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  1. Vous pouvez: compter le temps d'étude en ligne de mars 2020 au 31 août 2022 terminer jusqu'à 100% de vos études en ligne et être admissible à un PTPD En savoir plus sur cette extension finale pour les étudiants poursuivant leur programme en ligne : https://canada.ca/fr/immigration-refugies-citoyennete/services/etudier-canada/travail/apres-obtention-diplome/au-sujet.html
  2. Sarah R. Champagne 26 novembre 2021 Société Un nouveau système informatique utilisé par le ministère fédéral de l’Immigration soulève de vives préoccupations à travers le Canada. L’outil, baptisé Chinook, a été créé sans surveillance légale, selon des documents déposés en Cour fédérale, ne conserve pas les notes sur la décision des agents d’immigration et n’oblige pas ces derniers à ouvrir les preuves présentées par les candidats à des séjours temporaires. Il sert notamment à accélérer le traitement des permis d’études, pour lesquels le nombre de demandes a explosé depuis 10 ans. Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) n’a cependant pas été transparent sur son fonctionnement jusqu’à maintenant, déplorent des avocats en immigration et des chercheuses de partout au pays. Plusieurs de ces avocats croient que le système explique en partie l’augmentation notable des refus de permis d’études. Le taux de refus est encore plus haut au Québec qu’ailleurs au pays, et Ottawa refuse dans une proportion de plus en plus grande des étudiants francophones originaires du Maghreb et de l’Afrique de l’Ouest, révélait Le Devoir vendredi dernier. L’implantation de Chinook en 2018 concorde en effet temporellement avec la hausse des taux de refus pour ces permis d’études. IRCC nie toute influence, assurant que l’outil « ne change pas fondamentalement la façon dont les demandes sont traitées », écrit une porte-parole par courriel. Suite et source: https://www.ledevoir.com/societe/650031/immigration-un-outil-informatique-mis-en-cause-dans-la-hausse-des-refus-de-permis-d-etudes
  3. Paloma Martínez Méndez Publié à 15 h 59 C'est bien connu, le Canada fait face à une importante pénurie de main-d'œuvre dans plusieurs secteurs et l'un des plus durement touchés est celui de la santé. Les infirmières qui viennent de l'étranger se frayent un chemin au pays en passant par un processus complexe d'immigration et de reconnaissance de leurs études et de leur expérience professionnelle. Lorena López Peña et Johanna Ravelo comptent parmi les infirmières cliniciennes latino-américaines qui, petit à petit, avec persévérance et patience, sont en voie d'atteindre leur objectif : exercer leur profession au Canada. Elles ne sont pas seules. Johana Botero, une infirmière clinicienne et conseillère professionnelle installée au Québec depuis plus de 10 ans, leur offre soutien et conseils pour les aider à réussir. Voici leur histoire. Un projet familial C'est en 2019 que la famille Araque Lopez a pris la décision de faire sa vie au Canada. Et bien que le projet avance, la route a été lente. Ils espèrent bientôt être réunis dans leur nouveau chez-eux. Sur la photo, Lorena López Peña, infirmière clinicienne, son mari Eduardo Araque et leurs enfants Juan José, 13 ans, et María José, 6 ans. PHOTO : CORTESÍA L'aventure de la famille Araque López a commencé en 2019, lorsque le Service national d'apprentissage (SENA) de la Colombie a lancé l'initiative Québec a la Cabeza [Le Québec en tête] pour recruter des infirmières du pays désireuses d'exercer leur profession dans la province francophone du Canada. source et suite: https://ici.radio-canada.ca/rci/fr/nouvelle/1839126/reportage-infirmiere-canada-amerique-latine-penurie-sante-quebec
  4. Vincent Bonnay Publié hier à 8 h 27 Nathalie Carriapen conduisait à gauche et n’avait jamais vu la neige de sa vie avant de faire le grand saut, un bond de 15 000 kilomètres. Elle a choisi de quitter le sable blanc de son île Maurice natale pour une nouvelle vie dans l’immensité blanche du Yukon. Chaque immigrant porte en lui son histoire, ses défis et ses rêves. Pour Nathalie Carriapen, le Canada, c’était un rêve d’adolescente. Je pensais qu’il était trop tard, confie-t-elle. Pourtant, la voilà assise sur une banquette du restaurant Gold Paner, à Carmacks, où elle vient de terminer son quart de travail. Elle l’a fait. L’adolescente qui découpait des images du Canada dans les brochures a laissé place à une femme forte qui a su trouver le courage de recommencer sa vie à l’autre bout du monde. suite et source: https://ici.radio-canada.ca/rci/fr/nouvelle/1838639/yukon-semaine-immigration-francophone-carmacks-ile-maurice
  5. L'automne au Québec : cinquante nuances de rouge La période de l'apogée ne dure que quelques jours au Québec. Les arbres se parent de leurs couleurs les plus vives avant de se mettre à nu et d'affronter l'hiver. Pour les Québécois, une promenade dans l'une de ces forêts, comme sur l'Île-d'Orléans, est un incontournable de
  6. TF1 - Pénurie de main d'oeuvre: les Français sollicités pour venir au Québec https://www.tf1.fr/tf1/jt-20h/videos/penurie-de-main-doeuvre-les-francais-sollicites-au-quebec-26892923.html
  7. Une idée reçue très tenace veut que les Québécois parlent un « vieux français de province ». Rien n’est plus faux, soutient le sociolinguiste Wim Remysen. Jean-Benoît Nadeau 3 novembre 2021 L'accent québécois ? Quel accent québécois ? « On ne devrait jamais en parler au singulier », dit Wim Remysen, professeur titulaire et responsable du certificat en sciences du langage à l’Université de Sherbrooke. En fait, lui préfère parler de l’accent au Québec plutôt que d’accent québécois. « Il n’y a jamais eu un accent québécois homogène. Il va varier selon la région, la génération et le cadre socioéconomique du locuteur. » Quand on discute avec ce sociolinguiste belge de langue maternelle flamande, et spécialiste du parler québécois, on passe très vite de la phonétique aux idées sur la langue. Wim (prononcez « ouim ») Remysen s’y connaît en matière d’idées sur la langue puisque, pour les besoins de son doctorat en sociolinguistique à l’Université Laval portant sur « l’imaginaire linguistique des chroniqueurs canadiens-français », il s’est penché sur les propos de 31 chroniques linguistiques parues entre 1860 et les années 1990. « Je suis devenu sociolinguiste plutôt que linguiste parce que je m’intéresse à la langue dans sa dimension sociale. Pour moi, une langue, ce n’est pas juste un système de sons ; on doit prendre en considération les gens, leur histoire, ce qu’ils en disent, leur perception. » C’est pendant ses études en philologie romane (une branche de la linguistique qui consiste à étudier les parlers anciens par l’intermédiaire de leurs traces écrites) à l’Université catholique de Louvain que Wim Remysen a découvert le Québec, en 2001. « Un coup de foudre », raconte-t-il. Lui qui a grandi dans la ville de Turnhout, près d’Anvers, à la frontière des Pays-Bas, s’est tout de suite reconnu dans les débats linguistiques québécois — français contre anglais, français québécois contre français de France. « Entre Flamands et Néerlandais, il y a un très grand écart linguistique, au moins aussi grand qu’entre Québécois et Français. La proximité n’efface pas les différences. » suite et source: https://lactualite.com/societe/laccent-quebecois-nest-pas-archaique/
  8. https://www.immigrer.com/le-premier-ministre-du-quebec-promet-un-nombre-record-dimmigrants-pour-2022/
  9. FRANCIS PILON Mercredi, 27 octobre 2021 23:30MISE À JOUR Mercredi, 27 octobre 2021 23:30 Deux leaders complotistes du Québec se retrouvent dans la mire des policiers français, qui s'inquiètent face à la montée des théories conspirationnistes qui se propagent rapidement de l’autre côté de l’Atlantique. Le Journal du Dimanche a dévoilé cette semaine un rapport de la division française du renseignement. Dans ce document, écrit en juillet dernier, deux figures conspirationnistes du Québec sont tenues en partie comme responsables d’avoir propagé des thèses de complots en France. Le premier est l’activiste Alexis Cossette-Trudel. Il est reconnu pour son adhésion aux théories du complot Qanon. Ses plateformes comme YouTube, Facebook et Twiter ont d’ailleurs été censurées dernièrement pour cause de désinformation. Dans le document des policiers, dont le Journal a obtenu des extraits, M. Cossette-Trudel est décrit comme un «fils de militant du groupe terroriste nommé Front de libération du Québec». Son père, Jacques Cossette-Trudel, était en effet membre du FLQ à l’époque. Conspirationniste des Laurentides Le second est le Québécois d’origine belge Jean-Jacques Crèvecœur. Établi dans les Laurentides depuis 2004, celui-ci est devenu une figure de proue de la lutte contre les mesures sanitaires au Québec. Selon les autorités françaises, il a d’ailleurs créé son propre réseau social. «Une plateforme sécurisée comportant 31 000 membres, dont près de 20 000, se déclarant en France», peut-on lire dans le document rédigé par le Service central du renseignement territorial (SCRT). Les policiers français se disent surtout inquiets de la violence des conspirationnistes qui pourraient passer de la parole aux actes. Le SCRT mentionne comme exemple l'invasion du Capitole à Washington qui a eu lieu le 6 janvier dernier. suite et source: https://www.journaldequebec.com/2021/10/27/des-complotistes-dici-inquietent-en-france
  10. Un article dans la presse belge qui relate l'expérience d'un ancien habitué du forum Vh.ds (qui a aussi participé à notre radio Fréquence Caribou) qui s'est inscrit le 3 mars 2001 et s'est installé au Québec en 2002. --------- Montréal au rythme des saisons Du Plusmagazine du 21/10/2021 20/10/21 à 21:00 Mise à jour le 14/10/21 à 14:42 Lors d'un voyage au Canada, le Bruxellois Matthias Van Halst a été séduit par le mode de vie des Montréalais. À tel point qu'en 2002, il a décidé de s'y installer. Quasi 20 ans plus tard, le journaliste sportif est toujours aussi heureux de sa décision: " J'apprécie tout particulièrement l'ambiance et le way of life hyper relax de la ville ". Des compatriotes expatriés partagent avec nous leurs bons tuyaux, les endroits où ils emmènent des amis ou sortent manger un morceau... et nous disent pourquoi la ville ou la région où ils vivent vaut la peine d'être découverte. © getTy images EN AMOUR AVEC VERDUN J'habite dans l'arrondissement de Verdun, mon petit coin de paradis. Montréal, la plus grande ville de la province de Québec, est une île fluviale au confluent du fleuve Saint-Laurent et de la rivière des Outaouais. Jusqu'en 2002, date de son rattachement à Montréal, Verdun était une entité indépendante, sur la rive opposée. Au XIXe siècle, c'était un lieu de villégiature pour l'élite citadine. Suite et source: https://plusmagazine.levif.be/magazine/montreal-au-rythme-des-saisons/article-normal-1479733.html ...
  11. Des employés racialisés ont confié qu’ils avaient été « ignorés pour l’obtention d’occasions de perfectionnement professionnel et de promotions ». Radio-Canada 2021-10-20 | Mis à jour aujourd’hui à 7 h 40 Un gestionnaire qui salue régulièrement un employé sud-asiatique par un signe « namaste »; une employée qui accueille sa collègue en lui disant « Salut, ma noire »; un gestionnaire qui affirme que les Autochtones sont « paresseux » : ces cas d’abus verbal se sont tous déroulés au ministère fédéral qui se consacre à l'accueil des immigrants au pays, Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC), selon un rapport. Disponible en ligne(Nouvelle fenêtre) depuis peu, le rapport de 20 pages intitulé Groupes de discussion des employés d’IRCC sur l’antiracisme a été présenté au ministère en juin dernier. Le document se fonde sur 10 groupes de discussion organisés par la firme de recherche Pollara et auxquels ont participé 54 employés représentatifs d’IRCC au mois de mars. De nombreux employés ont déclaré lors de ces séances qu’ils avaient été témoins de propos racistes au travail. Le rapport décrit des cas de micraoagressions : ...... Les participants aux groupes de discussion ont également déclaré qu’ils estimaient que ce racisme avait des répercussions sur le traitement des dossiers – ceux des immigrants et réfugiés au Canada. Ils ont cité en exemple l’application de règles discriminatoires pour le traitement des demandes d’immigration provenant de certains pays ou régions, dont des exigences supplémentaires en matière de documents financiers pour les demandes provenant du Nigeria." source et suite: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1833313/racisme-noirs-autochtones-gouvernement-federal-fonctionnaires-immigration
  12. Le calvaire d'une famille française qui tente d'obtenir le statut de résident permanent depuis... six ans Par Charles Payette | 98.5 13 OCTOBRE 2021 12:11 Voici l’histoire d’une famille française installée au Québec depuis 2015 qui tente depuis six ans d’obtenir le statut de résident permanent. Un total de 33 demandes de permis, des dépenses de 30 000$... et ils sont toujours incapables de normaliser leur statut. La mère, Sandrine Boisselier, a raconté cette longue aventure bureaucratique à Paul Arcand mercredi matin. Pour écouter les détails de son histoire: https://www.985fm.ca/nouvelles/politique/431442/immigration-canada-le-calvaire-dune-famille-francaise-qui-tente-dobtenir-le-statut-de-resident-permanent-depuis-six-ans
  13. Lisa-Marie Gervais et Sarah R. Champagne 18 octobre 2021 Santé La volonté de Québec de recruter au moins 3500 infirmières formées à l’étranger ne serait pas nécessairement un gage de succès à court terme. Il pourrait en effet s’écouler de deux à trois ans au minimum avant que ces infirmières puissent réellement soulager le système de santé. Que ce soit à l’étape de la reconnaissance de leurs diplômes par l’Ordre des infirmières, de l’examen de français ou de l’obtention des documents d’immigration, de nombreux écueils se dressent devant la volonté du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS). Ce sont 28 établissements de santé, surtout des CISSS et des CIUSSS, qui ont donné des mandats pour recruter au total environ 3500 infirmières à Recrutement Santé Québec, un service du MSSS. Ce ministère examine encore « la faisabilité » d’une telle démarche, admet une relationniste. Déjà, l’étape de la reconnaissance de l’équivalence d’un diplôme d’infirmière peut prendre des allures de parcours du combattant. Seuls 45 à 55 % des dossiers déposés devant l’Ordre des infirmiers et infirmières du Québec (OIIQ) sont complets, indique-t-on au Devoir. Lorsque le dossier est complet, il faut à l’Ordre de deux à trois mois pour son traitement. Actuellement, l’OIIQ calcule que 40 à 50 dossiers seront traités dans ce délai. Un volume de 3500 personnes est donc beaucoup plus élevé : c’est en fait l’équivalent du nombre annuel de nouveaux titulaires de permis, selon le rapport annuel. Dans la province, ce sont déjà plus de 7,4 % de tous les infirmiers et infirmières présentement en exercice qui ont été formés à l’extérieur du Québec. Viviana Riaño, une infirmière d’origine colombienne arrivée en 2015, raconte qu’il lui aura fallu près de trois ans entre son arrivée et le jour où elle a revêtu enfin son uniforme, malgré une décennie d’expérience. À l’exception des Françaises, qui bénéficient d’une entente particulière, l’ensemble des infirmières diplômées à l’étranger doivent en effet suivre un programme d’intégration professionnelle après leur équivalence de diplôme accepté. Le plus souvent, cette formation dure de 8 à 14 mois. Pour Mme Riaño, il est donc évident que la venue des infirmières immigrantes « n’est pas une solution à court terme ». Sans oublier la qualité des compétences, l’Ordre pourrait démontrer « un peu plus de flexibilité » et une évaluation individualisée des parcours, dit-elle. D’autres étapes, d’autres délais Aux délais de reconnaissance professionnelle il faut aussi ajouter ceux de l’immigration : « Habituellement, une personne qui est recrutée et qui obtient un permis de travail temporaire fermé peut s’attendre à arriver au Québec en 10 à 12 mois », écrit le MSSS au Devoir. Johana Botero, elle aussi originaire de Colombie, avait plutôt choisi d’arriver directement avec sa carte de résidente permanente en poche, ce qu’elle recommande aux 33 000 personnes qui la suivent sur sa page Facebook « Enfermeras profesionales en Canada ». suite et source: https://www.ledevoir.com/societe/sante/641028/recrutement-a-l-etranger-le-chemin-de-croix-des-infirmieres-formees-a-l-etranger
  14. Il y a un sous-forum sur la citoyenneté sur le forum: https://forum.immigrer.com/forum/46-obtenir-la-citoyenneté/
  15. L’Hôtel 71, situé sur la rue Saint-Pierre, dans le Vieux-Québec, a été classé 3e meilleur hôtel au Canada et 1er au Québec, d’après le Readers’ Choice Awards 2021 de Condé Nast Traveler. «Cette prestigieuse distinction est un véritable honneur qui rejaillit sur notre établissement et sur toute l’équipe de l’Hôtel 71, dont le professionnalisme et l’engagement viennent d’être récompensés aujourd’hui», a déclaré Sonia Gilbert, propriétaire et directrice générale de l’Hôtel 71. C’est la quatrième année consécutive que l’établissement réussit à se glisser dans ce prestigieux palmarès. Également: LES 12 MEILLEURS HÔTELS AU CANADA, SELON LE PALMARÈS 2021 DU READERS’ CHOICE AWARDS 1. Oak Bay Beach Hotel Victoria, Canada 2. Fairmont Waterfront Vancouver, Canada 3. Hôtel 71 Québec, Canada 4. Hôtel Gault Montréal, Canada 5. Sofitel Montreal Golden Mile Montréal, Canada suite et source: https://www.journaldequebec.com/2021/10/05/lhotel-71-nomme-3e-meilleur-hotel-au-canada-et-1er-au-quebec
  16. Ça commence dans 5 minutes !!
  17. Un reportage français sur les producteurs de sirop d'érables en cette superbe saison des couleurs.
  18. Deux fois plus d’attente pour un permis de travail post-diplôme Catherine Bouchard | TVA Nouvelles| Publié le 27 septembre 2021 à 20:31 Les diplômés étrangers, ayant obtenu leur diplôme au Canada, doivent attendre 128 jours en moyenne avant d’obtenir un permis de travail, a appris TVA Nouvelles. C’est près de deux fois plus qu’en 2018, où les dossiers étaient traités en moyenne en 71 jours. La situation exaspère le Conseil du patronat du Québec qui exhorte Québec et Ottawa à accélérer la cadence dans le traitement de ces candidatures. Pour les entrepreneurs, l’immigration est une partie de la solution à la pénurie de main-d'œuvre. «Malheureusement, les délais rencontrés risquent de faire partir ces gens qui ne pourront pas nécessairement attendre un délai de quatre mois avant de recommencer à travailler pour obtenir leur bout de papier», a déploré le président et chef de direction du Conseil du patronat du Québec, Karl Blackburn. Thibault Brek se trouve dans ce cas de figure. Diplômé d'un DEP en ventes en mai dernier, il attend toujours son permis de travail. Bien qu’il ait techniquement le droit de travailler en attendant que son dossier soit statué, la plupart des employeurs refusent de l’embaucher tant que sa situation ne sera pas régularisée. «Je suis très stressé, très angoissé par rapport à cette demande, raconte M. Brek. [...] Je ne suis pas venu pour toucher des aides, je suis venu pour travailler. On m’a vendu une image du Québec où je pourrais travailler rapidement, facilement, en pleine pénurie de main-d'œuvre. Aujourd’hui, on me dit: “Vous n’avez pas les papiers. Vous ne pouvez pas travailler”» suite et source: https://www.tvanouvelles.ca/2021/09/27/deux-fois-plus-dattente-pour-un-permis-de-travail-post-diplome
  19. Selon Travel+Leisure Le Manoir Hovey au premier rang des hôtels canadiens Le prestigieux magazine américain Travel+Leisure a classé le Manoir Hovey, de North Hatley, au premier rang des hôtels de villégiature au Canada en 2021, l’établissement québécois se classant au 23e rang des 100 meilleurs hôtels au monde au terme du concours annuel World’s Best Awards. Publié le 13 septembre 2021 à 16h32 PIERRE-MARC DURIVAGELA PRESSE Ce faisant, le Manoir Hovey est cette année l’établissement de la chaîne Relais et Châteaux à figurer le plus avantageusement au classement établi par les lecteurs de Travel+Leisure. Le magazine américain établit cette liste convoitée depuis 26 ans, reconnaissant, en plus des hôtels, les plus belles îles, villes, lignes de croisière, compagnies aériennes, et plus encore. « Nous sommes honorés d’être reconnus par un prix aussi emblématique et nous tenons à remercier notre équipe pour tout le travail qu’elle a accompli au cours de l’année écoulée », affirme dans un communiqué Jason Stafford, directeur général du Manoir Hovey. L’hôtel, construit au XIXe siècle, fera d’ailleurs l’objet en 2022 d’une rénovation et d’un agrandissement de ses installations de bien-être et de ses commodités. Seulement un autre hôtel canadien figure au top 100 des hôtels du World’s Best Award, soit le Wickaninnish Inn, à Tofino, en Colombie-Britannique. Au niveau national, le Fogo Island Inn, à Terre-Neuve, le Four Seasons Resort and Residences, à Whistler, en Colombie-Britannique, et le Post Hotel & Spa, à Lake Louise, en Alberta, complètent le top 5. suite et source: https://www.lapresse.ca/voyage/quebec-et-canada/2021-09-13/selon-travel-leisure/le-manoir-hovey-au-premier-rang-des-hotels-canadiens.php
  20. Encore 150 employés à recruter au Club Med Québec Charlevoix Alexandre Duval à 5 h 58, Radio-Canada Dans un peu plus de deux mois, le Club Med Québec Charlevoix accueillera ses tout premiers visiteurs. Si la construction de l’hôtel est pratiquement terminée, l’entreprise doit encore trouver environ 150 travailleurs prêts à fouler le plancher dès le 3 décembre. On sait que c'est un challenge, reconnaît Vincent Giraud, vice-président pour Club Med au Canada. C'est le défi, au Québec, de pouvoir recruter dans le secteur de l'hôtellerie et de la restauration. Pour que le site soit fonctionnel, il faudra combler de nombreux postes à la réception, en cuisine, au bar et à l’encadrement des enfants, notamment. Tous des corps de métier qui sont dans une petite pénurie de main-d'œuvre, note M. Giraud. Malgré le contexte, l’entreprise se dit confiante. Les gentils organisateurs – communément appelés G.O. – requis à Petite-Rivière-Saint-François ont déjà tous été embauchés. À eux seuls, ils sont environ 150. suite et source: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1826318/club-med-quebec-charlevoix-ouverture-recrutement-personnel-hotel-penurie-main-doeuvre
  21. Réactions à ces révélations : Recrutement de travailleurs étrangers : des dérives « inacceptables », admet Québec Les oppositions accusent le gouvernement Legault d’avoir ouvert la porte à des abus visant les travailleurs étrangers temporaires, de plus en plus nombreux au Québec, en assouplissant les règles d’embauche sans se soucier d’un encadrement optimal. Romain Schué 4 h 04 | Mis à jour à 10 h 42 « C’est inacceptable, c’est intolérable », affirme Jean Boulet, le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale. En entrevue à Radio-Canada, il ne mâche pas ses mots contre les entreprises québécoises, les intermédiaires et les agences de recrutement qui abusent de « pratiques qui sont illégales ». La semaine dernière, nous révélions la face sombre du recrutement de multiples travailleurs étrangers temporaires au Québec. Pour faire face à l’importante pénurie de main-d'œuvre, de nombreuses entreprises ont décidé de s’orienter vers le marché international afin de recruter des employés étrangers pour des postes peu qualifiés, notamment dans le milieu manufacturier. suite et source: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1825998/recrutement-immigration-travailleurs-legault-quebec
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