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Rouyn noranda vs Québec vs Sherbrooke


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  • Habitués

Viens faire un tour à Québec et compare le nombre d'espaces verts! À Québec tu peux te perdre en forêt et te faire bouffer par un ours. À mtl aucune chance.

Ah ouais, quel dommage, on n'a pas cette chance... :laugh: Non mais compare les espaces verts de Montréal avec ceux d'autres vraies grandes villes et tu vas voir qu'on est drôlement bien pourvus à ce niveau !

. Pour l'aéroport elle est collé sur Montréal et ses environs et beaucoup vivent l'enfer. J'en connais personnellement!

L'aéroport de Montréal est à 20 km du centre-ville. Celui de Québec (on dit un aéroport) est à 18 km...

Côté espace vert on en viendra pas à un accord. L'aéroport de Québec est aussi une plaie mais moins pire. Il n'y a pas autant de vols et IL est situé à l'Ancienne-Lorette qui ne fait même pas partie de Québec. Même dans le secteur de Val-Bélair tu l'entends à peine. C'est 100 fois pire à Mtl avoue le crime!

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  • Habitués

Côté espace vert on en viendra pas à un accord. L'aéroport de Québec est aussi une plaie mais moins pire. Il n'y a pas autant de vols et IL est situé à l'Ancienne-Lorette qui ne fait même pas partie de Québec. Même dans le secteur de Val-Bélair tu l'entends à peine. C'est 100 fois pire à Mtl avoue le crime!

Ben...non. Je n'irais pas m'installer près de l'aéroport ou dans un quartier situé sous un des corridors aériens, mais de chez moi (bien au centre), not a peep.

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  • Habitués

Côté espace vert on en viendra pas à un accord. L'aéroport de Québec est aussi une plaie mais moins pire. Il n'y a pas autant de vols et IL est situé à l'Ancienne-Lorette qui ne fait même pas partie de Québec. Même dans le secteur de Val-Bélair tu l'entends à peine. C'est 100 fois pire à Mtl avoue le crime!

Ben...non. Je n'irais pas m'installer près de l'aéroport ou dans un quartier situé sous un des corridors aériens, mais de chez moi (bien au centre), not a peep.

Exactement ce que je pensais de toi me, myself and I! Donc, si ça te touche pas, c'est que ça n'existe pas?

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  • Habitués

Exactement ce que je pensais de toi me, myself and I! Donc, si ça te touche pas, c'est que ça n'existe pas?

:gluk::laugh: :laugh:

Non mais t'es un vrai phénomène de foire, toi...

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  • Habitués

au fait le wolfpack, qui était spécialisé dans la prostitution juvénile, c'était pas à Québec?

ok j'ai rien dit :whistlingb:

J'ai pas dit que ça existe pas à Québec ce que je nomme. C'est par contre beaucoup moins pire. Déjà ça fait des années le Wolfpack. Et pour connaitre le domaine de la criminalité (job et non personnel lol), présentement le gros problème de prostitution juvénile est à Mtl! Les filles mineures de Québec se font emmener là-bas!

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  • Habitués

au fait le wolfpack, qui était spécialisé dans la prostitution juvénile, c'était pas à Québec?

ok j'ai rien dit :whistlingb:

J'ai pas dit que ça existe pas à Québec ce que je nomme. C'est par contre beaucoup moins pire. Déjà ça fait des années le Wolfpack. Et pour connaitre le domaine de la criminalité (job et non personnel lol), présentement le gros problème de prostitution juvénile est à Mtl! Les filles mineures de Québec se font emmener là-bas!

Tu as vraiment un grain.

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  • Habitués

Bonjour,

Je suis né à Rouyn-Noranda et bientôt à la retraite, je déménage à Québec pour voir autre chose,lieux d'origine de mes parents.Je vous soumets un article sur le passé de cette ville,écrit par un journaliste ancien résidant de cette ville...à vous de vous faire une idée!

Le fond du baril

Rouyn-Noranda est un exemple bien vivant pour ceux qui croient que les histoires d’horreur n’arrivent qu’aux autres.

d890f6e5b28e213454d6c7b137cadcfc.jpg
Billet — Louis Lapointe
mercredi 8 septembre 2010
Rouyn-Noranda, le visage de la pollution minière

Rouyn-Noranda est une petite ville minière située au cœur de l’Abitibi-Témiscamingue qui s’enorgueillit du titre de Capitale du cuivre, ce qu’elle n’est plus, alors que manifestement, elle pourrait probablement revendiquer le titre de Capitale de la pollution, héritage d’une exploitation minière débridée. Avec Sudbury, Rouyn-Noranda a longtemps été classée comme une des villes les plus polluées au Canada. Aujourd’hui, on en parle moins, histoire de ne pas faire peur aux touristes qui participent à ses nombreuses activités culturelles que sont les festivals du cinéma, de la guitare et de la musique émergente.

Quiconque connaît un peu la morphologie de Rouyn-Noranda et de ses environs vous parlera aussitôt de ses nombreuses collines dénudées et caps de roche brûlés par les émissions d’anhydride sulfureux de la fonderie Horne. Le gouvernement du Québec a investi 400 millions de dollars au début des années 1980 pour diminuer ces émissions de 95 %.

Sans nostalgie, les plus vieux se souviendront tous de ces journées chaudes et sans vent d’été où un épais gaz toxique s’abattait sur le quartier sud de Rouyn. Un gaz qui nous enveloppait et nous prenait à la gorge, nous étouffant littéralement. Un gaz qui brûlait tout sur son passage, les feuilles des arbres, les jardins, érodant même la peinture des automobiles jusqu’au métal. Imaginez nos poumons !

Ceux qui ont vécu dans le vieux Noranda se souviendront, quant à eux, des émanations extrêmement toxiques de la Québec Iron Fondries, une filiale de la Noranda qui brûlait en plein cœur d’un quartier résidentiel de Noranda des résidus et déchets dont personne ne connaissait la provenance : secret industriel !

Tout cela avec la complicité des gouvernements, une situation qui a duré pendant près d’un demi-siècle. Les maires des villes de Rouyn et Noranda et les députés locaux défendaient avec opiniâtreté la mine et sa fonderie. Il fallait bien gagner notre vie.*

Ce laxisme des autorités publiques a laissé des conséquences effroyables. La Ville de Rouyn-Noranda est encore aujourd’hui entourée par une ceinture de pollution, une marque indélébile qui la défigure, laissée en héritage d’un passé pas si lointain.

puce-32883.gif Le Lac Rouyn, au sud de Rouyn-Noranda, est une mare acide remplie de résidus miniers toxiques.

puce-32883.gif Le Lac Osisko, à l’est de la Ville, là où il y avait autrefois une plage dans les années 1930, est rempli de sédiments. Plus personne ne s’y baigne aujourd’hui.

puce-32883.gif Au nord-est, le lac Dufault, la source d’eau potable de la Ville, borde un réservoir endigué de rejet acide qui longe le terrain de golf de Noranda, lui-même au nord du Lac Osisko.

puce-32883.gif Le quartier de Noranda-Nord est séparé de la Ville, d’est en ouest, par un vaste parc à résidus miniers, celui de la défunte mine Horne, qui ceinture l’ancienne ville de Noranda sur une étendue d’environ 3 kilomètres, allant du golf Noranda jusqu’à la route conduisant au quartier d’Évain à l’ouest de la Ville.

puce-32883.gif Entre la route d’Évain et le chemin de Beaudry, au sud-ouest de la Ville, s’étend un autre parc à résidu minier menaçant toujours la rivière Pelletier et le Lac Beauchastel qui se jettent dans le bassin versant de la rivière Outaouais.

puce-32883.gif Dans la même direction, un peu plus près des habitations, bordant le golf municipal de Rouyn-Noranda, le Lac Pelletier, qui a longtemps été la décharge des égouts de l’ancienne ville de Rouyn, est toujours pollué. Il est bordé au sud-est par un autre parc à résidu minier, celui de l’ancienne mine Stadacona.

puce-32883.gif De l’autre côté de la route 117, au sud de la Ville, nous retrouvons le Lac Rouyn, complétant ainsi un tour de 360 degrés, la ceinture de pollution, dans un rayon de 5 kilomètres du centre de la Ville de Rouyn-Noranda.

Pendant de nombreuses années les gens de Rouyn-Noranda ont non seulement respiré l’air le plus pollué au Canada, mais leurs enfants ont également joué sur des sols d’une très haute toxicité contaminés par le mercure, le cadmium, le plomb, l’arsenic et de nombreux autres métaux lourds et rares qui n’ont rien à envier aux résidus laissés sur les sites d’extraction de gaz de schiste dont on parle présentement dans l’actualité.

Si les mines ont fait la relative richesse de Rouyn-Noranda, elles ont aussi façonné son environnement qui est encore l’un des plus pollués au Québec et au Canada. Un sort que partagent avec elle d’autres villes de l’Abitibi comme Vald’or, Duparquet, Cadillac, Malartic et Preissac, qui ont, elles aussi, leurs histoires d’horreur.

À l’exemple de Rouyn-Noranda, les compagnies minières, insuffisamment encadrées par les autorités publiques, ont historiquement toujours laissé plus de saletés que de richesses. Les nombreux parcs à résidus miniers orphelins de l’Abitibi en sont l’une des preuves les plus tangibles, une bonne dizaine de ceux-ci étant toujours considérés comme dangereux pour l’environnement.

Rouyn-Noranda, comme d’autres villes de l’Abitibi, aurait pu connaître un développement plus harmonieux si les compagnies minières avaient été plus respectueuses de la population et de l’environnement. Mais nous savons d’expérience que cela ne se peut pas.

« Au début des années 1980, trois casseux de party, les frères Corvec et un dénommé Richard Desjardins, firent un film dévastateur sur la fonderie Horne intitulé « Noranda ». Ce film fit tellement mal paraître la Noranda, que l’Australie interdit à la multinationale de s’implanter sur son continent, la considérant alors comme un mauvais citoyen corporatif. Quelques années plus tard, la Noranda et le gouvernement du Québec conclurent une entente et investirent 400 millions de dollars pour diminuer considérablement les très nocives émissions de la fonderie Horne. S’il n’y avait pas eu tous ces casseux de party, de plus en plus nombreux faut-il le dire, pour rappeler la Noranda, les villes de Rouyn et Noranda et le gouvernement du Québec à l’ordre, on ne parlerait pas aujourd’hui de Rouyn-Noranda comme étant la ville des festivals du cinéma, de la musique émergente et de la guitare où il fait bon vivre, mais bien d’une ville dévastée par la pollution où personne ne veut plus aller résider. »

http://www.vigile.net/Le-fond-du-baril

http://www.vigile.net/Les-casseux-de-party

Modifié par apache
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  • Habitués

au fait le wolfpack, qui était spécialisé dans la prostitution juvénile, c'était pas à Québec?

ok j'ai rien dit :whistlingb:

J'ai pas dit que ça existe pas à Québec ce que je nomme. C'est par contre beaucoup moins pire. Déjà ça fait des années le Wolfpack. Et pour connaitre le domaine de la criminalité (job et non personnel lol), présentement le gros problème de prostitution juvénile est à Mtl! Les filles mineures de Québec se font emmener là-bas!

c'est vrai aucune prostitution à Québec... le paradis!!

http://quebec.craigslist.ca/search/ths?query=+

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  • Habitués

Bonjour,

Je suis né à Rouyn-Noranda et bientôt à la retraite, je déménage à Québec pour voir autre chose,lieux d'origine de mes parents.Je vous soumets un article sur le passé de cette ville,écrit par un journaliste ancien résidant de cette ville...à vous de vous faire une idée!

Le fond du baril

Rouyn-Noranda est un exemple bien vivant pour ceux qui croient que les histoires d’horreur n’arrivent qu’aux autres.

d890f6e5b28e213454d6c7b137cadcfc.jpg

Louis Lapointe

Billet — Louis Lapointe

mercredi 8 septembre 2010

Rouyn-Noranda, le visage de la pollution minière

Rouyn-Noranda est une petite ville minière située au cœur de l’Abitibi-Témiscamingue qui s’enorgueillit du titre de Capitale du cuivre, ce qu’elle n’est plus, alors que manifestement, elle pourrait probablement revendiquer le titre de Capitale de la pollution, héritage d’une exploitation minière débridée. Avec Sudbury, Rouyn-Noranda a longtemps été classée comme une des villes les plus polluées au Canada. Aujourd’hui, on en parle moins, histoire de ne pas faire peur aux touristes qui participent à ses nombreuses activités culturelles que sont les festivals du cinéma, de la guitare et de la musique émergente.

Quiconque connaît un peu la morphologie de Rouyn-Noranda et de ses environs vous parlera aussitôt de ses nombreuses collines dénudées et caps de roche brûlés par les émissions d’anhydride sulfureux de la fonderie Horne. Le gouvernement du Québec a investi 400 millions de dollars au début des années 1980 pour diminuer ces émissions de 95 %.

Sans nostalgie, les plus vieux se souviendront tous de ces journées chaudes et sans vent d’été où un épais gaz toxique s’abattait sur le quartier sud de Rouyn. Un gaz qui nous enveloppait et nous prenait à la gorge, nous étouffant littéralement. Un gaz qui brûlait tout sur son passage, les feuilles des arbres, les jardins, érodant même la peinture des automobiles jusqu’au métal. Imaginez nos poumons !

Ceux qui ont vécu dans le vieux Noranda se souviendront, quant à eux, des émanations extrêmement toxiques de la Québec Iron Fondries, une filiale de la Noranda qui brûlait en plein cœur d’un quartier résidentiel de Noranda des résidus et déchets dont personne ne connaissait la provenance : secret industriel !

Tout cela avec la complicité des gouvernements, une situation qui a duré pendant près d’un demi-siècle. Les maires des villes de Rouyn et Noranda et les députés locaux défendaient avec opiniâtreté la mine et sa fonderie. Il fallait bien gagner notre vie.*

Ce laxisme des autorités publiques a laissé des conséquences effroyables. La Ville de Rouyn-Noranda est encore aujourd’hui entourée par une ceinture de pollution, une marque indélébile qui la défigure, laissée en héritage d’un passé pas si lointain.

puce-32883.gif Le Lac Rouyn, au sud de Rouyn-Noranda, est une mare acide remplie de résidus miniers toxiques.

puce-32883.gif Le Lac Osisko, à l’est de la Ville, là où il y avait autrefois une plage dans les années 1930, est rempli de sédiments. Plus personne ne s’y baigne aujourd’hui.

puce-32883.gif Au nord-est, le lac Dufault, la source d’eau potable de la Ville, borde un réservoir endigué de rejet acide qui longe le terrain de golf de Noranda, lui-même au nord du Lac Osisko.

puce-32883.gif Le quartier de Noranda-Nord est séparé de la Ville, d’est en ouest, par un vaste parc à résidus miniers, celui de la défunte mine Horne, qui ceinture l’ancienne ville de Noranda sur une étendue d’environ 3 kilomètres, allant du golf Noranda jusqu’à la route conduisant au quartier d’Évain à l’ouest de la Ville.

puce-32883.gif Entre la route d’Évain et le chemin de Beaudry, au sud-ouest de la Ville, s’étend un autre parc à résidu minier menaçant toujours la rivière Pelletier et le Lac Beauchastel qui se jettent dans le bassin versant de la rivière Outaouais.

puce-32883.gif Dans la même direction, un peu plus près des habitations, bordant le golf municipal de Rouyn-Noranda, le Lac Pelletier, qui a longtemps été la décharge des égouts de l’ancienne ville de Rouyn, est toujours pollué. Il est bordé au sud-est par un autre parc à résidu minier, celui de l’ancienne mine Stadacona.

puce-32883.gif De l’autre côté de la route 117, au sud de la Ville, nous retrouvons le Lac Rouyn, complétant ainsi un tour de 360 degrés, la ceinture de pollution, dans un rayon de 5 kilomètres du centre de la Ville de Rouyn-Noranda.

Pendant de nombreuses années les gens de Rouyn-Noranda ont non seulement respiré l’air le plus pollué au Canada, mais leurs enfants ont également joué sur des sols d’une très haute toxicité contaminés par le mercure, le cadmium, le plomb, l’arsenic et de nombreux autres métaux lourds et rares qui n’ont rien à envier aux résidus laissés sur les sites d’extraction de gaz de schiste dont on parle présentement dans l’actualité.

Si les mines ont fait la relative richesse de Rouyn-Noranda, elles ont aussi façonné son environnement qui est encore l’un des plus pollués au Québec et au Canada. Un sort que partagent avec elle d’autres villes de l’Abitibi comme Vald’or, Duparquet, Cadillac, Malartic et Preissac, qui ont, elles aussi, leurs histoires d’horreur.

À l’exemple de Rouyn-Noranda, les compagnies minières, insuffisamment encadrées par les autorités publiques, ont historiquement toujours laissé plus de saletés que de richesses. Les nombreux parcs à résidus miniers orphelins de l’Abitibi en sont l’une des preuves les plus tangibles, une bonne dizaine de ceux-ci étant toujours considérés comme dangereux pour l’environnement.

Rouyn-Noranda, comme d’autres villes de l’Abitibi, aurait pu connaître un développement plus harmonieux si les compagnies minières avaient été plus respectueuses de la population et de l’environnement. Mais nous savons d’expérience que cela ne se peut pas.

« Au début des années 1980, trois casseux de party, les frères Corvec et un dénommé Richard Desjardins, firent un film dévastateur sur la fonderie Horne intitulé « Noranda ». Ce film fit tellement mal paraître la Noranda, que l’Australie interdit à la multinationale de s’implanter sur son continent, la considérant alors comme un mauvais citoyen corporatif. Quelques années plus tard, la Noranda et le gouvernement du Québec conclurent une entente et investirent 400 millions de dollars pour diminuer considérablement les très nocives émissions de la fonderie Horne. S’il n’y avait pas eu tous ces casseux de party, de plus en plus nombreux faut-il le dire, pour rappeler la Noranda, les villes de Rouyn et Noranda et le gouvernement du Québec à l’ordre, on ne parlerait pas aujourd’hui de Rouyn-Noranda comme étant la ville des festivals du cinéma, de la musique émergente et de la guitare où il fait bon vivre, mais bien d’une ville dévastée par la pollution où personne ne veut plus aller résider. »

http://www.vigile.net/Le-fond-du-baril

http://www.vigile.net/Les-casseux-de-party

Pourtant non loin de là, la ville de Barraute possède une des meilleurs qualité d'eau au monde.

Envoyé par l'application mobile Forum IC

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  • Habitués

au fait le wolfpack, qui était spécialisé dans la prostitution juvénile, c'était pas à Québec?

ok j'ai rien dit :whistlingb:

J'ai pas dit que ça existe pas à Québec ce que je nomme. C'est par contre beaucoup moins pire. Déjà ça fait des années le Wolfpack. Et pour connaitre le domaine de la criminalité (job et non personnel lol), présentement le gros problème de prostitution juvénile est à Mtl! Les filles mineures de Québec se font emmener là-bas!

Tu as vraiment un grain.

C'est cool j'ai la colonie de français à mes trousses. J'aime bien! :biggrin2:

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  • Habitués

ehhhh bien !!!

Déjà merci a tous les intervenants !

3 Messages avant la polémique entre Québec et Montréal (que je compte fuir comme la peste du fait que ce soit une mégapole et moi un simple être humain...) suivi de 3 pages de crêpage de chinions ! :blink2: j'ai bien fait de terminer mon premier message en demandant d'éviter les polémiques !! :biggrin2:

Passons les sarcasmes, je navigue depuis Janvier sur ce forum, je savais la polémique inévitable ! (surement pour cela que je l'aime :give_rose: )

Ce qu'il ressort des différents commentaires traitant du sujet d'origine c'est que je dois revoir à la baisse mon itinéraire de vacances et au vue du texte de apache (merci a toi :thumbsup: ) je pense que Rouyn passera à la trappe...

J'ai profité de ma lecture pour tenir les comptes, et sauf erreurs de ma part j'ai en nombre d'avis positifs : Rouyn 1, Quebec 3 et Sherbrooke 4.

Je suis assez content d'avoir posé cette question car ma préférence allais a l’exact opposé du résultat !! Par chez moi il y a un dicton qui dit il vaut mieux un qui sait que 10 qui cherchent, je pense qu'une fois de plus je vais me fier a cette maxime.

Il faut reconnaitre que le service communication de rouyn Noranda est très fort car il m'avaient séduit notamment sur le cadre de vie... comme quoi même en se documentant, on arrive toujours a se faire berner :sad:

J'avais tout de même un léger doute compte tenu des opportunité que reflétai la comm sur la région et la faible population/popularité de cette région sur les forums et autres sites sur le Québec.

Québec avais notre préférence dès le début de nos investigations, nous y passerons une bonne partie de notre séjour pour "jauger" le marché de l’emploi dans nos branches respectives et le climat local en matière d’accueil des immigrants.

Il faudra faire un effort colossale pour rester objectif le plus possible car on vas débarquer en plein festival !!!

Sherbrooke me pose un problème de conscience... Tout le monde donne un bonne image de cette ville mais pour ma part, je n'ai vu aucune photo ou vidéo qui ne me fasse vibrer et dire, je me verrai bien vivre ici...

Pas que j'en ai une mauvaise image mais la petite étincelle n'est pas là...

Il faut reconnaitre que je suis largement moins documenté sur Sherbrooke que sur les autres villes, peut être qu'en m'y intéressant plus....

Merci encore pour ces remontées, si d'autres avis merci de m'en faire part (notamment en ce qui concerne le marché de l'emploi de vos régions) et pour les belligérants, enterez la hache de guerre, cela ne vaut pas le coup de vous faire monter la tension ! :thumbsup:

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  • Habitués

ehhhh bien !!!

Déjà merci a tous les intervenants !

3 Messages avant la polémique entre Québec et Montréal (que je compte fuir comme la peste du fait que ce soit une mégapole et moi un simple être humain...) suivi de 3 pages de crêpage de chinions ! :blink2: j'ai bien fait de terminer mon premier message en demandant d'éviter les polémiques !! :biggrin2:

Passons les sarcasmes, je navigue depuis Janvier sur ce forum, je savais la polémique inévitable ! (surement pour cela que je l'aime :give_rose: )

Ce qu'il ressort des différents commentaires traitant du sujet d'origine c'est que je dois revoir à la baisse mon itinéraire de vacances et au vue du texte de apache (merci a toi :thumbsup: ) je pense que Rouyn passera à la trappe...

J'ai profité de ma lecture pour tenir les comptes, et sauf erreurs de ma part j'ai en nombre d'avis positifs : Rouyn 1, Quebec 3 et Sherbrooke 4.

Je suis assez content d'avoir posé cette question car ma préférence allais a l’exact opposé du résultat !! Par chez moi il y a un dicton qui dit il vaut mieux un qui sait que 10 qui cherchent, je pense qu'une fois de plus je vais me fier a cette maxime.

Il faut reconnaitre que le service communication de rouyn Noranda est très fort car il m'avaient séduit notamment sur le cadre de vie... comme quoi même en se documentant, on arrive toujours a se faire berner :sad:

J'avais tout de même un léger doute compte tenu des opportunité que reflétai la comm sur la région et la faible population/popularité de cette région sur les forums et autres sites sur le Québec.

Québec avais notre préférence dès le début de nos investigations, nous y passerons une bonne partie de notre séjour pour "jauger" le marché de l’emploi dans nos branches respectives et le climat local en matière d’accueil des immigrants.

Il faudra faire un effort colossale pour rester objectif le plus possible car on vas débarquer en plein festival !!!

Sherbrooke me pose un problème de conscience... Tout le monde donne un bonne image de cette ville mais pour ma part, je n'ai vu aucune photo ou vidéo qui ne me fasse vibrer et dire, je me verrai bien vivre ici...

Pas que j'en ai une mauvaise image mais la petite étincelle n'est pas là...

Il faut reconnaitre que je suis largement moins documenté sur Sherbrooke que sur les autres villes, peut être qu'en m'y intéressant plus....

Merci encore pour ces remontées, si d'autres avis merci de m'en faire part (notamment en ce qui concerne le marché de l'emploi de vos régions) et pour les belligérants, enterez la hache de guerre, cela ne vaut pas le coup de vous faire monter la tension ! :thumbsup:

Salut,

Quand tu dis festival, veux-tu dire carnaval?

Quand tu seras à Québec, tu pourrais aller rencontrer le responsable du dossier immigration à la Chambre de commerce de Québec. Cette personne d'ailleurs pourait te donner de bons filons de recherche.

Je te dirais de faire la même chose pour les autres villes, même si elles sont moins biens que Québec :biggrin2: !

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  • Habitués

lol

oui je parlais du carnaval (désolé je suis entouré de mes collègues qui sont particulièrement dissipés !)

Merci pour cette info, je ne pense pas que j'y aurais pensé seul. Il est vrai que cette personne est plutôt bien placée pour m'aiguiller dans mes recherches.

Je pensais aussi rencontrer un ou deux chefs d'entreprise et /ou de service de maintenance pour un entretien d'information

Cela me permettrai de voir au cœur même d'une entreprise comment cela se passe et comprendre ce que les employeurs attendent des candidats lors d'une entrevue d'embauche. Qu'en pensez vous ?

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  • Habitués

lol

oui je parlais du carnaval (désolé je suis entouré de mes collègues qui sont particulièrement dissipés !)

Merci pour cette info, je ne pense pas que j'y aurais pensé seul. Il est vrai que cette personne est plutôt bien placée pour m'aiguiller dans mes recherches.

Je pensais aussi rencontrer un ou deux chefs d'entreprise et /ou de service de maintenance pour un entretien d'information

Cela me permettrai de voir au cœur même d'une entreprise comment cela se passe et comprendre ce que les employeurs attendent des candidats lors d'une entrevue d'embauche. Qu'en pensez vous ?

Je pense que c'est une bonne idée et cela te permettrait de commencer ton réseau. Je suis certain que c'est la personne de la Chambre de commerce qui pourra t'ouvrir les portes de bureaux des chefs d'entreprise.

Pour savoir ce qui en est pour les entrevues, j'irais rencontrer un coseiller chez SOIIT. En théorie, ils sont là pour les RP, mais je n'ai jamais entendu dire qu'ils fermaient la porte au nez à quelqu'un. Donc j'arriverais sans rdv avec ton plus beau sourire possible, un mardi ou mercredi matin (pas le lundi ni le vendredi) vers 08h45 (donc la personne a eu le temps d'ouvrir son ordi, regarder ses mesages, son agenda, commencer à boire son café). Cette personne pourrait alors te conseiller sur les entrevues. http://www.soiit.qc.ca/

Tu pourrais faire la même chose à R.I.R.E.2000 http://www.r2000.qc.ca/ ainsi qu'à GIT http://www.git.qc.ca/

Pour les autres villes, je m'excuse, je ne connais pas les organismes mais Google est notre ami! Puis le responsable du dossier immigration de la Chambre de commerce de cette ville pourra te les nommer.

Modifié par dentan
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  • Habitués

Autour de Sherbrooke, il y a beaucoup de belles petites places (je pense entre autres à North Hatley) . Il y a des vedettes américaines qui se sont déjà acheté des propriétés dans les Cantons-de-l'Est, donc tu pourrais aussi y trouver ton bonheur.

Il faut voir aussi les possibilités d'emplois selon vos domaines.

Mais si Sherbrooke te tentait, je crois que tu devrais aller y jeter un oeil avant de rejeter la ville pour une question de photos.

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  • Habitués

Un grand merci à toi Dentan pour ces infos et conseils, les adresses sont dors et déjà mises de côté en lieux sur ! :biggrin2:

En discutant hier avec ma femme nous avons décidé de modifier notre feuille de route (ce qui l'arrange il semble que Rouyn, sans la déranger, ne l'enchantais pas plus que ça...

Nous allons donc nous intéresser a Québec et Sherbrooke et leurs proche banlieue.

En février, nous ferons le tour des villes et institutions que nous aurons retenues pour nous aider a prendre une décision. La priorité sera au tourisme bien entendu mais quelques demi journées seront plus axées sur l'aspect "vivre au Québec" :tongue:

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  • Habitués

Honnêtement, je n'ai jamais eu le courage de faire la routepour me rendre en Abitibiti, mais les images de forêts d'épinettes et du bouclier canadien me semblent pas mal redontantes. Les quelques personnes que je connais de là bas, me semblent un peu "frustres" et bon en tant que québécois du "Sud", juste pensée à leur hiver me donne des frissons (et pas du genre romantique).

Puisqu'il semble que même quand il était dit que Montréal n'est pas une option, il faut dériver dessus quand même, ben je dirai que cette ville est bien pour une mégapole et qu'on s'y sent en relative sécurité, mais c'est remplis de banlieusard frustrés sexuellement (un endroit à éviter).

Pour Québec, j'ai entendu dire qu'on y trouverait une bonne concentration de réactionnaires et une infestation de "radio poubelles", mais j'y ai toujours été traité cordialement quand j'y suis passé. Y a un beau centre-ville et de grands parcs nationaux dans les environs. Reste que l'immobilier et le coût de la vie y sont plus cher que dans une ville comme Sherbrooke et que t'as plus de chance de rester coincé dans des embouteillages (même si certains me répondrons que ce ne sont pas des "vrais" puisqu'on ne s'y fait pas insulté en Punjabi dans un échangeur qui s'effondre).

J'avoue ne pas être objectif car je suis de la région, mais je te conseillerai quand même de te promener dans Sherbrooke et ses environs. La population y est reconnu pour être généralement plus jeune et progressiste que celle de Québec (ce n'est pas pour rien que la ville réussit à attirer deux fois plus de minorités par capita que celle-ci) et c'est pas mal la raison qui fait que je n'ai pas connu énormément de gens ayant eu une mauvaise image du coin après y avoir vécu. Les parcs, pistes cyclables et monts valent le détour également.

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