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Tout ce qui a été posté par immigrer.com

  1. Une FAQ sur le métier d'ingénieur: https://www.immigrer.com/categorie/faq/Metier-dingenieur/
  2. Une médecin qui pratique au Québec songe à retourner en France TVA Nouvelles | Publié le 25 avril 2022 à 18:41 Une médecin de famille songe à retourner en France puisqu’il lui est impossible d’obtenir sa résidence permanente canadienne. Anna Hekinian est médecin de famille en Montérégie. Elle a quitté la France en 2020 avec ses trois enfants, âgés de 11 à 15 ans, et son époux, et a obtenu un permis de travail restrictif de trois ans en Centre de réadaptation en dépendance, là où les besoins sont criants. Ce permis expire au début de 2023 Il lui est impossible d’obtenir la résidence permanente au pays avant au moins quatre ans. «On savait qu’il y avait des délais, mais il s’avère qu’au moment où on est arrivés, les délais se sont allongés», explique la Dre Hekinian. Elle doit d’abord avoir le Certificat de sélection du Québec, mais elle n’y est pas éligible avant d’avoir travaillé pendant deux ans. «La réforme majeure de l’accès à la résidence permanente économique au Québec, qui a eu lieu en tout début de pandémie, donc début 2020, qui a durci l’accès pour les travailleurs étrangers au Québec, ça a créé un arriéré immense de dossiers au fédéral», explique l’avocate spécialisée en immigration Laurence Trempe. Parce qu’il n’est pas résident permanent, la formation de son conjoint, qui est officier de marine, n’est pas reconnue au Canada, ce qui l’oblige à travailler pour un armateur français avec les inconvénients qui ont été imposés pendant la pandémie. Ses enfants ne peuvent pas avoir de travail d’été non plus. «D’être tout le temps dans l’interrogation, à ne pas savoir ce qui va se passer et de pas avoir quelque chose de stable ou de sûr...», se désole la Dre Hekinian. Au CISSS de la Montérégie-Ouest, son départ va causer un grand vide. «On parle de gens qui sont aux prises avec des problèmes de dépendance, de toxicomanie... Donc, c’est des gens qui vont consulter à l’urgence, vont être hospitalisés s’ils n’ont pas de soins. Ils sont aussi en proie à l’itinérance», souligne le Dr Félix Le Phat-Ho, médecin de famille et responsable du recrutement CISSS Montérégie-Ouest. suite et source: https://www.tvanouvelles.ca/2022/04/25/une-medecin-qui-pratique-au-quebec-songe-retourner-en-france
  3. Bonne nouvelle pour les étudiants étrangers au Canada pour ceux qui sont sur place: https://www.immigrer.com/les-etudiants-internationaux-pourront-rester-plus-longtemps-apres-leurs-etudes/
  4. Il y a une FAQ sur le coût de la vie : https://www.immigrer.com/categorie/faq/Cout-de-la-vie/
  5. Voici l'émission si vous avez raté!
  6. https://www.immigrer.com/categorie/faq/Permis-de-conduire/
  7. Publié le 15/04/2022 22:22 Les hôpitaux québécois, confrontés à une crise, ont lancé une vaste campagne de recrutement. Des infirmières et infirmiers français sont prêts à vivre cette nouvelle aventure. Au Québec et à Montréal, sa ville principale, vit la plus grande communauté d’expatriés français hors d’Europe. En 2022, ce sont les infirmiers qui sont arrivés massivement. En voici dix, venus de toute la France, ils ont atterri il y a une semaine. Ils font leurs premiers pas dans un hôpital du centre-ville. Une journée d’ateliers pour se familiariser avec le matériel canadien et surtout avec le vocabulaire. Le diplôme français très coté au Québec En France, ces infirmiers ne se sentaient pas appréciés à leur juste valeur. “Ce n’est pas possible de se retrouver dans la gestion de presque 15 patients pour une seule infirmière”, souligne une soignante française. Pas de difficultés pour ces professionnels expérimentés, le diplôme français est très coté au Québec. À Montréal, aidés par la langue, les infirmiers français s’intègrent vite et tissent des liens forts avec leurs collègues. Au Québec désormais, la moitié des infirmiers sont recrutés à l’étranger, une immense majorité en France. Source et suite: https://www.francetvinfo.fr/monde/canada/sante-au-quebec-une-immense-majorite-des-infirmie
  8. Isamaël Khelifa et Vanessa partent en chiens de traîneau pour une traversée sportive et époustouflante, entre immenses étendues de neige et forêt ! Rendez-vous samedi pour des Echappées Belles inédites à 20h50 sur France 5 ! https://www.france.tv/france-5/echappees-belles/ Québec, même pas froid!
  9. ll n’existe pas d’éducation nationale au Canada, fédération de 13 états où plusieurs systèmes éducatifs cohabitent. En voici les grandes lignes. Depuis 1867, l’éducation est l’une des compétences exclusives de chacune des 10 provinces et des 3 territoires qui constituent le Canada. Raison pour laquelle plusieurs systèmes éducatifs différents cohabitent en terre canadienne, avec un âge de fin de la scolarité obligatoire qui va de 16 à 18 ans, suivant les provinces. » LIRE AUSSI - S’installer au Canada: réussir votre arrivée et votre installation Le primaire et le secondaire Le Canada est très bien placé au dernier classement Pisa de l’OCDE de 2018 qui classe le niveau des enfants de 15 ans, décrochant la 6 ème place. L’année scolaire va généralement de septembre à juin, avec des journées parfois un peu plus courtes qu’en France, se terminant à 15 ou 16 heures. L’école publique est gratuite, et suivant les provinces, la scolarité obligatoire commence au plus tard l’année des 5 ou celle des 6 ans. Une année de maternelle, ou préscolaire, non obligatoire, est suivie de 12 années, de la 1ere à la 12e. Le secondaire commence en 9e - sauf au Québec où le secondaire commence en 7e, pour se terminer en 11e. Le primaire dure donc 8 ans au Canada, sauf au Québec où il dure 6 ans. L’année scolaire s’étale de la fin août à la fin juin, avec des cours tous les jours de la semaine, du lundi au vendredi, mercredi inclus. Comme en France, des congés ont lieu toutes les 6 à 7 semaines de cours. À la fin du secondaire, à 17 ou 18 ans en moyenne, les jeunes Canadiens qui poursuivent leurs études intègrent une université, un collège ou bien encore, au Québec, un CEGEP (collège d’enseignement général et professionnel). Les CEGEP québécois proposent deux types de parcours, avec les formations pré universitaires de 2 ans, qui préparent l’entrée à l’université, et des formations techniques de 3 ans, plus professionnalisantes, à l’image de nos BTS et BUT. suite et source: https://etudiant.lefigaro.fr/article/le-systeme-educatif-canadien-explique-aux-francais_139eda50-ba89-11ec-b47e-2742503e1690/
  10. Savoir-vivre au Québec: les règles qu’un étudiant étranger doit connaître avant de partir Par Mersiha Nezic • Publié le 06/04/2022 à 12:07 • Mis à jour le 12/04/2022 à 12:46 Le fait de parler la même langue peut vous indure facilement en erreur. Voici les us et coutumes à connaître, si vous ne voulez pas passer pour un «maudit Français». Une expérience qu’elle n’est pas près d’oublier. Juliette Charrier, étudiante dans une école de commerce française, la Paris School of Business, a opté cette année pour un échange avec la prestigieuse Université McGill de Montréal. Même si le Québec se trouve à sept- huit heures de vol de l’Hexagone, la «Belle province» francophone est particulièrement prisée des étudiants français. Voici ses conseils pour éviter de passer pour un «maudit Français». » LIRE AUSSI - Découvrez notre dossier spécial: étudier et travailler au Canada 1. Tout le monde se tutoie. «Ce qui m’a le plus surprise, c’est le tutoiement qui est de mise partout au Québec, même à l’Université, entre étudiants et professeurs. Ce qui créé un rapport différent avec eux. Cela incite à prendre la parole pendant les cours et permet d’être plus à l’aise avec l’ensemble de la classe. C’est un peu déroutant au début mais ce n’est pas pour autant déplaisant». 2. Le bilinguisme, c’est important Ensuite, il y a le bilinguisme. «Dans les commerces, dans les cafés, partout, on se dit bonjour en français et en anglais.» Si les cours suivis par Julie sont dispensés dans la langue de Shakespeare, l’étudiante peut choisir de rendre ses devoirs en français ou bien en anglais. 3. Peu de cours, et beaucoup de travail personnel Un peu comme dans les universités françaises, «il y a peu de cours et beaucoup de travailler personnel. Ce qui demande beaucoup d’autonomie aux étudiants. «C’est très différent de ce que j’ai connu dans une école de commerce française», souligne Juliette. 4. Venez comme vous êtes Quant au style vestimentaire, «on peut aller en cours en legging et en basket. Tout le monde est plus décontracté qu’à Paris, pas de jugement», raconte-t-elle. 5. Apportez votre trousse de secours Aux étudiants qui se préparent suivre son exemple, Juliette conseille surtout de se renseigner sur le système de santé du Canada, où accéder aux soins n’est pas aussi simple qu’en France. «Il est très difficile de trouver un médecin, et c’est cher. Pour un mal de gorge, la facture peut monter à 200 ou 300 dollars. Donc, prévoyez une trousse avec quelques médicaments de base». 6. Donnez un pourboire au restaurant En dehors du campus, Juliette conseille également de ne pas commettre d’impair au café ou au restaurant, en oubliant de laisser un pourboire. «En France, les taxes sont incluses dans tout mais pas là-bas». Au restaurant, ils s’élèvent généralement à 15% à 20% de l’addition. Dans les hôtels, pensez à offrir un pourboire au garçon d’ascenseur et au concierge s’ils vous aident à porter vos bagages ou vous aident à faire des réservations. source: https://etudiant.lefigaro.fr/article/guide-du-savoir-vivre-pour-les-etrangers-qui-veulent-partir-etudier-au-quebec_5ff79e80-b3f1-11ec-97ad-5107587a98fb/
  11. Aucune média francophone n'en parle encore au Canada, mais l'ancienne analyste du renseignement américain reconnue coupable d'avoir coulé des informations à Wikileaks ne peut toujours pas entrer au Canada malgré les démarches de ses avocats auprès des autorités canadiennes. Le ministère de l'immigration du Canada a rendu sa décision le 8 avril dernier. source: https://ici.radio-canada.ca/rci/en/news/1875925/chelsea-manning-cant-enter-canada-due-to-prior-convictions-says-immigration-board
  12. Voici votre sujet en page d'accueil et quelques réactions: https://www.immigrer.com/bilan-apres-10-ans-au-saguenay-lac-saint-jean/
  13. Source: https://montreal.consulfrance.org/Resultats-du-1er-tour-de-l-election-presidentielle-pour-la-circonscription-de
  14. Merci pour le super témoignage. Nous allons le partager dès demain sur notre réseau! Bonne suite à vos projets.
  15. JEAN-FRANÇOIS DUGAS Le Droit L’immigration francophone hors Québec traîne de la patte depuis 20 ans au pays. L’année dernière n’a pas fait exception selon des données du programme gouvernemental fédéral Entrée Express. Selon les statistiques obtenues par Le Droit auprès d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté canadienne (IRCC), seulement 2980 francophones ont débarqué au Canada parmi les 155 830 résidents permanents admis par le biais d’Entrée Express, conçu pour faciliter l’immigration de travailleurs qualifiés au Canada. Ainsi, seulement 1,9% des immigrants acceptés parlent la langue de Molière. Ce système d’immigration, mis sur pied en 2015, s’ajoutait à divers programmes pour tenter d’atteindre la cible d’immigration francophone hors Québec de 4,4%, fixée en 2003 par l’État. Ce taux n’a toutefois jamais été atteint depuis son instauration. Le gouvernement fédéral y croit toujours cependant. «Dans le cadre de la Stratégie en matière d’immigration francophone, IRCC continue de mettre en œuvre des mesures à l’appui de ses objectifs en matière d’immigration francophone, notamment la cible de 4,4 % d’admissions d’immigrants francophones à l’extérieur du Québec, d’ici 2023», a réagi l’IRCC dans un courriel au Droit. source et suite: https://www.ledroit.com/2022/04/05/immigration-hors-quebec-entree-pas-si-express-pour-les-francophones-0abd67c007981b245b7ab864a6b2b332?nor=true
  16. Le ministre de l'immigration vient de les ajouter. https://www.immigration-quebec.gouv.qc.ca/fr/travailler-quebec/reconnaissance-competences/aide-financiere/index.html
  17. Pourquoi Haïti – qui, après la France, est le pays d’où provient le plus grand nombre d’infirmières hors Québec – est-il exclu du plus récent programme de recrutement à l’étranger ? Ne s’expliquant pas que le français et la formation des candidates dans leur pays d’origine semblent soudainement poser problème, des infirmières haïtiennes d’ici demandent des réponses au gouvernement Legault. Publié à 5h00 LOUISE LEDUCLA PRESSE En février, le ministre du Travail, Jean Boulet, annonçait que son gouvernement allait investir 65 millions sur 2 ans pour recruter et intégrer 1000 infirmières de l’étranger. Les pays ciblés pour la première phase sont l’Algérie, le Cameroun, le Maroc, la Tunisie et l’île Maurice. Dans des phases ultérieures du programme, le Québec visera la Côte d’Ivoire, le Liban, la République démocratique du Congo et le Sénégal. Qu’est-ce qui explique l’exclusion d’Haïti, alors que les infirmières et préposés aux bénéficiaires originaires de ce pays sont si présents dans le réseau de la santé ? À cette question, Maude Méthot-Faniel, attachée de presse du ministre du Travail, répond que deux critères principaux ont guidé le choix des pays, soit le fait « qu’il s’agisse de pays francophones et que les formations offertes dans les systèmes éducatifs à l’étranger s’apparentent à celles du Québec, pour réduire la période de reconnaissance des compétences ». Source et suite: https://www.lapresse.ca/actualites/sante/2022-04-05/recrutement-d-infirmieres-a-l-etranger/l-exclusion-des-candidates-d-haiti-denoncee.php?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter#
  18. Des Français choisissent de quitter leur pays pour venir travailler à l'Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal. TVA Nouvelles | Publié le 28 mars 2022 à 18:44 • À lire aussi: Il faut augmenter le nombre de médecins, partout au Québec Après les deux années de pandémie, des infirmières souhaitaient du changement et ont décidé de déménager au Québec. Depuis qu'elle est arrivée il y a un an et demi, Sarra travaille aux soins intensifs et apprivoise encore son nouveau milieu. «J’étais fatiguée des conditions de travail en France et l’autre raison qui n’est pas la moindre, c’est pour la qualité de vie en famille en particulier», dit l’infirmière Sarra Zouad. Ils doivent suivre une formation de 75 heures avant d’être reconnus comme infirmière. source et suite: https://www.tvanouvelles.ca/2022/03/28/des-infirmieres-francaises-a-la-rescousse-pour-contrer-la-penurie-de-main-duvre
  19. Afficher les commentaires Commentaires Romain Schué Yanik Dumont Baron à 4 h 00 L’angoisse est palpable. L’interrogation. Les doutes. La détresse. Tous ces sentiments se lisent, se devinent dans les yeux de ces Ukrainiens amassés dans un immeuble moderne de Varsovie, qui partagent le même espoir : rejoindre rapidement le Canada. Des dizaines de personnes font la file, masque ou non sur le visage. Des jeunes. Des aînés. Des femmes, principalement, mais aussi des enfants. Certains scrutent leur téléphone, d’autres dorment sur une chaise, lèvent la main ou tentent d'interpeller un représentant de la firme VFS Global, qui est responsable de réaliser les données biométriques des Ukrainiens voulant traverser l’Atlantique. Outre temporairement l’ambassade canadienne, il n’y a qu’un centre agréé dans toute la Pologne. Ici, dans la capitale, où sont arrivés au cours des dernières semaines des centaines de milliers d’Ukrainiens fuyant les bombes et les attaques russes. C’est le chaos pour obtenir les documents administratifs nécessaires afin de prendre l’avion vers le Canada, raconte Kyrylo, un Canadien d’origine ukrainienne rencontré sur place. Tout juste arrivé en Pologne, il est venu aider sa grand-mère et d’autres membres de sa famille. En début de semaine, reprend-il, il y avait 500 personnes. Les gens se poussaient. Le processus est extrêmement compliqué. C’est extrêmement stressant pour ces personnes qui sont déjà traumatisées par la guerre. Source et suite : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1871851/ukraine-guerre-immigration-visa-canada-pologne-formalites?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter
  20. Des délais titanesques accumulés par Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) pendant la pandémie bouleversent la vie de milliers de résidents permanents en attente de la citoyenneté canadienne. Publié à 5h00 LILA DUSSAULTLA PRESSE Jean-François Munier, Français d’origine, attend une réponse à sa demande de citoyenneté depuis décembre 2018. C’est la dernière étape pour devenir canadien et avoir les mêmes privilèges que le reste de la population, comme le droit de vote et le passeport. Le nombre de dossiers de citoyenneté en attente au Canada est monumental : 405 189 demandes en date du 16 mars 2022, selon les données fournies par IRCC. Difficile de voir comment ce nombre pourrait diminuer quand, pour toute l’année 2021, IRCC a traité 203 000 demandes, et 80 000 en 2020, selon Béatrice Fenelon, du service des communications d’IRCC. En comparaison, pour l’année 2019-2020, IRCC a reçu 216 800 nouvelles demandes de citoyenneté, et plus de 217 000 l’année précédente. L’attente de la citoyenneté a des conséquences concrètes pour des milliers d’immigrants. Au jour de l’An, Jean-François Munier a vécu une situation rocambolesque lorsque Air Canada lui a refusé l’embarquement pour rentrer au pays, à l’aéroport d’Honolulu, à Hawaii. La raison : sa carte de résidence permanente était périmée. M. Munier croyait que son statut de résident permanent et son passeport français étaient suffisants pour voyager. Il a dû regarder son fils de 4 ans, accompagné de sa mère, repartir sans lui. Pour revenir au Québec, l’homme de 34 ans s’est résigné à prendre l’avion jusqu’à Plattsburgh, aux États-Unis, avant de rentrer à pied par la frontière de Saint-Bernard-de-Lacolle, en Montérégie. En plein hiver. Les douaniers à Lacolle étaient vraiment stupéfaits, parce que ça fait trois ans que j’attends. Ils étaient plusieurs à regarder mon dossier sans comprendre pourquoi je n’avais pas [encore] ma citoyenneté. Jean-François Munier source et suite: https://www.lapresse.ca/actualites/2022-03-26/attribution-de-la-citoyennete-canadienne/une-montagne-de-dossiers-en-attente.php?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter
  21. Une entreprise peine à recruter des travailleurs étrangers après 5 ans de démarche Lisa-Marie Gervais 25 mars 2022 Société Dans un Québec en mal de main-d’œuvre, de nombreuses compagnies se tournent vers l’international pour recruter des travailleurs. Après cinq ans de démarches, une entreprise de Mirabel est privée de millions de dollars en contrats, toujours empêtrée dans les méandres administratifs et les longs délais du système d’immigration. Une fine poussière qui prend à la gorge flotte dans l’usine. Dans un vacarme assourdissant, ça coupe, ça scie, ça colle du bois. « Tu vois le monsieur portugais, là-bas ? Il est tout seul à travailler. Normalement, ils sont cinq », crie Sébastien Grenier, président de Moulures Algonquin, enterré par le bruit des machines. Dina Regheb, une ingénieure d’origine française arrivée au début de la pandémie avec un permis vacances-travail, confirme le haut taux de roulement. « On n’arrête jamais de former. » Près de 50 employés travaillent pour cette PME de Mirabel, en phase d’agrandissement. Mais elle en aurait besoin d’une trentaine de plus pour venir à bout de son carnet de commandes. « On pourrait ouvrir un shift de nuit si on avait tout notre monde », explique M. Grenier. Le printemps — saison des rénovations par excellence — est une période particulièrement difficile. « Les compagnies d’asphaltage et de toiture offrent des salaires de fou. On perd des employés. » suite et source: https://www.ledevoir.com/societe/690993/sans-titre
  22. Québec est la ville canadienne où il est le plus agréable de conduire Agence QMI | Publié le 24 mars 2022 à 16:37 Simon Clark/Agence QMI Québec se classe au premier rang des grandes villes canadiennes où les conducteurs sont les plus heureux au volant, selon un sondage. • À lire aussi: La «guerre à l'automobile», concept menteur • À lire aussi: Budget Girard: des investissements «historiques» en infrastructures, mais un lent rattrapage • À lire aussi: Budget Girard: plus pour la transition énergétique, moins pour l’achat d’un véhicule électrique Après avoir sondé de 2000 Canadiens parmi les dix villes les plus populeuses au pays, Kijiji Autos a proclamé Québec comme étant la ville ayant les conducteurs les plus heureux. Plus précisément, 88% des conducteurs de Québec se sentent heureux en conduisant au moins une fois par semaine et 72% décrivent les conditions routières de la vieille capitale comme étant exceptionnelles, très bonnes ou bonnes, d’après ce sondage. Les participants sondés devaient répondre à une série de questions portant sur l’état des routes, les niveaux de circulation, le nombre de conducteurs dangereux, leur état d’esprit au volant, etc. Ce classement des villes a été créé à partir des réponses des conducteurs. D’après les résultats, les gens les plus calmes au volant sont situés à Kitchener, en Ontario, et les plus concentrés se retrouvent aussi dans cette province, à Hamilton. suite et source: https://www.tvanouvelles.ca/2022/03/24/quebec-est-la-ville-canadienne-ou-il-est-le-plus-agreable-de-conduire
  23. Merci à tous pour vos commentaires dans ce fil for intéressant. Nous avons mis le témoignage de fryggo en page d'accueil du site.
  24. Triste cette histoire, espérons qu'il y a un revirement de situation.
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