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  1. C'est aujourd"hui à 15 h que l'éclipse aura lieu. Vous êtes plus de 70 000 à vous êtes inscrit à notre évènement. Il est encore temps d'y ajouter votre nom. https://www.facebook.com/events/267875506387245
  2. Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi certains de vos amis français, belges ou suisses installés au Québec depuis longtemps ont toujours leur accent? Du coup, on a posé la question à un sociolinguiste pour y voir plus clair. «Ce sont des processus individuels et d’une personne à l’autre, il y aura des motivations ou orientations différentes derrière les choix qui sont faits», précise d'emblée à 24 heures le professeur de linguistique à l’Université de Sherbrooke et directeur du Centre de recherche interuniversitaire sur le français en usage au Québec (CRIFUQ), Wim Remysen. Une question d'âge, de réseau, d'identité... et d'appréciation En se fiant sur des études anglophones, Wim Remysen a identifié des facteurs qui peuvent contribuer au fait qu’une personne qui parle la langue de Molière, de Rousseau ou de Fabian change (ou pas) d’accent après s’être installée au Québec. Il y a d'abord l’âge. «Après 13 ans, on va considérer que c’est plus difficile d’acquérir une variété de langue», explique l’expert. Il précise que plus les années passent, plus on a de difficulté à percevoir certaines nuances dans la prononciation et à les intégrer dans notre propre pratique. Le réseau dans lequel évolue la personne joue également un rôle. Wim Remysen prend l'exemple des Français, qui sont pas moins de 65 000 à habiter à Montréal. Si une personne originaire de France ne s'entoure que d'autres Français une fois au Québec, il y a fort à parier qu'elle conservera son accent d'origine, plutôt que de développer ce qu'on appelle nouvelle variété de langue. «Alors que si on fréquente des Québécois qui sont nés et qui ont grandi dans la province, on est plus exposé à l’accent donc plus de facilité à adopter l’accent québécois», précise-t-il. L'identité peut aussi contribuer au fait qu'une personne changera (ou ne changera pas) sa manière de s'exprimer. «En délaissant notre propre accent, il y a une part de nous qu’on met de côté, mentionne le professeur. Notre accent est aussi une sorte de passeport qui indique nos origines. C’est l’une des forces de l’accent.» Pour certains francophones nés de l’extérieur du Québec, l’accent de Tremblay peut finalement être perçu négativement, note Wim Remysen «On peut très bien imaginer que pour certains francophones, se conformer à un accent qui n’est pas le leur et qui n’est pas aussi légitime à leurs yeux que leur accent d’origine, ça peut les freiner à l‘adopter.» Un français hybride Wim Remysen remarque que bien des Français installés au Québec — ou encore des Belges ou des Suisses — finissent par adopter un français hybride. Au Québec, ils se font dire qu'ils ont encore leur accent «français», alors que de retour dans leur pays d'origine, ils se font dire qu'ils sonnent «québécois». Suite et source
  3. Pénurie de vétérinaires au Québec: de la main-d’œuvre de l’étranger à la rescousse L’OMVQ a octroyé une quarantaine de permis restrictifs temporaires pour répondre aux besoins criants CATHERINE BOUCHARD Lundi, 1 avril 2024 00:00 MISE À JOUR Lundi, 1 avril 2024 00:00 Une quarantaine de vétérinaires de l’étranger ont le droit de pratiquer ici temporairement depuis un an, alors que l’Ordre des médecins vétérinaires du Québec cherche à minimiser les impacts de la pénurie des spécialistes de la santé animale. En février 2023, Le Journal publiait un dossier complet sur la situation de la médecine vétérinaire au Québec et le manque de main-d’œuvre amplifié par l’adoption massive d’animaux de compagnie durant la pandémie. L’Ordre des médecins vétérinaires du Québec (OMVQ) indiquait à ce moment qu’il faudrait plusieurs années avant de voir la situation se rétablir. Favoriser l’accueil de vétérinaires diplômés à l’étranger était au nombre des solutions. En 2023, un premier pas vers l’avant a été fait, alors qu’une quarantaine de vétérinaires de l’étranger ont obtenu un permis restrictif temporaire, en attendant d’obtenir leur équivalence. «On a de très beaux succès», admet d’emblée Dr Gaston Rioux, président à l’OMVQ. De beaux succès, oui, mais qui a ses limites, nuance-t-il. Un processus décourageant L’octroi de ces permis est accordé en attendant que ces médecins obtiennent leur équivalence pour pratiquer au Québec. Un processus qui peut décourager les vétérinaires devant l’ampleur du travail à y mettre et les frais qui y sont associés. Dr Rioux craint que des candidats se découragent. Il souhaite un autre assouplissement du gouvernement avec l’octroi de permis restrictifs permanents, pour ceux qui pratiqueraient uniquement dans leur spécialité. «Par exemple, un vétérinaire français qui a toujours travaillé avec les moutons et les chèvres et qui doit repasser tous les examens [pour l’ensemble] des animaux, ça décourage, observe-t-il. Avec un permis restrictif permanent, il resterait avec les chèvres et les moutons.» Dre Marie Poncet, qui est originaire de France et travaille dans une clinique de Mascouche, est l’un des premiers médecins à avoir obtenu ce type de permis. Des quatre examens à faire pour l’équivalence, il lui en reste qu’un à réussir. Elle admet toutefois que le processus est décourageant. L’option d’un permis restrictif permanent serait une bonne idée à son avis. «Je comprends qu’on n’est pas sur le même continent, il peut y avoir des maladies, des pratiques un peu différentes. Mais c’est vrai que des fois il y a des choses de base qu’on nous redemande et ça fait beaucoup de travail que nous avons déjà fait». Près de 8000$ pour un examen Dre Daria Malakhova a obtenu son diplôme de médecine vétérinaire en 2012, en Ukraine. Arrivée au Québec en 2021, elle a obtenu son permis restrictif en avril 2023. Il lui reste également un examen à passer pour avoir un permis régulier. «Il est vrai que le processus est long et très coûteux», observe-t-elle, précisant que son dernier examen, au coût de 8000$, est prévu pour mai prochain. Source et suite : https://www.journaldemontreal.com/2024/03/30/penurie-de-veterinaires-au-quebec-de-la-main-doeuvre-de-letranger-a-la-rescousse
  4. Suite au webinaire de cette semaine, un beau cadeau de l'auteur du livre pour vous ! https://www.immigrer.com/le-quebec-explique-aux-immigrants-offert-gratuitement/
  5. Lisa-Marie Gervais 27 mars 2024 Difficultés d’intégration, stress et anxiété, échecs. Un an et demi après l’arrivée des premières cohortes, le programme québécois visant à recruter 1000 infirmières et infirmiers à l’international connaît des ratés, selon ce qu’a constaté Le Devoir. Alors qu’environ 300 de ses étudiants ont passé l’examen de l’Ordre des infirmières et infirmiers mardi — les résultats seront connus d’ici quelques mois —, 737 sont toujours en formation ou sur le point de la commencer et une cinquantaine ont échoué ou abandonné en cours de route, selon les données du ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI). Démarré à l’automne 2022, le programme, au coût de 65 millions, n’a pas eu pour seul effet d’amener de la main-d’oeuvre partout dans la province : il a également généré beaucoup de stress et de déception chez ces futurs soignants de notre réseau, dont plusieurs disent avoir été « trompés » par le Québec. « Ce n’est pas du tout ce à quoi je m’attendais. Il y a eu beaucoup de non-dits », a déploré Katia, une infirmière africaine toujours dans le programme qui veut taire son identité pour ne pas nuire à ses chances. « Ça n’a pas été facile du tout. » Il y a environ un an, cette mère de famille est arrivée dans une région québécoise seule avec quatre enfants, dont un bébé de quelques mois. L’organisme d’aide local lui avait trouvé un appartement, mais il lui a fallu le meubler, inscrire ses enfants à l’école et trouver une garderie pour son nourrisson. Tout ça dans les 10 jours avant que ne commence le cours. « C’est un programme intense. Tu dois étudier, tu dois t’occuper des enfants… Il y a beaucoup de paramètres à prendre en compte », raconte-t-elle. suite et source: https://www.ledevoir.com/societe/809753/immigration-stress-colere-infirmieres-recrutees-etranger
  6. Pascal Raiche-Nogue Publié hier à 4 h 52 HAE Le programme visant à attirer des immigrants francophones au Nouveau-Brunswick est à nouveau accessible, après une pause d’un an. Le gouvernement n'exclut pas de le refermer temporairement à l'avenir. Cette instabilité donne des maux de tête à certains candidats potentiels. L’Initiative stratégique est le seul volet du Programme des candidats du Nouveau-Brunswick qui cible exclusivement les francophones. Chaque année, il est doté d’un nombre limité de places. En février 2023, le gouvernement provincial a cessé d’accepter de nouvelles candidatures, car il jugeait avoir assez de demandes pour combler toutes les places disponibles. À lire aussi : Le programme d’immigration francophone du N.-B. n’est plus accessible depuis des mois Le ministre Marc Miller présente des mesures « ambitieuses » en immigration francophone La cible d’immigration francophone doit être un point de départ, selon des organismes Cette situation temporaire aura finalement duré plus d’un an. Le 12 mars 2024, Immigration NB a recommencé à accepter les déclarations d’intérêt de la part de personnes souhaitant devenir candidates. D’autres pauses du genre sont possibles, fait savoir Paul Bradley, porte-parole du ministère de l’Éducation postsecondaire, de la Formation et du Travail. Immigration NB surveille de près l’admission de tous nos programmes et peut occasionnellement interrompre l’admission en fonction de l’inventaire des demandes reçues, dit-il par courriel. Les anciens critères d'admissibilité sont toujours valables : les candidats doivent parler français, être âgés de 19 à 55 ans, avoir de l’expérience professionnelle, détenir un diplôme d’études secondaires et avoir un lien avec le Nouveau-Brunswick. Ce lien peut prendre plusieurs formes, dont une visite exploratoire dans la province, une offre d’emploi ou une invitation directe d’un agent d’immigration du Nouveau-Brunswick. Des liens admissibles ont été ajoutés à cette liste au cours des six derniers mois, notamment le fait d’avoir terminé un programme à l’Université de Moncton ou au Collège communautaire du Nouveau-Brunswick. Une très grande frustration L'incertitude concernant l'accès au programme inquiète certains francophones qui souhaiteraient immigrer dans la province en s'en prévalant. C’est le cas d’Hermann Komgang Njonkou, un Camerounais de 33 ans, qui souhaite s’établir au Nouveau-Brunswick avec son épouse et leur jeune enfant. suite et source : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2060094/volet-initiative-strategique-citoyennete-canada
  7. Pour ceux qui ont assisté au webinaire, voici le lien du livre de Victor Armony, professeur de sociologue à l'UQAM (Université du Québec à Montréal) et qui a écrit un livre sur le Québec et les immigrants : "Le Québec expliqué aux immigrants" Voici le lien pour le livre en format ePub (sur ma page de ResearchGate): https://www.researchgate.net/publication/379301332_Le_Quebec_explique_aux_immigrants Puis sa version en espagnol: https://www.researchgate.net/publication/303988867_Quebec_y_sus_inmigrantes
  8. Fascinant reportage de 1960 sur le Québec par une équipe française ! NOS COUSINS D’AMÉRIQUE «Ce que les Français oublient très souvent en arrivant au Canada, c’est qu’ils n’habitent plus l’Europe. Ils habitent en Amérique !». Avec ses faux airs français, le Québec est en réalité dépaysant par bien des aspects. En 1960, Pierre Tchernia expérimente le mode de vie québécois et tente de choisir un réfrigérateur… On lui parle alors de "pieds cube", de "degrés fahrenheit" et on paye en "piastres". https://www.facebook.com/watch/?v=1145844183520995
  9. Merci et merci à toi pour ta participation hors du commun ! Au plaisir
  10. Bonjour tout le monde, Aujourd'hui il y a 25 ans, le 8 mars 1999, nous avons ouvert le site immigrer.com. Nous voulions informer et rejoindre des francophones et francophiles du monde entier afin de leur parler du Québec et du reste du Canada. Ce n'est qu'en juin 1999 que le forum de discussions a été ouvert mais comme vous pouvez imaginer il a été un franc succès. Merci à toutes et à tous d'avoir faire de ce site de l'informations, mais aussi des rencontres, des échanges et beaucoup d'émotions et surtout du succès pour plusieurs! Merci https://www.immigrer.com/immigrer-com-celebre-25-ans-de-succes-une-reference-incontournable-pour-les-nouveaux-arrivants/
  11. Elle attend aujourd’hui une réponse du gouvernement français qui doit faire l’analyse de son dossier Clara Loiseau Journal de Montréal Jeudi, 7 mars 2024 00:00 MISE À JOUR Jeudi, 7 mars 2024 00:00 Une Québécoise tente d’obtenir sa nationalité française en faisant valoir les droits de ses ancêtres colons qui avaient refusé de quitter la Nouvelle-France après la conquête des Britanniques. «Depuis que je suis petite, je baigne dans la culture française. Je me suis toujours sentie plus française que canadienne. Je n’ai pas de sentiment d’appartenance au Canada», affirme Suzanne Lachance, qui vit à Longueuil. L’idée d’obtenir la nationalité française n’est pas nouvelle pour cette femme de 72 ans. En fait, elle y réfléchit depuis les années 1980, lorsque François Lubrina, ex-représentant des Français de l’étranger, lance une pétition pour que la France reconnaisse la nationalité des anciens Français du Canada. Vingt mille personnes y apposent leurs signatures, dont Mme Lachance. En 2009, une autre Québécoise, Marie Mance Vallée, avait aussi déposé une même demande. Mais le dossier avait été rejeté sous prétexte que la France a cédé son territoire aux Britanniques avec le traité de Paris de 1763. Relecture Aujourd’hui, grâce à un historien français installé au Québec, Édouard Baraton, Suzanne Lachance voit de l’espoir dans le développement de sa démarche. Dans le cadre de sa thèse de doctorat portant notamment sur la question de la réintégration à la nationalité française, M. Baraton a analysé les textes parlant de ces questions à partir 1763, lorsque la France a cédé la Nouvelle-France aux Britanniques. suite et source : https://www.journaldemontreal.com/2024/12/31/une-quebecoise-veut-retrouver-sa-nationalite-francaise-grace-a-son-ancetre-arrive-au-quebec-en-1652
  12. Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) continue de donner des maux de tête à des travailleurs venus soutenir le réseau de la santé du Québec. Infirmière en santé mentale, Michèle Ezui se «cache pour pleurer» afin de ne pas trop ébranler ses enfants qui ont vu leur père, infirmier à l’urgence, être contraint de retourner en France afin de pouvoir continuer de payer les factures qui s’accumulent pour la famille au Canada. Après le cas d’un couple de psychiatres français qui a craint de devoir quitter le pays le mois dernier en raison de problèmes de renouvellement de permis avec IRCC, le réseau de la santé de l’Outaouais doit cette fois se priver des services de Mme Ezui et de son conjoint, Thomas Wecker. Tenté par ce que proposait Recrutement Santé Québec, M. Wecker est arrivé au Québec en septembre 2020, alors que la COVID-19 bouleversait encore tout le réseau. Jusqu’à tout récemment, il travaillait de nuit à l’urgence de l’Hôpital Mémorial de Wakefield. Sa conjointe et leurs deux enfants sont venus le rejoindre l’été suivant. Le permis de travail de Mme Ezui est depuis ce temps lié à celui de son conjoint, tout comme les «fiches de visiteur» des deux adolescents du couple. Le problème, c’est que le permis de travail de M. Wecker était «fermé». Il a demandé un nouveau permis qui doit se baser sur une «étude d’impact sur le marché du travail» - ce qu’on appelle l’EIMT dans le jargon de l’immigration. Mais cette EIMT est en attente depuis la mi-novembre, indique Mme Ezui. Suite et source : https://www.lesoleil.com/actualites/le-fil-des-coops/2024/03/05/je-me-cache-pour-pleurer-deux-travailleurs-de-la-sante-frustres-par-immigration-canada-3VJISZGPKRDH3IF5SQPSUJRQFQ/
  13. Ce n'est pas clair, vous êtes déjà sur place, avec quel visa ?
  14. Sara Champagne 23 février 2024 Société Mourad Bouraoui a vendu sa boucherie en Tunisie et a passé une année « en blanc », comme il dit, à faire les démarches requises et à attendre son permis de travail. Arrivé plein d’ambition en novembre dernier, il a été licencié par la boucherie industrielle de Drummondville qui l’avait recruté, faute de travail. Sa dernière journée de travail était mardi, et il est encore « un peu sous le choc ». Il n’en veut pas à ses anciens patrons, qui ont « perdu un marché de vente » et n’avaient donc plus assez de commandes, selon lui. C’est plutôt le permis fermé qu’il vilipende. Ses limites l’ont coincé, déplore-t-il, « enfermé » dans un seul emploi pour un seul employeur. « Je ne veux pas repartir, je ne veux pas retourner chez moi, j’ai des dettes à payer », explique ce père de deux jeunes enfants. « Le gouvernement sait ce qui arrive avec les permis fermés et il ferme les yeux », fulmine quant à lui Amin. Mécanicien au Maroc, il a lui aussi vendu tous ses biens avant de quitter son pays pour un emploi avec un contrat de trois ans dans un garage du quartier Saint-Jean-Baptiste, à Québec. Il a demandé qu’on taise son nom, craignant de s’exposer à des préjudices. « Je suis sous une pression infernale », dit-il, tant financière que familiale. « Juridiquement, tout est bien propre, on fait un contrat. Mais on n’a pas sensibilisé les gens aux risques qu’ils vont prendre », ajoute-t-il à propos des permis fermés. Venu avec sa femme et ses deux adolescentes au Québec, il avait pourtant bien planifié leur installation, en arrivant quelques semaines à l’avance pour trouver ses repères, « voir comment la société fonctionne ». Ils s’installent en octobre dans un appartement loué par le propriétaire du garage. Puis, dès le premier jour de son contrat, le 1er novembre 2023, il commence à travailler. « C’est le rush des pneus d’hiver, alors la pression était très élevée », relate-t-il. source et suite : https://www.ledevoir.com/societe/807771/immigration-congedies-permis-fermes-travailleurs-temporaires-retrouvent-impasse
  15. L'Agence du revenu du Canada met en garde contre des pratiques trompeuses visant les nouveaux arrivants, leur faisant croire à tort qu'ils peuvent obtenir des prestations et des crédits pour des périodes antérieures à leur arrivée au Canada. Bien que les nouveaux résidents puissent solliciter certaines aides financières, telles que le crédit pour la TPS/TVH, l'allocation canadienne pour les travailleurs et l'allocation canadienne pour enfants, ces dernières ne sont accessibles que pour la durée de leur présence au Canada. L'agence souligne que des individus mal intentionnés peuvent prétendre le contraire, une information erronée. Il est important de noter qu'aucune déclaration de revenus pour les années avant l'arrivée au Canada n'est nécessaire. Ces escrocs, qui peuvent agir en tant que représentants fiscaux, préparateurs de déclarations ou consultants, cherchent à profiter de la situation en prélevant une part du remboursement d'impôt pour leurs services. Les nouveaux arrivants doivent être vigilants : recevoir des fonds de manière indue nécessitera un remboursement, avec des pénalités et amendes potentielles. Pour toute suspicion de fraude fiscale, il est recommandé de contacter l'Agence du revenu du Canada en ligne ou de téléphoner au Centre national des indices au 1-866-809-6841. Source : TVA - Gouvernement du Canada
  16. Julie Sicot Publié à 5 h 21 HNE Écouter l'article Fonctionnalité à l'essai La synthèse vocale, basée sur l’intelligence artificielle, permet de générer un texte parlé à partir d’un texte écrit. Nouveau! La synthèse vocale, basée sur l’intelligence artificielle, permet de générer un texte parlé à partir d’un texte écrit. Il y a une semaine, la direction du Lycée international français des provinces de l'atlantique, LIFPA, officialisait le projet d’un établissement à Halifax dont l'ouverture est prévue en septembre. Le maire, Mike Savage soulignait que la présence importante des Libano-Canadiens dans la municipalité avait joué un rôle dans cette implantation. Mais quelle est la place de cette communauté en Nouvelle-Écosse et son influence dans la francophonie ? Le récit de la venue du Lycée international français des provinces de l’Atlantique est émaillé de rebondissements. Le premier choix des promoteurs de ce lycée français s’est d'abord porté sur Saint-Jean au Nouveau-Brunswick, mais après de multiples tergiversations, c’est finalement Halifax qui a été choisi. Consulté au début du projet, le consul honoraire du Liban à Halifax, Wadih M. Fares a fortement appuyé la candidature de la ville néo-écossaise. Lorsque l’association Don Bosco Mobilités Internationales qui porte le projet a annoncé son souhait d’installer l’établissement à Saint-Jean, il s’est même demandé : pourquoi la communauté libanaise n'ouvrirait-elle pas sa propre école privée ? À lire aussi : Le Lycée international français des provinces atlantiques choisit finalement Halifax Avec son propre festival, le cinéma libanais est à l’honneur à Halifax Un projet bien accueilli Finalement avec l’abandon au Nouveau-Brunswick, l’association Don Bosco et l’Ambassade de France ont de nouveau sollicité le consul. Avec ma position et pour l’intérêt de notre communauté, je les ai aidés à sécuriser l’endroit avec un propriétaire, un ami à moi, confie le consul honoraire dans son bureau situé dans les locaux de son entreprise de construction à Halifax. Je crois fermement qu'il s'agit d'un excellent ajout au système d'éducation que nous avons en Nouvelle-Écosse, explique le consul honoraire.
  17. Un lycée français va s'ouvrir à Halifax : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2049631/lycee-francais-halifax-liban-francophonie
  18. L’image de l’Université Laval à Québec détournée pour de la fraude à l’international De fausses bourses d’études sont proposées, notamment sur Facebook Mercredi, 14 février 2024 19:30 MISE À JOUR Mercredi, 14 février 2024 19:30 Martin Lavoie Des fraudeurs se servent de la réputation de l’Université Laval pour offrir de fausses bourses à des étudiants étrangers qui rêvent de poursuivre leur scolarité au Québec. Une ingénieure en logistique de 26 ans du Cameroun a répondu le 19 janvier à une annonce prétendant offrir une bourse d’études de l’Université Laval. L’offre apparaissait sur WhatsApp, l’application de communication la plus répandue en Afrique. «Je suis à la recherche d’une bourse pour faire mon master [maîtrise] et mon doctorat», a raconté Corine Époupa, actuellement à l’emploi d’une société pétrolière dans son pays. La jeune femme reçoit rapidement une réponse à sa demande d’une personne disant être Sophie D’Amours, rectrice de l’Université Laval. En plus de reprendre le nom de la véritable rectrice, l’expéditeur utilise aussi son image, celle de l’institution et la bonne adresse. «J’ai vu sur internet que la rectrice s’appelait bien Sophie D’Amours. Le fait de savoir qu’il existe des organismes canadiens qui octroient des bourses d’études aux étudiants étrangers m’a mis en confiance sur la véracité de l’information», a précisé Mme Époupa. Méfiance Mais durant le processus, certains éléments la font douter. «La conception du formulaire à remplir et l’énorme disponibilité de Sophie D’Amours» l’interpelle. «Une connaissance au Canada est entrée en contact avec l’Université qui l’a informée qu’il n’y avait pas de programme de bourses d’études disponible pour le moment», a révélé la jeune femme. Le fraudeur lui dit que sa demande a été acceptée, mais qu’elle doit payer 108 000 francs CFA (240$) pour compléter l’inscription. Le montant peut paraître dérisoire ici, mais il est supérieur au salaire mensuel moyen de 83 000 CFA au Cameroun. Les étudiants d’ici à risque Une rapide recherche a permis au Journal de trouver une demi-douzaine de pages Facebook de la frauduleuse Commission Fédérale des Bourses Étrangères Canada (CFBE) reprenant l’image de l’Université Laval. suite et source : https://www.journaldemontreal.com/2024/02/14/limage-de-luniversite-laval-detournee-pour-de-la-fraude-a-linternational
  19. Le nombre de médecins augmente au Québec Radio-Canada Publié à 7 h 35 HNE Le Québec continue d'augmenter ses effectifs médicaux, puisque 280 médecins de plus se sont ajoutés au réseau de la santé depuis un an. selon les plus récentes données du Collège des médecins (CMQ) publiées jeudi matin. En date du 31 décembre 2023, le tableau du Collège des médecins (CMQ) publié jeudi matin, indique que le Québec comptait 26 001 médecins inscrits. Parmi les médecins actifs, 47 % sont des médecins de famille et 51,4 % sont des médecins spécialistes. Environ 1,5 % détiennent un permis délivré dans le cadre de l'entente Québec-France. Les données montrent également qu'une centaine de médecins de plus qu'en 2022 sont inactifs, c'est-à-dire qu'ils sont en congé de maladie, année sabbatique, congé parental, à la retraite ou encore qu'ils sont temporairement partis à l'extérieur du Québec pour faire une formation spécialisée. Au total, 11,9 % des médecins étaient inactifs en 2023. Pratiquement toutes les régions du Québec ont fait des gains d'effectifs, Montréal étant celle qui en a le plus avec 33 nouveaux médecins de famille et 63 médecins spécialistes. Québec arrive au deuxième rang avec 38 médecins de plus, suivi par les Laurentides avec l'ajout de 29 médecins. PUBLICITÉ L'Estrie compte, pour sa part, 27 médecins actifs de plus et le Centre du Québec, 15. Par ailleurs, 457 médecins exercent hors du Québec, un nombre qui est resté stable. Deux médecins de famille de moins au Centre-du-Québec Quatre régions ont perdu des médecins de famille en 2023. Lanaudière est celle qui a vu le plus de ces professionnels déserter avec huit médecins de famille en moins. Quatre médecins de famille ont quitté l'Abitibi-Témiscamingue, le Saguenay-Lac-Saint-Jean en a perdu trois et le Centre-du-Québec deux. De son côté, l'Estrie en a gagné 6. source et suite : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2049564/medecins-famille-centre-du-quebec
  20. En effet, est-ce que les journalistes ont bien compris la terminologie de "résident permanent", car RP c'est pour les gens qui ont eu un CSQ et passer à travers tout le processus de l'immigration.
  21. L’UQAM offrira une voie rapide pour les enseignants dès septembre Alors que l'idée d'une formation courte pour qualifier de nouveaux professeurs faisait presque l'unanimité contre elle il y a un an, l'UQAM fait volte-face et offrira dès septembre une formation de 30 crédits menant au brevet d'enseignant au primaire. La formule, unique au Québec, est testée depuis cet été. Julie Marceau (Consulter le profil)Julie Marceau Fannie Bussières McNicoll (Consulter le profil)Fannie Bussières McNicoll Publié le 30 janvier à 4 h 00 HNE « Je suis contre l’idée de donner un brevet à rabais », déclarait sans détour le doyen de la Faculté d'éducation de l'UQAM Jean Bélanger au Journal de Québec en février 2023. Jean Bélanger réagissait alors aux sept priorités du ministre Bernard Drainville (dont celle de créer une voie rapide) à titre de président de l'association représentant les doyens des facultés d’éducation (ADÉREQ). Le doyen ne s'en cache pas : il était très perplexe et estimait que ça allait trop vite. La sortie du ministre Drainville a eu un effet d'électrochoc, reconnaît-il. Malgré ses réticences, celui qui cumule plus de 20 ans d'expérience au Département d'éducation de l'UQAM souhaitait lutter contre la pénurie d'enseignants, mais pas n'importe comment, précise-t-il. Jean Bélanger a interpellé tous les professeurs de la faculté en disant : il faut faire quelque chose. J'ai levé la main, et les choses se sont placées très rapidement, raconte Elaine Turgeon, directrice de l’Unité des programmes de 1er cycle en éducation préscolaire et en enseignement primaire (ÉPEP). Élaine, c'est vraiment l'idéatrice du projet, insiste Jean Bélanger. C'est ainsi que le diplôme d'études supérieures spécialisées (D.E.S.S.) de l'UQAM de 30 crédits, à temps partiel sur deux ans, est né. Ce sera le premier programme permettant rapidement à des professeurs de se qualifier par une formation offerte en présentiel, et non entièrement à distance, comme d’autres formules existantes. La TÉLUQ propose un programme de 30 crédits pour qualifier les enseignants non légalement qualifiés qui enseignent déjà au primaire, mais la formation est entièrement donnée à distance. Même chose pour la voie rapide de l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) qui vise l'enseignement au secondaire. Les formations de l'UQAM, la TÉLUQ et l'UQAT ont toutefois un point commun : elles concernent les enseignants non légalement qualifiés, c'est-à-dire des professeurs déjà embauchés dans le réseau scolaire. Selon les plus récents chiffres compilés par le ministère de l’Éducation, plus de 7000 personnes non légalement qualifiées ont un contrat à temps plein ou à temps partiel actuellement. En incluant les suppléants, ce chiffre bondit à 30 000, selon la vérificatrice générale du Québec. Avec ces personnes-là, on peut aller beaucoup plus rapidement qu'avec des étudiants qui sortent du cégep, qui ont 19 ans et qui n'ont pas nécessairement d'expérience des classes du primaire et des élèves du primaire, explique Elaine Turgeon. suite et source : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2043083/uqam-voie-rapide-formation-enseignants
  22. Un webinaire sur la recherche de logements le 20 février prochain. Ne pas oubliez de vous inscrire sur notre chaîne YouTube : https://www.youtube.com/@immigrercom
  23. Une dette de 21 000 $ pour accoucher sans assurance maladie au Québec Québec n’a toujours pas tranché sur la possibilité d'offrir des accouchements gratuits à des centaines de migrantes sans assurance chaque année. La Régie de l'assurance maladie du Québec (RAMQ) avait proposé diverses options à cet effet en 2022. Une facture qui pourrait dépasser les 20 millions de dollars. Lorsqu’elle a accouché dans un hôpital de Montréal en 2022, Fatoumata (prénom fictif) s’est organisée pour limiter la facture. Sans assurance ni carte d’assurance maladie du Québec, elle voulait éviter des frais d’environ 5000 $ par nuit d’hospitalisation. Je suis donc restée [jour et nuit] à la pouponnière sur une chaise, raconte cette mère dans la trentaine. Un lit lui sera finalement aménagé près du bébé. Quelques mois plus tôt, cette résidente permanente avait pris contact avec l’hôpital. Pour les femmes qui n’ont pas eu de suivi à l'hôpital, on demande un dépôt pour les honoraires des médecins d’environ 3500 $, explique-t-elle. Au total, elle et son conjoint ont finalement reçu une facture de 7000 $ après l’accouchement. Des fois, je leur verse 150 $, 200 $, 1000 $, ça dépend. [...] Il me reste 1500 $ environ à payer, dit-elle. Des centaines de femmes chaque année Le cas de Fatoumata n’est pas unique. Selon une compilation de documents obtenus par Radio-Canada auprès de la moitié des établissements de santé, en 2023, environ 900 migrantes sans assurance ont accouché dans des hôpitaux au Québec, surtout dans la région de Montréal. Lors de notre passage au Centre de pédiatrie sociale de Saint-Laurent, situé à Montréal, Augustine Messa Taga était sur place pour obtenir un suivi médical en vue de son accouchement prévu dans quelques semaines. Ce service est fourni gratuitement. suite et source : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2047159/dette-accouchement-assurance-maladie-quebec
  24. Simon Croz toujours sans permis de travail Bientôt papa, le Français d'origine, qui n'a plus les papiers pour travailler au Québec depuis neuf mois, a épuisé toutes ses économies. Laurence Gallant Publié le 5 février à 20 h 57 HNE Radio-Canada Les déboires du Pistolois d'adoption Simon Croz avec Immigration Canada ne sont toujours pas terminés. Il attend avec impatience un nouveau permis de travail, neuf mois après s’être vu retirer le droit de travailler à titre de directeur général de l’organisme Paralœil. Celui qui a fait l’objet d’une mobilisation politique et citoyenne, notamment avec la campagne #UnispourSimon, apprenait en octobre dernier que la mesure d'expulsion qui le visait était suspendue. Mais il attend, encore aujourd'hui, des nouvelles du ministère pour avoir le droit de travailler à nouveau. Alors que sa conjointe attend un enfant pour le mois de juin, Simon Croz aimerait que cesse l'anxiété quotidienne que vit sa famille. Il se dit impatient de travailler et de contribuer à la société, d'autant plus qu'il a épuisé l'entièreté des économies qui lui permettaient de tenir jusqu’à aujourd’hui, après des mois à se serrer la ceinture. Les caisses sont vides, lance le Français d'origine. De nombreux citoyens du Bas-Saint-Laurent s'étaient mobilisés pour soutenir le Pistolois, notamment dans le cadre de la campagne #UnispourSimon. Une centaine de personnes étaient d'ailleurs présentes lors du lancement. (Photo d'archives) PHOTO : RADIO-CANADA / PATRICK BERGERON Il attend donc toujours la régularisation de son statut, qu’il a perdu au mois de mai 2023. Il explique que son dossier, l'été dernier, était soi-disant traité en urgence comme il était menacé d’expulsion du pays. Mais lorsque la mesure d’expulsion est tombée, les fonctionnaires du ministère de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté du Canada (IRCC) auraient remis son dossier dans la catégorie des traitements standards. Pour faire une image, ils l’ont remis sous le dessous de la pile, croit Simon Croz. Depuis le 14 janvier, sa demande de permis de travail est officiellement en retard, explique-t-il. Il a dès lors relancé le député fédéral Maxime Blanchette-Joncas, qui a pu faire pression pour que son dossier obtienne à nouveau un traitement urgent, soutient le Pistolois. L’homme de 40 ans dit relancer les fonctionnaires toutes les deux semaines. Il assure que son dossier est complet et qu’il ne resterait plus qu’à vérifier ses antécédents judiciaires, selon les derniers échos qu’il a pu obtenir. suite et source: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2047234/simon-croz-permis-travail-immigration
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