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Le déficit migratoire du Québec gonfle à nouveau


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Publié le 11 juillet 2014 à 07h52 | Mis à jour à 07h52

Le déficit migratoire du Québec gonfle à nouveau
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L'augmentation du déficit freine la croissance de la population québécoise et accentue son vieillissement puisque le gros des migrants est âgé de moins de 40 ans.

PHOTOTHÈQUE LE SOLEIL

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ANDRÉ DUBUC
La Presse

Après cinq années encourageantes, le déficit migratoire du Québec au profit des autres provinces s'est considérablement creusé en 2013. La province a perdu près 13 000 habitants au profit principalement de l'Ontario et l'Alberta.

Il s'agit du pire résultat depuis 2007. De 2008 à 2012, le Québec a perdu de 4000 à 10 000 personnes par année. Le déficit de 2013 s'apparente à celui de la deuxième moitié de la décennie 90, marquée par un chômage élevé.

«Si on regarde la série chronologique, des pertes de 4000 personnes comme il y en a eu dans les dernières années sont relativement rares, souligne Chantal Girard, démographe à l'Institut de la statistique du Québec (ISQ). On a plutôt eu une moyenne de 10 000 dans les 20 et 30 dernières années, ajoute-t-elle.

Les chiffres de 2013 sont des données préliminaires. Le nombre d'entrants et de sortants peut varier de 20% avec les chiffres définitifs, signale Mme Girard. Toutefois, les données préliminaires concernant le solde des migrations interprovinciales sont habituellement plus fiables.

Les causes exactes de la détérioration du solde migratoire ne sont pas connues. Historiquement, les migrations d'une province à l'autre sont dictées par la situation économique.

«Souvent, il y a au moins une autre province qui va mieux économiquement que le Québec et c'est cette province qui attire les travailleurs», dit Mme Girard, auteure d'une étude sur la migration interprovinciale publiée en 2010.

En 2013, ceux qui ont quitté le Québec sont allés en Ontario et en Alberta. Le déficit avec l'Alberta (-5076) est l'un des plus importants depuis le boom pétrolier de la fin des années 70.

Au net, le solde migratoire total reste en positif (+ 33 300 personnes) parce que le Québec accueille plus de personnes en provenance de l'étranger qu'il n'en perd. Par exemple, selon les données provisoires, la province a reçu 52 000 immigrants en 2013, alors que seulement 6100 Québécois ont quitté le Canada.

N'empêche, l'augmentation du déficit dans les migrations interprovinciales n'est pas sans conséquence. Elle freine la croissance de la population québécoise et accentue son vieillissement puisque le gros des migrants est âgé de moins de 40 ans.

source : http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201407/11/01-4782979-le-deficit-migratoire-du-quebec-gonfle-a-nouveau.php

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  • Habitués

C'est un problème assez préoccupant.

Les citoyens que le Québec perd sont généralement des jeunes travailleurs hyper-scolarisés et performants. Ils quittent majoritairement parce qu'ils obtiennent de généreux contrats à l'étrangers.

Pendant ce temps, le gouvernement du Québec tente de remplacer cette main d'oeuvre perdue par des immigrants qui, économiquement parlant, sous sous-performant par rapport aux citoyens perdus.

Bref, une opportunité ratée pour le Québec.

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Les populations immigrantes quittent le Québec sans doute à cause des énormes difficultés et équivalences coûteuses et interminables pour avoir un boulot dans leur domaine de formation, sans compter la fameuse expérience québécoise qu'exigent les employeurs.

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Les populations immigrantes quittent le Québec sans doute à cause des énormes difficultés et équivalences coûteuses et interminables pour avoir un boulot dans leur domaine de formation, sans compter la fameuse expérience québécoise qu'exigent les employeurs.

Ça, tu va le retrouver partout ailleurs.

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C'est un problème assez préoccupant.

Les citoyens que le Québec perd sont généralement des jeunes travailleurs hyper-scolarisés et performants. Ils quittent majoritairement parce qu'ils obtiennent de généreux contrats à l'étrangers.

Pendant ce temps, le gouvernement du Québec tente de remplacer cette main d'oeuvre perdue par des immigrants qui, économiquement parlant, sous sous-performant par rapport aux citoyens perdus.

Bref, une opportunité ratée pour le Québec.

Je ne suis pas convaincu que les immigrants soient sous-performants par rapport aux jeunes qui quittent le Quebec.

De plus, l'article fait etat des gens qui quittent le Quebec pour s'installer principalement en Ontario ou en Alberta. Il ne me semble pas que l'on puisse considerer ces provinces comme des pays etrangers.

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Je ne suis pas convaincu que les immigrants soient sous-performants par rapport aux jeunes qui quittent le Quebec.

De plus, l'article fait etat des gens qui quittent le Quebec pour s'installer principalement en Ontario ou en Alberta. Il ne me semble pas que l'on puisse considerer ces provinces comme des pays etrangers.

Un Québécois qui travaille en Alberta y est aussi fiscalement basé, donc on peut considérer que c'est une perte pour la province.

Le chômage au Québec chez les 19-25 ans est d'environ 11 %.

Pour la communauté maghrébine au Québec, tout âge confondus on parle de presque 30 %. Le portrait n'est pas mieux du côté des ressortissant d'Afrique sub-saharienne et haïtiens, dont le taux s'établis à environ 20 %. Je pense que, avec ces chiffres, on peut légitimement parler de sous-performance.

Pendant ce temps, la session passé, j'ai plusieurs amis qui ont assisté à un cocktail universitaire organisé par une entreprise étrangère. Le but était de les convaincre d'appliquer sur des stages rémunérés et emplois... à Shanghai !

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Je ne suis pas convaincu que les immigrants soient sous-performants par rapport aux jeunes qui quittent le Quebec.

De plus, l'article fait etat des gens qui quittent le Quebec pour s'installer principalement en Ontario ou en Alberta. Il ne me semble pas que l'on puisse considerer ces provinces comme des pays etrangers.

Un Québécois qui travaille en Alberta y est aussi fiscalement basé, donc on peut considérer que c'est une perte pour la province.

Le chômage au Québec chez les 19-25 ans est d'environ 11 %.

Pour la communauté maghrébine au Québec, tout âge confondus on parle de presque 30 %. Le portrait n'est pas mieux du côté des ressortissant d'Afrique sub-saharienne et haïtiens, dont le taux s'établis à environ 20 %. Je pense que, avec ces chiffres, on peut légitimement parler de sous-performance.

Pendant ce temps, la session passé, j'ai plusieurs amis qui ont assisté à un cocktail universitaire organisé par une entreprise étrangère. Le but était de les convaincre d'appliquer sur des stages rémunérés et emplois... à Shanghai !

Ok, mais je comprend donc que par sous-performance, tu veux dire sous-emploi, non ?

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Ok, mais je comprend donc que par sous-performance, tu veux dire sous-emploi, non ?

Oui. Non-seulement sous-emploi, mais aussi des emplois qui statistiquement payent moins et contribuent donc moins à l'économie ainsi qu'à l'impôt.

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Ok, mais je comprend donc que par sous-performance, tu veux dire sous-emploi, non ?

Oui. Non-seulement sous-emploi, mais aussi des emplois qui statistiquement payent moins et contribuent donc moins à l'économie ainsi qu'à l'impôt.

Un bon nombre de ceux qui partent sont aussi des immigrants,déçus justement par leur "sous-performance" au Québec.

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Je ne suis pas convaincu que les immigrants soient sous-performants par rapport aux jeunes qui quittent le Quebec.

De plus, l'article fait etat des gens qui quittent le Quebec pour s'installer principalement en Ontario ou en Alberta. Il ne me semble pas que l'on puisse considerer ces provinces comme des pays etrangers.

Un Québécois qui travaille en Alberta y est aussi fiscalement basé, donc on peut considérer que c'est une perte pour la province.

Le chômage au Québec chez les 19-25 ans est d'environ 11 %.

Pour la communauté maghrébine au Québec, tout âge confondus on parle de presque 30 %. Le portrait n'est pas mieux du côté des ressortissant d'Afrique sub-saharienne et haïtiens, dont le taux s'établis à environ 20 %. Je pense que, avec ces chiffres, on peut légitimement parler de sous-performance.

Pendant ce temps, la session passé, j'ai plusieurs amis qui ont assisté à un cocktail universitaire organisé par une entreprise étrangère. Le but était de les convaincre d'appliquer sur des stages rémunérés et emplois... à Shanghai !

Ce que tu dis est complètement faux. Le "fameux" 30%, qui, en fait, est 27,1% est le taux de chômage en 2006 de la cohorte des immigrants très récents, soit ceux arrivés entre 2001-2006.

Le taux de chômage pour l'ensemble de la communauté maghrébine est de 19,2% en 2006.

http://www.quebecinterculturel.gouv.qc.ca/publications/fr/diversite-ethnoculturelle/com-maghrebine-2006.pdf

Dans un précédent message sur ce même thème, j'écrivais ceci:

Côté provincial, une étude a été produite en juin 2008 par l'économiste Malika Hamzaoui. On oublie souvent que le pourcentage élevé duchômage maghrébin, le fameux 27.11% se résorbe à 17.0% entre 5 à 10 ans pour ensuite descendre à 9.8% après plus de 10 ans. L'image suivante est tirée d'une présentation power point disponible ICI . Vous y verrez aussi la différence entre les taux de chômage selon les régions de provenance, notamment l'Asie.

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Ce que tu dis est complètement faux. Le "fameux" 30%, qui, en fait, est 27,1% est le taux de chômage en 2006 de la cohorte des immigrants très récents, soit ceux arrivés entre 2001-2006.

Le taux de chômage pour l'ensemble de la communauté maghrébine est de 19,2% en 2006.

http://www.quebecinterculturel.gouv.qc.ca/publications/fr/diversite-ethnoculturelle/com-maghrebine-2006.pdf

Dans un précédent message sur ce même thème, j'écrivais ceci:

Côté provincial, une étude a été produite en juin 2008 par l'économiste Malika Hamzaoui. On oublie souvent que le pourcentage élevé du chômage maghrébin, le fameux 27.11% se résorbe à 17.0% entre 5 à 10 ans pour ensuite descendre à 9.8% après plus de 10 ans. L'image suivante est tirée d'une présentation power point disponible ICI . Vous y verrez aussi la différence entre les taux de chômage selon les régions de provenance, notamment l'Asie.

Malheureusement, tu peux ne pas aimer mes propos, mais les chiffres restent vrai. Mais, merci de la précision.

19,2%, c'est encore plus du double du taux de chômage des Québécois de souches. En gros, même des années après avoir immigré, impossible de rattraper la productivité des "purs laines".

On comprend mieux maintenant pourquoi remplacer nos jeunes travailleurs très diplômés par des gens issus de l'immigration n'est peut-être pas une solution réaliste, et économiquement souhaitable.

Modifié par TheMan
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Ce que tu dis est complètement faux. Le "fameux" 30%, qui, en fait, est 27,1% est le taux de chômage en 2006 de la cohorte des immigrants très récents, soit ceux arrivés entre 2001-2006.

Le taux de chômage pour l'ensemble de la communauté maghrébine est de 19,2% en 2006.

http://www.quebecinterculturel.gouv.qc.ca/publications/fr/diversite-ethnoculturelle/com-maghrebine-2006.pdf

Dans un précédent message sur ce même thème, j'écrivais ceci:

Côté provincial, une étude a été produite en juin 2008 par l'économiste Malika Hamzaoui. On oublie souvent que le pourcentage élevé du chômage maghrébin, le fameux 27.11% se résorbe à 17.0% entre 5 à 10 ans pour ensuite descendre à 9.8% après plus de 10 ans. L'image suivante est tirée d'une présentation power point disponible ICI . Vous y verrez aussi la différence entre les taux de chômage selon les régions de provenance, notamment l'Asie.

Malheureusement, tu peux ne pas aimer mes propos, mais les chiffres restent vrai. Mais, merci de la précision.

19,2%, c'est encore plus du double du taux de chômage des Québécois de souches. En gros, même des années après avoir immigré, impossible de rattraper la productivité des "purs laines".

On comprend mieux maintenant pourquoi remplacer nos jeunes travailleurs très diplômés par des gens issus de l'immigration n'est peut-être pas une solution réaliste, et économiquement souhaitable.

Je ne comprends pas très bien ton raisonnement. En quoi les jeunes travailleurs Québécois pur laine diplômés qui quittent le Quebec ne pourraient-ils pas être remplacés par des immigrants diplômés ?

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Ce que tu dis est complètement faux. Le "fameux" 30%, qui, en fait, est 27,1% est le taux de chômage en 2006 de la cohorte des immigrants très récents, soit ceux arrivés entre 2001-2006.

Le taux de chômage pour l'ensemble de la communauté maghrébine est de 19,2% en 2006.

http://www.quebecinterculturel.gouv.qc.ca/publications/fr/diversite-ethnoculturelle/com-maghrebine-2006.pdf

Dans un précédent message sur ce même thème, j'écrivais ceci:

Côté provincial, une étude a été produite en juin 2008 par l'économiste Malika Hamzaoui. On oublie souvent que le pourcentage élevé du chômage maghrébin, le fameux 27.11% se résorbe à 17.0% entre 5 à 10 ans pour ensuite descendre à 9.8% après plus de 10 ans. L'image suivante est tirée d'une présentation power point disponible ICI . Vous y verrez aussi la différence entre les taux de chômage selon les régions de provenance, notamment l'Asie.

Malheureusement, tu peux ne pas aimer mes propos, mais les chiffres restent vrai. Mais, merci de la précision.

19,2%, c'est encore plus du double du taux de chômage des Québécois de souches. En gros, même des années après avoir immigré, impossible de rattraper la productivité des "purs laines".

On comprend mieux maintenant pourquoi remplacer nos jeunes travailleurs très diplômés par des gens issus de l'immigration n'est peut-être pas une solution réaliste, et économiquement souhaitable.

Je ne comprends pas très bien ton raisonnement. En quoi les jeunes travailleurs Québécois pur laine diplômés qui quittent le Quebec ne pourraient-ils pas être remplacés par des immigrants diplômés ?

d après ce que j'ai comprends de son raisonnement, c est que l immigrant est forcément moins bon (performant ?)
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  • Habitués

Pourtant c'est plutôt l'inverse. Il y a beaucoup d'immigrés plus qualifiés que les québécois qui débarquent et cela rebute les "pur laine" d'ou un frein sur la reconnaissance des diplômes et compagnie.

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Je ne comprends pas très bien ton raisonnement. En quoi les jeunes travailleurs Québécois pur laine diplômés qui quittent le Quebec ne pourraient-ils pas être remplacés par des immigrants diplômés ?

Ils pourraient théoriquement, mais est-ce avantageux pour le Québec ?

Pense-y. Tu remplace un groupe de 1000 personnes avec un taux de chômage de, disons 10 %, par un groupe avec 20 %. Tu vois le problème non ?

d après ce que j'ai comprends de son raisonnement, c est que l immigrant est forcément moins bon (performant ?)

Pas individuellement. Plusieurs sont aussi compétent que des citoyens nés au Québec. Mais collectivement, le taux de chômage est plus élevé dans les communautés d'origine étrangères. C'est simplement une statistique. Donc, à l'échelle du groupe, on peut parler de sous-performance.

Pourtant c'est plutôt l'inverse. Il y a beaucoup d'immigrés plus qualifiés que les québécois qui débarquent et cela rebute les "pur laine" d'ou un frein sur la reconnaissance des diplômes et compagnie.

Encore l'hypothèse du complot et du racisme... Ça doit être la faute des Francs-Maçons ! :laugh:

Je ne répond même pas :laugh:

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  • Habitués

T'as craqué! Ou tu vois du complot et du racisme? Je ne pense pas du tout à ca en l'écrivant, je rapporte juste un fait et ce que me dit de la famille (quebecoise) et amis là bas.

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  • Habitués

d après ce que j'ai comprends de son raisonnement, c est que l immigrant est forcément moins bon (performant ?)

Pas individuellement. Plusieurs sont aussi compétent que des citoyens nés au Québec. Mais collectivement, le taux de chômage est plus élevé dans les communautés d'origine étrangères. C'est simplement une statistique. Donc, à l'échelle du groupe, on peut parler de sous-performance.

De sous-performance à être recruté, dans ce cas. C'est un phénomène universel de recruter en priorité les personnes nées dans le pays, si tu connais un contre-exemple, merci de le citer. Reste qu'on ne voit absolument aucun rapport, ni de près, ni de loin, avec la performance.

Modifié par Regression
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  • Habitués

De sous-performance à être recruté, dans ce cas. C'est un phénomène universel de recruter en priorité les personnes nées dans le pays, si tu connais un contre-exemple, merci de le citer. Reste qu'on ne voit absolument aucun rapport, ni de près, ni de loin, avec la performance.

Collectivement, un groupe de taille égal à 20 % de chômage va générer moins de revenus pour l'état et l'économie qu'un groupe à 10 %. C'est simplement des mathématiques de base...

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