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Tout ce qui a été posté par immigrer.com

  1. immigrer.com

    Biologiste algérien

  2. Un voyageur français qui a ramené sans le déclarer un saucisson dans sa valise s’est vu remettre une contravention de 1300$ par les douanes de l’aéroport de Montréal. Jean-Philippe Nicolas, un Français pure souche qui n'a pas pu résister à la tentation d'apporter un bout de sa patrie au Canada. Tout commence le 22 décembre 2022. Jean-Philippe, un père de famille breton qui décide de faire plaisir à sa belle-famille québécoise en leur offrant un cadeau vraiment... spécial. Un saucisson sec de sanglier. Malheureusement pour lui, sa valise disparue est rapidement retrouvée encerclée par une meute de chiens renifleurs et une équipe de douaniers prêts à entrer en action. Le drame se poursuit lorsque le saucisson, emballé avec l'innocence d'un enfant dans du papier brun, est déclaré coupable de ne pas être sous vide. Le verdict tombe : 1300$ d'amende pour un saucisson de deux euros ! On aurait dit le script d'un épisode de "Breaking Bad" dédié à la contrebande de charcuterie. Jean-Philippe, notre malchanceux, se retrouve ainsi avec sa petite famille dans le rôle d'Al Capone du saucisson. C'est là qu'il réalise la gravité de la situation. Les douaniers, armés de leur feuille d'infraction, l'accusent de "violation très grave". Le voilà donc désormais dans la peau d'un contrebandier de charcuterie, un véritable gangster du pâté. Mais notre homme, loin de se laisser abattre, est déterminé à se battre. Malgré l'option d'une amende réduite de 650$ payable sur-le-champ, il refuse. Le combat continue encore aujourd'hui, avec un dernier recours en cours d'étude par l'Agence des services frontaliers du Canada. Jean-Philippe garde espoir, même si le saucisson a déjà été condamné une fois. En résumé, si vous partez en voyage et que vous pensez apporter un saucisson comme souvenir, pensez à Jean-Philippe. Pensez à son saucisson. Pensez à ces 1300$. Et dites-vous que peut-être, un simple porte-clés en forme de tour Eiffel serait un choix plus sûr. Source : 24heures source:
  3. Bonjour, Il y a une section du FAQ sur le Tour du poteau : https://www.immigrer.com/categorie/faq/Tour-du-poteau-le/ Bon courage
  4. Un château en France pour le prix d’une maison jumelée à Toronto Un tiktokeur s’amuse à comparer les prix de propriétés canadiennes avec ceux de châteaux en Europe, afin d’illustrer l’absurdité du marché immobilier au pays. Myriam Boulianne Publié à 7 h 16 Sur son compte TikTok, le Canadien @millennialmoron, qui souhaite rester anonyme, déniche des propriétés à vendre, principalement à Toronto et à Vancouver, et compare leur prix avec celui des biens immobiliers qu’on imaginerait exclusifs aux ultra-riches, comme des châteaux en France, des villas en Italie, ou même, des îles privées dans le sud. L’idée lui est venue d’une simple interrogation. J’étais curieux de savoir combien coûtait une île privée par rapport aux prix des propriétés au Canada, dit-il dans un entretien avec Radio-Canada. Dans ses premières vidéos, il compare le prix de maisons au Canada à celui d’îles privées au large du Brésil ou de l’Irlande. Contre toute attente, les biens à l’étranger s’avéraient moins chers que les propriétés canadiennes, souvent en mauvais état. Sa formule a tellement bien fonctionné qu’il a continué sa série de vidéos, mais cette fois-ci en comparant avec des châteaux dans le Vieux Continent. Dans l’une des vidéos, il nous montre une maison de trois chambres située à Vancouver, construite en 1924, à vendre pour 11,7 millions de dollars. Pour le même prix, il présente un château près de la vallée de la Loire, entièrement rénové, comprenant 19 chambres, un lac privé, un spa, un cinéma maison, un cellier, un court de tennis et une piscine. Dans une autre vidéo, le tiktokeur nous montre un bungalow dans la Ville Reine, dont les murs extérieurs sont recouverts de graffitis. Un château de 40 pièces à vendre en Écosse est pourtant affiché au même prix, à 2,85 millions. Ou encore, une maison en rangée située à Toronto, affichée à 1 190 000 $, contre un château en France situé près de Carcassonne, qui se vend 40 000 $ moins cher. Le fait qu’il soit possible d’avoir un château en Europe à moindre coût qu’une maison unifamiliale au Canada commence à me déprimer, commente un internaute. Seulement deux mois après la création de son compte, @millennialmoron a déjà 93 500 abonnés sur TikTok. Et ses vidéos, toujours commentées de manière humoristique, ont accumulé plus de deux millions de J’aime. La recette de son succès? J’aborde un sujet sérieux qui touche beaucoup de gens, mais je le fais d’une manière que les gens apprécient, croit-il. suite et source: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1990171/crise-logement-canada-maison-toronto-chateau-france
  5. Roxane Mbikay n’est pas tendre envers Immigration Canada. « Ils ont botché le dossier, déclare-t-elle, en entrevue avec La Presse. Ils l’ont vraiment botché. » Suzanne Colpron La Presse Ce dossier, c’est celui du parrainage des parents de son mari. Le document qu’elle nous a fait parvenir par courriel, relatant toutes les démarches entreprises depuis cinq ans, fait 35 pages. Roxane Mbikay est née à Montréal. Son mari, Kally Kalambay Ilunga, originaire de la République démocratique du Congo (RDC), est arrivé au Québec en 2001 comme demandeur d’asile. Il a obtenu le statut de réfugié, puis la résidence permanente et la citoyenneté canadienne. Tous les deux, mariés et parents de quatre enfants, travaillent pour le gouvernement fédéral. Mme Mbikay est au ministère de la Justice et son mari est à Environnement Canada. En 2018, Kally Kalambay Ilunga entreprend des démarches auprès d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) pour parrainer son père et sa belle-mère, conjointement avec sa femme. Le 1er août 2018, IRCC l’invite à participer au Programme des parents et des grands-parents. Il remplit la demande et paie les frais demandés. Le 4 janvier 2019, on lui dit que la demande est acceptée. Son père et sa belle-mère vont devoir fournir leurs données biométriques et passer un examen médical dans les prochains mois. Le 23 décembre, il obtient pour chacun d’eux le Certificat de sélection du Québec, préalable à la résidence permanente au Québec. Du 8 janvier au 20 mai, M. Kalambay Ilunga et sa femme relancent IRCC et le bureau de Dakar, qui traite le dossier en Afrique. Complications Entre-temps, la pandémie frappe. Le père de M. Kalambay Ilunga meurt le 8 juin. La cause du décès ? Le couple l’ignore. On enterrait les gens très rapidement à cette époque à cause de la COVID. Il n’y a pas eu d’autopsie. Roxane Mbikay Les choses se compliquent par la suite. Le père de M. Kalambay Ilunga était le demandeur principal. Sa femme, qui n’est pas sa mère biologique, était considérée comme « dépendante ». En juillet, le couple informe IRCC de la mort du père de M. Kalambay Ilunga et précise vouloir poursuivre les démarches de parrainage de sa belle-mère. https://www.lapresse.ca/actualites/2023-06-22/demande-de-parrainage/un-couple-essuie-un-refus-apres-des-annees-de-demarches.php
  6. Bonjour, Vous devez être plus précis. Vous avez vos visas déjà? C'est pour le Québec ou dans le reste du Canada. Voici le tour d'horizon pour les visas et autres: https://www.immigrer.com/demarches-generales/ https://www.immigrer.com/lentree-express-au-canada-comment-faire-quelle-procedure/ https://www.immigrer.com/programme-vacances-travail-pvt/
  7. Perrine Bullant Publié le 18 juin 2023 Sandrine Rapiné est une Française qui a choisi de venir s’installer à Rimouski il y a un an pour suivre une formation en aide à la personne. Depuis le 17 mai, elle est diplômée et peut, en théorie, travailler au sein de maisons pour aînés et de centres d'hébergement et de soins de longue durée (CHSLD). Cependant, il est impossible pour elle de commencer à exercer sa nouvelle profession : elle doit attendre de recevoir un permis de travail de la part du gouvernement fédéral, ce qui pourrait prendre jusqu'à plusieurs mois. La situation est particulièrement frustrante pour la travailleuse. Dans un secteur qui est tellement en demande, c’est un métier essentiel, où l’on recense des besoins énormes et moi, je suis là, je suis installée et je ne peux pas travailler, regrette Sandrine Rapiné. suite et source: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1989219/immigration-permis-travail-lenteur-rimouski
  8. Des bourses dans les cégeps pourraient nuire à la réputation du Québec à l’étranger Par Olivier Bossé, Le Soleil |19 juin 2023 Les demandes d’admission d’étudiants étrangers ont triplé dans de nombreux cégeps, en vue de la session d’automne. Certains ont même vu ce nombre se multiplier par six. Mais la grande majorité des intéressés ne s’inscriront jamais chez nous et seulement quelques-uns seront en classe fin août, pour la rentrée. La faute aux mauvaises communications du gouvernement du Québec et aux dédales administratifs du programme d’immigration du gouvernement fédéral, critiquent des représentants de cégeps. Jusqu’à faire craindre pour la réputation du Québec à l’étranger. « À la suite de l’éventuelle déception que cela causera chez plusieurs candidats, nous sommes inquiets des impacts que cela pourrait avoir sur la réputation des cégeps et de l’éducation au Québec », affirme au Soleil le coordonnateur du Service des communications et du développement international du Cégep de Matane, Francis Turcotte, dans un échange écrit. Le phénomène se vérifie dans plusieurs autres cégeps, surtout en région. Cet hiver, en vue de l’année scolaire 2023-2024, le gouvernement du Québec a lancé un programme de bourses visant certains programmes d’étude dans les régions du Québec, à l’intention des étudiants étrangers. Afin de favoriser ses propres objectifs de lutte contre la pénurie de main-d’œuvre et de régionalisation de l’immigration, le gouvernement Legault a ciblé cinq domaines d’études prioritaires : technologies de l’information, génie, santé et services sociaux, éducation, services de garde éducatifs à l’enfance. source et suite : https://www.ledroit.com/actualites/le-fil-des-coops/2023/06/19/des-bourses-dans-les-cegeps-pourraient-nuire-a-la-reputation-du-quebec-a-letranger-MZNE6AU5J5D2NO5RTAHSWZND34/
  9. 12 juin 2023 Par Sylvio Morin, Chef des nouvelles Installée en Beauce depuis l'automne 2019, une famille française fait face à l'expulsion du pays en raison du non-respect des délais d'expiration des permis de travail. En effet, Céline Bernard et Xavier Rose, ainsi que leurs deux enfants, Chéa, 16 ans, et Mathis, 10 ans, ont reçu le 10 mai dernier une sommation de «quitter immédiatement» le territoire canadien de la part d'Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC), qui a refusé le renouvellement du permis de travail. «On est pas venu ici juste pour faire un passage, notre but c'est de devenir citoyens canadiens (...) Mes enfants, ça fait quatre ans qu'ils sont ici, ils ont pas envie de repartir. Ils se sont bien adaptés à la vie nord-américaine. Ils vont à l'école ici, ils se sont faits des amis », a fait savoir Céline Bernard, rencontrée samedi matin par EnBeauce.com, dans son restaurant de Saint-Côme-Linière, dont elle est propriétaire. Elle a dû fermer son établissement le 21 mai, en raison de l'avis d'expulsion, mettant à pied du même coup sept employés. Chronologie des événements C'est en septembre 2019 que Xavier Rose est arrivé dans la région pour entreprendre un emploi de camionneur, son métier, avec un transporteur de Saint-Côme. Sa femme et ses deux enfants sont venus le rejoindre le mois suivant, avec un visa touristique, valable pour 90 jours. M, Rose a débuté officiellement son emploi en janvier 2020, ayant obtenu son permis de travail. Ce faisant, le visa touristique de Céline Bernard est devenu un permis de visiteur accompagnatrice. Puis, la pandémie de COVID-19 est arrivée en mars 2020. Parmi les nombreuses mesures adoptées par les gouvernements pour faire face à la crise, celui de l'arrêt du camionnage trans-frontalier. suite et source: https://www.enbeauce.com/actualites/societe/488779/une-famille-francaise-en-voie-dexpulsion-du-canada
  10. Le Canada ajoute 13 pays au programme d’autorisation de voyage électronique (AVE) : Antigua-et-Barbuda Argentine Costa Rica Maroc Panama Philippines Saint-Kitts-et-Nevis Sainte-Lucie Saint-Vincent-et-les Grenadines Seychelles Thaïlande Trinité-et-Tobago Uruguay source: https://www.canada.ca/fr/immigration-refugies-citoyennete/services/visiter-canada/ave.html?utm_source=SocialMedia&utm_medium=Twitter&utm_campaign=eta
  11. (Ottawa) Permettre aux nouveaux Canadiens de prêter le serment de citoyenneté en cliquant une case sur l’internet est loin de faire l’unanimité au sein de la population du pays. Mis à jour hier à 13h35 LAURA OSMANLA PRESSE CANADIENNE Pour certains, c’est une affreuse idée qui dénature tout le processus, mais pour d’autres, il s’agit d’une mesure d’avant-garde qui facilitera la vie des nouveaux venus. Le gouvernement fédéral a reçu plusieurs centaines de commentaires au cours des derniers mois après avoir demandé l’opinion de la population. Selon le ministre de l’Immigration, Sean Fraser, qui avait lancé l’idée en 2022, c’est une façon de réduire la liste d’attente de ceux qui veulent prêter serment et devenir officiellement des Canadiens. Près de 700 commentaires ont été reçus depuis février. Les commentaires ont été publiés en ligne, mais les noms des auteurs ont été retirés. Certains croient que la solution d’un serment numérique pourrait donner plus de flexibilité, notamment aux immigrants qui s’installent dans des régions éloignées ou à ceux qui ne peuvent pas prendre congé pour le faire. « C’est une idée progressiste et visionnaire. Une telle mesure est vraiment louable. Elle devrait être mise en place dès que cela sera possible, écrit un partisan. Cela permettrait d’augmenter le taux d’obtention de la citoyenneté, notamment au sein des communautés autochtones et des minorités racialisées. Ces gens qui n’ont pas des revenus élevés ont moins de flexibilité lorsque vient le temps de mettre à leur agenda une cérémonie de prestation de serment traditionnelle. » Mais certains craignent que de permettre aux gens de se soustraire à la cérémonie de citoyenneté risque de dévaloriser une longue tradition. La mesure déprécierait la valeur de la citoyenneté canadienne. « C’est une HORRIBLE idée !, s’est exclamé un citoyen. Cette proposition transformera l’un des gestes les plus significatifs qu’un individu peut faire dans sa vie en l’équivalent d’une commande pour des sous-vêtements sur Amazon. » suite et source: https://www.lapresse.ca/actualites/national/2023-06-04/le-serment-de-citoyennete-en-ligne-ne-fait-pas-l-unanimite.php?
  12. Merci Ebsline pour le beau rappel de tes dessins à propos d'immigrer, on va ajouter cela dans le bilan qu'on va mettre dans les prochaines minutes. Bonne suite à toi!!
  13. Quelques liens : https://www.solidaritelesbienne.qc.ca/demande-dasile-et-refugie·e·s-lgbtq/ https://etablissement.org/ontario/immigration-et-citoyennete/refugies/refugies/puis-je-demander-le-statut-de-refugie-si-je-suis-lgbtqia/
  14. Bonjour Ebsline, Toutes mes condoléances pour cette grande perte. Je me souviens bien de toi. Merci encore de ce beau bilan que nous allons partager sous peu avec toutes la communauté. Au plaisir
  15. Des nouvelles du gouvernement fédéral pour le parrainage : https://www.immigrer.com/la-reunification-familiale-acceleree-au-canada/
  16. Un lien qui pourrait peut-être vous aider : https://www.immigrer.com/tag/reconnaissance/
  17. Des étudiants ne pourront pas étudier à Rimouski, faute de logements: du «jamais-vu» pour l'université Le taux d'inoccupation de la municipalité est d'à peine 0,4% CLARA LOISEAU Mardi, 23 mai 2023 00:00MISE À JOUR Mardi, 23 mai 2023 00:00 La crise du logement est telle à Rimouski que des centaines d’étudiants ne pourront venir suivre leurs cours universitaires à la rentrée 2023, faute de logements disponibles. «On a des étudiants qui ont des admissions en bonne et due forme, qui ont fait des démarches financières et de permis d’études pendant des mois, mais lorsqu’ils nous disent qu’ils n’ont pas de logement, on leur conseille de ne pas venir», alarme Jean-François Ouellet, directeur des Services à la communauté étudiante de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR). source et suite: https://www.journaldequebec.com/2023/05/23/des-etudiants-ne-pourront-pas-etudier-a-rimouski-faute-de-logement--du--jamais-vu--pour-luniversite
  18. immigrer.com

    Permis d'étude (AEC)

    L'Attestation d'étude collégiale (AEC) est au niveau collégiale donc au niveau du CEGEP. Il s'agit d'une formation technique au CEGEP donc "CEGEP-Tehcnique".
  19. Olivier Chicheportiche Le 18/05/2023 à 7:08 Le pactole peut s'élever à 20.000 dollars canadiens (13.700 euros) pour un cursus de 4 ans. Evidemment, toutes les filières ne sont pas concernées. Comment inciter les étudiants à rejoindre les filières en pénurie de main d'oeuvre et les inciter à boucler leurs cursus? Pour le gouvernement de la province du Québec au Canada, la réponse est simple: en les rémunérant. Ainsi, "les bourses Perspective Québec" lancées à la rentrée 2022 permettent aux élèves des collèges d’enseignement technique de toucher 3000 dollars canadiens (2055 euros) par an pendant 3 ans et aux étudiants des universités de percevoir entre 15.000 (10.300 euros) et 20.000 dollars (13.700 euros) pour un cursus de trois ou quatre ans, relaie Le Figaro. L'informatique mais aussi la sexologie Evidemment, toutes les filières ne sont pas concernées puisqu'il s'agit bien d'inciter les jeunes québécois à rejoindre des formations pour des métiers en tension dans une région où le chômage est désormais sous les 2%. Il s'agit pour le ministère de l'Education "d'augmenter le nombre de personnes qualifiées dans des services publics essentiels ou dans des domaines stratégiques où il y a une rareté de main-d’œuvre". Une trentaine de métiers est concernée. Sont visés les étudiants en technologies de l’information, génie logiciel, informatique, enseignement, mais aussi... en sexologie. source: https://www.bfmtv.com/economie/international/au-quebec-le-gouvernement-paye-les-etudiants-pour-etudier_AV-202305180069.html Également : https://www.lefigaro.fr/conjoncture/au-quebec-les-etudiants-sont-payes-pour-etudier-20230517#:~:text=Le Québec sort son carnet,de dollars de leur gouvernement. https://lactualite.com/finances-personnelles/etre-paye-pour-etudier-cest-possible/
  20. La Presse canadienne 19 mai 2023 Le moteur de recherche Google fait un clin d'oeil au Québec vendredi en affichant dans sa page de présentation une illustration d’un plat de poutine, accompagnée de la mention «Célébrons la poutine». Le dessin représente la poutine dans sa forme la plus traditionnelle, celle composée de trois ingrédients: des frites, du fromage en grains et de la sauce brune. Le plat qui tire son origine du Québec offre tout de même depuis plusieurs années une multitude de variétés, par exemple avec de la viande hachée, des saucisses diverses, de la viande fumée, du chou et des légumes rôtis, ou avec une sauce bolognaise qui remplace la sauce brune. Les origines exactes de la poutine restent floues, mais elle semble avoir été introduite il y a 60 ou 70 ans dans des restaurants de la région Centre-du-Québec. Depuis cette époque, le plat riche en calories n’a cessé de prendre dans toutes les régions du Québec une popularité qui a largement franchi les frontières depuis quelques décennies. source: https://www.noovo.info/nouvelle/le-moteur-de-recherche-google-rend-hommage-a-la-poutine.html
  21. Commentaires La Presse canadienne Publié à 6 h 57 De nombreux étudiants étrangers acceptés par une université québécoise sont refoulés par le fédéral, qui doute que ces candidats retournent dans leur pays d'origine à la fin de leurs études. Ces décisions sont incohérentes avec les objectifs gouvernementaux, déplore l'Institut du Québec (IDQ). On voit que près de la moitié des candidats qui sont admis par des universités québécoises et qui respectent toutes les conditions du Québec se voient quand même refuser le permis d'études qui leur permettrait de séjourner au pays, constate la directrice générale de l'IDQ, Emna Braham. Le taux de refus est particulièrement élevé pour les candidats africains et ceux-ci sont plus nombreux à postuler au Québec. Le fédéral a refusé près de 72 % des candidats africains acceptés dans une université québécoise en 2022. Le groupe de réflexion a demandé à Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) quelles étaient les raisons de ces refus. La faible probabilité de retour dans le pays d'origine était la principale raison évoquée. Ces motifs sont incohérents avec la stratégie du fédéral et du Québec, déplore Mme Braham. C'est un critère qui n'a plus sa raison d'être, tout simplement alors que le gouvernement du Québec comme celui du Canada investissent dans des offensives de promotion pour retenir les étudiants étrangers, notamment dans les régions. En effet, les étudiants étrangers sont perçus comme des candidats de choix à l'immigration, car ils ont déjà une expérience canadienne. Ils ont vécu au Québec, ils ont commencé à créer un réseau, ils ont une formation qui répond aux exigences des employeurs québécois. Près de la moitié (44 %) travaillent également durant leurs études, une contribution économique à ne pas négliger dans un contexte de rareté de la main-d'œuvre, souligne le rapport. Les gouvernements auraient intérêt à clarifier leurs objectifs par rapport à l'éducation internationale. Il y a vraiment un besoin de clarifier les objectifs et de mettre en place des procédures qui vont s'assurer que la main droite parle à la main gauche. source: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1980480/etudiants-etrangers-etude-idq
  22. https://www.immigrer.com/mes-demarches-en-tant-pharmacien-francais-en-route-vers-le-quebec/
  23. Heureusement c'est maintenant réglé. Immigration Québec est entré en contact avec eux.
  24. La publication de la nouvelle sur cette erreur semble avoir fait avancé le dossier.
  25. Romain Schué Publié à 4 h 00 Lorsqu'il a trouvé, il y a quelques semaines, dans sa boîte aux lettres, un courrier d’Immigration Canada, Raphaël Di Filippo avait un large sourire. Pour cet immigrant belge, c’était vraisemblablement la fin d’un interminable processus qui a débuté il y a plus de trois ans. Mais en l'ouvrant, sa joie a vite disparu, laissant place à la surprise, puis à l’incompréhension. Et à la colère. Sa carte de résident permanent, glissée dans la correspondance, comportait une erreur majeure. La photo d’une inconnue y apparaissait en lieu et place de celle de ce jeune homme de 30 ans. C’était un choc. C’est complètement fou et c’est dingue que personne n’ait remarqué l’erreur, déplore ce résident de St-Hubert, sur la Rive-Sud de Montréal. Ce problème n’est pas sans conséquence pour ce père d’une fillette de sept mois, qui avait fait sa demande de résidence permanente en 2019. Impossible, par exemple, de prendre l’avion pour présenter son enfant à sa famille européenne, puisqu’une carte valide est obligatoire pour revenir au Canada. Je pensais que tout était enfin réglé. Malgré les délais, je n’ai pas abandonné. Mais maintenant, la galère continue. Je ne sais toujours pas lorsque je vais à nouveau pouvoir voyager, soupire-t-il. Depuis un mois, ce superviseur de ski au Mont-Saint-Bruno tente donc désespérément de joindre Immigration Canada. En vain. J’ai rempli un formulaire, j’ai tenté d’appeler à plusieurs reprises, mais je n’ai aucune réponse. C’est le néant. Plus le temps avance, plus c’est stressant. C’est comme si ma vie est encore sur pause, déplore-t-il. Deux erreurs et trois cartes nécessaires Obtenir cette carte est la dernière étape d’un processus fastidieux pour ceux et celles qui veulent s’établir de manière permanente au Canada. Les résidents du Québec doivent au préalable demander un certificat de sélection du Québec, avant de compléter le processus au niveau fédéral. suite et source: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1976417/immigration-residence-permanente-canada-quebec-carte
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