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  • Habitués
Posté(e) (modifié)
Il y a 3 heures, bleu-sang a dit :

A kuroczyd : Le problèmes n' est pas là. On ne se plaint pas forcement mais il faut être lucide.

La démocratie tel qu' elle est pratiqué en France n' est plus adapté. Un certain nombres de politiques admettent eux-même que le système a besoin d' être changé. La cinquième république a été mise en place et conçu pour asseoir le pouvoir de De Gaulle. La plupart des politologues et des historiens s' accordent sur ce point. Or ce système a commencé a montrer de sérieuses failles à la fin des 30 glorieuses.

L ' époque avait changé. Maintenant nous avons une démocratie fantoche et je suis navré mais les gens ne votent pas pour un programme mais pour des promesses. Hollande l' a bien compris. Son programme était vide et le peu de promesses qu' il contenait; il s' avait d' avance qu' il ne pourrai pas les tenir. Alors Qui doit alors se plaindre ? Ceux qui ne votent pas et qui par ce geste qui est aussi civique que le fait de voter ( car il s' agit d' un choix à près tout ) oeuvre à fragiliser un système qui ne les représentent pas ? Ou ceux qui votent pour faire perdurer un système dont ils se plaignent légitimement ( ben oui; ils ont voté eux ) car ils savent d' avancent qu' ils ont choisi le miroir aux alouettes ?

Qui sont les moutons ?

 

Non correction, les gens votent pour celui qui promet de leur remplir les poches au détriment de tous les autres qui votent pas du bon bord.

Modifié par crazy_marty
Posté(e)
Il y a 4 heures, bleu-sang a dit :

 

A hei : tu n' as pas lu mon message ou du moins qu' une toute petite partie.

Je n' ai jamais dit que j' étais contre la démocratie mais contre l' usage dévoyé que nous en faisons dans les pays occidentalisés.

On critique souvent les U.S.A  mais en France aussi le système est devenu du marketing et non de la politique.

Mitterand a commencé et c' était un as de la manipulation et depuis ça se dégrade.

Comme le dit crazy marty ; on promet la lune et on pretend qu' on l' obtiendra sans fournir d' efforts.

Ne pas voter pour des menteurs me semblent assez normal. Les français prétendent être libre de leurs actes et de leurs pensées .

Ce qui s' abstiennent de voter ne supporte plus qu' on les prennent pour des crétins et ils voteraient certainement si on les écouter réellement.

Par exemple; durant les régionales alors que la gauche recule nettement ; le ministre de la défense ( j' ai oublié son nom ) a largement gagné car il a été honnête et il a assumé ses positions. C' est ce que demande les abstentionnistes : des politiques honnêtes et droits qui font ce qu' ils avancent . On ne veut pas de publicitaires.

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Posté(e)

Bonsoir à toutes et à tous.

Je trouve bien dommage que le fil de mimi44 ait tourné en séance de jugements de certains internautes sur d'autres.

Qui sommes-nous pour juger de parfaits inconnus "du Net" ? Connaissons-nous intimement leur vie, leur vécu, leur ressenti ... ?

Enfin voilà, c'etait juste une remarque qui me tenait à coeur.

@Mimi44, je te souhaite un bon retour au Québec. On fait parfois des erreurs dans la vie et lorsque l'on a la chance ou l'opportunité de les réparer, alors on doit se battre pour cela.

Ne jamais avoir de regrets .... jamais [emoji123]?

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Posté(e)
Le 12/14/2015 at 09:08, crazy_marty a dit :

 

Quand on aura compris que ceux qui votent FN n'adhèrent pas à leurs idées mais ont simplement envie de changement...on aura fait de beaux progrès. Mais bon, tant que le gros des moutons continuera à voter pour les mêmes abrutis année après année, on avancera pas plus. 

 

Y'a encore des gens qui sont capables de voter pour le PS et pour la clique de Flamby. Même les écolos qui se sont faits fourrer et pas qu'un peu depuis l'arrivée de Flamby, trouvent encore les ressources pour enterrer leur honneur et appeler à voter Flamby.

 

Y'a encore des gens qui sont capables de voter pour LR et la clique à Sarko. La mémoire sélective des électeurs fait peur. 

 

Pis y'a des gens qui votent par raz-le-bol et désespoir et qui comme à chaque fois, ressortent incompris par les politiques dirigeantes et se font insulter de tous les noms au passage. 

 

30 ans de bordel, de politicards sans conviction et sans réelle action...30 ans que les gens votent pour les mêmes. Et dans 30 ans? On dira que c'est la faute aux autres et on votera encore et toujours pour les mêmes glandus. Un éternel recommencement.

 

Un peu comme ici, quoi

Posté(e)
Le 13/12/2015 at 15:17, Racinette a dit :

Je vois d'où peut venir le malentendu.

Je suis française et j'aime le débat, la discussion. J'avance des idées et j'attends les réactions. C'est tout.

Je n'ai aucune certitude. Quand j'ai un point de vue sur un sujet ou un autre, j'avance mes arguments et je lis ceux des autres. Quand je ne suis pas convaincue, je reviens à la charge. Je mets mes arguments à l'épreuve. C'est tout.

 

Je te corrige après avoir relu tous tes commentaires :

il n'y a pas de malentendu, tu n'aimes pas la discussion et tu assènes tes vérités en jugeant les sentiments et ressentis des autres de façon systématiquement négative. Tu prends tout le monde de haut, sans même te demander quelles sont les raisons profondes de leurs sentiments. Tu es bourrée de certitudes, au point que quand on argumente contre toi, tu le dis toi-même, tu reviens à la charge. Tu es française, et tu N'aimes PAS le débat. Si tu faisais un peu preuve d'ouverture d'esprit, tu accepterais que la majorité des personnes vivent mal leur retour et le regrettent, pour plusieurs raisons qui leur sont propres. Ton retour s'est bien passé ? Tant mieux pour toi. Mais alors, quelle est la vraie raison de ton retour ? C'est plutôt là que devraient se situer tes arguments, et non pas systématiquement qualifier les arguments des autres comme "trop noirs", "non-réalistes" ...

Si je devais rentrer en France, il faudrait de sacrées raisons, et pas seulement familiales ou professionnelles, il faudrait venir me chercher. Car à ce jour, je n'ai pas envie de re-subir l'administration, me battre pour avoir un boulot dans mon domaine, assister au déclin d'un pays dont j'ai de plus en plus de mal à être fier, me navrer de la pauvreté du débat politico-social, me faire bousculer-tasser-piétiner dans les transports en commun, d'être méprisé socialement, intellectuellement et professionnellement ...

Contrairement à beaucoup, je suis venu en Amérique du Nord avec beaucoup d’à-prioris négatifs, socio-culturels notamment. Avec une vision enchanteresse de la France. Aujourd'hui, après près de 6 années, mon opinion a beaucoup changé, que ce soit vis-à-vis des Québécois, des Canadiens, mais aussi des Américains. Certes, ce n'est pas la paradis, loin de là et tout le monde le dit, mais moi, j'y trouve mon bonheur alors que je déprimais en France ...

 

  • Habitués
Posté(e)
il y a 25 minutes, PhilMP a dit :

Je te corrige après avoir relu tous tes commentaires :

il n'y a pas de malentendu, tu n'aimes pas la discussion et tu assènes tes vérités en jugeant les sentiments et ressentis des autres de façon systématiquement négative. Tu prends tout le monde de haut, sans même te demander quelles sont les raisons profondes de leurs sentiments. Tu es bourrée de certitudes, au point que quand on argumente contre toi, tu le dis toi-même, tu reviens à la charge. Tu es française, et tu N'aimes PAS le débat. Si tu faisais un peu preuve d'ouverture d'esprit, tu accepterais que la majorité des personnes vivent mal leur retour et le regrettent, pour plusieurs raisons qui leur sont propres. Ton retour s'est bien passé ? Tant mieux pour toi. Mais alors, quelle est la vraie raison de ton retour ? C'est plutôt là que devraient se situer tes arguments, et non pas systématiquement qualifier les arguments des autres comme "trop noirs", "non-réalistes" ...

Si je devais rentrer en France, il faudrait de sacrées raisons, et pas seulement familiales ou professionnelles, il faudrait venir me chercher. Car à ce jour, je n'ai pas envie de re-subir l'administration, me battre pour avoir un boulot dans mon domaine, assister au déclin d'un pays dont j'ai de plus en plus de mal à être fier, me navrer de la pauvreté du débat politico-social, me faire bousculer-tasser-piétiner dans les transports en commun, d'être méprisé socialement, intellectuellement et professionnellement ...

Contrairement à beaucoup, je suis venu en Amérique du Nord avec beaucoup d’à-prioris négatifs, socio-culturels notamment. Avec une vision enchanteresse de la France. Aujourd'hui, après près de 6 années, mon opinion a beaucoup changé, que ce soit vis-à-vis des Québécois, des Canadiens, mais aussi des Américains. Certes, ce n'est pas la paradis, loin de là et tout le monde le dit, mais moi, j'y trouve mon bonheur alors que je déprimais en France ...

 

 

Et surtout, en donneuse de leçons, elle ne remplit même pas ses devoirs civiques de citoyenne!

Qui c'est qui a dit "ou tu votes, ou tu fermes ta g....." ?

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Au pays des aveugles, les borgnes sont rois.

 

Voila comment des sous-qualifiés français trouvent une job qui gagne bien au pays des bras cassés et n'arrivent plus à rentrer chez eux...

 

Idem pour moi, si ma job ne me rapportait pas 300K/an je ne resterais pas chez ces ploucs mais je n'arrive plus à rentrer dans ma belle Normandie ou ils demandent des compétences que je ne peux prétendre détenir pour un salaire inférieur de moitié ... donc je reste au congélo et j'amasse comme un écureuil.

 

Modifié par Lefrancais
  • Habitués
Posté(e) (modifié)
Le 9/12/2015 at 15:14, mimi44 a dit :

Retour en France et grosse déception

 

La France s'en va dans le mur. Encore le mois passé, il y a eu une augmentation inquiétante du nombre de chômeurs...

 

La France, c'est le chômage de masse, une croissance anémique, l'état d'urgence, des soldats avec des mitraillettes un peu partout, un niveau de dette inquiétant, un déficit abyssal de la sécurité sociale, le gouvernement français avec une incapacité de faire un budget équilibré depuis plus de 30 ans,  des quartiers dit " sensibles " constamment au bord de l'émeute etc.

 

Alors retourner en France dans un tel contexte, c'est un pensez- y bien.

 

Heureusement pour mimi44, elle peut retourner au Québec.

 

 

Modifié par resterzen
Posté(e) (modifié)
Il y a 10 heures, Cherrybee a dit :

 

Et surtout, en donneuse de leçons, elle ne remplit même pas ses devoirs civiques de citoyenne!

Qui c'est qui a dit "ou tu votes, ou tu fermes ta g....." ?

 

Un abruti (par la propagande gouvernementale du "nous sommes en démocratie"), sans doute !!

Ceci dit, politiquement, l’abstentionnisme désigne l’attitude de celui qui n’exerce pas son droit de vote, tandis que, juridiquement, l’abstentionnisme désigne l’attitude d’un électeur qui exerce son droit de vote en ne votant pas, conformément à la loi (vous n'exercez jamais en permanence tous les droits dont vous disposez).

Il me semble, qu’étant une expression du droit de vote, l’abstention devrait donc être comptabilisée dans les calculs électoraux.

Modifié par Invité
Posté(e)
Il y a 8 heures, resterzen a dit :

 

La France s'en va dans le mur. Encore le mois passé, il y a eu une augmentation inquiétante du nombre de chômeurs...

 

La France, c'est le chômage de masse, une croissance anémique, l'état d'urgence, des soldats avec des mitraillettes un peu partout, un niveau de dette inquiétant, un déficit abyssal de la sécurité sociale, le gouvernement français avec une incapacité de faire un budget équilibré depuis plus de 30 ans,  des quartiers dit " sensibles " constamment au bord de l'émeute etc.

 

Alors retourner en France dans un tel contexte, c'est un pensez- y bien.

 

Heureusement pour mimi44, elle peut retourner au Québec.

 

 

Oui tu as raison la France s'en va dans le mur. Je vais me donner tous les moyens nécessaires pour revenir dans mon pays d'adoption et enfin rentrer chez moi. Et oui ici en France je ne me sens plus chez moi.

Posté(e)
Il y a 12 heures, celine.gov a dit :

Bonsoir à toutes et à tous.

Je trouve bien dommage que le fil de mimi44 ait tourné en séance de jugements de certains internautes sur d'autres.

Qui sommes-nous pour juger de parfaits inconnus "du Net" ? Connaissons-nous intimement leur vie, leur vécu, leur ressenti ... ?

Enfin voilà, c'etait juste une remarque qui me tenait à coeur.

@Mimi44, je te souhaite un bon retour au Québec. On fait parfois des erreurs dans la vie et lorsque l'on a la chance ou l'opportunité de les réparer, alors on doit se battre pour cela.

Ne jamais avoir de regrets .... jamais emoji123.png?

C'est juste en personne en particulier qui se reconnaîtra d'ailleurs. Apparemment cette personne a souvent pris l'habitude de foutre la zizanie dans les groupes de discussion. Si ça lui fait plaisir qu'elle continue moi perso je préfère l'ignorer comme on dit l'ignorance est le meilleur des mépris 

Posté(e)
Il y a 12 heures, Hei a dit :

Je n'ai jamais dit que tu étais contre la démocratie, disons que le fait de ne pas aller voter me gêne même si c'est démocratique mais non civique, tu es libre ou non de ne pas le faire mais c'est avant tout un devoir qu'on se doit de remplir par respect pour ceux qui y ont laisser leur vie, il vaut mieux voter blanc que s'abstenir.

C ' est vrai ; je cherchais juste à clarifier un peu notre échange.

Je voterai volontiers si un jour un politicien me semble sincère. Mais hollande ou sarko ? Ou est le choix ?

Voter blanc ne sert à rien. Ces votes ne sont jamais pris en compte . Quand on vote pour deux candidats; que le premier obtient par exemple 52%  et le second 48% ; ça signifie que 100% des votants ont exprimé un choix ? Absolument personne n' a voté blanc ou nul ?

Je n' ai pas envie de voter pour un candidat en qui je n' ai pas confiance et quand tu vote blanc c' est un peu comme ci tu votais un peu pour les deux. Je suis libre et je refuse que l' on me force à faire un non-choix. Le centre-droit milite depuis au moins 10 ans pour que les votes blancs soit enfin pris en compte et si ça arrive un jour alors nous aurons un système bien plus démocratique.

Et il y aura peut-être moins d' abstentionnistes.

Pour finir; tu remarquera que lors d' élections; on donne toujours le pourcentage d' abstentionnistes et jamais celui des votes blancs.

C' est peut-être malheureux mais avec ce système ta voix est plus audible quand elle ne s' exprime pas.

 

 

  • Habitués
Posté(e)

Bonjour mimi, moi ça fait plus de 2 ans que je suis revenu.

 

Pour ma part, mon retour était dû en partie au travail. Je travaillais dans une des nombreuses firmes d'ingénierie touché et pris dans la tourmente de la commission charbonneau. Le domaine était bloqué, les projets aussi, donc pas de perspective d'avenir pour ma part.

Aussi, comme ma famille étant toute en France, le meilleur des soutiens dans les moments durs, donc après 9 années au Québec, retour en France.

 

Au retour, en bonne réputation des administrations française, les démarches ont pris leur temps...
Point de vue recherche de travail, ça se passait plutôt bien, plusieurs contacts, mais qui ne correspondait pas toujours à mon profil et compétences... dans le style, on est là pour encaisser (cabinet de recrutement) même si ça correspond pas.

 

Ma 1ere expérience de travail dans un grand groupe,  ne fut pas des plus concluntes : tombés sur un responsable vieux gars célibataire proche de la retraite qui n'a eu que son travail dans la vie et qui malheureusement provoquait une très mauvaise ambiance dans le bureau créant un clivage entre ces "bons" et les "mauvais". Tant que je ne côtoyait pas les mauvais, tout se passait bien, mais dès lors que j'ai parlé au "mauvais" (qui m'ont donné leurs son de cloche) durant le repas de Noël sans sa présence,  c'était alors fini pour moi...
Par la suite, je suis tombé dans une petite PME, qui m'a pris pour combler un trou même sans expérience dans le domaine... sans compter l'accueil glacial d'un de mes collègues, le manque d'encadrement dans le cas d'une personne sans expérience dans le domaine et le manque d'ouverture de personnes de mon département d'origine... bref encore une mauvaise expérience !
J'ai eu une autre expérience guère plus concluante en tant que prestataire.

 

Bref, je ne sais pas si c'est une succession de malchance en tombant sur les mauvaises expériences ou bien j'ai été trop habitué au milieu de travail québécois ayant fait la majeure partie de ma carrière au Qc ?

 

Ces derniers temps, je réfléchis de plus en plus à revenir au Québec, là où j'ai été le mieux accueilli et considéré.

 

Peut être que ce retour, comme me disait des amis qui sont passés par le Qc puis revenu en France et sont maintenant en Irlande, est une piqûre de rappel pour se rappeler des raisons pourquoi on fait le choix d'immigrer.

 

On ne peut dresser un tableau noir sur la France, sans en dresser un autre pour le pays qui nous accueille en tant qu'immigrant. Ce que l'on gagne d'un côté, ce perd de l'autre et vice et versa.

Je vais encore tenter une dernière expérience en France, essayer de retrouver ma vie, car depuis mon retour, je suis chez mes parents, donc pas facile d'avoir son indépendance surtout après 9 années loin de eux...

Le choix du retour actuellement m'est difficile, j'aurais le sentiment d'abandonner mes parents, ma famille  de nouveau, même si quand j'ai immigré en 2004, je m'en suis guère préoccupé. 

Je veux pas non plus partir de France suite à un "échec" sans avoir vraiment vécu la vie française. 

Donc l'année qui vient sera déterminante pour mon avenir, espérant qu'elle soit meilleur que l'actuel ! 
 

Posté(e)
Il y a 15 heures, seraphin a dit :

Bonjour mimi, moi ça fait plus de 2 ans que je suis revenu.

 

Pour ma part, mon retour était dû en partie au travail. Je travaillais dans une des nombreuses firmes d'ingénierie touché et pris dans la tourmente de la commission charbonneau. Le domaine était bloqué, les projets aussi, donc pas de perspective d'avenir pour ma part.

Aussi, comme ma famille étant toute en France, le meilleur des soutiens dans les moments durs, donc après 9 années au Québec, retour en France.

 

Au retour, en bonne réputation des administrations française, les démarches ont pris leur temps...
Point de vue recherche de travail, ça se passait plutôt bien, plusieurs contacts, mais qui ne correspondait pas toujours à mon profil et compétences... dans le style, on est là pour encaisser (cabinet de recrutement) même si ça correspond pas.

 

Ma 1ere expérience de travail dans un grand groupe,  ne fut pas des plus concluntes : tombés sur un responsable vieux gars célibataire proche de la retraite qui n'a eu que son travail dans la vie et qui malheureusement provoquait une très mauvaise ambiance dans le bureau créant un clivage entre ces "bons" et les "mauvais". Tant que je ne côtoyait pas les mauvais, tout se passait bien, mais dès lors que j'ai parlé au "mauvais" (qui m'ont donné leurs son de cloche) durant le repas de Noël sans sa présence,  c'était alors fini pour moi...
Par la suite, je suis tombé dans une petite PME, qui m'a pris pour combler un trou même sans expérience dans le domaine... sans compter l'accueil glacial d'un de mes collègues, le manque d'encadrement dans le cas d'une personne sans expérience dans le domaine et le manque d'ouverture de personnes de mon département d'origine... bref encore une mauvaise expérience !
J'ai eu une autre expérience guère plus concluante en tant que prestataire.

 

Bref, je ne sais pas si c'est une succession de malchance en tombant sur les mauvaises expériences ou bien j'ai été trop habitué au milieu de travail québécois ayant fait la majeure partie de ma carrière au Qc ?

 

Ces derniers temps, je réfléchis de plus en plus à revenir au Québec, là où j'ai été le mieux accueilli et considéré.

 

Peut être que ce retour, comme me disait des amis qui sont passés par le Qc puis revenu en France et sont maintenant en Irlande, est une piqûre de rappel pour se rappeler des raisons pourquoi on fait le choix d'immigrer.

 

On ne peut dresser un tableau noir sur la France, sans en dresser un autre pour le pays qui nous accueille en tant qu'immigrant. Ce que l'on gagne d'un côté, ce perd de l'autre et vice et versa.

Je vais encore tenter une dernière expérience en France, essayer de retrouver ma vie, car depuis mon retour, je suis chez mes parents, donc pas facile d'avoir son indépendance surtout après 9 années loin de eux...

Le choix du retour actuellement m'est difficile, j'aurais le sentiment d'abandonner mes parents, ma famille  de nouveau, même si quand j'ai immigré en 2004, je m'en suis guère préoccupé. 

Je veux pas non plus partir de France suite à un "échec" sans avoir vraiment vécu la vie française. 

Donc l'année qui vient sera déterminante pour mon avenir, espérant qu'elle soit meilleur que l'actuel ! 
 

Ton expérience est très intéressante, notamment dans ton expression "rappeler des raisons pourquoi on fait le choix d'immigrer".

Peut-être finalement que la réussite du retour dépend finalement de la raison de départ. Je m'explique : si tu émigres pour changer simplement de paysage et de culture, un peu comme des vacances, alors le retour est plus facile car c'est comme "rentrer à la maison". Mais si tu émigres parce que, par exemple, professionnellement, ça ne va pas du tout en France, alors effectivement, les choses ne changeant pas en 5 ou 10 ans (on peut même dire 30 ans), le retour sera très difficile.

Tu as, je pense, mis le doigt là où il faut !

Posté(e)
Il y a 19 heures, seraphin a dit :

Bonjour mimi, moi ça fait plus de 2 ans que je suis revenu.

 

Pour ma part, mon retour était dû en partie au travail. Je travaillais dans une des nombreuses firmes d'ingénierie touché et pris dans la tourmente de la commission charbonneau. Le domaine était bloqué, les projets aussi, donc pas de perspective d'avenir pour ma part.

Aussi, comme ma famille étant toute en France, le meilleur des soutiens dans les moments durs, donc après 9 années au Québec, retour en France.

 

Au retour, en bonne réputation des administrations française, les démarches ont pris leur temps...
Point de vue recherche de travail, ça se passait plutôt bien, plusieurs contacts, mais qui ne correspondait pas toujours à mon profil et compétences... dans le style, on est là pour encaisser (cabinet de recrutement) même si ça correspond pas.

 

Ma 1ere expérience de travail dans un grand groupe,  ne fut pas des plus concluntes : tombés sur un responsable vieux gars célibataire proche de la retraite qui n'a eu que son travail dans la vie et qui malheureusement provoquait une très mauvaise ambiance dans le bureau créant un clivage entre ces "bons" et les "mauvais". Tant que je ne côtoyait pas les mauvais, tout se passait bien, mais dès lors que j'ai parlé au "mauvais" (qui m'ont donné leurs son de cloche) durant le repas de Noël sans sa présence,  c'était alors fini pour moi...
Par la suite, je suis tombé dans une petite PME, qui m'a pris pour combler un trou même sans expérience dans le domaine... sans compter l'accueil glacial d'un de mes collègues, le manque d'encadrement dans le cas d'une personne sans expérience dans le domaine et le manque d'ouverture de personnes de mon département d'origine... bref encore une mauvaise expérience !
J'ai eu une autre expérience guère plus concluante en tant que prestataire.

 

Bref, je ne sais pas si c'est une succession de malchance en tombant sur les mauvaises expériences ou bien j'ai été trop habitué au milieu de travail québécois ayant fait la majeure partie de ma carrière au Qc ?

 

Ces derniers temps, je réfléchis de plus en plus à revenir au Québec, là où j'ai été le mieux accueilli et considéré.

 

Peut être que ce retour, comme me disait des amis qui sont passés par le Qc puis revenu en France et sont maintenant en Irlande, est une piqûre de rappel pour se rappeler des raisons pourquoi on fait le choix d'immigrer.

 

On ne peut dresser un tableau noir sur la France, sans en dresser un autre pour le pays qui nous accueille en tant qu'immigrant. Ce que l'on gagne d'un côté, ce perd de l'autre et vice et versa.

Je vais encore tenter une dernière expérience en France, essayer de retrouver ma vie, car depuis mon retour, je suis chez mes parents, donc pas facile d'avoir son indépendance surtout après 9 années loin de eux...

Le choix du retour actuellement m'est difficile, j'aurais le sentiment d'abandonner mes parents, ma famille  de nouveau, même si quand j'ai immigré en 2004, je m'en suis guère préoccupé. 

Je veux pas non plus partir de France suite à un "échec" sans avoir vraiment vécu la vie française. 

Donc l'année qui vient sera déterminante pour mon avenir, espérant qu'elle soit meilleur que l'actuel ! 
 

Beau témoignage tu as raison de te laisser du temps et de ne pas prendre de décision hâtive. Pour ma part le Québec m'a aussi beaucoup plus valorisée sur le plan professionnel. Le retour en France professionnellement parlant est très difficile pour mon mari et moi. Maintenant oui les raisons qui nous ont poussées à immigrer avant tout étaient d'avoir une meilleure vie. Mon mari a eu une opportunité et du coup oui tu as raison le retour fait mal retour à la case départ avec les problèmes qu'il y avait 6 ans auparavant. Je ne sais pas si nous pourrons retourner vivre au Québec mais on va s'en donner les moyens maintenant on se laisse nous aussi 1 an. Si dans un an nous n'avons rien trouvé nous ne prendrons pas de risque d'y retourner sans avoir un travail.

  • Habitués
Posté(e)
Il y a 14 heures, PhilMP a dit :

Ton expérience est très intéressante, notamment dans ton expression "rappeler des raisons pourquoi on fait le choix d'immigrer".

Peut-être finalement que la réussite du retour dépend finalement de la raison de départ. Je m'explique : si tu émigres pour changer simplement de paysage et de culture, un peu comme des vacances, alors le retour est plus facile car c'est comme "rentrer à la maison". Mais si tu émigres parce que, par exemple, professionnellement, ça ne va pas du tout en France, alors effectivement, les choses ne changeant pas en 5 ou 10 ans (on peut même dire 30 ans), le retour sera très difficile.

Tu as, je pense, mis le doigt là où il faut !

J'aime bien ton analyse PhilMP car elle résonne en moi. J'ai immigré au QC par envie d'aventure et de découverte d'un autre paysage, d'une autre culture comme tu dis et j'ai saisi une opportunité pour le faire. Je suis rentrée en France après 6 ans au Canada et le retour a été relativement facile effectivement. Réadaptation facile et le sentiment que je n'étais que très peu de temps partie, un job trouvé également rapidement. Aujourd'hui je suis contente d'être rentrée en France mais je crois surtout que le retour en France s'est bien passé parce que j'étais prête pour cela et que j'ai cru à ma chance aussi! Et ça à mon sens c'est capital car si on rentre contre son gré ou suite à un aléas dans sa vie sans avoir projeté cette éventualité avant dans sa tête c'est peut-être bien là qu'on risque de vivre un retour difficile. Et  tout autant si on se met dans un état d'esprit pessimiste avant même d'entreprendre!

Je n'ai plus l'enthousiasme des débuts (cette période de lune de miel existe aussi au retour il faut croire) et je peux vous dire que ma situation niveau boulot n'est pas au top puisque qu'après un contrat temporaire à mon retour qui m'a éreinté, j'ai repris l'activité que j'avais au Canada et que je viens d'y mettre un terme et donc me retrouve sur le marché de l'emploi français pour le début d'année prochaine.

 

Néanmoins je voudrais dire une chose à Mimi44: on ne peut pas jongler à long terme entre 2 pays et je suis bien placée pour te le dire. Il va falloir faire un choix.

Ton retour est-il vraiment une erreur? Ne penses-tu pas que c'était peut-être simplement une étape dans ton chemin de vie? Que cela allait peut-être t'amener à vraiment identifier des désirs profonds?

On est bien d'accord que sans boulot il est difficile de se sentir heureux mais on ne change pas de pays pour un boulot et ça je crois qu'il faudrait plus le dire aux candidats à l'immigration!

Car avec un travail, on peut assurer son existence financière, temporiser pour atteindre quelque chose d'autre, parfois se réaliser mais il ne changera pas la mentalité du pays d'accueil en aucune façon et si on n'est pas en harmonie et en acceptation de cette mentalité, tôt ou tard ça va coincer donc si je peux à mon tout petit niveau tenter de te donner un conseil c'est de te poser la question: est-ce que je me sens en accord avec la mentalité française? Est-ce que je me sens au fond de moi française?

Et distincte bien ta réponse de la déception de ne pas avoir retrouvé la France que tu as quitté, car on fait tous ça (nostalgie des racines), on s'est fait une idée d'un pays en vivant loin déconnecté du quotidien! Oui le pays a changé mais tu n'as pas vraiment vécu ces changements et là tu te les prends d'un coup en pleine face au retour! Il y en a des choses à rattraper! C'est toujours moins plaisant de devoir rattraper des choses où l'on a brillé par notre absence que de se nourrir d'expériences pour tenter d'appréhender une nouvelle donne.

 

Moi, je crois que la clé est de savoir comment tu te sens au moment où tu es dans chacun des pays.

Pas le souvenir de tel ou tel moment mais lorsque tu as pleine conscience d'être là où tu te trouves, ton cœur te dit quoi? Ne penses pas à la faisabilité, aux opportunités professionnelles... Un jour que tu es "dans de bonnes vibes", par une belle journée, balade toi par exemple dans une rue qui te plait stoppe à un arrêt de bus, regarde le paysage, les gens, la vie qui se déroule devant toi quoi... Que vois-tu? Que décrirais-tu?

Là où tu noteras moins de défauts et + de points positifs dans un temps imposé est là où tu devrais t'installer. Fais-le dans un pays puis l'autre sans surtout chercher à compter les + les -, sans vouloir comparer, fais-le de façon intuitive et je crois que tu auras ta réponse. Je ne sais pas si cette expérience t'est réalisable...

 

J'espère que tu pourras rapidement apporter une réponse à ton questionnement car rester dans le doute et l'éventualité de est inconfortable et épuisant ;)

 

 

 

 

Posté(e)
Il y a 2 heures, TITNINI a dit :

J'aime bien ton analyse PhilMP car elle résonne en moi. J'ai immigré au QC par envie d'aventure et de découverte d'un autre paysage, d'une autre culture comme tu dis et j'ai saisi une opportunité pour le faire. Je suis rentrée en France après 6 ans au Canada et le retour a été relativement facile effectivement. Réadaptation facile et le sentiment que je n'étais que très peu de temps partie, un job trouvé également rapidement. Aujourd'hui je suis contente d'être rentrée en France mais je crois surtout que le retour en France s'est bien passé parce que j'étais prête pour cela et que j'ai cru à ma chance aussi! Et ça à mon sens c'est capital car si on rentre contre son gré ou suite à un aléas dans sa vie sans avoir projeté cette éventualité avant dans sa tête c'est peut-être bien là qu'on risque de vivre un retour difficile. Et  tout autant si on se met dans un état d'esprit pessimiste avant même d'entreprendre!

Je n'ai plus l'enthousiasme des débuts (cette période de lune de miel existe aussi au retour il faut croire) et je peux vous dire que ma situation niveau boulot n'est pas au top puisque qu'après un contrat temporaire à mon retour qui m'a éreinté, j'ai repris l'activité que j'avais au Canada et que je viens d'y mettre un terme et donc me retrouve sur le marché de l'emploi français pour le début d'année prochaine.

 

Néanmoins je voudrais dire une chose à Mimi44: on ne peut pas jongler à long terme entre 2 pays et je suis bien placée pour te le dire. Il va falloir faire un choix.

Ton retour est-il vraiment une erreur? Ne penses-tu pas que c'était peut-être simplement une étape dans ton chemin de vie? Que cela allait peut-être t'amener à vraiment identifier des désirs profonds?

On est bien d'accord que sans boulot il est difficile de se sentir heureux mais on ne change pas de pays pour un boulot et ça je crois qu'il faudrait plus le dire aux candidats à l'immigration!

Car avec un travail, on peut assurer son existence financière, temporiser pour atteindre quelque chose d'autre, parfois se réaliser mais il ne changera pas la mentalité du pays d'accueil en aucune façon et si on n'est pas en harmonie et en acceptation de cette mentalité, tôt ou tard ça va coincer donc si je peux à mon tout petit niveau tenter de te donner un conseil c'est de te poser la question: est-ce que je me sens en accord avec la mentalité française? Est-ce que je me sens au fond de moi française?

Et distincte bien ta réponse de la déception de ne pas avoir retrouvé la France que tu as quitté, car on fait tous ça (nostalgie des racines), on s'est fait une idée d'un pays en vivant loin déconnecté du quotidien! Oui le pays a changé mais tu n'as pas vraiment vécu ces changements et là tu te les prends d'un coup en pleine face au retour! Il y en a des choses à rattraper! C'est toujours moins plaisant de devoir rattraper des choses où l'on a brillé par notre absence que de se nourrir d'expériences pour tenter d'appréhender une nouvelle donne.

 

Moi, je crois que la clé est de savoir comment tu te sens au moment où tu es dans chacun des pays.

Pas le souvenir de tel ou tel moment mais lorsque tu as pleine conscience d'être là où tu te trouves, ton cœur te dit quoi? Ne penses pas à la faisabilité, aux opportunités professionnelles... Un jour que tu es "dans de bonnes vibes", par une belle journée, balade toi par exemple dans une rue qui te plait stoppe à un arrêt de bus, regarde le paysage, les gens, la vie qui se déroule devant toi quoi... Que vois-tu? Que décrirais-tu?

Là où tu noteras moins de défauts et + de points positifs dans un temps imposé est là où tu devrais t'installer. Fais-le dans un pays puis l'autre sans surtout chercher à compter les + les -, sans vouloir comparer, fais-le de façon intuitive et je crois que tu auras ta réponse. Je ne sais pas si cette expérience t'est réalisable...

 

J'espère que tu pourras rapidement apporter une réponse à ton questionnement car rester dans le doute et l'éventualité de est inconfortable et épuisant ;)

 

 

 

 

Merci pour ce beau témoignage. Nous voulons revenir au Québec pour retrouver avant tout les valeurs et la mentalité du pays. Ton exercice est très intéressant il faudrait que je le fasse pour me rendre compte. Ensuite tu as raison lorsque tu dis que vivre dans le doute et l'incertitude est inconfortable. Comme je l'ai déjà dit précédemment notre retour dépendra du travail de mon mari au jour d'aujourd'hui nous ne pouvons plus prendre de risque. Nous avons une petite fille qui a assez subit le changement cette dernière année. 

Il faudra que je fasse ton exercice mais il est vrai que le pays où je me suis sentie heureuse dernièrement est le Québec. Le seul hic c'était la famille qui était beaucoup trop loin.

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Bonjour Séraphin,

Je suis de tout coeur avec toi, je vis la même chose ou presque, par contre moi, ça fait depuis un an que je galère pour trouver un travail en France!!! 

Mais comme toi, j'ai du retourner vivre chez mes parents, très difficile en effet à mon âge, plus de vie privée, être obligée de se justifier pour tout ce que je fais... Période très difficile à vivre, même si je sais que je n'ai pas beaucoup de choix en ce moment, surtout financièrement. 

Récemment, j'avais enfin un espoir de pouvoir trouver le job qui me plait vraiment et repartir par le biais d'une grande entreprise française dans une de leur filiale en Asie, et c'est tombé à l'eau encore une fois.

En ce qui me concerne, je pense de plus en plus à repartir car je ne me vois aucun avenir ici. Apres, j'ai des amis qui ont très vite trouvé leur job et une belle vie en rentrant en France. Mais malheureusement, ce n'est pas le cas de tous et ça dépend vraiment des secteurs je pense.

Espérons que 2016 soit meilleure!!!

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il y a 22 minutes, efbee a dit :

Bonjour Séraphin,

Je suis de tout coeur avec toi, je vis la même chose ou presque, par contre moi, ça fait depuis un an que je galère pour trouver un travail en France!!! 

Mais comme toi, j'ai du retourner vivre chez mes parents, très difficile en effet à mon âge, plus de vie privée, être obligée de se justifier pour tout ce que je fais... Période très difficile à vivre, même si je sais que je n'ai pas beaucoup de choix en ce moment, surtout financièrement. 

Récemment, j'avais enfin un espoir de pouvoir trouver le job qui me plait vraiment et repartir par le biais d'une grande entreprise française dans une de leur filiale en Asie, et c'est tombé à l'eau encore une fois.

En ce qui me concerne, je pense de plus en plus à repartir car je ne me vois aucun avenir ici. Apres, j'ai des amis qui ont très vite trouvé leur job et une belle vie en rentrant en France. Mais malheureusement, ce n'est pas le cas de tous et ça dépend vraiment des secteurs je pense.

Espérons que 2016 soit meilleure!!!

Oui le travail fait partie de la qualité de vie et contribue au bonheur. Moi aussi je te rassure ça fait plus de 6 mois que je galère. J'ai envisagé une reconversion professionnelle et à part du découragement et du c'est compliqué il n'y a pas de travail c'est tout ce que j'ai entendu. Je suis donc arrivée à faire n'importe quel petit boulot pour pouvoir vivre et même là j'ai du mal à trouver. Donc oui croisons les doigts pour 2016 mais nous ne sommes pas les seules dans cette situation puisque le chômage n'a jamais été aussi haut depuis plus de 20 ans

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