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STRASBOURG: UN RESTAURANT DE POUTINE PERD DES CLIENTS DEPUIS LE DÉBUT DE LA GUERRE EN UKRAINE L.R. avec AFP Le 04/03/2023 à 20:42 Part Le gérant du restaurant strasbourgeois "Les Poutinistes" estime avoir perdu jusqu'à la moitié de son chiffre d'affaires depuis le début de la guerre en Ukraine. Plat québécois emblématique, la poutine vaut depuis le début de la guerre en Ukraine quelques déboires au restaurant strasbourgeois "les Poutinistes", spécialiste de ce met roboratif, certains clients y voyant à tort une propagande pro-russe. "C'est surprenant ce qui nous arrive", confie à l'AFP Christophe Fliegans, le gérant de cet établissement qui fait également des livraisons à domicile depuis 2019. Celui-ci estime avoir subi une perte de "30 à 50%" de son chiffre d'affaires "depuis le début" du conflit. Des commentaires sur les réseaux sociaux Alors que les ventes à emporter sur les plateformes de livraison de cette spécialité à base de frites, fromage et sauce brune fonctionnaient jusque-là bien, notamment auprès des étudiants, "les choses ont assez vite basculé" après le début de l'invasion de l'Ukraine par la Russie de Vladimir Poutine, le 24 février 2022, se souvient-il. Ailleurs en France, d'autres restaurants proposant le même plat, notamment à Toulouse et Paris, ont commencé "à se faire chahuter", explique Christophe Fliegans. Au début, le restaurant strasbourgeois n'a eu droit qu'à "quelques commentaires sur les réseaux sociaux, sans plus", poursuit le restaurateur. L'établissement décide malgré tout de rajouter sur les plateformes de livraison "un emoticon drapeau canadien" à côté du mot "poutine", histoire de dissiper tout malentendu. Des "dérivés" de la poutine Mais un peu plus tard dans l'année, lors d'événements où ils proposaient le fameux plat québecois (Ososphère à Strasbourg, Eurockéennes de Belfort...), les choses virent à l'aigre : "On s'est fait insulter à plusieurs reprises", déplore Christophe Fliegans. La baisse des ventes de poutine, sans doute accentuée par un contexte inflationniste qui incite les consommateurs "à faire plus attention" à leurs dépenses, a poussé le restaurant, qui n'envisage pas de changer le nom du plat, à chercher d'autres solutions. "On a lancé il y a deux mois des bols de frites avec des sauces différentes", en somme des dérivés "de la poutine sans être de la poutine", explique Christophe Fliegans.
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Vous pouvez déposer votre candidature pour le PVT, Coop, JP dès aujourd'hui
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Vous voulez faire un PVT au Canada? Un JP? Un stage Coop? C'est maintenant le temps de déposer votre candidatures. Les bassins d’Expérience internationale Canada pour la saison 2023 sont maintenant ouverts. Vérifiez si vous êtes admissible et soumettez votre profil : https://ircc.canada.ca/francais/travailler/eic/selection.asp https://www.immigrer.com/la-saison-2023-du-pvt-canada-ouvrira-le-9-janvier/iller/eic/selection.asp -
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Privés de leur mère pendant plus d’un an Un Québécois a quitté le Cameroun avec ses deux enfants en attendant le parrainage de son épouse Denis G. Pilote regarde une photo de ses enfants, qu’il a emmenés avec lui au Québec, après avoir été contraint de quitter le Cameroun et d’y laisser son épouse. JEAN-FRANÇOIS RACINE Dimanche, 16 octobre 2022 00:00MISE À JOUR Dimanche, 16 octobre 2022 00:00 Incapable de rapatrier son épouse au pays pendant la pandémie, un Québécois a finalement été contraint de quitter le Cameroun avec ses deux enfants qui pourraient être privés de leur mère pendant un an ou deux. Marié depuis 2011 à une Africaine, Denis G. Pilote, 65 ans, est père de deux garçons âgés de 13 et 9 ans qui possèdent la citoyenneté canadienne. En raison d’une santé chancelante, l’homme originaire de Saguenay a pris la décision de quitter Douala sans son épouse après une quinzaine d’années de vie commune. Douala est la capitale économique du Cameroun, en Afrique centrale. Le sexagénaire a réussi à amasser un peu moins de 5000 $ pour rentrer au pays. Arrivé avec presque rien, il habite actuellement chez son frère à Sainte-Rose-de-Watford, dans la MRC des Etchemins, en Chaudière-Appalaches. Déjà en 2020, au haut-commissariat du Canada à Yaoundé, on lui avait précisé que seuls ses deux enfants pourraient voyager, mais pas son épouse. Inévitable « En dernier, j’avais de la difficulté à travailler. J’ai eu de l’aide de la famille et des amis pour revenir. Je n’avais pas le choix. S’il m’arrivait quelque chose là-bas, les enfants auraient pu en souffrir financièrement. Je veux qu’ils soient en sécurité et qu’ils reçoivent une bonne éducation. Leur mère sait qu’ils sont mieux ici. Ils se sont adaptés vite, même s’ils s’ennuient beaucoup d’elle », a expliqué M. Pilote en parlant de sa conjointe et de ses garçons, Grégory et Alphonse, qui viennent de commencer l’école. Pour l’instant, seule une procédure de parrainage semble possible afin de permettre à leur mère de venir les rejoindre. « Ça me prend cinq ou six mille dollars pour faire des démarches. Il faut que je ramasse cet argent-là », ajoute M. Pilote. Un montant corroboré par Me Reynaldo Marquez, avocat spécialisé en immigration et fondateur du cabinet Lex Boréal. Outre les honoraires professionnels, il faut compter les frais d’immigration et les frais médicaux. suite et source: https://www.journaldemontreal.com/2022/10/16/prives-de-leur-mere-pendant-plus-dun-an
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FRANCIS HALIN Jeudi, 6 octobre 2022 00:00MISE À JOUR Jeudi, 6 octobre 2022 06:26 Alors que le premier ministre Justin Trudeau écarte l’idée de donner plus de pouvoir en immigration au gouvernement du Québec, nos entreprises n’en peuvent plus d’attendre leurs travailleurs étrangers temporaires à cause du fédéral. «On devait avoir les premiers en novembre ou décembre 2021, et on les attend toujours. C’est vraiment problématique», déplore Catryn Pinard, PDG de Nationex, une entreprise familiale longueuilloise de 600 employés. «Ce sont une dizaine de manutentionnaires de nuit ou de soir syndiqués payés entre 20 $ et 22 $ l’heure», poursuit la dirigeante de l’entreprise de transport de colis avec une vingtaine de centres de tri au Québec et en Ontario. suite et source: https://www.journaldequebec.com/2022/10/06/travailleurs-etrangers-temporaires-la-lenteur-immonde-du-federal-freine-les-entreprises-du-quebec
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Commentaires Louis-Philippe Arsenault Publié hier à 19 h 02 La numérisation des services d'immigration cause des retards importants pour plusieurs nouveaux arrivants. Deux ans après le début de la pandémie, le Centre multiethnique de Québec est encore régulièrement témoin des répercussions du nouveau système informatisé. La pandémie a entraîné des retards pour toutes sortes de raisons, indique la directrice du Centre multiethnique de Québec, Natacha Battisti. La mise en place de nouveaux systèmes en ligne, on ne retourne pas tous les nouveaux formulaires en ligne non plus dans Service Canada et Services Québec. La fermeture des frontières et l'imposition du télétravail au printemps 2020 ont aussi chamboulé les délais de traitement des dossiers. Il s'écoule maintenant souvent trois semaines entre la demande et l'obtention d'un numéro d'assurance sociale ou d'une carte soleil de la RAMQ, soutient Mme Battisti. Quand je n'ai pas le numéro d'assurance sociale avant vingt jours ou vingt-cinq jours, je ne peux pas aller faire de recherche de logement, je ne peux pas faire de demandes d'aide financière. La difficulté d'obtenir des ressources au téléphone contribue à la problématique lorsqu'il y a de nouveaux arrivants qui vivent des situations plus complexes. suite et source: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1921758/nouveaux-arrivants-retard-informatique-teletravail
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Dénonciation: 30 000 $ pour un visa de travailleur étranger temporaire
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Heures travaillées et non payées, frais illégaux et menaces : une employée immigrante sonne l’alarme. Francis Plourde Publié à 4 h 01 Une jeune femme, à qui on a demandé de débourser des milliers de dollars pour pouvoir obtenir un visa à travers le programme des travailleurs étrangers temporaires, sonne l’alarme, car ce système fait en sorte que des immigrants sont à la merci d’employeurs sans scrupule. En théorie, obtenir un emploi aurait dû être facile pour Pawan, une jeune femme originaire de l’Inde, et dont nous avons accepté de n’utiliser que le prénom. Arrivée au Canada en décembre 2016, l’immigrante, âgée aujourd'hui de 25 ans, maîtrise l’anglais, a suivi des cours postsecondaires en Colombie-Britannique et cherche du travail, alors que le taux de chômage n’a jamais été aussi bas au pays. En réalité, pour une question de permis de travail, elle s’est retrouvée à la merci d’un intermédiaire lui réclamant 30 000 $ pour ses services afin d’obtenir un visa de travailleur étranger temporaire et un emploi au salaire minimum ne respectant pas les normes du travail. Selon des experts consultés, de nombreux immigrants se font flouer chaque année par des employeurs leur réclamant illégalement des sommes importantes pour leur visa de travailleur étranger temporaire. Pawan a décidé de raconter son histoire afin d’aider d’autres immigrants dans sa situation. Établie au Canada depuis six ans, Pawan s’est retrouvée dans une situation particulière l'année dernière, quelques mois avant l'expiration du permis de travail ouvert qu’elle avait obtenu avec son ex-conjoint. Source et suite : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1914872/travailleur-etranger-temporaire-fraude-canada-eimt -
Ces travailleurs qui ne peuvent pas travailler CHRONIQUE / David Balme a toujours rêvé de venir au Québec, il a tout laissé en France pour venir s’établir dans la capitale, pour travailler. Le développeur informatique a un boulot, mais il aimerait travailler plus encore, on manque de bras partout. Il ne peut pas. «Quand je me promène et que je vois toutes ces affiches “on embauche” partout et que moi j’aimerais pouvoir travailler plus et que je ne peux pas, je trouve ça contre-productif. On est en pleine pénurie de main-d’oeuvre, je suis ici, et je ne demande qu’à redonner au Québec qui m’a si bien accueilli.» David est arrivé en octobre 2019, il travaille ici pour le même employeur en France. «Je suis d’abord venu comme visiteur d’affaires pour voir les possibilités, ça me donnait six mois. J’ai fait ma demande pour un permis de travail, je n’avais pas de nouvelles et, trois jours avant la fin de mon séjour comme visiteur d’affaires, j’ai eu la réponse, c’était refusé, j’avais trois jours pour partir.» Il a embauché un avocat qui lui a expliqué que la demande ne devait pas être faite directement à Immigration Canada, mais de l’extérieur du pays. «Il a déposé la demande à l’ambassade du Canada en France, je crois, et il m’a expliqué que lorsque j’allais avoir mon permis, j’allais devoir sortir du pays et revenir, comme faire un aller-retour aux États-Unis, juste rentrer et sortir.» Ça lui a coûté 2000$. C’est comme ça que la bureaucratie fonctionne. Bang, la pandémie est arrivée, les frontières se sont fermées. «Avec la pandémie, je n’ai pas eu besoin de sortir du pays, comme tous les autres qui étaient dans la même situation. Ça a été comme un bonus, en deux mois, tout était réglé!» Comme quoi, quand on veut changer vite les règles, on peut. David a obtenu un permis de travail fermé, valide deux ans, avec la possibilité de le renouveler une fois. En vertu de ce permis, il ne peut travailler que pour l’employeur pour qui les démarches ont été faites. «Si jamais ça ne fonctionne pas ou que l’entreprise cesse ses activités par exemple, la personne doit repartir». David a 48 ans, il n’a pas d’enfants, il ne demande qu’à travailler plus. «Au début de la pandémie, quand ils demandaient des renforts dans les CHSLD, j’avais regardé pour aider, mais ce n’était pas bénévole. C’était payé et à cause de ça, je ne pouvais pas soumettre ma candidature.» Presque depuis son arrivée, il fait du bénévolat pour la Société Saint-Vincent-de-Paul. «Je fais de la livraison de nourriture pour les personnes qui en ont besoin. Mais il me resterait encore des heures pour avoir un autre emploi, ça aiderait l’entreprise et moi je pourrais faire plus d’argent, tout le monde serait gagnant.» Chaque fois qu’il voit passer une offre d’emploi, comme récemment pour le Festival d’été de Québec, il doit passer son tour. Il a même envisagé suivre une formation, interdit aussi. Il n’est évidemment pas le seul pris dans la rigidité de la machine. «Il doit y avoir des centaines, des milliers de personnes qui sont dans une situation similaire, qui ne peuvent pas travailler pour quelqu’un d’autre ou qui doivent repartir si l’entreprise ne peut plus les employer. On organise des salons à l’international à grands frais pour recruter des gens et, dans le même temps, on demande à des gens qui sont ici de partir. C’est totalement aberrant.» suite et source: https://www.lesoleil.com/2022/07/18/ces-travailleurs-qui-ne-peuvent-pas-travailler-0ac5c80a329dc88fd24b82497f30181e
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Le Canada rétablira les tests de dépistage aléatoires le 19 juillet
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Voyageurs aériens Le Canada rétablira les tests de dépistage aléatoires le 19 juillet Publié jeudi 14 juillet 2022 LAURA OSMANLA PRESSE CANADIENNE Les aéroports touchés sont ceux de Montréal, Toronto, Vancouver et Calgary. Ottawa avait interrompu les tests aléatoires pour les voyageurs aériens entièrement vaccinés le 11 juin, le temps de mettre en place un système permettant de faire ces tests à l’extérieur des aéroports. À ce moment, le gouvernement fédéral faisait face à de nombreuses critiques de la part des acteurs du secteur du tourisme et du transport aérien, qui estimaient que les mesures en place étaient responsables des longs délais dans les aéroports. La Table ronde canadienne du voyage et du tourisme avait notamment presque supplié les ministres fédéraux de lever définitivement l’obligation de procéder à des tests aléatoires, puisque ces « règles désuètes » entraînaient des retards importants aux douanes, des files d’attente de plusieurs heures et nuisaient à la réputation du Canada. suite et source: https://www.lapresse.ca/covid-19/2022-07-14/voyageurs-aeriens/le-canada-retablira-les-tests-de-depistage-aleatoires-le-19-juillet.php -
Les québécois sont des français…heureux
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Consensuel : Pour un Québécois, il est urgent d’attendre Le balado du Code Québec 6 août à 10h01 | 15 min Disponible jusqu'au 6 août 2024 https://www.qub.ca/tvaplus/video/cq-ep02-final-1051365957 -
Joie de vivre : Les québécois sont des français…heureux Le balado du Code Québec 6 août à 10h | 19 min Disponible jusqu'au 6 août 2024 Le code Québec et les 7 traits des Québécois. Si vous pouvez le voir, regardez cette interview qui explique bien l'esprit des Québécois https://www.qub.ca/tvaplus/video/cq-ep01-final-1051328655
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Un père de famille d'origine française est coincé en France (carte RP expirée)
immigrer.com a posté un sujet dans Canada
MOLLY BELAND Mardi, 12 juillet 2022 19:00MISE À JOUR Mardi, 12 juillet 2022 20:26 Le voyage d'une famille de Saguenay a tourné au cauchemar. Le père d'origine française, établi dans la région depuis 12 ans, est actuellement coincé à Paris en raison d'une erreur d'inattention. Sa carte de résidence permanente canadienne est expirée, une erreur coûteuse qui plonge le couple dans un tourbillon bureaucratique. Lou Ridet habite à Saguenay depuis 12 ans avec sa femme et ses trois enfants. La carte manquante lui sert à voyager, mais elle doit être renouvelée tous les cinq ans. Chose qui n'avait pas été faite avant de partir pour la France. source et suite: https://www.journaldemontreal.com/2022/07/12/un-pere-de-famille-dorigine-francaise-est-coince-en-france-1 -
Pourquoi immigrer.com ne célébre pas le mois du pride
immigrer.com a répondu à un(e) sujet de Seigneur_des_anneaux dans Lounge
Nous avons affiché notre appui au mois de la fierté sur notre compte twitter aux couleurs de la cause. Pour ceux qui veulent en savoir plus et cherchent des ressources, une page dédiée: https://www.immigrer.com/etre-gay-au-quebec-et-au-canada/ -
« Lucie au pays des caribous » sur France 5 ce soir
immigrer.com a répondu à un(e) sujet de immigrer.com dans Lounge
Voici le lien pour la rediffusion: https://www.france.tv/documentaires/voyages/3554392-lucie-au-pays-des-caribous.html -
le Canada maintient ses restrictions à la frontière jusqu’en septembre
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AGENCE QMI Mercredi, 29 juin 2022 16:46MISE À JOUR Mercredi, 29 juin 2022 16:46 Le gouvernement Trudeau a décidé, en pleine septième vague de la COVID-19, de prolonger ses restrictions aux voyageurs à la frontière au moins jusqu’au 30 septembre prochain. • À lire aussi: La COVID se réinstalle pour l’été au Québec «Il est important de se rappeler que la pandémie n’est pas terminée. Nous devons continuer de mettre tout en œuvre pour nous protéger et protéger les autres contre le virus», a expliqué le ministre fédéral de la Santé, Jean-Yves Duclos, pour expliquer cette décision. Ainsi, les voyageurs qui ne sont pas adéquatement vaccinés, c’est-à-dire qui n’ont pas reçu au moins les deux doses initiales du vaccin, devrait continuer à se soumettre à un test de dépistage obligatoire à leur arrivée en sol canadien. Ils doivent en outre subir un second test huit jours après leur arrivée et se mettre en quarantaine deux semaines. Cependant, Ottawa a décidé de maintenir la suspension des tests de dépistage aléatoire dans les aéroports jusqu’à la mi-juillet, le temps de permettre aux autorités aéroportuaires de transférer ce fardeau à des commerces et pharmacies locaux. Les tests aléatoires sont par contre toujours en vigueur pour les points de passage terrestre suite et source: https://www.journaldemontreal.com/2022/06/29/covid-19-le-canada-maintient-ses-restrictions-a-la-frontiere-jusquen-septembre-1 -
Dix mois à attendre un visa: le cri du cœur d’une Trifluvienne dont le mari est coincé au Honduras MATTHIEU MAX-GESSLER Le Nouvelliste 27 juin 2022 3h00 Mis à jour à 4h00 Léa Dargis-Deschesnes est désespérée. Depuis dix mois, elle tente d’obtenir en vain un visa visiteur pour son conjoint, originaire du Honduras. Une demande qui aurait pourtant dû prendre moins de trois mois... «J’ai fait la demande en août dernier. En septembre, j’ai eu une confirmation qu’on avait bien reçu ma demande. J’ai fait affaire avec une agence spécialisée en immigration. Vu que j’étais enceinte, je ne voulais pas oublier de papiers, pour que mon mari soit là le plus tôt possible», résume-t-elle. Mais dix mois plus tard, toujours aucun visa. Le conjoint de Mme Dargis-Deschesnes n’a pu assister à la naissance de sa fille, et il ne peut être présent dans son quotidien, une situation que la Trifluvienne qualifie de très difficile. «Ça crée des tensions, c’est sûr. On se voit presque tous les jours par vidéoconférence, mais c’est souffrant, c’est un rappel qu’il n’est toujours pas avec nous. Il est en train de manquer toutes les étapes, notre fille est presque rendue à marcher. Il a manqué une bonne partie de la grossesse, on s’y attendait. Mais là, elle est rendue à 10 mois», se désespère-t-elle. Et pour en rajouter, impossible de savoir où en est la demande faite à Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC). «On m’a dit que je n’ai pas le droit d’avoir accès à cette information. J’ai insisté et j’ai finalement reçu une réponse pour me dire que ma demande est toujours en traitement», indique-t-elle. Pendant ce temps, autour d’elle, des amies ont pu obtenir, dans les délais prévus par IRCC, soit 68 jours, un visa visiteur pour leur conjoint. Mme Dargis-Deschesnes soupçonne que le pays d’origine de son mari est une partie de l’explication pour ce traitement différent, ce qu’elle dénonce. Il semble également que les demandes de visa déposées avant septembre 2021 sont traitées beaucoup plus lentement que celles formulées après. IRCC justifie de son côté les retards vécus par un grand nombre «d’anciennes demandes». «Depuis le début des restrictions de voyage en mars 2020 jusqu’au 6 septembre 2021, IRCC a priorisé le traitement des demandes pour ceux qui étaient exemptés des restrictions de voyage, comme les membres de la famille des Canadiens et les travailleurs agricoles et les travailleurs de la santé. Les demandes plus anciennes peuvent prendre plus de temps à traiter en raison de leur complexité, en raison de documents et d’informations potentiellement obsolètes et des changements dans la situation personnelle des demandeurs», indique par courriel Nancy Caron, porte-parole d’IRCC. Celle-ci évoque également la perturbation des migrations mondiales en raison de la pandémie. suite et source: https://www.lavoixdelest.ca/2022/06/27/dix-mois-a-attendre-un-visa-le-cri-du-cur-dune-trifluvienne-dont-le-mari-est-coince-au-honduras-eaf89bd0d3172ef567ac467d963cc292?nor=true
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Ce soir à 21 heures sur France 5. « Lucie au pays des caribous »
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Dans le Grand Toronto, le loyer mensuel moyen était de 2327 $ en mai
immigrer.com a posté un sujet dans Ontario
Radio-Canada Publié hier à 18 h 17 Le prix moyen d’un logement locatif dans la région du Grand Toronto a connu en mai le plus fort bond mensuel depuis 2019. Le loyer mensuel moyen était de 2327 $ par mois, soit une hausse de 5,7 % par rapport à avril et de 16,5 % par rapport à mai 2021. Malgré tout, les prix n'ont pas encore atteint les taux pré-pandémiques. C’est ce que confirme le plus récent rapport de Bullpen Research & Consulting et TorontoRentals.com, publié jeudi. Ces moyennes comprennent les maisons unifamiliales, les condos et les appartements en location. source et suite: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1894232/toronto-loyer-mensuel-mai-2022 -
Monter une entreprise de type succursale au Québec
immigrer.com a répondu à un(e) sujet de BastienNau dans Votre entreprise (avis et postes disponibles)
Des liens utiles: https://www.immigrer.com/la-franchise-au-quebec/ https://www.immigrer.com/categorie/faq/Creer-son-entreprise/ https://www.immigrer.com/un-francais-reprend-une-entreprise-au-quebec-recit-dune-expatriation-dans-un-contexte-daffaires/ https://www.immigrer.com/tag/entreprendre/ -
Déménageur à éviter
immigrer.com a répondu à un(e) sujet de OlivierDelcourt dans Routier au Canada (camionneur)
Une faq sur le sujet aussi: https://www.immigrer.com/categorie/faq/Demenagement/ -
Webinaire : Le crédit au Canada - ça commence bientôt
immigrer.com a répondu à un(e) sujet de Laurent dans Québec
Nous sommes en direct -
Désormais selon QS Quacquarelli Symonds c'est l'Université McGill qui est la plus prestigieuse au Canada. https://www.immigrer.com/une-universite-montrealaise-serait-la-plus-prestigieuse-au-canada/
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L’homme d'origine marocaine affirme avoir subi des menaces et une agression en France après avoir critiqué le roi de son pays natal. Un citoyen français vient d’obtenir exceptionnellement l’asile au Canada, parce que le tribunal de l’immigration estime que les autorités françaises n’ont pas démontré une volonté suffisante à le protéger contre les menaces et agressions liées à ses positions politiques. Le demandeur d’asile a obtenu le statut de réfugié par une décision de la Commission de l’immigration et du statut de réfugié rendue à Montréal et datée du 26 mai dernier. Son identité est protégée en vertu des règles de la Commission. Il est rare, voire inédit, qu’une personne soit accueillie au Canada à titre de réfugié après avoir fui la France, où l’État est présumé être capable d’assumer la protection de ses citoyens contre toute persécution « À ma connaissance, c’est une première. Je n’ai pas souvenir d’un citoyen français reconnu réfugié au Canada », affirme l’avocat du demandeur, Me Stéphane Handfield. Forcé à crier « Vive le roi ! » Selon la décision de la Commission, le demandeur dans cette affaire est né au Maroc et s’est fait connaître dans son pays comme sportif de haut niveau. Il est toutefois parti vivre en France et aujourd’hui possède uniquement la citoyenneté française. source et suite : https://www.lapresse.ca/actualites/national/2022-06-09/un-francais-obtient-l-asile-au-canada.php
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Claire et Nicolas Blaise sont arrivés au Québec le 7 juin 2020 avec leurs deux enfants. (Crédit : Pierre-Alexandre Bolduc) PHOTO : RADIO-CANADA Un couple originaire de France ne peut continuer de travailler au Québec depuis minuit, lundi, en raison de nombreux retards au ministère de l'Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté. Un entrepreneur aux prises avec une pénurie de main-d'œuvre est pourtant prêt à les embaucher immédiatement. Claire et Nicolas Blaise sont arrivés au Québec le 7 juin 2020 avec un visa de travail canadien valide pour deux ans et lié à un seul employeur. En pleine pandémie, ils ont quitté la France, tout laissé derrière eux et même changé d'orientation pour venir gagner leur vie comme préposés aux bénéficiaires au Québec. Rapidement, ils se sont plu à Québec et ont décidé de faire une demande de résidence permanente en août 2021. Le couple a alors été informé par le ministère de l'Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté qu'étant donné les délais d'obtention d'une résidence permanente, il pouvait faire une demande de permis A-75. Ce permis donne un statut légal pour travailler au Canada et permet de changer d'employeur. Le couple fait cette demande en mars 2022. suite et source: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1888865/immigration-couple-interdit-travail-penurie-main-doeuvre-portneuf