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Retraite à l’étranger : les destinations les plus prisées

03/04/15 à 17:43

Mis à jour le 07/12/15 à 16:24

Lecture :  2 min

Un Français de plus de 50 ans sur trois se verrait bien passer sa retraite à l’étranger, à en croire un sondage OpinionWay et Mysilverway, société de conseil pour l’expatriation des seniors. Voici les 10 destinations qui ont la cote auprès des retraités expatriés. A découvrir dans notre diaporama en cliquant sur la photo ci-contre.

Vivre loin mais vivre mieux ? Les retraités sont de plus en plus nombreux à s’expatrier. Plus de 1,3 million de retraités vivant à l’étranger perçoivent une pension versée par la CNAV. Soit près de 10% des retraités. La moitié d’entre eux vivent en Europe, et 44% en Afrique. Les 10 pays où les retraités du régime général sont les plus nombreux sont :
1) Algérie (439.764)
2) Espagne (191.159)
3) Portugal (177.923)
4) Italie (91.306)
5) Maroc (60.487)
6) Belgique (59.893)
7) Allemagne (49.154)
8) Tunisie (35.180)
9) Suisse (19.600)
10) Canada (18.214)

Tous ces retraités expatriés n’ont évidemment pas tous le même profil. Parmi eux, nombreux regagnent simplement leur pays d’origine : à titre d’exemple, selon le quai d'Orsay, près de la moitié des 50.000 expatriés enregistrés au Consulat du Maroc ont la double nationalité. parmi ces Franco-Marocains, 22% ont plus de 60 ans, et perçoivent donc vraisemblablement une pension française. Même constat au Portugal : 56% des 15.000 expatriés inscrits sont binationaux, dont 18% ont plus de 60 ans. D’autres perçoivent une pension française tout simplement parce qu’ils ont travaillé en France une partie de leur carrière.

 

source et suite : http://www.capital.fr/retraite/dossiers/retraite-a-l-etranger-les-destinations-les-plus-prisees#xtor=CS1-48&utm_source=Outbrain&utm_medium=SEM&utm_term=Partenaires&utm_campaign=debut07/2015

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j’entends souvent les immigrants dirent qu'ils vont retourner 'chez eux' au moment de la retraite. comme si, ici, c'était pas vraiment chez eux..

difficile de vouloir t'intégrer quand tu penses comme ça.

 

 

  • Habitués
Posté(e)
il y a 26 minutes, Automne a dit :

j’entends souvent les immigrants dirent qu'ils vont retourner 'chez eux' au moment de la retraite. comme si, ici, c'était pas vraiment chez eux..

difficile de vouloir t'intégrer quand tu penses comme ça.

 

 

 

C'est surtout qu'on pense à la façon dont on vivrait ici à 70 ou 80 ans. Plus d'assurance santé, pas de prise en charge instantanée quand on est malade, pas de transport gratuit à l'hôpital, pas d'opération rapide en cas de nécessité ( prothèse de hanche par exemple), pas de famille pour prendre soin de nous si on est bloqué à la maison, plus droit au crédit, etc ... 

Ce n'est pas un désamour du Québec, c'est juste une question de qualité de vie différente. Vous, vous avez votre famille qui peut s'occuper de vous au cas où. 

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Posté(e) (modifié)
il y a 32 minutes, Cherrybee a dit :

 

C'est surtout qu'on pense à la façon dont on vivrait ici à 70 ou 80 ans. Plus d'assurance santé, pas de prise en charge instantanée quand on est malade, pas de transport gratuit à l'hôpital, pas d'opération rapide en cas de nécessité ( prothèse de hanche par exemple), pas de famille pour prendre soin de nous si on est bloqué à la maison, plus droit au crédit, etc ... 

Ce n'est pas un désamour du Québec, c'est juste une question de qualité de vie différente. Vous, vous avez votre famille qui peut s'occuper de vous au cas où. 

ouai mais quand tu vis ici depuis ton immigration, on va dire à 30 ans et rendu à 60 ans tu pars en retraite, ta famille est ici.. tes enfants, tes petits-enfants etc.. c'est quoi l'intérêt de repartir dans leur pays?

 

Modifié par Automne
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il y a une heure, Automne a dit :

ouai mais quand tu vis ici depuis ton immigration, on va dire à 30 ans et rendu à 60 ans tu pars en retraite, ta famille est ici.. tes enfants, tes petits-enfants etc.. c'est quoi l'intérêt de repartir dans leur pays?

 

 

D'autant plus que personne ne sait à quoi ressembleront les soins de santé en France dans 10, 20 ou 30 ans... Seront-ils mieux ou pire que ceux qui seront offerts ici, nul ne le sait. Il n'y a aucune garantie future d'une meilleure qualité de vie en France. 

 

En tout cas, de tous les immigrants français de longue date que je connaisse, aucun ne pense retourner en France pour leur retraite. Ce n'est pas une question d'amour/désamour mais d'intégration complète. L'idée de s'exiler dans leur pays d'origine n'a plus aucun sens. La réalité concrète, celle qui donne du sens à leur existence est la vie dans leur vrai chez soi qu'est devenu leur pays d'adoption. Ils se sentent appartenir à ce pays. De vrais québécois de coeur et c'est très bien ainsi. :)  

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J'aime bien ceux qui témoignent de leur surprise en n'ayant jamais vécu ailleurs, qu'est ce qu'ils peuvent bien en savoir de ce que ça fait d'avoir vécu la plus grosse partie de sa vie dans un pays d'origine, de vivre ensuite dans un autre pays, et d'avoir envie de retourner dans ce pays d'origine ? Merci d'aller le vivre, et si vous décider de revenir vivre votre retraite au Canada ensuite, on viendra aussi vous dire que vous ne vous êtes pas intégré.

 

C'est aussi étonnant que l'on nous demande de préférer le pays où l'on vit aujourd'hui plutôt que son pays d'origine. Au nom de quoi n'aurait-on pas le droit d'y retourner pour des tas de raisons (météo plus clémente, famille ou que sais-je) ?

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Il y a 2 heures, kobico a dit :

 

D'autant plus que personne ne sait à quoi ressembleront les soins de santé en France dans 10, 20 ou 30 ans...

 

L'auteur du message doit être sur le bord d'être en retraite.. selon les personnes, la retraite, ça peut aussi être demain.

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il y a 1 minute, Demina47 a dit :

J'aime bien ceux qui témoignent de leur surprise en n'ayant jamais vécu ailleurs, qu'est ce qu'ils peuvent bien en savoir de ce que ça fait d'avoir vécu la plus grosse partie de sa vie dans un pays d'origine, de vivre ensuite dans un autre pays, et d'avoir envie de retourner dans ce pays d'origine ? Merci d'aller le vivre, et si vous décider de revenir vivre votre retraite au Canada ensuite, on viendra aussi vous dire que vous ne vous êtes pas intégré.

 

C'est aussi étonnant que l'on nous demande de préférer le pays où l'on vit aujourd'hui plutôt que son pays d'origine. Au nom de quoi n'aurait-on pas le droit d'y retourner pour des tas de raisons (météo plus clémente, famille ou que sais-je) ?

merci Caro pour ta super belle opinion

Modifié par Automne
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Posté(e)
J'aime bien ceux qui témoignent de leur surprise en n'ayant jamais vécu ailleurs, qu'est ce qu'ils peuvent bien en savoir de ce que ça fait d'avoir vécu la plus grosse partie de sa vie dans un pays d'origine, de vivre ensuite dans un autre pays, et d'avoir envie de retourner dans ce pays d'origine ? Merci d'aller le vivre, et si vous décider de revenir vivre votre retraite au Canada ensuite, on viendra aussi vous dire que vous ne vous êtes pas intégré.

 

C'est aussi étonnant que l'on nous demande de préférer le pays où l'on vit aujourd'hui plutôt que son pays d'origine. Au nom de quoi n'aurait-on pas le droit d'y retourner pour des tas de raisons (météo plus clémente, famille ou que sais-je) ?

Arrivée à l âge de la retraite ici (si bien sûr tu ne repartes pas avant), tu auras peut être autant vécu ici qu en France... Il sera ou ton chez toi à cette époque? Si une personne à en plus des enfants ici, il sera ou ton chez toi?

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Posté(e) (modifié)

Les enfants est un excellent argument, il y a fort à parier que les gens que mentionnent Kobico ont des enfants ayant leur situation ici. Ça change évidemment tout.

 

Mais je ne parlais pas de mon cas propre. Je suis choquée que des Canadiens, qui n'ont jamais mis le pied ailleurs que dans leur pays, se permettent de dire que des immigrants retournant chez eux pour leur retraite n'étaient pas intégrés. Pour moi, qu'on reste ou rentre, "c'est correct", je n'irais pas faire de jugement de valeur ni sur l'un, ni sur l'autre.

Modifié par Demina47
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il y a 4 minutes, Demina47 a dit :

J'aime bien ceux qui témoignent de leur surprise en n'ayant jamais vécu ailleurs, qu'est ce qu'ils peuvent bien en savoir de ce que ça fait d'avoir vécu la plus grosse partie de sa vie dans un pays d'origine, de vivre ensuite dans un autre pays, et d'avoir envie de retourner dans ce pays d'origine ? Merci d'aller le vivre, et si vous décider de revenir vivre votre retraite au Canada ensuite, on viendra aussi vous dire que vous ne vous êtes pas intégré.

 

C'est aussi étonnant que l'on nous demande de préférer le pays où l'on vit aujourd'hui plutôt que son pays d'origine. Au nom de quoi n'aurait-on pas le droit d'y retourner pour des tas de raisons (météo plus clémente, famille ou que sais-je) ?

 

Chère Caroline, Je ne témoigne pas de ma surprise, seulement de ce que je connais. :) Et des "'immigrants français de longue date" (ce dont j'ai parlé, n'est-ce-pas?), j'en connais un char pis une barge. Et "longue date", au plus court, cela signifie 10-15 ans. Généralement, la décision de retour se fait durant cette période. 

 

Qu'est-ce que tu veux que je te dise... après 15-20-30 ans , les gens finissent par ne plus se percevoir "entre deux chaises" et se sentent appartenir pleinement à la communauté dans laquelle ils vivent depuis des décennies. C'est comme ça et c'est juste humain qu'il en soit ainsi. Ceux-là, n'envisagent pas un retour possible comme toi qui est arrivée récemment. Leur perspective est bien différente de la tienne. Tout ça, tu ne peux pas le savoir parce que tu n'as pas assez de vécu et que ton monde s'arrête au bout de ton nez. 

  • Habitués
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il y a 7 minutes, Demina47 a dit :

Les enfants est un excellent argument, il y a fort à parier que les gens que mentionnent Kobico ont des enfants ayant leur situation ici. Ça change évidemment tout.

 

Mais je ne parlais pas de mon cas propre. Je suis choquée que des Canadiens, qui n'ont jamais mis le pied ailleurs que dans leur pays, se permettent de dire que des immigrants retournant chez eux pour leur retraite n'étaient pas intégrés. Pour moi, qu'on reste ou rentre, "c'est correct", je n'irais pas faire de jugement de valeur ni sur l'un, ni sur l'autre.

Je pense en effet que les gens qui rentrent 'chez eux' à la retraite en ayant vécu une grande partie de leur vie (voire la plus grande) au Canada, France ou peu importe où ne sont pas bien intégrés ou qui ,au final, ne se sentent pas assez intégrés.

Ça me fait penser aux parents d'un copain d'origine portugaise (qui lui est en France avec sa femme française et ses enfants et qui n'en bougera pas) qui pour leur retraite rentrent au Portugal: son père en vivant en France depuis la vingtaine/trentaine parle bien français mais sa mère ne l'a pas acquis complètement au bout de 40 ans. Ils passaient presque toutes leurs vacances 'au pays' et pas ailleurs(c'est sur que c'est plus près que la France depuis le Canada)  et pour eux il n’était pas question de rester en France pour leurs vieux jours. Idem pour une autre connaissance de je ne sais pas quel pays de l'est où c’était la même histoire.

Pour certains, l'immigration prend pour d'autres elle ne prendra jamais car leur cœur est resté ailleurs ...et ça, ça signifie effectivement qu'ils ne se sont pas intégrés (et ce n'est pas une insulte de le dire, c'est comme ça)

 

  • Habitués
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il y a 24 minutes, Demina47 a dit :

Les enfants est un excellent argument, il y a fort à parier que les gens que mentionnent Kobico ont des enfants ayant leur situation ici. Ça change évidemment tout.

 

Mais je ne parlais pas de mon cas propre. Je suis choquée que des Canadiens, qui n'ont jamais mis le pied ailleurs que dans leur pays, se permettent de dire que des immigrants retournant chez eux pour leur retraite n'étaient pas intégrés. Pour moi, qu'on reste ou rentre, "c'est correct", je n'irais pas faire de jugement de valeur ni sur l'un, ni sur l'autre.

 

Tu dis ne pas porter de jugement de valeur mais tu prétends que je ne suis jamais sortie de mon pays. Qu'est-ce que tu en sais pour vrai? En plus, tu ne comprends rien à ce que je dis. Mais ça, c'est pas une surprise.

  • Habitués
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Il y a 4 heures, Automne a dit :

ouai mais quand tu vis ici depuis ton immigration, on va dire à 30 ans et rendu à 60 ans tu pars en retraite, ta famille est ici.. tes enfants, tes petits-enfants etc.. c'est quoi l'intérêt de repartir dans leur pays?

 

 

Oui c'est ça. Comme tu le suggères, on ne connait pas la vie des gens et on ne sait pas s'ils sont seuls ou pas et dans quelles conditions ils repartent. Moi, mes enfants sont en France. Je suis parfaitement bien ici, mais dans 20 ans, si je suis veuve ou divorcée, toute seule, sans plus avoir l'intérêt du travail, c'est clair que je me poserais la question. 

  • Habitués
Posté(e)
Il y a 3 heures, kobico a dit :

 

D'autant plus que personne ne sait à quoi ressembleront les soins de santé en France dans 10, 20 ou 30 ans... Seront-ils mieux ou pire que ceux qui seront offerts ici, nul ne le sait. Il n'y a aucune garantie future d'une meilleure qualité de vie en France. 

 

En tout cas, de tous les immigrants français de longue date que je connaisse, aucun ne pense retourner en France pour leur retraite. Ce n'est pas une question d'amour/désamour mais d'intégration complète. L'idée de s'exiler dans leur pays d'origine n'a plus aucun sens. La réalité concrète, celle qui donne du sens à leur existence est la vie dans leur vrai chez soi qu'est devenu leur pays d'adoption. Ils se sentent appartenir à ce pays. De vrais québécois de coeur et c'est très bien ainsi. :)  

 

C'est clair. Je pense que la santé, quoiqu'on en dise s'est améliorée. Mais bon, il y a encore de lourds délais. 

  • Habitués
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Il y a 5 heures, Cherrybee a dit :

 

C'est surtout qu'on pense à la façon dont on vivrait ici à 70 ou 80 ans. Plus d'assurance santé, pas de prise en charge instantanée quand on est malade, pas de transport gratuit à l'hôpital, pas d'opération rapide en cas de nécessité ( prothèse de hanche par exemple), pas de famille pour prendre soin de nous si on est bloqué à la maison, plus droit au crédit, etc ... 

Ce n'est pas un désamour du Québec, c'est juste une question de qualité de vie différente. Vous, vous avez votre famille qui peut s'occuper de vous au cas où. 

 

Je suis tout à fait en accord avec ça.

Quand on prend de l'âge on voit les choses différemment surtout question santé.

 

Situation vécue ici et là bas : ici à l'hôpital: 7 heures à passer dans un service pour recevoir des soins en continue. Pas le droit de quitter la salle durant ce temps. Avec un peu de stress j'oublie de me prendre quelque chose à manger (flûte!).

7 heures passées avec des verres d'eau, un café pas buvable et 2 biscuits thé. Basta !

Là bas à l'hôpital: une journée à subir un traitement et aucune possibilité de quitter la salle. Une heure après mon arrivée une personne vient me voir pour prendre ma commande pour le repas du midi ! Et j'ai le choix !! Et je n'ai rien payé !!! On m'a même demandé si je voulais bénéficier de l'ambulance pour un retour à la maison ! C'est offert par l'hôpital. Rien à payer.

 

  • Habitués
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il y a 3 minutes, trefle a dit :

 

Je suis tout à fait en accord avec ça.

Quand on prend de l'âge on voit les choses différemment surtout question santé.

 

Situation vécue ici et là bas : ici à l'hôpital: 7 heures à passer dans un service pour recevoir des soins en continue. Pas le droit de quitter la salle durant ce temps. Avec un peu de stress j'oublie de me prendre quelque chose à manger (flûte!).

7 heures passées avec des verres d'eau, un café pas buvable et 2 biscuits thé. Basta !

Là bas à l'hôpital: une journée à subir un traitement et aucune possibilité de quitter la salle. Une heure après mon arrivée une personne vient me voir pour prendre ma commande pour le repas du midi ! Et j'ai le choix !! Et je n'ai rien payé !!! On m'a même demandé si je voulais bénéficier de l'ambulance pour un retour à la maison ! C'est offert par l'hôpital. Rien à payer.

 

 

Ben oui. C'est pas un secret, tout le monde sait que j'ai un médecin, un biologiste et un chirurgien dentiste dans ma famille en France. C'est clair que je n'aurais aucun problème si j'avais besoin de quoi que ce soit. Mais moi, je suis un cas particulier. Ceci dit, je m'accrocherai au Québec au maximum, c'est certain :)

  • Habitués
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Trefle, je suis désolée de te le dire, mais l'alimentation, c'est de l'hôtellerie, et pas des soins (bon à moins d'être diabétique mais là il faut prévoir). Ce n'est quand même pas la fin du monde de rester 7 h sans manger, au pire tu te fais livrer (commande d'une pizza qu'on t'apporte dans l'hôpital par exemple). 

  • Habitués
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il y a 11 minutes, kuroczyd a dit :

Je pense en effet que les gens qui rentrent 'chez eux' à la retraite en ayant vécu une grande partie de leur vie (voire la plus grande) au Canada, France ou peu importe où ne sont pas bien intégrés ou qui ,au final, ne se sentent pas assez intégrés.

 

 

C'est exactement cela. Cela se passe entre les deux oreilles. C'est même au-delà de l'intégration "objective" au sens où ils s'identifient à leur vie ici et un retour en France est impensable. J'ai souvent posé la question à des Français établis de longue date et tous me répondent avec un gros "pourquoi ?"  Ces gens-là ne sont plus dans les futiles comparaisons entre les deux pays. L'idée même que les services de santé soient meilleurs (pour combien de temps encore...?) en France n'effleurent même pas leur esprit. Ils sont devenus d'ici et n'ont plus le cul entre deux chaises. 

  • Habitués
Posté(e)
il y a 7 minutes, trefle a dit :

 

Je suis tout à fait en accord avec ça.

Quand on prend de l'âge on voit les choses différemment surtout question santé.

 

Situation vécue ici et là bas : ici à l'hôpital: 7 heures à passer dans un service pour recevoir des soins en continue. Pas le droit de quitter la salle durant ce temps. Avec un peu de stress j'oublie de me prendre quelque chose à manger (flûte!).

7 heures passées avec des verres d'eau, un café pas buvable et 2 biscuits thé. Basta !

Là bas à l'hôpital: une journée à subir un traitement et aucune possibilité de quitter la salle. Une heure après mon arrivée une personne vient me voir pour prendre ma commande pour le repas du midi ! Et j'ai le choix !! Et je n'ai rien payé !!! On m'a même demandé si je voulais bénéficier de l'ambulance pour un retour à la maison ! C'est offert par l'hôpital. Rien à payer.

 

C’était dans les Landes ça? Ma mère qui a eu une intervention à l’hôpital, n'a pas eu la "même expérience".

Les "C'est offert par l'hôpital. Rien à payer." signifie que c'est payé par le contribuable français, non?

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