Habitués grizzli Posté(e) 18 juillet 2008 Habitués Posté(e) 18 juillet 2008 Ne nous demandons pas alors pourquoi les immigrants n'arrivent pas à faire reconnaitre leurs diplômes.http://www.cyberpresse.ca/article/20080718/CPACTUALITES/807180520/1019/CPACTUALITESDes diplômes reconnus d'un océan à l'autreLes ingénieurs ou les médecins canadiens, quelle que soit leur province d'origine, pourront bientôt travailler plus facilement n'importe où au pays. Les premiers ministres veulent qu'un diplôme ou un permis de travail obtenu dans une province soit reconnu automatiquement par toutes les autres à compter du 1er avril 2009.C'est ce qu'a annoncé hier le président du Conseil de la fédération et premier ministre du Québec, Jean Charest.Des provinces ont signé entre elles des accords sur le sujet au cours des dernières années, mais «il y a encore beaucoup de barrières aujourd'hui», a souligné M. Charest. «Il y a environ 25% des métiers et des professions qui vivent actuellement des contraintes, surtout dans le domaine de la santé. Il s'agit pour nous d'aplanir les dernières difficultés pour créer le marché le plus stimulant possible.»Pour son homologue manitobain Gary Doer, «un professeur est un professeur et une infirmière est une infirmière», peu importe où ils travaillent au Canada. Seules des questions de santé ou de sécurité pourraient empêcher un Canadien de travailler où il le souhaite.Malgré ce nouvel accord sur la mobilité de la main-d'oeuvre, le Québec continuera d'exiger que certaines catégories de travailleurs connaissent le français, a assuré Jean Charest. «On n'a pas l'intention de changer nos lois sur ces questions-là.» Arbitrage des litiges commerciaux Hier, au deuxième jour de leur rencontre annuelle, les premiers ministres se sont également entendus sur un mécanisme de règlement de leurs litiges en matière de commerce, mécanisme moribond depuis des années.Une province qui en accuse une autre de violer l'accord de commerce intérieur pourra avoir recours à un nouveau mécanisme d'arbitrage exécutoire, qui sera mis en place le 1er janvier. Si l'une d'elles ne se conforme pas à la décision, une pénalité pouvant aller jusqu'à 5 millions de dollars pourra lui être imposée. Seuls des gouvernements, et non des entreprises, pourront recourir à ce mécanisme.Les syndicats craignent toutefois que ce nouveau «tribunal» serve les intérêts des entreprises, rogne les pouvoirs des gouvernements et mette en péril le modèle québécois.Selon eux, des entreprises pourraient faire pression sur des provinces pour qu'elles invoquent devant ce tribunal que les tarifs des garderies, les tarifs d'hydroélectricité et l'assurance automobile du Québec représentent une concurrence déloyale. «On demande aux premiers ministres de reculer sur cette question», a affirmé en conférence de presse le président de la FTQ, Michel Arsenault, entouré de représentants syndicaux de partout au pays.Pour Jean Charest, ces inquiétudes ne sont pas fondées. Elles rappellent les craintes qui s'étaient manifestées lors du débat sur le libre-échange en 1988 et en 1994, qui ne se sont jamais matérialisées, a-t-il affirmé.«Il n'est pas question pour les gouvernements, en ayant un nouveau mécanisme de règlement des différends, d'abandonner leurs pleins pouvoirs sur les questions de tarification, de santé et de politique sociale.» Mission en Chine Les premiers ministres ont également rencontré l'ambassadeur chinois Lan Lijun. Jean Charest a annoncé que le Conseil de la Fédération organise une mission économique en Chine en novembre. Il en sera, tout comme ses homologues de l'Ontario, du Manitoba, du Nouveau-Brunswick et de l'Île-du-Prince-Édouard. D'autres premiers ministres pourraient se joindre à eux.
Habitués yow_lys Posté(e) 18 juillet 2008 Habitués Posté(e) 18 juillet 2008 Le canada doit bien être un des seuls pays au monde où ils font un accord de libre échange à l'intérieur du pays......Des fois je trouve que les politiciens sont un peu caves quand même!
Habitués Angela Posté(e) 18 juillet 2008 Habitués Posté(e) 18 juillet 2008 Ne nous demandons pas alors pourquoi les immigrants n'arrivent pas à faire reconnaitre leurs diplômes.http://www.cyberpresse.ca/article/20080718/CPACTUALITES/807180520/1019/CPACTUALITESDes diplômes reconnus d'un océan à l'autreLes ingénieurs ou les médecins canadiens, quelle que soit leur province d'origine, pourront bientôt travailler plus facilement n'importe où au pays. Les premiers ministres veulent qu'un diplôme ou un permis de travail obtenu dans une province soit reconnu automatiquement par toutes les autres à compter du 1er avril 2009.C'est ce qu'a annoncé hier le président du Conseil de la fédération et premier ministre du Québec, Jean Charest.Des provinces ont signé entre elles des accords sur le sujet au cours des dernières années, mais «il y a encore beaucoup de barrières aujourd'hui», a souligné M. Charest. «Il y a environ 25% des métiers et des professions qui vivent actuellement des contraintes, surtout dans le domaine de la santé. Il s'agit pour nous d'aplanir les dernières difficultés pour créer le marché le plus stimulant possible.»Pour son homologue manitobain Gary Doer, «un professeur est un professeur et une infirmière est une infirmière», peu importe où ils travaillent au Canada. Seules des questions de santé ou de sécurité pourraient empêcher un Canadien de travailler où il le souhaite.Malgré ce nouvel accord sur la mobilité de la main-d'oeuvre, le Québec continuera d'exiger que certaines catégories de travailleurs connaissent le français, a assuré Jean Charest. «On n'a pas l'intention de changer nos lois sur ces questions-là.» Arbitrage des litiges commerciaux Hier, au deuxième jour de leur rencontre annuelle, les premiers ministres se sont également entendus sur un mécanisme de règlement de leurs litiges en matière de commerce, mécanisme moribond depuis des années.Une province qui en accuse une autre de violer l'accord de commerce intérieur pourra avoir recours à un nouveau mécanisme d'arbitrage exécutoire, qui sera mis en place le 1er janvier. Si l'une d'elles ne se conforme pas à la décision, une pénalité pouvant aller jusqu'à 5 millions de dollars pourra lui être imposée. Seuls des gouvernements, et non des entreprises, pourront recourir à ce mécanisme.Les syndicats craignent toutefois que ce nouveau «tribunal» serve les intérêts des entreprises, rogne les pouvoirs des gouvernements et mette en péril le modèle québécois.Selon eux, des entreprises pourraient faire pression sur des provinces pour qu'elles invoquent devant ce tribunal que les tarifs des garderies, les tarifs d'hydroélectricité et l'assurance automobile du Québec représentent une concurrence déloyale. «On demande aux premiers ministres de reculer sur cette question», a affirmé en conférence de presse le président de la FTQ, Michel Arsenault, entouré de représentants syndicaux de partout au pays.Pour Jean Charest, ces inquiétudes ne sont pas fondées. Elles rappellent les craintes qui s'étaient manifestées lors du débat sur le libre-échange en 1988 et en 1994, qui ne se sont jamais matérialisées, a-t-il affirmé.«Il n'est pas question pour les gouvernements, en ayant un nouveau mécanisme de règlement des différends, d'abandonner leurs pleins pouvoirs sur les questions de tarification, de santé et de politique sociale.» Mission en Chine Les premiers ministres ont également rencontré l'ambassadeur chinois Lan Lijun. Jean Charest a annoncé que le Conseil de la Fédération organise une mission économique en Chine en novembre. Il en sera, tout comme ses homologues de l'Ontario, du Manitoba, du Nouveau-Brunswick et de l'Île-du-Prince-Édouard. D'autres premiers ministres pourraient se joindre à eux.Ça commence à chialer en tab... en tout cas. L'ordre des infirmières a donné le ton et il a raison : les infirmières Québécoises, les plus bilingues du Canada vont sûrement être attirés par les meilleures salaires d'ailleurs. Mais franchement, la solution serait-elle de maintenir les barrières? Le système de santé pourrait engraisser moins les pharmaceutiques et payer un peu mieux ses infirmières mais ça, c'est un autre débat.
Habitués Azarielle Posté(e) 18 juillet 2008 Habitués Posté(e) 18 juillet 2008 Je croyais que vous le saviez déjà que la mobilité entre les provinces n'était pas automatique puisque les diplômes ne sont pas reconnus partout dans le Canada.Quand j'ai commencé mes études à McGill en ergothérapie, on nous avait bien expliqué que pour pouvoir pratiquer hors Québec, nous aurions un autre examen à passer à la fin des études. Quand j'ai changé d'orientation professionnelle, je savais aussi que mon diplôme ne serait reconnu qu'au Québec. Je crois que ça s'explique par le fait que l'éducation relève du provincial.
Habitués frogues Posté(e) 18 juillet 2008 Habitués Posté(e) 18 juillet 2008 (modifié) Ne nous demandons pas alors pourquoi les immigrants n'arrivent pas à faire reconnaitre leurs diplômes.http://www.cyberpresse.ca/article/20080718/CPACTUALITES/807180520/1019/CPACTUALITESDes diplômes reconnus d'un océan à l'autreLes ingénieurs ou les médecins canadiens, quelle que soit leur province d'origine, pourront bientôt travailler plus facilement n'importe où au pays. Les premiers ministres veulent qu'un diplôme ou un permis de travail obtenu dans une province soit reconnu automatiquement par toutes les autres à compter du 1er avril 2009.C'est ce qu'a annoncé hier le président du Conseil de la fédération et premier ministre du Québec, Jean Charest.Des provinces ont signé entre elles des accords sur le sujet au cours des dernières années, mais «il y a encore beaucoup de barrières aujourd'hui», a souligné M. Charest. «Il y a environ 25% des métiers et des professions qui vivent actuellement des contraintes, surtout dans le domaine de la santé. Il s'agit pour nous d'aplanir les dernières difficultés pour créer le marché le plus stimulant possible.»Pour son homologue manitobain Gary Doer, «un professeur est un professeur et une infirmière est une infirmière», peu importe où ils travaillent au Canada. Seules des questions de santé ou de sécurité pourraient empêcher un Canadien de travailler où il le souhaite.Malgré ce nouvel accord sur la mobilité de la main-d'oeuvre, le Québec continuera d'exiger que certaines catégories de travailleurs connaissent le français, a assuré Jean Charest. «On n'a pas l'intention de changer nos lois sur ces questions-là.» Arbitrage des litiges commerciaux Hier, au deuxième jour de leur rencontre annuelle, les premiers ministres se sont également entendus sur un mécanisme de règlement de leurs litiges en matière de commerce, mécanisme moribond depuis des années.Une province qui en accuse une autre de violer l'accord de commerce intérieur pourra avoir recours à un nouveau mécanisme d'arbitrage exécutoire, qui sera mis en place le 1er janvier. Si l'une d'elles ne se conforme pas à la décision, une pénalité pouvant aller jusqu'à 5 millions de dollars pourra lui être imposée. Seuls des gouvernements, et non des entreprises, pourront recourir à ce mécanisme.Les syndicats craignent toutefois que ce nouveau «tribunal» serve les intérêts des entreprises, rogne les pouvoirs des gouvernements et mette en péril le modèle québécois.Selon eux, des entreprises pourraient faire pression sur des provinces pour qu'elles invoquent devant ce tribunal que les tarifs des garderies, les tarifs d'hydroélectricité et l'assurance automobile du Québec représentent une concurrence déloyale. «On demande aux premiers ministres de reculer sur cette question», a affirmé en conférence de presse le président de la FTQ, Michel Arsenault, entouré de représentants syndicaux de partout au pays.Pour Jean Charest, ces inquiétudes ne sont pas fondées. Elles rappellent les craintes qui s'étaient manifestées lors du débat sur le libre-échange en 1988 et en 1994, qui ne se sont jamais matérialisées, a-t-il affirmé.«Il n'est pas question pour les gouvernements, en ayant un nouveau mécanisme de règlement des différends, d'abandonner leurs pleins pouvoirs sur les questions de tarification, de santé et de politique sociale.» Mission en Chine Les premiers ministres ont également rencontré l'ambassadeur chinois Lan Lijun. Jean Charest a annoncé que le Conseil de la Fédération organise une mission économique en Chine en novembre. Il en sera, tout comme ses homologues de l'Ontario, du Manitoba, du Nouveau-Brunswick et de l'Île-du-Prince-Édouard. D'autres premiers ministres pourraient se joindre à eux.Ah fort. Tres fort. C'est unbelievable effectivement. Quand je pense que j'etais deja choquee par la fameuse experience quebecoise! C'est rien a cote de ca. Modifié 18 juillet 2008 par frogues
Habitués Silicon Posté(e) 18 juillet 2008 Habitués Posté(e) 18 juillet 2008 C'est surtout les syndicats qui protègent leurs fesses et les politiciens ne voulant se mettre personne a dos patinent a qui mieux mieux.L'idéal serait de repartir a zéro , mais je doute que ce soit possible.
Habitués zukuss Posté(e) 18 juillet 2008 Habitués Posté(e) 18 juillet 2008 En effet, pas mal du tout...
Habitués yow_lys Posté(e) 18 juillet 2008 Habitués Posté(e) 18 juillet 2008 Ne nous demandons pas alors pourquoi les immigrants n'arrivent pas à faire reconnaitre leurs diplômes.http://www.cyberpresse.ca/article/20080718/CPACTUALITES/807180520/1019/CPACTUALITESDes diplômes reconnus d'un océan à l'autreLes ingénieurs ou les médecins canadiens, quelle que soit leur province d'origine, pourront bientôt travailler plus facilement n'importe où au pays. Les premiers ministres veulent qu'un diplôme ou un permis de travail obtenu dans une province soit reconnu automatiquement par toutes les autres à compter du 1er avril 2009.C'est ce qu'a annoncé hier le président du Conseil de la fédération et premier ministre du Québec, Jean Charest.Des provinces ont signé entre elles des accords sur le sujet au cours des dernières années, mais «il y a encore beaucoup de barrières aujourd'hui», a souligné M. Charest. «Il y a environ 25% des métiers et des professions qui vivent actuellement des contraintes, surtout dans le domaine de la santé. Il s'agit pour nous d'aplanir les dernières difficultés pour créer le marché le plus stimulant possible.»Pour son homologue manitobain Gary Doer, «un professeur est un professeur et une infirmière est une infirmière», peu importe où ils travaillent au Canada. Seules des questions de santé ou de sécurité pourraient empêcher un Canadien de travailler où il le souhaite.Malgré ce nouvel accord sur la mobilité de la main-d'oeuvre, le Québec continuera d'exiger que certaines catégories de travailleurs connaissent le français, a assuré Jean Charest. «On n'a pas l'intention de changer nos lois sur ces questions-là.» Arbitrage des litiges commerciaux Hier, au deuxième jour de leur rencontre annuelle, les premiers ministres se sont également entendus sur un mécanisme de règlement de leurs litiges en matière de commerce, mécanisme moribond depuis des années.Une province qui en accuse une autre de violer l'accord de commerce intérieur pourra avoir recours à un nouveau mécanisme d'arbitrage exécutoire, qui sera mis en place le 1er janvier. Si l'une d'elles ne se conforme pas à la décision, une pénalité pouvant aller jusqu'à 5 millions de dollars pourra lui être imposée. Seuls des gouvernements, et non des entreprises, pourront recourir à ce mécanisme.Les syndicats craignent toutefois que ce nouveau «tribunal» serve les intérêts des entreprises, rogne les pouvoirs des gouvernements et mette en péril le modèle québécois.Selon eux, des entreprises pourraient faire pression sur des provinces pour qu'elles invoquent devant ce tribunal que les tarifs des garderies, les tarifs d'hydroélectricité et l'assurance automobile du Québec représentent une concurrence déloyale. «On demande aux premiers ministres de reculer sur cette question», a affirmé en conférence de presse le président de la FTQ, Michel Arsenault, entouré de représentants syndicaux de partout au pays.Pour Jean Charest, ces inquiétudes ne sont pas fondées. Elles rappellent les craintes qui s'étaient manifestées lors du débat sur le libre-échange en 1988 et en 1994, qui ne se sont jamais matérialisées, a-t-il affirmé.«Il n'est pas question pour les gouvernements, en ayant un nouveau mécanisme de règlement des différends, d'abandonner leurs pleins pouvoirs sur les questions de tarification, de santé et de politique sociale.» Mission en Chine Les premiers ministres ont également rencontré l'ambassadeur chinois Lan Lijun. Jean Charest a annoncé que le Conseil de la Fédération organise une mission économique en Chine en novembre. Il en sera, tout comme ses homologues de l'Ontario, du Manitoba, du Nouveau-Brunswick et de l'Île-du-Prince-Édouard. D'autres premiers ministres pourraient se joindre à eux.Ça commence à chialer en tab... en tout cas. L'ordre des infirmières a donné le ton et il a raison : les infirmières Québécoises, les plus bilingues du Canada vont sûrement être attirés par les meilleures salaires d'ailleurs. Mais franchement, la solution serait-elle de maintenir les barrières? Le système de santé pourrait engraisser moins les pharmaceutiques et payer un peu mieux ses infirmières mais ça, c'est un autre débat.Coucou Angela,Ici en outaouais la situation sur la santé est très problématique. Car les infirmières sont mieux payées en Ontario, et barrières ou pas, elle vont tôt ou tard travailler côté Ottawa. Il feraient mieux de fédéraliser le système de santé pour linéariser les conditions d'emploi et les barrière protectionistes.Ici parfois, ca frole l'absurde. Un patient au lieu d'être envoyé sur Ottawa, ils l'envoient sur Montréal.... Aux frais de la RAMQ.... C'est d'une absurdité totale. C'est d'ailleurs ce qui fait le charme de ce coin du canada deux systèmes de transports en commun, deux système de santé... Bref c'est rigolo amic
Habitués elliot Posté(e) 18 juillet 2008 Habitués Posté(e) 18 juillet 2008 Coucou Angela,Ici en outaouais la situation sur la santé est très problématique. Car les infirmières sont mieux payées en Ontario, et barrières ou pas, elle vont tôt ou tard travailler côté Ottawa. Il feraient mieux de fédéraliser le système de santé pour linéariser les conditions d'emploi et les barrière protectionistes.Ici parfois, ca frole l'absurde. Un patient au lieu d'être envoyé sur Ottawa, ils l'envoient sur Montréal.... Aux frais de la RAMQ.... C'est d'une absurdité totale. C'est d'ailleurs ce qui fait le charme de ce coin du canada deux systèmes de transports en commun, deux système de santé... Bref c'est rigolo amicRigolo? ouahhhh
Habitués Redflag Posté(e) 18 juillet 2008 Habitués Posté(e) 18 juillet 2008 Je croyais que vous le saviez déjà que la mobilité entre les provinces n'était pas automatique puisque les diplômes ne sont pas reconnus partout dans le Canada.Je le savais. C'est le cas pour plein de professions. Les médecins notamment. Le canada doit bien être un des seuls pays au monde où ils font un accord de libre échange à l'intérieur du pays......Des fois je trouve que les politiciens sont un peu caves quand même!En fait c'est juste une mesure préparatoire à la dislocation du Canada : Québec indépendant en premier, et le reste il suffira de tirer un peu sur la peau et tout se défera... Au moins on aura des accords tout prêts !Redflag
Habitués Redflag Posté(e) 18 juillet 2008 Habitués Posté(e) 18 juillet 2008 (modifié) Coucou Angela,Ici en outaouais la situation sur la santé est très problématique. Car les infirmières sont mieux payées en Ontario, et barrières ou pas, elle vont tôt ou tard travailler côté Ottawa. Il feraient mieux de fédéraliser le système de santé pour linéariser les conditions d'emploi et les barrière protectionistes.Ici parfois, ca frole l'absurde. Un patient au lieu d'être envoyé sur Ottawa, ils l'envoient sur Montréal.... Aux frais de la RAMQ.... C'est d'une absurdité totale. C'est d'ailleurs ce qui fait le charme de ce coin du canada deux systèmes de transports en commun, deux système de santé... Bref c'est rigolo amicRigolo? ouahhhh Rançon d'un système fédéral, où beaucoup de choses sont décentralisées. Aux États-Unis aussi, un médecin qui détient une licence de pratique dans un État donné ne peut pas pratiquer dans un autre. Il lui faut un obtenir une autre licence... Redflag Modifié 18 juillet 2008 par Redflag
Habitués zukuss Posté(e) 18 juillet 2008 Habitués Posté(e) 18 juillet 2008 En fait c'est juste une mesure préparatoire à la dislocation du Canada : Québec indépendant en premier, et le reste il suffira de tirer un peu sur la peau et tout se défera... Saskatchewan independant !
Habitués cherry Posté(e) 18 juillet 2008 Habitués Posté(e) 18 juillet 2008 Je croyais que vous le saviez déjà que la mobilité entre les provinces n'était pas automatique puisque les diplômes ne sont pas reconnus partout dans le Canada.Je le savais. C'est le cas pour plein de professions. Les médecins notamment. Pour les médecins, d'après ce que j'ai lu, je crois pas, non.
Habitués Éric70 Posté(e) 18 juillet 2008 Habitués Posté(e) 18 juillet 2008 Ici en outaouais la situation sur la santé est très problématique. Car les infirmières sont mieux payées en Ontario, et barrières ou pas, elle vont tôt ou tard travailler côté Ottawa. Il feraient mieux de fédéraliser le système de santé pour linéariser les conditions d'emploi et les barrière protectionistes.Ici parfois, ca frole l'absurde. Un patient au lieu d'être envoyé sur Ottawa, ils l'envoient sur Montréal.... Aux frais de la RAMQ.... C'est d'une absurdité totale. C'est d'ailleurs ce qui fait le charme de ce coin du canada deux systèmes de transports en commun, deux système de santé... Bref c'est rigolo Fédéraliser le système ???Tu n'es pas sérieux ??? Ils ne sont même pas capable de s'entendre entre autres sur l'interprétation à faire sur la reconnaissance de la nation Québécoise, tu crois qu'ils vont s'entendre là dessus... D'ailleurs il faudrait qu'ils ouvrent la constitution Canadienne... J'adorais, tu verrais à quel point les Québécois sont nationalistes !!!Je ne vois pas l'illogique d'envoyer un patient de Gatineau à Montréal au lieu d'Ottawa !!!Qu'est-ce qui est le plus logique, les salaires des infirmiers et infirmières élevés en Ontario ou plus bas au Québec, en période de contrôle de coût la question se pose ??? Si en Ontario les frais médicaux sont plus élevés n'est-il pas logique que nous traitions les patients Québécois à Montréal ???
Habitués yow_lys Posté(e) 18 juillet 2008 Habitués Posté(e) 18 juillet 2008 En fait c'est juste une mesure préparatoire à la dislocation du Canada : Québec indépendant en premier, et le reste il suffira de tirer un peu sur la peau et tout se défera... Saskatchewan independant ! ahhhh saskatchewan..... la seule province qui pourrait faire 50 point au scrabble! Vive la saskatchewan!!!!!!!
Habitués Redflag Posté(e) 18 juillet 2008 Habitués Posté(e) 18 juillet 2008 Je croyais que vous le saviez déjà que la mobilité entre les provinces n'était pas automatique puisque les diplômes ne sont pas reconnus partout dans le Canada.Je le savais. C'est le cas pour plein de professions. Les médecins notamment. Pour les médecins, d'après ce que j'ai lu, je crois pas, non.Je ne pense pas qu'un médecin du Québec qui n'a pas sa certif "Collège Royal des médecins du Canada" puisse exercer hors Québec. Red
Habitués zukuss Posté(e) 18 juillet 2008 Habitués Posté(e) 18 juillet 2008 ahhhh saskatchewan..... la seule province qui pourrait faire 50 point au scrabble! Vive la saskatchewan!!!!!!!'Yukon' est plus simple a faire et rapporte pas mal de points non plus Bien sur, c'est si on considere qu'on peut utiliser les noms propres au 'crab Ceci dit, ou ai-je lu que 80% des graines de moutarde utilisees pour la moutarde de Dijon 'francaise' etait produits en Sask ? L'independance de cette derniere pourrait remettre en cause les accords commerciaux a ce sujet, et creer une scandaleuse penurie de moutarde en France, imaginez les bbq francais sans moutarde ??!! Donc non, l'independance des provinces, on oublie
Habitués cherry Posté(e) 18 juillet 2008 Habitués Posté(e) 18 juillet 2008 Je croyais que vous le saviez déjà que la mobilité entre les provinces n'était pas automatique puisque les diplômes ne sont pas reconnus partout dans le Canada.Je le savais. C'est le cas pour plein de professions. Les médecins notamment. Pour les médecins, d'après ce que j'ai lu, je crois pas, non.Je ne pense pas qu'un médecin du Québec qui n'a pas sa certif "Collège Royal des médecins du Canada" puisse exercer hors Québec. RedPour le Québec, voici ce que j'ai trouvé:1. Normes d'équivalence du diplôme de médecine26. Le diplôme de docteur en médecine décerné par une université située hors du Québec équivaut à un diplôme demédecine, pourvu que la faculté de médecine de cette université soit agréée par l'Association des facultés de médecine duCanada ou le Liaison Committee on Medical Education à la date où le diplôme est décerné.2. Normes d'équivalence de la formation postdoctorale30. Est reconnue équivalente à la totalité ou à une partie de la formation postdoctorale en médecine, une formationéquivalente en durée et contenu à l'une des formations énumérées à l'annexe I et effectuée dans un programme universitairede formation postdoctorale en médecine qui est agréé soit par :1° le Collège des médecins de famille du Canada ;2° le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada ;3° l'Accreditation Council for Graduate Medical3. Normes d'équivalence d'examens34. Est exempté de se présenter à la composante d'un examen équivalente, le candidat qui, aux fins de la délivrance d'uncertificat de spécialiste ou d'une attestation en médecine de famille, a réussi l'examen d'un des organismes suivants :1° le Collège des médecins de famille du Canada ;2° le Conseil médical du Canada ;3° le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada, à la suite d'une entente conclue, en vertu du paragraphe 7 del'article 86.0.1 du Code des professions visant l'harmonisation de l'examen pour la spécialité concernée par le Collège et leCollège royal des médecins et chirurgiens du Canada.Pour le chemin inverse, j'imagine que c'est pareil...?
Laurent Posté(e) 18 juillet 2008 Posté(e) 18 juillet 2008 Les infirmières ne sont pas d'accordMise à jour le vendredi 18 juillet 2008 à 14 h 33L'entente entre les premiers ministres des provinces et des territoires sur la mobilité de la main d'oeuvre, dans le cadre du Conseil de la Fédération, ne fait pas que des heureux.Au lendemain de l'annonce, les infirmières du Canada et du Québec ont fait valoir leur opposition, disant que cette mobilité ne ferait qu'accroître la pénurie de professionnelles dans certaines régions.Le Québec serait particulièrement touché. Les infirmières y sont payées 10 000 $ de moins par année que leurs collègues de l'Ontario.Lina BonamieLa présidente de la Fédération, Lina Bonamie, craint un érosion. Elle affirme aussi que « les jeunes infirmières qui arrivent aujourd'hui sont bilingues, alors, pour elles, traverser du côté de l'Ontario, why not? Aller en Nouvelle-Écosse, c'est une très belle province, why not? Puis, elles seront payées 10 000 $, 15 000 $ et même jusqu'à 20 000 $ de différence ».Selon elle, l'Alberta attirera aussi un très grand nombre d'infirmières alors qu'il manque présentement 1500 infirmières au Québec.En conférence de presse, la Fédération interprofessionnelle de la santé et la Fédération canadienne des syndicats d'infirmières ont accusé les premiers ministres d'avoir évacué les questions relatives au système de santé publique lors de leur rendez-vous annuel.Elles demandent aussi aux premiers ministres d'adopter une approche concertée sur la rétention de la main-d'oeuvre en santé, et de collaborer avec Ottawa à la création d'un régime national d'assurance-médicaments.De plus, la Fédération qualifie de stupide l'objectif d'harmoniser les normes professionnelles d'ici le 1er avril. Elles disent que plus de temps est nécessaire.source : http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Polit...deration3.shtml
Habitués Redflag Posté(e) 19 juillet 2008 Habitués Posté(e) 19 juillet 2008 (modifié) Je croyais que vous le saviez déjà que la mobilité entre les provinces n'était pas automatique puisque les diplômes ne sont pas reconnus partout dans le Canada.Je le savais. C'est le cas pour plein de professions. Les médecins notamment. Pour les médecins, d'après ce que j'ai lu, je crois pas, non.Je ne pense pas qu'un médecin du Québec qui n'a pas sa certif "Collège Royal des médecins du Canada" puisse exercer hors Québec. Red"Lorganisme national de certification pour les spécialistes est le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada (CRMCC). Pour obtenir une certification dans une spécialité du CRMCC, les diplômés doivent avoir complété le programme de formation (quatre ans ou plus) et réussi lexamen de certification. Au Canada, on compte plus de 50 spécialités certifiées. Le site Web du CRMCC comporte des renseignements au sujet des exigences du curriculum et de ce que l'on attend des spécialistes du Canada. Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada >> Le Collège des médecins du Québec (CMQ) administre aussi des examens de certification pour les spécialités. Ces examens sont acceptés au Québec, au Nouveau-Brunswick, et dans certaines circonstances, dans dautres provinces ou territoires. "Traduire: une spécialité obtenue au Québec (CMQ) n'est pas toujours valide ailleurs qu'au QC et qu'au NB. Je pense qu'il s'agit d'une histoire de langue derrière ça. Source: Pratique médecine. Redflag Modifié 19 juillet 2008 par Redflag
Messages recommandés