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Tout ce qui a été posté par immigrer.com

  1. Alexandre Duval hier à 16 h 32 - Radio-Canada Pablo Palma Contreras, ce travailleur étranger devenu paraplégique après un accident survenu sur la Côte-Nord, n’aura finalement droit qu’à la moitié des indemnités prévues par la loi. La Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) juge qu’il est responsable à 50 % de ce qui lui arrive. C’est le scénario que redoutait M. Contreras, qui est sans revenu depuis qu’il a été frappé par un véhicule sur la 138, en mai dernier. Il venait de faire une crise d’épilepsie et s’est retrouvé confus sur la voie publique, comme piéton, en pleine soirée. Ce Mexicain, qui vient travailler en milieu agricole au Canada chaque année depuis 2013, n’a pas eu de chance lors de l’impact. Père de quatre enfants, il ne pourra plus jamais marcher. Comme il est non-résident du Québec, le régime sans égard à la responsabilité – communément désigné par l’anglais no fault – ne s’applique pas à lui. La SAAQ devait donc enquêter pour évaluer sa part de responsabilité dans l’accident. suite et source: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1846283/travailleur-etranger-temporaire-indemnites-loi-assurance-automobile-quebec-partiellement-responsable-protection-saaq
  2. Annoncés en grande pompe par Québec, trois programmes d’immigration n’ont quasiment sélectionné aucun candidat. Romain Schué Radio-Canada à 4 h 00 « Attirer et retenir la main-d'œuvre ». Telle était l’ambition avouée du gouvernement Legault en vantant, à plusieurs reprises(Nouvelle fenêtre), la création de trois « programmes pilotes » d’immigration permanente pour « répondre aux besoins » de l’économie québécoise. Ces projets visent les préposés aux bénéficiaires, les travailleurs de la transformation alimentaire et les experts du secteur de l’intelligence artificielle. Quelque 550 personnes pouvaient être sélectionnées, annuellement, dans chaque programme, soit 1650 immigrants au total. Mais dans les faits, quelques mois après l’entrée en vigueur de ces programmes, au tout début du printemps, l’objectif semble loin d’être atteint. Le nombre de personnes sélectionnées par Québec se compte quasiment sur les doigts de la main, selon une information obtenue par la Loi sur l'accès aux documents des organismes publics et sur la protection des renseignements personnels. Nombre de candidats sélectionnés (au 3 novembre) : Préposés aux bénéficiaires : 8 Travailleurs de la transformation alimentaire : 0 Travailleurs des secteurs de l’intelligence artificielle, des technologies de l’information et des effets visuels : 5 suite et source: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1845666/immigration-quebec-legault-preposes-intelligence-artificielle-penurie
  3. Des Français parlent du Québec sur M6 et ça crée un encore un malaise... Cette fois-ci c'est Gad Elmaleh qui imite l'accent Québécois au cours de l'émission Le Meilleur Pâtissier diffusée sur M6. Une présentation d'affrontements de pâtissiers amateurs autour d’épreuves de pâtisserie. Dans une édition spéciale intitulée «Ma ganache au Canada», les candidats et les candidates doivent confectionner des pâtisseries avec inspiration de l’univers canadien. Les recettes peuvent donc être exclusivement canadiennes ou inventées, du moment qu’on y retrouve certains ingrédients issus du pays dans les desserts. Certains médias du Québec ont affirmé « S’il y a une chose certaine au monde, c’est qu’aucun Français, peu importe le contexte, n’est capable d’imiter l’accent québécois.» C'est vous dire si les Québécois n'aiment pas qu'on imite leur accent, surtout quand c'est maladroit. Il a même été dit : « Cette caricature grossière d’un homme des bois est venue présenter aux participants leur prochain défi thématique du Canada. Un gâteau à l’érable à motif de carreaux. » Intégralité :
  4. La tempête qui s’abat sur le Québec depuis plusieurs heures force certains Centres de services scolaires (CSS) à fermer les portes de leurs établissements scolaires pour la journée. En tout, ce sont plusieurs centaines d'écoles et de centres de formation qui sont fermés aujourd'hui. Au cours de la journée de lundi c’est tout un cocktail qui doit tomber sur l’ensemble des régions du sud de la province. • À lire aussi: Prudence et patience sur les routes Les accumulations de neige et les précipitations de pluie verglaçante rendent les conditions routières difficiles. Plusieurs tronçons de routes sont enneigés et la visibilité est réduite par secteur. source et suite : https://www.tvanouvelles.ca/2021/12/06/nombreuses-ecoles-fermees
  5. Oui il faut un test PCR ou antigénique de 48hr et ceci à l'embarquement.
  6. Montréal Pénurie de main-d'oeuvre au Canada, même les pères Noël manquent à l'appel Montréal - Des urgences partiellement fermées, des restaurants qui n'ouvrent plus le midi et des centres commerciaux sans père Noël: au Canada, de nombreux secteurs sont confrontés à une pénurie de main-d'oeuvre sans précédent, qui handicape la reprise post-Covid. AFP Aquelques semaines des fêtes de fin d'année, Jeff Gilroy, de l'agence Just Be Claus, s'arrache les cheveux: il a recruté seulement 24 pères Noël quand il lui en faudrait dix fois plus. "J'ai dû dire non à 200 événements, et je continue d'en refuser tous les jours", regrette-t-il. De son côté, Eric Igari a tout tenté: faire appel à des amis et même à des clients réguliers pour combler les trous dans le tableau de service de son restaurant mexicain, Corazon de Maiz, à Ottawa. Sur sa devanture, comme devant beaucoup de commerces dans la capitale canadienne ou à Montréal, une affiche vante: "ici on embauche". "C'est très difficile", explique le restaurateur à l'AFP, pendant que sa femme lave des tomates en cuisine. Tous deux ont les traits tirés. Source et suite: https://www.lexpress.fr/actualites/1/monde/penurie-de-main-d-oeuvre-au-canada-meme-les-peres-noel-manquent-a-l-appel_2163379.html
  7. Le taux de chômage au Québec s'établit à 4,5 %, le même qu’en février 2020 avant la pandémie. L'emploi au Québec a crû de 46 000 (+1,1 %) en novembre tandis que le taux de chômage a diminué de 1,1 point de pourcentage pour s'établir à 4,5 %, soit un taux identique à celui observé en février 2020 avant la pandémie. C’est ce qu’a indiqué vendredi Statistique Canada, soulignant une hausse de l’emploi de 154 000 (+0,8 %) en novembre ainsi qu’un taux de chômage qui a reculé pour s'établir à 6 %. Ainsi dans la Belle Province, après avoir progressé en septembre et avoir peu varié en octobre, l'emploi au Québec a augmenté de 46 000 en novembre. suite et source: https://www.tvanouvelles.ca/2021/12/03/le-chomage-setablit-a-45-au-quebec
  8. C'était un grand jour hier dans Charlevoix avec l'ouverture du CLUB MED. "Après 10 ans de travail et un peu plus de deux ans de construction, le Club Med Québec Charlevoix ouvre officiellement ses portes cette semaine. Simon Bourassa l’a visité. https://www.noovo.ca/emissions/noovo-le-fil-quebec-les-reportages/le-club-med-de-charlevoix-ouvre-finalement-ses-portes
  9. En plus des interdictions de vendredi dernier : https://www.immigrer.com/le-canada-ferme-ses-frontieres-a-8-pays-dafrique/ "Par ailleurs, le ministre a confirmé l’ajout de l’Égypte, du Nigéria et du Malawi à la liste des pays africains visés par des restrictions frontalières. La liste comprenait déjà, depuis vendredi, l’Afrique du Sud, l’Eswatini, le Lesotho, le Botswana, le Zimbabwe, le Mozambique et la Namibie. Les étrangers ayant transité dans un de ces dix pays dans les 14 jours précédents l’arrivée prévue au Canada se verront refuser l’entrée, a réitéré le ministre Duclos." suite et source https://www.journaldemontreal.com/2021/11/30/restrictions-frontalieres-legypte-le-nigeria-et-le-malawi-ajoutes-a-la-liste
  10. Refus massif d’étudiants africains francophones : Ottawa accusé de « discrimination » Immigration Canada utilise un système informatique opaque pour analyser les multiples demandes de permis d’études, ce qui provoque la colère d'élus québécois. Romain Schué Publié hier à 17 h 24 « C’est très grave », lance le député du Bloc québécois Alexis Brunelle-Duceppe. M. Brunelle-Duceppe ne mâche pas ses mots contre le gouvernement de Justin Trudeau et contre Immigration Canada, qui refuse massivement les demandes de permis d’études déposées par des étudiants étrangers francophones, principalement en Afrique, qui souhaitent venir au Québec. Le taux de refus des demandes destinées au Québec est nettement plus élevé que celles déposées dans les autres provinces canadiennes, a appris Radio-Canada (nouvelle fenêtre). Ce taux atteint ou dépasse même les 80 % dans certains pays d'Afrique francophone. Pour gagner du temps dans l’analyse de ces dossiers, les agents d’Immigration Canada utilisent depuis 2018 un système informatique nommé Chinook. Celui-ci résume automatiquement diverses informations du demandeur dans une feuille de calcul Excel. Or, c’est depuis l’implantation de cet outil que l’écart s’est creusé entre le Québec, qui reçoit majoritairement des demandes de candidats francophones, et le reste du Canada. Une situation inacceptable, selon le gouvernement Legault Le système Chinook était largement méconnu jusqu’à tout récemment. Son fonctionnement a été dévoilé à l'occasion d'une poursuite judiciaire qui impliquait le ministère fédéral de l’Immigration. source et suite: https://ici.radio-canada.ca/rci/fr/nouvelle/1843320/immigration-refus-etudiants-africains-francophones-trudeau-discrimination
  11. https://www.immigrer.com/le-canada-ferme-ses-frontieres-a-8-pays-dafrique/
  12. Vous pouvez: compter le temps d'étude en ligne de mars 2020 au 31 août 2022 terminer jusqu'à 100% de vos études en ligne et être admissible à un PTPD En savoir plus sur cette extension finale pour les étudiants poursuivant leur programme en ligne : https://canada.ca/fr/immigration-refugies-citoyennete/services/etudier-canada/travail/apres-obtention-diplome/au-sujet.html
  13. Sarah R. Champagne 26 novembre 2021 Société Un nouveau système informatique utilisé par le ministère fédéral de l’Immigration soulève de vives préoccupations à travers le Canada. L’outil, baptisé Chinook, a été créé sans surveillance légale, selon des documents déposés en Cour fédérale, ne conserve pas les notes sur la décision des agents d’immigration et n’oblige pas ces derniers à ouvrir les preuves présentées par les candidats à des séjours temporaires. Il sert notamment à accélérer le traitement des permis d’études, pour lesquels le nombre de demandes a explosé depuis 10 ans. Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) n’a cependant pas été transparent sur son fonctionnement jusqu’à maintenant, déplorent des avocats en immigration et des chercheuses de partout au pays. Plusieurs de ces avocats croient que le système explique en partie l’augmentation notable des refus de permis d’études. Le taux de refus est encore plus haut au Québec qu’ailleurs au pays, et Ottawa refuse dans une proportion de plus en plus grande des étudiants francophones originaires du Maghreb et de l’Afrique de l’Ouest, révélait Le Devoir vendredi dernier. L’implantation de Chinook en 2018 concorde en effet temporellement avec la hausse des taux de refus pour ces permis d’études. IRCC nie toute influence, assurant que l’outil « ne change pas fondamentalement la façon dont les demandes sont traitées », écrit une porte-parole par courriel. Suite et source: https://www.ledevoir.com/societe/650031/immigration-un-outil-informatique-mis-en-cause-dans-la-hausse-des-refus-de-permis-d-etudes
  14. Paloma Martínez Méndez Publié à 15 h 59 C'est bien connu, le Canada fait face à une importante pénurie de main-d'œuvre dans plusieurs secteurs et l'un des plus durement touchés est celui de la santé. Les infirmières qui viennent de l'étranger se frayent un chemin au pays en passant par un processus complexe d'immigration et de reconnaissance de leurs études et de leur expérience professionnelle. Lorena López Peña et Johanna Ravelo comptent parmi les infirmières cliniciennes latino-américaines qui, petit à petit, avec persévérance et patience, sont en voie d'atteindre leur objectif : exercer leur profession au Canada. Elles ne sont pas seules. Johana Botero, une infirmière clinicienne et conseillère professionnelle installée au Québec depuis plus de 10 ans, leur offre soutien et conseils pour les aider à réussir. Voici leur histoire. Un projet familial C'est en 2019 que la famille Araque Lopez a pris la décision de faire sa vie au Canada. Et bien que le projet avance, la route a été lente. Ils espèrent bientôt être réunis dans leur nouveau chez-eux. Sur la photo, Lorena López Peña, infirmière clinicienne, son mari Eduardo Araque et leurs enfants Juan José, 13 ans, et María José, 6 ans. PHOTO : CORTESÍA L'aventure de la famille Araque López a commencé en 2019, lorsque le Service national d'apprentissage (SENA) de la Colombie a lancé l'initiative Québec a la Cabeza [Le Québec en tête] pour recruter des infirmières du pays désireuses d'exercer leur profession dans la province francophone du Canada. source et suite: https://ici.radio-canada.ca/rci/fr/nouvelle/1839126/reportage-infirmiere-canada-amerique-latine-penurie-sante-quebec
  15. Vincent Bonnay Publié hier à 8 h 27 Nathalie Carriapen conduisait à gauche et n’avait jamais vu la neige de sa vie avant de faire le grand saut, un bond de 15 000 kilomètres. Elle a choisi de quitter le sable blanc de son île Maurice natale pour une nouvelle vie dans l’immensité blanche du Yukon. Chaque immigrant porte en lui son histoire, ses défis et ses rêves. Pour Nathalie Carriapen, le Canada, c’était un rêve d’adolescente. Je pensais qu’il était trop tard, confie-t-elle. Pourtant, la voilà assise sur une banquette du restaurant Gold Paner, à Carmacks, où elle vient de terminer son quart de travail. Elle l’a fait. L’adolescente qui découpait des images du Canada dans les brochures a laissé place à une femme forte qui a su trouver le courage de recommencer sa vie à l’autre bout du monde. suite et source: https://ici.radio-canada.ca/rci/fr/nouvelle/1838639/yukon-semaine-immigration-francophone-carmacks-ile-maurice
  16. L'automne au Québec : cinquante nuances de rouge La période de l'apogée ne dure que quelques jours au Québec. Les arbres se parent de leurs couleurs les plus vives avant de se mettre à nu et d'affronter l'hiver. Pour les Québécois, une promenade dans l'une de ces forêts, comme sur l'Île-d'Orléans, est un incontournable de
  17. TF1 - Pénurie de main d'oeuvre: les Français sollicités pour venir au Québec https://www.tf1.fr/tf1/jt-20h/videos/penurie-de-main-doeuvre-les-francais-sollicites-au-quebec-26892923.html
  18. Une idée reçue très tenace veut que les Québécois parlent un « vieux français de province ». Rien n’est plus faux, soutient le sociolinguiste Wim Remysen. Jean-Benoît Nadeau 3 novembre 2021 L'accent québécois ? Quel accent québécois ? « On ne devrait jamais en parler au singulier », dit Wim Remysen, professeur titulaire et responsable du certificat en sciences du langage à l’Université de Sherbrooke. En fait, lui préfère parler de l’accent au Québec plutôt que d’accent québécois. « Il n’y a jamais eu un accent québécois homogène. Il va varier selon la région, la génération et le cadre socioéconomique du locuteur. » Quand on discute avec ce sociolinguiste belge de langue maternelle flamande, et spécialiste du parler québécois, on passe très vite de la phonétique aux idées sur la langue. Wim (prononcez « ouim ») Remysen s’y connaît en matière d’idées sur la langue puisque, pour les besoins de son doctorat en sociolinguistique à l’Université Laval portant sur « l’imaginaire linguistique des chroniqueurs canadiens-français », il s’est penché sur les propos de 31 chroniques linguistiques parues entre 1860 et les années 1990. « Je suis devenu sociolinguiste plutôt que linguiste parce que je m’intéresse à la langue dans sa dimension sociale. Pour moi, une langue, ce n’est pas juste un système de sons ; on doit prendre en considération les gens, leur histoire, ce qu’ils en disent, leur perception. » C’est pendant ses études en philologie romane (une branche de la linguistique qui consiste à étudier les parlers anciens par l’intermédiaire de leurs traces écrites) à l’Université catholique de Louvain que Wim Remysen a découvert le Québec, en 2001. « Un coup de foudre », raconte-t-il. Lui qui a grandi dans la ville de Turnhout, près d’Anvers, à la frontière des Pays-Bas, s’est tout de suite reconnu dans les débats linguistiques québécois — français contre anglais, français québécois contre français de France. « Entre Flamands et Néerlandais, il y a un très grand écart linguistique, au moins aussi grand qu’entre Québécois et Français. La proximité n’efface pas les différences. » suite et source: https://lactualite.com/societe/laccent-quebecois-nest-pas-archaique/
  19. https://www.immigrer.com/le-premier-ministre-du-quebec-promet-un-nombre-record-dimmigrants-pour-2022/
  20. FRANCIS PILON Mercredi, 27 octobre 2021 23:30MISE À JOUR Mercredi, 27 octobre 2021 23:30 Deux leaders complotistes du Québec se retrouvent dans la mire des policiers français, qui s'inquiètent face à la montée des théories conspirationnistes qui se propagent rapidement de l’autre côté de l’Atlantique. Le Journal du Dimanche a dévoilé cette semaine un rapport de la division française du renseignement. Dans ce document, écrit en juillet dernier, deux figures conspirationnistes du Québec sont tenues en partie comme responsables d’avoir propagé des thèses de complots en France. Le premier est l’activiste Alexis Cossette-Trudel. Il est reconnu pour son adhésion aux théories du complot Qanon. Ses plateformes comme YouTube, Facebook et Twiter ont d’ailleurs été censurées dernièrement pour cause de désinformation. Dans le document des policiers, dont le Journal a obtenu des extraits, M. Cossette-Trudel est décrit comme un «fils de militant du groupe terroriste nommé Front de libération du Québec». Son père, Jacques Cossette-Trudel, était en effet membre du FLQ à l’époque. Conspirationniste des Laurentides Le second est le Québécois d’origine belge Jean-Jacques Crèvecœur. Établi dans les Laurentides depuis 2004, celui-ci est devenu une figure de proue de la lutte contre les mesures sanitaires au Québec. Selon les autorités françaises, il a d’ailleurs créé son propre réseau social. «Une plateforme sécurisée comportant 31 000 membres, dont près de 20 000, se déclarant en France», peut-on lire dans le document rédigé par le Service central du renseignement territorial (SCRT). Les policiers français se disent surtout inquiets de la violence des conspirationnistes qui pourraient passer de la parole aux actes. Le SCRT mentionne comme exemple l'invasion du Capitole à Washington qui a eu lieu le 6 janvier dernier. suite et source: https://www.journaldequebec.com/2021/10/27/des-complotistes-dici-inquietent-en-france
  21. Un article dans la presse belge qui relate l'expérience d'un ancien habitué du forum Vh.ds (qui a aussi participé à notre radio Fréquence Caribou) qui s'est inscrit le 3 mars 2001 et s'est installé au Québec en 2002. --------- Montréal au rythme des saisons Du Plusmagazine du 21/10/2021 20/10/21 à 21:00 Mise à jour le 14/10/21 à 14:42 Lors d'un voyage au Canada, le Bruxellois Matthias Van Halst a été séduit par le mode de vie des Montréalais. À tel point qu'en 2002, il a décidé de s'y installer. Quasi 20 ans plus tard, le journaliste sportif est toujours aussi heureux de sa décision: " J'apprécie tout particulièrement l'ambiance et le way of life hyper relax de la ville ". Des compatriotes expatriés partagent avec nous leurs bons tuyaux, les endroits où ils emmènent des amis ou sortent manger un morceau... et nous disent pourquoi la ville ou la région où ils vivent vaut la peine d'être découverte. © getTy images EN AMOUR AVEC VERDUN J'habite dans l'arrondissement de Verdun, mon petit coin de paradis. Montréal, la plus grande ville de la province de Québec, est une île fluviale au confluent du fleuve Saint-Laurent et de la rivière des Outaouais. Jusqu'en 2002, date de son rattachement à Montréal, Verdun était une entité indépendante, sur la rive opposée. Au XIXe siècle, c'était un lieu de villégiature pour l'élite citadine. Suite et source: https://plusmagazine.levif.be/magazine/montreal-au-rythme-des-saisons/article-normal-1479733.html ...
  22. Des employés racialisés ont confié qu’ils avaient été « ignorés pour l’obtention d’occasions de perfectionnement professionnel et de promotions ». Radio-Canada 2021-10-20 | Mis à jour aujourd’hui à 7 h 40 Un gestionnaire qui salue régulièrement un employé sud-asiatique par un signe « namaste »; une employée qui accueille sa collègue en lui disant « Salut, ma noire »; un gestionnaire qui affirme que les Autochtones sont « paresseux » : ces cas d’abus verbal se sont tous déroulés au ministère fédéral qui se consacre à l'accueil des immigrants au pays, Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC), selon un rapport. Disponible en ligne(Nouvelle fenêtre) depuis peu, le rapport de 20 pages intitulé Groupes de discussion des employés d’IRCC sur l’antiracisme a été présenté au ministère en juin dernier. Le document se fonde sur 10 groupes de discussion organisés par la firme de recherche Pollara et auxquels ont participé 54 employés représentatifs d’IRCC au mois de mars. De nombreux employés ont déclaré lors de ces séances qu’ils avaient été témoins de propos racistes au travail. Le rapport décrit des cas de micraoagressions : ...... Les participants aux groupes de discussion ont également déclaré qu’ils estimaient que ce racisme avait des répercussions sur le traitement des dossiers – ceux des immigrants et réfugiés au Canada. Ils ont cité en exemple l’application de règles discriminatoires pour le traitement des demandes d’immigration provenant de certains pays ou régions, dont des exigences supplémentaires en matière de documents financiers pour les demandes provenant du Nigeria." source et suite: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1833313/racisme-noirs-autochtones-gouvernement-federal-fonctionnaires-immigration
  23. Le calvaire d'une famille française qui tente d'obtenir le statut de résident permanent depuis... six ans Par Charles Payette | 98.5 13 OCTOBRE 2021 12:11 Voici l’histoire d’une famille française installée au Québec depuis 2015 qui tente depuis six ans d’obtenir le statut de résident permanent. Un total de 33 demandes de permis, des dépenses de 30 000$... et ils sont toujours incapables de normaliser leur statut. La mère, Sandrine Boisselier, a raconté cette longue aventure bureaucratique à Paul Arcand mercredi matin. Pour écouter les détails de son histoire: https://www.985fm.ca/nouvelles/politique/431442/immigration-canada-le-calvaire-dune-famille-francaise-qui-tente-dobtenir-le-statut-de-resident-permanent-depuis-six-ans
  24. Lisa-Marie Gervais et Sarah R. Champagne 18 octobre 2021 Santé La volonté de Québec de recruter au moins 3500 infirmières formées à l’étranger ne serait pas nécessairement un gage de succès à court terme. Il pourrait en effet s’écouler de deux à trois ans au minimum avant que ces infirmières puissent réellement soulager le système de santé. Que ce soit à l’étape de la reconnaissance de leurs diplômes par l’Ordre des infirmières, de l’examen de français ou de l’obtention des documents d’immigration, de nombreux écueils se dressent devant la volonté du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS). Ce sont 28 établissements de santé, surtout des CISSS et des CIUSSS, qui ont donné des mandats pour recruter au total environ 3500 infirmières à Recrutement Santé Québec, un service du MSSS. Ce ministère examine encore « la faisabilité » d’une telle démarche, admet une relationniste. Déjà, l’étape de la reconnaissance de l’équivalence d’un diplôme d’infirmière peut prendre des allures de parcours du combattant. Seuls 45 à 55 % des dossiers déposés devant l’Ordre des infirmiers et infirmières du Québec (OIIQ) sont complets, indique-t-on au Devoir. Lorsque le dossier est complet, il faut à l’Ordre de deux à trois mois pour son traitement. Actuellement, l’OIIQ calcule que 40 à 50 dossiers seront traités dans ce délai. Un volume de 3500 personnes est donc beaucoup plus élevé : c’est en fait l’équivalent du nombre annuel de nouveaux titulaires de permis, selon le rapport annuel. Dans la province, ce sont déjà plus de 7,4 % de tous les infirmiers et infirmières présentement en exercice qui ont été formés à l’extérieur du Québec. Viviana Riaño, une infirmière d’origine colombienne arrivée en 2015, raconte qu’il lui aura fallu près de trois ans entre son arrivée et le jour où elle a revêtu enfin son uniforme, malgré une décennie d’expérience. À l’exception des Françaises, qui bénéficient d’une entente particulière, l’ensemble des infirmières diplômées à l’étranger doivent en effet suivre un programme d’intégration professionnelle après leur équivalence de diplôme accepté. Le plus souvent, cette formation dure de 8 à 14 mois. Pour Mme Riaño, il est donc évident que la venue des infirmières immigrantes « n’est pas une solution à court terme ». Sans oublier la qualité des compétences, l’Ordre pourrait démontrer « un peu plus de flexibilité » et une évaluation individualisée des parcours, dit-elle. D’autres étapes, d’autres délais Aux délais de reconnaissance professionnelle il faut aussi ajouter ceux de l’immigration : « Habituellement, une personne qui est recrutée et qui obtient un permis de travail temporaire fermé peut s’attendre à arriver au Québec en 10 à 12 mois », écrit le MSSS au Devoir. Johana Botero, elle aussi originaire de Colombie, avait plutôt choisi d’arriver directement avec sa carte de résidente permanente en poche, ce qu’elle recommande aux 33 000 personnes qui la suivent sur sa page Facebook « Enfermeras profesionales en Canada ». suite et source: https://www.ledevoir.com/societe/sante/641028/recrutement-a-l-etranger-le-chemin-de-croix-des-infirmieres-formees-a-l-etranger
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