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  1. GENEVIÈVE LAJOIE Dimanche, 12 novembre 2023 00:00 MISE À JOUR Dimanche, 12 novembre 2023 00:00 Il aura fallu dix mois d’angoisse et de vache maigre pour que la situation d’une famille originaire de la France bien établie au Québec et menacée d’expulsion par Ottawa soit régularisée, au moment où les gouvernements cherchent à prioriser l’immigration francophone. «C’est un peu de l’esclavage moderne. Ce côté injustice, ce n’est pas facile à accepter [...] pourquoi nous traiter de la sorte? Ç’a été très violent», lâche Aurélie Martin, arrivée il y a près de trois ans avec son mari et ses trois enfants. Son rêve de grands espaces au Québec a viré au cauchemar en décembre dernier lorsqu’Immigration Canada a refusé la prolongation de leur permis de travail. Jusque là, elle était gérante d’épicerie, alors que son mari travaillait chez Héma-Québec. Le document fédéral leur laissait 90 jours pour régulariser leur situation et obtenir un autre statut, sans quoi ils devaient quitter le sol québécois. Mais les démarches pour y arriver s’avèrent longues et complexes, à la fois pour le travailleur immigrant et l’entreprise qui l’emploie. Dépassé par les procédures, l’employeur de Mme Martin a lancé la serviette. Une autre entreprise avait toutefois grandement besoin de main-d’œuvre et a accepté d’entreprendre les démarches. Sans salaire du jour au lendemain et non admissible au chômage, le couple y a laissé toutes ses économies. Réussir à subvenir aux besoins de sa petite famille et mettre du pain sur la table a été un combat quotidien. Heureusement, il a pu compter sur la générosité de sa famille, d’amis et d’ex-collègues de travail. «Mes anciens patrons me donnaient des caisses de légumes qu’ils allaient jeter, alors on pouvait quand même faire la soupe. On s’est débrouillé comme ça, des amis québécois qui nous amenaient des sacs de course», raconte avec émotion la femme, qui est gérante en alimentation. https://www.journaldemontreal.com/2023/11/13/famille-francaise-confrontee-a-la-bureaucratie-federale---dix-mois-dangoisse-et-de-vache-maigre suite et source :
  2. Merci beaucoup Jiyane. Votre témoignage exprime bien la situation difficile que vous vivez en Haiti. Oui, votre témoignage sur l'attente du parrainage démontre à quel point cette situation peut être dangeureux au niveau de la sécurité. J'espère que vous pourrez arriver rapidement au Canada. Comme vous avez peut-être déjà vu, nous avons fait le reportage sur les parrainages, et abordé les délais horribles. Votre mari ne peut pas parler à son député local afin de souligner le fait que vous êtes dans une situation qui peut devenir dangereuse? Bon courage pour cette terrible attente.
  3. Trouvé et voici l'article en question : https://www.immigrer.com/parrainage-les-delais-explosent-et-sont-maintenant-de-33-mois/
  4. Bonjour, Vous attendez depuis des mois, des années.... pour parrainer votre douce moitié. Veuillez me contacter par MP afin de témoigner pour un futur article sur la question. Merci !
  5. Natasha MacDonald-Dupuis Publié le 7 novembre 2023 Radio-Canada Au Québec, n’importe qui peut ouvrir une école privée pour préposés aux bénéficiaires. Ces usines à diplômes visent surtout les nouveaux arrivants, qui ignorent souvent que les formations ne sont pas reconnues. Et les autres victimes sont les aînés, révèle La facture. Ils viennent d’Algérie, d'Haïti, de pays francophones d’Afrique. Certains sont demandeurs d’asile ou étudiants étrangers, d’autres sont détenteurs d’un visa de touriste. De bouche à oreille ou sur les médias sociaux, parfois même de leur pays d’origine, ils entendent parler d’un métier très demandé au Québec : celui de préposé aux bénéficiaires. Pour des centaines, voire des milliers de dollars, des écoles non reconnues leur font miroiter une formation express et la possibilité d’obtenir un emploi. L’inscription ne nécessite pas de permis d’études ni de travail. Mais plusieurs omettent de dire que leurs diplômes n’ont aucune valeur aux yeux du ministère de l’Éducation. Ce marché parallèle, un secret de polichinelle dans le milieu, a bondi depuis la pandémie. À Montréal seulement, onze écoles ont pignon sur rue. La province ne vérifie pas la qualité de leurs formations. Parfois des versions très écourtées de celles données dans les centres de services scolaires, ces formations ne permettent pas, à elles seules, d’être embauché comme préposé aux bénéficiaires dans les CHSLD, par exemple. Mais au niveau des RPA, il existe une zone grise : les préposés aux bénéficiaires des écoles non reconnues, de même que les préposés qui n’ont aucune formation du tout, ont une période d’un an après l’embauche pour obtenir des formations en règle. En 2022, le gouvernement Legault avait annoncé qu'un diplôme en règle serait exigé dès l'embauche, avant de faire marche arrière récemment. Le président du Regroupement québécois des résidences pour aînés, Marc Fortin, estime que cette exception d’un an est vitale pour la survie de bien des RPA, mais il critique du même souffle les écoles non reconnues. source et suite : https://ici.radio-canada.ca/recit-numerique/6516/faux-diplomes-ecoles-preposes-beneficiaires-etranger
  6. Super ! Bienvenue parmi nous !
  7. Bienvenue à vous !
  8. C'était à l'époque l'édifice de la Bourse, place d'Armes dans le Vieux-Montréal
  9. Bienvenue parmi nous !! Si vous avez moins de 35 ans, il y a aussi le PVT : https://www.immigrer.com/programme-vacances-travail/
  10. Québec durcit les conditions pour les travailleurs étrangers temporaires : la maîtrise du français devient cruciale https://www.immigrer.com/quebec-durcit-les-conditions-pour-les-travailleurs-etrangers-temporaires-la-maitrise-du-francais-devient-cruciale/
  11. Déjà bravo pour la persévérance ! Bonnes démarches
  12. Voici le reportage d'Enquête ici : https://ici.radio-canada.ca/tele/enquete/site/episodes/822005/episode-du-jeudi-26-octobre-2023
  13. Chantal Lavigne Radio-Canada 26 octobre 2023 En cette fin du mois d’août, Annelee Naces joue patiemment sur le plancher d’une grande pièce ouverte avec les deux jeunes enfants de ses employeurs. Ils habitent une ferme située près de Sutton, en Estrie, avec une vue magnifique sur les montagnes vertes du Vermont. C’est bien loin de son pays natal, les Philippines, mais elle est bien ici. Annelee est aide familiale. Elle fait partie des dizaines de milliers de personnes qui arrivent chaque année au Québec grâce au Programme des travailleurs étrangers temporaires, dans l’espoir, très souvent, de devenir résident permanent. J’ai décidé d’aider mon mari, parce que son salaire n’était pas suffisant, raconte-t-elle. J’ai dit : j’irai au Canada, et, éventuellement, je vous ferai venir et on sera tous ensemble. C’était en 2012. Son fils avait six ans. Comme de nombreuses aides familiales, Annelee Naces est d’abord passée par Hong Kong. Un séjour qui permet de prendre de l’expérience afin d’être admis plus rapidement au Canada. Son parcours a été long, semé d’embûches… et coûteux. Et elle n’a toujours pas atteint son but. Le rêve a un prix Chaque année, dix millions de Philippins s’exilent pour échapper aux bas salaires dans leur pays d’origine. Les sommes qu’ils envoient de l’étranger à leurs familles représentent 10 % de la richesse du pays. Après le Guatemala et le Mexique, ce sont les Philippines qui fournissent le plus de travailleurs étrangers temporaires au Québec. En 2018, après six ans à Hong Kong, Annelee est dirigée par des collègues vers Emily Chan, propriétaire de l’agence de Hong Kong Canadian Nanny Employment Consultancy (CNEC). La page Facebook de celle-ci affiche des photos et des témoignages de femmes rayonnantes, qui ont obtenu leur visa pour le Canada. L’agente la met en contact avec un avocat montréalais, Leon Benmergui. Annelee apprend alors qu’elle devra verser 5500 $CA pour ses services. Une somme énorme aux Philippines, l’équivalent de plus d’un an de salaire. Annelee a pu emprunter cet argent à sa famille. Elle est arrivée à Montréal en 2019. Mais tous n’ont pas cette chance, dit-elle. Imaginez, certaines personnes vendent leurs terres. Elles empruntent à des usuriers. Pas d’argent, pas de billet d’avion Jesus (nom fictif) est l’un de ceux qui se sont lourdement endettés pour trouver un emploi ici, et surtout, pour pouvoir y vivre un jour avec toute leur famille. On lui a demandé 11 000 $US, environ 15 000 $CA. J’étais prêt à tous les sacrifices, explique-t-il. Je ne veux pas que mes enfants soient comme moi. Je veux qu’ils aient un meilleur avenir. Il est camionneur et lui aussi philippin. Nous avons accepté de cacher son identité, parce qu’il craint de réduire ses chances de rester au Canada s’il parle ouvertement. Jesus travaille depuis 16 ans à l’étranger, loin des siens. Il a pratiquement fait le tour du monde : Australie, Europe du Nord, Moyen-Orient. En 2019, il se trouve en Arabie saoudite lorsqu’on lui parle d’un homme de Montréal qui peut l’aider à venir au Canada. Sergei Korsunov est à la fois consultant en immigration et agent de recrutement. Il se spécialise dans l’industrie du camionnage. Les travailleurs qu’il fait venir de l’étranger sont livrés à votre porte, promet-il sur son site LinkedIn. Jesus verse un montant initial de 1500 $US. On lui demande ensuite de prouver, photos à l’appui, qu’il peut payer une deuxième tranche de 4500 $US dès son arrivée à Montréal. Comptant. Sergei Korsunov travaille en collaboration avec Alfredo Escandor, un Philippin, camionneur lui-même, qui lui adresse des recrues potentielles. Ce partenaire a fondé une entreprise aux Philippines du nom d’Aljo Immigration Consultancy Services. Une vérification auprès du gouvernement philippin nous apprend que l'entreprise ne détient pas de permis dans ce pays pour recruter des travailleurs et les envoyer à l’étranger. Dans un document signé avant son arrivée à Montréal, Jesus doit s’engager à ne pas divulguer au Canada son entente avec Aljo. source et suite : https://ici.radio-canada.ca/info/long-format/2021106/enquete-philippine-travailleurs-etranger-frais-recrutement
  14. Peut-être poser la question dans ce fil :
  15. Des gens qui vivent au Québec depuis un an, cinq ans, voire plus, peinent à renouveler leur permis de travail auprès d’Immigration Canada. Certains doivent arrêter de travailler, d’autres sont forcés de retourner dans leur pays d’origine. Les histoires crève-cœur du genre, elles pullulent depuis la pandémie. Publié à 2h41 Mis à jour à 5h00 Émilie Bilodeau, La Presse Le 12 juin dernier, Gregory Boniffacy, parrainé par son père, a obtenu sa citoyenneté canadienne. Ce qui aurait dû être un évènement à célébrer est en train de virer au cauchemar pour la famille française installée à LaSalle depuis deux ans. Gregory Boniffacy a obtenu un permis d’études pour immigrer au Canada en juillet 2021, puis un permis post-études lorsqu’il a terminé son cours en informatique. Sa femme, Alexandra Sain, et leurs trois filles, aujourd’hui âgées de 10 à 16 ans, l’ont l’accompagné grâce à des permis de travail et de visiteur rattachés à son propre permis. En obtenant sa citoyenneté, le permis de Gregory Boniffacy est tombé obsolète. Et les permis de sa famille sont devenus invalides, puisqu’ils étaient liés à la situation de M. Boniffacy. Alexandra Sain a donc appris dans un courriel – signé par un agent dénommé « Y » – qu’elle et ses filles perdaient leur statut de résidentes temporaires, le 27 septembre dernier. Elles doivent régulariser leur situation d’ici le 26 décembre, sans quoi elles seront forcées de quitter le Canada. « C’est juste atroce ! », s’exclame Alexandra Sain. « Je ne m’attendais vraiment pas à ça. On a des amis ici, on aime notre vie ici, on ne s’imagine pas retourner en France », dit celle qui occupe un emploi dans un service de traiteur. Son mari est enseignant d’informatique. Selon Me Benjamin Brunot, avocat spécialisé en immigration, Mme Sain pourrait demander un permis de travail fermé grâce à son employeur actuel, mais le processus prend tout de même plusieurs mois, dit-il. M. Boniffacy pourrait aussi parrainer sa famille pour une résidence permanente, mais une demande de ce type met entre trois et dix ans à être traitée. Entre-temps, la famille devra retourner en France ? « Légalement, oui », répond à contrecœur l’avocat. « C’est une spécificité très canadienne de ne pas reconnaître le droit fondamental des gens à rester avec leur conjoint », affirme celui qui est administrateur à l’Association québécoise des avocats et avocates en droit de l’immigration. PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE Me Benjamin Brunot, avocat spécialisé en immigration Dans plusieurs pays du monde, si vous êtes citoyen, vous avez un droit quasi automatique d’obtenir un visa de résident permanent pour votre conjoint. Me Benjamin Brunot, avocat spécialisé en immigration Exposé aux différentes histoires de ce reportage, Me Brunot parle du système canadien d’immigration comme étant « déshumanisant ». « Il faut rentrer la vie des gens dans des cases administratives. Mais la vie des gens, ça ne rentre pas dans des cases. Notre système est compliqué pour rien », dit Me Brunot. Un salaire pour huit personnes En 2019, François Rainville a été mis en contact avec une famille centrafricaine. Au départ, il devait l’aider à trouver un logement à Longueuil et à le meubler, mais sa femme et lui ont eu un coup de cœur pour le couple et ses six enfants maintenant âgés de 6 à 16 ans. Ils se parlent au téléphone chaque semaine et ils soupent régulièrement ensemble. Jusqu’à vendredi dernier, M. Rainville s’inquiétait pour cette famille qui a été persécutée dans son pays d’origine à cause de sa position politique. Depuis le 27 septembre, le père ne pouvait plus travailler parce que son permis de travail était échu. Sa demande de renouvellement a pourtant été faite en mars dernier. Des questions d’une journaliste du 98,5 et de La Presse ont fait débloquer le dossier à Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC). suite est source :
  16. Merci Bencoudouc, tu as raison, un étudiant international peut travailler. Mais depuis octobre 2022 c'est désormais plus de 20 heures par semaine qu'un étudiant étranger peut travailler, une nouvelle qui a réjouit de nombreux étudiants d'ailleurs. Les détails ici : https://www.immigrer.com/les-etudiants-etrangers-pourront-travailler-plus-de-20-heures-par-semaine-au-canada/
  17. Le Lycée International Français des Provinces Atlantiques LIFPA Don Bosco Saint John accueillera des élèves de 3 à 17 ans LE LIFPA C’EST : Un Lycée International Français accompagné par l’AEFE (Agence pour l’enseignement français à l’étranger). Un enseignement qui est réalisé en langue Française avec le programme de l’Education Nationale de France Une école, un collège, un lycée qui scolarisent toutes les cultures et les nationalités Un établissement performant et diplômant Une école qui accueille des élèves de la maternelle à la terminale (2 ans à 17 ans) Une organisation qui favorise les mobilités internationales Une structure qui développe l’apprentissage des langues vivantes Des propositions de développement personnel au travers des arts, du spectacle et du sport. Un accompagnement spécifique pour les élèves à besoins particuliers. Source : https://www.lifpa-donbosco.com/
  18. Pascal Raiche-Nogue Publié à 5 h 09 HAE Le programme d'immigration francophone du Nouveau-Brunswick n'est plus accessible depuis plus de huit mois. Le gouvernement affirme qu’il a été victime de son succès et que cette situation est temporaire. L’Initiative stratégique est un volet du Programme des candidats du Nouveau-Brunswick qui vise à attirer de nouveaux arrivants francophones. Depuis quelque temps, les personnes qui se rendent sur la page web de ce volet se butent à un message en rouge et en gras. Afin de bien gérer notre inventaire existant dans le cadre du volet Initiative stratégique du Nouveau-Brunswick, aucune nouvelle Invitation à soumettre une demande (ITA) ne sera émise pour ce volet jusqu’à nouvel ordre, peut-on lire. Aucun autre détail n’est disponible sur cette page. Radio-Canada Acadie a cependant obtenu des explications de la part du ministère de l’Éducation postsecondaire, de la Formation et du Travail du Nouveau-Brunswick. Selon sa porte-parole, Judy Désalliers, il s’agit d’une situation temporaire qui s’explique par le succès inattendu du volet Initiative stratégique, qui est doté d'un nombre limité de places chaque année. Le ministère de l’Éducation postsecondaire, de la Formation et du Travail examine actuellement le volet et s’attend à ce qu’il soit de nouveau disponible au début de 2024, dit-elle. Le gouvernement note que les nouveaux arrivants peuvent toujours déposer une demande dans le cadre des autres volets du Programme des candidats du Nouveau-Brunswick, dont Entrée express et celui ciblant les travailleurs qualifiés. Un parcours en plusieurs étapes Pour saisir ce qui se passe, il faut comprendre les étapes que doivent franchir les nouveaux arrivants qui veulent s’établir au Nouveau-Brunswick par l’entremise du volet Initiative stratégique. Ils doivent d’abord s’assurer qu’ils sont admissibles. Ils doivent notamment parler français, avoir un lien avec le Nouveau-Brunswick, être âgés de 19 à 55 ans, avoir de l’expérience professionnelle et détenir un diplôme d’études secondaires. Par la suite, ils doivent créer un profil sur une plateforme en ligne et soumettre une déclaration d’intérêt. Les personnes qui ont le plus de chances de s'intégrer économiquement reçoivent une invitation à soumettre une demande dans le cadre du volet Initiative stratégique. Les candidats qui soumettent une demande et qui sont sélectionnés reçoivent un certificat du Nouveau-Brunswick. Ils se servent de ce document pour appuyer leur demande de résidence permanente auprès du gouvernement fédéral, qui a le dernier mot. Les invitations suspendues depuis février 2023 Selon Judy Désalliers, à l’automne 2022, le gouvernement provincial a envoyé environ 800 invitations à soumettre une demande afin de monter une banque de candidatures pour son programme d'immigration francophone. La réponse a été plus importante que prévu et a rempli avec succès notre inventaire de demandes soumises pour 2023, explique-t-elle. Le 6 février 2023, l’Initiative stratégique a cessé d'accepter les déclarations d'intérêt et a cessé d’émettre de nouvelles invitations à présenter une demande. Cette décision a été prise parce que le nombre de demande permettait de combler toutes les places disponibles. Depuis le début de 2023, 323 demandes ont été acceptées et 20 demandes sont toujours à l'étude. source : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2017910/immigration-francophone-nouveau-brunswick-initiative-strategique
  19. L’homme est actuellement en attente d’avoir sa résidence permanente Clara Loiseau Mardi, 17 octobre 2023 19:30 MISE À JOUR Mardi, 17 octobre 2023 22:17 Une jeune mère qui se bat contre un cancer fulgurant désespère d’avoir à ses côtés son mari algérien en attente de sa résidence permanente, à qui on a refusé cinq fois la venue au pays malgré l’avis de ses médecins. «Ce que je demande, c’est qu’on accepte le visa pour des raisons humanitaires afin que mon mari soit là avec moi et mes enfants pour m’aider à traverser toutes ces épreuves», explique Ibtissem Koulali, qui vit à Gatineau depuis 13 ans et qui est citoyenne canadienne depuis 2017. Originaire d’Algérie, cette maman de 35 ans a déjà survécu à un cancer du sein en 2016. Mais il y a moins de deux mois, le couperet est tombé. «J’ai un cancer métastasé au niveau de l’estomac, du foie, du poumon et de l’œsophage», raconte-t-elle d’une voix visiblement affaiblie. Cette employée du gouvernement fédéral, en arrêt de travail depuis le 28 août, subit de la chimiothérapie plusieurs fois par mois. Un traitement qui durera «plusieurs années», selon un billet du médecin que Le Journal a consulté. Pour l’aider à traverser cette épreuve et s’occuper de ses enfants, âgés de 18 mois et 5 mois, elle essaie de faire venir son mari qui attend sa résidence permanente depuis 2021. «J’ai fait la cinquième demande [pour un visa de touriste] quand j’ai eu mon diagnostic en août avec un consultant en immigration pour être sûre de ne pas faire d’erreurs avec toutes les lettres des médecins. Trois jours après, on avait une lettre de refus», déplore Mme Koulali. Pourtant, les lettres des médecins sont claires. «[La] patiente a besoin d’un soutien moral et physique, nécessitant la présence d’un membre de sa famille, AINSI QUE de son conjoint», peut-on lire. Refus systématique Depuis 2020, le couple a essuyé cinq refus pour les demandes de visa de touriste pour son conjoint, qui lui permettrait de rester sur le sol pendant six mois. «On s’est marié religieusement en France en 2021 et je suis tombée enceinte. Ça a été une grossesse à haut risque et les médecins à Ottawa demandaient à ce que mon mari puisse venir, mais ça a été refusé. J’ai dû accoucher toute seule», se désole-t-elle. suite et source : https://www.journaldemontreal.com/2023/10/17/immigration--le-mari-dune-femme-combattant-seule-un-cancer-fulgurant-avec-ses-deux-bambins-refuse-plusieurs-fois
  20. Bonjour, Nous avons publié un témoignage suite à notre article sur les fameux permis fermés que le gouvernement québécois est en train de reconsidérer. Vous pouvez lire ici le témoignage négatif de Dominique, exploitée par son employeur. Heureusement elle a su se faire entendre après de IRCC (Immigration Canada). https://www.immigrer.com/permis-ferme-je-me-suis-retrouvee-exploitee-par-la-partenaire-de-mon-employeur/ Si vous avez aussi un témoignage à apporter, vous pouvez le faire ici dans ce fil.
  21. Un couple québécois qui accompagne depuis plusieurs années une famille de demandeurs d’asile devenus résidents permanents a récemment pu constater à quel point il peut être difficile de naviguer le système d’immigration canadien pour une famille voulant s’intégrer et travailler ici. Écoutez François Rainville, un entrepreneur qui aide depuis plusieurs années une famille de demandeurs d’asile au Québec, au micro de l’animateur Paul Arcand. Il raconte entre autres l’histoire d’une famille de réfugiés en provenance de l'Angola arrivée au Canada fin 2018 avec leurs six enfants âgés de 3 à 15 ans. Ils sont passés par le fameux chemin Roxham et depuis ce temps, ils se sont installés au Québec et ils ont trouvé de l'emploi. Ils ont obtenu leur résidence permanente, mais on constate dans les derniers mois que le renouvellement du permis de travail tarde, que la procédure bureaucratique à immigration au Canada fait en sorte que Monsieur ne peut pas travailler, que le fils ne pourra pas travailler et que la mère est sur le point de perdre son permis de travail. Pourtant, ils sont bien installés et motivés à intégrer la société. Source et suite : https://www.985fm.ca/audio/584480/procedures-a-immigration-au-canada-c-est-un-peu-la-maison-des-fous
  22. Intéressant comme concept. J'imagine que vous avez regarder déjà cette page, mais au cas : https://immigratemanitoba.com/fr/immigrer-au-manitoba/visite-exploratoire/ Aussi ce témoignage : https://www.cdem.com/publications/la-visite-exploratoire-une-etape-essentielle-pour-bien-reussir-son-integration-au-manitoba/
  23. Vous parlez de ce tirage ? https://www.immigrer.com/loterie-2023-du-programme-parents-et-grands-parents-au-canada/
  24. C'est un tirage au sort! Voici notre article d'aujourd'hui sur la question : https://www.immigrer.com/loterie-2023-du-programme-parents-et-grands-parents-au-canada/ Aussi ne manquez pas ce témoignage de décembre dernier sur le processus : https://www.immigrer.com/bonne-nouvelle-ne-perdez-pas-espoir-les-amises-parrainage-parents/
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