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  1. Pour votre information https://www.immigrer.com/prolongation-des-permis-de-travail-pour-les-visiteurs-au-canada/
  2. Jean-Louis Bordeleau 14 mars 2023 Société Un couple franco-québécois a dû plier bagage et quitter à regret sa vie montréalaise devant un nouveau cul-de-sac d’Immigration Canada. Le gouvernement demande des papiers pour un enfant, alors qu’il n’était même pas encore né au moment d’amorcer les démarches. Le soleil de la Corse traverse la fenêtre de Stéphanie Riccini. Ce n’est pas pourtant de gaieté de coeur qu’elle se trouve en territoire français, pays natal de son conjoint. « Mon conjoint était devenu un touriste. On ne voulait pas être illégal au Québec. On a fait nos cartons et on est venus en France », raconte-t-elle. Le couple filait le parfait bonheur à Montréal. Elle travaillait dans le domaine judiciaire, tandis que lui roulait sa bosse en informatique. Le bonheur s’est multiplié lorsqu’un enfant a cogné à la porte de leur vie. Le petit Livio voit le jour en septembre 2021, en France. Leur train de vie a pris un triste tournant en mars 2022 quand le père, Olivier Riccini, a entamé ses démarches pour obtenir sa résidence permanente auprès d’Ottawa. Sa demande a été expressément rejetée par le fédéral. La raison évoquée par Immigration Canada : « Vous devez fournir le certificat de sélection du Québec (CSQ) délivré par la province de Québec pour Riccini, Livio [leur fils]. » Impossible de fournir un tel document. Québec exige plutôt que « l’enfant [soit] ajouté à la demande de CSQ de l’autre parent en attente de résidence permanente », selon un porte-parole du ministère de l’Immigration du Québec, qui a décliné l’invitation du Devoir à commenter le dossier pour des raisons de confidentialités. Ensuite, impossible pour eux d’ajouter l’enfant au certificat de sélection québécois, car il n’était pas né quand le formulaire a été rempli. « Mon enfant n’était même pas en création quand il l’a reçu ! Quand l’enfant n’est pas né, comment on s’y prend pour l’inclure dans un certificat de sélection ? » s’indigne Stéphanie Riccini. La naissance du petit Livio en France complique certainement la demande. « S’il était né ici, ça aurait pris une tangente différente », avance le porte-parole de Québec. « Comment [les services à Ottawa] en sont venus à cette demande-là ? La date de naissance est sûrement là », se demande la mère, maintenant résignée à vivre en France. « Ils sont passés totalement à côté. » Silence radio Des appels de part et d’autre pour obtenir des explications n’ont rien donné pour le couple. Stéphanie Riccini travaille quotidiennement avec « de la paperasse », et n’en revient pas de devoir consulter un avocat en immigration pour obtenir de l’information. « Je ne trouvais aucune information. Je ne trouvais rien qui m’indiquerait quelque chose à faire. J’étais un peu dans le néant. Pourquoi on me demande ça ? Est-ce qu’ils n’ont pas regardé les dates et pensent que c’est un enfant majeur ? Ou c’est vraiment une information qu’il me manquait, à moi. Mais, je ne peux pas trouver ça en ligne. » Leurs tentatives de parler à quelqu’un n’aboutissent à rien. Des messages automatisés leur répondent tant au provincial qu’au fédéral. « La seule communication reçue de la part des services d’immigration est une demande reçue deux fois à plusieurs mois d’intervalles afin que nous leur fassions parvenir le CSQ de notre fils qui est sur la demande. » suite et source: https://www.ledevoir.com/societe/785292/immigration-un-couple-franco-quebecois-s-est-vu-refuser-par-l-immigration-pour-un-enfant-pas-encore-ne
  3. Découvrir la Gaspésie au fil du Saint-Laurent, l’« extrême-orient » du Québec Parcs nationaux, oiseaux marins, baleines… Cette péninsule, dont la réputation s’étend bien au-delà du Québec (Canada), séduira tous les amoureux de la nature. Le cirque glaciaire, dans le Parc national de la Gaspésie, à Sainte-Anne-des-Monts. | CHARLOTTE HERVOT Voir en plein écran Ouest-France Charlotte HERVOT.Publié le 11/03/2023 à 16h00 Suivre le tracé du fleuve Saint-Laurent via la route des Navigateurs, sillonner les sentiers des parcs nationaux, observer les oiseaux marins et les baleines… La Gaspésie, péninsule située à l’extrémité est du Québec, attire de nombreux voyageurs en quête de panoramas et de grands espaces. Certains spots donnent directement sur le fleuve Saint-Laurent, comme ici à Cacouna. S’il n’y a pas (encore) d’interdiction d’y passer la nuit, il ne faut pas arriver trop tard sous peine de devoir faire demi-tour par manque de places. | CHARLOTTE HERVOT Par l’autoroute ou la route 132 Faire le tour de cette péninsule est l’un des road trips les plus populaires au Canada, que l’on entame soit par l’autoroute pour les plus pressés, soit par la route 132, coincée entre mer et montagnes. C’est la plus longue route de la province : 1 600 km. Elle traverse un chapelet de plus de cent vingt villes et villages, à commencer par Sainte-Flavie, la porte d’entrée de la Gaspésie. Entre forêt, montagne et eau salée Après une soirée à écouter le son des vagues et guetter les cétacés face à l’Île verte, direction le parc national du Bic, décrit comme le « joyau du Bas-Saint-Laurent ». Au début du printemps, les sentiers sont encore peu fréquentés, ce qui laisse le temps de se perdre au milieu de ces caps, baies, anses et îlots. Les paysages contrastent tout au long de la randonnée, entre forêt, montagne et eau salée. Pas de phoques de ce côté-ci du parc, où les pins gris centenaires s’élèvent sur les falaises escarpées. Le panorama depuis le belvédère de la Pinède achève de nous convaincre : ce parc est bien la porte d’entrée idéale pour explorer la région. Très cher Percé Avec Gaspé, Percé est l’autre arrêt incontournable de cette boucle d’environ 885 km. Dès l’arrivée dans le village, l’œil est attiré par le fameux Rocher de Percé, dressé au milieu de la baie. Quelques bateaux de pêcheurs et de touristes s’entrecroisent dans cette mer d’huile, l’arche naturelle du rocher en fond. suite et source: https://www.ouest-france.fr/le-mag/voyages/decouvrir-la-gaspesie-au-fil-du-saint-laurent-c0034efc-be84-11ed-8263-4fba0469f2b3
  4. STRASBOURG: UN RESTAURANT DE POUTINE PERD DES CLIENTS DEPUIS LE DÉBUT DE LA GUERRE EN UKRAINE L.R. avec AFP Le 04/03/2023 à 20:42 Part Le gérant du restaurant strasbourgeois "Les Poutinistes" estime avoir perdu jusqu'à la moitié de son chiffre d'affaires depuis le début de la guerre en Ukraine. Plat québécois emblématique, la poutine vaut depuis le début de la guerre en Ukraine quelques déboires au restaurant strasbourgeois "les Poutinistes", spécialiste de ce met roboratif, certains clients y voyant à tort une propagande pro-russe. "C'est surprenant ce qui nous arrive", confie à l'AFP Christophe Fliegans, le gérant de cet établissement qui fait également des livraisons à domicile depuis 2019. Celui-ci estime avoir subi une perte de "30 à 50%" de son chiffre d'affaires "depuis le début" du conflit. Des commentaires sur les réseaux sociaux Alors que les ventes à emporter sur les plateformes de livraison de cette spécialité à base de frites, fromage et sauce brune fonctionnaient jusque-là bien, notamment auprès des étudiants, "les choses ont assez vite basculé" après le début de l'invasion de l'Ukraine par la Russie de Vladimir Poutine, le 24 février 2022, se souvient-il. Ailleurs en France, d'autres restaurants proposant le même plat, notamment à Toulouse et Paris, ont commencé "à se faire chahuter", explique Christophe Fliegans. Au début, le restaurant strasbourgeois n'a eu droit qu'à "quelques commentaires sur les réseaux sociaux, sans plus", poursuit le restaurateur. L'établissement décide malgré tout de rajouter sur les plateformes de livraison "un emoticon drapeau canadien" à côté du mot "poutine", histoire de dissiper tout malentendu. Des "dérivés" de la poutine Mais un peu plus tard dans l'année, lors d'événements où ils proposaient le fameux plat québecois (Ososphère à Strasbourg, Eurockéennes de Belfort...), les choses virent à l'aigre : "On s'est fait insulter à plusieurs reprises", déplore Christophe Fliegans. La baisse des ventes de poutine, sans doute accentuée par un contexte inflationniste qui incite les consommateurs "à faire plus attention" à leurs dépenses, a poussé le restaurant, qui n'envisage pas de changer le nom du plat, à chercher d'autres solutions. "On a lancé il y a deux mois des bols de frites avec des sauces différentes", en somme des dérivés "de la poutine sans être de la poutine", explique Christophe Fliegans.
  5. Vous voulez faire un PVT au Canada? Un JP? Un stage Coop? C'est maintenant le temps de déposer votre candidatures. Les bassins d’Expérience internationale Canada pour la saison 2023 sont maintenant ouverts. Vérifiez si vous êtes admissible et soumettez votre profil : https://ircc.canada.ca/francais/travailler/eic/selection.asp https://www.immigrer.com/la-saison-2023-du-pvt-canada-ouvrira-le-9-janvier/iller/eic/selection.asp
  6. Privés de leur mère pendant plus d’un an Un Québécois a quitté le Cameroun avec ses deux enfants en attendant le parrainage de son épouse Denis G. Pilote regarde une photo de ses enfants, qu’il a emmenés avec lui au Québec, après avoir été contraint de quitter le Cameroun et d’y laisser son épouse. JEAN-FRANÇOIS RACINE Dimanche, 16 octobre 2022 00:00MISE À JOUR Dimanche, 16 octobre 2022 00:00 Incapable de rapatrier son épouse au pays pendant la pandémie, un Québécois a finalement été contraint de quitter le Cameroun avec ses deux enfants qui pourraient être privés de leur mère pendant un an ou deux. Marié depuis 2011 à une Africaine, Denis G. Pilote, 65 ans, est père de deux garçons âgés de 13 et 9 ans qui possèdent la citoyenneté canadienne. En raison d’une santé chancelante, l’homme originaire de Saguenay a pris la décision de quitter Douala sans son épouse après une quinzaine d’années de vie commune. Douala est la capitale économique du Cameroun, en Afrique centrale. Le sexagénaire a réussi à amasser un peu moins de 5000 $ pour rentrer au pays. Arrivé avec presque rien, il habite actuellement chez son frère à Sainte-Rose-de-Watford, dans la MRC des Etchemins, en Chaudière-Appalaches. Déjà en 2020, au haut-commissariat du Canada à Yaoundé, on lui avait précisé que seuls ses deux enfants pourraient voyager, mais pas son épouse. Inévitable « En dernier, j’avais de la difficulté à travailler. J’ai eu de l’aide de la famille et des amis pour revenir. Je n’avais pas le choix. S’il m’arrivait quelque chose là-bas, les enfants auraient pu en souffrir financièrement. Je veux qu’ils soient en sécurité et qu’ils reçoivent une bonne éducation. Leur mère sait qu’ils sont mieux ici. Ils se sont adaptés vite, même s’ils s’ennuient beaucoup d’elle », a expliqué M. Pilote en parlant de sa conjointe et de ses garçons, Grégory et Alphonse, qui viennent de commencer l’école. Pour l’instant, seule une procédure de parrainage semble possible afin de permettre à leur mère de venir les rejoindre. « Ça me prend cinq ou six mille dollars pour faire des démarches. Il faut que je ramasse cet argent-là », ajoute M. Pilote. Un montant corroboré par Me Reynaldo Marquez, avocat spécialisé en immigration et fondateur du cabinet Lex Boréal. Outre les honoraires professionnels, il faut compter les frais d’immigration et les frais médicaux. suite et source: https://www.journaldemontreal.com/2022/10/16/prives-de-leur-mere-pendant-plus-dun-an
  7. Une grande nouvelle pour les étudiants internationaux déjà sur place! https://www.immigrer.com/les-etudiants-etrangers-pourront-travailler-plus-de-20-heures-par-semaine-au-canada/
  8. FRANCIS HALIN Jeudi, 6 octobre 2022 00:00MISE À JOUR Jeudi, 6 octobre 2022 06:26 Alors que le premier ministre Justin Trudeau écarte l’idée de donner plus de pouvoir en immigration au gouvernement du Québec, nos entreprises n’en peuvent plus d’attendre leurs travailleurs étrangers temporaires à cause du fédéral. «On devait avoir les premiers en novembre ou décembre 2021, et on les attend toujours. C’est vraiment problématique», déplore Catryn Pinard, PDG de Nationex, une entreprise familiale longueuilloise de 600 employés. «Ce sont une dizaine de manutentionnaires de nuit ou de soir syndiqués payés entre 20 $ et 22 $ l’heure», poursuit la dirigeante de l’entreprise de transport de colis avec une vingtaine de centres de tri au Québec et en Ontario. suite et source: https://www.journaldequebec.com/2022/10/06/travailleurs-etrangers-temporaires-la-lenteur-immonde-du-federal-freine-les-entreprises-du-quebec
  9. Commentaires Louis-Philippe Arsenault Publié hier à 19 h 02 La numérisation des services d'immigration cause des retards importants pour plusieurs nouveaux arrivants. Deux ans après le début de la pandémie, le Centre multiethnique de Québec est encore régulièrement témoin des répercussions du nouveau système informatisé. La pandémie a entraîné des retards pour toutes sortes de raisons, indique la directrice du Centre multiethnique de Québec, Natacha Battisti. La mise en place de nouveaux systèmes en ligne, on ne retourne pas tous les nouveaux formulaires en ligne non plus dans Service Canada et Services Québec. La fermeture des frontières et l'imposition du télétravail au printemps 2020 ont aussi chamboulé les délais de traitement des dossiers. Il s'écoule maintenant souvent trois semaines entre la demande et l'obtention d'un numéro d'assurance sociale ou d'une carte soleil de la RAMQ, soutient Mme Battisti. Quand je n'ai pas le numéro d'assurance sociale avant vingt jours ou vingt-cinq jours, je ne peux pas aller faire de recherche de logement, je ne peux pas faire de demandes d'aide financière. La difficulté d'obtenir des ressources au téléphone contribue à la problématique lorsqu'il y a de nouveaux arrivants qui vivent des situations plus complexes. suite et source: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1921758/nouveaux-arrivants-retard-informatique-teletravail
  10. Heures travaillées et non payées, frais illégaux et menaces : une employée immigrante sonne l’alarme. Francis Plourde Publié à 4 h 01 Une jeune femme, à qui on a demandé de débourser des milliers de dollars pour pouvoir obtenir un visa à travers le programme des travailleurs étrangers temporaires, sonne l’alarme, car ce système fait en sorte que des immigrants sont à la merci d’employeurs sans scrupule. En théorie, obtenir un emploi aurait dû être facile pour Pawan, une jeune femme originaire de l’Inde, et dont nous avons accepté de n’utiliser que le prénom. Arrivée au Canada en décembre 2016, l’immigrante, âgée aujourd'hui de 25 ans, maîtrise l’anglais, a suivi des cours postsecondaires en Colombie-Britannique et cherche du travail, alors que le taux de chômage n’a jamais été aussi bas au pays. En réalité, pour une question de permis de travail, elle s’est retrouvée à la merci d’un intermédiaire lui réclamant 30 000 $ pour ses services afin d’obtenir un visa de travailleur étranger temporaire et un emploi au salaire minimum ne respectant pas les normes du travail. Selon des experts consultés, de nombreux immigrants se font flouer chaque année par des employeurs leur réclamant illégalement des sommes importantes pour leur visa de travailleur étranger temporaire. Pawan a décidé de raconter son histoire afin d’aider d’autres immigrants dans sa situation. Établie au Canada depuis six ans, Pawan s’est retrouvée dans une situation particulière l'année dernière, quelques mois avant l'expiration du permis de travail ouvert qu’elle avait obtenu avec son ex-conjoint. Source et suite : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1914872/travailleur-etranger-temporaire-fraude-canada-eimt
  11. Ces travailleurs qui ne peuvent pas travailler CHRONIQUE / David Balme a toujours rêvé de venir au Québec, il a tout laissé en France pour venir s’établir dans la capitale, pour travailler. Le développeur informatique a un boulot, mais il aimerait travailler plus encore, on manque de bras partout. Il ne peut pas. «Quand je me promène et que je vois toutes ces affiches “on embauche” partout et que moi j’aimerais pouvoir travailler plus et que je ne peux pas, je trouve ça contre-productif. On est en pleine pénurie de main-d’oeuvre, je suis ici, et je ne demande qu’à redonner au Québec qui m’a si bien accueilli.» David est arrivé en octobre 2019, il travaille ici pour le même employeur en France. «Je suis d’abord venu comme visiteur d’affaires pour voir les possibilités, ça me donnait six mois. J’ai fait ma demande pour un permis de travail, je n’avais pas de nouvelles et, trois jours avant la fin de mon séjour comme visiteur d’affaires, j’ai eu la réponse, c’était refusé, j’avais trois jours pour partir.» Il a embauché un avocat qui lui a expliqué que la demande ne devait pas être faite directement à Immigration Canada, mais de l’extérieur du pays. «Il a déposé la demande à l’ambassade du Canada en France, je crois, et il m’a expliqué que lorsque j’allais avoir mon permis, j’allais devoir sortir du pays et revenir, comme faire un aller-retour aux États-Unis, juste rentrer et sortir.» Ça lui a coûté 2000$. C’est comme ça que la bureaucratie fonctionne. Bang, la pandémie est arrivée, les frontières se sont fermées. «Avec la pandémie, je n’ai pas eu besoin de sortir du pays, comme tous les autres qui étaient dans la même situation. Ça a été comme un bonus, en deux mois, tout était réglé!» Comme quoi, quand on veut changer vite les règles, on peut. David a obtenu un permis de travail fermé, valide deux ans, avec la possibilité de le renouveler une fois. En vertu de ce permis, il ne peut travailler que pour l’employeur pour qui les démarches ont été faites. «Si jamais ça ne fonctionne pas ou que l’entreprise cesse ses activités par exemple, la personne doit repartir». David a 48 ans, il n’a pas d’enfants, il ne demande qu’à travailler plus. «Au début de la pandémie, quand ils demandaient des renforts dans les CHSLD, j’avais regardé pour aider, mais ce n’était pas bénévole. C’était payé et à cause de ça, je ne pouvais pas soumettre ma candidature.» Presque depuis son arrivée, il fait du bénévolat pour la Société Saint-Vincent-de-Paul. «Je fais de la livraison de nourriture pour les personnes qui en ont besoin. Mais il me resterait encore des heures pour avoir un autre emploi, ça aiderait l’entreprise et moi je pourrais faire plus d’argent, tout le monde serait gagnant.» Chaque fois qu’il voit passer une offre d’emploi, comme récemment pour le Festival d’été de Québec, il doit passer son tour. Il a même envisagé suivre une formation, interdit aussi. Il n’est évidemment pas le seul pris dans la rigidité de la machine. «Il doit y avoir des centaines, des milliers de personnes qui sont dans une situation similaire, qui ne peuvent pas travailler pour quelqu’un d’autre ou qui doivent repartir si l’entreprise ne peut plus les employer. On organise des salons à l’international à grands frais pour recruter des gens et, dans le même temps, on demande à des gens qui sont ici de partir. C’est totalement aberrant.» suite et source: https://www.lesoleil.com/2022/07/18/ces-travailleurs-qui-ne-peuvent-pas-travailler-0ac5c80a329dc88fd24b82497f30181e
  12. Voyageurs aériens Le Canada rétablira les tests de dépistage aléatoires le 19 juillet Publié jeudi 14 juillet 2022 LAURA OSMANLA PRESSE CANADIENNE Les aéroports touchés sont ceux de Montréal, Toronto, Vancouver et Calgary. Ottawa avait interrompu les tests aléatoires pour les voyageurs aériens entièrement vaccinés le 11 juin, le temps de mettre en place un système permettant de faire ces tests à l’extérieur des aéroports. À ce moment, le gouvernement fédéral faisait face à de nombreuses critiques de la part des acteurs du secteur du tourisme et du transport aérien, qui estimaient que les mesures en place étaient responsables des longs délais dans les aéroports. La Table ronde canadienne du voyage et du tourisme avait notamment presque supplié les ministres fédéraux de lever définitivement l’obligation de procéder à des tests aléatoires, puisque ces « règles désuètes » entraînaient des retards importants aux douanes, des files d’attente de plusieurs heures et nuisaient à la réputation du Canada. suite et source: https://www.lapresse.ca/covid-19/2022-07-14/voyageurs-aeriens/le-canada-retablira-les-tests-de-depistage-aleatoires-le-19-juillet.php
  13. Consensuel : Pour un Québécois, il est urgent d’attendre Le balado du Code Québec 6 août à 10h01 | 15 min Disponible jusqu'au 6 août 2024 https://www.qub.ca/tvaplus/video/cq-ep02-final-1051365957
  14. Joie de vivre : Les québécois sont des français…heureux Le balado du Code Québec 6 août à 10h | 19 min Disponible jusqu'au 6 août 2024 Le code Québec et les 7 traits des Québécois. Si vous pouvez le voir, regardez cette interview qui explique bien l'esprit des Québécois https://www.qub.ca/tvaplus/video/cq-ep01-final-1051328655
  15. MOLLY BELAND Mardi, 12 juillet 2022 19:00MISE À JOUR Mardi, 12 juillet 2022 20:26 Le voyage d'une famille de Saguenay a tourné au cauchemar. Le père d'origine française, établi dans la région depuis 12 ans, est actuellement coincé à Paris en raison d'une erreur d'inattention. Sa carte de résidence permanente canadienne est expirée, une erreur coûteuse qui plonge le couple dans un tourbillon bureaucratique. Lou Ridet habite à Saguenay depuis 12 ans avec sa femme et ses trois enfants. La carte manquante lui sert à voyager, mais elle doit être renouvelée tous les cinq ans. Chose qui n'avait pas été faite avant de partir pour la France. source et suite: https://www.journaldemontreal.com/2022/07/12/un-pere-de-famille-dorigine-francaise-est-coince-en-france-1
  16. Nous avons affiché notre appui au mois de la fierté sur notre compte twitter aux couleurs de la cause. Pour ceux qui veulent en savoir plus et cherchent des ressources, une page dédiée: https://www.immigrer.com/etre-gay-au-quebec-et-au-canada/
  17. Voici le lien pour la rediffusion: https://www.france.tv/documentaires/voyages/3554392-lucie-au-pays-des-caribous.html
  18. AGENCE QMI Mercredi, 29 juin 2022 16:46MISE À JOUR Mercredi, 29 juin 2022 16:46 Le gouvernement Trudeau a décidé, en pleine septième vague de la COVID-19, de prolonger ses restrictions aux voyageurs à la frontière au moins jusqu’au 30 septembre prochain. • À lire aussi: La COVID se réinstalle pour l’été au Québec «Il est important de se rappeler que la pandémie n’est pas terminée. Nous devons continuer de mettre tout en œuvre pour nous protéger et protéger les autres contre le virus», a expliqué le ministre fédéral de la Santé, Jean-Yves Duclos, pour expliquer cette décision. Ainsi, les voyageurs qui ne sont pas adéquatement vaccinés, c’est-à-dire qui n’ont pas reçu au moins les deux doses initiales du vaccin, devrait continuer à se soumettre à un test de dépistage obligatoire à leur arrivée en sol canadien. Ils doivent en outre subir un second test huit jours après leur arrivée et se mettre en quarantaine deux semaines. Cependant, Ottawa a décidé de maintenir la suspension des tests de dépistage aléatoire dans les aéroports jusqu’à la mi-juillet, le temps de permettre aux autorités aéroportuaires de transférer ce fardeau à des commerces et pharmacies locaux. Les tests aléatoires sont par contre toujours en vigueur pour les points de passage terrestre suite et source: https://www.journaldemontreal.com/2022/06/29/covid-19-le-canada-maintient-ses-restrictions-a-la-frontiere-jusquen-septembre-1
  19. Dix mois à attendre un visa: le cri du cœur d’une Trifluvienne dont le mari est coincé au Honduras MATTHIEU MAX-GESSLER Le Nouvelliste 27 juin 2022 3h00 Mis à jour à 4h00 Léa Dargis-Deschesnes est désespérée. Depuis dix mois, elle tente d’obtenir en vain un visa visiteur pour son conjoint, originaire du Honduras. Une demande qui aurait pourtant dû prendre moins de trois mois... «J’ai fait la demande en août dernier. En septembre, j’ai eu une confirmation qu’on avait bien reçu ma demande. J’ai fait affaire avec une agence spécialisée en immigration. Vu que j’étais enceinte, je ne voulais pas oublier de papiers, pour que mon mari soit là le plus tôt possible», résume-t-elle. Mais dix mois plus tard, toujours aucun visa. Le conjoint de Mme Dargis-Deschesnes n’a pu assister à la naissance de sa fille, et il ne peut être présent dans son quotidien, une situation que la Trifluvienne qualifie de très difficile. «Ça crée des tensions, c’est sûr. On se voit presque tous les jours par vidéoconférence, mais c’est souffrant, c’est un rappel qu’il n’est toujours pas avec nous. Il est en train de manquer toutes les étapes, notre fille est presque rendue à marcher. Il a manqué une bonne partie de la grossesse, on s’y attendait. Mais là, elle est rendue à 10 mois», se désespère-t-elle. Et pour en rajouter, impossible de savoir où en est la demande faite à Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC). «On m’a dit que je n’ai pas le droit d’avoir accès à cette information. J’ai insisté et j’ai finalement reçu une réponse pour me dire que ma demande est toujours en traitement», indique-t-elle. Pendant ce temps, autour d’elle, des amies ont pu obtenir, dans les délais prévus par IRCC, soit 68 jours, un visa visiteur pour leur conjoint. Mme Dargis-Deschesnes soupçonne que le pays d’origine de son mari est une partie de l’explication pour ce traitement différent, ce qu’elle dénonce. Il semble également que les demandes de visa déposées avant septembre 2021 sont traitées beaucoup plus lentement que celles formulées après. IRCC justifie de son côté les retards vécus par un grand nombre «d’anciennes demandes». «Depuis le début des restrictions de voyage en mars 2020 jusqu’au 6 septembre 2021, IRCC a priorisé le traitement des demandes pour ceux qui étaient exemptés des restrictions de voyage, comme les membres de la famille des Canadiens et les travailleurs agricoles et les travailleurs de la santé. Les demandes plus anciennes peuvent prendre plus de temps à traiter en raison de leur complexité, en raison de documents et d’informations potentiellement obsolètes et des changements dans la situation personnelle des demandeurs», indique par courriel Nancy Caron, porte-parole d’IRCC. Celle-ci évoque également la perturbation des migrations mondiales en raison de la pandémie. suite et source: https://www.lavoixdelest.ca/2022/06/27/dix-mois-a-attendre-un-visa-le-cri-du-cur-dune-trifluvienne-dont-le-mari-est-coince-au-honduras-eaf89bd0d3172ef567ac467d963cc292?nor=true
  20. Ce soir à 21 heures sur France 5. « Lucie au pays des caribous »
  21. Radio-Canada Publié hier à 18 h 17 Le prix moyen d’un logement locatif dans la région du Grand Toronto a connu en mai le plus fort bond mensuel depuis 2019. Le loyer mensuel moyen était de 2327 $ par mois, soit une hausse de 5,7 % par rapport à avril et de 16,5 % par rapport à mai 2021. Malgré tout, les prix n'ont pas encore atteint les taux pré-pandémiques. C’est ce que confirme le plus récent rapport de Bullpen Research & Consulting et TorontoRentals.com, publié jeudi. Ces moyennes comprennent les maisons unifamiliales, les condos et les appartements en location. source et suite: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1894232/toronto-loyer-mensuel-mai-2022
  22. Des liens utiles: https://www.immigrer.com/la-franchise-au-quebec/ https://www.immigrer.com/categorie/faq/Creer-son-entreprise/ https://www.immigrer.com/un-francais-reprend-une-entreprise-au-quebec-recit-dune-expatriation-dans-un-contexte-daffaires/ https://www.immigrer.com/tag/entreprendre/
  23. Une faq sur le sujet aussi: https://www.immigrer.com/categorie/faq/Demenagement/
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