Aller au contenu

Messages recommandés

  • Habitués
Posté(e)

Non, elle est secretaire!

  • Habitués
Posté(e)

Non, elle est secretaire!

Ben on peut comprendre qu'une telle situation soit hors de sa portée.

Pour autant, ça ne veut pas dire que ce n'est pas possible et je pense que malheureusement pour le QC, je fais partie de ces francophones qui ont contribué à enrichir l'Ontario de 10 milliards de $ en 10 ans au détriment du QC.

Mais tout ça ne règle pas le problème de ma femme qui, tout en n'étant pas secrétaire à la base, se retrouve à faire du secrétariat à Montréal en attendant de trouver un boulot à Toronto pour me rejoindre.

Posté(e)

Non, elle est secretaire!

Ben on peut comprendre qu'une telle situation soit hors de sa portée.

Pour autant, ça ne veut pas dire que ce n'est pas possible et je pense que malheureusement pour le QC, je fais partie de ces francophones qui ont contribué à enrichir l'Ontario de 10 milliards de $ en 10 ans au détriment du QC.

Mais tout ça ne règle pas le problème de ma femme qui, tout en n'étant pas secrétaire à la base, se retrouve à faire du secrétariat à Montréal en attendant de trouver un boulot à Toronto pour me rejoindre.

En même temps il faut te rendre compte que tu fais partie d'une catégorie exceptionnelle. Au Québec tu dois avoir que 3% de la population qui touche plus de 100000$/an. Avec un tel salaire Cherrybee à raison, même à Toronto il y a certainement moyen de vivre dans autre chose qu'un 2 1/2. Ça n'a rien a voir avec de la jalousie, c'est juste de l'incohérence. Je comprend que lorsqu'on est assis sur des montagnes de billet que cela fasse tourner un peu la tête et perdre le sens des valeurs mais quand même.

Dire qu'à +100000$/an on est cantonné à vivre dans un 2 1/2 et qu'a la limite notre femme ne rapporte pas assez, c'est de la rigolade ! Je connais un tas de monde qui sont loin de toucher 100000$/an avec 2 salaires cumulés et pourtant on crève pas de faim pour autant et je ne vais pas faire un procès au Québec parceque cette region ne peut pas m'offrir un tel niveau de salaire !

Tant que t'y es compare ton salaire à celui des joueurs de la NHL et viens pleurer après que le marche du hockey est bouche au Canada.

  • Habitués
Posté(e)

Pour autant, ça ne veut pas dire que ce n'est pas possible et je pense que malheureusement pour le QC, je fais partie de ces francophones qui ont contribué à enrichir l'Ontario de 10 milliards de $ en 10 ans au détriment du QC.

C'est quoi ça? :blink2: Des preuves?

Que tu sois heureux en Ontario, good for you. Que tu en profites pour dire des bêtises dans le but de dénigrer constamment le Québec, shame on you.

  • Habitués
Posté(e)

Pour autant, ça ne veut pas dire que ce n'est pas possible et je pense que malheureusement pour le QC, je fais partie de ces francophones qui ont contribué à enrichir l'Ontario de 10 milliards de $ en 10 ans au détriment du QC.

:8): Ou alors tu fais partie de ces francophones qui quittent le Québec, se plantent en Ontario et se retrouve sur le BS ( aide sociale ) en Ontario devenant ainsi un fardeau pour les contribuables ontariens...

Pour le moment, je m'apprête plutôt à payer plus d'impôts que tu ne dois pouvoir le faire :)

  • Habitués
Posté(e)

Non, elle est secretaire!

Ben on peut comprendre qu'une telle situation soit hors de sa portée.

Pour autant, ça ne veut pas dire que ce n'est pas possible et je pense que malheureusement pour le QC, je fais partie de ces francophones qui ont contribué à enrichir l'Ontario de 10 milliards de $ en 10 ans au détriment du QC.

Mais tout ça ne règle pas le problème de ma femme qui, tout en n'étant pas secrétaire à la base, se retrouve à faire du secrétariat à Montréal en attendant de trouver un boulot à Toronto pour me rejoindre.

En même temps il faut te rendre compte que tu fais partie d'une catégorie exceptionnelle. Au Québec tu dois avoir que 3% de la population qui touche plus de 100000$/an. Avec un tel salaire Cherrybee à raison, même à Toronto il y a certainement moyen de vivre dans autre chose qu'un 2 1/2. Ça n'a rien a voir avec de la jalousie, c'est juste de l'incohérence. Je comprend que lorsqu'on est assis sur des montagnes de billet que cela fasse tourner un peu la tête et perdre le sens des valeurs mais quand même.

Dire qu'à +100000$/an on est cantonné à vivre dans un 2 1/2 et qu'a la limite notre femme ne rapporte pas assez, c'est de la rigolade ! Je connais un tas de monde qui sont loin de toucher 100000$/an avec 2 salaires cumulés et pourtant on crève pas de faim pour autant et je ne vais pas faire un procès au Québec parceque cette region ne peut pas m'offrir un tel niveau de salaire !

Tant que t'y es compare ton salaire à celui des joueurs de la NHL et viens pleurer après que le marche du hockey est bouche au Canada.

Ce n'est pas compliqué à comprendre.

J'ai environ 13.000 $ à rembourser, ma femme et mon fils sont encore à Montréal, alors sur les 5400 $ que je touche mensuellement... mon budget demeurera serré pendant une bonne année, alors je me contente d'un 2.1/2.

Tu sais certainement pas combien touche une responsable de service à la Caissse de Dépôt et Placement du QC de mes connaissances... 180.000 $ par an.

Par rapport à ses responsabilités et expériences, là je pleure.

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Pour autant, ça ne veut pas dire que ce n'est pas possible et je pense que malheureusement pour le QC, je fais partie de ces francophones qui ont contribué à enrichir l'Ontario de 10 milliards de $ en 10 ans au détriment du QC.

C'est quoi ça? :blink2: Des preuves?

Que tu sois heureux en Ontario, good for you. Que tu en profites pour dire des bêtises dans le but de dénigrer constamment le Québec, shame on you.

Une étude du ministère de l'immigration et des affaires culturelles de 2011 que j'ai lu l'an passé dans Metro et sur Internet déplorait que sur les dix dernières années, des milliers d'immigrants francophones, principalement entrepreneurs, sont passés par le QC puis l'ont quitté pour s'installer en Ontario.

Le montant de cette perte financière estimé par le ministère était de 10 milliards. Qu'est ce que ça recouvre ? Economies, investissements, impôts... va savoir. mais l'étude provenait de l'administration du QC.

Alors... dénigrer le QC en reportant ce que dit le gouvernement du QC... faudrait que tu sortes la tête du banc de neige et que tu regardes la réalité en face camarade québécois. Ton pays, TA nation a des problèmes de rétention des immigrants qualifiés et entrepreneurs et mis à part pour prendre une bière sur la Place des Arts aux beaux jours avec mes amis québécois et français, je n'ai pas du tout envie de remettre les pieds à Montréal pour y travailler.

Le QC, c'est grand comme territoire et c'est un bocal passablement encombré pour ce qui concerne les perspectives professionnelles pour des immigrants qualifiés et avec un filet social quasiment inexistant, d'oû une chute qui aurait pu être sévère si je n'étais pas parti ASAP en France avant de rebondir à Toronto.

Je fais partager mon expérience d'immigration et mon point de vue, c'est tout aussi valable que celui d'un immigrant qui réussirait au QC.

Modifié par lovcen
  • Habitués
Posté(e)

Le QC, c'est grand comme territoire et c'est un bocal passablement encombré pour ce qui concerne les perspectives professionnelles pour des immigrants qualifiés et avec un filet social quasiment inexistant

:Crylol: Filet social quasiment inexistants au Québec ? Tu exagères encore une fois et tu te discrédites complètement. L'assistanat est populaire en France mais méprisé en Amérique du Nord. D'autant plus que les programmes sociaux sont moindres en Ontario qu'au Québec...

Faut quand même savoir qu'en cas de perte d'emploi au Canada, et pas seulement au QC, le montant des prestations est ridiculement bas (tu peux me dire combien de temps on est couvert et pour combien mensuellement ? Va vérifier et tu sauras pourquoi je dis que le filet social est quasiment inexistant) et que trouver du boulot est aussi long et difficile qu'en France, sauf les jobines bien sûr.

La seule différence c'est que si on dispose d'un réseau et qu'on se fait débaucher, on n'a que deux semaines de préavis à donner, donc une mobilité plus grande.

  • Habitués
Posté(e)

Pour autant, ça ne veut pas dire que ce n'est pas possible et je pense que malheureusement pour le QC, je fais partie de ces francophones qui ont contribué à enrichir l'Ontario de 10 milliards de $ en 10 ans au détriment du QC.

:8): Ou alors tu fais partie de ces francophones qui quittent le Québec, se plantent en Ontario et se retrouve sur le BS ( aide sociale ) en Ontario devenant ainsi un fardeau pour les contribuables ontariens...

Pour le moment, je m'apprête plutôt à payer plus d'impôts que tu ne dois pouvoir le faire

:innocent: Ton problème est que ton histoire, raconté sur 4 fils de discussion ( lol ! ), est cousue de fil blanc... c'est trop facile d'inventer des histoires alors que tu ne prouves jamais RIEN... :whistlingb: N'importe qui peut faire ça. Ton histoire inventée, je n'y crois pas, c'est pas crédible...

Qu'est ce que tu veux que je prouve ? Tu es libre de croire ou de ne pas croire ce que j'écris. Je pense surtout que c'est plus facile que de regarder la réalité en face.

Tu es canadien francophone et tu ne supportes pas qu'un immigrant écrive qu'il a eu une expérience peu satisfaisante du QC, qu'il a préféré retourner en France plutôt que de s'enfoncer plus encore, avant d'aller chez les anglais parce qu'ils sont plus accueillants finalement que les québécois et avec un marché et des perspectives beaucoup plus importantes.

Je vais te prouver:

1) que le Marché du travail de Toronto c'est 3 à 5 fois celui de Montréal ?

2) que l'environnement (infrastructures, construction, ponts...) c'est mieux en Ontario ?

3)...

je n'ai rien à prouver sur un forum, juste à donner des informations suffisamment circonstanciées pour que les immigrants francophones sachent que le QC comme option, c'est une option parmi d'autres et que si on veut immigrer pour avoir une meilleure situation, il vaut mieux aller dans la partie anglophone du Canada. Si on veut la Party, go to QC mais attention à la gueule de bois !

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Le QC, c'est grand comme territoire et c'est un bocal passablement encombré pour ce qui concerne les perspectives professionnelles pour des immigrants qualifiés et avec un filet social quasiment inexistant

:Crylol: Filet social quasiment inexistants au Québec ? Tu exagères encore une fois et tu te discrédites complètement. L'assistanat est populaire en France mais méprisé en Amérique du Nord. D'autant plus que les programmes sociaux sont moindres en Ontario qu'au Québec...

Faut quand même savoir qu'en cas de perte d'emploi au Canada, et pas seulement au QC, le montant des prestations est ridiculement bas (tu peux me dire combien de temps on est couvert et pour combien mensuellement ? Va vérifier et tu sauras pourquoi je dis que le filet social est quasiment inexistant) et que trouver du boulot est aussi long et difficile qu'en France, sauf les jobines bien sûr.

La seule différence c'est que si on dispose d'un réseau et qu'on se fait débaucher, on n'a que deux semaines de préavis à donner, donc une mobilité plus grande.

:rofl: Ben justement, les programmes sociaux généreux en France fait en sorte que la France est au bord de la faillite, comme la Grèce, L'Italie, le Portugal, L'Espagne, l'Irlande, etc. et que la France a une croissance économique médiocre, une croissance économique inférieur à celle du Québec et à celle du Canada... :whistlingb: Et il est plus facile de se trouver un emploi au Québec et au Canada ne serait-ce parce que le taux de chômage est plus bas au Québec et au Canada ( taux d'emploi meilleur au Québec et au Canada ) donc c'est une autre de tes affirmations fausses...

Attention attention... en France, le déficit public est largement plombé par le coût des services publics et de l'administration pléthorique, le coût du chomage et de l'assurance sociale sont une partie parmi d'autres. Mais au moins, quand on paye des impôts en France, on a quand même un peu plus de services (même si ça se réduit) qu'au QC.

Le taux d'emploi des immigrants au QC ? Tu peux me donner des statistiques ? Moi je vois que mis à part les jobines, c'est la croix et la bannière pour beaucoup d'immigrants de fraiche date.

C'est vrai que la situation économique du Canada est meilleure qu'en France, d'oû l'afflux d'immigrants économiques entre autre au QC. maintenant... que vont trouver les immigrants ? Question !

Pour moi la messe est dite: Long live to Canada and God save the Queen in a province to discover !

Modifié par lovcen
  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Pour autant, ça ne veut pas dire que ce n'est pas possible et je pense que malheureusement pour le QC, je fais partie de ces francophones qui ont contribué à enrichir l'Ontario de 10 milliards de $ en 10 ans au détriment du QC.

:8): Ou alors tu fais partie de ces francophones qui quittent le Québec, se plantent en Ontario et se retrouve sur le BS ( aide sociale ) en Ontario devenant ainsi un fardeau pour les contribuables ontariens...

Pour le moment, je m'apprête plutôt à payer plus d'impôts que tu ne dois pouvoir le faire

:innocent: Ton problème est que ton histoire, raconté sur 4 fils de discussion ( lol ! ), est cousue de fil blanc... c'est trop facile d'inventer des histoires alors que tu ne prouves jamais RIEN... :whistlingb: N'importe qui peut faire ça. Ton histoire inventée, je n'y crois pas, c'est pas crédible...

Qu'est ce que tu veux que je prouve ? Tu es libre de croire ou de ne pas croire ce que j'écris. Je pense surtout que c'est plus facile que de regarder la réalité en face.

Tu es canadien francophone et tu ne supportes pas qu'un immigrant écrive qu'il a eu une expérience peu satisfaisante du QC, qu'il a préféré retourner en France plutôt que de s'enfoncer plus encore, avant d'aller chez les anglais parce qu'ils sont plus accueillants finalement que les québécois et avec un marché et des perspectives beaucoup plus importantes.

:cool: Je m'en balance complètement que tu ailles en Ontario ou au Yukon... lol ! Je que je n'aime pas c'est tu balances plusieurs informations qui sont fausses, induisant ainsi les futurs immigrants en erreur...Je trouve ça regrettable. Et tu as eu raison de quitter la France parce que la situation économique en France se dégrade de facon considérable avec une augmentation constante du chômage, une croissance économique médiocre et une zone euro ( dont la France fait partie ) au bord de l'effondrement... Tiens le témoignage de RobinDesBois qui s'est planté au Canada anglais... comme plusieurs autres immigrants. Bref le Canada anglais n'est pas le pays des bisounours comme tu le prétend faussement...

Oui ... LeBalladin c'est moé. RobinDesBois.Ma femme était enthousiaste d'après les contacts qu'elle avait sur Lethbridge et cela montre surtout à quel point on peut se faire berner dans ce pays. Accessoirement ça montre aussi, mais je ne veux pas être trop mysogyne, ce qu'on dit sur la capacité des femmes à se faire une idée puis une autre. Car maintenant elle est repartie. Avec notre fille. Je ne vais pas chiffrer les milliers de dollars dépensés dans ce double déménagement dû à la sottise de venir sur cette ville paumée au fond de l'Alberta, ni non plus ceux perdus du simple fait de se trouver entourés de ces (...) de Rednecks qui pensent qu'on est là pour de la jobine bon marché. En effet, ce serait vertigineux.Que tout un chacun se le dise, il est scandaleusement idiot de s'accorder un droit à l'erreur quand on passe d'un coin à un autre, car pour de bon, ça peut se mettre à tourner à la catastrophe. Les jobines qu'on peut avoir ici, c'est du cauchemar.Exemple : je connais un couple de gens venus ici, en doux rêveurs, avec résidence permanente mais qui ont à présent envie de retourner dans leur pays qui se trouve dans le Tiers Monde. Ils sont cependant ... comment dire ... enfin, disons, ils ne sont pas "minorité visible". C'est la soeur de Madame qui les avait convaincu, aidée par son mari qui est canadien et qui les assurait qu'ici il suffit de frapper à la porte d'un employeur pour être recruté. Enfin, quoi qu'il en soit, ils en sont à présent, les deux, alors qu'elle est architecte et qu'il est dessinateur graphique, à pousser un chariot rempli de petits pois et à manie la pelle, et attention, à raison de huit heures par jour hein, pour remplir des seaux (et les transporter, ça va de soi) de 30 livres de petits pois. Horaires tournants, ça peut être de nuit, de jour ou d'après-midi.Alors ... Est-ce que ce genre d'aventure canadienne en tente beaucoup ??Je foutrai le camp aussi de cette ville. Je suis dans les boites de carton, planifiant ce qu'on peut. Problème N°1 : faire le meilleur déménagement possible tout en étant fauchés, après près d'un an dans un coin pareil.

Intéressant ce post... Ce malheureux couple s'est planté en allant dans un coin oû il fait bon vivre (peut être) mais dans lequel les perspectives professionnelles étaient ultra limitées, sauf pour un agriculteur ou un éleveur sans doute.

Moi, tout ce que je dis aux immigrants français, c'est: Attention, le QC ce n'est pas ce qu'on vous a vendu en France !!!!! Vous êtes attendus par tous ceux qui visent vos euros, parfois vos compétences mais pas autant que vous l'imaginez et dans les conditions auxquelles vous pourriez vous attendre. Au QC, on vous attends surtout pour vous offrir des jobines, comme le malheureux Robin Des Bois et en un an, vous risquez d'avoir largement écorné les économies d'une vie, comme Robin des Bois et en combien de temps parviendriez vous à remonter la pente, ne serait ce que pour rembourser entre 10.000 et 15.000 dollars de dettes liées à des déboires directement liés à l'impossibilité de trouver une situation pour un des deux conjoints?

L'expérience de l'immigration est une expérience personnelle. Je ne suis pas venu chercher le fun mais une bonne situation pour moi ET pour ma femme. Je n'ai pas trouvé ce que je cherchais au QC et j'ai plus de chances de le trouver ailleurs que dans un petit bocal, c'est à dire à Toronto, pas à Montréal ou à Québec.

Maintenant... je suis très expérimenté dans mon domaine, les compétences y sont rares et je parle bien anglais.

Modifié par lovcen
  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Je suis parti avec des amis (québecois(e)s) m'installer en Alberta pendant deux ans (6personnes)

Après deux ans là bas je suis revenu chez moi au Québec :biggrin2:

4 ans après mon retour sur six personnes

Trois sont revenue

Une a trouvé un "chum Québecois" et rame un peu à Calgary(pas de maison, loyer à 1800$)

Un est à Edmonton "un parfait bilingue " en vélo (sa voiture ayant été saisie) c'est dire de l'état de ces finances :blush2:

Le dernier travail comme cuisinier il rame aussi , il était de passage au Québec pour les vacances.

A part avoir apprit l'anglais son bilan est négatif malgré une blonde de l'Amérique du Sud. Il me dissait donc la semaine dernière que l'ouest est un mirroir aux allouettes. Un bons nombre de ses collègues sont à 12$ de l'heure (à Calgary c'est une misère)

Alors si vous voulez faire le saut dans l'ouest vous êtes mieux de connaitre l'anglais parfaitement et avoir quelque chose dans votre valise (argent et diplômesss) oubliez la construction c'est prit et il ne vous attendent pas!

Si non l'ouest c'est beau les rocheuses etc.....

Mais pour les loyers, les jobs vous êtes mieux d'être armé

Modifié par Petit polatouche
  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Pour autant, ça ne veut pas dire que ce n'est pas possible et je pense que malheureusement pour le QC, je fais partie de ces francophones qui ont contribué à enrichir l'Ontario de 10 milliards de $ en 10 ans au détriment du QC.

C'est quoi ça? :blink2: Des preuves?

Que tu sois heureux en Ontario, good for you. Que tu en profites pour dire des bêtises dans le but de dénigrer constamment le Québec, shame on you.

Une étude du ministère de l'immigration et des affaires culturelles de 2011 que j'ai lu l'an passé dans Metro et sur Internet déplorait que sur les dix dernières années, des milliers d'immigrants francophones, principalement entrepreneurs, sont passés par le QC puis l'ont quitté pour s'installer en Ontario.

Le montant de cette perte financière estimé par le ministère était de 10 milliards. Qu'est ce que ça recouvre ? Economies, investissements, impôts... va savoir. mais l'étude provenait de l'administration du QC.

Alors... dénigrer le QC en reportant ce que dit le gouvernement du QC... faudrait que tu sortes la tête du banc de neige et que tu regardes la réalité en face camarade québécois. Ton pays, TA nation a des problèmes de rétention des immigrants qualifiés et entrepreneurs et mis à part pour prendre une bière sur la Place des Arts aux beaux jours avec mes amis québécois et français, je n'ai pas du tout envie de remettre les pieds à Montréal pour y travailler.

Le QC, c'est grand comme territoire et c'est un bocal passablement encombré pour ce qui concerne les perspectives professionnelles pour des immigrants qualifiés et avec un filet social quasiment inexistant, d'oû une chute qui aurait pu être sévère si je n'étais pas parti ASAP en France avant de rebondir à Toronto.

Je fais partager mon expérience d'immigration et mon point de vue, c'est tout aussi valable que celui d'un immigrant qui réussirait au QC.

J'ai fouillé les archives du Journal Métro, document introuvable. J'ai cherché, plus généralement sur le net, information introuvable....

La seule chose qui puisse ressembler à ton information est cette étude comparative, publiée en 2011, entre le Québec, l'Ontario et la Colombie-Britannique.

http://cirano.qc.ca/...n/2011RP-07.pdf

On y lit ceci:

Les défis de l'intégration des immigrants dans le marché du travail au Québec : enseignements tirés d'une comparaison avec l'Ontario et la Colombie-Britannique*

Brahim Boudarbat

Faits saillants

En 2010, le taux de chômage des immigrants de 15 à 64 ans atteignait 12,4 % au Québec, comparativement à 10,4 % en Ontario et à 8,8 % en Colombie-Britannique. Par ailleurs, le rapport entre le taux de chômage des immigrants et celui des natifs était de 1,7 au Québec, 1,3 en Ontario et 1,2 en Colombie-Britannique.

La crise économique des dernières années a affecté davantage les immigrants que les natifs: dans l'ensemble du Canada, le taux de chômage des immigrants a augmenté de 2,7 points de pourcentage entre 2008 et 2010 comparativement à 1,7 point pour les natifs. On note cette détérioration dans chacune des trois provinces étudiées et surtout en Colombie-Britannique : là-bas, le taux de chômage des immigrants a gagné 3,9 points de pourcentage entre 2008 et 2010. En Ontario, les immigrants ont vu leur taux de chômage s'accroître de 2,8 points de pourcentage durant la même période contre seulement 1,2 point au Québec.

L'écart de taux de chômage entre les immigrants du Québec et ceux de la Colombie-Britannique s'est nettement rétréci entre 2006 et 2010 en passant de 7,9 à 3,6 points de pourcentage. Cette tendance est attribuée à la grande détérioration de la situation des immigrants sur le marché du travail de la Colombie - Britannique.

Sur le plan du taux de chômage des natifs, le Québec se compare à la Colombie -Britannique et obtient des résultats supérieurs à ceux de l'Ontario. Il se compare également aux autres provinces canadiennes en matière d'intégration des immigrants qui ont acquis un diplôme d'études postsecondaires au Canada. Toutefois, cette province se distingue par un taux de chômage nettement plus élevé chez les immigrants qui ont obtenu un diplôme d'études postsecondaires à l'étranger (13 %) par rapport à ceux qui détiennent un diplôme canadien (7,8 %). Dans les deux autres provinces, le lieu d'obtention du diplôme intervient relativement moins dans l'accès à l'emploi: le taux de chômage des immigrants détenteurs de diplômes postsecondaires étrangers était de 9,7 % en Ontario et 7,6 % en Colombie-Britannique en 2010.

L'intégration rapide des nouveaux arrivants constitue un autre défi de taille pour le Québec. En 2010, le taux de chômage de ceux qui sont au pays depuis cinq ans ou moins atteignait 19,4 %, comparativement à 17,9 % en Ontario et à 13,8 % en Colombie-Britannique.

Une autre particularité du marché du travail québécois est qu'il est peu favorable aux immigrants peu instruits: en 2010, le taux de chômage de ceux qui n'avaient aucun diplôme s'élevait à 20,5 %, par rapport à 15,8 % en Colombie-Britannique et à 17,9 % en Ontario. À l'inverse, le taux de chômage des immigrants qui avaient un diplôme universitaire était de 9,4 % au Québec, de 9,0 % en Ontario et de 8,0 % en Colombie -Britannique. Ainsi, l'intégration dans le marché du travail au Québec et ailleurs n'est pas uniquement une question de reconnaissance des diplômes puisque ceux qui n'en ont pas ont généralement plus de problèmes à se trouver un emploi que les autres.

En dépit des difficultés d'intégration dans le marché du travail québécois, le pourcentage de nouveaux immigrants qui ont déclaré avoir eu des problèmes ou des difficultés à trouver de l'emploi est relativement moins élevé au Québec (63,8 %) qu'en Ontario (71,0 %) et en Colombie-Britannique (65,1 %).

De l'avis des immigrants eux-mêmes, le manque d'expérience au Canada représente l'obstacle majeur à l'obtention d'un emploi (71,8 % au Québec, 74,4 % en Ontario et 64,1 % en Colombie-Britannique). C'est donc dire que l'accès à un premier emploi convenable est crucial pour l'intégration des immigrants.

Le deuxième obstacle à l'obtention d'un emploi se rapporte à la langue. À ce chapitre, des problèmes ont été soulignés par 49,7 % des nouveaux immigrants du Québec, comparativement à 42,3 % en Ontario et à 48,5 % en Colombie-Britannique. Il y a donc lieu de renforcer les programmes qui permettent aux immigrants de maîtriser la langue d'usage dans le marché du travail du pays d'accueil.

Qu'elle soit fondée ou non, la perception de l'existence d'une discrimination à l'embauche est évoquée par très peu d'immigrants, mais la proportion de ceux qui en ont parlé est légèrement plus élevée au Québec (21,8 %) qu'en Ontario (17,1 %) et en Colombie-Britannique (12 %). Ces pourcentages tombent à 7,4 %, 3,2 % et 3,1 % respectivement pour ce qui est des principaux obstacles à l'emploi.

Alors voilà, comme tu as omis de citer ta source et que ta mémoire m'appararait tout aussi défaillante que sélective, il en résulte que tu laisses planer un énorme doute sur les perspectives d'emploi des immigrants au Québec tout en sur-estimant la situation en Ontario. Ton affirmation laisse croire (10 milliards de quoi?) par son énormité à une véritable saignée des immigrants francophones du Québec vers l'Ontario. C'est en cela que tu es injuste. Et comme on le sait, bien des esprits se nourrissent de fausses informations qui deviennent des rumeurs et des préjugés.

10 milliards de quoi, donc? 10 milliards d'activité économique peut-être? 10 milliards de quelque chose ajouté à l'économie ontarienne par les seuls immigrants francophones du Québec qui font le choix de l'Ontario...? J'y crois pas pantoute.

Modifié par kobico
  • Habitués
Posté(e)

Au QC, on vous attends surtout pour vous offrir des jobines, comme le malheureux Robin Des Bois et en un an, vous risquez d'avoir largement écorné les économies d'une vie,

C'est bizarre, mon salaire au Québec pour la même job qu'en France a évolué d'un tiers et mon chum a triplé le sien. Et les économies réalisées en vendant la maison en France et en en rachetant une au Québec (marché bien moins cher) sont bien au chaud et n'ont jamais été entamées. Vraiment bizarre :rolleyes:

  • Habitués
Posté(e)

Pour autant, ça ne veut pas dire que ce n'est pas possible et je pense que malheureusement pour le QC, je fais partie de ces francophones qui ont contribué à enrichir l'Ontario de 10 milliards de $ en 10 ans au détriment du QC.

C'est quoi ça? :blink2: Des preuves?

Que tu sois heureux en Ontario, good for you. Que tu en profites pour dire des bêtises dans le but de dénigrer constamment le Québec, shame on you.

Une étude du ministère de l'immigration et des affaires culturelles de 2011 que j'ai lu l'an passé dans Metro et sur Internet déplorait que sur les dix dernières années, des milliers d'immigrants francophones, principalement entrepreneurs, sont passés par le QC puis l'ont quitté pour s'installer en Ontario.

Le montant de cette perte financière estimé par le ministère était de 10 milliards. Qu'est ce que ça recouvre ? Economies, investissements, impôts... va savoir. mais l'étude provenait de l'administration du QC.

Alors... dénigrer le QC en reportant ce que dit le gouvernement du QC... faudrait que tu sortes la tête du banc de neige et que tu regardes la réalité en face camarade québécois. Ton pays, TA nation a des problèmes de rétention des immigrants qualifiés et entrepreneurs et mis à part pour prendre une bière sur la Place des Arts aux beaux jours avec mes amis québécois et français, je n'ai pas du tout envie de remettre les pieds à Montréal pour y travailler.

Le QC, c'est grand comme territoire et c'est un bocal passablement encombré pour ce qui concerne les perspectives professionnelles pour des immigrants qualifiés et avec un filet social quasiment inexistant, d'oû une chute qui aurait pu être sévère si je n'étais pas parti ASAP en France avant de rebondir à Toronto.

Je fais partager mon expérience d'immigration et mon point de vue, c'est tout aussi valable que celui d'un immigrant qui réussirait au QC.

J'ai fouillé les archives du Journal Métro, document introuvable. J'ai cherché, plus généralement sur le net, information introuvable....

La seule chose qui puisse ressembler à ton information est cette étude comparative, publiée en 2011, entre le Québec, l'Ontario et la Colombie-Britannique.

http://cirano.qc.ca/...n/2011RP-07.pdf

On y lit ceci:

Les défis de l'intégration des immigrants dans le marché du travail au Québec : enseignements tirés d'une comparaison avec l'Ontario et la Colombie-Britannique*

Brahim Boudarbat

Faits saillants

En 2010, le taux de chômage des immigrants de 15 à 64 ans atteignait 12,4 % au Québec, comparativement à 10,4 % en Ontario et à 8,8 % en Colombie-Britannique. Par ailleurs, le rapport entre le taux de chômage des immigrants et celui des natifs était de 1,7 au Québec, 1,3 en Ontario et 1,2 en Colombie-Britannique.

La crise économique des dernières années a affecté davantage les immigrants que les natifs: dans l'ensemble du Canada, le taux de chômage des immigrants a augmenté de 2,7 points de pourcentage entre 2008 et 2010 comparativement à 1,7 point pour les natifs. On note cette détérioration dans chacune des trois provinces étudiées et surtout en Colombie-Britannique : là-bas, le taux de chômage des immigrants a gagné 3,9 points de pourcentage entre 2008 et 2010. En Ontario, les immigrants ont vu leur taux de chômage s'accroître de 2,8 points de pourcentage durant la même période contre seulement 1,2 point au Québec.

L'écart de taux de chômage entre les immigrants du Québec et ceux de la Colombie-Britannique s'est nettement rétréci entre 2006 et 2010 en passant de 7,9 à 3,6 points de pourcentage. Cette tendance est attribuée à la grande détérioration de la situation des immigrants sur le marché du travail de la Colombie - Britannique.

Sur le plan du taux de chômage des natifs, le Québec se compare à la Colombie -Britannique et obtient des résultats supérieurs à ceux de l'Ontario. Il se compare également aux autres provinces canadiennes en matière d'intégration des immigrants qui ont acquis un diplôme d'études postsecondaires au Canada. Toutefois, cette province se distingue par un taux de chômage nettement plus élevé chez les immigrants qui ont obtenu un diplôme d'études postsecondaires à l'étranger (13 %) par rapport à ceux qui détiennent un diplôme canadien (7,8 %). Dans les deux autres provinces, le lieu d'obtention du diplôme intervient relativement moins dans l'accès à l'emploi: le taux de chômage des immigrants détenteurs de diplômes postsecondaires étrangers était de 9,7 % en Ontario et 7,6 % en Colombie-Britannique en 2010.

L'intégration rapide des nouveaux arrivants constitue un autre défi de taille pour le Québec. En 2010, le taux de chômage de ceux qui sont au pays depuis cinq ans ou moins atteignait 19,4 %, comparativement à 17,9 % en Ontario et à 13,8 % en Colombie-Britannique.

Une autre particularité du marché du travail québécois est qu'il est peu favorable aux immigrants peu instruits: en 2010, le taux de chômage de ceux qui n'avaient aucun diplôme s'élevait à 20,5 %, par rapport à 15,8 % en Colombie-Britannique et à 17,9 % en Ontario. À l'inverse, le taux de chômage des immigrants qui avaient un diplôme universitaire était de 9,4 % au Québec, de 9,0 % en Ontario et de 8,0 % en Colombie -Britannique. Ainsi, l'intégration dans le marché du travail au Québec et ailleurs n'est pas uniquement une question de reconnaissance des diplômes puisque ceux qui n'en ont pas ont généralement plus de problèmes à se trouver un emploi que les autres.

En dépit des difficultés d'intégration dans le marché du travail québécois, le pourcentage de nouveaux immigrants qui ont déclaré avoir eu des problèmes ou des difficultés à trouver de l'emploi est relativement moins élevé au Québec (63,8 %) qu'en Ontario (71,0 %) et en Colombie-Britannique (65,1 %).

De l'avis des immigrants eux-mêmes, le manque d'expérience au Canada représente l'obstacle majeur à l'obtention d'un emploi (71,8 % au Québec, 74,4 % en Ontario et 64,1 % en Colombie-Britannique). C'est donc dire que l'accès à un premier emploi convenable est crucial pour l'intégration des immigrants.

Le deuxième obstacle à l'obtention d'un emploi se rapporte à la langue. À ce chapitre, des problèmes ont été soulignés par 49,7 % des nouveaux immigrants du Québec, comparativement à 42,3 % en Ontario et à 48,5 % en Colombie-Britannique. Il y a donc lieu de renforcer les programmes qui permettent aux immigrants de maîtriser la langue d'usage dans le marché du travail du pays d'accueil.

Qu'elle soit fondée ou non, la perception de l'existence d'une discrimination à l'embauche est évoquée par très peu d'immigrants, mais la proportion de ceux qui en ont parlé est légèrement plus élevée au Québec (21,8 %) qu'en Ontario (17,1 %) et en Colombie-Britannique (12 %). Ces pourcentages tombent à 7,4 %, 3,2 % et 3,1 % respectivement pour ce qui est des principaux obstacles à l'emploi.

Alors voilà, comme tu as omis de citer ta source et que ta mémoire m'appararait tout aussi défaillante que sélective, il en résulte que tu laisses planer un énorme doute sur les perspectives d'emploi des immigrants au Québec tout en sur-estimant la situation en Ontario. Ton affirmation laisse croire (10 milliards de quoi?) par son énormité à une véritable saignée des immigrants francophones du Québec vers l'Ontario. C'est en cela que tu es injuste. Et comme on le sait, bien des esprits se nourrissent de fausses informations qui deviennent des rumeurs et des préjugés.

10 milliards de quoi, donc? 10 milliards d'activité économique peut-être? 10 milliards de quelque chose ajouté à l'économie ontarienne par les seuls immigrants francophones du Québec qui font le choix de l'Ontario...? J'y crois pas pantoute.

Des milliards de peanuts... c'est évident que c'est ça que les entrepreneurs francophones apportent dans leurs valisent quand ils viennent au Canada pour investir, embaucher, payer des taxes en créant des entreprises et de l'emploi.

En considérant qu'il faut 1 600 000 $ pour arriver comme investisseur au Canada et de 300.000 $ pour devenir entrepreneur (source http://www.cic.gc.ca/francais/immigrer/affaires/definitions.asp#minimal), on arrive assez rapidement à un nombre critique, disons 1000-1500 personnes (une goutte d'eau par rapport au nombre total des immigrants chaque année) qui transfèrent fonds et activité économique récurrente. J'imagine que ce sont ces éléments qui ont servi de base au ministère des affaires culturelles et de l'immigration.

Le montant est conséquent ! Et c'était une alarme lancée sur le thème: Que faire pour éviter la saignée ? Apparemment il y a des québécois responsables et lucides qui acceptent de sortir la tête du banc de neige.

  • Habitués
Posté(e)

Au QC, on vous attends surtout pour vous offrir des jobines, comme le malheureux Robin Des Bois et en un an, vous risquez d'avoir largement écorné les économies d'une vie, comme Robin des Bois et en combien de temps parviendriez vous à remonter la pente, ne serait ce que pour rembourser entre 10.000 et 15.000 dollars de dettes liées à des déboires directement liés à l'impossibilité de trouver une situation pour un des deux conjoints?

:8): Le problème dans ce que tu dis c'est que RobinDesBois s'est planté non pas au Québec mais en Alberta... :whistlingb: C'est ce que je disais, plein d'immigrants se plantent au Canada anglais aussi.

Oui ... LeBalladin c'est moé. RobinDesBois.Ma femme était enthousiaste d'après les contacts qu'elle avait sur Lethbridge et cela montre surtout à quel point on peut se faire berner dans ce pays. Accessoirement ça montre aussi, mais je ne veux pas être trop mysogyne, ce qu'on dit sur la capacité des femmes à se faire une idée puis une autre. Car maintenant elle est repartie. Avec notre fille. Je ne vais pas chiffrer les milliers de dollars dépensés dans ce double déménagement dû à la sottise de venir sur cette ville paumée au fond de l'Alberta, ni non plus ceux perdus du simple fait de se trouver entourés de ces (...) de Rednecks qui pensent qu'on est là pour de la jobine bon marché. En effet, ce serait vertigineux.Que tout un chacun se le dise, il est scandaleusement idiot de s'accorder un droit à l'erreur quand on passe d'un coin à un autre, car pour de bon, ça peut se mettre à tourner à la catastrophe.Les jobines qu'on peut avoir ici, c'est du cauchemar.Exemple : je connais un couple de gens venus ici, en doux rêveurs, avec résidence permanente mais qui ont à présent envie de retourner dans leur pays qui se trouve dans le Tiers Monde. Ils sont cependant ... comment dire ... enfin, disons, ils ne sont pas "minorité visible". C'est la soeur de Madame qui les avait convaincu, aidée par son mari qui est canadien et qui les assurait qu'ici il suffit de frapper à la porte d'un employeur pour être recruté. Enfin, quoi qu'il en soit, ils en sont à présent, les deux, alors qu'elle est architecte et qu'il est dessinateur graphique, à pousser un chariot rempli de petits pois et à manie la pelle, et attention, à raison de huit heures par jour hein, pour remplir des seaux (et les transporter, ça va de soi) de 30 livres de petits pois. Horaires tournants, ça peut être de nuit, de jour ou d'après-midi.Alors ... Est-ce que ce genre d'aventure canadienne en tente beaucoup ??Je foutrai le camp aussi de cette ville. Je suis dans les boites de carton, planifiant ce qu'on peut. Problème N°1 : faire le meilleur déménagement possible tout en étant fauchés, après près d'un an dans un coin pareil.

Tout est affaire de profil, de préparation et de choix de vie.

C'est facile de généraliser en disant qu'il y a pas mal de plantages dans la partie anglophone du Canada en prenant comme exemple des gens qui ont choisi d'aller dans un trou paumé ou dans une province dont la seule source de revenus importante est le pétrole et dans laquelle on veut faire boulanger.

Moi, ce que je dis, c'est qu'à Toronto, je fais le pari qu'il est plus facile pour un français de France de trouver un bon job qu'au QC pour des raisons évidentes de bassin d'emplois et d'activité économique.

Oû sont les sièges sociaux les plus nombreux des plus grandes entreprises du Canada ? A Toronto !

Quelle est la province qui truste plus de 30% de l'activité économique du Canada ? L'Ontario !

Oû est-ce que parler le français est un atout différenciateur et pas une nécessité incontournable ? A Toronto !

Oû est-ce qu'un français de France pourra se trouver avec autant de chances que d'autres immigrants sans être pénalisé par la préférence québécoise ? Ailleurs qu'au QC !

  • Habitués
Posté(e)

Au QC, on vous attends surtout pour vous offrir des jobines, comme le malheureux Robin Des Bois et en un an, vous risquez d'avoir largement écorné les économies d'une vie,

C'est bizarre, mon salaire au Québec pour la même job qu'en France a évolué d'un tiers et mon chum a triplé le sien. Et les économies réalisées en vendant la maison en France et en en rachetant une au Québec (marché bien moins cher) sont bien au chaud et n'ont jamais été entamées. Vraiment bizarre :rolleyes:

Tu gagnais combien en France ?

Ton chum gagne combien ?

Mon fils m'a un jour dit: j'ai doublé ma moyenne en maths ! Passer de 1.5/20 à 3/20... tout est affaire de proportion.

Si pour toi 120.000 $ parait inaccessible, vous devez en être loin à vous deux réunis.

Si vous avez pu vous acheter un domicile au QC et conserver des économies, tant mieux, vous êtes de ceux qui réussissent à faire leur trou et à vivre une vie sympa, sans plus.

  • Habitués
Posté(e)

Tiens j'ignorais que jacques séguéla squattait le forum .... :whistlingb:

  • Habitués
Posté(e)

Je vois qu'on fait grand cas de mon témoignage concernant Lethbridge, au sud de l'Alberta (détestable ville de Mormons et autres sectes de dingues états-uniens) comme une sorte de preuve qu'aller à l'Ouest ça équivaut à une source de plantages.

Allons-y molo tout de même.

Ma femme a compris qu'elle a eu gravement tort de nous fourrer dans cette ville et elle est à présent ailleurs, où je la rejoindrai sous peu.

Ce n'est pas au Québec, que j'ai de toute façon quitté depuis plusieurs années et où elle n'a jamais mis les pieds.

"L'Ouest", ça peut signifier plusieurs choses. Lorsqu'on est sur place, on est capable de discerner des coins qui valent la peine d'être essayés et ceux qui sont à fuire. Exemple : Calgary est à fuire, Edmonton c'est jouable. ...

Qu'on cesse de fourrer tout ce qui est de "l'Ouest" dans le même sac.

  • Habitués
Posté(e)

Je vois qu'on fait grand cas de mon témoignage concernant Lethbridge, au sud de l'Alberta (détestable ville de Mormons et autres sectes de dingues états-uniens) comme une sorte de preuve qu'aller à l'Ouest ça équivaut à une source de plantages.

Allons-y molo tout de même.

Ma femme a compris qu'elle a eu gravement tort de nous fourrer dans cette ville et elle est à présent ailleurs, où je la rejoindrai sous peu.

Ce n'est pas au Québec, que j'ai de toute façon quitté depuis plusieurs années et où elle n'a jamais mis les pieds.

"L'Ouest", ça peut signifier plusieurs choses. Lorsqu'on est sur place, on est capable de discerner des coins qui valent la peine d'être essayés et ceux qui sont à fuire. Exemple : Calgary est à fuire, Edmonton c'est jouable. ...

Qu'on cesse de fourrer tout ce qui est de "l'Ouest" dans le même sac.

Surtout quand à la base on parle du Sud Ouest et de l'Ontario.

Je vois qu'on fait grand cas de mon témoignage concernant Lethbridge, au sud de l'Alberta (détestable ville de Mormons et autres sectes de dingues états-uniens) comme une sorte de preuve qu'aller à l'Ouest ça équivaut à une source de plantages.

Allons-y molo tout de même.

Ma femme a compris qu'elle a eu gravement tort de nous fourrer dans cette ville et elle est à présent ailleurs, où je la rejoindrai sous peu.

Ce n'est pas au Québec, que j'ai de toute façon quitté depuis plusieurs années et où elle n'a jamais mis les pieds.

"L'Ouest", ça peut signifier plusieurs choses. Lorsqu'on est sur place, on est capable de discerner des coins qui valent la peine d'être essayés et ceux qui sont à fuire. Exemple : Calgary est à fuire, Edmonton c'est jouable. ...

Qu'on cesse de fourrer tout ce qui est de "l'Ouest" dans le même sac.

Surtout quand à la base on parle du Sud Ouest et de l'Ontario.

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.




×
×
  • Créer...
Ouvrir un compte bancaire avant mon départ
© 2024 immigrer.com

Advertisement