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Tout ce qui a été posté par immigrer.com

  1. Le déménageur québécois refait le coup de 2016. Publié le 8 novembre 2024 à 11h01Mis à jour le 8 novembre 2024 à 11h05 «Vous cherchez comment déménager au Canada? Nous sommes la solution! *Encore», a écrit le Clan Panneton sur cette pub dans laqu Pour déménager des États-Unis au Canada, faut signaler le 937-0707: le Clan Panneton offre un rabais de 200 $ pour les Américains qui voudraient quitter leur pays à la suite de l’élection de Donald Trump comme président cette semaine. Noovo Info a aperçu une publicité affichée dans le Journal de Montréal vendredi. Les références à Trump y sont nombreuses. «Vous cherchez comment déménager au Canada? Nous sommes la solution! *Encore», a écrit le Clan Panneton sur cette pub dans laquelle on voit un camion de l’entreprise attriqué d’une perruque qui fait penser à la chevelure blonde du président élu. «Profitez d’une offre présidentielle qui a du toupet!» Le Clan Panneton refait le coup qu’il avait fait en 2016, quand le déménageur québécois avait offert 10% de rabais aux Américains qui voulaient déménager au Canada après la première victoire électorale de Trump. Cette fois, il y a une différence: Trump fait sa deuxième entrée à la Maison-Blanche en tant que personne condamnée au criminel, étant donné qu’il a falsifié des documents commerciaux liés à des paiements occultes versés avant l'élection de 2016 à la vedette de films pour adulte Stormy Daniels. Sa sentence est attendue le 26 novembre prochain. Le Clan Panneton ne manque pas de faire référence à cette affaire dans sa publicité, avec un clin d’œil au jeu Monopoly. «Chance: sors de prison gratuitement. Conservez cette carte en cas de besoin», a-t-on écrit à la blague en imitant une carte de Monopoly sur laquelle on voit un Trump caricatural habillé en prisonnier se faire botter le derrière. «Faites affaires (sic) avec la plus HUGE compagnie de déménagement au Canada. THE BEST déménageurs. INCREDIBLE service garanti !» écrit-on en reprenant des termes que Trump utilise souvent lors d’allocutions et entrevues. elle on voit un camion de l’entreprise attriqué d’une perruque qui fait penser à la chevelure blonde du président élu. «Profitez d’une offre présidentielle qui a du toupet!» Le Clan Panneton refait le coup qu’il avait fait en 2016, quand le déménageur québécois avait offert 10% de rabais aux Américains qui voulaient déménager au Canada après la première victoire électorale de Trump. Cette fois, il y a une différence: Trump fait sa deuxième entrée à la Maison-Blanche en tant que personne condamnée au criminel, étant donné qu’il a falsifié des documents commerciaux liés à des paiements occultes versés avant l'élection de 2016 à la vedette de films pour adulte Stormy Daniels. Sa sentence est attendue le 26 novembre prochain. Le Clan Panneton ne manque pas de faire référence à cette affaire dans sa publicité, avec un clin d’œil au jeu Monopoly. Le Clan Panneton refait le coup qu’il avait fait en 2016, quand le déménageur québécois avait offert 10% de rabais aux Américains qui voulaient déménager au Canada après la première victoire électorale de Trump. Cette fois, il y a une différence: Trump fait sa deuxième entrée à la Maison-Blanche en tant que personne condamnée au criminel, étant donné qu’il a falsifié des documents commerciaux liés à des paiements occultes versés avant l'élection de 2016 à la vedette de films pour adulte Stormy Daniels. Sa sentence est attendue le 26 novembre prochain. https://www.noovo.info/nouvelle/make-demenagement-great-again-le-clan-panneton-offre-encore-un-rabais-aux-americains-qui-veulent-demenager-au-canada-apres-lelection-de-trump.html
  2. Quelques liens vers le logement étudiant : https://www.immigrer.com/logements-pour-etudiants/
  3. immigrer.com

    entrevue pour CSQ

    Bonjour, Il y a plusieurs récits d'entrevue de sélection sur le forum au fil des ans. Vous pouvez utiliser le moteur de recherche du forum pour en trouver. Voici un témoignage qui date mais qui pourrait être encore utile ;
  4. Bonjour, Voici un témoignage qui pourrait vous intéresser : https://www.immigrer.com/bonne-nouvelle-ne-perdez-pas-espoir-les-amises-parrainage-parents/ D'autres nouvelles sur le parrainage ici : https://www.immigrer.com/categorie/faq/Parrainage/
  5. Merci pour ce premier et court bilan. Nous l'avons partagé sur le réseau. Nous avons hâte de lire la suite. En espérant qu'elle soit à la hauteur !
  6. Bienvenue parmi nous !
  7. Le Québec ne recrute plus d’infirmiers marocains 11 septembre 2024 - 22h00 - Maroc - Ecrit par : P. A La note précise que les autorités québécoises et marocaines ont récemment convenu de ne pas procéder au recrutement de nouveaux infirmiers marocains afin de préserver le marché du travail et le système de santé marocains. Selon le message, les autorités des deux pays ont également conclu un accord en vue du recrutement d’aides-soignants. Le gouvernement du Québec avait alloué un budget de 64 millions de dollars pour recruter plus d’un millier d’infirmiers marocains afin de combler le déficit en ressources humaines et faire face au vieillissement de la population. source et suite: https://www.bladi.net/quebec-recrute-plus-infirmiers-marocains,110432.html
  8. Quelques organismes d'aide : https://www.infoentrepreneurs.org/fr/info-guide---demarrer-votre-entreprise/ Conseil québécois de la Franchise https://cqf.ca/ Expo Franchise Montréal https://www.franchiseshowinfo.com/visiteur-automne-montrealais Notre lien : https://www.immigrer.com/entreprendre-au-canada/
  9. Un spécial Québec dans l'édition Géo France d'août 2024 Plusieurs articles dont : https://www.geo.fr/voyage/que-faire-a-montreal-les-coups-de-coeur-de-notre-reporter-221389 https://www.youtube.com/watch?v=DrPVQpYBo-Y
  10. Étudiants étrangers Un élève dépité, son cégep « préoccupé » Simon ne comprend pas. Ses parents ne comprennent pas. Son cégep ne comprend pas. Mais s’il n’en tient qu’au gouvernement du Québec, cet étudiant en soins infirmiers devra retourner en France après trois années d’études conclues avec de très bonnes notes. Publié à 5h00 Suzanne Colpron La Presse Pourquoi ? Parce qu’il est victime des efforts du gouvernement québécois pour réduire le nombre d’étudiants étrangers. « J’ai le moral dans les chaussettes », confie Simon Moreau, au bout du fil, à Matane. Cet étudiant de 22 ans, originaire de Nantes, en France, étudie au cégep de Matane, en Gaspésie, depuis 2021. En mars, il a entrepris des procédures pour prolonger son permis d’études, qui était de trois ans. Pour ce faire, il a demandé au ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI) un nouveau certificat d’acceptation du Québec (CAQ), un document préalable à la délivrance du permis d’études par le fédéral, réservé aux étrangers souhaitant étudier au Québec. Mais, surprise, le MIFI a refusé de le lui accorder parce qu’il n’avait pas fait des études sa principale activité pendant toute la période de validité de son premier CAQ. À la session d’automne, Simon a suivi trois cours. Il aurait dû en suivre au moins quatre pour répondre aux exigences, selon le MIFI. Résultat : à moins d’une décision contraire, il ne pourra pas terminer son DEC en soins infirmiers et devra quitter sa résidence du cégep d’ici la mi-septembre. Le problème, c’est que Simon ignorait qu’il devait faire au moins quatre cours par session pour obtenir un nouveau CAQ. Même son cégep n’était pas au courant ! « Ce refus est une première pour nous », affirme Francis Turcotte, coordonnateur au service des communications et du développement international du cégep de Matane. « Il faut savoir qu’on accueille des étudiants étrangers depuis plus de 20 ans. On est parmi les cégeps, au Québec, qui accueillent le plus grand nombre d’étudiants étrangers. » suite et source : https://www.lapresse.ca/actualites/education/nous-avons-cru-a-ce-reve-quebecois/2024-09-09/etudiants-etrangers/un-eleve-depite-son-cegep-preoccupe.php
  11. Un rapport présente la métropole québécoise comme l’une des meilleures villes du monde. Une journaliste montréalaise met en garde les expats et les invite à voir l’envers de la médaille. Courrier Expat Lecture 1 min. Publié le 9 septembre 2024 à 09h18 La Presse remarquait en juin que Montréal se retrouvait désormais au 118e rang dans le nouveau palmarès de la firme Mercer des 226 villes les moins abordables de la planète, un bond de 17 positions par rapport à 2023. Si le quotidien local constate que “le coût de la vie à Montréal est moins abordable… que l’année dernière”, il ajoute qu’“heureusement il fait bon y vivre”, relevant que la ville canadienne “figure parmi les villes où le coût de la vie est le plus bas et la qualité de vie la plus élevée, aux côtés de Varsovie, de Budapest et de Kuala Lumpur”. Une ville “magnifique”… Une collaboratrice montréalaise du site new-yorkais Business Insider apporte toutefois un important bémol pour ceux qui seraient tentés de s’y installer : “J’adore [cette ville], mais cela ne veut pas dire que déménager ici est une bonne idée.” Helen Wolkowicz distribue d’abord les bons points : “Montréal est une ville magnifique : elle est sûre et accessible à pied, dotée d’une vie nocturne animée et d’un calendrier culturel rempli d’événements […]. J’aime flâner dans ses différents quartiers, chacun ayant sa propre histoire, son charme, son architecture et ses délices culinaires distinctifs.” Celle qui habite la métropole québécoise avec sa famille depuis plus de cinquante ans ajoute : “C’est aussi l’une des villes qui connaît la croissance la plus rapide au Canada, alors pourquoi ne pas en profiter ?” … qui a son lot de problèmes Mais “cette notion d’une ville magique et miraculeuse où ‘tout le monde devrait déménager’ est un mirage”, tempère Helen Wolkowicz. Elle aborde des facteurs moins reluisants de Montréal. Premièrement, trouver un logement peut se révéler être “extrêmement difficile”. Avant la pandémie, avance le courtier en immobilier Michael Fadulto, on pouvait dénicher un condo luxueux pour environ 1 000 euros par mois. Aujourd’hui, pour le même prix, dit-il, on obtient un appartement de deux chambres à coucher, et le prix d’une première maison y a bondi de 40 % depuis 2020. source et suite : https://www.courrierinternational.com/article/canada-la-qualite-de-vie-de-montreal-un-mirage_221909
  12. Lisa-Marie Gervais Publié à 0h00 Le Devoir Un immigrant sans statut qui vit au Québec depuis une dizaine d’années a été arnaqué par un locataire et risque maintenant l’expulsion. Moussa, qui tait son nom pour ne pas nuire à sa situation précaire, a versé 1200 $, soit environ deux mois de loyer, à une personne louant une chambre dans un immeuble de Notre-Dame-de-Grâce, à Montréal. Non seulement il n’a jamais eu les clés de l’appartement, mais il ne reverra vraisemblablement jamais la couleur de son argent. « Ça ne m’était jamais arrivé de me faire arnaquer comme ça. Ça m’a brisé », a confié Moussa au Devoir. Originaire d’Afrique, Moussa s’est vu refuser sa demande d’asile il y a dix ans. Après une série d’infortunes, dont l’échec d’un parrainage par sa conjointe de l’époque, il a perdu son permis de travail et a fait le choix de rester au pays pour demeurer près de ses proches. Même si cela signifiait qu’il allait devoir vivre sans statut, il avait espoir de pouvoir déposer une demande de résidence permanente pour motifs humanitaires, ce qu’il est d’ailleurs en train de faire. « Ma vie est ici maintenant », a-t-il dit. Il y a deux semaines, Moussa a répondu à une annonce sur Kijiji pour une chambre dans un appartement de la rue Saint-Jacques. La personne qui louait, qui n’est pas propriétaire selon les vérifications du Devoir, a demandé le versement en argent comptant de deux mois de loyer, ce qui est illégal. N’ayant pas d’historique de crédit ni de références, Moussa n’a eu d’autre choix que de s’exécuter s’il voulait un toit. « Je n’ai jamais dit à cet homme que je n’avais pas de papiers, mais je pense qu’il l’a compris, explique l’immigrant africain. Il a bien vu que j’étais désespéré. » Au moment de la transaction en personne, Moussa était avec une militante de Solidarité sans frontières, qui l’avait aidé à transporter ses rares effets : un sac, une boîte de carton et un téléviseur. L’homme louant le logement lui aurait dit de revenir dans deux jours, acceptant toutefois de garder les affaires de Moussa. Méfiant, ce dernier a réécrit à ce locataire dès le lendemain pour se rassurer sur le marché qu’ils avaient conclu. L’homme lui aurait alors dit qu’il était parti pour Toronto. « Je n’avais plus confiance », explique Moussa, qui s’est aussitôt rendu à l’appartement. « Je voulais qu’il arrête son jeu et me redonne mes affaires et mon argent. » suite et source : https://www.ledevoir.com/societe/819348/immigrant-menace-expulsion-apres-avoir-ete-arnaque-locataire
  13. Bonjour, Bienvenue parmi nous ! Oui le Québec cherche à combler des postes de pharmaciens. Voici une expérience récente d'un pharmacien français au Québec : https://www.immigrer.com/mes-demarches-en-tant-pharmacien-francais-en-route-vers-le-quebec/ Vous avez d'autres témoignages dans cet FAQ : https://www.immigrer.com/categorie/faq/Metiers-de-biotech-et-sante/
  14. Avez-vous déjà remarqué que certains immigrants francophones empruntent des expressions québécoises, voire l’accent québécois, alors que d’autres conservent davantage l’accent de leur pays ? Qu’est-ce qui explique ces différences dans l’adaptation linguistique ? Nous avons creusé la question avec des experts. Vidéo
  15. Raphaël Pirro Lundi, 26 août 2024 00:00 MISE À JOUR Lundi, 26 août 2024 00:00 De nombreux Québécois ont maille à partir avec l'Agence du revenu du Canada. Le Journal vous présente de nouveaux témoignages parmi les dizaines que nous avons reçus. Une quarantaine de Français installés au Québec se battent depuis des années pour faire annuler des milliers de dollars que l’Agence du revenu du Canada (ARC) leur réclame à cause d’un bête formulaire qui ne s’est jamais rendu. Arrivée en 2018 à Rivière-du-Loup, Mélodie Thoreau, aujourd’hui à Montréal, voulait simplement déclarer l’appartement de 200 000$ qu’elle détient à Marseille. Pour ce faire, elle devait transmettre le formulaire T1135 portant sur les biens à l’étranger de 100 000$ ou plus. Pourtant simple à remplir, il s’avère que le processus d’envoi du T1135 – lorsqu’il fonctionne – est parsemé d’embûches. Une erreur qui coûte cher Pour ses impôts, elle fait affaire avec un comptable qui commet une erreur de lèse-bureaucratie: il n’envoie pas le formulaire dûment rempli, «séparément» de la déclaration d’impôt, comme il se doit. Un problème qui serait lié au logiciel utilisé. L’ARC lui apprend dans une lettre presque deux ans plus tard qu’il lui en coûtera 2500$ par année, pour deux années consécutives. Après deux ans, la pénalité de retard devient 5% de la valeur du bien, soit environ 13 000$ dans le cas de Mélodie. «Malgré mes ambitions, malgré mon boulot, malgré ma détermination à rester ici – j’adore ce pays, j’adore le Québec, ma vie est ici, j’ai vécu cinq ans en région et un an à Montréal – si on me met 13 000$ parce qu’un formulaire n’a pas été reçu, je me poserais la question à savoir si je quitte le Canada», dit-elle C’est une perspective difficile à avaler. Atteinte de la sclérose en plaques, Mme Thoreau estime avoir déjà déboursé 10 000$ en frais d’avocats pour qu’Immigration Canada accepte son dossier. «J’ai vraiment été dans des difficultés financières qui ne sont pas drôles.» Corriger l’erreur: mission impossible L’erreur aurait pu être réparée rapidement, dit-elle. Or, il n’en est rien. Malgré de multiples divulgations volontaires à coups de centaines de dollars, des démarches auprès de députés fédéraux, de l’ARC et même du consulat de France, l’ARC ne bronche pas et refuse à Mélodie sa demande d’allégement de pénalité. «Ce qui est quand même fou, c’est que si j’appelle l’Agence pour savoir s’ils ont bien reçu ma déclaration télétransmise ou s’ils ont reçu le formulaire en papier, ils ne peuvent me pas me le dire», dit Mme Thoreau, qui estime avoir contacté l’ARC une cinquantaine de fois cette année seulement. source et suite : https://www.journaldequebec.com/2024/08/23/larc-leur-retient-des-milliers-de-dollars-pour-un-formulaire-qui-se-sest-pas-rendu
  16. Le Centre de recherche-action sur les relations raciales (CRARR) demande une enquête sur un programme québécois de recrutement d'infirmières à l'étranger après que plusieurs participantes originaires de pays africains francophones ont affirmé avoir été victimes de discrimination raciale. «J'ai été témoin de situations inimaginables», a-t-elle affirmé. Mme Koa a ajouté que de nombreuses infirmières souffraient de dépression parce qu'elles disent avoir été traitées comme des citoyens de seconde zone et avoir subi des violences psychologiques, certaines s'étant même vu dire qu'elles sentaient mauvais. «Elles subissent des traitements différents et discriminatoires. Beaucoup se retrouvent dans des situations désespérées qui les mettent en péril, tant sur le plan financier que professionnel», a déclaré Fo Niemi, directeur exécutif du CRARR. Le projet de reconnaissance des compétences des infirmières recrutées à l'étranger (PRCIIRI) a été lancé en 2022 et vise à recruter 1000 infirmières. Depuis le début du programme, des centaines de participants sont arrivés au Québec en provenance de pays comme le Cameroun et la Côte d'Ivoire et sont souvent envoyés dans des régions comme l'Abitibi-Témiscamingue et la Montérégie. Une fois arrivées à destination, les infirmières doivent suivre une formation d'appoint pour se préparer à exercer au Québec. Toutefois, selon M. Niemi, ce n'est pas la réalité pour de nombreux participants d'origine africaine. suite et source : https://www.noovo.info/nouvelle/discrimination-raciale-et-abus-des-infirmieres-recrutees-a-letranger-denoncent-le-programme-de-quebec.html Lors d'une conférence de presse tenue jeudi, Roselyne Koa a confié qu'elle n'avait jamais été victime d'une discrimination telle que celle à laquelle elle a été confrontée au Québec.
  17. Elles ont quitté la France pour enseigner au Canada : «On m’a proposé un salaire trois fois supérieur» Par Ludovic Hirtzmann Publié le 22/08/2024 à 06:00, mis à jour le 22/08/2024 à 10:37 TÉMOIGNAGES - Ces Françaises ont quitté l'Hexagone pour les provinces atlantiques du Canada. Elles livrent leurs impressions. Irène Constantin est professeure à l'université Sainte-Anne, Nouvelle-Ecosse. « Je n'avais pas le profil pour être professeure, mais on m'a donné ma chance ». Cette phrase, Irène, comme bien des immigrants français au Canada, la répète à satiété. Et dans le cas de cette jeune professeure de l'université Sainte-Anne, cela sonne comme une reconnaissance envers le Canada. Il y a 11 ans, Irène Constantin, diplômée d'un Master 2 en éducation de l'université de Caen et originaire de la même ville, décide de partir pour le Canada. Elle s'installe en Nouvelle-Ecosse, dans le cadre d'une mission de service civique et entame brièvement une carrière de journaliste. C'est à la suite d'une rencontre avec le doyen de l'université Saint-Anne qu'elle est embauchée comme professeur. Elle est surprise du manque de culture générale de ses élèves Irène, 35 ans, aime la province, mais elle est toujours surprise du manque de culture générale de ses élèves. « La France ? Non ils ne connaissent pas, mais nous sommes plutôt bien vus, mieux que les Québécois pour qui les rapports avec les Acadiens sont compliqués ». Pourquoi n'enseigne-t-elle pas dans un lycée ? « Je n'aurais pas pu enseigner », souligne Irène. Lors de l'embauche dans l'enseignement secondaire, il est obligatoire d'obtenir le certificat d'enseignant de la Nouvelle-Écosse. Porte-parole du Conseil scolaire acadien provincial, qui représente 6750 élèves dans 23 écoles de la province, Stéphanie Comeau explique que le dossier du candidat professeur est analysé au « préalable avec le bureau de la certification de la Nouvelle Ecosse. Si le résultat de l'analyse est positif, nous procédons à une entrevue de sélection basée sur nos normes d'enseignement et si la personne est sélectionnée, nous offrons un contrat conditionnel ». Mais sans certificat, il n'y a point de possibilité d'enseigner. Au niveau universitaire, les choses sont plus faciles et, comme partout en Amérique du Nord, les employeurs, beaucoup plus pragmatiques et plus ouverts qu'en France, donnent leur chance aux débutants ou aux immigrants. Mais Irène a tout de même attendu cinq ans, en probation, avant d'être titularisée à l'université. La professeure insiste sur la spécificité de l'Acadie. « Malgré un attachement au Français, les Acadiens demeurent tournés vers la culture anglophone, notamment les jeunes. » Les élèves la trouvent sévère Ces derniers maîtrisent mal la langue de Molière. C'est pourquoi les élèves trouvent Irène parfois sévère dans sa notation. La jeune Normande précise qu'il est vraiment important de tenir compte des différences et de s'adapter à la culture locale. Les Canadiens insistent sur la pédagogie, le travail en équipe et le bien-être de l'enfant. L'approche française, même transposée au Canada, est différente. Sylvain Olivier, le directeur du futur lycée français d'Halifax, dont les portes devraient ouvrir à la rentrée, sélectionne les futurs professeurs, tous Français, en fonction de « leur expérience dans la profession, de leur bilinguisme, d'un goût pour l'innovation, la flexibilité, l'adaptation et l'adhésion au projet de l'établissement. » Mais à aucun moment la pédagogie, le travail en équipe si cher à l'environnement canadien ne sont évoqués. Je suis arrivée au Nouveau Brunswick en 2019, frustrée du système français et à la recherche d'un nouveau souffle et de solutions éventuelles pour faire avancer les pratiques pédagogiques Murielle Rialt Murielle Rialt est professeure d'anglais à l'université de Moncton, Nouveau-Brunswick. « Je suis arrivée au Nouveau Brunswick en 2019, frustrée du système français et à la recherche d'un nouveau souffle et de solutions éventuelles pour faire avancer les pratiques pédagogiques. », confie Murielle Rialt, enseignante de français langue seconde à l'université de Moncton. Ses élèves sont des adultes. Un changement d'environnement radical pour cette professeure d'anglais, certifiée depuis 1994 et passée par un large spectre d'enseignements en France : écoles primaires, collèges et lycées, mais aussi l'Institut universitaire de formation des maîtres de Grenoble. Cette passionnée de pédagogie a pendant 25 ans été à « la recherche des approches les plus efficaces pour faire réussir les élèves. » Ici, la pédagogie active est généralisée à toutes les écoles Murielle Rialt Elle a parcouru le monde avec ces derniers lors de voyages au Royaume-Uni et aux États-Unis, mais aussi comme enseignante pendant trois ans au lycée français de Kuala Lumpur, en Malaisie. Mais c'est au Nouveau-Brunswick que l'enseignante s'est épanouie. « Ici, la pédagogie active est généralisée à toutes les écoles. Tout est mis en place pour la réussite et l'épanouissement de l'élève. Avec la présence de nombreux assistants dans les classes pour accompagner les élèves en difficulté, d'enseignants ressources, de médiateurs dans les écoles pour accompagner les enfants en petits groupes dans leurs apprentissages ou leur savoir-être », confie-t-elle. À l'instar de nombreux profs étrangers au Canada, Murielle loue la qualité des équipements scolaires et le travail en équipe dans les écoles. Sans oublier des conditions de travail permettant « la flexibilité de l'emploi et les possibilités d'évolution de carrière, la facilité de changer de poste, de prendre des responsabilités, de travailler dans un autre secteur, puis de réintégrer facilement l'enseignement ». suite et source: https://etudiant.lefigaro.fr/article/stage-alternance/elles-ont-quitte-la-france-pour-enseigner-au-canada-on-m-a-propose-un-salaire-trois-fois-superieur-20240822/
  18. Quitter Paris pour faire carrière au Québec Sonia Semere 2024-08-12 15:00:12 Carrière et Formation Comment faire sa place dans le milieu juridique québécois? Un jeune avocat français nous raconte son parcours… Morgan Guyot est avocat au sein du groupe droit des sociétés et droit commercial chez Fasken au bureau de Montréal. Celui qui a rejoint le cabinet il y a un peu plus d’un an vient tout droit de Paris. Après six années de pratique de l’autre côté de l’Atlantique, le jeune avocat a décidé de tenter sa chance au Québec. Mais alors, comment a-t-il fait le grand saut? Me Guyot nous explique qu’il existe un accord de reconnaissance mutuelle entre le Québec et la France pour reconnaître des équivalences dans certaines professions. C’est notamment le cas du métier d’avocat qui permet aux français de s’installer au Québec en passant un examen d’équivalence. Cela implique de passer un examen de déontologie et, dans certains cas, d’avoir des compléments pour certaines matières. La garantie de faire carrière au Québec? Pas si sûr… « Si j'ai un message à faire passer aux personnes qui suivent le même cursus, c'est que cet examen n’apporte pas tout de suite de la crédibilité sur le marché québécois ». Selon l’avocat français, il est essentiel de faire ses preuves dans la mesure où la compétition peut être rude face aux avocats québécois. « Il faut essayer de trouver des éléments qui nous différencient et montrer sa motivation, son envie d'apprendre, et puis arriver avec beaucoup d'humilité ». Développer son réseau Me Guyot explique également qu’il ne faut pas avoir peur de bien s'entourer. Trouver des bons mentors s’avère essentiel afin d’être épaulé sur la partie technique mais aussi mieux comprendre l'environnement d'affaires. « Le sport national québécois, c'est vraiment le réseautage », rappelle l’avocat. Pour sa part, celui-ci a été grandement aidé par la Chambre de Commerce et d'Industrie Française à son arrivée. Après un an d’expérience dans le milieu juridique québécois, quelles différences notables recense-t-il? Il souligne le côté entrepreneurial des avocats à Montréal. Contrairement à la France, les opportunités d’ascension arrivent beaucoup plus rapidement. « Le fait de devenir associé par exemple, on peut se poser la question dès la septième ou huitième année ». Dès le début de sa pratique, il faut ainsi réfléchir à son positionnement, son plan d'affaires et le type de clientèle qu'on souhaite développer. « C'est assez stimulant, ça met tout de suite pas mal de responsabilités sur les épaules, et puis ça donne envie de développer une clientèle assez vite ». Côté mentor, Me Guyot explique qu’il a pu choisir une personne de référence dès son arrivée chez Fasken. source et suite : https://www.droit-inc.com/article/45171/quitter-paris-pour-faire-carriere-au-quebec
  19. Oui les délais de parrainage ont explosé ces derniers temps et aussi pour les enfants nés à l'étranger et qui sont séparés de leurs parents. Je vous suggère d'aller dans le sous-forum parrainage pour discuter de cela avec d'autres parrains afin d'avoir une idée des délais. https://forum.immigrer.com/forum/12-parrainages-et-mariages/
  20. Bravo pour votre persévérance ! Merci de nous raconter la suite en effet. Bonne installation
  21. Bonjour, D'autres ont eu des trajectoires un peu semblables pour un retour au Québec ou des hésitations entre la France et le Québec. Voici quelques témoignages : https://www.immigrer.com/categorie/faq/Questionnement-hesitation/ Bonne réflexion
  22. Malheureusement ce n'est pas possible de voir ce vidéo en dehors du Canada
  23. Très bonne question. Vous avez peut-être avoir plus d'éclaircissement dans la FAQ métier d'avocat : https://www.immigrer.com/categorie/faq/Metier-d-avocat/
  24. Des infirmières et infirmiers formés en Afrique de l’Ouest et recrutés par le Québec font face à des difficultés après avoir été retirés du programme de formation d’appoint de la province. Ils dénoncent le fait qu’un échec unique dans leur parcours de formation les exclut du programme, une possibilité dont ils disent n’avoir jamais été informés avant leur arrivée au Québec. C’est seulement après la pause des fêtes, lorsqu’une consœur n’est pas revenue en classe, qu’André* et ses camarades ont découvert qu’un échec signifiait leur exclusion du programme. L’enseignante, incapable de supporter la situation, a demandé une pause pour que les élèves puissent se défouler, se souvient André. “C’était des pleurs”, raconte-t-il. À la mi-juin, après près d’un an d’études au Cégep Beauce-Appalaches à Saint-Georges, André a appris qu’il avait échoué à la section pratique de l’avant-dernier module de sa formation. Cette nouvelle a entraîné une série de conséquences, notamment la perte de sa bourse d’études de 500 $ par semaine, de sa couverture d’assurance maladie et de son droit de travailler. Il se demande maintenant s’il ne rêve pas, espérant se réveiller de ce cauchemar. André est formel : s’il avait su que l’échec entraînerait de telles conséquences, il n’aurait pas quitté son emploi en Afrique ni déménagé sa famille au Québec. Il est maintenant confronté à des options limitées : rentrer chez lui ou travailler comme préposé aux bénéficiaires (PAB) au CISSS de Chaudière-Appalaches. Selon Mireille Gaudreau du CISSS de Chaudière-Appalaches, en cas d’échec, ils évaluent si la personne peut occuper un poste de PAB. Si c’est le cas et que la personne est intéressée, des démarches d’immigration sont entreprises pour obtenir un permis de travail fermé. Cependant, ce permis ne permet plus d’étudier au Québec. Le ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI) a déclaré qu’il pourrait également trouver un autre employeur prêt à entreprendre les démarches nécessaires pour obtenir un permis de travail. André, épuisé par cette situation, peine à subvenir aux besoins de sa famille. Radio-Canada a parlé à plusieurs autres participants du programme dans la même situation qu’André. Deux d’entre eux ont accepté de témoigner anonymement. Simon*, un autre participant, se sent trahi et explique qu’il avait l’impression de participer à une course où à tout moment, quelqu’un pouvait tomber. Le MIFI réfute ces accusations et assure que les partenaires du projet font tout leur possible pour aider les étudiants à réussir. En 2022, le gouvernement Legault a mis en place un programme pour recruter 1000 infirmiers et infirmières à l’étranger afin de combler les besoins de main-d’œuvre dans le secteur de la santé. Ce projet, nécessitant un investissement de 65 millions de dollars, implique trois ministères : le MIFI, le ministère de l’Enseignement supérieur (MES) et le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS). Les infirmiers et infirmières recrutés devaient suivre une formation d’appoint et obtenir une attestation d’études collégiales (AEC) de neuf à quatorze mois. Bien qu’ils aient assumé les frais de déménagement, plusieurs coûts d’immigration ont été annulés et ils ont bénéficié d’exemptions de frais de scolarité, d’allocations hebdomadaires et d’accompagnement pour trouver un logement et une garderie. Cependant, la formation s’est révélée plus difficile que prévu. Guillaume Boivin, directeur général de l’organisme Le Tremplin à Lévis, constate que la formation d’appoint a été mal expliquée aux participants. Ces derniers s’attendaient à une simple formalité, pensant qu’ils feraient le même travail qu’ils faisaient dans leur pays d’origine. Depuis les échecs, les participants se sentent floués et trompés. Ils rencontrent également des difficultés pour trouver un logement, une garderie ou un emploi pour leurs conjoints, ce qui ajoute au stress. Les participants ont été informés qu’ils devaient réussir leur formation d’appoint pour exercer en tant qu’infirmiers au Québec. En cas d’échec, ils peuvent reprendre le cours échoué, mais cela doit se faire dans le même cégep ou dans un cégep de la même région. Cependant, André et ses camarades n’ont pas la possibilité de réintégrer une cohorte avant l’expiration de leur permis d’études le 30 novembre 2024. Le MIFI envisage de lancer une nouvelle formation au Cégep de Thetford, mais la date de début n’est pas encore confirmée. Cyndia Lacasse du Cégep Beauce-Appalaches souligne que, bien que la rigueur soit nécessaire pour assurer la sécurité des patients, la situation actuelle est déplorable. Avec un taux d’échec de 27 % au campus de Saint-Georges et de 20 % au Cégep de Lévis, les participants ne comprennent pas pourquoi ils ne peuvent pas intégrer une autre région. L’OIIQ avait stipulé que les participants pouvaient reprendre leur formation en cas d’échec. Les participants de la phase 3 du programme ont un taux de réussite plus faible que les phases précédentes. Guillaume Boivin estime qu’il est crucial de mieux communiquer les réalités du Québec et les détails de la formation aux prochaines cohortes pour assurer le succès du programme. André, qui a quitté son pays pour répondre à la pénurie d’infirmiers au Québec, espère maintenant obtenir une seconde chance pour reprendre sa formation et atteindre son objectif. * Noms fictifs pour préserver l’identité de ces personnes. D’après le texte de Radio-Canada
  25. Article rédigé parAnne-Laure Dagnet Radio France Publié le 06/07/2024 06:56 De plus en plus d'infirmières choisissent de partir exercer au Québec. Malgré quelques inconvénients, elles y trouvent de meilleures conditions de travail et une meilleure reconnaissance. C'est le choix de franceinfo. Alors qu'on manque d'infirmières en France, plusieurs centaines d'entre elles partent chaque année travailler au Québec. Des équipes du ministère de la Santé québécois viennent tous les ans en France pour les recruter et les postulantes y trouvent leur compte au point que certaines décident de rester vivre sur place. à lire aussi"On a l'impression d'être des oubliés, dont tout le monde se fout" : comment la dissolution impacte les infirmiers et infirmières ? Tout commence au salon des infirmiers à Paris, terrain de chasse favori des équipes de Recrutement Santé Québec. Une délégation du ministère de la santé québécois vient jusqu'ici pour débaucher des infirmières françaises et ils n'ont pas eu de mal à convaincre Vanessa Desmarets. Elle était infirmière dans un grand hôpital parisien. "En France j'ai travaillé quatre ans et demi, je me suis retrouvée sur des horaires de nuit, alternés avec parfois des horaires de jour donc je me suis retrouvée avec des journées de 16 heures de travail, peu de temps pause, parfois pas de repas, j'hésitais entre arrêter la profession d'infirmière étant donné que je ne voyais pas d'autre choix de carrière pour moi que les soins critiques." Intégrées professionnellement et socialement Une fois la candidate ferrée, l'équipe de Recrutement Santé Québec s'occupe de tout : demande de visa, permis de travail, lieu du stage d'intégration, et ça va même bien au-delà. "Il n'a pas seulement l'intégration professionnelle, il y a l'intégration sociale aussi", souligne Luc Mathieu, président de l'Ordre des infirmiers au Québec. "Certaines personnes viennent avec leur conjoint, leurs enfants aussi, alors il faut s'occuper de ce volet-là aussi." Le Québec offre des conditions de travail assez avantageuses aux infirmières au point que Malou Leroy a repris goût au métier en arrivant sur place. "On a le temps pour faire notre travail, pour la relation d'aide avec le patient, pour les familles, c'est ce qui me manquait le plus en France". "On a cinq patients pour une infirmière, en France par exemple en Chirurgie j'avais 15 patients à ma charge. Ici on est beaucoup mieux payées, avec les médecins c'est totalement différent, on est reconnues à notre juste valeur". Un "bon métier", qui rapporte, selon le poste occupé, 30 à 50% de plus qu'en France. suite et source : https://www.francetvinfo.fr/sante/reportage-ici-on-est-reconnues-a-notre-juste-valeur-le-quebec-eldorado-des-infirmieres-francaises_6648192.html#xtor=CS2-765-[autres]-
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