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Tout ce qui a été posté par immigrer.com

  1. Malheureusement ces délais sont anormaux et dénoncés aujourd'hui dans les médias:
  2. Le Devoir, 8 février 2021, Sarah S. Champagne Plus d’une dizaine de résidents permanents ont confié au Devoir qu’ils patientent depuis 4 à 12 mois pour recevoir cette preuve de leur statut. Ces délais ont des conséquences réelles sur leur vie, dénoncent-ils. Pour Mohamed Amine Daoud, cette attente a signifié la rupture d’une relation amoureuse. Arrivé en 2013 pour décrocher une maîtrise en génie aérospatial, il a vécu avec plusieurs permis différents avant d’obtenir la résidence permanente en février 2021, après presque deux ans de traitement. « Je pensais que le périple arrivait à sa fin, mais ça fait un an que j’attends la carte maintenant », dit-il, découragé. Une première carte lui aurait été envoyée le 29 août 2021, selon Immigration, Réfugiés et Citoyenneté (IRCC). « Nous sommes en février maintenant, et toujours rien. Ça dépasse ma compréhension », glisse M. Daoud. Dans son pays d’origine, sa petite amie non plus « ne pouvait plus comprendre » pourquoi il n’était pas rentré la voir depuis plus de deux ans, dit-il. source et suite : https://www.ledevoir.com/societe/671097/immigration-excedes-d-attendre-un-bout-de-plastique
  3. Je vais transférer votre message dans la sous-catégorie Citoyenneté et vous verrez mieux les délais des autres. https://forum.immigrer.com/forum/46-obtenir-la-citoyenneté/ Bonne attente!
  4. Un ombudsman de l’immigration réclamé après les rejets massifs d’étudiants étrangers francophones Sarah R. Champagne 3 février 2022 Société Un comité à Ottawa se penche sur les refus massifs des demandes de francophones d’Afrique. https://www.ledevoir.com/societe/669705/refus-d-etudiants-etrangers-francophones-un-ombudsman-reclame
  5. Immigration Canada jugerait "illégitime" d'étudier en français hors Québec OTTAWA – Des étudiants internationaux se verraient refuser le fait d’étudier en français dans un établissement postsecondaire hors Québec, car il ne s’agirait pas d’un parcours crédible. L’Association des collèges et universités de la francophonie canadienne (ACUFC) avance avoir recueilli des témoignages de ses membres qui lui auraient fait part de cette raison évoquée par Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC). « Des établissements nous ont rapporté que des demandes ont déjà été refusées parce que l’agent évaluant le dossier ne considérait pas le fait de vouloir étudier en français à l’extérieur du Québec comme un parcours légitime. Donc, il y avait un doute sur la véracité du parcours proposé par l’étudiant. Il s’agit là d’un désavantage substantiel pour nous qui peut avoir des conséquences importantes pour nos établissements », a dit le directeur de l’ACUFC, Martin Normand, dont l’organisme représente 22 établissements francophones. Ce dernier comparaissait devant le Comité permanent de la citoyenneté et de l’immigration, qui se penche sur le haut taux de refus d’étudiants africains francophones suite à une motion du Bloc québécois. « J’ai failli tomber en bas de ma chaise en entendant ça », a réagi le député du Bloc québécois Alexis Brunelle-Duceppe, qui avait amené cette motion au Comité. « Même si c’est anecdotique, c’est un cas de trop. Ce n’est pas un argument valable, c’est carrément de la discrimination et c’est péjoratif envers les francophones hors Québec. C’est un manque de respect et de compréhension et de l’ignorance pure et dure », ajoute-t-il. Il exige que le ministre de l’Immigration Sean Fraser demande des comptes et vérifie l’étendue de cette pratique au sein du ministère. Le Devoir et Radio-Canada ont rapporté dans les derniers mois des taux de refus pour ceux souhaitant étudier au Québec allant jusqu’à 90 %. Parmi les raisons invoquées, on note que les agents d’immigration doutent du vouloir de l’étudiant de quitter le pays après ses études ou encore le fait d’avoir les poches suffisamment profondes pour venir étudier au Canada. suite et source: https://onfr.tfo.org/immigration-canada-postsecondaire-francais-hors-quebec/
  6. 48 heures à Montréal, métropole effervescente et créative Par Marie-Eve Blanchard Publié il y a 12 heures, mis à jour il y a 1 heure Lieux incontournables, itinéraires, infos pratiques et bonnes adresses : notre guide touristique pour visiter Montréal. christian / stock.adobe.com CITY GUIDE - Vibrante et dynamique, la grande ville du Québec se découvre à travers son histoire singulière, sa centaine de festivals et son identité à la fois américaine et européenne. Nos incontournables et nos bonnes adresses. Plus grande ville francophone nord-américaine et riche de par la pluralité de ses habitants et de ses quartiers, Montréal est assurément pluriculturelle. On la découvre et l'apprécie au gré des rues de ses quartiers animés, en marchant dans les rues pavées et ruelles sinueuses de son Vieux-Montréal ou encore en déambulant dans ses parcs urbains et espaces verts tels que le parc du Mont-Royal, véritable poumon de la ville. À découvrir Séjour partenaire au Canada | 12 jours : Splendeurs de l'Est Canadien Étonnante, autant dans sa gastronomie que dans ses arts pluridisciplinaires, la grande ville du Québec se réinvente continuellement pour se positionner comme une ville créative, effervescente et unique. Sa vie culturelle est riche, ses festivals nombreux. Deux jours constitueront une première belle mise en bouche, mais parions que vous aurez assurément envie d'y revenir. source et suite: https://www.lefigaro.fr/voyages/guides/48-heures-a-montreal-metropole-effervescente-et-creative-20220203 suite et source:
  7. Immigration Canada: 18 mois et 4 M$ plus tard, même pas de numéro de dossier La lenteur du processus mine le moral d’un Texan amoureux du Québec Un riche homme d’affaires originaire du Texas, qui vient d’investir 4 millions de dollars chez nous pour bâtir sa vie en français ici, attend depuis 18 mois son numéro de dossier d’Immigration Canada. • À lire aussi: L’unilinguisme du ministre de l’Immigration est «insultant pour les Québécois», selon le Bloc Québécois • À lire aussi: Une grosse annonce du fédéral «in english only» « J’ai soumis les documents au fédéral en juillet 2020. Nous sommes en février 2022. Ça fait 18 mois que j’attends. Je n’ai toujours pas de numéro permanent pour voir mon statut dans le système fédéral », déplore Alberto Valera, un riche investisseur américain, amoureux du Québec, qui a élu domicile ici. Texaco, HP, Capital One... Avant d’arriver au pays, Alberto Valera s’est enrichi en occupant des postes importants dans de grandes firmes. « En 2009, j’ai pris ma retraite de ces grandes sociétés. J’ai décidé de me lancer en affaires avec ma femme avec notre propre firme d’investissement en immobilier ainsi qu’en vente et revente d’entreprises », explique-t-il. Huit ans plus tard, face au climat politique morose aux États-Unis, il décide de faire le grand saut et de vendre une bonne partie de ses actifs en portefeuille à Austin, la capitale du Texas (hôtels, mini-entreprises) pour venir refaire sa vie chez nous. « Le Québec était la place où nous voulions vivre, en raison de sa culture, sa mentalité, qui nous ressemble, sa diversité des cultures et son charme européen », poursuit l’entrepreneur, qui apprend depuis le français de façon intensive avec sa femme et sa fille de 35 ans dans la métropole québécoise. Sélectionné par Québec Or, malgré l’obtention de son Certificat de sélection du Québec (CSQ), et le fait qu’il souhaite faire grandir l’une de ses entreprises d’articles pour bébés ici, Alberto Valera se bute à la bureaucratie et aux délais d’Immigration Canada. source et suite: https://www.journaldequebec.com/2022/02/02/dix-huit-mois-et-4-m-plus-tard-meme-pas-de-numero-de-dossier
  8. Malgré son nom l'enseignement québécois selon le ministère de l'éducation du Québec et non français de France, comme on dit au Québec. Donc il s'agit d'une école privée de la rive sud de Montréal. Elle n'est pas particulièrement bien classée dans les classements mais faut-il se fier qu'à cela?
  9. Oui en effet, une grosse annonce hier : https://www.immigrer.com/le-canada-va-ameliorer-le-delai-de-traitement-des-demandes-dimmigration/
  10. Source: Alexandre Gauthier, twitter
  11. Merci de votre site sur le forum et de votre témoignage. Mais surtout pas n'hésitez pas et nous faire un bilan plus loin. Nous pourrions le partager avec les autres visiteurs qui aiment lire les témoignages, surtout en région.
  12. Oui tu dois écouter la chronique de 3 minutes et tu verras!
  13. Poser la question de l'accent n'est-il pas une forme d'ethnocentrisme, une façon de voir le monde à partir de ses propres préjugés ? Excellent, 3 minutes de chronique. À écouter ! https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/22911-27.01.2022-ITEMA_22913846-2022C45517E0014-21.mp3 Ville de Québec• Crédits : Rex Montalban Photography - Getty Sous une apparence de neutralité, poser la question des accents québécois, marseillais, alsacien ou autre est une forme d'ethnocentrisme, une façon de voir le monde à partir de ses propres préjugés. Quand on dit que quelqu'un parle le français sans accent, on oublie que cette neutralisation apparente est le fruit d'une longue histoire. En 1534, le navigateur Jacques Cartier découvre le Québec C'est en 1534 que le navigateur Jacques Cartier a découvert le Québec. Quelques décennies plus tard, grâce à Samuel de Champlain, la première colonie française permanente s'est fixée sur ce territoire qu'il a appelée la Nouvelle France. A l'époque, ses habitants parlaient la même langue que le peuple du royaume de France, un français populaire qui se distinguait toutefois du dialecte distingué qu'on parlait à la Cour. Mais les bouleversements provoqués par la Révolution française ont contribué à diffuser, d'abord au sein de la bourgeoisie, puis dans toutes les couches sociales, les façons de parler qui s'étaient imposées d'abord à Versailles puis dans les salons parisiens. Etant donné la faiblesse des flux migratoires entre la France et le Canada, le français québécois a évolué en conservant les manières de parler qui existaient sous l'Ancien Régime, y compris en gardant des traces rappelant l'origine régionale de ces immigrants, comme le normand, le poitevin, le saintongeais, etc. Ce vieux français se caractérisait notamment par le fait que l'on ne prononçait pas toutes les syllabes, ce qui est encore une marque du québécois. Les Québécois peuvent donc considérer qu'ils parlent « le vrai français » et que ce sont les Parisiens qui ont pris un accent en prononçant toutes les syllabes, toutes les lettres, tous les mots comme il faut (...)." https://www.franceculture.fr/emissions/le-pourquoi-du-comment-histoire/pourquoi-les-quebecois-ont-ils-un-accent
  14. À bout de patience, près de 250 immigrants du Québec demandent à Ottawa d’expliquer les délais qui s’étirent sur plusieurs années avant de traiter leur demande de résidence permanente. À côté, des dossiers beaucoup plus récents que les leurs sont déjà réglés. Publié à 6h00 LILA DUSSAULTLA PRESSE « Ce traitement injuste, arbitraire, est indigne et profondément inhumain », déclare Nour Mahfouz, porte-parole du groupe Facebook « Dossiers RP PEQ 2018-2019 », dans une lettre envoyée dimanche à Daniel Mills, sous-ministre adjoint d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC), que La Presse a obtenue. Ce groupe Facebook a été créé en décembre dernier. Il compte déjà 241 membres qui vivent, travaillent et paient leurs impôts au Québec. Certains ont fondé une famille ou acheté une propriété dans la province. Ces possibles futurs Québécois ont en commun d’avoir déposé une demande de résidence permanente en 2018, 2019 ou début 2020 dans le cadre du Programme des travailleurs qualifiés du Québec. Et de n’avoir toujours pas reçu de réponse. « On sait que l’obtention de la résidence permanente n’est pas un droit pour nous, affirme Nour Mahfouz, en entrevue avec La Presse. Mais d’avoir un traitement raisonnable, dans un délai raisonnable, ça, c’est un droit. » L’anxiété de l’attente Rester dans le néant – parfois plus de deux ans et demi sans réponse – est dur à supporter, selon plusieurs témoignages recueillis. Que ce soit en raison de la mise sur pause de projets de vie, du stress de sortir du pays pour retourner voir la famille sans savoir s’il sera difficile de revenir ou des frais encourus pour renouveler les permis de travail, la précarité finit par avoir des effets sur la santé mentale des oubliés. Nour Mahfouz attend une réponse depuis septembre 2019, quand elle a déposé sa demande de résidence permanente. PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE Nour Mahfouz Quand j’appelle l’IRCC, ils me disent que mon dossier est complet, que tout va bien, mais rien n’avance. Aucun agent n’est même affilié au dossier ! Nour Mahfouz, porte-parole du groupe Facebook « Dossiers RP PEQ 2018-2019 » C’est particulièrement stressant pour la jeune femme de 28 ans, qui va accoucher en mai de son premier enfant. Architecte du paysage, diplômée de l’Université de Montréal et employée de la Ville de Montréal, elle devra obtenir un nouveau permis de travail si elle veut rester au Québec. « C’est très difficile, parce que ça devrait être un moment joyeux, déplore Nour Mahfouz. Mais je vis beaucoup d’angoisse, d’anxiété, d’insomnie. » Double vitesse Pendant que des dossiers stagnent, d’autres sont traités dans la moitié du temps. Au cours des derniers jours, six personnes ont annoncé avoir reçu leur résidence permanente dans le groupe Facebook « Où sont nos dossiers de résidence permanente » (un endroit où les membres publient les dates de l’avancée de leur situation). Ces dossiers avaient été déposés à la fin de l’année 2020, et même en janvier 2021. Ils ont donc été classés en un peu plus d’un an. « Je ne suis pas un criminel, je n’ai aucun problème », lance Mattieu Chambot. Français d’origine, il a déposé sa demande de résidence permanente en juillet 2019. PHOTO PHILIPPE BOIVIN, COLLABORATION SPÉCIALE Mattieu Chambot Je ne comprends pas pourquoi ma demande n’a pas commencé à être traitée, plus de deux ans plus tard. Mattieu Chambot, dont la demande de résidence permanente a été déposée en juillet 2019 « J’ai un dossier relativement simple. Je suis seule, j’ai fait toutes mes études au Québec, ça fait 10 ans que je suis sur le territoire. Mon conjoint est Québécois, ma belle-famille aussi », témoigne aussi Inès Duval, ingénieure diplômée de Polytechnique Montréal et de HEC Montréal. Sa demande de résidence permanente a été déposée, comme pour Mattieu Chambot, en juillet 2019. suite et source: https://www.lapresse.ca/actualites/2022-01-26/demandes-de-residence-permanente/des-travailleurs-qualifies-a-bout-de-nerfs.php
  15. Bonjour, Comme vous êtes de nationalité canadienne, il faut être clair en effet pour votre lieu de résidence fiscale en effet. Je vous invite à lire ces infos du site de Revenu Québec sur le lieu de résidence: " LIENS DE RÉSIDENCE CONSIDÉRÉS DANS LA DÉTERMINATION DU STATUT DE RÉSIDENCE La notion de résidence n'est pas définie dans la Loi sur les impôts Ce lien ouvrira un nouvel onglet du Québec. Son sens a cependant été largement examiné par les tribunaux au cours des années. Selon eux, la notion de résidence se définit au moyen d'une série de faits qui doivent être considérés dans leur ensemble. Par exemple, la résidence fiscale d'un particulier ne correspond ni à son domicile, ni à sa citoyenneté. La question de résidence est toujours une question de fait. Elle va au-delà de la simple présence physique en un lieu. En effet, elle implique une relation continue entre une personne et un endroit, mais sans que cette personne doive toujours être présente à cet endroit. Parmi les différents facteurs que nous considérons pour déterminer si vous êtes ou non un résident du Québec du point de vue fiscal, celui de vos liens de résidence avec le Québec s'avère le plus important. " suite et source: https://www.revenuquebec.ca/fr/citoyens/votre-situation/statut-de-residence-et-assujettissement-a-limpot/liens-de-residence-consideres-dans-la-determination-du-statut-de-residence/
  16. Bonjour, Je vous invite à visiter la sous-section du forum dédiée au Parrainage pour vos questions. Vous y trouverez aussi certainement des réponses à vos questions. https://forum.immigrer.com/forum/12-parrainages-et-mariages/ Aussi, nous allons déplacer votre question dans cette section. Bon courage
  17. Quatre reportages tout aussi intéressant les uns des autres sur les Français originaires de Franche-Comté qui vivent au Québec ou des Québécois vivant en Franche-Comté. " On compare souvent les paysages de la Franche-Comté à ceux de la belle province du Canada. Mais qu'en est-il de nos échanges avec le Québec ? Et bien, ils sont surprenants, parfois même insoupçonnés. Rencontres. Episode 1 : Le terroir canadien stocké en Haute-Saône A Dampierre-sur-Salon en Haute-Saône, on est toujours surpris de voir paître le troupeau de Bisons de William Joly. "Une idée de mon papa qui souhaitait diversifier la production dans les années 90 " précise cet éleveur qui est surtout devenu l’un des plus gros importateurs de produits canadiens en France. Avec William Joly Eleveur de Bisons - Mario Fortier Fondateur de "La cabane à Mario" - à 02,42 Extrait du film "Vertige" réal : Seb Rioux - Vincent More Vice-Président de Nokomis (Québec) Dans son entrepôt digne d'une grande surface et qui se trouve au cœur de l'exploitation familiale : de la bière, du whisky, du sirop d'érable bien sûr, sans oublier les délicieuses canneberges. En Haute-Saône, William Joly élève des bisons mais il importe aussi des produits canadiens. c'est un très gros opérateur sur ce marché • © David Martin France Télévisions Avec son site internet, William diffuse les saveurs du Canada dans tout l'hexagone mais il a aussi une clientèle professionnelle à l'image du Québécois Mario Fortier. Cet entrepreneur et producteur de produits de l'érable est présent dans les foires et sur les marchés de Nöel : " Avec William ça a fonctionné tout de suite entre nous, car moi aussi je suis d’une famille d‘agriculteurs" insiste Mario. Et comme la planète n’est qu’un petit village, c’est avec un copain d’école, Vincent More, qui a émigré au Canada et qui vend du sirop d'érable que William a aussi développé son activité. Episode 2 : Du fromage québécois au pays du comté On pourrait croire que c'est un gamin de la boucle tant il aime Besançon mais Richard Roberge est né loin d'ici à près de 6000 km de là dans une région nommée Centre-du-Québec. Il est venu en Franche-Comté pour jouer au hockey et il n'est jamais reparti. Avec Richard Roberge Producteur de fromage à Poutine - Festival de la Poutine de Drummondville : images Alexis Desjardins - Richard Roberge et des Images de Tourisme Montréal Ce commerçant vient de mettre en gérance son restaurant canadien de la rue Richebourg pour se lancer un nouveau défi : fabriquer du fromage en grains en Franche-Comté. Ce fromage québécois est utilisé pour la poutine qui est un plat incontournable au Québec. Richard entend bien vendre sa production dans toute la France et notamment auprès des restaurants canadiens. Ce fromage "skouik skouik" ou "en crottes" comme on dit au Québec "doit grincer sous la dent" explique Richard qui a élaboré la recette avec le fromager Pascal Colas. Un expert québécois devrai même venir valide cette production comtoise qui se vendra un jour, qui sait, au Canada. Produire du fromage québécois en Franche-Comté. C'est le projet de Richard Roberge avec l'aide du fromager Pascal Colas. Ce fromage en "grains" est l'ingrédient essentiel de la fameuse Poutine canadienne. • © David Martin - France Télévisions Episode 3 : Québécois d'ici, Comtois de là-bas Carole Desmarais est une artiste-peintre originaire de Montréal. Après avoir longtemps vécu en Suisse, c'est dans le centre historique de Dole dans le Jura qu'elle a décidé d'exposer son art en ouvrant une petite boutique qui reflète l'âme voyageuse de cette Québécoise. "Montréal est une ville multiculturelle et c'est que j'appréciais lorsque j'y vivais". Carole adore le fleuve Saint-Laurent mais craint désormais les températures hivernales. "Chez nous on n'a pas de printemps, quand je suis arrivé en Europe, j'ai enfin découvert un printemps qui dure" ajoute l'artiste qui était retournée vivre un temps au Canada avec son mari, mais l'Europe leur manquait. Avec Carole Desmarais Artiste-peintre - images Tourisme Montréal -Chantal Hauw ressortissante franco-canadienne - Photos : Tourisme Hautes-Laurentides -Christine Richard - Images Tourisme Hautes-Laurentides Originaire de la vallée de la Loue, Christine Richard et son mari ont fait le voyage en sens inverse. Au début des années 2000, ils ont vendu leur pizzeria d'Ornans dans le Doubs pour acheter une auberge au bord d'un lac dans la région des Hautes-Laurentides. Ce n'était pas simple au début reconnaît Christine. "J'avais 45 ans et mon mari était plus âgé, pour émigrer c'est un peu tard, il fallait s'adapter" mais aussi composer avec les habitudes locales. " Les clients mangeaient très vite comme au fast-food, on a donc habitué notre clientèle à prendre du temps à table, et à venir un plus tard que 17 h pour le repas du soir ! " ajoute Christine qui aura vécu près de 20 ans au canada. la commune du Lac-du-Cerf au Québec. Christine Richard et son mari ont quitté Ornans dans le Doubs pour exploiter l'auberge du village qui se trouve en haut à gauche au bord de l'eau • © Tourisme Hautes-Laurentides Episode 4 : Le cursus québécois d'un lycée agricole du Jura Si les échanges universitaires avec le Québec nous semblent familiers, le partenariat entre le Lycée agricole Mancy de Lons-le-Saunier et le CEGEP de Saint-Félicien dans la région du lac Saint-Jean est particulièrement fructueux : "Pour nous, c'est même devenu un facteur de recrutement d'étudiants" indique Frédéric Mesure enseignant et responsable des relations internationales du lycée lédonien.Plusieurs étudiants jurassiens en BTSA poursuivent en effet leur études (de une à trois années) dans cet établissement québécois. C'est le cas d'Eloïse Choulot et de Marie Saffroy qui ont bien voulu (images à l'appui) nous raconter un peu leur quotidien dans cette magnifique région du Saguenay lac-Saint-Jean, recouverte en l'occurrence d'un beau manteau blanc. Avec Marie Saffroy Etudiante française au Québec - Eloïse Choulot Etudiante française au Québec - Frédéric Mesure Enseignant au Lycée Agricole Mancy de Lons-le-Saunier et des images de Tourisme Saguenay- Lac-Saint-Jean "C'est un pays dans lequel je me sens bien, et si j'ai des opportunités après mes études, je pourrais y rester" avoue Marie qui comme beaucoup de jeunes Français est attirée par ce Québec qui, de plus, a besoin de main-d'oeuvre. Découvrir le Québec sans quitter la Franche-Comté" https://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/franche-comte/videos-quand-la-franche-comte-cousine-avec-le-quebec-2407351.html
  18. https://www.immigrer.com/pvt-premiere-ronde-dinvitations-lancee/
  19. Attention : Mise à jour des mesures à la frontière pour les étudiants internationaux À compter du 15 janvier 2022, les étudiants internationaux de 18 ans et plus ne seront autorisés à entrer dans le pays que s'ils sont entièrement vaccinés avec l'un des vaccins approuvés par Santé Canada. Les enfants de moins de 18 ans doivent continuer à se soumettre à des tests de dépistage, à la quarantaine et aux autres exigences d'entrée. À compter du 15 janvier, 2022, pour pouvoir entrer au Canada en tant qu'étudiant international, vous devez : avoir un permis d'études valide être entièrement vacciné avec des vaccins approuvés par le gouvernement du Canada fréquenter un établissement d'enseignement désigné (EED) répondre à toutes les autres restrictions et exemptions en matière de voyage pour les étudiants internationaux. source: https://www.educanada.ca/study-plan-etudes/covid-19/index.aspx?lang=fra
  20. Repartir ? Il n’en est pas question pour Magali Rénia, infirmière arrivée de France en 2019. « C’est ici que je me sens chez moi. » Publié hier à 5h00 LOUISE LEDUC - LA PRESSE Comme elle, plus d’un millier d’infirmières – fortement courtisées par le Québec, particulièrement depuis le début de la pandémie – ont été recrutées à l’étranger depuis 2019. À l’hôpital du Sacré-Cœur, à Montréal, « en ne prenant en compte que les soins intensifs, on a une trentaine d’infirmières françaises. Heureusement qu’elles sont là », souligne le Dr Martin Albert, intensiviste dans cet établissement. Même en pleine pandémie, les infirmiers français interrogés (qui forment le plus gros contingent) sont globalement ravis. Le « temps supplémentaire obligatoire » (TSO) est certes un facteur irritant majeur pour ceux qui doivent en faire, mais ils sont contents d’avoir beaucoup moins de patients à leur charge. Ils sont aussi mieux payés et, expliquent-ils, la philosophie de soins est à la hauteur de l’excellente réputation du Québec en France à cet égard. Par contre, tous sans exception pestent contre le retard dans l’informatisation des dossiers qui leur font perdre « certainement une heure et demie de soins auprès des patients », calcule Lucie Lottin, qui pratique à l’hôpital Honoré-Mercier, à Saint-Hyacinthe, depuis juin. Très au fait de son retard informatique, le gouvernement Legault vient d’annoncer l’embauche de 3000 agents administratifs pour prêter main-forte aux infirmières. PHOTO FOURNIE PAR LUCIE LOTTIN Lucie Lottin, son conjoint et leurs quatre enfants se sont établis près de Saint-Hyacinthe. Comme Magali Rénia, installée dans le Plateau Mont-Royal avec sa famille, Lucie Lottin souligne que son conjoint et elle, qui habitent, eux, dans un village près de Saint-Hyacinthe avec leurs quatre enfants, ne se voient pas du tout rentrer en France. « La vie est tellement plus douce, ici », lance-t-elle. « Je suis peut-être en lune de miel, mais l’autre jour, j’étais en train de perfuser un patient, et par la fenêtre, j’ai vu toute la neige. Je ne m’en lasse pas. Les paysages m’émerveillent ! » suite et source: https://www.lapresse.ca/actualites/sante/2022-01-16/des-infirmieres-francaises-plus-heureuses-au-quebec.php
  21. C'est cette semaine que c'est devenu enfin officiel! Le maximum d’employés étrangers temporaires est haussé à 20 % au Québec Commentaires La Presse canadienne le 10 janvier 2022 Les entreprises de certains secteurs peuvent depuis lundi employer jusqu'à 20 % de travailleurs étrangers temporaires au Québec, alors que le plafond était jusqu'ici de 10 %. Ce changement touchera particulièrement les postes qui requièrent moins de qualifications dans le commerce de détail, la restauration, l'hôtellerie et le secteur manufacturier, a précisé en entrevue le ministre du Travail et de l'Emploi, Jean Boulet. On m'en parlait dans toutes les régions, de l'importance de ces travailleurs étrangers temporaires, a relaté le ministre Boulet. La rapidité d'action du gouvernement fédéral en la matière a souvent été critiquée. Par exemple, au cours des derniers jours, l'entreprise de transformation de poulets Exceldor avait annoncé devoir euthanasier des milliers de poulets faute de travailleurs étrangers dans ses installations. Le traitement des dossiers a tardé. Tant l'entreprise que le syndicat qui représente des travailleurs de ce secteur, les Travailleurs unis de l'alimentation et du commerce (TUAC, affiliés à la Fédération des travailleurs et travailleuses du QuébecFTQ), avaient dénoncé l'allongement des délais de traitement des dossiers par le gouvernement fédéral, de trois mois à six mois, voire un an. Québec a-t-il des garanties qu'avec l'augmentation du plafond de 10 % à 20 % annoncée conjointement par Ottawa et Québec, le gouvernement fédéral accélérera le processus? La garantie, je n'en ai pas, admet le ministre Boulet. L'émission de permis de travail est faite par Ottawa. Moi, je revendique le rapatriement de ce programme-là des travailleurs étrangers temporaires, pour que ce soit géré plus efficacement et de manière plus compatible avec notre marché de l'emploi, a ajouté le ministre québécois. Le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Solidarité sociale, Jean Boulet. PHOTO : LA PRESSE CANADIENNE / JACQUES BOISSINOT Le syndicat des Travailleurs unis de l'alimentation et du commerceTUAC va même plus loin. Lorsqu'il s'agit de travailleurs étrangers temporaires, mais qui occupent un emploi qui serait disponible toute l'année – chez un transformateur de poulets, par exemple – pourquoi ne pas tout simplement faciliter son immigration? Le programme, c'est une solution temporaire pour un problème qui est permanent. Alors qu'on sait que dans les usines de transformation alimentaire, on opère sur 12 mois, donc on aurait besoin d'avoir des travailleurs de façon permanente, a expliqué Roxane Larouche, porte-parole des Travailleurs unis de l'alimentation et du commerce. Suite et source: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1853166/travailleurs-etrangers-temporaires-jean-boulet-entreprises
  22. Quelques pistes ici dans les FAQ: https://www.immigrer.com/categorie/faq/Chercher-travail-de-letranger-visa-touriste/ https://www.immigrer.com/categorie/faq/emplois-temporaires/
  23. Tiphanie Roquette à 15 h 24 Le gouvernement albertain a créé une voie spécifique au sein du Programme des candidats des provinces pour accélérer l’arrivée de personnes qualifiées en technologies et combler les besoins de main-d'œuvre du secteur. Selon le ministre du Travail, Tyler Shandro, cette voie d’immigration vers la résidence permanente permettra aux travailleurs qualifiés d’arriver en Alberta en seulement six mois. Ces immigrants doivent cependant avoir déjà un profil d’entrée express auprès du gouvernement fédéral et une promesse d’embauche pour un emploi listé par la province. Nous avons déjà lancé cette voie d’entrée en décembre de manière discrète et nous avons déjà reçu beaucoup d’intérêt d’entreprises de technologies. C’est un signal clair que cette initiative va aider l’Alberta à devenir un centre dominant des nouvelles technologies au Canada et dans le monde, a expliqué le ministre. Le gouvernement ne sait pas combien de personnes pourraient rejoindre le secteur albertain grâce à cette voie d’immigration. L’Alberta peut nommer jusqu’à 6250 candidats par an dans le cadre du Programme des candidats des provinces. suite et source: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1854096/emploi-tech-travail-immigration-entree-express
  24. Partagez via Twitter (Fenêtre modale) Twitter Partagez via LinkedIn (Fenêtre modale) LinkedIn Partagez via Courriel (Fenêtre modale) Courriel Activer l’option d’impression du navigateur Imprimer Afficher les commentaires Commentaires Davide Gentile (accéder à la page de l'auteur)Davide Gentile Daniel Boily (accéder à la page de l'auteur)Daniel Boily à 4 h 01 L’intérêt des infirmières diplômées à l’étranger pour le Québec ne cesse d’augmenter. À tel point que le CIUSSS du Nord-de-l’île-de-Montréal se dote d’une équipe de ressources humaines dédiée au recrutement de personnel à l’étranger. Cette année, la moitié des nouveaux employés du Centre intégré universitaire de santé et de services sociauxCIUSSS du Nord-de-l’île-de-Montréal seront recrutés à l'étranger. Il s'agit d'infirmières, de technologues, de médecins et de travailleurs sociaux. On a vraiment comme objectifs de recruter 250 ressources étrangères, explique Florent Verjus, gestionnaire au Centre intégré universitaire de santé et de services sociauxCIUSSS. Lui-même issu de l’immigration, ce coordinateur du bureau d'immigration et d'intégration des diplômés étrangers sait combien leur contribution est précieuse en ces temps de pénurie de main-d'œuvre. On s'est dit il faut créer un bureau du recrutement pour vraiment les intégrer, les suivre dans leur cheminement d'immigration, les accueillir, précise M. Verjus. Une équipe dédiée a été constituée récemment au sein des ressources humaines. Il faut dire que les établissements de santé rivalisent d’audace pour obtenir leur part de cette main-d'œuvre spécialisée. La proportion des nouveaux permis délivrés par l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ) à des diplômés hors Québec (France, Canada et autres pays) est passée de 11 % en 2016-2017 à 22 % en 2020-2021. Leur nombre atteint maintenant 800 diplômés par année, dont plus de la moitié proviennent de la France. suite et source: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1853888/nouvelles-infirmieres-hors-quebec-permis-france
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