Aller au contenu

Messages recommandés

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Cette réalité des harceleurs de rue dopés au machisme est plutôt inexistante au Québec. Nous en sommes très heureuses. :smile:

Harcèlement de rue : les femmes racontent le machisme

Créé le 07-09-2012 à 11h23 - Mis à jour le 14-09-2012 à 17h21

Marre d'être matées, sifflées, insultées dans la rue... Elles dénoncent ce harcèlement qui les rend dingues.

4401895-harcelement-de-rue-les-femmes-ra

Ras le bol d'être réduite à une paire de jambes arpentant le macadam, clament les femmes. (YAGHOBZADEH RAFAEL/SIPA)

"Ils font 'mmmhh' quand tu passes. Ils babillent. Ils te disent bonjour d'un air entendu... Et il faudrait que je réponde ? Mais je ne suis pas obligée de dire merci à tous ceux qui ont la gaule dans la rue !" Héloïse (1), Parisienne de 33 ans, de grands yeux verts et une robe légère, est à l'image de bien des femmes en ville : révoltée. Et ô combien lasse.

Ras le bol d'être réduite à une paire de jambes arpentant le macadam, à une paire de fesses ondulant au-dessus du trottoir. Marre d'être prise pour de la chair fraîche prête à être consommée. C'est une clameur qui monte du web, le débat qui anime les dîners en terrasse : les femmes seraient harcelées dans la rue. Pas tout le temps, évidemment. Pas partout non plus. Inutile d'enfler un pull informe pour circuler tranquille. C'est juste le sentiment diffus que la drague est plus agressive. Moins tolérée en tout cas.

Le buzz est parti de Belgique en juillet quand une étudiante en cinéma, Sofe Peeters, s'est filmée en caméra cachée, marchant dans le quartier populaire d'Anneessens, à Bruxelles. Elle porte une robe au-dessus du genou, des bottes de cow-boy branchées, et le micro ne perd pas une miette des conversations, salées : "chienne", "salope", "l'hôtel, le lit, tu connais, direct"... Le court-métrage "Femme de la rue" a fait le tour du Net, et les hommes sont tombés de leur chaise. "Cette fille, elle exagère, non ?" espère l'un. "Mais je n'ai jamais été témoin de tels propos !" s'inquiète l'autre.

Pourtant, il suffit d'écouter les femmes. Branchez-les sur le sujet, elles sont intarissables. "La dernière fois, un mec a miaulé quand je suis passée", se souvient Anne-Laure, journaliste parisienne de 27 ans. "Leur grande phrase, c'est : 'C'est joli, ça', explique Lucie, du même âge. "Quand je fais du vélo en jupe à Paris, des types se baissent pour voir ma culotte. Je leur crie que je n'en ai pas !", râle Hélène, 37 ans. "Je ne dirais pas que je suis personnellement harcelée, estime Manon, avocate de 34 ans. Mais, collectivement, nous le sommes, oui. " Le problème, c'est la répétition.

Ca démarre par des regards torves. "Pas le regard de la séduction ; celui qui te déshabille et instaure un rapport de force, qui dit à la fois : 'Je te désire et je te méprise'", explique Céline, iconographe de 40 ans. Ca s'accompagne de sifflements et autres étranges bruits de bouche. "Des 'ttttt'", explique Anissa, 50 ans. "Une aspiration", dit Manon. Ca se poursuit par des propositions, dont le désormais classique "Tu suces ?" murmuré du bout des lèvres. Ca dévie vers des insultes : "Le type commence par te dire : 'T'es charmante', et comme tu ne lui réponds pas il te traite de salope", raconte Lucie.

La suite ici: http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20120907.OBS1650/harcelement-de-rue-les-femmes-racontent-le-machisme.html

Modifié par kobico
  • Habitués
Posté(e)

[..]

Mon village c'est sur ne représente pas le Québec.

La Beauce, outaouais, cote nord, abitibi, estrie, saguenay.... mais qu'on t-il tous en commun ces habitants ?

C'est ça que je cherche.

Je suppose que les points communs entre ces gens sont les connaissances d'un ensemble de références, qu'elles soient politiques, linguistiques, traditionnelles, gastronomiques, sportives, culturelles, ou autre et d'avoir la possibilité de les vivre ou non. Ce n'est pas tant ce qu'ils font que ce qu'ils connaissent. Car, après tout, tout ce qui a été cité n'est que question de goût. Certes le hockey est le sport national, et si tu écoutes le 98.5 après 18h, tu vas entendre des analystes en parler pendant des heures et heures; mais dans le même temps, la majorité des personnes "gars" que j'ai rencontrées ne s'intéressent pas à ce sport. Idem pour pas mal toutes les activités mentionnées... Pour le souper à 17h, cela dépend des contraintes professionnelles et familiales.

Je crois qu'on peut difficilement regarder chaque québécois et en tirer "une manière de vivre québécoise". Au mieux, ce que tu obtiendras ne sera qu'une caricature, qui ne serviras qu'à attiser une fausse division natifs / non-natifs. Ce n'est pas tout le monde qui va aux cabanes à sucre ou qui aime ça; par contre, tous savent ce que sait et comment cela se déroule.

Les québécois partagent un ensemble de références, tout comme les français ont les leurs, de même que les allemands et les algériens. C'est essentiellement ce qui fait que lorsqu'on arrive au Québec et qu'on ouvre la radio pour la première fois, on est un peu étourdi par toutes les "nouvelles" informations. En tant qu'immigrant, nous devons apprendre ces références et, à mon humble avis, c'est la seule chose qui va faire que tu seras (ou te sentiras) québécois ou non. Et c'est aussi ce qui fait que, après 10 années, je ne me considère plus français, ayant perdu beaucoup trop de mes anciennes références.

  • Habitués
Posté(e)

Au fait, je sais que je ne suis pas sur le bon sujet, mais quels sont les sports les plus populaires au Quebec? Au Canada? Je sais qu'il y a le Hockey mais à part ça ???

  • Habitués
Posté(e)

Au fait, je sais que je ne suis pas sur le bon sujet, mais quels sont les sports les plus populaires au Quebec? Au Canada? Je sais qu'il y a le Hockey mais à part ça ???

Il y aussi le Hockey, le Hockey et bien sur le Hockey !

Ah j'ai oublié . . . . . .le Hockey aussi . :biggrin2:

  • Habitués
Posté(e)

Au fait, je sais que je ne suis pas sur le bon sujet, mais quels sont les sports les plus populaires au Quebec? Au Canada? Je sais qu'il y a le Hockey mais à part ça ???

baseball, soccer

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Apart le Hockey (encore ! ) il y a le football ( soccer), L'équipe de Montréal " impact de Montréal " évolue dans le plus important championnat Nord Américain "MLS".

Modifié par zoldar
  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Le ski, la natation.

La bicyclette (pas électrique) de très belles pistes cyclables à Québec.

Le football

Modifié par dentan
  • Habitués
Posté(e)

Merci pour vos réponses.

  • Habitués
Posté(e)

Pour nous, beaucoup de mal à trouver des "namis" de tennis. On a de très belles installations municipales (nous sommes entre 2 villages et profitons des 2), entretenues et refaites régulièrement, ombragées, éclairées le soir, mais à part les amis proches, on a du mal à trouver du monde "extérieur". Je ne crois pas que le tennis soit aussi populaire que le "hockey" :)

  • Habitués
Posté(e)

Le tennis est un sport individuel, c'est difficile de faire une comparaison avec l'engouement pour les sports d'équipe.J'ai appris à jouer au tennis toute petite. C'était il y a bien longtemps... C'est bien de valeur que nous habitions si loin l'une de l'autre... :wink:

Posté(e)

Au Québec il y en a pas mal qui aiment aussi les sports mécaniques type F1 ou NASCAR.

Le curling aussi est très pratique au Canada en général même si ce n'est pas une activité forcemment très médiatisé.

Le soccer prends aussi de plus en plus d'ampleur notamment grace aux immigrants et a l'Impact de Mtl.

Après le cyclisme, jogging, yoga, fitness et cie, je ne dirais pas que c'est une tendance spécifiquement québécoise même si c'est beaucoup pratique.

Posté(e) (modifié)

Cette réalité des harceleurs de rue dopés au machisme est plutôt inexistante au Québec. Nous en sommes très heureuses. :smile:

Harcèlement de rue : les femmes racontent le machisme

Créé le 07-09-2012 à 11h23 - Mis à jour le 14-09-2012 à 17h21

Marre d'être matées, sifflées, insultées dans la rue... Elles dénoncent ce harcèlement qui les rend dingues.

4401895-harcelement-de-rue-les-femmes-ra

Ras le bol d'être réduite à une paire de jambes arpentant le macadam, clament les femmes. (YAGHOBZADEH RAFAEL/SIPA)

"Ils font 'mmmhh' quand tu passes. Ils babillent. Ils te disent bonjour d'un air entendu... Et il faudrait que je réponde ? Mais je ne suis pas obligée de dire merci à tous ceux qui ont la gaule dans la rue !" Héloïse (1), Parisienne de 33 ans, de grands yeux verts et une robe légère, est à l'image de bien des femmes en ville : révoltée. Et ô combien lasse.

Ras le bol d'être réduite à une paire de jambes arpentant le macadam, à une paire de fesses ondulant au-dessus du trottoir. Marre d'être prise pour de la chair fraîche prête à être consommée. C'est une clameur qui monte du web, le débat qui anime les dîners en terrasse : les femmes seraient harcelées dans la rue. Pas tout le temps, évidemment. Pas partout non plus. Inutile d'enfler un pull informe pour circuler tranquille. C'est juste le sentiment diffus que la drague est plus agressive. Moins tolérée en tout cas.

Le buzz est parti de Belgique en juillet quand une étudiante en cinéma, Sofe Peeters, s'est filmée en caméra cachée, marchant dans le quartier populaire d'Anneessens, à Bruxelles. Elle porte une robe au-dessus du genou, des bottes de cow-boy branchées, et le micro ne perd pas une miette des conversations, salées : "chienne", "salope", "l'hôtel, le lit, tu connais, direct"... Le court-métrage "Femme de la rue" a fait le tour du Net, et les hommes sont tombés de leur chaise. "Cette fille, elle exagère, non ?" espère l'un. "Mais je n'ai jamais été témoin de tels propos !" s'inquiète l'autre.

Pourtant, il suffit d'écouter les femmes. Branchez-les sur le sujet, elles sont intarissables. "La dernière fois, un mec a miaulé quand je suis passée", se souvient Anne-Laure, journaliste parisienne de 27 ans. "Leur grande phrase, c'est : 'C'est joli, ça', explique Lucie, du même âge. "Quand je fais du vélo en jupe à Paris, des types se baissent pour voir ma culotte. Je leur crie que je n'en ai pas !", râle Hélène, 37 ans. "Je ne dirais pas que je suis personnellement harcelée, estime Manon, avocate de 34 ans. Mais, collectivement, nous le sommes, oui. " Le problème, c'est la répétition.

Ca démarre par des regards torves. "Pas le regard de la séduction ; celui qui te déshabille et instaure un rapport de force, qui dit à la fois : 'Je te désire et je te méprise'", explique Céline, iconographe de 40 ans. Ca s'accompagne de sifflements et autres étranges bruits de bouche. "Des 'ttttt'", explique Anissa, 50 ans. "Une aspiration", dit Manon. Ca se poursuit par des propositions, dont le désormais classique "Tu suces ?" murmuré du bout des lèvres. Ca dévie vers des insultes : "Le type commence par te dire : 'T'es charmante', et comme tu ne lui réponds pas il te traite de salope", raconte Lucie.

La suite ici: http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20120907.OBS1650/harcelement-de-rue-les-femmes-racontent-le-machisme.html

pour avoir vu de près les québécoises ne demander que de se faire apostropher à Saint-Domingue, sur les plages de Boca Chica notamment, je trouve ce post surréaliste, et très loin de la réalité du terrain

la vérité est que l'hystérie féministe québécoise ne résiste pas au cap de la quarantaine, du divorce et de la solitude de la majorité de ces femmes,

ensuite ça file nettement plus doux, et part avec Expedia direction les Caraïbes hyper féministes, pour celles qui perçoivent leur pension alimentaire,

pour les autres, eh bien c'est tant pis pour elles ...

Modifié par jack kerouac
  • Habitués
Posté(e)

Bon sang, mais est-ce possible d'arriver ici, de ne pas se présenter et de devenir aussi agressif et provocateur ? Est-ce représentatif de la culture algérienne (puisque merci, l'autre, je la connais) que de croire et d'affirmer par une banale généralité, sans autre preuve que vos propres affirmations que la femme québécoise ne résiste pas au cap de la quarantaine, du divorce et de la solitude?

Je sens qu'à ce train, vous n'allez pas faire long feu sur ce forum.

Posté(e)

je parle de ce que je connais, de ce que j'ai vu de mes yeux

si cela vous horripile, que l'on vienne oser dire cela sur ce forum, c'est votre problème, pas le mien

sinon, auriez-vous des arguments, ou des contre-arguments, sur la débile et mortifère Guerre des sexes qui sévit au Québec, rendant les hommes québécois souvent violents (Polytechnique, etc. ) et les femmes québécoises encore plus souvent faussement épanouies , et réellement paumées ?

si oui, je serai ravi de les entendre, si non habituez vous à devoir souffrir ma présence,

l'appel au châtiment et a la censure prouve que j'ai touché juste, j'affronte un tabou, et je fais mouche

  • Habitués
Posté(e)

Bon sang, mais est-ce possible d'arriver ici, de ne pas se présenter et de devenir aussi agressif et provocateur ? Est-ce représentatif de la culture algérienne (puisque merci, l'autre, je la connais) que de croire et d'affirmer par une banale généralité, sans autre preuve que vos propres affirmations que la femme québécoise ne résiste pas au cap de la quarantaine, du divorce et de la solitude?

Je sens qu'à ce train, vous n'allez pas faire long feu sur ce forum.

Il est peut-être la réincarnation du diable!!! Qui sait? :girl_devil::biggrin2:

  • Habitués
Posté(e)

l'appel au châtiment et a la censure prouve que j'ai touché juste, j'affronte un tabou, et je fais mouche

La réaction prouve qu'effectivement un sujet sensible a été soulevé mais elle ne prouve en rien que l'analyse et le raisonnement soient corrects. Je suis persuadé que d'autres personnes peuvent soulever des réactions bien pire en parlant de sujets plus graves sans pour autant avoir des arguments "lumineux". C'est très facile de verser dans la démagogie...

Posté(e)

démagogie ?

les bars à danseuses (pullulant par milliers au Québec) ?

les hallucinantes statistiques des violences conjugales (entre pure-laines) ?

la misogynie d'antan remplacée par la misandrie d'aujourd'hui, toutes deux lamentables ?

la castration sociale (voire chimique) des petits garçons québécois dès la tendre enfance ?

le nombre de suicides annuels des hommes québécois ?

etc etc ...

si c'est cela de la démagogie, parler des choses réelles et non pas de l'Afghanistan ou de que sais-je encore,

et bien soit, c'est de la démagogie et tout va bien, tout va pour le mieux,

et c'est Pangloss qui est bien content

  • Habitués
Posté(e)

On trouve des bars à danseuses partout et il n'y a aucun rapport avec le propos.

Peux- tu prouver que les violences conjugales sont meilleures dans d'autres pays occidentaux ?

Peux-tu prouver que les hommes se suicident moins dans d'autres pays occidentaux ?

Je trouve aux petits garçons québécois un air tout à fait épanoui.

Bref, quand on a rien à dire d'intelligent, le mieux est de s'abstenir.

Posté(e)

On trouve des bars à danseuses partout et il n'y a aucun rapport avec le propos.

Peux- tu prouver que les violences conjugales sont meilleures dans d'autres pays occidentaux ?

Peux-tu prouver que les hommes se suicident moins dans d'autres pays occidentaux ?

Je trouve aux petits garçons québécois un air tout à fait épanoui.

Bref, quand on a rien à dire d'intelligent, le mieux est de s'abstenir.

voila de sacrés arguments !

j'en suis bouche bée !

s'abstenir dites-vous, garder le silence ?

oui en effet, il vaut mieux ...

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

je parle de ce que je connais, de ce que j'ai vu de mes yeux

si cela vous horripile, que l'on vienne oser dire cela sur ce forum, c'est votre problème, pas le mien

sinon, auriez-vous des arguments, ou des contre-arguments, sur la débile et mortifère Guerre des sexes qui sévit au Québec, rendant les hommes québécois souvent violents (Polytechnique, etc. ) et les femmes québécoises encore plus souvent faussement épanouies , et réellement paumées ?

si oui, je serai ravi de les entendre, si non habituez vous à devoir souffrir ma présence,

l'appel au châtiment et a la censure prouve que j'ai touché juste, j'affronte un tabou, et je fais mouche

Marc Lépine, le tristement célèbre tueur de Polytechnique, est né d'une mère québécoise et d'un père algérien.Son nom à la naissance était Gamil Gharbi. Dès son plus jeune âge, il a été régulièrement battu par son père qui battait également sa mère. C'est à l'âge de 13 ans qu'il a changé son nom suite au divorce de ses parents sur fond de violence conjugale.

En Cour, sa mère et sa soeur ont témoigné de la violence du père ainsi que de ses idées forts arrêtées sur le rôle des femmes:

Born Gamil Gharbi to an Algerian father and French-Canadian mother, the boy had a rough childhood. His mother had divorced his father over the issue of abuse, which had extended to the children. Beaten by his father, Rachid Liass Gharbi, for such minor problems as singing too loudly or failing to greet him in the morning, Lépine had learned to fear him.

"He was a brutal man," Monique Lépine told the court, "who did not seem to have any control over his emotions... It was always a physical gesture, a violent gesture, and always right in the face." Monique's sister confirmed these details to the judge, although Gharbi protested that they were not true. Nevertheless, the judge awarded custody to Monique. Still, young Gamil was not free of the man until he was 7 years old, and the exposure for that long to Gharbi's temper and beliefs had a strong influence. The boy so hated him that when he was 13, he changed his name to Marc Lépine.

Yet try as he might to distance himself, Lépine nevertheless adopted his father's views about women as servile and second-class (despite the fact that his mother was getting university degrees). They were not men's equals. Psychologically speaking, he was not built for a world in which women were getting educated, acquiring opportunities and becoming strong and independent. Rather than appreciate his mother's attempt to improve things for her children and herself, he saw only betrayal. In his mind, women had a specific place in society and they should stay there.

As he grew older, he believed that independent women were pushing him out of his own rightful opportunities. Someone, he believed, had to teach them a lesson and he decided that it would be him.

http://www.trutv.com/library/crime/notorious_murders/mass/marc_lepine/10.html

Alors tu repasseras avec tes niaiseries sur la guerre des sexes qui engendre la violence des hommes québécois.

Ce n'est pas la justesse de tes arguments qui fait réagir, plutôt l'énormité de ta bêtise et de ton mépris à peine voilé pour le peuple québécois.

Modifié par kobico

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.




×
×
  • Créer...
Ouvrir un compte bancaire avant mon départ
© 2024 immigrer.com

Advertisement