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« Plutôt qu’en Erasmus, j’ai choisi de partir en échange universitaire au Canada »


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« Plutôt qu’en Erasmus, j’ai choisi de partir en échange universitaire au Canada »

Lisa Inganni, tentée par des études outre-Atlantique plutôt qu’en Europe, témoigne des démarches qui lui ont permis de partir terminer sa licence de droit à l’université de Montréal.

LE MONDE |  • Mis à jour le  | Par 


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/campus/article/2018/01/12/plutot-qu-un-erasmus-j-ai-choisi-de-partir-finir-en-echange-universitaire-au-canada_5240768_4401467.html#MTxUwxVyUZe0oRXr.99


C’est le moment de postuler pour les étudiants qui souhaitent partir en échange universitaire à la rentrée prochaine. Lisa Inganni raconte comment, lors de sa 2e année de droit à l’Université d’Avignon Pays du Vaucluse, elle s’y est prise pour partir l’année suivante à Montréal. Nous publierons la semaine prochaine la deuxième partie de son témoignage, racontant son séjour de huit mois au Québec.

« Après le bac, j’ai débuté une licence en langues, littératures et civilisations étrangères anglais (LLCE), avant de me réorienter en droit, car je regrettais le peu de place laissé à la réflexion, du moins en première année. Mais j’avais gardé en tête les encouragements des professeurs à partir à l’étranger, et l’idée m’est revenue durant ma deuxième année de droit, quand ma professeure de droit pénal, chargée des relations internationales, nous a incités à partir en échange universitaire, tout particulièrement durant la dernière année de licence.

J’ai alors commencé à regarder vaguement les accords de mon université pour choisir une destination. J’ai assez rapidement éliminé l’Union européenne, car mon université avait assez peu d’accords en droit dans les pays qui étaient susceptibles de m’intéresser. Toutefois, il faut savoir que le programme Erasmus présente de nombreux avantages qui méritent d’être approfondis : la liberté de circulation dans l’Union européenne permet d’éviter l’obtention d’un visa, la carte européenne d’assurance maladie est très utile, les banques sont plus souples avec les transactions dans la zone euro et il existe la bourse Erasmus.

 « Lister les cours qui nous intéressaient »

De mon côté, je souhaitais explorer l’Amérique du Nord : je me suis naturellement tournée vers les Etats-Unis, mais là encore il y avait trop peu d’accords, et le budget posait problème. J’ai alors ciblé mes recherches vers le Canada, et plus particulièrement le Québec : en effet, j’ai vite découvert que la Sécurité sociale française disposait d’un accord avec la RAMQ (régie de l’Assurance maladie du Québec), ce qui me permettait de ne pas avoir à contracter une assurance, obligatoire dans le reste du pays (et assez coûteuse). Le service des relations internationales (SRI) de mon université m’a alors orientée vers l’université de Montréal, avec laquelle l’université d’Avignon avait des accords. Et dans le même temps, j’ai convaincu mon petit ami, alors en troisième année de licence, de venir avec moi.


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/campus/article/2018/01/12/plutot-qu-un-erasmus-j-ai-choisi-de-partir-finir-en-echange-universitaire-au-canada_5240768_4401467.html#MTxUwxVyUZe0oRXr.99

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