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Gabriel Ouimet 4 octobre 2023 16H10 MISE À JOUR 5 octobre 2023 08H26 «On va avoir un gros problème dans les prochains mois»: un exterminateur qui travaille à Montréal avertit que l’épidémie de punaise de lit qui secoue actuellement la France risque de bientôt arriver au Québec. À en croire les vidéos qui circulent sur les réseaux sociaux, les punaises de lit seraient partout en France depuis quelques semaines: dans les hôpitaux, les cinémas, les hôtels, les transports en commun, les maisons, etc. Le gouvernement n’avance pas de chiffre précis sur l’augmentation de ces insectes. Le syndicat qui représente les experts français en désinfestation soutient pour sa part que le nombre de traitements effectués par ses membres a bondi de 65% cet été comparativement à la même période l’an dernier. Une situation qui pourrait s’expliquer par le fait que plusieurs centaines de voyageurs en provenance de la France débarquent chaque jour dans la métropole, et que le déplacement des personnes est considéré comme une des causes majeures de propagation de ces insectes, rappelle-t-il. «Il ne faut prendre aucun risque» Sachant que les punaises de lit se propagent vite et qu’elles s’accrochent à des valises ou à des vêtements sans qu’on s’en rende compte, l’expert conseille aux gens qui arrivent de France de «ne prendre aucun risque». «Il faut stériliser absolument toutes vos choses dès que vous arrivez à la maison. Une heure à la sécheuse à haute température. C’est très important. Ça tue même les œufs», insiste-t-il. Si vous constatez la présence de punaise dans votre logement malgré ces précautions, M. Loumrhari recommande de faire appel à un professionnel. N’essayez pas de vous débarrasser vous-même des de ces insectes, vous pourriez aggraver le problème, ajoute-t-il. «Les experts peuvent s’en débarrasser facilement, mais il faut bien les connaitre. Il y a une petite partie d’échecs à jouer contre eux», conclut-il source et suite : https://www.24heures.ca/2023/10/04/epidemie-de-punaises-de-lit-en-france-un-exterminateur-craint-le-pire-pour-montreal
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Les deux médecins d'origine française ont vu leur permis temporaire être refusé à cause d'une erreur
immigrer.com a répondu à un(e) sujet de immigrer.com dans Québec
En effet ! Une chroniqueuse de La Presse en a même fait un billet aujourd'hui. https://www.lapresse.ca/actualites/chroniques/2023-10-02/une-couille-dans-le-potage.php?sharing=true -
2700 patients perdent leur médecin de famille à cause d'Immigration Canada Les deux médecins d'origine française ont vu leur permis temporaire être refusé à cause d'une erreur banale Deux médecins des Laurentides d’origine française, au Québec depuis cinq ans, sont forcés de laisser en plan au moins 2700 patients, car Immigration Canada a refusé de renouveler leur permis temporaire, les empêchant de travailler. « On n’a aucun statut en ce moment [...]. C’est dramatique de ne plus pouvoir travailler, juste pour une histoire de papiers », déplore le médecin Jean-Louis Ménard. Il est aussi interdit à leurs enfants, de 12 et 19 ans, de travailler ou d’aller à l’école. 2700 patients à leur charge, sans compter ceux sans rendez-vous et les heures à l’hôpital local. La famille est au Québec depuis cinq ans. Leur demande pour obtenir la résidence permanente a été acheminée en bonne et due forme il y a plus de deux ans. Ce qui devait prendre de 18 à 20 mois est resté sans réponse. En attendant, ils doivent constamment renouveler leur permis temporaire pour vivre ici. En février, Mme Branco a entamé un quatrième renouvellement en vue de l’échéance en mai. Sans nouvelles en mai et en juin, elle a fait appel à sa députée locale et à son personnel pour l’aider. « Tout était en règle », assure Mme Branco, qui bénéficiait alors d’un permis implicite lui permettant de continuer de travailler, mais qui lui interdisait de quitter le pays. Mauvais document Elle devait faire un suivi en septembre. Et c’est là qu’elle a découvert qu’elle avait commis une erreur en téléchargeant un mauvais reçu dans sa demande. Rapidement, le bon fichier a été envoyé aux fonctionnaires. Mais ce qu’elle ignorait, c’est qu’elle n’avait pas vu un message d’Immigration Canada à la fin juillet l’informant de l’erreur et lui donnant une semaine pour la corriger. Elle reconnaît sa faute, mais Mme Branco rappelle que « cette histoire avait quand même été réglée ». Rien à faire, leur permis est refusé. suite et source
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CLARA LOISEAU Jeudi, 28 septembre 2023 12:00 MISE À JOUR Jeudi, 28 septembre 2023 12:00 De futurs infirmiers recrutés à l’étranger pour garnir les rangs du réseau de la santé québécois peinent à trouver un logement alors qu’ils se préparent à venir au Québec. « Personne ne nous avait prévenus que ça allait être si difficile quand on est venu nous chercher. Il faut que le gouvernement ait des alternatives ! Je n’ai pas les moyens de vivre à l’hôtel », raconte depuis Marrakech un infirmier de 33 ans. Il a demandé à taire son identité pour ne pas nuire à ses recherches de logement au Québec. Depuis qu’il a eu son visa de travail il y a un mois, il cherche un appartement, en vain. La pression commence à être de plus en plus importante parce qu’il posera ses valises à Montréal le 5 octobre. « Les loyers sont incroyables à Montréal ! Je vois des studios à 1200 $ dans des états pitoyables. Je me prépare à galérer un peu et peut-être devoir dormir chez des gens en attendant », ajoute celui qui pratique le métier d’infirmier depuis plus de dix ans. À Montréal, ces futurs infirmiers et infirmières, recrutés à l’étranger par le ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI), font partie des dernières cohortes à arriver au Québec. Avant de s’intégrer au réseau de la santé, ils doivent suivre un programme d’appoint de l’Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ) pour faire reconnaître leurs compétences et ainsi obtenir leur permis de pratique. « Moi je viens pour améliorer mes compétences et aider les Québécois, je suis prêt à travailler beaucoup pour ça. Mais avec la pénurie de logements, je me demande si je fais vraiment le bon choix de venir », se questionne le trentenaire marocain. suite et source : https://www.journaldemontreal.com/2023/12/28/crise-du-logement--de-futurs-infirmiers-recrutes-a-letranger-sont-incapables-de-se-trouver-un-toit-avant-leur-arrivee
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Ce merveilleux programme permet aux étudiants étrangers étudiant en français de faire de grands économies sur les études au Québec en région et dans un CEGEP ou une université québécois dans des programmes en demande et en pénurie sur le marché du travail. Depuis septembre 2023, de nombreux étudiants internationaux profitent déjà de ce programme de réduction des frais de scolarité. Voici les programmes d'études en français qui sont prioritaires et concernés par ce programme : les technologies de l’information; le génie; la santé et les services sociaux; l’éducation; les services de garde éducatifs à l’enfance. Pour les détails pour ce programme, voici le lien : https://www.quebec.ca/education/etudier-quebec/aide-financiere-etudiants-internationaux/exemption-droits-scolarite-supplementaires-selon-programme-region
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Mon avenir
immigrer.com a répondu à un(e) sujet de seif16 dans Chiffres et études sur le marché de l'emploi
Aussi cette info: https://www.quebec.ca/education/etudier-quebec/aide-financiere-etudiants-internationaux/exemption-droits-scolarite-supplementaires-selon-programme-region -
Mon avenir
immigrer.com a répondu à un(e) sujet de seif16 dans Chiffres et études sur le marché de l'emploi
Pour avoir la liste de quelques universités principalement au Québec : https://www.immigrer.com/universites-canadiennes-selection-maison/ Voyez l'ÉTS de Montréal et les équivalences : http://www.etsmtl.ca/ Mais sachez qu'au CEGEP certaines formations spécialisées dans les domaines en pénurie peuvent coûter très peu en frais de scolarité : https://www.immigrer.com/gratuite-scolaire-pour-les-etudiants-etrangers/ Avec un diplôme québécois les portes du marché du travail du Québec s'ouvrent plus facilement et la résidence aussi. -
Québec ouvre la porte à plus d’omnipraticiens
immigrer.com a posté un sujet dans Médecins, infirmières et pharmaciens
Isabelle Porter et Marie-Eve Cousineau 22 septembre 2023 Santé Le nombre de postes disponibles en médecine familiale passe cette année à 449, soit 37 de plus que l’an dernier. Une hausse bienvenue, qui risque toutefois de ne pas compenser les nombreux départs à la retraite dans la profession. Comme à chaque automne, le ministère dévoile ce vendredi combien de postes seront ouverts aux nouveaux médecins dans chacune des régions du Québec : 93 à Montréal, 30 à Québec, 14 dans le Bas-Saint-Laurent et ainsi de suite. Dans le jargon, on appelle cela les plans régionaux d’effectifs médicaux (PREM). Cette annonce survient alors que le nombre de médecins de famille dans le réseau public est en décroissance. Comme le rapportait Le Devoir cette semaine, le Québec a perdu plus d’omnipraticiens qu’il en a gagné en 2022-2023 avec un bilan négatif de 49 postes, une première en 30 ans. Auparavant, l’augmentation du nombre de postes dans les PREM permettait de compenser les départs, mais pas cette année, avance le porte-parole de la Fédération des omnipraticiens du Québec (FMOQ), Jean-Pierre Dion. Qu’en sera-t-il en 2023-2024 ? « On va le savoir l’année prochaine », dit-il. Le ministre de la Santé, Christian Dubé, espère de son côté que les « allégements » qu’il a apportés au système des PREM permettront de pourvoir les postes plus facilement et convaincront davantage de jeunes médecins de rester dans le réseau public. Car, bon an mal an, les postes qui sont affichés dans les PREM ne trouvent pas tous preneurs et restent parfois vacants, surtout en région éloignée, alors que plus de 10 % des Québécois sont toujours sans médecin de famille. Plus de choix et moins de surprises Au Québec, les postes en médecine familiale sont distribués par l’entremise des PREM, un système qui a été mis sur pied au début des années 2000 pour faire en sorte que les régions aient toutes des médecins en nombre suffisant. Pour la première fois cette année, les finissants pourront notamment postuler dans deux régions et dans deux sous-régions. Les nouveaux médecins risquent en outre d’avoir moins de mauvaises surprises avec ce qu’on appelle les activités médicales particulières (AMP) associées à leur poste. Le système des AMP requiert de chaque médecin qu’il consacre 12 heures par semaine à une tâche spécifique à l’urgence, dans un CHSLD ou ailleurs, en fonction des besoins locaux. Les AMP constituent une source d’irritation pour beaucoup de jeunes médecins, qui héritent de tâches qui ne les intéressent pas ou dans lesquelles ils se sentent moins compétents. Désormais, les médecins postulants pourront indiquer leurs préférences en matière d’AMP au moment de soumettre leur candidature. Elles pourront dès lors être prises en compte au moment de l’entrevue, notamment. Autre allégement : les autorités locales en santé jouiront d’une autonomie totale pour choisir comment les postes de médecins seront distribués localement. suite et source: https://www.ledevoir.com/societe/sante/798603/sante-nombre-omnipraticiens-devrait-lentement-augmenter-2024 -
Sainte-Agathe-des-Monts Le tiers des médecins de famille s’en va Sainte-Agathe-des-Monts va perdre 14 médecins de famille en 24 mois, soit le tiers des effectifs des deux cliniques de la municipalité. Les médecins partent à la retraite ou vers le privé, laissant des milliers de patients orphelins. Cette vague de départs risque d’augmenter la pression sur l’hôpital Laurentien, déjà parmi les plus achalandés de la province. Mis à jour le 19 septembre ÉMILIE BILODEAULA PRESSE CE QU’IL FAUT SAVOIR Quatorze médecins de famille quitteront Sainte-Agathe-des-Monts d’ici la fin de l’année. Ces départs ont commencé en janvier 2022. Les Laurentides affichent l’un des pires taux d’occupation des urgences parmi les 17 régions de la province. Au moins 10 000 personnes risquent de se retrouver sans médecin de famille à cause de cette vague de départs. La Coalition Santé Laurentides s’inquiète que les patients se tournent vers les urgences des hôpitaux de la région. Le groupe de médecine de famille (GMF) des Sommets confirme que huit médecins sont partis ou partiront à la retraite d’ici la fin de l’année. Quatre autres poursuivront leurs activités dans une clinique privée et deux réorienteront leur pratique. Ce sont donc 14 des 40 médecins qui quittent les deux cliniques de la municipalité de 11 530 habitants. « C’est énorme, c’est vraiment énorme », laisse tomber France Lauzon, adjointe au médecin responsable du GMF. « Les médecins qui quittent à la retraite, ils suivaient un lot assez important de personnes. C’est donc beaucoup de patients qui vont malheureusement devenir orphelins », ajoute-t-elle. Ni le GMF ni le CISSS des Laurentides n’ont comptabilisé de données, mais au moins 10 000 personnes risquent de se retrouver sans médecin de famille. https://www.lapresse.ca/actualites/sante/2023-09-19/sainte-agathe-des-monts/le-tiers-des-medecins-de-famille-s-en-va.php
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Cri du coeur contre les délais du regroupement familial au Québec François Carabin à Québec Correspondant parlementaire 19 septembre 2023 Québec Les délais de traitement en réunification familiale s’étirent au Québec, et pour les familles prises dans ce dédale, la douleur s’aggrave. Invitées à témoigner à l’Assemblée nationale, mardi, trois femmes en attente de parrainage ont poussé un cri du coeur commun pour la réduction des délais du regroupement familial. Impossibilité de voir ses proches, incapacité d’accéder à l’assurance maladie ou d’élever un enfant : les conséquences des listes d’attente sont réelles, ont-elles raconté. Taline Nehme attend d’être réunie avec sa fille et son mari depuis décembre dernier. Son dossier de parrainage de sa famille n’a toujours pas été traité. « Ma fille, elle a 6 ans. Déjà, elle m’accuse [de l’avoir] abandonnée parce que je suis partie au Canada », a-t-elle affirmé lors d’une conférence de presse organisée par le député de Québec solidaire (QS) Guillaume Cliche-Rivard. source et suite : https://www.ledevoir.com/politique/quebec/798346/cri-coeur-contre-delais-regroupement-familial-quebec
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Le Nelligan nommé Meilleur hôtel au Canada par Travel+Leisure 14 septembre 2023 Neuf des dix hôtels urbains préférés des lecteurs du magazine Travel+Leisure au Canada se trouvent Québec et en Colombie-Britannique, selon une enquête réalisée par le magazine. La seule autre province représentée était l’Ontario, avec une propriété de Toronto figurant au classement. Dans le cadre de son enquête annuelle World’s Best Awards, Travel+Leisure demande à ses lecteurs de donner leur avis sur leurs expériences de voyage à travers le monde et d’élire les meilleurs hôtels, centres de villégiature, villes, îles, navires de croisière, spas, compagnies aériennes, etc. Près de 165 000 lecteurs ont répondu à l’enquête de 2023. Au total, plus de 685 000 votes ont été enregistrés sur plus de 8500 propriétés. Les hôtels ont été classés comme hôtels de villégiature, hôtels de ville ou lodges de safari en fonction de leur emplacement et de leurs équipements. Ils ont été notés la qualité de leurs chambres/installations, emplacement, service et nourriture. Les lecteurs ont nommé deux raisons principales d’aimer les hôtels de luxe de Montréal : des vues fantastiques sur la ville et un sens de l’histoire. C’est d’ailleurs en partie pour ces raison que la première place cette année est revenue à une propriété historique de Montréal, l’Hôtel Nelligan. Répartie sur quatre bâtiments datant du milieu à la fin des années 1800, la propriété a eu de nombreuses vies, notamment comme entrepôt de tissus, laboratoire pharmaceutique, entreprise de papier et usine de lampes et de tables. Aujourd’hui, c’est un hôtel-boutique de 105 chambres que les lecteurs adorent pour son emplacement à proximité du fleuve Saint-Laurent, de la basilique Notre-Dame et du front de mer du Vieux-Port. Le toit-terrasse saisonnier a également été loué. À la deuxième place du classement figure le Place D’Armes Hôtel & Suites. « L’emplacement est parfait dans le Vieux-Montréal, en face de la place et à quelques pas de la gare, a déclaré un lecteur. La pièce était immense, avec de nombreuses grandes fenêtres et pleine de caractère. » À Québec, l’Auberge Saint-Antoine (n° 3), déjà lauréate, — connue pour ses bâtiments des 18e et 19e siècles et ses expositions d’objets du 17e siècle — a reçu des éloges pour son hospitalité exemplaire. « Le personnel est extraordinaire dans tous les départements », a partagé un électeur. Voici le classement complet : 1. Hôtel Nelligan (Montréal, Québec) - Note : 96.24 2. Hôtel Place D’Armes (Montréal, Québec) - Note : 95.76 3. Auberge Saint-Antoine (Québec, Québec) - Note : 95.26 4. The Ritz-Carlton (Toronto, Ontario) - Note : 93.64 5. Rosewood Hotel Georgia (Vancouver, Colombie-Britannique) - Note : 93.14 6. Pan Pacific Vancouver (Vancouver, Colombie-Britannique) - Note : 92.47 7. Magnolia Hotel & Spa (Victoria, Colombie-Britannique) - Note : 92.00 8. Fairmont Pacific Rim (Vancouver, Colombie-Britannique) - Note : 91.08 9. Four Seasons Hotel Montréal (Montreal, Québec) - Note : 90.86 10. JW Marriott Parq Vancouver (Vancouver, Colombie-Britannique) - Note : 90.44 Suite et source : https://www.hrimag.com/Le-Nelligan-nomme-Meilleur-hotel-au-Canada-par-Travel-Leisure
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Lisa-Marie Gervais 13 septembre 2023 Société Des problèmes administratifs entre les ministères fédéral et provincial de l’Immigration ont semé l’émoi chez de futurs résidents permanents qui vivent déjà au Québec. Le mois dernier, ces personnes, parrainées par leur conjoint ou conjointe via le programme de réunification familiale, ont eu la mauvaise surprise d’apprendre que leur dossier avait été initialement refusé parce que le certificat de sélection du Québec (CSQ) n’avait jamais été reçu par Immigration Canada. « Puisque votre répondant n’a pas fourni de CSQ comme preuve qu’il/elle satisfait aux exigences provinciales, […] [il] est donc inéligible [sic] à parrainer votre résidence permanente », peut-on lire dans une lettre d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) consultée par Le Devoir. Me Joanie Landry, du cabinet Athena, a des clients qui ont reçu une telle lettre, et elle n’est pas la seule. Il y a un mois, de nombreux avocats en immigration ont commencé à échanger sur ce refus soudain qui touchait de nombreux couples engagés dans un parrainage. Quel est le problème ? Le ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI) a pourtant confirmé avoir envoyé dans les délais (soit moins de 30 jours) les CSQ en question. .... IRCC reconnaît le problème Vérification faite : IRCC dit avoir récemment été mis au courant d’un « délai administratif » dans la transmission des certificats de sélection du Québec de plus de 300 dossiers. Se gardant bien d’attribuer la faute à son ordre de gouvernement ou à celui du Québec, le ministère fédéral assure que le problème est maintenant réglé. « Les CSQ retardés ont été ajoutés aux dossiers, et les dossiers touchés continuent d’être traités », a déclaré au Devoir la porte-parole Isabelle Dubois. .... source et suite : https://www.ledevoir.com/societe/797887/immigration-plus-300-dossiers-parrainage-quebec-refuses-cause-cafouillage-administratif
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Les étudiants d’HEC Montréal viennent de tous les pays francophones, de France mais aussi du Maroc et de Tunisie. Crédits photo: HEC Montréal ENTRETIEN - Né à Montréal, d’un père italien et d’une mère francophone, Federico Pasin nous fait découvrir HEC Montréal, école de commerce québécoise fondée en 1907. Federico Pasin est venu à Paris nous parler de la plus ancienne école de commerce du Canada. Créée par la Chambre de commerce de Montréal en 1907, elle s’est inspirée des meilleures écoles européennes comme HEC Paris et l’ESCP. Le premier directeur, Auguste-Joseph de Bray, était d’ailleurs un jeune professeur belge de 33 ans. Accessible après le bac, son BBA en quatre ans est très prisé des étudiants francophones. HEC Montréal possède trois accréditations, Equis, AACSB et Amba. LE FIGARO ETUDIANT- Pourquoi un Français irait à HEC Montréal alors qu’il existe d’excellentes écoles de commerce en France? Federico PASIN- L’intérêt pour un jeune est d’avoir une expérience nord-américaine tout en étant dans un pays ayant un lien de parenté avec l’Europe. Un jeune Français peut postuler directement à HEC Montréal, sans faire de classes préparatoires ni d’années d’université. Il entrera directement en BBA en quatre ans, que nous appelons le baccalauréat. L‘autre gros avantage est le multilinguisme, puisque les jeunes qui viennent à HEC Montréal doivent étudier à la fois en anglais et en français. Ainsi, ils feront de la comptabilité en français et de la finance en anglais. Le trilinguisme est aussi possible avec l’espagnol. Enfin HEC Montréal est l’école de commerce canadienne qui propose le plus important programme d’échanges internationaux. Comment se déroule la première année d’études à HEC Montréal? La première année est une année générale. Les étudiants apprennent à se mettre au travail de manière autonome. C’est une année indispensable pour se mettre au niveau des Québécois qui finissent leur lycée un an après les Français. Les étudiants ont environ quinze heures de cours hebdomadaires. Pour une heure de cours en classe avec le professeur, deux à trois heures de travail personnel sont nécessaires. En effet, les professeurs attendent des étudiants qu’ils aient travaillé avant de venir en classe pour pouvoir être actifs pendant le cours, prendre part aux débats. La salle de classe est considérée comme un lieu d’échange. Si l’étudiant n’a pas effectué son travail en amont, il ne pourra pas s’y investir. Tout est fait pour que les étudiants participent activement, y compris la taille des groupes. Ils sont environ une soixantaine en classe pour que tout le monde se connaisse. Quel est le profil des étudiants qui viennent à HEC Montréal? En premier cycle, pour le BBA en quatre ans, nous accueillons des Canadiens bien sûr mais aussi des jeunes venus du monde francophone, d’Afrique avec de nombreux Marocains Tunisiens, Algériens mais aussi des Belges par exemple. Par la suite en MSC, puisque le cursus peut être totalement en français ou en anglais, nous avons également des étudiants non francophones notamment des Chinois et des Indiens. En première année du BBA (année préparatoire pour les étudiants non issus du système québécois), un peu plus d’un étudiant sur deux est de nationalité française. À l’issue de cette première année, les Français retrouvent tous les Québécois et ne représentent plus que 12% des effectifs du programme. Comment sélectionnez-vous les candidats? Nous prenons 250 étudiants en première année. Nous prenons les étudiants ayant eu leur bac avec mention bien au minimum, ayant conservé les maths en première et en terminale. Nous regardons les bulletins de première et le bulletin du premier trimestre de terminale car la date de fin des inscriptions est fixée au 15 février. Le coût des études est de 10 500 dollars canadiens par an (environ 7000 euros) pour les Français et les Belges francophones, grâce à un accord bilatéral avec le Québec. Certains viennent sans doute dans l’espoir de faciliter leur arrivée dans le pays? N’est-ce pas un problème? Nous sommes très rigoureux sur la sélection des candidats étrangers. Si nous avons un doute sur le niveau du candidat, nous n’hésitons pas à contacter son établissement d’origine. Nous sommes bien conscients que des candidats viennent pour s’installer au Canada, car la procédure est plus facile si l’on vient d’abord pour y étudier. Mais c’est très bien vu des Québécois qui pensent que venir en passant par une université leur donnera le temps de s’habituer à la vie locale. Tous les atouts sont là pour avoir une immigration de grande qualité. Car le Canada cherche à attirer des migrants, certains restaurants ferment faute de personnel. Mais nous cherchons aussi des diplômés en finance et en comptabilité. suite et source: https://etudiant.lefigaro.fr/article/federico-pasin-hec-montreal-passer-par-une-universite-est-une-facon-judicieuse-d-immigrer-au-canada_cca9b016-2634-11ee-b73e-f8f9fcecead6/
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Ces étudiants qui choisissent Montréal pour fuir « un système encore très rigide, très théorique » en France Par Hélène Jouan (Montréal, correspondante) Publié aujourd’hui à 09h00, modifié à 12h07 ReportageLes étudiants étrangers n’ont jamais été aussi nombreux à venir faire leurs études au Canada. Parmi eux, 3 400 jeunes hommes et femmes venant de France qui ont fait leur rentrée à l’université de Montréal. Quand la musique d’Alors on danse, de Stromae, retentit dans l’immense stade du centre d’éducation physique et des sports de l’université de Montréal (UdeM), au pied du mont Royal, le poumon vert de la ville, quelques milliers d’étudiants se lèvent comme un seul homme et lancent des avions de papier bleus et blancs, les couleurs de la faculté. Dans les gradins, quelques-uns prennent des selfies qu’ils pourront envoyer à leurs parents. Pour accueillir les quelque 12 000 nouveaux étudiants inscrits en cette rentrée, la plus importante université francophone du Canada a organisé un véritable show, ce 29 août : distribution de pop-corn à volonté, démonstration de l’équipe-maison de cheerleading (un mélange de pom-pom girls et d’impressionnantes figures acrobatiques) et défilé sur scène des étudiants de deuxième ou troisième année nommés « ambassadeurs » venus témoigner que l’UdeM est « devenue [leur] nouvelle maison », insister sur la nécessité de se « relaxer pour profiter de ses plus belles années » ou encore s’engager « à être toujours présent » pour les petits nouveaux, « afin de faciliter leur intégration ». suite et source: https://www.lemonde.fr/campus/article/2023/09/05/pour-echapper-au-stress-de-parcoursup-de-plus-en-plus-d-etudiants-francais-choisissent-montreal_6187877_4401467.html
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Date de mise en place des nouvelles mesures d'immigration francophone (?)
immigrer.com a répondu à un(e) sujet de Tomtomtom dans Québec
Il y a eu une mise à jour de cette page à la fin juin 2023 : https://www.quebec.ca/education/etudier-quebec/rester-apres-etudes -
Un cuisinier Français installé depuis 2017 risque l’expulsion du Canada
immigrer.com a répondu à un(e) sujet de Laurent dans Québec
Finalement il pourra rester au Canada : https://www.lanouvelle.net/actualites/lorenzo-elie-favilli-pourra-rester-au-canada/ -
Le Canada expulse de son territoire un des piliers du milieu du cinéma bas-laurentien. Simon Croz, d’origine française, doit plier bagage malgré un soutien unanime de sa communauté. En cause : la cahoteuse transition numérique du ministère fédéral de l’Immigration. Alors que le Canada cherche à attirer un demi-million d’immigrants par année, Simon Croz peine à comprendre cet avis d’expulsion. Lui qui est enraciné depuis sept ans en région, lui qui est en couple avec une Québécoise, lui qui siège à tous les conseils d’administration en cinéma du coin, lui qui veut attirer d’autres immigrants en dehors de Montréal, il n’a pourtant d’autre option que de quitter le pays à la fin du mois d’octobre. « On coche toutes les cases, et même plus, et on est refusés », souffle-t-il en entrevue, maintenant à court de ressources et d’économies, lui qui est sans revenu depuis trois mois. Il détaille, devant une pile de documents, le cul-de-sac administratif dans lequel il se trouve aujourd’hui. Arrivé au pays en 2016 grâce à un permis d’études, il obtient facilement un permis de travail par la suite. En août 2022, il demande sa résidence permanente et une prolongation de son permis de travail. Parrainé par sa conjointe, il n’a alors aucune crainte de ne pas pouvoir rester indéfiniment dans son nouveau chez-soi. Le premier accroc administratif vient de lui, reconnaît-il d’emblée. « J’ai mal interprété. Ils demandaient des renseignements additionnels sur la famille, et j’ai inclus ma famille en France. » Diligent, il renvoie son dossier, corrigé, à Ottawa. La réponse est laconique : « Nous ne sommes pas en mesure de compléter votre demande. » La feuille de papier est accompagnée d’une note expliquant ce refus. Le ministère a commencé une « transition vers la présentation numérique » des demandes d’immigration. Le gouvernement demande donc à Simon de soumettre « une autre demande ». « Je n’ai jamais été informé [de cette transition numérique] ! J’avais pourtant reçu une communication [du] gouvernement un peu plus tôt le même mois », dénonce Simon Croz. Pas découragé pour autant, il se tourne vers le nouveau site Internet du gouvernement. Cette fois, au lieu de pouvoir combiner en une seule demande son permis de travail et sa demande de résidence permanente, il doit ouvrir deux dossiers en parallèle. Les réponses encourageantes s’enchaînent. On lui demande de passer l’examen médical d’usage. Puis, il se soumet à la prise de données biométriques. Or, tout ce tracas lié à la transition numérique semble avoir repoussé le traitement du dossier hors du calendrier légal. Le verdict finit par tomber six mois plus tard : « Vous ne détenez pas de statut juridique au Canada et devez donc quitter le pays immédiatement, faute de quoi des mesures exécutoires pourraient être prises contre vous. » source et suite
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Posez votre question dans ce fil Arrima :
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https://registraire.umontreal.ca/documents-officiels/releves-de-notes-et-attestations/
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https://www.immigrer.com/les-etudiants-etrangers-pourront-travailler-plus-de-20-heures-par-semaine-au-canada/
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Il est triste de lire la situation que vous vivez avec votre ado. C'est un âge très difficile et fragile pour se sentir si isolé. Mais nous sommes qu'en début d'année scolaire, des inscriptions à des activités parascolaires pourraient peut-être aider. Et en effet le retour au pays est encore un autre bouleversement. Aussi, il existe des services d'aide pour les ados, comme "Tel Jeunes", des lignes téléphoniques ou en ligne où les jeunes échangent gratuitement avec des adultes qui ont une grande écoute et peuvent les accompagner, souvent des étudiants en psychologie. Il y a aussi une ligne pour les parents! Ça peut aider : https://www.teljeunes.com/ Ou carrément l'aide de psychologue au privé (https://www.ordrepsy.qc.ca/trouver-de-aide) ou au public (voir le CSLC) mais au public l'attente est longue. À ceci s'ajoute, le mal-être développé par plusieurs jeunes depuis cette pandémie et les cellulaires partout dans les écoles qui font en sorte que la communication est plus limitée parfois. Et c'est les jeunes avec le plus de difficulté avec la socialisation qui peuvent se cacher derrière les écrans et le cercle vicieux commence... Le ministre de l'éducation du Québec vient d'interdire les cellulaires en classe du primaire au secondaire, espérons que ça va aider. Certains réclament son interdiction au Cegep car les jeunes ne se parlent plus comme avant, comme le relate cet article d'aujourd'hui : https://www.lapresse.ca/actualites/education/2023-08-25/cellulaires-en-classe/les-eleves-des-cegeps-s-isolent.php?
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Banni à vie, un agriculteur de Saint-Jude dirigerait un réseau de travailleurs étrangers au noir Jean Lemay et des entreprises qui lui sont liées sont dans la mire de l'Agence des services frontaliers ERIKA AUBIN et NORA T. LAMONTAGNE Jeudi, 13 juillet 2023 00:00 MISE À JOUR Jeudi, 13 juillet 2023 00:00 SAINT-JUDE | Un agriculteur de la Montérégie banni à vie du programme de travailleurs étrangers temporaires aurait trouvé un nouveau stratagème pour employer des Latinos au noir et louer leurs services à des entreprises de la région. ERIKA AUBIN et NORA T. LAMONTAGNE Jeudi, 13 juillet 2023 00:00 MISE À JOUR Jeudi, 13 juillet 2023 00:00 SAINT-JUDE | Un agriculteur de la Montérégie banni à vie du programme de travailleurs étrangers temporaires aurait trouvé un nouveau stratagème pour employer des Latinos au noir et louer leurs services à des entreprises de la région. • À lire aussi: Le travailleur mexicain décédé dans un accident d’auto rêvait d’une vie meilleure pour ses filles • À lire aussi: Un conducteur qui multipliait les infractions sur la route tue un travailleur étranger • À lire aussi: Créances de 2,2 M$: Revenu Québec saisit les tracteurs et l’équipement d’un agriculteur À Saint-Jude, les gens de la place connaissent Jean Lemay comme un producteur agricole qui en mène large. Bien des Mexicains, eux, le désignent comme «el patrón». En octobre 2021, il avait été le premier employeur québécois interdit à jamais d'embaucher des travailleurs étrangers temporaires, vu ses nombreuses entorses aux lois. «C’est le pire cas que j’ai vu de ma carrière», affirme Michel Pilon, directeur général du RATTMAQ (Réseau d'aide aux travailleuses et travailleurs migrants agricoles du Québec). L'organisation avait dénoncé des retards de paiement de salaire, des logements insalubres et le «prêt» de main-d'oeuvre à d'autres entreprises. suite et source: https://www.journaldemontreal.com/2023/12/24/banni-a-vie-un-agriculteur-de-saint-jude-dirigerait-un-reseau-de-travailleurs-etrangers-au-noir
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Point du jourPublié le 10 juillet 2023 Une femme immigrante du Bangladesh a été forcée par trois hommes de la Saskatchewan à travailler 12 heures par jour sept jours sur sept sous peine de se voir retirer son permis de travail ou d'être dénoncée à la police. Les trois hommes ont depuis été arrêtés. D’après l’avocat au cabinet DK Law Chambers, maître Dieudonné Kandolo, ces employeurs ont tablé sur « l’ignorance de la dame » pour formuler ce type de menace. Il s'agit carrément de « trafic humain », selon lui. Or il précise que les employés victimes de cette forme d’abus ont tout de même des recours, ils peuvent s’adresser à l’Immigration, ou contacter la police pour faire état de trafic humain. Il y a des employeurs qui sont vraiment de mauvaise foi, qui profitent de la vulnérabilité de cette personne et de son ignorance, explique l'avocat. suite et source: https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/point-du-jour/segments/entrevue/449148/immigration-canada-abus-droits-restauration