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Interdiction du port de signes religieux - Charte des valeurs québécoi


nath1791

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  • Habitués

je comprends tellement pas le rapport :)

burqua, niqab y a même pas ca ici...ou ce que vous habitez vous pour voir ca?

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  • Habitués

personnellement, j'ai vu des burquas deux fois à Montréal et c'était deux fois de trop. ça n'a pas sa place ici

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  • Habitués

:ohmy:

pourquoi pendant qu'on 'écoute' l'extrait, on voit des photos de burqa alors que dans l'extrait , la dame parlait du voile seulement..

mais sans quand ça soit des extrémistes, ça fait plusieurs fois que j'entends des musulmans ici, sur le forum, dire 'dans quelques années, on sera plus nombreux' 'attendez et dans quelques années vous allez voir' etc... ça l'air qu'ils veulent islamiser toute la planète...

effectivement sur certains forums il y en a qui se foutent de nous en disant - en gros - qu'on est des cons qui se laissent envahir,que leur invasion a commencé par les mariages mixtes,les conversions, l'immigration...

sinon pour les images je pense que c'est tout simplement un montage de qq1 de pas fan des burkas sur fond d'emmission de radio

Modifié par Mme Tetue
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  • Habitués

personnellement, j'ai vu des burquas deux fois à Montréal et c'était deux fois de trop. ça n'a pas sa place ici

et combien sur ces deux

étaient employés d'état?

car si je comprends bien la charte n'affecte pas les autres qui NE sont pas employés d'état

donc même avec la charte ton problème n'est pas réglé

ces deux femmes vont continuer à se promener à Montréal même si ca te dérange et si ca n'a pas sa place comme tu dis...

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  • Habitués

@ irlish: dans toutes vos interventions vous essayer de relativiser les propos des intervenants il serait plus judicieux de vous exprimez ouvertement sur le sujet! je suis musulmans et laïc en même temps! ce mariage doit exister si nous parlons des religieux bien évidemment! sinon je suis bien placé pour faire la différence entre les islamistes et les musulmans! A mon humble avis il vaut mieux interdire le burqa et le niqab même dans la rue! Place à l'autocritique!

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  • Habitués

personnellement, j'ai vu des burquas deux fois à Montréal et c'était deux fois de trop. ça n'a pas sa place ici

et combien sur ces deux

étaient employés d'état?

car si je comprends bien la charte n'affecte pas les autres qui NE sont pas employés d'état

donc même avec la charte ton problème n'est pas réglé

ces deux femmes vont continuer à se promener à Montréal même si ca te dérange et si ca n'a pas sa place comme tu dis...

de quel problème tu parles?

j'ai jamais dit que j'étais pour cette charte.

le voile je m'en fou pas mal, mais la burqa c'est un gros NON. toi tu trouve que ça a sa place?

autant ça me dérange pas que tu défendes le femmes voilées mais que tu défendes les burqas? :blink2:

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  • Habitués

J'ai aussi vu une femme en burqua qui se baignait pendant des chaleurs torrides :crying:

pendant que son fils et son mari eux, torse nu en costume de bain qui s'amusait comme des ptits fous... ça m'a choquée.

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  • Habitués

personnellement, j'ai vu des burquas deux fois à Montréal et c'était deux fois de trop. ça n'a pas sa place ici

et combien sur ces deux

étaient employés d'état?

car si je comprends bien la charte n'affecte pas les autres qui NE sont pas employés d'état

donc même avec la charte ton problème n'est pas réglé

ces deux femmes vont continuer à se promener à Montréal même si ca te dérange et si ca n'a pas sa place comme tu dis...

de quel problème tu parles?

j'ai jamais dit que j'étais pour cette charte.

le voile je m'en fou pas mal, mais la burqa c'est un gros NON. toi tu trouve que ça a sa place?

autant ça me dérange pas que tu défendes le femmes voilées mais que tu défendes les burqas? :blink2:

Où vas-tu chercher l'idée qu'elle défend les burqas?

Elle t'a juste dit que la Charte ne règle pas le problème des burqas et elle a raison.

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  • Habitués
La France se réveille sur l'hypocrisie de la laïcité mais Marois veut toujours nous imiter ?
Cette tribune, intitulée « Pas de laïcité sans liberté », a été rédigée par une quarantaine de personnes : intellectuels, universitaires ou simples citoyens, dont l’intellectuel Jean Baubérot, publiée dans le Monde du 29 mars, sous le titre « Ne stigmatisons pas les musulmans ». Elle est désormais ouverte à pétition afin de fédérer tous ceux qui partagent le soucis du respect des libertés fondamentales et de la lutte contre le racisme sous toutes ses formes, cliquez sur ce lien : http://www.change.org/petitions/contre-une-loi-stigmatisante-pour-une-commission-sur-l-islamophobie?utm_campaign=autopublish&utm_medium=facebook&utm_source=share_petition#

Pas de laicité sans liberté

A l'heure où nous traversons une crise économique et sociale de grande ampleur, la haine et le rejet s'expriment de plus en plus ouvertement à travers l'Europe ; force est de constater que la classe politique française ne prend pas suffisamment la mesure d'une forme de racisme qui se manifeste désormais librement dès lors qu'elle se dissimule sous les atours d'une laïcité dévoyée de son sens historique, pour en faire, entre autres, un outil de stigmatisation et d'exclusion des musulmanes et des musulmans. La laïcité par laquelle, selon l'article 1 de la loi de 1905, la République "assure la liberté de conscience" et "garantit le libre exercice des cultes", dans le respect mutuel des appartenances et l'égalité de toutes les croyances devant l'Etat, se retrouve détournée au profit d'une vision clivante, légitimant le rejet de l'Autre en prétendant participer à l'émancipation des personnes.

Il semble plus que jamais nécessaire de rappeler une vérité élémentaire : il n'existe pas de laïcité réelle sans liberté. Or cette liberté ne peut exister sans respect de la différence. Il s'agit ici de droits fondamentaux, établis par la loi de 1905, la Déclaration universelle des droits de l'homme ainsi que la convention européenne de sauvegarde des droits humains et des libertés fondamentales.


Le devoir de neutralité, tel qu'invoqué par les tenants d'une laïcité d'exclusion, est la négation de toute forme de diversité. Il n'est ni plus ni moins qu'une censure de l'expression d'un choix, en l'occurrence religieux.


Dès lors, nous voulons réaffirmer notre volonté de vivre et d'évoluer dans une société où la différence est reconnue comme une richesse et où le respect de chacun, dans tout ce qui fait sa singularité, est une valeur centrale, en accord avec les droits humains tels qu'y souscrit notre pays.


Nous attendons de nos maires, de nos députés, de nos ministres et du président de la République, qu'ils soient les garants de ces droits, sans jamais céder à la tentation autoritaire de ceux qui voudraient, aujourd'hui comme hier, mettre à l'index des individus ou une communauté.


SURENCHÈRE LÉGISLATIVE


Plutôt que de se lancer dans une surenchère législative qui viendra, une fois de plus, restreindre les libertés fondamentales au mépris des dispositions du droit positif, national et international, nous proposons de faire un état des lieux du développement de l'islamophobie en France.


Une commission parlementaire réunie sur ce sujet pourra étudier les dérives auxquelles a donné lieu l'instrumentalisation de l'identité nationale, des luttes féministes et de la laïcité, et prendre la mesure du racisme, voire de la haine, qui visent aujourd'hui nos concitoyens musulmans, ou perçus comme tels. Une telle commission devra également être pluraliste, indépendante, ouverte sur la société civile et capable de dresser un bilan objectif de la politique menée durant les dernières années.


Intellectuels, universitaires, élu(e)s, cadres associatifs, journalistes, artistes ou simples citoyen(ne)s, nous voulons croire que dans la France de 2013 il existe encore des responsables politiques capables d'être à la hauteur de ces enjeux, de se prononcer et d'agir clairement et efficacement contre le racisme et les discriminations.


Par un collectif d'intellectuels




Liste des signataires

Armelle Andro, démographe, Paris 1 ; Valérie Amiraux, sociologue, Université de Montréal ; Houssen Amode, chevalier de la Légion d'Honneur, président de l'association musulmane de la Réunion ; Jean Baubérot, historien et sociologue ; Laure Bereni, sociologue ; Christophe Bertossi, sociologue, directeur du Centre Migrations et Citoyennetés, IFRI, Paris ; François Burgat, politologue ; Samy Debah, professeur d'histoire, président du CCIF ; Dominique de Courcelles, chercheur en histoire comparée des religions, CNRS-CIRID ; Bruno Cousin, sociologue, maître de conférences à l'Université de Lille 1 ; Christine Delphy, sociologue, ENS ; Rokhaya Diallo, essayiste et chroniqueuse ; Abdelhak Eddouk, aumonier ; Renaud Epstein, politiste, Université de Nantes ; Nabil Ennasri, doctorant et écrivain ; Mireille Fanon-Mendès France, Experte ONU ; Eric Fassin, sociologue, Paris 8 ; Veysel Filiz, secrétaire général d'EMISCO ; Virginie Gautron, maître de conférences en droit pénal et sciences criminelles, Université de Nantes ; Virginie Guiraudon, politiste, CNRS et Sciences Po Paris ; Vincent Geisser, président du CIEMI ; Nacira Guénif, sociologue et anthropologue ; Abdellali Hajjat, sociologue ; Stéphanie Hennette-Vauchez, juriste, Université Paris Ouest Nanterre ; Jean-Marie Heydt, président de la conférence INGO du Conseil de l'Europe ; Noémie Houard, chercheuse associée au Centre de recherches politiques de Sciences Po ; Thomas Kirszbaum, sociologue, ENS Cachan ; Pierre Lenel, sociologue, Think Tank Different ; Raphaël Liogier, sociologue ; Françoise Lorcerie, CNRS ; Grégoire Mallard, sociologue ; Jean-Paul Martin, historien ; Virginie Martin, politologue, présidente de Think Tank Different ; Zaouia Meriem, syndicaliste ; Kamel Meziti, historien des religions, secrétaire général du Gric ; Marwan Mohammed, sociologue ; Marwan Muhammad, statisticien, porte parole du CCIF ; Catherine Samary, économiste, militante altermondialiste ; Frédéric Sarkis, conseiller municipal EELV, membre fondateur de la coopérative "laïcité n'est pas racisme!" ; Madjid SI Hocine, médecin, animateur de l'Egalité d'abord ; Patrick Simon, démographe, INED ; Sihem Souid, chroniqueuse ; Djamel Djeziri, chercheur en gnostique et Consultant-dirigeant en Management ; Line Sultani, chef d'entreprise ; Pierre Tevanian, professeur de philosophie, auteur ; Tommaso Vitale, sociologue, Centre d'études européennes, Sciences Po, directeur scientifique du Master "Governing the Large Metropolis" ; Valentine Zuber, Ecole Pratique des Hautes Etudes.

source : Le Monde

Modifié par Jérémy Allemand
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  • Habitués

La France se réveille sur l'hypocrisie de la laïcité mais Marois veut toujours nous imiter ?
Cette tribune, intitulée « Pas de laïcité sans liberté », a été rédigée par une quarantaine de personnes : intellectuels, universitaires ou simples citoyens, dont l’intellectuel Jean Baubérot, publiée dans le Monde du 29 mars, sous le titre « Ne stigmatisons pas les musulmans ». Elle est désormais ouverte à pétition afin de fédérer tous ceux qui partagent le soucis du respect des libertés fondamentales et de la lutte contre le racisme sous toutes ses formes, cliquez sur ce lien : http://www.change.org/petitions/contre-une-loi-stigmatisante-pour-une-commission-sur-l-islamophobie?utm_campaign=autopublish&utm_medium=facebook&utm_source=share_petition#

Pas de laicité sans liberté

A l'heure où nous traversons une crise économique et sociale de grande ampleur, la haine et le rejet s'expriment de plus en plus ouvertement à travers l'Europe ; force est de constater que la classe politique française ne prend pas suffisamment la mesure d'une forme de racisme qui se manifeste désormais librement dès lors qu'elle se dissimule sous les atours d'une laïcité dévoyée de son sens historique, pour en faire, entre autres, un outil de stigmatisation et d'exclusion des musulmanes et des musulmans. La laïcité par laquelle, selon l'article 1 de la loi de 1905, la République "assure la liberté de conscience" et "garantit le libre exercice des cultes", dans le respect mutuel des appartenances et l'égalité de toutes les croyances devant l'Etat, se retrouve détournée au profit d'une vision clivante, légitimant le rejet de l'Autre en prétendant participer à l'émancipation des personnes.

Il semble plus que jamais nécessaire de rappeler une vérité élémentaire : il n'existe pas de laïcité réelle sans liberté. Or cette liberté ne peut exister sans respect de la différence. Il s'agit ici de droits fondamentaux, établis par la loi de 1905, la Déclaration universelle des droits de l'homme ainsi que la convention européenne de sauvegarde des droits humains et des libertés fondamentales.

Le devoir de neutralité, tel qu'invoqué par les tenants d'une laïcité d'exclusion, est la négation de toute forme de diversité. Il n'est ni plus ni moins qu'une censure de l'expression d'un choix, en l'occurrence religieux.

Dès lors, nous voulons réaffirmer notre volonté de vivre et d'évoluer dans une société où la différence est reconnue comme une richesse et où le respect de chacun, dans tout ce qui fait sa singularité, est une valeur centrale, en accord avec les droits humains tels qu'y souscrit notre pays.

Nous attendons de nos maires, de nos députés, de nos ministres et du président de la République, qu'ils soient les garants de ces droits, sans jamais céder à la tentation autoritaire de ceux qui voudraient, aujourd'hui comme hier, mettre à l'index des individus ou une communauté.

SURENCHÈRE LÉGISLATIVE

Plutôt que de se lancer dans une surenchère législative qui viendra, une fois de plus, restreindre les libertés fondamentales au mépris des dispositions du droit positif, national et international, nous proposons de faire un état des lieux du développement de l'islamophobie en France.

Une commission parlementaire réunie sur ce sujet pourra étudier les dérives auxquelles a donné lieu l'instrumentalisation de l'identité nationale, des luttes féministes et de la laïcité, et prendre la mesure du racisme, voire de la haine, qui visent aujourd'hui nos concitoyens musulmans, ou perçus comme tels. Une telle commission devra également être pluraliste, indépendante, ouverte sur la société civile et capable de dresser un bilan objectif de la politique menée durant les dernières années.

Intellectuels, universitaires, élu(e)s, cadres associatifs, journalistes, artistes ou simples citoyen(ne)s, nous voulons croire que dans la France de 2013 il existe encore des responsables politiques capables d'être à la hauteur de ces enjeux, de se prononcer et d'agir clairement et efficacement contre le racisme et les discriminations.

Par un collectif d'intellectuels

Liste des signataires

Armelle Andro, démographe, Paris 1 ; Valérie Amiraux, sociologue, Université de Montréal ; Houssen Amode, chevalier de la Légion d'Honneur, président de l'association musulmane de la Réunion ; Jean Baubérot, historien et sociologue ; Laure Bereni, sociologue ; Christophe Bertossi, sociologue, directeur du Centre Migrations et Citoyennetés, IFRI, Paris ; François Burgat, politologue ; Samy Debah, professeur d'histoire, président du CCIF ; Dominique de Courcelles, chercheur en histoire comparée des religions, CNRS-CIRID ; Bruno Cousin, sociologue, maître de conférences à l'Université de Lille 1 ; Christine Delphy, sociologue, ENS ; Rokhaya Diallo, essayiste et chroniqueuse ; Abdelhak Eddouk, aumonier ; Renaud Epstein, politiste, Université de Nantes ; Nabil Ennasri, doctorant et écrivain ; Mireille Fanon-Mendès France, Experte ONU ; Eric Fassin, sociologue, Paris 8 ; Veysel Filiz, secrétaire général d'EMISCO ; Virginie Gautron, maître de conférences en droit pénal et sciences criminelles, Université de Nantes ; Virginie Guiraudon, politiste, CNRS et Sciences Po Paris ; Vincent Geisser, président du CIEMI ; Nacira Guénif, sociologue et anthropologue ; Abdellali Hajjat, sociologue ; Stéphanie Hennette-Vauchez, juriste, Université Paris Ouest Nanterre ; Jean-Marie Heydt, président de la conférence INGO du Conseil de l'Europe ; Noémie Houard, chercheuse associée au Centre de recherches politiques de Sciences Po ; Thomas Kirszbaum, sociologue, ENS Cachan ; Pierre Lenel, sociologue, Think Tank Different ; Raphaël Liogier, sociologue ; Françoise Lorcerie, CNRS ; Grégoire Mallard, sociologue ; Jean-Paul Martin, historien ; Virginie Martin, politologue, présidente de Think Tank Different ; Zaouia Meriem, syndicaliste ; Kamel Meziti, historien des religions, secrétaire général du Gric ; Marwan Mohammed, sociologue ; Marwan Muhammad, statisticien, porte parole du CCIF ; Catherine Samary, économiste, militante altermondialiste ; Frédéric Sarkis, conseiller municipal EELV, membre fondateur de la coopérative "laïcité n'est pas racisme!" ; Madjid SI Hocine, médecin, animateur de l'Egalité d'abord ; Patrick Simon, démographe, INED ; Sihem Souid, chroniqueuse ; Djamel Djeziri, chercheur en gnostique et Consultant-dirigeant en Management ; Line Sultani, chef d'entreprise ; Pierre Tevanian, professeur de philosophie, auteur ; Tommaso Vitale, sociologue, Centre d'études européennes, Sciences Po, directeur scientifique du Master "Governing the Large Metropolis" ; Valentine Zuber, Ecole Pratique des Hautes Etudes.

source : Le Monde

Pourquoi es-tu venu te ''battre'' ici quand il y a un si grand ''combat'' dans ton pays?

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  • Habitués

personnellement, j'ai vu des burquas deux fois à Montréal et c'était deux fois de trop. ça n'a pas sa place ici

et combien sur ces deux

étaient employés d'état?

car si je comprends bien la charte n'affecte pas les autres qui NE sont pas employés d'état

donc même avec la charte ton problème n'est pas réglé

ces deux femmes vont continuer à se promener à Montréal même si ca te dérange et si ca n'a pas sa place comme tu dis...

de quel problème tu parles?

j'ai jamais dit que j'étais pour cette charte.

le voile je m'en fou pas mal, mais la burqa c'est un gros NON. toi tu trouve que ça a sa place?

autant ça me dérange pas que tu défendes le femmes voilées mais que tu défendes les burqas? :blink2:

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La France se réveille sur l'hypocrisie de la laïcité mais Marois veut toujours nous imiter ?

Cette tribune, intitulée « Pas de laïcité sans liberté », a été rédigée par une quarantaine de personnes : intellectuels, universitaires ou simples citoyens, dont lintellectuel Jean Baubérot, publiée dans le Monde du 29 mars, sous le titre « Ne stigmatisons pas les musulmans ». Elle est désormais ouverte à pétition afin de fédérer tous ceux qui partagent le soucis du respect des libertés fondamentales et de la lutte contre le racisme sous toutes ses formes, cliquez sur ce lien : http://www.change.org/petitions/contre-une-loi-stigmatisante-pour-une-commission-sur-l-islamophobie?utm_campaign=autopublish&utm_medium=facebook&utm_source=share_petition#

Pas de laicité sans liberté

A l'heure où nous traversons une crise économique et sociale de grande ampleur, la haine et le rejet s'expriment de plus en plus ouvertement à travers l'Europe ; force est de constater que la classe politique française ne prend pas suffisamment la mesure d'une forme de racisme qui se manifeste désormais librement dès lors qu'elle se dissimule sous les atours d'une laïcité dévoyée de son sens historique, pour en faire, entre autres, un outil de stigmatisation et d'exclusion des musulmanes et des musulmans. La laïcité par laquelle, selon l'article 1 de la loi de 1905, la République "assure la liberté de conscience" et "garantit le libre exercice des cultes", dans le respect mutuel des appartenances et l'égalité de toutes les croyances devant l'Etat, se retrouve détournée au profit d'une vision clivante, légitimant le rejet de l'Autre en prétendant participer à l'émancipation des personnes.

Il semble plus que jamais nécessaire de rappeler une vérité élémentaire : il n'existe pas de laïcité réelle sans liberté. Or cette liberté ne peut exister sans respect de la différence. Il s'agit ici de droits fondamentaux, établis par la loi de 1905, la Déclaration universelle des droits de l'homme ainsi que la convention européenne de sauvegarde des droits humains et des libertés fondamentales.

Le devoir de neutralité, tel qu'invoqué par les tenants d'une laïcité d'exclusion, est la négation de toute forme de diversité. Il n'est ni plus ni moins qu'une censure de l'expression d'un choix, en l'occurrence religieux.

Dès lors, nous voulons réaffirmer notre volonté de vivre et d'évoluer dans une société où la différence est reconnue comme une richesse et où le respect de chacun, dans tout ce qui fait sa singularité, est une valeur centrale, en accord avec les droits humains tels qu'y souscrit notre pays.

Nous attendons de nos maires, de nos députés, de nos ministres et du président de la République, qu'ils soient les garants de ces droits, sans jamais céder à la tentation autoritaire de ceux qui voudraient, aujourd'hui comme hier, mettre à l'index des individus ou une communauté.

SURENCHÈRE LÉGISLATIVE

Plutôt que de se lancer dans une surenchère législative qui viendra, une fois de plus, restreindre les libertés fondamentales au mépris des dispositions du droit positif, national et international, nous proposons de faire un état des lieux du développement de l'islamophobie en France.

Une commission parlementaire réunie sur ce sujet pourra étudier les dérives auxquelles a donné lieu l'instrumentalisation de l'identité nationale, des luttes féministes et de la laïcité, et prendre la mesure du racisme, voire de la haine, qui visent aujourd'hui nos concitoyens musulmans, ou perçus comme tels. Une telle commission devra également être pluraliste, indépendante, ouverte sur la société civile et capable de dresser un bilan objectif de la politique menée durant les dernières années.

Intellectuels, universitaires, élu(e)s, cadres associatifs, journalistes, artistes ou simples citoyen(ne)s, nous voulons croire que dans la France de 2013 il existe encore des responsables politiques capables d'être à la hauteur de ces enjeux, de se prononcer et d'agir clairement et efficacement contre le racisme et les discriminations.

Par un collectif d'intellectuels

Liste des signataires

Armelle Andro, démographe, Paris 1 ; Valérie Amiraux, sociologue, Université de Montréal ; Houssen Amode, chevalier de la Légion d'Honneur, président de l'association musulmane de la Réunion ; Jean Baubérot, historien et sociologue ; Laure Bereni, sociologue ; Christophe Bertossi, sociologue, directeur du Centre Migrations et Citoyennetés, IFRI, Paris ; François Burgat, politologue ; Samy Debah, professeur d'histoire, président du CCIF ; Dominique de Courcelles, chercheur en histoire comparée des religions, CNRS-CIRID ; Bruno Cousin, sociologue, maître de conférences à l'Université de Lille 1 ; Christine Delphy, sociologue, ENS ; Rokhaya Diallo, essayiste et chroniqueuse ; Abdelhak Eddouk, aumonier ; Renaud Epstein, politiste, Université de Nantes ; Nabil Ennasri, doctorant et écrivain ; Mireille Fanon-Mendès France, Experte ONU ; Eric Fassin, sociologue, Paris 8 ; Veysel Filiz, secrétaire général d'EMISCO ; Virginie Gautron, maître de conférences en droit pénal et sciences criminelles, Université de Nantes ; Virginie Guiraudon, politiste, CNRS et Sciences Po Paris ; Vincent Geisser, président du CIEMI ; Nacira Guénif, sociologue et anthropologue ; Abdellali Hajjat, sociologue ; Stéphanie Hennette-Vauchez, juriste, Université Paris Ouest Nanterre ; Jean-Marie Heydt, président de la conférence INGO du Conseil de l'Europe ; Noémie Houard, chercheuse associée au Centre de recherches politiques de Sciences Po ; Thomas Kirszbaum, sociologue, ENS Cachan ; Pierre Lenel, sociologue, Think Tank Different ; Raphaël Liogier, sociologue ; Françoise Lorcerie, CNRS ; Grégoire Mallard, sociologue ; Jean-Paul Martin, historien ; Virginie Martin, politologue, présidente de Think Tank Different ; Zaouia Meriem, syndicaliste ; Kamel Meziti, historien des religions, secrétaire général du Gric ; Marwan Mohammed, sociologue ; Marwan Muhammad, statisticien, porte parole du CCIF ; Catherine Samary, économiste, militante altermondialiste ; Frédéric Sarkis, conseiller municipal EELV, membre fondateur de la coopérative "laïcité n'est pas racisme!" ; Madjid SI Hocine, médecin, animateur de l'Egalité d'abord ; Patrick Simon, démographe, INED ; Sihem Souid, chroniqueuse ; Djamel Djeziri, chercheur en gnostique et Consultant-dirigeant en Management ; Line Sultani, chef d'entreprise ; Pierre Tevanian, professeur de philosophie, auteur ; Tommaso Vitale, sociologue, Centre d'études européennes, Sciences Po, directeur scientifique du Master "Governing the Large Metropolis" ; Valentine Zuber, Ecole Pratique des Hautes Etudes.

source : Le Monde

Pourquoi es-tu venu te ''battre'' ici quand il y a un si grand ''combat'' dans ton pays?
Sois heureux cela montre que je m'attache à ton pays. Si je m'en foutais je ferai comme j'ai fait en France. J'aurai pris tout ce qu'il y a à prendre et je serai parti. Je pense que le Québec mérite qu'on se batte pour lui. Les québécois sont des gens ouverts et chaleureux. Ca me ferait de la peine qu'ils ne montrent plus le meilleur d'eux mêmes. Modifié par Jérémy Allemand
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La France se réveille sur l'hypocrisie de la laïcité mais Marois veut toujours nous imiter ?

Cette tribune, intitulée « Pas de laïcité sans liberté », a été rédigée par une quarantaine de personnes : intellectuels, universitaires ou simples citoyens, dont lintellectuel Jean Baubérot, publiée dans le Monde du 29 mars, sous le titre « Ne stigmatisons pas les musulmans ». Elle est désormais ouverte à pétition afin de fédérer tous ceux qui partagent le soucis du respect des libertés fondamentales et de la lutte contre le racisme sous toutes ses formes, cliquez sur ce lien : http://www.change.org/petitions/contre-une-loi-stigmatisante-pour-une-commission-sur-l-islamophobie?utm_campaign=autopublish&utm_medium=facebook&utm_source=share_petition#

Pas de laicité sans liberté

A l'heure où nous traversons une crise économique et sociale de grande ampleur, la haine et le rejet s'expriment de plus en plus ouvertement à travers l'Europe ; force est de constater que la classe politique française ne prend pas suffisamment la mesure d'une forme de racisme qui se manifeste désormais librement dès lors qu'elle se dissimule sous les atours d'une laïcité dévoyée de son sens historique, pour en faire, entre autres, un outil de stigmatisation et d'exclusion des musulmanes et des musulmans. La laïcité par laquelle, selon l'article 1 de la loi de 1905, la République "assure la liberté de conscience" et "garantit le libre exercice des cultes", dans le respect mutuel des appartenances et l'égalité de toutes les croyances devant l'Etat, se retrouve détournée au profit d'une vision clivante, légitimant le rejet de l'Autre en prétendant participer à l'émancipation des personnes.

Il semble plus que jamais nécessaire de rappeler une vérité élémentaire : il n'existe pas de laïcité réelle sans liberté. Or cette liberté ne peut exister sans respect de la différence. Il s'agit ici de droits fondamentaux, établis par la loi de 1905, la Déclaration universelle des droits de l'homme ainsi que la convention européenne de sauvegarde des droits humains et des libertés fondamentales.

Le devoir de neutralité, tel qu'invoqué par les tenants d'une laïcité d'exclusion, est la négation de toute forme de diversité. Il n'est ni plus ni moins qu'une censure de l'expression d'un choix, en l'occurrence religieux.

Dès lors, nous voulons réaffirmer notre volonté de vivre et d'évoluer dans une société où la différence est reconnue comme une richesse et où le respect de chacun, dans tout ce qui fait sa singularité, est une valeur centrale, en accord avec les droits humains tels qu'y souscrit notre pays.

Nous attendons de nos maires, de nos députés, de nos ministres et du président de la République, qu'ils soient les garants de ces droits, sans jamais céder à la tentation autoritaire de ceux qui voudraient, aujourd'hui comme hier, mettre à l'index des individus ou une communauté.

SURENCHÈRE LÉGISLATIVE

Plutôt que de se lancer dans une surenchère législative qui viendra, une fois de plus, restreindre les libertés fondamentales au mépris des dispositions du droit positif, national et international, nous proposons de faire un état des lieux du développement de l'islamophobie en France.

Une commission parlementaire réunie sur ce sujet pourra étudier les dérives auxquelles a donné lieu l'instrumentalisation de l'identité nationale, des luttes féministes et de la laïcité, et prendre la mesure du racisme, voire de la haine, qui visent aujourd'hui nos concitoyens musulmans, ou perçus comme tels. Une telle commission devra également être pluraliste, indépendante, ouverte sur la société civile et capable de dresser un bilan objectif de la politique menée durant les dernières années.

Intellectuels, universitaires, élu(e)s, cadres associatifs, journalistes, artistes ou simples citoyen(ne)s, nous voulons croire que dans la France de 2013 il existe encore des responsables politiques capables d'être à la hauteur de ces enjeux, de se prononcer et d'agir clairement et efficacement contre le racisme et les discriminations.

Par un collectif d'intellectuels

Liste des signataires

Armelle Andro, démographe, Paris 1 ; Valérie Amiraux, sociologue, Université de Montréal ; Houssen Amode, chevalier de la Légion d'Honneur, président de l'association musulmane de la Réunion ; Jean Baubérot, historien et sociologue ; Laure Bereni, sociologue ; Christophe Bertossi, sociologue, directeur du Centre Migrations et Citoyennetés, IFRI, Paris ; François Burgat, politologue ; Samy Debah, professeur d'histoire, président du CCIF ; Dominique de Courcelles, chercheur en histoire comparée des religions, CNRS-CIRID ; Bruno Cousin, sociologue, maître de conférences à l'Université de Lille 1 ; Christine Delphy, sociologue, ENS ; Rokhaya Diallo, essayiste et chroniqueuse ; Abdelhak Eddouk, aumonier ; Renaud Epstein, politiste, Université de Nantes ; Nabil Ennasri, doctorant et écrivain ; Mireille Fanon-Mendès France, Experte ONU ; Eric Fassin, sociologue, Paris 8 ; Veysel Filiz, secrétaire général d'EMISCO ; Virginie Gautron, maître de conférences en droit pénal et sciences criminelles, Université de Nantes ; Virginie Guiraudon, politiste, CNRS et Sciences Po Paris ; Vincent Geisser, président du CIEMI ; Nacira Guénif, sociologue et anthropologue ; Abdellali Hajjat, sociologue ; Stéphanie Hennette-Vauchez, juriste, Université Paris Ouest Nanterre ; Jean-Marie Heydt, président de la conférence INGO du Conseil de l'Europe ; Noémie Houard, chercheuse associée au Centre de recherches politiques de Sciences Po ; Thomas Kirszbaum, sociologue, ENS Cachan ; Pierre Lenel, sociologue, Think Tank Different ; Raphaël Liogier, sociologue ; Françoise Lorcerie, CNRS ; Grégoire Mallard, sociologue ; Jean-Paul Martin, historien ; Virginie Martin, politologue, présidente de Think Tank Different ; Zaouia Meriem, syndicaliste ; Kamel Meziti, historien des religions, secrétaire général du Gric ; Marwan Mohammed, sociologue ; Marwan Muhammad, statisticien, porte parole du CCIF ; Catherine Samary, économiste, militante altermondialiste ; Frédéric Sarkis, conseiller municipal EELV, membre fondateur de la coopérative "laïcité n'est pas racisme!" ; Madjid SI Hocine, médecin, animateur de l'Egalité d'abord ; Patrick Simon, démographe, INED ; Sihem Souid, chroniqueuse ; Djamel Djeziri, chercheur en gnostique et Consultant-dirigeant en Management ; Line Sultani, chef d'entreprise ; Pierre Tevanian, professeur de philosophie, auteur ; Tommaso Vitale, sociologue, Centre d'études européennes, Sciences Po, directeur scientifique du Master "Governing the Large Metropolis" ; Valentine Zuber, Ecole Pratique des Hautes Etudes.

source : Le Monde

Pourquoi es-tu venu te ''battre'' ici quand il y a un si grand ''combat'' dans ton pays?
Sois heureux cela montre que je m'attache à ton pays. Si je m'en foutais je ferai comme j'ai fait en France. J'aurai pris tout ce qu'il y a à prendre et je serai parti. Je pense que le Québec mérite qu'on se batte pour lui. Les québécois sont des gens ouverts et chaleureux. Ca me ferait de la peine qu'ils ne montrent plus le meilleur d'eux mêmes.

Je pense que nous n'avons pas nécessairement besoin de tes leçons,tes jugements et certainement pas d'un profiteur. Surtout venant de quelqu'un qui est ici depuis quelques semaines et qui a fait tous ces commentaires négatifs en arrivant. Je pense que je n'ai pas besoin de te les répéter,

Modifié par dentan
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Commentaires négatifs ? Je donne une opinion sur une actualité. Je ne cherche pas à faire plaisir, je dis ce que je pense sans brosser dans le sens du poil.

Après c'est sûr que ça ne va pas plaire à tout le monde.

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Commentaires négatifs ? Je donne une opinion sur une actualité. Je ne cherche pas à faire plaisir, je dis ce que je pense sans brosser dans le sens du poil.

Après c'est sûr que ça ne va pas plaire à tout le monde.

Wow problème de mémoire, il y a des médicaments pour cela, tu devrais consulter! Tout ce que tu as écrit pendant que tu étais à Toronto, ton arrivée et que les gens étaient racistes (ascenceur, biblio, inscription, etc.). Ta grande science va manquer à ton pays d'origine. Tu devrais sans doute reconsidérer!

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Commentaires négatifs ? Je donne une opinion sur une actualité. Je ne cherche pas à faire plaisir, je dis ce que je pense sans brosser dans le sens du poil.

Après c'est sûr que ça ne va pas plaire à tout le monde.

Wow problème de mémoire, il y a des médicaments pour cela, tu devrais consulter! Tout ce que tu as écrit pendant que tu étais à Toronto, ton arrivée et que les gens étaient racistes (ascenceur, biblio, inscription, etc.). Ta grande science va manquer à ton pays d'origine. Tu devrais sans doute reconsidérer!
T'es de la police politique ? C'est toi qui va dire qui va rester ou pas au Québec en fonction de ses opinions ?

T'as une pensée binaire. Ce n'est pas parce que je donne une opinion sur un sujet d'actu que je vois tout en noir.

Y a des nuances dans la vie.

Sans compter qu'à Toronto, il y avait des choses que je n'aimais pas non plus. Ca ne m'a pas empêché de kiffer. Et personne ne lance de sujets sur Toronto ou l'Ontario donc peu de chance que tu vois mon avis.

Et je ne pense pas que les Québécois sont racistes. Sinon cette charte ne ferait pas débat, il n'y aurait pas de manif contre, ...

Je donne mon opinion de français sur un sujet québécois. Et grosso modo, je dis que ce débat qui a eu lieu en Europe a eu des conséquences à l'inverse de ce qui était recherché. Au lieu de faciliter l'intégration, elle a poussé au repli communautaire.

A quel moment je dis tous les québécois sont racistes quand je dis ça ?

Modifié par Jérémy Allemand
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Commentaires négatifs ? Je donne une opinion sur une actualité. Je ne cherche pas à faire plaisir, je dis ce que je pense sans brosser dans le sens du poil.

Après c'est sûr que ça ne va pas plaire à tout le monde.

Wow problème de mémoire, il y a des médicaments pour cela, tu devrais consulter! Tout ce que tu as écrit pendant que tu étais à Toronto, ton arrivée et que les gens étaient racistes (ascenceur, biblio, inscription, etc.). Ta grande science va manquer à ton pays d'origine. Tu devrais sans doute reconsidérer!
T'es de la police politique ? C'est toi qui va dire qui va rester ou pas au Québec en fonction de ses opinions ?

T'as une pensée binaire. Ce n'est pas parce que je donne une opinion sur un sujet d'actu que je vois tout en noir.

Y a des nuances dans la vie.

Sans compter qu'à Toronto, il y avait des choses que je n'aimais pas non plus. Ca ne m'a pas empêché de kiffer. Et personne ne lance de sujets sur Toronto ou l'Ontario donc peu de chance que tu vois mon avis.

Et je ne pense pas que les Québécois sont racistes. Sinon cette charte ne ferait pas débat, il n'y aurait pas de manif contre, ...

Je donne mon opinion de français sur un sujet québécois. Et grosso modo, je dis que ce débat qui a eu lieu en Europe a eu des conséquences à l'inverse de ce qui était recherché. Au lieu de faciliter l'intégration, elle a poussé au repli communautaire.

A quel moment je dis tous les québécois sont racistes quand je dis ça ?

Cela est arrivé à quelques reprises que quelqu'un parle de Toronto par exemple. Je me souviens que tu as même recommandé à tous d'y aller.

Ce que je ne comprends pas, c'est que des personnes qui immigrent pour diverses raisons, veulent imposer leur culture, leurs lois, leur façon d'agir dans le pays d'accueil et eux rien changer des leurs. C'est le cas des islamistes alors qu'ils aillent dans un pays musulman. C'est la même chose que ceux comme par exemple qui poussent de hauts cris car ils ne peuvent trouver les aliments de leur pays. Ils se refusent à comprendre qu'ils ont choisi d'aller dans un nouveau pays alors ils doivent s'adapter. Ils immigrent dans un pays historiquement chrétien alors cela est normal que plusieurs congés soient reliés avec les fêtes religieuses mais eux veulent qu'en plus leurs fêtes soient fériées, mais qu'ils prennent des jours de vacances. On retire les chapelles dans les universités depuis plusieurs années mais eux demandent des salles de prières mais ils peuvent ces prières le matin et soir à la maison, On dirait qu'ils font exprès et demanderont jusqu'à ce que la corde casse en France, Donc le gvt du Québec fait bien de mettre son pied à terre avant que cela dégénère comme dans plusieurs pays d'Europe.

C'est comme la femme voilée lors de la manifestation à Montréal qui disait avoir quitté son pays car le voile lui était imposé et qu'elle refuse qu'ici on lui impose de le retirer si elle travaille pour le gouvernement.

Ils font des demandes et poussent sur le bouchon jusqu'à cela déborde et pouvoir crier au racisme à la xénophobie etc. Le gouvernement fait bien de mettre son pied à terre, Ils font des demandes et poussent sur le bouchon jusqu'à cela déborde et pouvoir crier au racisme à la xénophobie etc. Le gouvernement fait bien de mettre son pied à terre avant que cela dégénère comme dans plusieurs pays en Europe. Je trouve même que la Charte ne va pas assez loin et devrait couvrir plus. On devrait avoir un PM qui dit comme le PM australien (plusieurs sections de discours publiés sur FB). Je trouve même que la Charte ne va pas assez loin et devrait couvrir plus eti exiger que notre culture et histoire soient respectées.'

Généralement il n'y avait pas de problèmes avant jusqu'à ce que les islamistes arrivent et exigent des changements. On voit ce qu'ils font dans plusieurs pays d'Afrique (Nord et Sud).

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  • Habitués

Je trouve toujours étonnant très étonnant que des musulmanes voilées demandent à ce qu'on respectent leurs croyances alors que plusieurs de ces musulmanes voilées sont elles-mêmes d'une extrême intolérance ! Un autre exemple : de nombreux musulmans se plaignent d'islamopohie dans le monde alors que beaucoup de ces mêmes musulmans utilisent des termes extrêmement intolérants pour désigner les Chrétiens et les Juifs comme mécréants, infidèles etc. Cherchez l'erreur !

Cela fait 2 fois que cette vidéo est publiée MAIS Irlish n'a pas ergoté à ce sujet. Ouin 2 poids, 2 mesures!

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  • Habitués

Oui mais il y a une autre chose à prendre en compte. Ok le Québec est historiquement un pays catholique, blanc, et tout le tralala. Et encore historiquement jusqu'à une certaine date...

Mais quand tu ouvres ta porte à des immigrants qui viennent des quatres coins du monde. Tu peux de maniére pragmatique te dire que tu vas devoir composer avec des façons de penser différentes, des cultures différentes, des religions différentes.

Ce n'est pas réaliste de demander à un immigrant de 30 ou 40 ans d'arriver au Québec, de travailler les yeux fermés, d'oublier son identité, manger de la poutine et regarder les mapple leafs en boucle.

Le pays d'accueil doit forcément être conscient qu'il va devoir trouver un compromis et un espace pour que chaque communauté se sente à l'aise.

Sinon tu crées des tensions inutiles et tu crées des problèmes qui n'existeraient pas sans ça.

Quant aux problèmes des jours fériés, c'est quand même injuste que des musulmans doivent prendre sur leurs congés personnels pour célébrer l'aid el kebir. J'avais des collègues qui n'avaient même pas de congés qui appellaient malades ou même ne se faisaient pas payer ce jour là. Pour eux c'est essentiel ces jours là donc c'est un exemple parfait de création de problèmes inutiles. Alors que quand tu permets à chacun d'avoir les jours fériés qu'ils veulent, tout le monde est content.

Modifié par Jérémy Allemand
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