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  1. Un regroupement d’avocats spécialisés en immigration s’attaque aux délais « injustes » dans le traitement des demandes de résidence permanente des travailleurs qualifiés du Québec et envisage un recours contre Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada. Publié à 6h00 LILA DUSSAULTLA PRESSE Plus de deux ans : c’est le délai d’attente moyen pour les travailleurs qualifiés du Québec (TQQ), contre six mois ailleurs au Canada. Et ça, c’est si leur dossier avance. « On a réalisé depuis un certain temps que de nombreux dossiers de travailleurs qualifiés du Québec sont vraiment en suspens, et ne sont pas traités par le gouvernement fédéral », explique Me Stéphanie Valois, présidente de l’Association québécoise des avocats et avocates en droit de l’immigration (AQAADI). Ce sont 25 000 dossiers de TQQ qui accusent un retard de traitement et un arriéré de la part d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC), soit 18 000 en 2020 et 7000 en 2021, selon le plus récent Plan d’immigration du Québec. « Ce n’est pas anecdotique, observe Me Valois. Ça semble vraiment être une politique ou un point mort du gouvernement fédéral. » Consultez le Plan d’immigration du Québec 2022 Or, le portrait, pour la même catégorie d’immigrants, est différent ailleurs au pays. « L’IRCC est capable de traiter les dossiers de travailleurs qualifiés fédéraux en six mois et d’ouvrir d’autres programmes, dénonce Me Guillaume Cliche-Rivard, avocat spécialisé en immigration. Si vous faites ces nouveaux programmes-là, traitez les dossiers du Québec aussi ! » source et suite: https://www.lapresse.ca/actualites/2022-03-02/demandes-de-residence-permanente/des-avocats-s-attaquent-aux-delais-injustes.php
  2. Radio-Canada 13 h 10 | Mis à jour à 14 h 46 Le premier ministre Justin Trudeau a annoncé de nouvelles sanctions contre la Russie à la suite de l'attaque contre l'Ukraine. Aujourd’hui, suite à la frappe militaire irresponsable et dangereuse de la Russie, on impose d’autres sanctions sévères, a déclaré le premier ministre en point de presse jeudi. Ces sanctions visent 62 personnes et organisations, y compris des membres de l'élite russe et leur famille, de même que le Groupe Wagner et de grandes banques russes. Le Canada sanctionnera également des membres du Conseil de sécurité russe, dont les ministres de la Défense, des Finances et de la Justice. Tous les permis d'exportation vers la Russie existants ont aussi été annulés, et de tels permis ne seront plus délivrés. Aucun bien lié aux secteurs de l’aérospatiale, de la technologie, ou encore des minéraux ne pourra être exporté vers la Russie, a précisé la ministre des Affaires étrangères, Mélanie Joly, pendant le même point de presse. Ces sanctions ont une grande portée, a assuré le premier ministre. Elles vont entraîner de grands coûts aux élites russes ayant des liens de complicité et elles vont limiter la capacité du président Poutine à continuer de financer cette invasion injustifiée suite et source: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1864638/ukraine-russie-guerre-sanctions-canada
  3. Recrutement du Québec en Europe Des professeurs déplorent de « faux espoirs » PHOTO CATHERINE LEFEBVRE, COLLABORATION SPÉCIALE Stéphanie Verriest, enseignante dont la formation en Belgique n’est pas reconnue Le brevet d’enseignement accordé au compte-gouttes aux candidats français et belges Publié à 5h00 MARIE-EVE MORASSELA PRESSE Le gouvernement du Québec se prépare à un nouveau blitz de recrutement d’enseignants en France et en Belgique. Mais depuis cinq ans, un seul candidat de Belgique et à peine 89 enseignants qui ont étudié en France ont obtenu un brevet d’enseignement du ministère de l’Éducation. Qu’on ne « promette pas monts et merveilles » aux Européens, conseille Stéphanie Verriest, dont la formation en Belgique n’est pas reconnue. D’ici les cinq prochaines années, le gouvernement veut recruter 5700 enseignants pour pallier la pénurie. Au nombre des initiatives présentées pour y parvenir figure le recrutement en Europe, principalement en France et en Belgique. Le Québec y bénéficie « d’un immense capital de sympathie », a déclaré il y a quelques semaines Jean Boulet, ministre du Travail, en dévoilant qu’une nouvelle mission de recrutement s’y déroulerait dès la fin de mars. Or, depuis 2016, c’est moins d’une centaine d’enseignants qui ont étudié en France et un seul candidat de la Belgique qui ont obtenu un brevet d’enseignement du ministère de l’Éducation. En comparaison, ils sont 10 fois plus nombreux (1070) à avoir obtenu un brevet d’enseignement du Québec au terme de leurs études en Ontario, selon les données fournies à La Presse par le ministère de l’Éducation. Stéphanie Verriest travaille à temps plein comme enseignante d’arts plastiques dans une école secondaire de la Rive-Sud de Montréal. Elle ne peut accéder au brevet, car sa formation acquise en Belgique n’est pas reconnue. suite et source: https://www.lapresse.ca/actualites/education/2022-02-22/recrutement-du-quebec-en-europe/des-professeurs-deplorent-de-faux-espoirs.php
  4. Les noms d’universités canadiennes « frauduleusement » utilisés à l’étranger Des sites demandent des centaines de dollars afin d’aider des étudiants à obtenir de prétendues « bourses » au Canada. Elvis Nouemsi Njiké à 5 h 00 Des sites web d’organismes qui disaient octroyer des bourses d’étude à des étudiants étrangers sont suspendus. Le ministère de l’Éducation du Québec a entamé des démarches en ce sens après avoir été questionné sur leur légitimité par Radio-Canada. Les sites appartenaient à de prétendus organismes faisant la promotion de bourses d’études qui devaient être octroyés à des étudiants étrangers au nom d'universités canadiennes moyennant des centaines de dollars. Avant l’obtention de ces bourses, les étudiants devaient fournir des informations personnelles et payer des frais de dossier ou des frais de timbre et de quittance d’octroi de la bourse d'études. Magatte Diop est Sénégalais. S’il est désormais étudiant à l'Université de Hearst, dans le Nord de l’Ontario, il a bien failli être victime de ce stratagème frauduleux. En 2018, après son secondaire, il entreprend des démarches pour poursuivre ses études au Canada. C'est parce qu'on lui a demandé de l'argent pour obtenir une bourse d'études que Magatte Diop s'est méfié. PHOTO : ELVIS NOUEMSI NJIKÉ Il se rend sur Internet et parcourt les médias sociaux pour trouver des occasions de bourses d’études. Suite et source: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1856768/fraude-bourses-universites-canada-etranger-ontario-quebec-afrique
  5. Immigration Canada « conscient d’un risque de discrimination » Ottawa s'engage à trouver des solutions pour attirer davantage d'étudiants africains francophones, qui connaissent un important taux de refus. Romain Schué hier à 16 h 58 « Le ministère est conscient du risque de discrimination ou de biais dans le système de l'intelligence artificielle. » Cette surprenante déclaration a été faite jeudi par la sous-ministre adjointe principale d'Immigration Canada, Marian Campbell Jarvis, devant le Comité permanent de l'immigration et de la citoyenneté. Depuis le début du mois, ce dernier a décidé de se pencher sur le refus massif de permis d'études visant les étudiants africains francophones. Ces taux de rejet, comme l'indiquait Radio-Canada l'automne dernier, ont grimpé en 2020 à plus de 80 % dans certains pays, comme le Cameroun, le Sénégal, la Côte-d’Ivoire, le Bénin, l’Algérie, la République démocratique du Congo et le Togo. Ces demandes sont traitées à travers un système informatique intitulé Chinook, mis en place dès 2018, qui a été dénoncé par plusieurs experts en raison de son opacité. Jusqu'alors, Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) avait toujours nié qu'il y avait un problème et assurait plutôt traiter équitablement chaque dossier. Le premier ministre Justin Trudeau avait néanmoins admis être inquiet au sujet de ces données. Interrogée par le député du Bloc québécois Alexis Brunelle-Duceppe, la sous-ministre Marian Campbell Jarvis a même assuré être à l'aise avec les risques pris par Immigration Canada, avec Chinook, avant de nuancer son discours quelques minutes plus tard. Nous ne sommes pas à l'aise avec la discrimination, a-t-elle précisé. L'utilisation de ce système informatique a également été défendue par un autre sous-ministre adjoint, Daniel Mills. Chinook ne prend pas de décision, a-t-il juré. Source et suite:https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1863054/immigration-canada-discrimination-racisme-etudiants-francophones-afrique
  6. Les infirmières françaises découvrent l’eldorado québecois Pour faire face à la pénurie de personnel soignant au Québec, le ministère de la santé provincial a lancé une mission visant à recruter 3 500 infirmiers étrangers en 2022. Une occasion à saisir pour nombre d’infirmières en mal de reconnaissance dans l’Hexagone. Par Hélène Jouan(Montréal, correspondance) Publié hier à 11h01, mis à jour à 09h53 Les stagiaires Kenza Hadjiat et Arnito Kodjoakou lors d’un excercice à l’hôpital Jean-Talon de Montréal (Canada), le 9 février 2022. ALEXIS AUBIN POUR «LE MONDE» Kenza Hadjiat, 24 ans, est arrivée à Montréal le 25 janvier, dûment équipée : double legging, double doudoune et chaussures fourrées. Car du Québec, où elle pose pour la première fois les pieds, tout juste sortie du cocon familial, cette jeune femme originaire de Seine-Saint-Denis ne sait que deux choses : il y fait froid l’hiver (– 30 °C à la sortie de l’aéroport), et la province lui ouvre grand les bras pour y exercer sa profession, infirmière. Diplômée de l’Ecole nationale d’infirmières française depuis juillet 2020 – « Je suis une diplômée Covid », dit-elle avec humour –, Kenza n’a qu’une courte expérience en clinique et en crèche, mais le goût de l’aventure l’a poussée à traverser l’Atlantique. « Il paraît qu’ici les infirmières sont plus autonomes dans leur travail », croit-elle savoir, avant même de débarquer à l’hôpital Jean-Talon, dans le centre-ville de Montréal, où va se dérouler son stage d’intégration. Il durera soixante-quinze jours, durée indispensable pour obtenir la reconnaissance définitive de son diplôme et être titularisée. source et suite : https://www.lemonde.fr/economie/article/2022/02/15/les-infirmieres-francaises-decouvrent-l-eldorado-au-quebec_6113762_3234.html
  7. Pourquoi les infirmiers français partent-ils au Québec ? 1:53 Copié Thibaud Hue 06h48, le 16 février 2022, modifié à 07h04, le 16 février 2022 Le Québec fait face à une pénurie de personnel soignant. Un sous-effectif qui s’est accentué depuis la crise sanitaire. Pour faire face à ce besoin criant, le ministère de la Santé du Québec a lancé une mission visant à engager 3.500 infirmiers étrangers en 2022. Les français sont dans la ligne de mire dans ce recrutement massif et beaucoup acceptent pour de meilleures conditions de travail. La pénurie de personnel soignant frappe le Québec de plein fouet. Départ à la retraite, changement de carrière… De nombreux infirmiers manquent à l’appel dans les hôpitaux québécois et ce trou d’air se fait sentir. D’autant plus en temps de crise sanitaire. Au plus fort de la vague Omicron, mi-janvier, il avait manqué jusqu'à 20.000 employés irremplaçables. Alors, le ministère de la Santé de la province a lancé un recrutement massif. L’objectif : engager 3.500 infirmiers étrangers en 2022. Une mesure qui a séduit de nombreux Français. "Ici on a un jugement clinique qui est vraiment important" Un salaire multiplié par deux, moins de patients à prendre en charge, plus de responsabilités. Leslie a commencé une nouvelle vie, engagée comme infirmière à Montréal. Pas question pour elle d'imaginer revenir travailler en France. "J’en avais marre de ne pas être écoutée à ma juste valeur. Ici on a un jugement clinique qui est vraiment important. Ça passe à travers l'apprentissage de l'auscultation, de la lecture des électrocardiogrammes, des compétences normalement réservées aux médecins en France alors que là ça fait partie de la formation de base", explique-t-elle. Un déménagement qui implique donc de meilleures conditions de travail mais aussi plus d'opportunités. Cette jeune française a pu rapidement progresser dans la hiérarchie. Elle est ainsi récemment passée d’infirmière aux urgences à cheffe de service. Une opération qu'elle “n’aurait jamais pu faire en France” selon elle, en tout cas sans passer par l’Ecole des cadres infirmiers. source et suite: https://www.europe1.fr/societe/pourquoi-les-infirmiers-francais-partent-ils-au-quebec-4094122
  8. Mon avis sur les études à l’université de Montréal Par Emma Ferrand • Publié le 14/02/2022 à 18:21 • Mis à jour le 15/02/2022 à 10:05 VOTRE AVIS - À peine bachelière, Selin a quitté sa Lorraine natale pour s’installer à Montréal pour étudier les sciences. Elle raconte son expérience canadienne. Le Québec, ça vous gagne. Selin Tuquet a 22 ans et est en dernière année de master astrophysique à l’université de Montréal, au Canada. La jeune française originaire de Lorraine n’a pas choisi de partir étudier outre-Atlantique seulement pour ses deux années de master. À peine titulaire d’un bac S spécialité maths, Selin quitte sa France natale à seulement 17 ans pour intégrer l’université montréalaise, dans l’optique d’obtenir un bachelor en mathématiques et physique. Après près de cinq ans d’études dans cet établissement de renom, elle raconte au Figaro Étudiant son expérience. » LIRE AUSSI - Michèle Glémaud (université de Montréal): «Nous avons plus de 5000 étudiants français» Ce que j’ai aimé: «L’entraide entre élèves» J’ai été étonnée de voir une telle proximité avec les enseignants et les auxiliaires, qui sont des étudiants de master qui aident ceux en licence. Lorsqu’on révise pour un gros examen, on peut appeler les auxiliaires à n’importe quel moment, ils sont toujours ravis de nous aider, même en pleine nuit. Nous ne sommes jamais laissés face à nous-mêmes. Ils savent qu’on peut être stressés, puisqu’ils étaient à notre place quelques années auparavant. C’est très rassurant. Ce qui m’a surprise: «Le tutoiement» Dès que je suis arrivée, tous les étudiants et le personnel pédagogique ont été accueillants et chaleureux avec moi. On se fait rapidement des amis quand on arrive au Québec. Tout le monde est ouvert aux autres. Ici, le tutoiement vient facilement. En tant que Française, je n’étais pas habituée à cela. Il m’a fallu du temps pour m’adapter, pour comprendre que ce n’est pas irrespectueux là-bas de dire «tu» à quelqu’un que l’on ne connaît pas. Ce que j’ai moins aimé: «Les difficultés administratives pour rester vivre au Québec» suite et source: https://etudiant.lefigaro.fr/article/mon-avis-sur-les-etudes-a-l-universite-de-montreal_25818a6e-8b41-11ec-9365-b246e7ff4c4b/
  9. La fraude sentimentale fait des ravages au Québec et au Canada. Cette arnaque constitue le type de fraude ayant entraîné les plus importantes pertes financières au pays en 2020. Près de 900 plaintes ont été enregistrées pour un total de 18,5 millions de dollars volés, rapporte le Centre antifraude du Canada. À elle seule, Marilyne* a versé près de 550 000$ à un homme qui se dit amoureux d'elle. Elle n'a pourtant jamais vu le blanc de ses yeux. La dame de 75 ans, veuve depuis quelques années, correspond avec un certain Stéphane Guyanais Le Roi depuis trois ans. Ils se sont rencontrés par l'entremise des réseaux sociaux. « C'est lui qui m'a approchée » précise la septuagénaire tombée sous le charme de l'homme qui l'a flouée. Stéphane Guyanais Le Roi se dit âgé dans la cinquantaine et père d'une fille de 12 ans. Il prétend être le digne héritier du propriétaire d'une mine d'or en France. Depuis des mois, il promet de venir vivre au Canada avec l'élue de son cœur, mais ses avoirs sont supposés gelés. Ses projets sont entravés par toutes sortes d'embûches ; des problèmes financiers, la maladie, des arrestations injustifiées, besoin d’argent pour acheter des biens et des billets d'avion, etc. Que des problèmes qui se règlent avec de l'argent, celui de son « amoureuse ». Photo: Une photo envoyée par Stéphane Guyanais Le Roi à Marilyne. Marilyne a vendu sa maison, a liquidé la majeure partie de ses avoirs en banque, en plus d'emprunter de l'argent sur ses cartes de crédit pour l'aider. À ce jour, la dame lui a versé un total de 547 724.02$, incluant les frais de transferts bancaires. Cette ancienne représentante du secteur alimentaire vit maintenant dans un modeste appartement de Saint-Hyacinthe en Montérégie. Ses liquidités disponibles étant épuisées, la dame a repris le travail jeudi dernier. Elle travaille comme commis dans une épicerie, quatre jours par semaine. Il a même incité Marilyne à emprunter de l'argent à ses proches, à vendre des articles personnels et à ouvrir un nouveau compte bancaire sous un faux nom. suite et source Aussi un dossier de Radio-Canada sur la question l'année dernière
  10. Et il semblerait que le couple a eu des nouvelles d'IC après cet article, c'est drôle les coïncidences! ---------------------------- « Épuisé » d’attendre, un couple poursuit Immigration Canada Des milliers d’immigrants déjà sélectionnés par Québec sont toujours dans le flou. Commentaires Romain Schué à 4 h 01 L’attente a assez duré pour Nidhal Chaabena et Amira Meslem. Depuis près de 3 ans, ils patientent et espèrent recevoir un message d’Immigration Canada. Rien n’arrive. Silence radio*. Le couple, originaire d’Algérie, est désormais épuisé. À court d'idées et de solutions. Après avoir multiplié les appels vers ce ministère et les échanges avec leur député fédéral, ils ont décidé de saisir les tribunaux. Aucun agent n’a été inscrit à notre dossier. On ne sait rien, on n’a aucune explication, déplore Amira Meslem, architecte de formation. Cette dernière vit un quasi-cauchemar. La trentenaire montréalaise, qui réside dans l’arrondissement de Rosemont–La Petite-Patrie, doit donner naissance dans les prochaines semaines à un petit garçon. Mais le bonheur de la grossesse s’est rapidement dissipé et s'est transformé en une constante angoisse. En fin d’année passée, son permis de travail a expiré. Son renouvellement tarde. En l'absence d'une résidence permanente, elle a donc perdu sa couverture du régime d’assurance maladie du Québec. L’accouchement pourrait me coûter plusieurs dizaines de milliers de dollars. Je ne sais pas quoi faire, je ne pourrai pas payer, confie-t-elle. suite et source: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1861500/immigration-delais-canada-quebec-residence-ottawa-gouvernement
  11. Et la comparaison de 2 mondes avec les manif à Paris versus Ottawa. Source: Fab de Pierrebourg, Twitter
  12. Oui, ce n'est pas pour les dernières nouvelles mais plutôt pour le résumé de la situation pour ceux qui n'ont pas suivi le dossier.
  13. Des milliers de chauffeurs routiers ont paralysé le centre d’Ottawa, la capitale du Canada, le week-end du 29 janvier, et sont toujours présents le lundi 1er février, pour protester contre les mesures sanitaires. Ils s'opposent notamment à l’obligation vaccinale imposée aux chauffeurs routiers. Concert de klaxon, des milliers de personnes sont dans les rues malgré le froid polaire. Le centre d’Ottawa était paralysé le week-end du 29 et 30 janvier et le lundi 1er février, par des protestataires qui affichent leur colère contre le gouvernement de Justin Trudeau et les mesures anti-Covid. "Tout le monde est avec nous, c’est bon de le savoir mais je suis là pour longtemps. Je n’irai nul part tant que nous n’aurons pas obtenu quelque chose", dit un chauffeur routier. Un mouvement pacifique dans l’ensemble, mais le gouvernement s’inquiète de menaces et de messages haineux proférés par certains manifestants. Le syndicat des transporteurs du pays s’est désolidarisé du mouvement Ce qui a mis le feu aux poudres, c’est l’obligation vaccinale imposée le 15 janvier dernier à tous les routiers canadiens qui traversent la frontière américaine. Plusieurs cortèges de camions auto proclamés "convoi de la liberté" se sont formés dans tout le pays, avec pour mot d’ordre : rejoindre Ottawa et manifester devant le Parlement. L’Alliance canadienne du camionnage, principal syndicat des transporteurs du pays, s’est désolidarisée du mouvement. Selon lui, 90 % des 160 000 chauffeurs de poids lourds sont vaccinés contre le Covid-19. Source et suite: https://www.francetvinfo.fr/monde/canada/vrai-ou-fake-antivax-mobilisation-des-chauffeurs-routiers-au-canada_4937325.html /assets/components/shared/comments/img/comments-icon-27cf862a.svg
  14. Radio-Canada Stéphane Bordeleau 2022-02-09 | Mis à jour hier à 15 h 40 Selon les données du dernier recensement de 2021, le Canada compte aujourd’hui 37 millions d’habitants, soit 5,2 % de plus qu’il y a cinq ans, ce qui en fait le pays ayant connu la plus forte croissance démographique parmi les pays membres du G7. D’après les premières données publiées mercredi matin par Statistique Canada, la population canadienne a crû de 1,8 million d’individus depuis le dernier coup de sonde national, en 2016. En 2021, le Canada comptait 36 991 981 d'habitants. C'est essentiellement à l'immigration que l'on doit cette croissance, souligne le démographe Patrick Charbonneau. En fait, quatre personnes sur cinq qui se sont ajoutées à la population canadienne entre 2016 et 2021 étaient issues de l'immigration. La croissance naturelle de la population, soit les naissances moins les décès, ne représente, elle, que 15 % de la croissance démographique observée au pays depuis cinq ans. Comme on s’y attendait, la pandémie a eu un effet notable sur la courbe démographique canadienne. Après avoir enregistré une croissance record de 583 000 personnes (+1,6 %) en 2019, la population canadienne a connu en 2020 son taux de croissance le plus bas depuis un siècle. source et suite: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1860872/recensement-canada-croissance-population-covid-urbanisation
  15. Thomas Gerbet, Radio-Canada, 8 février 2022 Les Québécois sont fatigués d'attendre pour parler à un représentant de la Régie de l'assurance maladie, puisque les bureaux sont fermés depuis mars 2020. Dans les six derniers mois, 45 % des appels ont été rejetés par la RAMQ, incapable d'y répondre, et 10 % des gens ont abandonné d'eux-mêmes, révèlent des données obtenues par Radio-Canada. Anaïs Cordier-Brasseur a essayé d'appeler une dizaine de fois à la Régie, sans parvenir à parler à quelqu'un. Ça a coupé de très nombreuses fois, même après deux heures d'attente. Ça me rendait dingue, raconte la résidente de Québec, arrivée de France en 2020. La mère de famille tente, sans succès, d'inscrire ses filles à l'assurance maladie publique, parce qu'elles y ont droit, comme tous les enfants d'immigrants, depuis septembre 2021(Nouvelle fenêtre). Finalement, en octobre, après 2 h 20 d'attente, elle a pu parler à un représentant au téléphone, mais avec les délais pour obtenir un formulaire et les allers-retours de pièces justificatives, ses enfants ne sont toujours pas couvertes. Entre-temps, une des filles est allée à l'hôpital et la maman a été contrainte de payer un montant de 1280 $ sans savoir s'il lui sera remboursé un jour. Le cas d'Anaïs Cordier-Brasseur est loin d'être isolé. Les Québécois se butent à des délais d'attente qui explosent à la Régie de l'assurance maladie du QuébecRAMQ. Selon nos informations, des milliers de dossiers sont en retard. Ces retards accentuent le nombre de sollicitations, comme dans un cercle vicieux. La Régie de l'assurance maladie a reçu plus de 1 million d'appels depuis six mois. En décembre, ils étaient 183 préposés pour répondre au téléphone à la Régie de l'assurance maladie du QuébecRAMQ. Cette dernière admet un grand manque de main-d'œuvre, qu'elle s'efforce de combler. La Régie manque tellement de personnel qu'elle est contrainte de rejeter 45 % des appels reçus, sans compter les 10 % d'usagers qui abandonnent et raccrochent par eux-mêmes. source et suite: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1860460/ramq-delais-appel-attente-regie-assurance-maladie
  16. Malheureusement ces délais sont anormaux et dénoncés aujourd'hui dans les médias:
  17. Le Devoir, 8 février 2021, Sarah S. Champagne Plus d’une dizaine de résidents permanents ont confié au Devoir qu’ils patientent depuis 4 à 12 mois pour recevoir cette preuve de leur statut. Ces délais ont des conséquences réelles sur leur vie, dénoncent-ils. Pour Mohamed Amine Daoud, cette attente a signifié la rupture d’une relation amoureuse. Arrivé en 2013 pour décrocher une maîtrise en génie aérospatial, il a vécu avec plusieurs permis différents avant d’obtenir la résidence permanente en février 2021, après presque deux ans de traitement. « Je pensais que le périple arrivait à sa fin, mais ça fait un an que j’attends la carte maintenant », dit-il, découragé. Une première carte lui aurait été envoyée le 29 août 2021, selon Immigration, Réfugiés et Citoyenneté (IRCC). « Nous sommes en février maintenant, et toujours rien. Ça dépasse ma compréhension », glisse M. Daoud. Dans son pays d’origine, sa petite amie non plus « ne pouvait plus comprendre » pourquoi il n’était pas rentré la voir depuis plus de deux ans, dit-il. source et suite : https://www.ledevoir.com/societe/671097/immigration-excedes-d-attendre-un-bout-de-plastique
  18. Je vais transférer votre message dans la sous-catégorie Citoyenneté et vous verrez mieux les délais des autres. https://forum.immigrer.com/forum/46-obtenir-la-citoyenneté/ Bonne attente!
  19. Un ombudsman de l’immigration réclamé après les rejets massifs d’étudiants étrangers francophones Sarah R. Champagne 3 février 2022 Société Un comité à Ottawa se penche sur les refus massifs des demandes de francophones d’Afrique. https://www.ledevoir.com/societe/669705/refus-d-etudiants-etrangers-francophones-un-ombudsman-reclame
  20. Immigration Canada jugerait "illégitime" d'étudier en français hors Québec OTTAWA – Des étudiants internationaux se verraient refuser le fait d’étudier en français dans un établissement postsecondaire hors Québec, car il ne s’agirait pas d’un parcours crédible. L’Association des collèges et universités de la francophonie canadienne (ACUFC) avance avoir recueilli des témoignages de ses membres qui lui auraient fait part de cette raison évoquée par Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC). « Des établissements nous ont rapporté que des demandes ont déjà été refusées parce que l’agent évaluant le dossier ne considérait pas le fait de vouloir étudier en français à l’extérieur du Québec comme un parcours légitime. Donc, il y avait un doute sur la véracité du parcours proposé par l’étudiant. Il s’agit là d’un désavantage substantiel pour nous qui peut avoir des conséquences importantes pour nos établissements », a dit le directeur de l’ACUFC, Martin Normand, dont l’organisme représente 22 établissements francophones. Ce dernier comparaissait devant le Comité permanent de la citoyenneté et de l’immigration, qui se penche sur le haut taux de refus d’étudiants africains francophones suite à une motion du Bloc québécois. « J’ai failli tomber en bas de ma chaise en entendant ça », a réagi le député du Bloc québécois Alexis Brunelle-Duceppe, qui avait amené cette motion au Comité. « Même si c’est anecdotique, c’est un cas de trop. Ce n’est pas un argument valable, c’est carrément de la discrimination et c’est péjoratif envers les francophones hors Québec. C’est un manque de respect et de compréhension et de l’ignorance pure et dure », ajoute-t-il. Il exige que le ministre de l’Immigration Sean Fraser demande des comptes et vérifie l’étendue de cette pratique au sein du ministère. Le Devoir et Radio-Canada ont rapporté dans les derniers mois des taux de refus pour ceux souhaitant étudier au Québec allant jusqu’à 90 %. Parmi les raisons invoquées, on note que les agents d’immigration doutent du vouloir de l’étudiant de quitter le pays après ses études ou encore le fait d’avoir les poches suffisamment profondes pour venir étudier au Canada. suite et source: https://onfr.tfo.org/immigration-canada-postsecondaire-francais-hors-quebec/
  21. 48 heures à Montréal, métropole effervescente et créative Par Marie-Eve Blanchard Publié il y a 12 heures, mis à jour il y a 1 heure Lieux incontournables, itinéraires, infos pratiques et bonnes adresses : notre guide touristique pour visiter Montréal. christian / stock.adobe.com CITY GUIDE - Vibrante et dynamique, la grande ville du Québec se découvre à travers son histoire singulière, sa centaine de festivals et son identité à la fois américaine et européenne. Nos incontournables et nos bonnes adresses. Plus grande ville francophone nord-américaine et riche de par la pluralité de ses habitants et de ses quartiers, Montréal est assurément pluriculturelle. On la découvre et l'apprécie au gré des rues de ses quartiers animés, en marchant dans les rues pavées et ruelles sinueuses de son Vieux-Montréal ou encore en déambulant dans ses parcs urbains et espaces verts tels que le parc du Mont-Royal, véritable poumon de la ville. À découvrir Séjour partenaire au Canada | 12 jours : Splendeurs de l'Est Canadien Étonnante, autant dans sa gastronomie que dans ses arts pluridisciplinaires, la grande ville du Québec se réinvente continuellement pour se positionner comme une ville créative, effervescente et unique. Sa vie culturelle est riche, ses festivals nombreux. Deux jours constitueront une première belle mise en bouche, mais parions que vous aurez assurément envie d'y revenir. source et suite: https://www.lefigaro.fr/voyages/guides/48-heures-a-montreal-metropole-effervescente-et-creative-20220203 suite et source:
  22. Immigration Canada: 18 mois et 4 M$ plus tard, même pas de numéro de dossier La lenteur du processus mine le moral d’un Texan amoureux du Québec Un riche homme d’affaires originaire du Texas, qui vient d’investir 4 millions de dollars chez nous pour bâtir sa vie en français ici, attend depuis 18 mois son numéro de dossier d’Immigration Canada. • À lire aussi: L’unilinguisme du ministre de l’Immigration est «insultant pour les Québécois», selon le Bloc Québécois • À lire aussi: Une grosse annonce du fédéral «in english only» « J’ai soumis les documents au fédéral en juillet 2020. Nous sommes en février 2022. Ça fait 18 mois que j’attends. Je n’ai toujours pas de numéro permanent pour voir mon statut dans le système fédéral », déplore Alberto Valera, un riche investisseur américain, amoureux du Québec, qui a élu domicile ici. Texaco, HP, Capital One... Avant d’arriver au pays, Alberto Valera s’est enrichi en occupant des postes importants dans de grandes firmes. « En 2009, j’ai pris ma retraite de ces grandes sociétés. J’ai décidé de me lancer en affaires avec ma femme avec notre propre firme d’investissement en immobilier ainsi qu’en vente et revente d’entreprises », explique-t-il. Huit ans plus tard, face au climat politique morose aux États-Unis, il décide de faire le grand saut et de vendre une bonne partie de ses actifs en portefeuille à Austin, la capitale du Texas (hôtels, mini-entreprises) pour venir refaire sa vie chez nous. « Le Québec était la place où nous voulions vivre, en raison de sa culture, sa mentalité, qui nous ressemble, sa diversité des cultures et son charme européen », poursuit l’entrepreneur, qui apprend depuis le français de façon intensive avec sa femme et sa fille de 35 ans dans la métropole québécoise. Sélectionné par Québec Or, malgré l’obtention de son Certificat de sélection du Québec (CSQ), et le fait qu’il souhaite faire grandir l’une de ses entreprises d’articles pour bébés ici, Alberto Valera se bute à la bureaucratie et aux délais d’Immigration Canada. source et suite: https://www.journaldequebec.com/2022/02/02/dix-huit-mois-et-4-m-plus-tard-meme-pas-de-numero-de-dossier
  23. Malgré son nom l'enseignement québécois selon le ministère de l'éducation du Québec et non français de France, comme on dit au Québec. Donc il s'agit d'une école privée de la rive sud de Montréal. Elle n'est pas particulièrement bien classée dans les classements mais faut-il se fier qu'à cela?
  24. Oui en effet, une grosse annonce hier : https://www.immigrer.com/le-canada-va-ameliorer-le-delai-de-traitement-des-demandes-dimmigration/
  25. Source: Alexandre Gauthier, twitter
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