compromis-historique

Un compromis historique ... mais un compromis unilatéral. Est-ce qu'on peut réaffirmer les valeurs québécoises, tout ce qui est dans la charte en fait, sans pour autant aller jusqu'à interdire aux gens de porter / exposer ce qu'ils considèrent comme important?

Le peuple québécois peut bien exposer ses symboles, au parlement comme ailleurs. Mais qu'est-ce qui nous empêche de considérer que certaines minorités puissent exhiber les leurs? Ça fait partie de leur identité et c'est aussi correct comme ça. C'est du moins mon avis. Ceux qui s'amusent à semer la division n'ont jamais vécu vraiment ses conséquences, sinon ils y penseraient à deux fois.

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Tu parles avec l'idéal multiculturaliste

Et toi, tu parles avec quel idéal tu penses? L'ethnocentrisme?

Max gros-louis le chef autochtone a déjà dit qu'il n'a jamais voté aux élections fédéral ou provincial, tu peux être sûr qu'il ne se sent pas rejeté si il y a un crucifix à l'Assemblée Nationale !

Justement, tu fais bien d'illustrer ce à quoi les interdictions à tout va mènent : on a interdit à son peuple de faire ce qui est important pour lui: parler sa langue et pratiquer sa culture. Le résultat est édifiant n'est-ce pas?

Oui elle adore donner des qualificatifs aux autres mais n'essayer pas de lui en donner, elle va hurler au racisme! Elle excelle égalemet à juger ce qui a été fait aux autochtones au Canada, à pointer du doigt, mais que fait-elle ou dit-elle en ce qui a trait à son pays d'origine qui a excellé à montrer du doigt et même plus. Elle excelle à dire au Québec d'oublier ses origines, sa culture, son histoire. Elle excelle à trouver des exemples tel que l'étoile de David cette étoile qui a toujours été respecter. Elle ne peut ou veut pas reconnaître que par le passé tout allait en général assez bien jusqu'à certains extrémistes commencent à exiger que nous changions.

Un jour, les Québécois se rendront compte que les gens comme toi sont bien pires que les femmes voilées qui ne demandent rien d'autre qu'à aller travailler en paix. Et à mon avis, ce jour n,est pas loin.

Encore des accusations! Tu as raison car pour toi tout ce qui vient du Canada et spécialement blanc est mauvais. Pour toi, il n'y a qu'une pensée de bonne soit la tienne. Étrangement cela me fait penser à ce qui s'est passé dans certains pays dont le Rwanda

  • Habitués
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Tu parles avec l'idéal multiculturaliste

Et toi, tu parles avec quel idéal tu penses? L'ethnocentrisme?

Max gros-louis le chef autochtone a déjà dit qu'il n'a jamais voté aux élections fédéral ou provincial, tu peux être sûr qu'il ne se sent pas rejeté si il y a un crucifix à l'Assemblée Nationale !

Justement, tu fais bien d'illustrer ce à quoi les interdictions à tout va mènent : on a interdit à son peuple de faire ce qui est important pour lui: parler sa langue et pratiquer sa culture. Le résultat est édifiant n'est-ce pas?

Oui elle adore donner des qualificatifs aux autres mais n'essayer pas de lui en donner, elle va hurler au racisme! Elle excelle égalemet à juger ce qui a été fait aux autochtones au Canada, à pointer du doigt, mais que fait-elle ou dit-elle en ce qui a trait à son pays d'origine qui a excellé à montrer du doigt et même plus. Elle excelle à dire au Québec d'oublier ses origines, sa culture, son histoire. Elle excelle à trouver des exemples tel que l'étoile de David cette étoile qui a toujours été respecter. Elle ne peut ou veut pas reconnaître que par le passé tout allait en général assez bien jusqu'à certains extrémistes commencent à exiger que nous changions.

Un jour, les Québécois se rendront compte que les gens comme toi sont bien pires que les femmes voilées qui ne demandent rien d'autre qu'à aller travailler en paix. Et à mon avis, ce jour n,est pas loin.

Encore des accusations! Tu as raison car pour toi tout ce qui vient du Canada et spécialement blanc est mauvais. Pour toi, il n'y a qu'une pensée de bonne soit la tienne. Étrangement cela me fait penser à ce qui s'est passé dans certains pays dont le Rwanda

Je n'ai pas besoin de t'accuser de quoi que ce soit. Vu la façon dont tu ramènes ce qu'on dit sur ce forum au pays d'origine de l'immigrant, que ce soit le Rwanda ou la France, sans jamais proposer la moindre chose constructive (en es-tu au moins capable?), chacun est capable de voir quelle est ta pertinence sur ce forum.

En passant, ce qui se passe au Canada, je m'en fous, je vis au Québec et on parle du Québec ici.

Modifié par Kweli
  • Habitués
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Tu parles avec l'idéal multiculturaliste

Et toi, tu parles avec quel idéal tu penses? L'ethnocentrisme?

C'est qu'il y a deux conceptions du vivre-ensemble qui s'affrontent. Je n'appelle pas la seconde ethnocentrisme.

Conception libérale versus conception républicaine.

Pour un compromis historique

Le débat sur la Charte des valeurs québécoises est bien mal engagé. En présentant un tel projet de loi, affirment certains, le gouvernement se rangerait dans le camp de la réaction islamophobe, de la fermeture à l’autre, de l’ethnocentrisme. Pauline Marois et Vladimir Poutine : même combat !

En réalité, ce qu’a montré la crise des accommodements raisonnables, c’est que nous sommes face à deux projets bien modernes, l’un libéral, l’autre républicain. L’un résolument centré sur l’individu abstrait, affranchi des pesanteurs de l’histoire, jaloux de ses droits universels toujours menacés par la « tyrannie de la majorité », l’autre préoccupé par les règles communes du vivre-ensemble d’une communauté de destin, règles communes qui permettent au citoyen de s’affranchir de ses origines ethniques ou religieuses et de prendre part aux grands débats de sa Cité en tant qu’être de raison.

Le Canada du dernier siècle a résolument opté pour une conception libérale de la modernité, comme l’attestent la Loi constitutionnelle de 1982 et son gouvernement des juges. Le Canada multiculturel d’aujourd’hui a définitivement tourné le dos à l’une des traditions les plus sacrées de la culture politique britannique : la souveraineté du Parlement. Ce Canada-là, qui a pris le parti de renier son passé, malgré la renaissance de la symbolique monarchiste, n’a plus rien à voir avec celui de 1867.

Avec sa Charte des valeurs québécoises, le Québec tente une synthèse originale tout en fait en phase avec sa culture politique et son histoire.

Comme le montrent des travaux récents, le Québec hérite d’une tradition républicaine marquée notamment par des principes comme la lutte à la corruption, la souveraineté populaire et la séparation de l’Église et de l’État.

C’est inspiré par des idées républicaines que le Parti des patriotes combattit l’influence néfaste de certains marchands britanniques, réclama des institutions qui relaieraient les véritables aspirations du peuple et tenta de mettre sur pied un réseau d’écoles publiques financé par l’État (non par l’Église).

Animé par les mêmes idéaux, le Parti québécois adopta la première loi sur le financement des partis politiques, chercha à valider son projet souverainiste par une victoire référendaire et déconfessionnalisa les commissions scolaires.

C’est cet éthos républicain qui s’affirma lors des audiences de la commission Bouchard-Taylor. Les Québécois, dans leur très grande majorité, ont alors répété que celles et ceux qui oeuvraient au sein de nos institutions publiques devaient afficher une complète neutralité religieuse. Sur cet enjeu délicat, ils refusaient de déléguer la souveraineté du peuple aux juges d’une Cour suprême inspirée par une Charte qui, entre autres choses, faisait du multiculturalisme une doctrine d’État (article 27).

Esprit républicain

Cet esprit républicain, qui conçoit que l’État puisse établir les règles du vivre-ensemble, n’a cependant rien de radical ou de jacobin. Nous sommes loin du syndrome de la table rase.

Durant les années 1960, les indépendantistes jacobins souhaitaient que l’État québécois cesse complètement de financer les institutions de la minorité anglophone, un point de vue que ne partageaient ni les militants conservateurs du Ralliement national, ni René Lévesque lui-même.

Les jacobins d’aujourd’hui voudraient instaurer une laïcité revancharde qui permettrait enfin de liquider les symboles religieux du passé et par le fait même de tourner le dos à tout un pan de notre histoire.

D’une certaine façon, le gouvernement du Parti québécois refuse aujourd’hui de rompre avec ce passé chrétien comme, en 1977, avec sa Charte de la langue française, il a refusé de rompre avec le passé d’une minorité historique. J’y vois un compromis honorable, le signe d’une prudence politique propre aux petites nations qui, souvent, laissent aux grandes les refondations symboliques spectaculaires.

La sensibilité républicaine de la Charte des valeurs québécoises est donc modulée par un conservatisme identitaire qui rechigne aux ruptures trop radicales avec le passé. Comme les autres sociétés occidentales, le Québec a été façonné par le christianisme. Même si les Québécois pratiquent peu ou plus du tout, plusieurs continuent de considérer la religion catholique comme un marqueur identitaire et ne souhaitent pas dépouiller nos édifices et nos places publiques des symboles de ce passé. Cela dit, ils seraient probablement d’accord pour qu’à l’avenir, les bâtiments publics qui seront construits n’intègrent aucune référence explicite à la religion des ancêtres.

Ce qu’ont de commun cette sensibilité républicaine et ce conservatisme identitaire, c’est une référence forte à une aventure collective porteuse de sens, sans laquelle les individus vivent isolés les uns des autres sans grand dessein commun.

Un texte de Éric Bédard, historien et professeur à laTELUQ. http://m.ledevoir.com/politique/quebec/387208/pour-un-compromis-historique

Un compromis historique ... mais un compromis unilatéral. Est-ce qu'on peut réaffirmer les valeurs québécoises, tout ce qui est dans la charte en fait, sans pour autant aller jusqu'à interdire aux gens de porter / exposer ce qu'ils considèrent comme important?

Le peuple québécois peut bien exposer ses symboles, au parlement comme ailleurs. Mais qu'est-ce qui nous empêche de considérer que certaines minorités puissent exhiber les leurs? Ça fait partie de leur identité et c'est aussi correct comme ça. C'est du moins mon avis. Ceux qui s'amusent à semer la division n'ont jamais vécu vraiment ses conséquences, sinon ils y penseraient à deux fois.

Qu'ils exhibent ce qu'ils veulent mais qu'ils ne viennent pas nous dire de ne pas le faire. C'est à ce moment où ces demades ont été faites même exigées (Noël, garderie, refuser de montrer son visage, refuser un médeci femme ou homme, refuser un examinateur sous prétexte su sexe, etc) que le problème a commencé. Mais pour toi cela est certain que la cause première c'est le Québec et les Québécois que tu adores appeler de souche! Pour moi un Québécois est une personne qui habite au Québec et a la citoyenneté Canadienne peu importe son origine.

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Tu parles avec l'idéal multiculturaliste

Et toi, tu parles avec quel idéal tu penses? L'ethnocentrisme?

Max gros-louis le chef autochtone a déjà dit qu'il n'a jamais voté aux élections fédéral ou provincial, tu peux être sûr qu'il ne se sent pas rejeté si il y a un crucifix à l'Assemblée Nationale !

Justement, tu fais bien d'illustrer ce à quoi les interdictions à tout va mènent : on a interdit à son peuple de faire ce qui est important pour lui: parler sa langue et pratiquer sa culture. Le résultat est édifiant n'est-ce pas?

Oui elle adore donner des qualificatifs aux autres mais n'essayer pas de lui en donner, elle va hurler au racisme! Elle excelle égalemet à juger ce qui a été fait aux autochtones au Canada, à pointer du doigt, mais que fait-elle ou dit-elle en ce qui a trait à son pays d'origine qui a excellé à montrer du doigt et même plus. Elle excelle à dire au Québec d'oublier ses origines, sa culture, son histoire. Elle excelle à trouver des exemples tel que l'étoile de David cette étoile qui a toujours été respecter. Elle ne peut ou veut pas reconnaître que par le passé tout allait en général assez bien jusqu'à certains extrémistes commencent à exiger que nous changions.

Un jour, les Québécois se rendront compte que les gens comme toi sont bien pires que les femmes voilées qui ne demandent rien d'autre qu'à aller travailler en paix. Et à mon avis, ce jour n,est pas loin.

Encore des accusations! Tu as raison car pour toi tout ce qui vient du Canada et spécialement blanc est mauvais. Pour toi, il n'y a qu'une pensée de bonne soit la tienne. Étrangement cela me fait penser à ce qui s'est passé dans certains pays dont le Rwanda

Je n'ai pas besoin de t'accuser de quoi que ce soit. Vu la façon dont tu ramènes ce qu'on dit sur ce forum au pays d'origine de l'immigrant, que ce soit le Rwanda ou la France, sans jamais proposer la moindre chose constructive (en es-tu au moins capable?), chacun est capable de voir quelle est ta pertinence sur ce forum.

En passant, ce qui se passe au Canada, je m'en fous, je vis au Québec et on parle du Québec ici.

En passant toi aussi tu accuses toujours en disant les Québécois de souche. De plus le Québec est une province du Canada. Toi ta pertinence ici est de toujours blâmer et accuser les autres!

  • Habitués
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Pour moi un Québécois est une personne qui habite au Québec et a la citoyenneté Canadienne peu importe son origine.

Ben oui, tout le monde te croit tellement tu es convaincant :whistlingb:

  • Habitués
Posté(e)

Pour moi un Québécois est une personne qui habite au Québec et a la citoyenneté Canadienne peu importe son origine.

Ben oui, tout le monde te croit tellement tu es convaincant :whistlingb:

Au moins moi j'y crois au lieu de cracher comme toi sur tout ce qui est Canadien.

  • Habitués
Posté(e)

La France, un bel exemple

Pendant ce temps, la première ministre Marois continue de défendre son projet de charte. Jeudi, elle a profité d'un point de presse à Terrebonne pour vanter le modèle français en matière d'immigration.

« Le plus bel exemple, à mon avis, c'est la France, qui a un nombre très imposant de personnes d'origine maghrébine et qui a trouvé un espace pour bien vivre avec tous ces ressortissants d'autres religions », a-t-elle suggéré.

Source: http://www.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2013/09/12/005-charte-appuis-exterieur-montreal.shtml

Ou Pauline Marois ne s'informe jamais de ce qui se passe ailleurs, où elle en fume du bon ...

  • Habitués
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je me dis

ok pour l'affaire de si dans leur pays on me demande de me voiler moi je leur demande ici de se dévoiler...

ben demandons le passeport aux femmes voilées

et juste celles qui viennent de l'arabie saoudite on va les demander de respecter

car dans les pays du Maghreb que j'ai visite jamais personne m'a rien demandé

je me suis promenée comme j'ai voulu et les gens ont été super gentils avec moi

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