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Bien sur qu'il faut s'informer avant. Seulement entre la reconnaissance officielle et la réalité, il y a souvent tout un monde...

Invité mckenzie
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Alors cette personne aurait sans doute dû mieux s'informer et contacter l'ordre professionnel ou faire évaluer ses diplôme avant d'entreprendre les démarches mais au moins avant de prendre la décision finale. Je ne veux pas me montrer meilleur mais j'ai travaillé à l'étranger et avant de partir je me suis assuré que mes diplômes étaient reconnus

Très bien dit. Tout à fait d'accord.

  • Habitués
Posté(e)

Alors cette personne aurait sans doute dû mieux s'informer et contacter l'ordre professionnel ou faire évaluer ses diplôme avant d'entreprendre les démarches mais au moins avant de prendre la décision finale. Je ne veux pas me montrer meilleur mais j'ai travaillé à l'étranger et avant de partir je me suis assuré que mes diplômes étaient reconnus, je ne me suis pas seulement fié à ce qu'un fonctionnaire me disait (comme dans tous les pays, il y en a des bons et des moins bons. Il ne faut pas oublier que la problématique des diplômes existe également dans plusieurs cas entre les provinces et même pour les canadiens!

Parce qu'un diplôme est reconnu par un organisme qui l'a évalué ne signifie nullement qu'il sera reconnu par un employeur ou même une université. D'ailleurs, beaucoup d'immigrants font en fait évaluer leurs diplômes avant de venir. On leur donne une évaluation mais quand ils arrivent sur place, ils ne sont pas plus avancés.

Les diplômes c'est un problème parmi d'autres. A cela il faut ajouter le conservatisme des employeurs locaux face à l'absence d’expérience locale et le fameux réseau qui fait cruellement défaut aux nouveaux immigrants, et sans lequel tout est plus difficile.

Posté(e) (modifié)

Faut pas se leurrer non plus.

Le fait d'avoir un diplome reconnu n'est pas une assurance de décrocher un boulot pour autant.

Il y a surement des immigrants qui ont le diplome reconnu, qui parlent français et anglais, qui ont de l'experience dans un secteur qui manque de main d'oeuvre, et qui ne seront pas pris.

Il suffit de tomber sur un recruteur bourré de préjugés (j'aime pas les vieux, j'aime pas gens qui mangent des pommes, j'aime pas ceux qui roulent en voitures suedoises...) et tu seras recalé durant l'entretien (si tu as eu la chance de passer le filtre du cv).

Et c'est même pas une question d'etre immigrant.

C'est une question de préjugé idiot, qui peut s'appliquer même si tu es né dans le pays.

Modifié par sdompi
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Je suis d'accord avec toi mais parfois il y a des limites. Premièrement le système du réseau cela existe ailleurs alors il ne faut pas tomber des nues! L'un des problèmes que j'ai souvent rencontrés, est que la personne refuse de prendre les moyens. Je m'explique, des personnes me disent : "Non, je ne suis pas allé aux journées d'accueil du gouvernement, car ce n'est que du baratin de fonctionnaires" ou encore: "Non, je ne veux pas aller faire du bénévolat (ex.: carnaval de Québec), non je ne suis pas allé à la Chambre de commerce de ma ville ou entendu très souvent:"Non je ne veux pas de ce poste, il est de soirs et j'ai fait plus que mon quota dans mon pays" oui mais vous auriez les pieds dans la boîte...... refus!

Par contre, j'ai des amis qui ont pris le taureau par les cornes (si tu me permets l'expression) et en quelques mois s'étaient trouvé un travail et quand ils ont fait leurs preuves, ils ont eu des promotions. Comme dans tous les pays du monde!

  • Habitués
Posté(e)

Je suis d'accord avec toi mais parfois il y a des limites. Premièrement le système du réseau cela existe ailleurs alors il ne faut pas tomber des nues! L'un des problèmes que j'ai souvent rencontrés, est que la personne refuse de prendre les moyens. Je m'explique, des personnes me disent : "Non, je ne suis pas allé aux journées d'accueil du gouvernement, car ce n'est que du baratin de fonctionnaires" ou encore: "Non, je ne veux pas aller faire du bénévolat (ex.: carnaval de Québec), non je ne suis pas allé à la Chambre de commerce de ma ville ou entendu très souvent:"Non je ne veux pas de ce poste, il est de soirs et j'ai fait plus que mon quota dans mon pays" oui mais vous auriez les pieds dans la boîte...... refus!

Par contre, j'ai des amis qui ont pris le taureau par les cornes (si tu me permets l'expression) et en quelques mois s'étaient trouvé un travail et quand ils ont fait leurs preuves, ils ont eu des promotions. Comme dans tous les pays du monde!

C'est encore un autre cas de figure, l'immigrant qui ne veut pas faire d'effort ou qui s'imagine que tout va tomber tout cuit. C'est très loin d’être la majorité toutefois.

Invité mckenzie
Posté(e)

Alors cette personne aurait sans doute dû mieux s'informer et contacter l'ordre professionnel ou faire évaluer ses diplôme avant d'entreprendre les démarches mais au moins avant de prendre la décision finale. Je ne veux pas me montrer meilleur mais j'ai travaillé à l'étranger et avant de partir je me suis assuré que mes diplômes étaient reconnus, je ne me suis pas seulement fié à ce qu'un fonctionnaire me disait (comme dans tous les pays, il y en a des bons et des moins bons. Il ne faut pas oublier que la problématique des diplômes existe également dans plusieurs cas entre les provinces et même pour les canadiens!

Parce qu'un diplôme est reconnu par un organisme qui l'a évalué ne signifie nullement qu'il sera reconnu par un employeur ou même une université. D'ailleurs, beaucoup d'immigrants font en fait évaluer leurs diplômes avant de venir. On leur donne une évaluation mais quand ils arrivent sur place, ils ne sont pas plus avancés.

Faut conctacter l'ordre professionnel de la province canadienne en question et faire ce que demande l'ordre professionnel... une fois que l'individu est en règle avec l'ordre professionel de sa profession, il peut exercer son métier en toute légalité.

  • Habitués
Posté(e)

Faut conctacter l'ordre professionnel de la province canadienne en question et faire ce que demande l'ordre professionnel... une fois que l'individu est en règle avec l'ordre professionel de sa profession, il peut exercer son métier en toute légalité.

Sauf que toutes les professions ne sont pas régies par un ordre professionnel. Le problème de la non-reconnaissance des diplômes étrangers ne s'applique pas qu'aux ordres professionnels.

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Cela est vrai et comme dans plusieurs pays! Exemple les électriciens (au prix qu'ils exigent, il devrait être une profession ah ah). Mais cela revient à dire qu'il faut s'informer. Il ya quelqu'un sur ce site qui immigre au Canada avec sa famille et son père est plombier, je ne sais pas si il s'est informé des exigences ici. J'ai appris au fils que les plombiers travaillent ici autant en mètres qu'en pieds!

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Attention : qu'un diplôme ne soit pas reconnu ne veut pas dire que la formation en arrière soit de la m*rd*

Effectivement

:thumbsup:

Posté(e)

Attention : qu'un diplôme ne soit pas reconnu ne veut pas dire que la formation en arrière soit de la m*rd*

Certe mais certains diplomes sont de la m*rd* comme tu le dis!

Je ne comprend pas comment des diplômes du fin fonds d'un pays en guerre depuis 3 siècles (comme le Cambodge par exemple) a la même portée qu'un diplome d'une Ivy league dans le comptage des points de l'immigration.

Pour immigrer en Nouvelle-Zélande, ils ont des listes d'écoles reconnues au travers le monde et si le diplome n'est pas d'une de ces écoles .. tough luck comme ils disent! Ca évite bien des surprises une fois le visa obtenu.

H

En 2001, quand j'ai commencé mes recherches d'immigration, je suis allé me renseigner auprès de l'ambassade australienne.

Dans le temps (je ne sais pas si c'est encore valable), les Australiens éxigaient à leurs immigrants qu'ils fassent toute

la paperasse de revalidation de diplômes auprès des ordres professionnels australiens AVANT d'immigrer.

Donc, quand l'immigrant finalement débarquait là-bas, tous ces diplômes étaient 100% valides.

Je ne sais pas comment ca se passait dans le monde réel de l'emploi australien, mais au moins, les immigrants n'avaient

pas à endurer tout cette BS des ordres professionnels et leurs "surprises", les traductions, les examens, etc... en

même temps que s'adapter au pays et en plus nourrir la famille. Ils pouvaient le faire tranquillement de chez eux.

Pourquoi tu n'as pas fait la demande pour immigrer en Australie ? En plus tu disais sur un autre fil que ce qui te dérnage le plus au Canada c'est le froid. Donc l'Australie ce serait l'endroit parfait pour toi , un pays anglo-saxon comme le Canada evec le froid en moins.

Simplement parce que les frais d'immigration pour l'Australie étaient (en 2003) comme 5x plus élevés que pour le Canada.

Les frais de dossier ou bien les fonds requis pour l'installation ?

J'ai entendu que le systeme de points de l'Australie est beacoup plus sélectif par rapport a celui du Canada, celui de la Nouvelle-Zélande est moins séléctif.

Posté(e)

Faut conctacter l'ordre professionnel de la province canadienne en question et faire ce que demande l'ordre professionnel... une fois que l'individu est en règle avec l'ordre professionel de sa profession, il peut exercer son métier en toute légalité.

Sauf que toutes les professions ne sont pas régies par un ordre professionnel. Le problème de la non-reconnaissance des diplômes étrangers ne s'applique pas qu'aux ordres professionnels.

Le domaine de l'informatique par exemple n'est pas un domaine reglementé par un ordre professionnel ,mais par contre ce qui compte c'est pas les diplomes mais l'expérience.

Posté(e)

En ce qui me concerne, j'ai essayé de contacté l'ordre des comptables agréés du Québec plus d'une fois pour connaître les possibilités d'équivalence de mes diplômes..ils ne m'ont jamais répondu..

Invité mckenzie
Posté(e) (modifié)

En ce qui me concerne, j'ai essayé de contacté l'ordre des comptables agréés du Québec plus d'une fois pour connaître les possibilités d'équivalence de mes diplômes..ils ne m'ont jamais répondu..

Contacte les directement par téléphone. Modifié par mckenzie
  • Habitués
Posté(e)

De plus demande le nom de la personne et de te transmetre ces renseignements par courriel!

Posté(e) (modifié)

Quand on compare le Québec à d'autres pays, souvent on se console...racisme scandaleux au Maroc ( partie 3 )

Racisme au Maroc : "Oui, je me fais traiter d’esclave et de sale Noir'

"Jugée raciste par certains, provocatrice par d’autres, la une de l’hebdomadaire "Maroc Hebdo" aura au moins eu le mérite de lever le voile sur le quotidien des personnes d’origine subsaharienne vivant au Maroc.

"Le péril noir". Ce titre en une du magazine "Maroc Hebdo" publié la semaine dernière a suscité un vif débat au sein du royaume chérifien. L’hebdomadaire consacrait un dossier à l’accroissement du nombre d’immigrés issus d’Afrique subsaharienne, qui voit dans le Maroc un point de départ pour rejoindre l’Europe depuis les enclaves espagnoles de Ceuta ou Melilla. Souvent refoulés, ils restent dans le pays et se retrouvent dans des situations précaires, contraints de s’adonner à divers trafics. Ils seraient 10 000 selon le ministère de l’Intérieur, 15 000 selon la société civile.

Les immigrés subsahariens font par ailleurs face au durcissement des autorités de Rabat, lesquelles expulsent sans ménagement ceux qui n’ont pas de carte de séjour. À l’instar de l’Association marocaine des droits humains, l’ambassadeur de l’Union européenne, Eneko Landaburu, s’est récemment inquiété du traitement de ces immigrés, le qualifiant de "problématique". Et ce alors que le ministre marocain de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Abdelouahed Souhail,a désigné les immigrés subsahariens comme étant en partie responsables de la crise de l’emploi dans le pays.

"Je me suis fait frapper plusieurs fois par des jeunes Marocains, gratuitement"

Je suis venu étudier l’informatique à Casablanca grâce à une bourse accordée par mon pays. Cela fait quatre ans que je suis ici, et cela fait quatre ans que je suis victime de racisme, tout le temps, à n’importe quelle occasion.

L’histoire la plus significative s’est produite à l‘aéroport. J’accompagnais ma tante qui devait embarquer pour Conakry et qui avait beaucoup de bagages. D’autres Subsahariens sont venus pour l’aider à les porter, mais le chef d’escale les en a empêchés, en nous disant qu’elle devait se débrouiller toute seule parce qu’elle était noire. J’ai protesté, et il nous a conduits à la police et un agent a commencé à m’insulter. Je lui ai répondu en arabe, et en retour il m’a frappé à la tête. J’ai dit que j’allais porter plainte et il m’a renvoyé, ironiquement : "C’est ça, va te plaindre chez le roi !". Du coup, je n’ai jamais déposé de plainte.

Quand je marche dans la rue, il est fréquent qu’on me traite de sale Noir ou d'esclave. Je me suis fait frapper plusieurs fois par des jeunes Marocains, gratuitement, et les témoins de la scène ne font jamais rien pour m’aider. Tous mes amis issus d’Afrique noire racontent la même chose, même les filles se font insulter. Maintenant, pour essayer d’éviter ça, j’essaye de ne pas répondre quand on m’interpelle, mais si on commence à me molester, qu’est-ce que je dois faire ? Il faut bien que je me défende. Dans deux ans, j’aurai fini mes études, et je ne compte sûrement pas rester au Maroc pour travailler. Même si on me propose un emploi ici, je préfèrerais rentrer en Guinée.

http://observers.france24.com/fr/content/20121106-racisme-maroc-peril-noir-immigration-subsaharienne-noirs-ceuta-meililla

Tout le monde dans le même sac je te vois en bien en mr sylvestre les méchants et les gentils

http://www.dailymotion.com/video/xoajti_les-guignols-les-mechants-et-les-gentils_fun

Modifié par badiother
Posté(e)

Quand on compare le Québec à d'autres pays, souvent on se console...racisme scandaleux au Maroc ( partie 3 )

Racisme au Maroc : "Oui, je me fais traiter d’esclave et de sale Noir'

"Jugée raciste par certains, provocatrice par d’autres, la une de l’hebdomadaire "Maroc Hebdo" aura au moins eu le mérite de lever le voile sur le quotidien des personnes d’origine subsaharienne vivant au Maroc.

"Le péril noir". Ce titre en une du magazine "Maroc Hebdo" publié la semaine dernière a suscité un vif débat au sein du royaume chérifien. L’hebdomadaire consacrait un dossier à l’accroissement du nombre d’immigrés issus d’Afrique subsaharienne, qui voit dans le Maroc un point de départ pour rejoindre l’Europe depuis les enclaves espagnoles de Ceuta ou Melilla. Souvent refoulés, ils restent dans le pays et se retrouvent dans des situations précaires, contraints de s’adonner à divers trafics. Ils seraient 10 000 selon le ministère de l’Intérieur, 15 000 selon la société civile.

Les immigrés subsahariens font par ailleurs face au durcissement des autorités de Rabat, lesquelles expulsent sans ménagement ceux qui n’ont pas de carte de séjour. À l’instar de l’Association marocaine des droits humains, l’ambassadeur de l’Union européenne, Eneko Landaburu, s’est récemment inquiété du traitement de ces immigrés, le qualifiant de "problématique". Et ce alors que le ministre marocain de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Abdelouahed Souhail,a désigné les immigrés subsahariens comme étant en partie responsables de la crise de l’emploi dans le pays.

"Je me suis fait frapper plusieurs fois par des jeunes Marocains, gratuitement"

Je suis venu étudier l’informatique à Casablanca grâce à une bourse accordée par mon pays. Cela fait quatre ans que je suis ici, et cela fait quatre ans que je suis victime de racisme, tout le temps, à n’importe quelle occasion.

L’histoire la plus significative s’est produite à l‘aéroport. J’accompagnais ma tante qui devait embarquer pour Conakry et qui avait beaucoup de bagages. D’autres Subsahariens sont venus pour l’aider à les porter, mais le chef d’escale les en a empêchés, en nous disant qu’elle devait se débrouiller toute seule parce qu’elle était noire. J’ai protesté, et il nous a conduits à la police et un agent a commencé à m’insulter. Je lui ai répondu en arabe, et en retour il m’a frappé à la tête. J’ai dit que j’allais porter plainte et il m’a renvoyé, ironiquement : "C’est ça, va te plaindre chez le roi !". Du coup, je n’ai jamais déposé de plainte.

Quand je marche dans la rue, il est fréquent qu’on me traite de sale Noir ou d'esclave. Je me suis fait frapper plusieurs fois par des jeunes Marocains, gratuitement, et les témoins de la scène ne font jamais rien pour m’aider. Tous mes amis issus d’Afrique noire racontent la même chose, même les filles se font insulter. Maintenant, pour essayer d’éviter ça, j’essaye de ne pas répondre quand on m’interpelle, mais si on commence à me molester, qu’est-ce que je dois faire ? Il faut bien que je me défende. Dans deux ans, j’aurai fini mes études, et je ne compte sûrement pas rester au Maroc pour travailler. Même si on me propose un emploi ici, je préfèrerais rentrer en Guinée.

http://observers.france24.com/fr/content/20121106-racisme-maroc-peril-noir-immigration-subsaharienne-noirs-ceuta-meililla

reponse 1:Tout le monde dans le même sac je te vois en bien en mr sylvestre les méchants et les gentils

http://www.dailymotion.com/video/xoajti_les-guignols-les-mechants-et-les-gentils_fun

Reponse 2: nouveau scandale des immigrants malmenés : http://www.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2012/12/02/004-immigration-buffalo-delais.shtml

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