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Tout ce qui a été posté par immigrer.com
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Avec un taux de chômage historiquement bas et 10 000 emplois disponibles dans la région, les agences de placement croulent sous les demandes d’employeurs, qui ne savent plus comment dénicher des candidats. La pénurie de main-d’œuvre est encore plus importante que ce que «Le Journal de Québec» rapportait lundi en faisant étant de plus de 6300 postes à pourvoir dans la région, selon Jobillico. Selon les chiffres d’Emploi-Québec obtenus par «Le Journal», les sites de placement en ligne pour les régions de la Capitale-Nationale et de Chaudière-Appalaches affichaient respectivement 6600 et 3400 offres d’emploi, en date du 12 octobre. Cette pénurie historique de main-d’œuvre chamboule le marché de l’emploi à Québec. Selon plusieurs experts en recrutement interrogés par «Le Journal», les employeurs doivent maintenant prévoir l’embauche d’employés, des mois à l’avance. «La plupart des entreprises attendent d’avoir les deux gros orteils dans le précipice avant d’agir. Il faut les éduquer à la rareté de la main-d’œuvre», mentionne Marcel Bérubé, président de l’agence de placement, Groupe Perspective. Source
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DEUX GARS, LE YUKON ET TOUT CE QUI VIENT AVEC!
immigrer.com a posté un sujet dans Yukon et Grand nord
DEUX GARS, LE YUKON ET TOUT CE QUI VIENT AVEC! Il y a de ceux qui sont bien dans leur confort, et ceux qui ont soif d’aventure, de découverte. On est Alex et Francis, deux gars de Montréal avec un projet pas comme les autres. On voulait vivre quelque chose de différent, quelque chose qui nous ferait sortir des sentiers battus. Qu’est-ce qu’on fait quand on a cette envie d’ailleurs, de découvrir la nature? La réponse : on transforme un Honda Element en camper et on prend la direction du Yukon pour explorer, camper et se remplir la tête des plus beaux paysages du Canada. Pourquoi le Yukon vous me direz? Pour chasser les aurores boréales et découvrir ce coin de pays méconnus, pour s’isoler et expérimenter le froid arctique. LE DÉPART DE MONTRÉAL! On est le 21 janvier et il neige dehors, la plupart des gens sont pris dans le trafic et démoralisent parce que l’hiver fait juste commencer. Nous, c’est sur la fameuse Alaskan Highway qu’on conduit, la route du Nord canadien. Pas en direction du chaud étonnamment, mais en direction du froid, encore plus froid. Le genre de température qui fait geler nos sandwichs et disparaître toute forme de vie. En plus, il n’y a que 6 heures de soleil par jour pour essayer de réchauffer nos petits pieds. Par contre, il y a de la nature à l’infini, des routes désertes à couper le souffle et un retour aux sources enrichissant. C’est pour ça qu’on est ici au fond, pour être éblouis, pour découvrir et profiter du moment présent. LA TRAVERSÉE DU PARC TOMBSTONE! Le légendaire parc de Tombstone, à environ 8 heures de Whitehorse, nous aura pris 12 heures de route et coûté 8 crevaisons, mais il nous en faut plus que ça pour perdre le moral. Ça fait 2 jours qu’on prépare une excursion et il y a de la fébrilité dans l’air. On quitte notre camper, raquettes aux pieds et sacs à dos remplis, un itinéraire de 3 jours à travers la neige, le froid et le silence. -
Alliance Québec-France contre les Booking.com et autres Expedia.ca Agrandir La présidente de l'Association des hôteliers de la région de Québec, Michelle Doré, est actuellement en Europe pour discuter avec les dirigeants de Fairbooking. PHOTOTHÈQUE LE SOLEIL, PASCAL RATTHÉ JEAN-MICHEL GENOIS GAGNON Le Soleil (Québec) L'Association des hôteliers de la région de Québec (AHRQ) s'allie avec le regroupement français Fairbooking dans sa croisade pour diminuer l'influence des compagnies de réservation en ligne, notamment Booking.com et Expedia, a appris Le Soleil. «C'est la force du nombre, c'est gros. C'est la première fois qu'il y a une telle réunion entre hôteliers indépendants», affirme d'entrée de jeu la présidente de AHRQ, Michelle Doré, qui s'est envolée samedi soir pour l'Europe afin de discuter durant trois jours de pistes de solution pour diminuer l'influence des OTA [Online Traveler Agency]. Un accord devrait être conclu entre les deux associations au cours des prochains jours. «Fairbooking travaille d'arrache-pied depuis plusieurs années pour essayer de voir ce qu'il peut faire pour les hôteliers indépendants. Et la seule façon qu'on peut ébranler [les compagnies de réservation en ligne], c'est en étant une force», insiste-t-elle. L'objectif d'un tel partenariat intercontinental est d'offrir une plateforme Web unique «écoresponsable». Cette dernière est déjà bien implantée en France, avec Fairbooking.com. Le concept est le même que celui de Booking.com et Expedia. Toutefois, les réservations se font directement avec l'établissement hôtelier, donc plus d'intermédiaire et de commissions versées par nuitée aux compagnies de réservation en ligne. Le site est financé grâce aux adhésions annuelles de chaque professionnel, qui varie de 230 $ à 615 $, selon la taille des établissements. «On veut comprendre le mécanisme de leurs clients. On veut aussi voir quels sont les attraits. Comment on pourrait faire de la publicité en commun? La France et le Québec peuvent facilement s'allier», explique la femme d'affaires, propriétaire de trois établissements hôteliers du Vieux-Québec, soit l'Hôtel Champlain, l'Auberge Place d'Armes et l'Hôtel Jardin Sainte-Anne. «C'est certain qu'on va être tout petit pour l'instant. Mais si tout le monde s'entraide, un jour, cela peut avoir un impact sur le Net». Pour l'heure, le regroupement Fairbooking compte près de 2500 hébergements adhérents et possède des tentacules dans 36 pays à travers le monde. L'AHRQ compte quant à elle 111 membres. Et sa présidente, Mme Doré, a bien d'autres projets dans ses cartons et espère même un jour voir naître une «alliance internationale des hôteliers indépendants». Des prises de contact ont d'ailleurs déjà été faites avec certaines associations hôtelières aux États-Unis. Conseil d'administration En plus de conclure une entente, Mme Doré siégera aussi dorénavant sur le conseil d'administration de Fairbooking, composé d'une dizaine de propriétaires d'hôtel. L'annonce devrait se faire jeudi lors de l'assemblée générale annuelle de l'association. «Ça fait deux ans que je réfléchis et me demande où on va avec ça», affirme celle qui est en poste à Québec depuis 2013. «Et plus j'avance, plus je me dis qu'on n'a pas le choix de passer par là. Si on se parle et on s'unit tous, un jour, on va pouvoir faire quelque chose. «L'Association canadienne de l'hôtellerie regarde présentement ce qui se passe et ils ont mis sur pied un comité pour discuter des OTA. La seule façon d'avoir un impact, c'est de faire des alliances stratégiques», estime-t-elle. Du côté de Fairbooking, on se réjouit d'un partenariat avec le Québec. «On a vraiment envie que chaque pays, sous les couleurs de Fairbooking, prenne en main les discours auprès des hôteliers. L'internaute, lorsqu'il recherche un hôtel, il a maintenant le choix de le faire avec Booking ou en écoresponsabilité chez Fairbooking. Nous voulons créer une plateforme mondiale de réservation en direct, l'anti-Booking», stipule son directeur Laurent Bougras. «Nous avons décidé de prendre le taureau par les cornes et on est persuadé qu'il y a quelque chose à faire des deux côtés de l'Atlantique sur la réservation en direct.» suite et source: http://www.lapresse.ca/le-soleil/affaires/actualite-economique/201601/31/01-4945725-alliance-quebec-france-contre-les-bookingcom-et-autres-expediaca.php
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Depuis que j'habite ici, on me demande souvent : Pourquoi le Yukon? On le demande avec une curiosité empreinte d'une espèce de fascination... C'est une question simple, à laquelle j'ai pourtant bien de la difficulté à répondre. C'est vrai, pourquoi avoir choisi un endroit si loin, où les gens et les divertissements sont si peu nombreux? En attendant d'arriver à formuler une réponse satisfaisante, j'ai décidé de tenter une explication, en photos, car une image vaut mille mots. Pourquoi le Yukon, donc? Juste parce que.. 1. Personne ne va te juger si tu n’as pas de douche chez toi.www.layukonnaise.com 2. Par contre si tu ne campes pas, tu es bizarre.www.layukonnaise.com 3. Les paysages comme celui-ci sont chose courante.www.layukonnaise.com 4. Le parc national Kluane (c’est une raison à lui seul).www.layukonnaise.com 5. Je peux voir les aurores boréales de mon perron.www.layukonnaise.com 6. L’hiver, c’est fait pour jouer (pas pour chialer).suite et source
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Le « date » à l'américaine, un jeu de l'amour, pas du hasard Anna Rios-Bordes | Journaliste Capture d’écran de « Manhattan » de Woody Allen, 1979 (United Artists) Avant de se mettre réellement en couple, les Américains prennent toutes sortes de précautions en se prêtant au jeu codifié du « date ». Cérémonial basé autour de la rencontre amoureuse, le date ne laisse pas beaucoup de place à la magie. Vingt praticiens du genre nous ont enseigné comment sortir – à peu près – indemne de ce parcours du combattant. La rencontre, cette équation mathématique Pour la New-Yorkaise Katherine Vucelic, 23 ans, la règle primordiale du date est purement mathématique : il faut doubler le temps d’attente imposé par son partenaire. « Si un mec met trois heures à répondre à mon texto, j’attends six heures avant de répondre au sien. » Ce type de commandements amoureux est courant aux Etats-Unis. Le jeu de séduction y est une véritable stratégie de guerre qui mettrait à plat n’importe quel Européen candide venu, la fleur au fusil, flâner au pays du pragmatisme sentimental. A l’autre bout du continent (Los Angeles), Sara Forrest est une avocate de 30 ans qui systématise également le calcul amoureux : Chaque Américain a un avis sur comment optimiser ses chances de conquête durant la bataille. Le déroulé des manœuvres est fixé à l’avance et ne laisse pas de place à l’improvisation. « L’amour est un jeu de correspondance : si un homme t’écrit deux lignes dans un e-mail, réponds deux lignes dans ton e-mail. Il ne faut pas donner plus qu’il ne donne. » Le parcours ultra-balisé des « dates » Après s’être rencontrés, plu et avoir échangé leur numéro de téléphone, un homme et une femme décident de boire un verre (le premier date). Si les attentes intellectuelles des deux parties se répondent, un baiser est échangé sur le perron d’une porte. Le texto proposant un deuxième rendez-vous, trois jours après le premier verre, vient entériner la réciprocité de l’attirance. Tout aussi formel que le premier rendez-vous, le deuxième date est cependant plus engageant. Les retrouvailles ont lieu autour d’un repas, format de socialisation qui permet de s’enquérir plus précisément du passé de l’autre, de son milieu. Le troisième date implique généralement un cinéma, occasion rêvée pour faire passer au sondé le petit quiz des références culturelles. Pour 80% des personnes interrogées, c’est le quatrième date qui sonne l’heure du passage au lit. Si cette étape, ô combien stratégique, est satisfaisante pour les deux parties, les dates s’enchaîneront au rythme de deux fois par semaine. Avec une légère variation dans les thèmes : les plus classiques iront à la patinoire et au bowling, les plus impétueux s’envoleront pour un week-end test dans le Vermont. (Voir un extrait de « Crazy night » – un date dans un restaurant) Le sésame de l’exclusivité Il faut laisser au moins quatre mois à la relation avant de se déclarer officiellement « boyfriend and girlfriend ». Ce nouveau statut s’accompagne de la fameuse discussion sur l’exclusivité : la question « sommes-nous dorénavant exclusifs ? » met un terme à la possibilité de sortir avec plusieurs personnes à la fois. La polygamie, visiblement inscrite dans la Convention du date, est donc étonnamment autorisée aux Etats-Unis : elle ne constitue pas, tant qu’elle est temporaire et justifiée par la sainte volonté de trouver le bon poulain, une faute morale. C’est à ce moment-là que notre jeune Européen rêveur se ratatine en comprenant qu’il porte rétrospectivement des cornes depuis douze semaines. En comprenant également que l’ultime récompense du date, après un combat proche du darwinisme, est la seule promesse d’une fidélité biblique. Le « je t’aime » ? Pas avant six mois de relation Et quand est-ce qu’on se dit « je t’aime » dans tout ça ? Il doit bien y avoir une Déclaration des droits des sentiments ? Mia Bruno, productrice indépendante de 27 ans originaire du New Jersey, demande : Les règles basiques de la rencontre amoureuse font consensus. Les rares Américains qui y dérogent sont un peu plus nombreux à New York et San Francisco (villes cosmopolites) et le font par opposition à un phénomène si établi culturellement que cela ne relève pas vraiment du libre arbitre. « Vous voulez-dire quand est-ce qu’on se met vraiment à nu ? En principe, on ne dit pas “je t’aime” avant six mois, sinon on perd tout le pouvoir. » Ne pas suivre les règles, c’est les suivre quand même James Moore, conseiller financier de 27 ans et originaire du Maine, surprend les femmes qu’il courtise en les emmenant dès le premier date pique-niquer près d’une rivière. Sauf pour le passage à l’acte, où le réflexe du code resurgit complètement : « Je date à l’européenne, je suis spontané. » Evan McGrath, 24 ans et originaire de la très latino ville de Miami, prétend aussi échapper aux règles réductrices du date : « Jamais le premier soir. Si tu raccompagnes une fille en bas de chez elle et que tu veux lui signifier qu’elle te plaît vraiment, tu t’en vas direct. » Drôle de façon de renverser l’étiquette. Paradoxe fâcheux, ces conventions fixes du date sèment le trouble plus qu’elles n’éclairent. L’interprétation des signaux est infinie et souvent vaine. « Je n’ai pas de ligne de conduite. Je ne vais simplement jamais au restaurant pour un premier date. Si elle est chiante, t’es foutu, coincé pour quatre heures. Le mieux, c’est un café. » On entend, dans les bars de la Big Apple (symptomatique « Sex and The City“), les lamentations de sirènes aux abois du type : Ou bien : ‘Il ne m’a pas embrassée lors du premier date, mais m’a quand même proposé de le revoir, je lui plais ou pas ?’ Des célibataires épuisés par une “spéculation permanente” Nicolas Quenouille, expatrié français de 27 ans établi à New York depuis deux ans, trouve cet exercice accablant : Pour Mia Bruno, qui a passé une année à Paris, l’absence de règles en France en devient rafraîchissante : “ Le date est une spéculation permanente, c’est absolument épuisant. ” Le romantisme américain se situe dans le prolongement du mystère de l’autre, dans la découverte parcimonieuse de ses hobbies, de ses secrets livrés au compte-gouttes. En ce sens, il est un romantisme délicat, consciencieux et continu. “ Les Français sont moins énigmatiques, ils disent ce qu’ils veulent, ils s’accordent la liberté d’aimer spontanément. ” Le romantisme français, plus flambant, prône la surenchère dans la découverte de l’autre, l’escalade des sentiments. En France, la transgression des règles, l’abandon, l’urgence à se posséder, sont perçus comme des signes positifs d’intérêt mutuel. Cette attitude gourmande donnerait le vertige à n’importe quelle Américaine. L’amour à l’américaine vs l’amour à la française Laura Sparrow, scénariste de 34 ans établie à Los Angeles, a daté un Français enjôleur : Nourris au biberon du romantisme, les Français donnent aux Américains l’impression de mimer la passion, par “amour de l’amour”. Jamie Hook, réalisateur de 42 ans et originaire de Seattle, rappelle que les Français se familiarisent tôt avec le libertinage : “ Il était trop intense, j’avais l’impression qu’il se foutait de ma gueule, qu’il avait chanté la même chanson à mille autres filles. Son empressement n’était pas le fruit de la passion mais un moyen d’arriver à ses fins. Et puis cette manie d’appeler à 2 heures du matin... ” suite et source : http://rue89.nouvelobs.com/rue69/2011/05/05/le-date-a-lamericaine-un-jeu-de-lamour-pas-du-hasard-202611
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Les nouvelles technologies au service des universités québecoises
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Les formations universitaires les plus prometteuses
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Actuariat (mathématiques actuarielles) 2,0% Adaptation scolaire (orthopédagogie) 2,1% Administration des affaires 4,4% Architecture 2,9% Audiologie 0,0% Chiropratique 0,0% Comptabilité et sciences comptables 3,7% Criminologie 0,0% Ergothérapie 0,0% Formation des enseignants au préscolaire et au primaire 2,3% Formation des enseignants au secondaire 3,0% Formation des enseignants spécialistes au primaire et au secondaire 1,9% Génie civil 0,7% Génie de la construction 0,7% Génie des technologies de l’information 3,5% Génie géomatique 0,0% Génie industriel 5,6% Génie informatique 2,6% Génie logiciel 3,5% Génie mécanique 4,4% Génie minier 0,0% Gestion des ressources humaines 8,1% Géomatique appliquée à l’environnement n.d. Médecine n.d. Médecine dentaire 0,0% Médecine vétérinaire 2,0% Nutrition et sciences de la nutrition 2.5% Optométrie 0,0% Orientation, information scolaire et professionnelle 2,5% Orthophonie 0,0% Pharmacie 0,5% Physiothérapie 0,0% Pratique sage-femme 0,0% Psychoéducation 0,0% Relations industrielles 4,6% Sciences de l'informatique 2,3% Sciences et technologie des aliments 4,0% Sciences géomatiques 0,0% Sciences infirmières 0,5% Service social 1,8% Traduction 1,8% -
source : http://canadakeepexploring.tumblr.com/post/41900868536/top-20-instagram-photos-of-canada-shared-with
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Alors que le Canada et le Québec courtisent des individus et des familles à travers le monde, de toutes éthnies et de toutes religions confondues, doit-on encore fêter Noël comme nous le faisons actuellement sachant que cela constitue un "irritant" dans une certaine mesure pour les communautés éthiques de plus en plus présentes ici ?