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UBRANE

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À propos de UBRANE

  • Date de naissance 14 juillet

Informations du profil

  • Genre
    Homme
  • Statut
    installé depuis + 10 ans
  • Date d'arrivée
    16-05-2005
  • Profession
    Caresseur de nuages
  • Préoccupation
    immigration, TORONTO
  • Pays d'origine
    France (77)
  • Pays de résidence
    Canada
  • Ville de résidence
    TORONTO downtown

Pour me contacter

  • Site web
    http://www.torontois.com/

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  1. source : http://quebec.huffingtonpost.ca/2016/07/02/le-quebec-peine-a-retenir-ses-immigrants-francophones_n_10782906.html Le couple Sibileau-Brossas, originaire de France, a immigré il y a quelques mois à Mississauga, la banlieue de Toronto. L'entreprise de Thomas Brossas a déménagé ses activités aéroportuaires vers l'aéroport international Pearson de Toronto, le plus important au pays. Et son épouse, Marine, l'a accompagné. « Toronto est la ville de plein de communautés alors que le Québec est aux Québécois de souche », déplore-t-elle. Des emplois difficiles à trouver Une récente étude de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) abonde dans le même sens. Même s'il y a deux fois moins d'immigrants à Montréal qu'à Toronto, où ils représentent plus de 46 % de la population, ils ne trouvent pas d'emploi à leur mesure ou, pire, pas d'emploi du tout, constatent ses auteurs. Cette « métropole de talent », notent-ils, est pourtant une ville francophone, jeune, universitaire, innovatrice et culturellement vivante. Un paradoxe, conclut l'étude de l'OCDE. Selon l'OCDE, le taux de chômage des immigrants arrivés à Montréal il y a moins de cinq ans dépasse 18 %, alors qu'il se situe à un peu plus de 14 % chez ceux qui se sont établis dans la Ville Reine. Après 10 ans, les immigrants torontois ont cependant un taux de chômage comparable à l'ensemble de la population montréalaise. Statistique Canada fait par ailleurs état de disparités linguistiques : 16 % des immigrants unilingues anglophones récemment arrivés au Québec sont chômeurs, un chiffre qui grimpe à 23 % chez ceux qui ne parlent que le français. Un « francoboom » tout près de Toronto À Mississauga, l'école primaire catholique Saint-Jean-Baptiste vit un véritable « francoboom ». Sur ses terrains, de grands espaces ont été bétonnés pour accueillir six classes mobiles qui répondront aux nouvelles inscriptions. Les élèves proviennent autant des familles anglophones-francophones mixtes que de celles des nouveaux immigrants désireux de voir leurs enfants apprendre le français, un net avantage en Ontario. C'est là que Patrick Bertolin, un Camerounais d'origine sélectionné par le gouvernement du Québec, a trouvé un emploi à la hauteur de ses compétences. Une expérience qu'il n'a pas vécue au Québec. « Si j'avais eu un emploi à ma mesure ou qu'on m'avait appelé ne serait-ce que pour une ou deux entrevues, je serais resté en me disant qu'un jour je vais avoir ma chance », regrette l'enseignant. « C'est triste, conclut-il. Le gouvernement québécois devrait réaliser qu'il y a un problème. » Au total, près du quart des immigrants québécois partent vers d'autres provinces canadiennes, principalement l'Ontario.
  2. Selon la 22e enquête annuelle de Mercer sur le coût de la vie tout juste publiée aujourd'hui, Vancouver (142e rang dans le classement mondial) reste la ville la plus chère au Canada, suivie de très près par Toronto (143e) puis Montréal (155e), Calgary (162e) et Ottawa (171e). "Enquête internationale Mercer 2016 sur le coût de la vie", ou le classement des villes les plus chères au monde pour les expatriés Comment ça marche ? Tout d'abord, il faut savoir que Mercer établit ce classement dans le but d'aider les gouvernements mais aussi les entreprises multinationales à rémunérer convenablement leur personnel lorsqu'il est affecté à l'international: ce qui nous intéresse en tant qu' "expatriés". Ensuite, l'enquête a été faite sur 200 villes réparties entre cinq continents et compare les prix de plus de 200 produits et services dans chaque ville tels que le logement (qui reste le critère le plus important), mais aussi les transports, la nourriture, l'habillement, les produits ménagers ainsi que les divertissements. Comme d'habitude chez Mercer, la ville de New York est utilisée comme référence et la fluctuation des monnaies a été mesurée par rapport au dollar américain. Selon l'enquête sur le coût de la vie, Hong Kong est la ville la plus chère au monde pour les expatriés et a délogé Luanda en Angola, désormais en deuxième position. À l'opposé, la ville la moins chère du monde est Windhoek en Namibie. Dans le classement 2016, les villes canadiennes reculent de plusieurs rangs en raison de la faiblesse du dollar canadien. Vancouver (142e rang dans le classement mondial) reste la ville la plus chère au Canada, suivie de très près par Toronto (143e), puis Montréal (155e), Calgary (162e) et Ottawa (171e). Top 5 des villes canadiennes les plus chères en 2016 : 1. Vancouver (142e) 2. Toronto (143e) 3. Montréal (155e) 4. Calgary (162e) 5. Ottawa (171e) Détails de cette 22e enquête annuelle de Mercer sur le coût de la vie 2016 : http://www.mercer.ca/fr/salle-de-nouvelles/2016-cout-de-la-vie.html Classement complet : https://www.imercer.com/content/mobility/rankings/col2016-rankings.html Bien que le classement ait comme chaque année de quoi surprendre, comprenez bien que ces résultats regardent les expatriés et les multinationales qui les emploient en poste à l'étranger.
  3. les heures de vol sont encore plus cheres ca doit faire comme en france ou les PPH qui bossent sont d'acient militaires car seul l'etat a les moyens de payer des miliers d'heures d'helico ← Plus cheres, c'est sur! Hélas... Mais la piste de l'hélico, elle, a de l'avenir. Il y a eu une pénurie de pilotes cet été avec les nombreux feux de forêts. Je pense donc que ca vaut le coup de se renseigner quant à ce profil de carrière, d'autant plus que les heures avions sont reconnues (ce qui n'est pas négligeable, aussi bien du point de vue du prix de la formation que de l'expérience totale).
  4. Salut! Les formules chez l'habitant sont trés répandues au Québec, bien plus qu'en Europe! Pour environ 12$CAD par jour (en moyenne), il y a tout sous la main: lave-linge, cuisine, TV cablée, internet, etc... Le seul problême, c'est que question intimité, c'est plutôt zéro... Mais il n'y a pas plus économique! Les annonces de "logeurs" - ou "colocation" - (attention: "chez l'habitant" veut dire "chez le paysan du coin" ici ) se trouvent par dizaine dans les journaux. Et le bouche-à-oreille fonctionne aussi trés bien: il y a toujours quelqu'un qui connait quelqu'un qui cherche un co-locataire! Bien plus facile que par le net, en fait! Sinon, il existe quelques sites d'annonces comme http://www.canada-annonces.com/annonces-Immobilier.html où il y a quelques offres. Bref, c'est l'idéal pour quelqu'un qui débarque seul et qui ne connait pas du tout le Québec!
  5. UBRANE

    Téléphone mobile

    Pareil, je suis arrivé au Québec avec mon tel (SONY ERRICCSON T600) débloqué de chez Orange, je suis allé voir monsieur Fido qui m'a remis une carte prépayé à 30$ et une nouvelle carte SIM! Et hop! Ce qui est bien, c'est que l'on peut choisir son numéro de téléphone! Le moins bien, c'est cette stupide boîte vocale qui ne fonctione qu'une fois sur deux... si on a le malheur de parler avec un accent francais! Sinon, FIDO sont les moins chers, mais leur réseau ne fonctionne quasiment que sur le Saint Laurent... ROGERS ont un meilleur réseau mais sont plus dispendieux! Quant à Bell, il ne fonctionnent pas avec les normes GSM:
  6. UBRANE

    Un petit Foot A QUEBEC

    Sympa le mois de juin: j'ai dû m'acheter une polaire à "la vie sportive"... Mais bon, toujours pas de pingouins sur le Saint-Laurent: c'est rassurant!
  7. C'est exactement ce que je compte faire moi aussi!
  8. UBRANE

    J-1 du grand départ

    Bonne installation!!!
  9. UBRANE

    J-1 du grand départ

    Bonne installation!!!
  10. C'est marrant, j'étais justement en train de lire la brochure que m'a refilée la Délégation du Québec à ce sujet! Donc je cite: << Votre statut de résident permanent peut-être révoqué si vous n'êtes pas présent au Canada pendant au moins 730 jours au cours d'une période de 5 ans, sauf dans des conditions particulières, et ce, jusqu'à ce que vous obteniez la citoyenneté canadienne. Pour des renseignements complémentaires sur ces conditions particulières, veuillez consulter le site web suivant: www.cic.gc.ca ou contacter le Télécentre de Citoyenneté et Immigration au Canada: 1 888 242 2100. >> Dans votre cas, je pense qu'il faudra justifier de 730 jours de présence sur le sol canadien avant mars 2009! Voilà! Bonne chance!
  11. C'est une bonne nouvelle! Et plutôt rassurante! Au moins, ce n'est pas comme en France...
  12. Elles descendent effectivement vers le sud pour prendre un peu le soleil!!! Du moins si je m'en réfère au dicton qui dit qu'un corbeau n'est en fait qu'une mouette bronzée... :-D Bon, ok, c'est pas drôle...
  13. Et une fois que tout est maîtrisé, tu peux tenter ce questionnaire en ligne: http://www.juris.uqam.ca/autoeval/ @+
  14. UBRANE

    Je dis ça, je dis rien

    Je confirme! J'ai toujours utilisé cette expression bien avant d'avoir mis mes pieds au Québec! Enfin bon... Je dis ça... Je dis rien!
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