Exemption méconnue pour les travailleurs étrangers francophones hors Q
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By mcbeach1
Bonjour à tous, J'espère que je poste au bon endroit. Cela fait 1an et demi que je suis à Montréal. J’ai eu la chance de trouver un travail avant d’arriver du coup j’ai pu travailler les 12 mois requis pour déposer la demande de résidence permanente. J’en ai également profité pour acheter mon premier appartement même si je ne connais pas encore les possibilités de Visa. Je me suis dit que ce sera au pire un investissement que je revendrais plus tard. Pour ce que cela intéresse, j’ai fait une vidéo ou je raconte comment j’ai réussi à acheter mon premier appartement au CANADA ici https://www.youtube.com/watch?v=Efm4nbbjZcA Mon permis de travail arrivant bientôt à expiration, j’envisage de le transformer en Visa touriste mais je pose ces questions: Est-ce que je conserve quand même la possibilité de rechercher un emploi et travailler pour n’importe quel employeur étant détenteur du CSQ? Puis je quitter le pays pour voyager un peu et revenir plus tard? Merci pour vos réponses. -
By Nakoya
Bonjour,
J'ai une question sur le PEQ travailleur
Quand un travailleur temporaire qui bénéficie des mesures transitoires ( anciennes règles) travail 12 des 24 derniers mois et veut appliquer au peq pour travailleur est ce que le calcul des 12mois se fera selon le nombre de semaines travaillées durant les 24 mois ou selon le nombre d'heures ?
Exemple : je travail trois mois en continu et durant le quatrième mois je travail 3 semaines à temps plein et pendant la 4 ème semaine je travaille 15 heures ( temps partiel) est ce que ces trois semaines à temps plein seront prises en considération dans le calcul ?
Merci
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By Ryouman
Bonjour,
Dans l'optique de collecter les statistiques des délais d'attentes des parrainages Époux/Conjoint de fait 2019 pour les demandeurs francophones (ce qui permettra une meilleure visualisation de l'évolution de nos demandes) J'ai adapté un Google Sheet, utilisé par la partie anglophone, pour les spécificités des demandes francophones ( Traduction + CSQ ) j'ai tâché de le simplifier au plus possible ( parrainages extérieurs + intérieurs sur les mêmes feuilles, pas de graphs inutiles, etc ) j'ai ajouté un code couleur plus lisible ( couleurs correspondant aux différentes étapes du processus de traitement de la demande).
Ce genre de tableau prend tout son sens si on est plusieurs à le mettre à jour régulièrement avec nos statistiques, je vous invite donc à commencer à inscrire vos stats de façon à savoir où vous en êtes par rapport au autres qui ont déposé au même moment que vous.
PS: J'ai utilisé quelques exemples de stats sur les mois de : Juillet, Août, Sept, Oct. Stats partager sur le forum par les utilisateurs suivant : @Mike-A , @2012Quebec , @Diamondshine , @medhunter1 , et moi même.
Lien Google Sheet :
https://docs.google.com/spreadsheets/d/1sFqbYti1AD2VJKcDdnuu28_Kmgu5-W6_zb1GcNud_XA/edit?usp=sharing
Merci.
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By kabi
Voici un sujet intéressant pour les francophones de l'Alberta.
Y a-t-il des forumistes de cette provinces qui peut y ajouter sa touche personnelle au sujet?
Bonne lecture
La foire de l'emploi pour francophones fait courir les foules à Edmonton
PUBLIÉ LE MERCREDI 8 NOVEMBRE 2017 À 20 H 31MIS À JOUR LE 8 NOVEMBRE 2017 À 21 H 01 La Cité francophone d'Edmonton a accueilli une trentaine d'entreprises de la région à l'occasion d'une foire d'emploi. Photo : Radio-Canada
Pour une deuxième fois cette année, des centaines de chercheurs d'emploi se sont bousculés aux portes de la Cité francophone à Edmonton, mercredi, pour rencontrer les représentants d'une trentaine d'entreprises de la région. Un texte de Vanessa Destiné
La foire, organisée par Accès Emploi, a permis de réunir des entreprises de plusieurs secteurs, dont ceux de la construction, de l'hôtellerie et des services de soutien communautaire. L'objectif principal est d'aider les francophones à mieux connaître les possibilités d'emploi dans un milieu majoritairement anglophone.
Pour Robert Delplanque, agent de développement à Accès Emploi, la foire est incontournable pour les gens qui sont en recherche active. « C'est l'occasion de prendre le pouls du marché du travail alors que le taux de chômage poursuit sa baisse en Alberta », souligne-t-il.
« Les têtes de l'emploi »
Le rendez-vous automnal attire en moyenne 500 personnes dans les bureaux de la Cité francophone et celui de lundi n'a pas déçu. Les organisateurs font état de 400 visiteurs pour ce nouvel événement. Étudiants, « expats », unilingues francophones ou anglophones, les profils de ces chercheurs d’emplois ont beau être variés, leurs espoirs sont les mêmes.
En voici quelques-uns.
Chance Mugaruka Photo : Radio-Canada/Vanessa Destiné
Chance Mugaruka
Chance Mugaruka travaille actuellement comme réceptionniste dans un hôtel d’Edmonton, mais rêve de retourner aux études. La jeune femme aimerait bien étudier en droit. « Je crois que je vais aller en travail social », confie-t-elle toutefois, en évoquant les limitations imposées par son diplôme d’études secondaires.
Elle est venue à la foire dans l’espoir de décrocher un petit boulot de soir qui pourra l’aider à subvenir à ses besoins, sans trop nuire à un horaire scolaire.
« Il y a toujours des hauts et des bas. Il faut beaucoup de courage. Alors moi, je le suis, courageuse. En plus de ça, je suis chrétienne, j’ai la foi, je sais que ça venir. »
Lucie St-Amand Photo : Radio-Canada/Vanessa Destiné
Lucie St-Amand
Lucie St-Amand est sans emploi stable. Elle cherche un travail dans son domaine depuis plusieurs années en Alberta. La Néo-Brunswickoise d’origine souhaite trouver un travail dans le domaine de la santé ou en milieu de garde, dans l’esprit de ses études de préposée aux bénéficiaires.
En attendant, elle garde des enfants pour arrondir ses fins de mois.
« Je trouve qu’il y a beaucoup de compétition, il y a toujours quelqu’un de meilleur que toi. Dans ma tête, je sais que je peux faire le travail, mais quand j’arrive en entrevue, je suis nerveuse. [Les foires d’emploi permettent] de parler avec le monde, poser des questions […] c’est plus relax. »
Abin Babu Photo : Radio-Canada/Vanessa Destiné
Abin Babu
Abin Babu a pris la route du Canada après avoir passé la majeure partie de sa jeunesse en Inde. Il est arrivé en Alberta il y a trois semaines seulement, et depuis, il parcourt les petites annonces à la recherche d’une « jobine » qui lui permettra d’acquérir une première expérience de travail au pays, ce qui constitue souvent un prérequis pour les travailleurs immigrants qualifiés.
« C’est sûr que je cherche un emploi en lien avec ma maîtrise en ressources industrielles. Mais je peux vraiment prendre n’importe queljob, je peux travailler chez McDonald’s, s’il le faut. J’habite chez des gens de la famille et eux aussi restent à l’affût pour moi. »
Darcy Millar Photo : Radio-Canada/Vanessa Destiné
Darcy Millar
Darcy Millar aime prendre son temps. À la foire, où il s'attarde à chaque kiosque, mais aussi dans ses recherches quotidiennes. Il aimerait bien obtenir un poste dans une entreprise de construction, mais pas n'importe laquelle.
« Je cherche le bon travail depuis longtemps. Pour moi, le défi, ç'a été de trouver à l'intérieur de moi ce que je voulais vraiment faire. De toute évidence, on ne peut pas faire long feu dans un emploi si on n'aime pas ce que l'on fait. Le défi, c'est aussi de trouver des gens qui partagent nos valeurs et notre éthique de travail. Ce genre de foire, où toute l'information est disponible sur chaque entreprise immédiatement, au même endroit, ça me permet déjà d'identifier celles avec lesquelles j'ai le plus d'affinités. »
SOURCE: http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1066206/foire-emploi-cite-francophones-edmonton-job-travail
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By UBRANE
Article du 8 décembre 2016 sur BFMTV : http://bfmbusiness.bfmtv.com/monde/la-canada-recrute-des-francais-voici-les-demarches-pour-emigrer-1068010.html
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By UBRANE
source : http://quebec.huffingtonpost.ca/2016/07/02/le-quebec-peine-a-retenir-ses-immigrants-francophones_n_10782906.html
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By immigrer.com
+ de 40 emplois "à risque" avec le changement aux travailleurs étrangers Loin d’être limités aux travailleurs agricoles ou sylvicoles, les changements au Programme des travailleurs étrangers temporaires (PTET) décrétés par Ottawa vont aussi toucher plusieurs secteurs de pointe. D’ailleurs, le géant Technicolor a engagé des discussions avec le gouvernement du Québec depuis plusieurs mois pour protéger son accès à un bassin de candidats internationaux.
+ de 40 emplois "à risque" avec le changement aux travailleurs étrangers
Olivier Bourque, Argent, 27 avril 2015
Selon le registre des lobbyistes, un mandat a été accordé au cabinet de relations publiques National à la fin de l’année 2014 pour environ un an.
«La démarche vise à sensibiliser le gouvernement sur les nombreuses difficultés qu’entrainerait l’application au Québec des changements proposés par le gouvernement fédéral au PTET notamment en regard de la mobilité internationale d’un grand nombre de travailleurs spécialisés», est‐il écrit.
Technicolor possède son plus important studio d’effets spéciaux à Montréal. L’entreprise embauche plusieurs travailleurs étrangers notamment des ingénieurs et concepteurs en logiciels, des analystes et consultants informatique ou des technologues en dessins qui viennent combler la pénurie de main‐d’œuvre au Québec.
Technicolor n’était pas disponible pour commenter lundi. Mais l’entreprise française n’est pas la seule société de pointe qui pourrait souffrir du resserrement du programme. Plusieurs organisations ou entreprises se sont enregistrées au registre fédéral pour ce même enjeu, telles que IBM, Microsoft et Blackberry.
Plusieurs postes qui profitaient d’un processus simplifié ne sont plus protégés. Dans la liste de 42, on y retrouve des emplois très variés notamment en ingénierie, en technologie, en médecine ou d’autres de pharmaciens, designers graphiques ou infirmiers auxiliaires.
Non‐respect de l’entente avec Québec
Avec la réforme du PTET effectuée par Ottawa qui va entrer en vigueur le 30 avril prochain, la durée des permis et leur possibilité de renouvellement seront réduites, ce qui va forcer des travailleurs étrangers qui gagnaient leur vie ici à quitter le Québec, craint Québec.
Certains de ces emplois étaient protégés depuis la fin des années 80. Ainsi, depuis les changements au programme en 2014, le Québec avait été épargné. Selon une source consultée, on s’étonne maintenant qu’Ottawa ne respecte plus l’entente avec le Québec.
Dans le secteur des affaires, les inquiétudes aussi sont vives. La Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI) a demandé au gouvernement fédéral de repousser son échéance du 30 avril. « Cette décision unilatérale du gouvernement fédéral risque de nuire à plusieurs PME au Québec», a souligné sa vice‐ présidente Martine Hébert dans un communiqué la semaine dernière.
Pris au dépourvu par la décision d’Ottawa, Québec a déjà critiqué l’intransigeance d’Ottawa.
suite et source : http://argent.canoe.ca/nouvelles/plus-de-40-emplois-risque-avec-le-changement-aux-travailleurs-etrangers-27042015
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By UBRANE
Selon le tout dernier guide de la désignation officielle de régions en Ontario, de l'Assemblée de la francophonie, la population franco-ontarienne a augmenté de 4,9% entre 2006 et 2011.
Selon les dernières données, l’Ontario compte désormais 611 500 francophones.
Ces chiffres démontrent une augmentation de 28 805 francophones depuis le dernier recensement qui avait eu lieu en 2006. Cependant, les francophones représentent toujours 4,8% de la population ontarienne, ce qui est resté stable depuis 2006. Il s’agit de la plus importante communauté francophone en Amériques du Nord, hors Québec.
À lire plus en détails :
http://monassemblee.ca/wp-content/uploads/2015/03/guide-designation.pdf
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By immigrer.com
Embauche de travailleurs étrangers : Jason Kenney sévit
Mise à jour le vendredi 7 novembre 2014 à 6 h 49 HNE
Jason Kenney Photo : (Sean Kilpatrick / Canadian Press) Le ministre de l'Emploi, Jason Kenney, a sévi contre une compagnie établie en Alberta qui a fourni des informations « trompeuses » pour bénéficier du programme d'embauche des travailleurs étrangers.
Le gouvernement fédéral a rayé la société Noralta Lodge Ltd, qui tient un camp pour les travailleurs des sables bitumineux à Nisku, du programme pour les deux prochaines années.
Une enquête a démontré que l'employeur avait falsifié certaines demandes d'emploi pour embaucher des travailleurs étrangers en fournissant des informations « trompeuses » ou « fausses » dans certains cas.
En conséquence, le ministère a annulé 19 demandes de permis pour des travailleurs étrangers selon le réseau anglais de Radio-Canada.
« L'employeur a fourni des informations fausses, trompeuses ou inexactes dans leurs demandes. »— Site emploi et développement social Canada Pour profiter du programme, la compagnie doit d'abord prouver la nécessité d'employer des travailleurs étrangers avant des travailleurs canadiens, ce qui n'a pas été fait dans ce cas.
La compagnie est maintenant inscrite sur la « liste noire » d'Ottawa. Une courte liste qui compte actuellement cinq compagnies.
suite et source : http://ici.radio-canada.ca/regions/atlantique/2014/11/07/002-jason-kenney-embauche-travailleurs-etrangers-sanctions-noralta-lodge.shtml
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By immigrer.com
Moratoire sur les travailleurs étrangers : Québec fera pression sur Ottawa
RCQC | Par Radio-Canada.caPublication: 10/05/2014 18:13 EDT
La ministre québécoise de l'Immigration, Kathleen Weil, exercera de la pression sur son homologue fédéral afin que les restaurateurs québécois soient exclus du moratoire décrété par Ottawa sur le programme d'embauche de travailleurs étrangers temporaires.
Rappelons que le gouvernement fédéral a récemment suspendu ce programme. Ottawa a pris cette décision après que trois succursales de la bannière McDonald's de Victoria aient fait l'objet d'enquêtes en raison d'allégations selon lesquelles des employés canadiens auraient été remplacés par des travailleurs étrangers venus au pays, en vertu de ce programme.
En marge de la traditionnelle cérémonie d'accueil des nouveaux arrivants qui se déroulait samedi dans la capitale, la ministre Weil a fait savoir qu'une telle décision du gouvernement fédéral ne sera pas sans conséquence pour l'industrie de la restauration au Québec.
« Un moratoire comme ça, ça peut vraiment nous faire mal », a lancé la ministre Weil.
Cette dernière a fait savoir qu'elle rencontrera lundi le ministre fédéral de l'Immigration, Chris Alexander. La ministre québécoise de l'Immigration compte aussi avoir des discussions avec le ministre fédéral de l'Emploi, Jason Kenney.
« C'est pressant, absolument! C'est le message que je voudrais lancer. C'est de ça que je veux discuter pour qu'on puisse trouver une solution rapidement pour cet été », a dit Mme Veil.
Craintes chez les restaurateurs
Le moratoire décrété par Ottawa inquiète plusieurs restaurateurs québécois, notamment dans la capitale. Son maintien risque de causer des maux de tête aux propriétaires de restaurant. Certains d'entre eux peinent déjà à trouver des chefs cuisiniers et ils doivent souvent recruter à l'étranger.
James Monti, copropriétaire du restaurant L'Atelier sur la Grande Allée, raconte que les deux cuisiniers qu'il avait recrutés en France ne peuvent plus venir lui prêter main-forte. En effet, ils n'ont plus droit au permis de travail accordé dans le cadre du programme fédéral des travailleurs étrangers temporaires.
« Ici à Québec, à mon avis, on manque vraiment grandement de cuisiniers de toutes qualifications, autant comme chef, comme sous-chef, etc. Pour nous, c'était vraiment ce programme qui permettait de combler ce manque », dit-il.
source : http://quebec.huffingtonpost.ca/2014/05/10/moratoire-sur-les-travailleurs-etrangers--quebec-fera-pression-sur-ottawa_n_5302672.html?utm_hp_ref=politique
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