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  1. Un rapport présente la métropole québécoise comme l’une des meilleures villes du monde. Une journaliste montréalaise met en garde les expats et les invite à voir l’envers de la médaille. Courrier Expat Lecture 1 min. Publié le 9 septembre 2024 à 09h18 La Presse remarquait en juin que Montréal se retrouvait désormais au 118e rang dans le nouveau palmarès de la firme Mercer des 226 villes les moins abordables de la planète, un bond de 17 positions par rapport à 2023. Si le quotidien local constate que “le coût de la vie à Montréal est moins abordable… que l’année dernière”, il ajoute qu’“heureusement il fait bon y vivre”, relevant que la ville canadienne “figure parmi les villes où le coût de la vie est le plus bas et la qualité de vie la plus élevée, aux côtés de Varsovie, de Budapest et de Kuala Lumpur”. Une ville “magnifique”… Une collaboratrice montréalaise du site new-yorkais Business Insider apporte toutefois un important bémol pour ceux qui seraient tentés de s’y installer : “J’adore [cette ville], mais cela ne veut pas dire que déménager ici est une bonne idée.” Helen Wolkowicz distribue d’abord les bons points : “Montréal est une ville magnifique : elle est sûre et accessible à pied, dotée d’une vie nocturne animée et d’un calendrier culturel rempli d’événements […]. J’aime flâner dans ses différents quartiers, chacun ayant sa propre histoire, son charme, son architecture et ses délices culinaires distinctifs.” Celle qui habite la métropole québécoise avec sa famille depuis plus de cinquante ans ajoute : “C’est aussi l’une des villes qui connaît la croissance la plus rapide au Canada, alors pourquoi ne pas en profiter ?” … qui a son lot de problèmes Mais “cette notion d’une ville magique et miraculeuse où ‘tout le monde devrait déménager’ est un mirage”, tempère Helen Wolkowicz. Elle aborde des facteurs moins reluisants de Montréal. Premièrement, trouver un logement peut se révéler être “extrêmement difficile”. Avant la pandémie, avance le courtier en immobilier Michael Fadulto, on pouvait dénicher un condo luxueux pour environ 1 000 euros par mois. Aujourd’hui, pour le même prix, dit-il, on obtient un appartement de deux chambres à coucher, et le prix d’une première maison y a bondi de 40 % depuis 2020. source et suite : https://www.courrierinternational.com/article/canada-la-qualite-de-vie-de-montreal-un-mirage_221909
  2. Lisa-Marie Gervais Publié à 0h00 Le Devoir Un immigrant sans statut qui vit au Québec depuis une dizaine d’années a été arnaqué par un locataire et risque maintenant l’expulsion. Moussa, qui tait son nom pour ne pas nuire à sa situation précaire, a versé 1200 $, soit environ deux mois de loyer, à une personne louant une chambre dans un immeuble de Notre-Dame-de-Grâce, à Montréal. Non seulement il n’a jamais eu les clés de l’appartement, mais il ne reverra vraisemblablement jamais la couleur de son argent. « Ça ne m’était jamais arrivé de me faire arnaquer comme ça. Ça m’a brisé », a confié Moussa au Devoir. Originaire d’Afrique, Moussa s’est vu refuser sa demande d’asile il y a dix ans. Après une série d’infortunes, dont l’échec d’un parrainage par sa conjointe de l’époque, il a perdu son permis de travail et a fait le choix de rester au pays pour demeurer près de ses proches. Même si cela signifiait qu’il allait devoir vivre sans statut, il avait espoir de pouvoir déposer une demande de résidence permanente pour motifs humanitaires, ce qu’il est d’ailleurs en train de faire. « Ma vie est ici maintenant », a-t-il dit. Il y a deux semaines, Moussa a répondu à une annonce sur Kijiji pour une chambre dans un appartement de la rue Saint-Jacques. La personne qui louait, qui n’est pas propriétaire selon les vérifications du Devoir, a demandé le versement en argent comptant de deux mois de loyer, ce qui est illégal. N’ayant pas d’historique de crédit ni de références, Moussa n’a eu d’autre choix que de s’exécuter s’il voulait un toit. « Je n’ai jamais dit à cet homme que je n’avais pas de papiers, mais je pense qu’il l’a compris, explique l’immigrant africain. Il a bien vu que j’étais désespéré. » Au moment de la transaction en personne, Moussa était avec une militante de Solidarité sans frontières, qui l’avait aidé à transporter ses rares effets : un sac, une boîte de carton et un téléviseur. L’homme louant le logement lui aurait dit de revenir dans deux jours, acceptant toutefois de garder les affaires de Moussa. Méfiant, ce dernier a réécrit à ce locataire dès le lendemain pour se rassurer sur le marché qu’ils avaient conclu. L’homme lui aurait alors dit qu’il était parti pour Toronto. « Je n’avais plus confiance », explique Moussa, qui s’est aussitôt rendu à l’appartement. « Je voulais qu’il arrête son jeu et me redonne mes affaires et mon argent. » suite et source : https://www.ledevoir.com/societe/819348/immigrant-menace-expulsion-apres-avoir-ete-arnaque-locataire
  3. Bonjour, Bienvenue parmi nous ! Oui le Québec cherche à combler des postes de pharmaciens. Voici une expérience récente d'un pharmacien français au Québec : https://www.immigrer.com/mes-demarches-en-tant-pharmacien-francais-en-route-vers-le-quebec/ Vous avez d'autres témoignages dans cet FAQ : https://www.immigrer.com/categorie/faq/Metiers-de-biotech-et-sante/
  4. Avez-vous déjà remarqué que certains immigrants francophones empruntent des expressions québécoises, voire l’accent québécois, alors que d’autres conservent davantage l’accent de leur pays ? Qu’est-ce qui explique ces différences dans l’adaptation linguistique ? Nous avons creusé la question avec des experts. Vidéo
  5. Raphaël Pirro Lundi, 26 août 2024 00:00 MISE À JOUR Lundi, 26 août 2024 00:00 De nombreux Québécois ont maille à partir avec l'Agence du revenu du Canada. Le Journal vous présente de nouveaux témoignages parmi les dizaines que nous avons reçus. Une quarantaine de Français installés au Québec se battent depuis des années pour faire annuler des milliers de dollars que l’Agence du revenu du Canada (ARC) leur réclame à cause d’un bête formulaire qui ne s’est jamais rendu. Arrivée en 2018 à Rivière-du-Loup, Mélodie Thoreau, aujourd’hui à Montréal, voulait simplement déclarer l’appartement de 200 000$ qu’elle détient à Marseille. Pour ce faire, elle devait transmettre le formulaire T1135 portant sur les biens à l’étranger de 100 000$ ou plus. Pourtant simple à remplir, il s’avère que le processus d’envoi du T1135 – lorsqu’il fonctionne – est parsemé d’embûches. Une erreur qui coûte cher Pour ses impôts, elle fait affaire avec un comptable qui commet une erreur de lèse-bureaucratie: il n’envoie pas le formulaire dûment rempli, «séparément» de la déclaration d’impôt, comme il se doit. Un problème qui serait lié au logiciel utilisé. L’ARC lui apprend dans une lettre presque deux ans plus tard qu’il lui en coûtera 2500$ par année, pour deux années consécutives. Après deux ans, la pénalité de retard devient 5% de la valeur du bien, soit environ 13 000$ dans le cas de Mélodie. «Malgré mes ambitions, malgré mon boulot, malgré ma détermination à rester ici – j’adore ce pays, j’adore le Québec, ma vie est ici, j’ai vécu cinq ans en région et un an à Montréal – si on me met 13 000$ parce qu’un formulaire n’a pas été reçu, je me poserais la question à savoir si je quitte le Canada», dit-elle C’est une perspective difficile à avaler. Atteinte de la sclérose en plaques, Mme Thoreau estime avoir déjà déboursé 10 000$ en frais d’avocats pour qu’Immigration Canada accepte son dossier. «J’ai vraiment été dans des difficultés financières qui ne sont pas drôles.» Corriger l’erreur: mission impossible L’erreur aurait pu être réparée rapidement, dit-elle. Or, il n’en est rien. Malgré de multiples divulgations volontaires à coups de centaines de dollars, des démarches auprès de députés fédéraux, de l’ARC et même du consulat de France, l’ARC ne bronche pas et refuse à Mélodie sa demande d’allégement de pénalité. «Ce qui est quand même fou, c’est que si j’appelle l’Agence pour savoir s’ils ont bien reçu ma déclaration télétransmise ou s’ils ont reçu le formulaire en papier, ils ne peuvent me pas me le dire», dit Mme Thoreau, qui estime avoir contacté l’ARC une cinquantaine de fois cette année seulement. source et suite : https://www.journaldequebec.com/2024/08/23/larc-leur-retient-des-milliers-de-dollars-pour-un-formulaire-qui-se-sest-pas-rendu
  6. Le Centre de recherche-action sur les relations raciales (CRARR) demande une enquête sur un programme québécois de recrutement d'infirmières à l'étranger après que plusieurs participantes originaires de pays africains francophones ont affirmé avoir été victimes de discrimination raciale. «J'ai été témoin de situations inimaginables», a-t-elle affirmé. Mme Koa a ajouté que de nombreuses infirmières souffraient de dépression parce qu'elles disent avoir été traitées comme des citoyens de seconde zone et avoir subi des violences psychologiques, certaines s'étant même vu dire qu'elles sentaient mauvais. «Elles subissent des traitements différents et discriminatoires. Beaucoup se retrouvent dans des situations désespérées qui les mettent en péril, tant sur le plan financier que professionnel», a déclaré Fo Niemi, directeur exécutif du CRARR. Le projet de reconnaissance des compétences des infirmières recrutées à l'étranger (PRCIIRI) a été lancé en 2022 et vise à recruter 1000 infirmières. Depuis le début du programme, des centaines de participants sont arrivés au Québec en provenance de pays comme le Cameroun et la Côte d'Ivoire et sont souvent envoyés dans des régions comme l'Abitibi-Témiscamingue et la Montérégie. Une fois arrivées à destination, les infirmières doivent suivre une formation d'appoint pour se préparer à exercer au Québec. Toutefois, selon M. Niemi, ce n'est pas la réalité pour de nombreux participants d'origine africaine. suite et source : https://www.noovo.info/nouvelle/discrimination-raciale-et-abus-des-infirmieres-recrutees-a-letranger-denoncent-le-programme-de-quebec.html Lors d'une conférence de presse tenue jeudi, Roselyne Koa a confié qu'elle n'avait jamais été victime d'une discrimination telle que celle à laquelle elle a été confrontée au Québec.
  7. Elles ont quitté la France pour enseigner au Canada : «On m’a proposé un salaire trois fois supérieur» Par Ludovic Hirtzmann Publié le 22/08/2024 à 06:00, mis à jour le 22/08/2024 à 10:37 TÉMOIGNAGES - Ces Françaises ont quitté l'Hexagone pour les provinces atlantiques du Canada. Elles livrent leurs impressions. Irène Constantin est professeure à l'université Sainte-Anne, Nouvelle-Ecosse. « Je n'avais pas le profil pour être professeure, mais on m'a donné ma chance ». Cette phrase, Irène, comme bien des immigrants français au Canada, la répète à satiété. Et dans le cas de cette jeune professeure de l'université Sainte-Anne, cela sonne comme une reconnaissance envers le Canada. Il y a 11 ans, Irène Constantin, diplômée d'un Master 2 en éducation de l'université de Caen et originaire de la même ville, décide de partir pour le Canada. Elle s'installe en Nouvelle-Ecosse, dans le cadre d'une mission de service civique et entame brièvement une carrière de journaliste. C'est à la suite d'une rencontre avec le doyen de l'université Saint-Anne qu'elle est embauchée comme professeur. Elle est surprise du manque de culture générale de ses élèves Irène, 35 ans, aime la province, mais elle est toujours surprise du manque de culture générale de ses élèves. « La France ? Non ils ne connaissent pas, mais nous sommes plutôt bien vus, mieux que les Québécois pour qui les rapports avec les Acadiens sont compliqués ». Pourquoi n'enseigne-t-elle pas dans un lycée ? « Je n'aurais pas pu enseigner », souligne Irène. Lors de l'embauche dans l'enseignement secondaire, il est obligatoire d'obtenir le certificat d'enseignant de la Nouvelle-Écosse. Porte-parole du Conseil scolaire acadien provincial, qui représente 6750 élèves dans 23 écoles de la province, Stéphanie Comeau explique que le dossier du candidat professeur est analysé au « préalable avec le bureau de la certification de la Nouvelle Ecosse. Si le résultat de l'analyse est positif, nous procédons à une entrevue de sélection basée sur nos normes d'enseignement et si la personne est sélectionnée, nous offrons un contrat conditionnel ». Mais sans certificat, il n'y a point de possibilité d'enseigner. Au niveau universitaire, les choses sont plus faciles et, comme partout en Amérique du Nord, les employeurs, beaucoup plus pragmatiques et plus ouverts qu'en France, donnent leur chance aux débutants ou aux immigrants. Mais Irène a tout de même attendu cinq ans, en probation, avant d'être titularisée à l'université. La professeure insiste sur la spécificité de l'Acadie. « Malgré un attachement au Français, les Acadiens demeurent tournés vers la culture anglophone, notamment les jeunes. » Les élèves la trouvent sévère Ces derniers maîtrisent mal la langue de Molière. C'est pourquoi les élèves trouvent Irène parfois sévère dans sa notation. La jeune Normande précise qu'il est vraiment important de tenir compte des différences et de s'adapter à la culture locale. Les Canadiens insistent sur la pédagogie, le travail en équipe et le bien-être de l'enfant. L'approche française, même transposée au Canada, est différente. Sylvain Olivier, le directeur du futur lycée français d'Halifax, dont les portes devraient ouvrir à la rentrée, sélectionne les futurs professeurs, tous Français, en fonction de « leur expérience dans la profession, de leur bilinguisme, d'un goût pour l'innovation, la flexibilité, l'adaptation et l'adhésion au projet de l'établissement. » Mais à aucun moment la pédagogie, le travail en équipe si cher à l'environnement canadien ne sont évoqués. Je suis arrivée au Nouveau Brunswick en 2019, frustrée du système français et à la recherche d'un nouveau souffle et de solutions éventuelles pour faire avancer les pratiques pédagogiques Murielle Rialt Murielle Rialt est professeure d'anglais à l'université de Moncton, Nouveau-Brunswick. « Je suis arrivée au Nouveau Brunswick en 2019, frustrée du système français et à la recherche d'un nouveau souffle et de solutions éventuelles pour faire avancer les pratiques pédagogiques. », confie Murielle Rialt, enseignante de français langue seconde à l'université de Moncton. Ses élèves sont des adultes. Un changement d'environnement radical pour cette professeure d'anglais, certifiée depuis 1994 et passée par un large spectre d'enseignements en France : écoles primaires, collèges et lycées, mais aussi l'Institut universitaire de formation des maîtres de Grenoble. Cette passionnée de pédagogie a pendant 25 ans été à « la recherche des approches les plus efficaces pour faire réussir les élèves. » Ici, la pédagogie active est généralisée à toutes les écoles Murielle Rialt Elle a parcouru le monde avec ces derniers lors de voyages au Royaume-Uni et aux États-Unis, mais aussi comme enseignante pendant trois ans au lycée français de Kuala Lumpur, en Malaisie. Mais c'est au Nouveau-Brunswick que l'enseignante s'est épanouie. « Ici, la pédagogie active est généralisée à toutes les écoles. Tout est mis en place pour la réussite et l'épanouissement de l'élève. Avec la présence de nombreux assistants dans les classes pour accompagner les élèves en difficulté, d'enseignants ressources, de médiateurs dans les écoles pour accompagner les enfants en petits groupes dans leurs apprentissages ou leur savoir-être », confie-t-elle. À l'instar de nombreux profs étrangers au Canada, Murielle loue la qualité des équipements scolaires et le travail en équipe dans les écoles. Sans oublier des conditions de travail permettant « la flexibilité de l'emploi et les possibilités d'évolution de carrière, la facilité de changer de poste, de prendre des responsabilités, de travailler dans un autre secteur, puis de réintégrer facilement l'enseignement ». suite et source: https://etudiant.lefigaro.fr/article/stage-alternance/elles-ont-quitte-la-france-pour-enseigner-au-canada-on-m-a-propose-un-salaire-trois-fois-superieur-20240822/
  8. Quitter Paris pour faire carrière au Québec Sonia Semere 2024-08-12 15:00:12 Carrière et Formation Comment faire sa place dans le milieu juridique québécois? Un jeune avocat français nous raconte son parcours… Morgan Guyot est avocat au sein du groupe droit des sociétés et droit commercial chez Fasken au bureau de Montréal. Celui qui a rejoint le cabinet il y a un peu plus d’un an vient tout droit de Paris. Après six années de pratique de l’autre côté de l’Atlantique, le jeune avocat a décidé de tenter sa chance au Québec. Mais alors, comment a-t-il fait le grand saut? Me Guyot nous explique qu’il existe un accord de reconnaissance mutuelle entre le Québec et la France pour reconnaître des équivalences dans certaines professions. C’est notamment le cas du métier d’avocat qui permet aux français de s’installer au Québec en passant un examen d’équivalence. Cela implique de passer un examen de déontologie et, dans certains cas, d’avoir des compléments pour certaines matières. La garantie de faire carrière au Québec? Pas si sûr… « Si j'ai un message à faire passer aux personnes qui suivent le même cursus, c'est que cet examen n’apporte pas tout de suite de la crédibilité sur le marché québécois ». Selon l’avocat français, il est essentiel de faire ses preuves dans la mesure où la compétition peut être rude face aux avocats québécois. « Il faut essayer de trouver des éléments qui nous différencient et montrer sa motivation, son envie d'apprendre, et puis arriver avec beaucoup d'humilité ». Développer son réseau Me Guyot explique également qu’il ne faut pas avoir peur de bien s'entourer. Trouver des bons mentors s’avère essentiel afin d’être épaulé sur la partie technique mais aussi mieux comprendre l'environnement d'affaires. « Le sport national québécois, c'est vraiment le réseautage », rappelle l’avocat. Pour sa part, celui-ci a été grandement aidé par la Chambre de Commerce et d'Industrie Française à son arrivée. Après un an d’expérience dans le milieu juridique québécois, quelles différences notables recense-t-il? Il souligne le côté entrepreneurial des avocats à Montréal. Contrairement à la France, les opportunités d’ascension arrivent beaucoup plus rapidement. « Le fait de devenir associé par exemple, on peut se poser la question dès la septième ou huitième année ». Dès le début de sa pratique, il faut ainsi réfléchir à son positionnement, son plan d'affaires et le type de clientèle qu'on souhaite développer. « C'est assez stimulant, ça met tout de suite pas mal de responsabilités sur les épaules, et puis ça donne envie de développer une clientèle assez vite ». Côté mentor, Me Guyot explique qu’il a pu choisir une personne de référence dès son arrivée chez Fasken. source et suite : https://www.droit-inc.com/article/45171/quitter-paris-pour-faire-carriere-au-quebec
  9. Oui les délais de parrainage ont explosé ces derniers temps et aussi pour les enfants nés à l'étranger et qui sont séparés de leurs parents. Je vous suggère d'aller dans le sous-forum parrainage pour discuter de cela avec d'autres parrains afin d'avoir une idée des délais. https://forum.immigrer.com/forum/12-parrainages-et-mariages/
  10. Bravo pour votre persévérance ! Merci de nous raconter la suite en effet. Bonne installation
  11. Bonjour, D'autres ont eu des trajectoires un peu semblables pour un retour au Québec ou des hésitations entre la France et le Québec. Voici quelques témoignages : https://www.immigrer.com/categorie/faq/Questionnement-hesitation/ Bonne réflexion
  12. Malheureusement ce n'est pas possible de voir ce vidéo en dehors du Canada
  13. Très bonne question. Vous avez peut-être avoir plus d'éclaircissement dans la FAQ métier d'avocat : https://www.immigrer.com/categorie/faq/Metier-d-avocat/
  14. Des infirmières et infirmiers formés en Afrique de l’Ouest et recrutés par le Québec font face à des difficultés après avoir été retirés du programme de formation d’appoint de la province. Ils dénoncent le fait qu’un échec unique dans leur parcours de formation les exclut du programme, une possibilité dont ils disent n’avoir jamais été informés avant leur arrivée au Québec. C’est seulement après la pause des fêtes, lorsqu’une consœur n’est pas revenue en classe, qu’André* et ses camarades ont découvert qu’un échec signifiait leur exclusion du programme. L’enseignante, incapable de supporter la situation, a demandé une pause pour que les élèves puissent se défouler, se souvient André. “C’était des pleurs”, raconte-t-il. À la mi-juin, après près d’un an d’études au Cégep Beauce-Appalaches à Saint-Georges, André a appris qu’il avait échoué à la section pratique de l’avant-dernier module de sa formation. Cette nouvelle a entraîné une série de conséquences, notamment la perte de sa bourse d’études de 500 $ par semaine, de sa couverture d’assurance maladie et de son droit de travailler. Il se demande maintenant s’il ne rêve pas, espérant se réveiller de ce cauchemar. André est formel : s’il avait su que l’échec entraînerait de telles conséquences, il n’aurait pas quitté son emploi en Afrique ni déménagé sa famille au Québec. Il est maintenant confronté à des options limitées : rentrer chez lui ou travailler comme préposé aux bénéficiaires (PAB) au CISSS de Chaudière-Appalaches. Selon Mireille Gaudreau du CISSS de Chaudière-Appalaches, en cas d’échec, ils évaluent si la personne peut occuper un poste de PAB. Si c’est le cas et que la personne est intéressée, des démarches d’immigration sont entreprises pour obtenir un permis de travail fermé. Cependant, ce permis ne permet plus d’étudier au Québec. Le ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI) a déclaré qu’il pourrait également trouver un autre employeur prêt à entreprendre les démarches nécessaires pour obtenir un permis de travail. André, épuisé par cette situation, peine à subvenir aux besoins de sa famille. Radio-Canada a parlé à plusieurs autres participants du programme dans la même situation qu’André. Deux d’entre eux ont accepté de témoigner anonymement. Simon*, un autre participant, se sent trahi et explique qu’il avait l’impression de participer à une course où à tout moment, quelqu’un pouvait tomber. Le MIFI réfute ces accusations et assure que les partenaires du projet font tout leur possible pour aider les étudiants à réussir. En 2022, le gouvernement Legault a mis en place un programme pour recruter 1000 infirmiers et infirmières à l’étranger afin de combler les besoins de main-d’œuvre dans le secteur de la santé. Ce projet, nécessitant un investissement de 65 millions de dollars, implique trois ministères : le MIFI, le ministère de l’Enseignement supérieur (MES) et le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS). Les infirmiers et infirmières recrutés devaient suivre une formation d’appoint et obtenir une attestation d’études collégiales (AEC) de neuf à quatorze mois. Bien qu’ils aient assumé les frais de déménagement, plusieurs coûts d’immigration ont été annulés et ils ont bénéficié d’exemptions de frais de scolarité, d’allocations hebdomadaires et d’accompagnement pour trouver un logement et une garderie. Cependant, la formation s’est révélée plus difficile que prévu. Guillaume Boivin, directeur général de l’organisme Le Tremplin à Lévis, constate que la formation d’appoint a été mal expliquée aux participants. Ces derniers s’attendaient à une simple formalité, pensant qu’ils feraient le même travail qu’ils faisaient dans leur pays d’origine. Depuis les échecs, les participants se sentent floués et trompés. Ils rencontrent également des difficultés pour trouver un logement, une garderie ou un emploi pour leurs conjoints, ce qui ajoute au stress. Les participants ont été informés qu’ils devaient réussir leur formation d’appoint pour exercer en tant qu’infirmiers au Québec. En cas d’échec, ils peuvent reprendre le cours échoué, mais cela doit se faire dans le même cégep ou dans un cégep de la même région. Cependant, André et ses camarades n’ont pas la possibilité de réintégrer une cohorte avant l’expiration de leur permis d’études le 30 novembre 2024. Le MIFI envisage de lancer une nouvelle formation au Cégep de Thetford, mais la date de début n’est pas encore confirmée. Cyndia Lacasse du Cégep Beauce-Appalaches souligne que, bien que la rigueur soit nécessaire pour assurer la sécurité des patients, la situation actuelle est déplorable. Avec un taux d’échec de 27 % au campus de Saint-Georges et de 20 % au Cégep de Lévis, les participants ne comprennent pas pourquoi ils ne peuvent pas intégrer une autre région. L’OIIQ avait stipulé que les participants pouvaient reprendre leur formation en cas d’échec. Les participants de la phase 3 du programme ont un taux de réussite plus faible que les phases précédentes. Guillaume Boivin estime qu’il est crucial de mieux communiquer les réalités du Québec et les détails de la formation aux prochaines cohortes pour assurer le succès du programme. André, qui a quitté son pays pour répondre à la pénurie d’infirmiers au Québec, espère maintenant obtenir une seconde chance pour reprendre sa formation et atteindre son objectif. * Noms fictifs pour préserver l’identité de ces personnes. D’après le texte de Radio-Canada
  15. Article rédigé parAnne-Laure Dagnet Radio France Publié le 06/07/2024 06:56 De plus en plus d'infirmières choisissent de partir exercer au Québec. Malgré quelques inconvénients, elles y trouvent de meilleures conditions de travail et une meilleure reconnaissance. C'est le choix de franceinfo. Alors qu'on manque d'infirmières en France, plusieurs centaines d'entre elles partent chaque année travailler au Québec. Des équipes du ministère de la Santé québécois viennent tous les ans en France pour les recruter et les postulantes y trouvent leur compte au point que certaines décident de rester vivre sur place. à lire aussi"On a l'impression d'être des oubliés, dont tout le monde se fout" : comment la dissolution impacte les infirmiers et infirmières ? Tout commence au salon des infirmiers à Paris, terrain de chasse favori des équipes de Recrutement Santé Québec. Une délégation du ministère de la santé québécois vient jusqu'ici pour débaucher des infirmières françaises et ils n'ont pas eu de mal à convaincre Vanessa Desmarets. Elle était infirmière dans un grand hôpital parisien. "En France j'ai travaillé quatre ans et demi, je me suis retrouvée sur des horaires de nuit, alternés avec parfois des horaires de jour donc je me suis retrouvée avec des journées de 16 heures de travail, peu de temps pause, parfois pas de repas, j'hésitais entre arrêter la profession d'infirmière étant donné que je ne voyais pas d'autre choix de carrière pour moi que les soins critiques." Intégrées professionnellement et socialement Une fois la candidate ferrée, l'équipe de Recrutement Santé Québec s'occupe de tout : demande de visa, permis de travail, lieu du stage d'intégration, et ça va même bien au-delà. "Il n'a pas seulement l'intégration professionnelle, il y a l'intégration sociale aussi", souligne Luc Mathieu, président de l'Ordre des infirmiers au Québec. "Certaines personnes viennent avec leur conjoint, leurs enfants aussi, alors il faut s'occuper de ce volet-là aussi." Le Québec offre des conditions de travail assez avantageuses aux infirmières au point que Malou Leroy a repris goût au métier en arrivant sur place. "On a le temps pour faire notre travail, pour la relation d'aide avec le patient, pour les familles, c'est ce qui me manquait le plus en France". "On a cinq patients pour une infirmière, en France par exemple en Chirurgie j'avais 15 patients à ma charge. Ici on est beaucoup mieux payées, avec les médecins c'est totalement différent, on est reconnues à notre juste valeur". Un "bon métier", qui rapporte, selon le poste occupé, 30 à 50% de plus qu'en France. suite et source : https://www.francetvinfo.fr/sante/reportage-ici-on-est-reconnues-a-notre-juste-valeur-le-quebec-eldorado-des-infirmieres-francaises_6648192.html#xtor=CS2-765-[autres]-
  16. Bonjour, Nous comprenons vos inquiétudes. Je vous suggère de lire quelques réactions et infos de la section VISITE MÉDICALE des FAQ cela vous aidera j'espère à mieux comprendre le concept de "fardeau excessif" qui est problématique pour faire avancer son dossier d'immigration. https://www.immigrer.com/categorie/faq/Visite-medicale/ Bonne continuation
  17. Reportage : Marc-Antoine Mailloux Texte : Émeric Montminy Séduites par la qualité de vie et par «les beaux paysages, la forêt et les lacs», de plus en plus de familles françaises décident de quitter le Vieux Continent afin de s’établir au Québec. Katleen Rubinel affirme qu’elle et son conjoint Damien Bouasselim sont «tombés en amour» avec le Saguenay-Lac-Saint-Jean. Récemment installés dans la région, la famille composée de trois enfants est à la recherche d’un nouveau départ et d’une meilleure vie. «La vie de famille, c’est très compliqué au niveau des salaires et de beaucoup de choses comme la qualité de vie», a confié Mme Rubinel à Noovo Info. À l’instar de Katleen Rubinel et de Damien Bouasselim, de nombreuses familles ont quitté la France en faveur du Québec cette année. En 2024, 260 familles ont choisi la province comme nouveau départ. 30 d’entre elles ont décidé de s’établir au Saguenay-Lac-Saint-Jean. suite et source : https://www.noovo.info/video/cout-de-la-vie-de-nombreuses-familles-quittent-la-france-pour-le-quebec.html
  18. Sébastien Desrosiers Publié le 28 juin à 14 h 37 HAE Des personnes séparées d'un conjoint à l'étranger jugent « inhumaine » la décision du gouvernement Legault de réduire environ de moitié le nombre de demandes traitées en matière de réunification familiale. La seule option qui me reste, c'est de déménager, lance Cynthia Bélanger, qui attend depuis 2022 d'être réunie avec son mari originaire de Cuba. C'est clair qu'il n'y a plus rien qui me retient ici, ajoute-t-elle, découragée. En entrevue avec Radio-Canada, Mme Bélanger évoque sans détour la possibilité de quitter le Québec, de vendre [sa] maison ici et de déménager dans une autre province pour essayer de bâtir quelque chose avec [s]on mari. La raison? La décision du gouvernement Legault, annoncée mercredi dans La Gazette officielle, d'imposer une limite quant au nombre de demandes de parrainage d'un membre de la famille qu'il peut recevoir. suite et source : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2084305/regroupement-familial-immigration-demenagement
  19. " Le Québec a décidé de limiter le nombre de demandes de réunification familiale qu’il traite, malgré les pressions pour augmenter les admissions dans cette catégorie. Un décret récent publié dans La Gazette officielle indique que seulement 13 000 demandes de parrainage seront traitées au cours des deux prochaines années, soit environ la moitié de la moyenne annuelle de 2022 et 2023. Selon le ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI), toute demande reçue après l’atteinte de ce plafond sera retournée sans frais d’examen. Cette mesure vise à réduire les délais de traitement et l’inventaire de 40 000 personnes en attente, mais elle est critiquée par des avocats en immigration et des groupes de soutien aux familles. Ils estiment que cette décision ne fait que déplacer le problème." source et suite : https://www.immigrer.com/quebec-reduit-le-nombre-de-demandes-de-reunification-familiale-acceptees/
  20. "Fin du « tour du poteau » pour certains temporaires Le gouvernement canadien a annoncé que les ressortissants étrangers ne pourront plus demander de permis de travail post-diplôme (PGWP) à la frontière entre les États-Unis et le Canada, une pratique couramment appelée “tour du poteau“. Cette mesure, annoncée par le ministre de l’Immigration, Marc Miller, vise à réduire l’utilisation de cette méthode pour accélérer les procédures d’immigration. Le “tour du poteau” est une stratégie utilisée par certains résidents temporaires au Canada pour contourner les délais d’attente des demandes en ligne. Cela implique de quitter brièvement le Canada pour se rendre aux États-Unis, puis de revenir immédiatement au Canada afin d’obtenir des services d’immigration le jour même à la frontière. Ce processus permet aux demandeurs de recevoir plus rapidement des permis de travail ou d’étude." https://www.immigrer.com/fin-du-tour-du-poteau-pour-certains-temporaires/
  21. Winnipeg pourrait bientôt avoir sa première école privée francophone Un couple français installé à Winnipeg veut créer un lycée français international dans la capitale manitobaine. Kamel Fekiri et Chérifa Bachiri visent une ouverture dès l’an prochain. Une telle initiative avait été évoquée à plusieurs reprises par l’ambassadeur de France et le consul de France à Toronto lors de leurs passages au Manitoba. En octobre dernier, le consul, Bertrand Pous, avait même manifesté l’espoir de voir une école de ce genre ouvrir d’ici quatre ans à Winnipeg. À l’heure actuelle, huit lycées français existent au Canada. Un neuvième doit ouvrir en septembre à Halifax, mais il n’y en a aucun entre Toronto et Calgary, ce qui nous fait quand même un espace de 3500 km vides d'écoles françaises, indique Kamel Fekiri, qui parle au nom du couple. Lui et sa femme, Chérifa Bachiri, doivent être les futurs copropriétaires et codirecteurs de l’école. Qu’est-ce qu’un lycée français? Un lycée français est le nom donné aux écoles privées internationales qui offrent le programme de l’Éducation nationale française et qui font partie du réseau de l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger (AEFE). L'AEFE est un réseau international qui compte 580 établissements dans 139 pays et qui scolarise 391 000 élèves, dont un tiers de Français. Les huit lycées français qui existent au Canada sont à Ottawa, à Québec, à Montréal, à Toronto, à Calgary et à Vancouver. 20 élèves par classe au maximum Le couple veut accueillir des élèves dès la maternelle. On aimerait que l’école commence dès l’âge de 3 ans et qu’elle aille jusqu’à la sixième année, précise Kamel Fekiri, qui a déjà été directeur d’école en France. On vise un maximum de 20 élèves par classe, et ajouter progressivement des niveaux pour arriver à moyen terme, on espère, à l’ouverture du secondaire jusqu’à la douzième année, poursuit-il. Source et suite
  22. Treize coups de sabre et sept opérations plus tard, Lisa Mahmoud, survivante de l’attaque du meurtrier de l’Halloween dans le Vieux-Québec, aimerait pouvoir tourner la page et se consacrer pleinement à son rêve d’opérer son propre salon de coiffure dans la capitale. Mais cette Française d’origine, qui se relève à peine des traumatismes qu’elle a vécus en 2020, ne pensait pas devoir entamer un autre parcours du combattant : celui pour obtenir sa résidence permanente au Québec. « Déjà, j’ai dû gérer toute ma réadaptation physique et mentale, et là, je réalise que ça fait cinq ans que je me bats avec l’immigration. Je n’ai jamais vraiment eu d’aide », a dit la jeune femme, en entrevue avec Le Devoir. « C’est un gros parcours du combattant. Je ne sais toujours pas exactement quel sera mon avenir dans quelques mois. » Le soir du 31 octobre 2020, Lisa Mahmoud rentrait chez elle avec son ami en passant par le Petit Champlain. Dans cette atmosphère festive d’Halloween, un homme déguisé en samouraï a soudainement agressé au sabre japonais plusieurs passants. Âgé de 26 ans, Carl Girouard sera accusé, et finalement jugé coupable en mai 2022, de deux meurtres au premier degré et de tentative de meurtre au premier degré sur cinq autres personnes qui ont survécu à leurs blessures, dont Lisa Mahmoud. « Cet événement-là, ça m’a stoppé net. Ça a arrêté toute ma vie à ce moment-là. Ma vie de A à Z », confie la coiffeuse, âgée de 28 ans aujourd’hui. La jeune femme, qui ne s’attendait pas du tout à cette brutale agression, avait même souri au meurtrier, le voyant ainsi déguisé. Les cris de son compagnon et son manteau d’hiver lui ont peut-être évité le pire, avait-elle confié à des médias peu de temps après le drame. « Ça a été très très difficile », dit-elle. « J’ai choisi de vivre ici » Après une hospitalisation d’urgence, la jeune Française est retournée dans son pays pour vivre cette épreuve auprès des siens et entamer sa réadaptation. « J’ai eu sept opérations en trois ans. J’avais de gros problèmes au niveau de mes bras, de ma main et de mon épaule », raconte-t-elle. Lisa-Marie Gervais Source et suite : https://www.ledevoir.com/societe/814752/victime-attaque-sabre-vieux-quebec-deplore-longs-delais-immigrer
  23. Bonjour, Vous avez plus de discussions sur les délais et les procédures dans cette partie du forum : https://forum.immigrer.com/forum/19-salle-dattente-échanges-de-dates/
  24. Vous avez regardé dans la classification nationale des professions du Canada ? https://www.immigrer.com/classification-nationale-professions-canada/
  25. Merci de ce retour 12 ans plus tard ! Votre fille née au Canada est Canadienne en effet, et comme vous dites elle pourrait vous parrainer un jour au besoin. Bonne suite
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