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  1. Ce n'est pas sur Vancouver mais nous avons un webinaire sur l'ouest canadien la semaine prochaine : https://www.immigrer.com/webinaire-ouest-canadien-sinstaller-a-calgary/
  2. Bonjour, Nous avons justement fait un webinaire sur ces questions tout récemment. Si vous ne l'avez pas encore écouté, je vous le suggère fortement, cela répondra peut-être en partie à vos questions : https://www.immigrer.com/webinaire-les-dernieres-nouvelles-pour-les-etudiants-etrangers/
  3. La fondatrice d'immigrer.com va animer la semaine prochaine, mardi, un webinaire sur l'Ouest canadien avec une ancienne blogueuse du site, Puda (pour les anciens du forum), installée avec sa famille depuis près de 10 ans à Calgary, après un passage de quelques années à Toronto. À ne pas manquer en direct ou en rediffusion : https://www.immigrer.com/webinaire-ouest-canadien-sinstaller-a-calgary/
  4. Une famille romande «arnaquée» par un site pour immigrer au Canada! Une famille genevoise dénonce une arnaque à l’immigration vers le Canada, ayant perdu près de 7000 francs après avoir confié leurs démarches à un site frauduleux, rapporte la «Tribune de Genève». Des dizaines de victimes similaires émergent. Publié: 01.12.2024 à 17:34 heures Lucie FehlbaumJournaliste Blick Une famille genevoise, papa, maman et leurs deux filles, a vu son rêve canadien partir en fumée après avoir sollicité un site d’assistance à l’immigration. Elle a déboursé près de 7000 francs pour des services qui n’ont jamais été fournis, révèle la «Tribune de Genève». Le site, «Vivez au Canada», leur promettait un accompagnement complet: formalités, CV aux normes canadiennes et recherche d’emploi. Mais après deux virements, plus aucune réponse. Inquiets, les parents finissent par découvrir de nombreux témoignages négatifs, évoquant des pertes financières importantes et des craintes liées à l’usurpation d’identité. Le Canada alerte à l'arnaque Malgré une consultante en migration officiellement enregistrée, l’adresse de la société renvoie à la Bulgarie, et plusieurs sites similaires gérés par cette entité accumulent des avis négatifs. Les victimes rapportent des pressions pour payer rapidement et des remboursements dérisoires. Le service officiel Immigration Canada met en garde: aucun paiement externe ne garantit un visa ou un traitement prioritaire, et les coûts réels sont bien inférieurs à ceux demandés par ces plateformes. Plusieurs consultants en immigration, même agréés, sont sous enquête pour pratiques abusives. suite et source : https://www.blick.ch/fr/suisse/presque-7000-francs-de-perdus-une-famille-romande-arnaquee-par-un-site-pour-immigrer-au-canada-id20371609.html
  5. Nous aurons un webinaire la semaine prochaine sur l'Alberta justement, ne manquez pas cela. Inscription gratuite : https://www.immigrer.com/webinaire-ouest-canadien-sinstaller-a-calgary/
  6. « On nous a vendu un faux rêve » Ils sont venus ici parce qu’on leur a fait miroiter la résidence permanente. Mais le gouvernement du Québec a changé les règles du jeu en cours de route. Si bien qu’ils lorgnent maintenant le Canada anglais, avec le sentiment d’avoir été floués. Publié le 18 novembre Suzanne Colpron, La Presse « On nous a vendu un faux rêve. Finalement, on fait toutes les démarches, on est bons, on est bien intégrés. Mais au dernier moment, on nous dit : on change les règles », témoigne Christopher Dinh-Tran, un père de famille français établi à Lévis. « Attention, dit-il, on n’est pas juste des numéros. Vous mettez en péril des projets de vie. » « Aujourd’hui, ajoute sa femme, la seule possibilité qu’on a, en gros, de rester sur le territoire, c’est de changer de province. » Christopher Dinh-Tran, 41 ans, et Tiffany Corti, 36 ans, sont arrivés au Québec en juillet 2023 avec leurs deux enfants, pour « ne pas repartir ». Lui travaille comme officier en sécurité pour Garda, à Québec. Sa femme est agente administrative. On croyait que le Canada était un bon pays, mais finalement, on nous a rejetés. Christopher Dinh-Tran Le 30 octobre, le gouvernement du Québec a déclaré un moratoire jusqu’au 30 juin 2025 sur deux programmes populaires d’immigration permanente, dont le Programme régulier des travailleurs qualifiés (PRTQ), qui a permis à 25 000 personnes de s’établir au Québec en 2023. Depuis ce jour, le couple ne dort plus. « Nos permis de travail vont jusqu’au 19 juillet 2025, précise Mme Corti. En deux semaines, on n’aura jamais une situation régularisée pour pouvoir rester sur le territoire. Donc, là, on désespère de trouver une solution pour rester au Québec, quitter la province s’il le faut, mais on ne veut pas rentrer. » « Qu’est-ce qu’on peut faire de plus ? » Ces changements affectent de multiples façons les gens qui avaient amorcé un processus d’immigration au Québec. Chaque situation est différente, les règles qui ont changé ne sont pas les mêmes d’un cas à l’autre. Le point commun, c’est le virage à 180 degrés du gouvernement. Delphine Goudry et son conjoint, Anthony Léger, ont aussi perdu le sommeil. « Nous sommes dans une situation très compliquée avec ma petite famille », confie cette Française de 45 ans, qui vit ici depuis plus de trois ans avec son mari et leurs trois enfants de 15, 12 et 9 ans. On est en train de se dire qu’on ne va peut-être pas pouvoir rester au Québec parce qu’on nous ferme des portes. Delphine Goudry Dans son cas, c’est le certificat de sélection du Québec qui se fait attendre. Ce document est conditionnel à l’obtention de la résidence permanente au Canada. Mme Goudry en a fait la demande il y a 11 mois… et toujours pas de réponse. Le problème, c’est que son permis arrive à échéance le 31 décembre. « Nos enfants sont hyper bien intégrés, dit-elle. Mon mari a ouvert une société au Québec qui a des chiffres d’affaires annuels excellents. Moi, j’ai un studio de photographie. J’ai des clients, une bonne réputation. Enfin, on a tout ce qu’il faut pour être hyper bien au Québec, et là, on ne sait pas pourquoi, le dossier est bloqué. » Dans leur entourage, les gens sont stupéfaits. « Tout le monde nous dit, non, mais ce n’est pas possible, vous n’allez pas partir. On a l’impression qu’on ne veut pas de nous. Je ne comprends pas. On parle français, on a de très bons diplômes. Enfin, on apporte de la richesse au Québec. Qu’est-ce qu’il faut qu’on fasse de plus ? » suite et source : https://www.lapresse.ca/actualites/2024-11-18/residence-permanente/on-nous-a-vendu-un-faux-reve.php
  7. Bonjour, Avez-vous aussi contacté Recrutement Santé Québec https://recrutementsantequebec.ca/ et leurs évènements en France et ailleurs comme les Journées Québec ? Bon courage
  8. Un webinaire complet sur les études au Canada et au Québec a été réalisé mardi dernier afin de répondre aux nombreuses interrogations sur ce sujet et surtout sur les transformations du PEQ et du post-diplôme pour les étudiants étrangers. Il y a une période de questions à la fin qui permet de répondre à de nombreuses interrogations. À regarder ici sur la chaîne YOUTUBE d'immigrer.com :
  9. Le déménageur québécois refait le coup de 2016. Publié le 8 novembre 2024 à 11h01Mis à jour le 8 novembre 2024 à 11h05 «Vous cherchez comment déménager au Canada? Nous sommes la solution! *Encore», a écrit le Clan Panneton sur cette pub dans laqu Pour déménager des États-Unis au Canada, faut signaler le 937-0707: le Clan Panneton offre un rabais de 200 $ pour les Américains qui voudraient quitter leur pays à la suite de l’élection de Donald Trump comme président cette semaine. Noovo Info a aperçu une publicité affichée dans le Journal de Montréal vendredi. Les références à Trump y sont nombreuses. «Vous cherchez comment déménager au Canada? Nous sommes la solution! *Encore», a écrit le Clan Panneton sur cette pub dans laquelle on voit un camion de l’entreprise attriqué d’une perruque qui fait penser à la chevelure blonde du président élu. «Profitez d’une offre présidentielle qui a du toupet!» Le Clan Panneton refait le coup qu’il avait fait en 2016, quand le déménageur québécois avait offert 10% de rabais aux Américains qui voulaient déménager au Canada après la première victoire électorale de Trump. Cette fois, il y a une différence: Trump fait sa deuxième entrée à la Maison-Blanche en tant que personne condamnée au criminel, étant donné qu’il a falsifié des documents commerciaux liés à des paiements occultes versés avant l'élection de 2016 à la vedette de films pour adulte Stormy Daniels. Sa sentence est attendue le 26 novembre prochain. Le Clan Panneton ne manque pas de faire référence à cette affaire dans sa publicité, avec un clin d’œil au jeu Monopoly. «Chance: sors de prison gratuitement. Conservez cette carte en cas de besoin», a-t-on écrit à la blague en imitant une carte de Monopoly sur laquelle on voit un Trump caricatural habillé en prisonnier se faire botter le derrière. «Faites affaires (sic) avec la plus HUGE compagnie de déménagement au Canada. THE BEST déménageurs. INCREDIBLE service garanti !» écrit-on en reprenant des termes que Trump utilise souvent lors d’allocutions et entrevues. elle on voit un camion de l’entreprise attriqué d’une perruque qui fait penser à la chevelure blonde du président élu. «Profitez d’une offre présidentielle qui a du toupet!» Le Clan Panneton refait le coup qu’il avait fait en 2016, quand le déménageur québécois avait offert 10% de rabais aux Américains qui voulaient déménager au Canada après la première victoire électorale de Trump. Cette fois, il y a une différence: Trump fait sa deuxième entrée à la Maison-Blanche en tant que personne condamnée au criminel, étant donné qu’il a falsifié des documents commerciaux liés à des paiements occultes versés avant l'élection de 2016 à la vedette de films pour adulte Stormy Daniels. Sa sentence est attendue le 26 novembre prochain. Le Clan Panneton ne manque pas de faire référence à cette affaire dans sa publicité, avec un clin d’œil au jeu Monopoly. Le Clan Panneton refait le coup qu’il avait fait en 2016, quand le déménageur québécois avait offert 10% de rabais aux Américains qui voulaient déménager au Canada après la première victoire électorale de Trump. Cette fois, il y a une différence: Trump fait sa deuxième entrée à la Maison-Blanche en tant que personne condamnée au criminel, étant donné qu’il a falsifié des documents commerciaux liés à des paiements occultes versés avant l'élection de 2016 à la vedette de films pour adulte Stormy Daniels. Sa sentence est attendue le 26 novembre prochain. https://www.noovo.info/nouvelle/make-demenagement-great-again-le-clan-panneton-offre-encore-un-rabais-aux-americains-qui-veulent-demenager-au-canada-apres-lelection-de-trump.html
  10. Quelques liens vers le logement étudiant : https://www.immigrer.com/logements-pour-etudiants/
  11. Bonjour, Il y a plusieurs récits d'entrevue de sélection sur le forum au fil des ans. Vous pouvez utiliser le moteur de recherche du forum pour en trouver. Voici un témoignage qui date mais qui pourrait être encore utile ;
  12. Bonjour, Voici un témoignage qui pourrait vous intéresser : https://www.immigrer.com/bonne-nouvelle-ne-perdez-pas-espoir-les-amises-parrainage-parents/ D'autres nouvelles sur le parrainage ici : https://www.immigrer.com/categorie/faq/Parrainage/
  13. Merci pour ce premier et court bilan. Nous l'avons partagé sur le réseau. Nous avons hâte de lire la suite. En espérant qu'elle soit à la hauteur !
  14. Bienvenue parmi nous !
  15. Le Québec ne recrute plus d’infirmiers marocains 11 septembre 2024 - 22h00 - Maroc - Ecrit par : P. A La note précise que les autorités québécoises et marocaines ont récemment convenu de ne pas procéder au recrutement de nouveaux infirmiers marocains afin de préserver le marché du travail et le système de santé marocains. Selon le message, les autorités des deux pays ont également conclu un accord en vue du recrutement d’aides-soignants. Le gouvernement du Québec avait alloué un budget de 64 millions de dollars pour recruter plus d’un millier d’infirmiers marocains afin de combler le déficit en ressources humaines et faire face au vieillissement de la population. source et suite: https://www.bladi.net/quebec-recrute-plus-infirmiers-marocains,110432.html
  16. Quelques organismes d'aide : https://www.infoentrepreneurs.org/fr/info-guide---demarrer-votre-entreprise/ Conseil québécois de la Franchise https://cqf.ca/ Expo Franchise Montréal https://www.franchiseshowinfo.com/visiteur-automne-montrealais Notre lien : https://www.immigrer.com/entreprendre-au-canada/
  17. Un spécial Québec dans l'édition Géo France d'août 2024 Plusieurs articles dont : https://www.geo.fr/voyage/que-faire-a-montreal-les-coups-de-coeur-de-notre-reporter-221389 https://www.youtube.com/watch?v=DrPVQpYBo-Y
  18. Étudiants étrangers Un élève dépité, son cégep « préoccupé » Simon ne comprend pas. Ses parents ne comprennent pas. Son cégep ne comprend pas. Mais s’il n’en tient qu’au gouvernement du Québec, cet étudiant en soins infirmiers devra retourner en France après trois années d’études conclues avec de très bonnes notes. Publié à 5h00 Suzanne Colpron La Presse Pourquoi ? Parce qu’il est victime des efforts du gouvernement québécois pour réduire le nombre d’étudiants étrangers. « J’ai le moral dans les chaussettes », confie Simon Moreau, au bout du fil, à Matane. Cet étudiant de 22 ans, originaire de Nantes, en France, étudie au cégep de Matane, en Gaspésie, depuis 2021. En mars, il a entrepris des procédures pour prolonger son permis d’études, qui était de trois ans. Pour ce faire, il a demandé au ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI) un nouveau certificat d’acceptation du Québec (CAQ), un document préalable à la délivrance du permis d’études par le fédéral, réservé aux étrangers souhaitant étudier au Québec. Mais, surprise, le MIFI a refusé de le lui accorder parce qu’il n’avait pas fait des études sa principale activité pendant toute la période de validité de son premier CAQ. À la session d’automne, Simon a suivi trois cours. Il aurait dû en suivre au moins quatre pour répondre aux exigences, selon le MIFI. Résultat : à moins d’une décision contraire, il ne pourra pas terminer son DEC en soins infirmiers et devra quitter sa résidence du cégep d’ici la mi-septembre. Le problème, c’est que Simon ignorait qu’il devait faire au moins quatre cours par session pour obtenir un nouveau CAQ. Même son cégep n’était pas au courant ! « Ce refus est une première pour nous », affirme Francis Turcotte, coordonnateur au service des communications et du développement international du cégep de Matane. « Il faut savoir qu’on accueille des étudiants étrangers depuis plus de 20 ans. On est parmi les cégeps, au Québec, qui accueillent le plus grand nombre d’étudiants étrangers. » suite et source : https://www.lapresse.ca/actualites/education/nous-avons-cru-a-ce-reve-quebecois/2024-09-09/etudiants-etrangers/un-eleve-depite-son-cegep-preoccupe.php
  19. Un rapport présente la métropole québécoise comme l’une des meilleures villes du monde. Une journaliste montréalaise met en garde les expats et les invite à voir l’envers de la médaille. Courrier Expat Lecture 1 min. Publié le 9 septembre 2024 à 09h18 La Presse remarquait en juin que Montréal se retrouvait désormais au 118e rang dans le nouveau palmarès de la firme Mercer des 226 villes les moins abordables de la planète, un bond de 17 positions par rapport à 2023. Si le quotidien local constate que “le coût de la vie à Montréal est moins abordable… que l’année dernière”, il ajoute qu’“heureusement il fait bon y vivre”, relevant que la ville canadienne “figure parmi les villes où le coût de la vie est le plus bas et la qualité de vie la plus élevée, aux côtés de Varsovie, de Budapest et de Kuala Lumpur”. Une ville “magnifique”… Une collaboratrice montréalaise du site new-yorkais Business Insider apporte toutefois un important bémol pour ceux qui seraient tentés de s’y installer : “J’adore [cette ville], mais cela ne veut pas dire que déménager ici est une bonne idée.” Helen Wolkowicz distribue d’abord les bons points : “Montréal est une ville magnifique : elle est sûre et accessible à pied, dotée d’une vie nocturne animée et d’un calendrier culturel rempli d’événements […]. J’aime flâner dans ses différents quartiers, chacun ayant sa propre histoire, son charme, son architecture et ses délices culinaires distinctifs.” Celle qui habite la métropole québécoise avec sa famille depuis plus de cinquante ans ajoute : “C’est aussi l’une des villes qui connaît la croissance la plus rapide au Canada, alors pourquoi ne pas en profiter ?” … qui a son lot de problèmes Mais “cette notion d’une ville magique et miraculeuse où ‘tout le monde devrait déménager’ est un mirage”, tempère Helen Wolkowicz. Elle aborde des facteurs moins reluisants de Montréal. Premièrement, trouver un logement peut se révéler être “extrêmement difficile”. Avant la pandémie, avance le courtier en immobilier Michael Fadulto, on pouvait dénicher un condo luxueux pour environ 1 000 euros par mois. Aujourd’hui, pour le même prix, dit-il, on obtient un appartement de deux chambres à coucher, et le prix d’une première maison y a bondi de 40 % depuis 2020. source et suite : https://www.courrierinternational.com/article/canada-la-qualite-de-vie-de-montreal-un-mirage_221909
  20. Lisa-Marie Gervais Publié à 0h00 Le Devoir Un immigrant sans statut qui vit au Québec depuis une dizaine d’années a été arnaqué par un locataire et risque maintenant l’expulsion. Moussa, qui tait son nom pour ne pas nuire à sa situation précaire, a versé 1200 $, soit environ deux mois de loyer, à une personne louant une chambre dans un immeuble de Notre-Dame-de-Grâce, à Montréal. Non seulement il n’a jamais eu les clés de l’appartement, mais il ne reverra vraisemblablement jamais la couleur de son argent. « Ça ne m’était jamais arrivé de me faire arnaquer comme ça. Ça m’a brisé », a confié Moussa au Devoir. Originaire d’Afrique, Moussa s’est vu refuser sa demande d’asile il y a dix ans. Après une série d’infortunes, dont l’échec d’un parrainage par sa conjointe de l’époque, il a perdu son permis de travail et a fait le choix de rester au pays pour demeurer près de ses proches. Même si cela signifiait qu’il allait devoir vivre sans statut, il avait espoir de pouvoir déposer une demande de résidence permanente pour motifs humanitaires, ce qu’il est d’ailleurs en train de faire. « Ma vie est ici maintenant », a-t-il dit. Il y a deux semaines, Moussa a répondu à une annonce sur Kijiji pour une chambre dans un appartement de la rue Saint-Jacques. La personne qui louait, qui n’est pas propriétaire selon les vérifications du Devoir, a demandé le versement en argent comptant de deux mois de loyer, ce qui est illégal. N’ayant pas d’historique de crédit ni de références, Moussa n’a eu d’autre choix que de s’exécuter s’il voulait un toit. « Je n’ai jamais dit à cet homme que je n’avais pas de papiers, mais je pense qu’il l’a compris, explique l’immigrant africain. Il a bien vu que j’étais désespéré. » Au moment de la transaction en personne, Moussa était avec une militante de Solidarité sans frontières, qui l’avait aidé à transporter ses rares effets : un sac, une boîte de carton et un téléviseur. L’homme louant le logement lui aurait dit de revenir dans deux jours, acceptant toutefois de garder les affaires de Moussa. Méfiant, ce dernier a réécrit à ce locataire dès le lendemain pour se rassurer sur le marché qu’ils avaient conclu. L’homme lui aurait alors dit qu’il était parti pour Toronto. « Je n’avais plus confiance », explique Moussa, qui s’est aussitôt rendu à l’appartement. « Je voulais qu’il arrête son jeu et me redonne mes affaires et mon argent. » suite et source : https://www.ledevoir.com/societe/819348/immigrant-menace-expulsion-apres-avoir-ete-arnaque-locataire
  21. Bonjour, Bienvenue parmi nous ! Oui le Québec cherche à combler des postes de pharmaciens. Voici une expérience récente d'un pharmacien français au Québec : https://www.immigrer.com/mes-demarches-en-tant-pharmacien-francais-en-route-vers-le-quebec/ Vous avez d'autres témoignages dans cet FAQ : https://www.immigrer.com/categorie/faq/Metiers-de-biotech-et-sante/
  22. Avez-vous déjà remarqué que certains immigrants francophones empruntent des expressions québécoises, voire l’accent québécois, alors que d’autres conservent davantage l’accent de leur pays ? Qu’est-ce qui explique ces différences dans l’adaptation linguistique ? Nous avons creusé la question avec des experts. Vidéo
  23. Raphaël Pirro Lundi, 26 août 2024 00:00 MISE À JOUR Lundi, 26 août 2024 00:00 De nombreux Québécois ont maille à partir avec l'Agence du revenu du Canada. Le Journal vous présente de nouveaux témoignages parmi les dizaines que nous avons reçus. Une quarantaine de Français installés au Québec se battent depuis des années pour faire annuler des milliers de dollars que l’Agence du revenu du Canada (ARC) leur réclame à cause d’un bête formulaire qui ne s’est jamais rendu. Arrivée en 2018 à Rivière-du-Loup, Mélodie Thoreau, aujourd’hui à Montréal, voulait simplement déclarer l’appartement de 200 000$ qu’elle détient à Marseille. Pour ce faire, elle devait transmettre le formulaire T1135 portant sur les biens à l’étranger de 100 000$ ou plus. Pourtant simple à remplir, il s’avère que le processus d’envoi du T1135 – lorsqu’il fonctionne – est parsemé d’embûches. Une erreur qui coûte cher Pour ses impôts, elle fait affaire avec un comptable qui commet une erreur de lèse-bureaucratie: il n’envoie pas le formulaire dûment rempli, «séparément» de la déclaration d’impôt, comme il se doit. Un problème qui serait lié au logiciel utilisé. L’ARC lui apprend dans une lettre presque deux ans plus tard qu’il lui en coûtera 2500$ par année, pour deux années consécutives. Après deux ans, la pénalité de retard devient 5% de la valeur du bien, soit environ 13 000$ dans le cas de Mélodie. «Malgré mes ambitions, malgré mon boulot, malgré ma détermination à rester ici – j’adore ce pays, j’adore le Québec, ma vie est ici, j’ai vécu cinq ans en région et un an à Montréal – si on me met 13 000$ parce qu’un formulaire n’a pas été reçu, je me poserais la question à savoir si je quitte le Canada», dit-elle C’est une perspective difficile à avaler. Atteinte de la sclérose en plaques, Mme Thoreau estime avoir déjà déboursé 10 000$ en frais d’avocats pour qu’Immigration Canada accepte son dossier. «J’ai vraiment été dans des difficultés financières qui ne sont pas drôles.» Corriger l’erreur: mission impossible L’erreur aurait pu être réparée rapidement, dit-elle. Or, il n’en est rien. Malgré de multiples divulgations volontaires à coups de centaines de dollars, des démarches auprès de députés fédéraux, de l’ARC et même du consulat de France, l’ARC ne bronche pas et refuse à Mélodie sa demande d’allégement de pénalité. «Ce qui est quand même fou, c’est que si j’appelle l’Agence pour savoir s’ils ont bien reçu ma déclaration télétransmise ou s’ils ont reçu le formulaire en papier, ils ne peuvent me pas me le dire», dit Mme Thoreau, qui estime avoir contacté l’ARC une cinquantaine de fois cette année seulement. source et suite : https://www.journaldequebec.com/2024/08/23/larc-leur-retient-des-milliers-de-dollars-pour-un-formulaire-qui-se-sest-pas-rendu
  24. Le Centre de recherche-action sur les relations raciales (CRARR) demande une enquête sur un programme québécois de recrutement d'infirmières à l'étranger après que plusieurs participantes originaires de pays africains francophones ont affirmé avoir été victimes de discrimination raciale. «J'ai été témoin de situations inimaginables», a-t-elle affirmé. Mme Koa a ajouté que de nombreuses infirmières souffraient de dépression parce qu'elles disent avoir été traitées comme des citoyens de seconde zone et avoir subi des violences psychologiques, certaines s'étant même vu dire qu'elles sentaient mauvais. «Elles subissent des traitements différents et discriminatoires. Beaucoup se retrouvent dans des situations désespérées qui les mettent en péril, tant sur le plan financier que professionnel», a déclaré Fo Niemi, directeur exécutif du CRARR. Le projet de reconnaissance des compétences des infirmières recrutées à l'étranger (PRCIIRI) a été lancé en 2022 et vise à recruter 1000 infirmières. Depuis le début du programme, des centaines de participants sont arrivés au Québec en provenance de pays comme le Cameroun et la Côte d'Ivoire et sont souvent envoyés dans des régions comme l'Abitibi-Témiscamingue et la Montérégie. Une fois arrivées à destination, les infirmières doivent suivre une formation d'appoint pour se préparer à exercer au Québec. Toutefois, selon M. Niemi, ce n'est pas la réalité pour de nombreux participants d'origine africaine. suite et source : https://www.noovo.info/nouvelle/discrimination-raciale-et-abus-des-infirmieres-recrutees-a-letranger-denoncent-le-programme-de-quebec.html Lors d'une conférence de presse tenue jeudi, Roselyne Koa a confié qu'elle n'avait jamais été victime d'une discrimination telle que celle à laquelle elle a été confrontée au Québec.
  25. Elles ont quitté la France pour enseigner au Canada : «On m’a proposé un salaire trois fois supérieur» Par Ludovic Hirtzmann Publié le 22/08/2024 à 06:00, mis à jour le 22/08/2024 à 10:37 TÉMOIGNAGES - Ces Françaises ont quitté l'Hexagone pour les provinces atlantiques du Canada. Elles livrent leurs impressions. Irène Constantin est professeure à l'université Sainte-Anne, Nouvelle-Ecosse. « Je n'avais pas le profil pour être professeure, mais on m'a donné ma chance ». Cette phrase, Irène, comme bien des immigrants français au Canada, la répète à satiété. Et dans le cas de cette jeune professeure de l'université Sainte-Anne, cela sonne comme une reconnaissance envers le Canada. Il y a 11 ans, Irène Constantin, diplômée d'un Master 2 en éducation de l'université de Caen et originaire de la même ville, décide de partir pour le Canada. Elle s'installe en Nouvelle-Ecosse, dans le cadre d'une mission de service civique et entame brièvement une carrière de journaliste. C'est à la suite d'une rencontre avec le doyen de l'université Saint-Anne qu'elle est embauchée comme professeur. Elle est surprise du manque de culture générale de ses élèves Irène, 35 ans, aime la province, mais elle est toujours surprise du manque de culture générale de ses élèves. « La France ? Non ils ne connaissent pas, mais nous sommes plutôt bien vus, mieux que les Québécois pour qui les rapports avec les Acadiens sont compliqués ». Pourquoi n'enseigne-t-elle pas dans un lycée ? « Je n'aurais pas pu enseigner », souligne Irène. Lors de l'embauche dans l'enseignement secondaire, il est obligatoire d'obtenir le certificat d'enseignant de la Nouvelle-Écosse. Porte-parole du Conseil scolaire acadien provincial, qui représente 6750 élèves dans 23 écoles de la province, Stéphanie Comeau explique que le dossier du candidat professeur est analysé au « préalable avec le bureau de la certification de la Nouvelle Ecosse. Si le résultat de l'analyse est positif, nous procédons à une entrevue de sélection basée sur nos normes d'enseignement et si la personne est sélectionnée, nous offrons un contrat conditionnel ». Mais sans certificat, il n'y a point de possibilité d'enseigner. Au niveau universitaire, les choses sont plus faciles et, comme partout en Amérique du Nord, les employeurs, beaucoup plus pragmatiques et plus ouverts qu'en France, donnent leur chance aux débutants ou aux immigrants. Mais Irène a tout de même attendu cinq ans, en probation, avant d'être titularisée à l'université. La professeure insiste sur la spécificité de l'Acadie. « Malgré un attachement au Français, les Acadiens demeurent tournés vers la culture anglophone, notamment les jeunes. » Les élèves la trouvent sévère Ces derniers maîtrisent mal la langue de Molière. C'est pourquoi les élèves trouvent Irène parfois sévère dans sa notation. La jeune Normande précise qu'il est vraiment important de tenir compte des différences et de s'adapter à la culture locale. Les Canadiens insistent sur la pédagogie, le travail en équipe et le bien-être de l'enfant. L'approche française, même transposée au Canada, est différente. Sylvain Olivier, le directeur du futur lycée français d'Halifax, dont les portes devraient ouvrir à la rentrée, sélectionne les futurs professeurs, tous Français, en fonction de « leur expérience dans la profession, de leur bilinguisme, d'un goût pour l'innovation, la flexibilité, l'adaptation et l'adhésion au projet de l'établissement. » Mais à aucun moment la pédagogie, le travail en équipe si cher à l'environnement canadien ne sont évoqués. Je suis arrivée au Nouveau Brunswick en 2019, frustrée du système français et à la recherche d'un nouveau souffle et de solutions éventuelles pour faire avancer les pratiques pédagogiques Murielle Rialt Murielle Rialt est professeure d'anglais à l'université de Moncton, Nouveau-Brunswick. « Je suis arrivée au Nouveau Brunswick en 2019, frustrée du système français et à la recherche d'un nouveau souffle et de solutions éventuelles pour faire avancer les pratiques pédagogiques. », confie Murielle Rialt, enseignante de français langue seconde à l'université de Moncton. Ses élèves sont des adultes. Un changement d'environnement radical pour cette professeure d'anglais, certifiée depuis 1994 et passée par un large spectre d'enseignements en France : écoles primaires, collèges et lycées, mais aussi l'Institut universitaire de formation des maîtres de Grenoble. Cette passionnée de pédagogie a pendant 25 ans été à « la recherche des approches les plus efficaces pour faire réussir les élèves. » Ici, la pédagogie active est généralisée à toutes les écoles Murielle Rialt Elle a parcouru le monde avec ces derniers lors de voyages au Royaume-Uni et aux États-Unis, mais aussi comme enseignante pendant trois ans au lycée français de Kuala Lumpur, en Malaisie. Mais c'est au Nouveau-Brunswick que l'enseignante s'est épanouie. « Ici, la pédagogie active est généralisée à toutes les écoles. Tout est mis en place pour la réussite et l'épanouissement de l'élève. Avec la présence de nombreux assistants dans les classes pour accompagner les élèves en difficulté, d'enseignants ressources, de médiateurs dans les écoles pour accompagner les enfants en petits groupes dans leurs apprentissages ou leur savoir-être », confie-t-elle. À l'instar de nombreux profs étrangers au Canada, Murielle loue la qualité des équipements scolaires et le travail en équipe dans les écoles. Sans oublier des conditions de travail permettant « la flexibilité de l'emploi et les possibilités d'évolution de carrière, la facilité de changer de poste, de prendre des responsabilités, de travailler dans un autre secteur, puis de réintégrer facilement l'enseignement ». suite et source: https://etudiant.lefigaro.fr/article/stage-alternance/elles-ont-quitte-la-france-pour-enseigner-au-canada-on-m-a-propose-un-salaire-trois-fois-superieur-20240822/
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