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Évalution comparative des études...


Angel-fr

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  • Habitués

... effectuées hors du Québec


Voilà ! Je l'ai enfin reçue ce vendredi 11 avril 2014, soit près d'1 an après l'avoir demandée...

J'espère vraiment que ça m'ouvrira des portes.

Pour ceux qui l'ont reçue : est-ce que ça vous a servi ?

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  • Habitués

Bravo ! De mon côté ça était obligatoire pour mon ordre prof... Et l'ordre prof était nécessaire pour obtenir les points associes au domaine prioritaire au CSQ (assimilé diplôme québécois).

L'Université l'a reconnu d'office. Et certains employeurs me le demandent. Donc je trouve ça top de l'avoir.

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  • Habitués

Bonjour Angel-fr

Pour ma part, mon mari l'avait fait faire à son arrivée, son diplôme algérien équivalait à un bac +4 en génie chimique ici mais il n'a jamais été capable de se placer dans son domaine, le mieux qu'il a réussi à trouver est un poste de technicien en chimie...à 3 heures de route de chez nous :blink2: Par contre il est retourné à l'Université et on lui a demandé cette évaluation donc oui pour le retour au étude elle aura été nécessaire.

Aujourd'hui presque 4 ans plus tard, on est propriétaire d'une résidence de personnes âgés....disons qu'il a un peu bifurqué de son domaine d'étude lollll.

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  • Habitués

merci geckooa pour ton témoignage

@La gamine : a-t-il fait appel à une structure pour déterminer s'il s'agit d'un problème de communication et d'argumentation, ou si c'est un problème de reconnaissance de l'acquis en dehors du Québec ?

Modifié par Angel-fr
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  • Habitués

Son diplôme n'étant pas reconnu, l'expérience était nécessaire, ce qu'il n'avait pas. Bon je ne sais pas si c'était le manque d'expérience québécoise ou le nom arabe sur le c.v. qui faisait que personne ne le l'appelait mais il n'en est pas moins qu'il est ingénieur en chimie industriel. Il a même fait évaluer ses études par l'Ordre des chimistes et a été accepté comme membre mais même avec ca....toujours pas de boulot à l'horizon, découragé il est retourné à l'Université Laval pour refaire des cours de bac et de maitrise en chimie. 1½ ans plus tard l'espoir jaillit, un appel pour une entrevue pour un poste de technicien en chimie, il n'avait pas de problème à commencer au bas de l'échelle m'a t'il dit mais le poste était à 3 heures de route de notre maison, on y a quand même pensé mais notre projet d'acheter une résidence de personnes âgés était en marche, on attendait le ok de la banque alors quand celui ci fut donné il a refusé le poste. Aujourd'hui il ne regrette rien, il adore ce qu'il fait, il a prit les cours nécessaires pour pouvoir pratiquer le métier de préposé et il est très heureux dans ce choix. Il m'a avoué qu'il voulait faire médecin avant que sa mère le convainc de faire ingénieur, finalement il travail avec son cœur et apprécie la compagnie des ainés, moi c'était un vieux rêve que je caressais depuis longtemps alors on est heureux, on rend des gens heureux et c'est tout ce qui compte ! :smile:

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  • Habitués

C'est bien ce que je me dis : peu importe le travail qui croise notre chemin pourvu que l'on s'y sente bien!

Sinon, j'ai vu comme il est difficile de faire reconnaître un savoir-faire : pour certains, il s'agit d'un pari fou que de parvenir au Québec comme travailleur qualifié, tout en sachant qu'il n'y a pas de certitude absolue pour que le poste sur lequel les gens se retrouvent, conviennent vraiment.

L'une des phrases types entendues par ceux qui parviennent à l'entretien c'est : "vous êtes trop qualifié, vous vous ennuyeriez à ce poste". Je me dis que pour ceux qui entendent ça, il s'agit alors d'avoir LA réponse adaptée et susceptible de rassurer vraiment le recruteur.

J'ai pensé que l'éventuel obstacle pouvait se situer sur le registre de langage, le cercle de référence commun... sur la communication au fond où d'un côté, on peut craindre des quiproquos, des incompréhensions susceptible de coûter en temps au mieux, et de l'autre côté, l'incertitude sur ce que le recruteur est susceptible de comprendre.

Pourquoi j'ai pensé ça ? Tout simplement, parce que dans un questionnaire d'analyse d'un texte lors d'un recrutement organisé par une entreprise dans l'agro-alimentaire, je me suis aperçu que la question qui m'avait gêné et dont j'ai oublié l'intitulé, était formulé dans un français différent de celui que je connais, dans un français que j'avais du mal à comprendre, à analyser.

J'en ai déduit que les évaluations avaient effectivement leurs limites et qu'il fallait trouver d'autres éléments pour étayer son "argumentaire" et convaincre le recruteur québécois.

J'ai vu aussi qu'il y avait une évaluation sur le niveau de maîtrise du français (évaluation des compétences linguistiques pour être précis), pour ceux qui désirent obtenir la citoyenneté et pour les travailleurs qualifiés.

Faudrait-il faire l'évaluation des compétences linguistiques aussi pour les personnes parrainées pour augmenter leurs chances d'intégration ?

Modifié par Angel-fr
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