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1) La France ... Le Québec ... ? ......

2)

Si je privilégie une perspective purement professionnelle, je pense que je retenterai l'expérience de l'Immigration à Londres plutôt qu'à Toronto car le Marché à Londres est nettement plus conséquent

Premier post: Alors mon choix est fait... je retourne en France et si jamais je dois revenir au Canada, ce sera définitivement en Ontario et pas au Québec.

Comme quoi, tu es vraiment négligente. Je commence même à me demander ce que tu vaux comme secrétaire.

Hi hi. En tout cas, moi, dès mon arrivée, j'ai trouvé du travail et je n'ai pas été obligée de travailler 37 heures sur un plateau téléphonique pour 9 $ de l'heure ou en vendant des vêtements a La Baie pour a peine un peu plus :innocent:

Ben oui, je sais... Quand on arrive au QC avec une faible qualification, on trouve plus facilement un job relativement peu qualifié, tel que secrétaire

Voilà, voilà !!! Tout s'éclaire petit à petit ! En définitive, on supposait bien, le cas type du maudit français "je sais tout et je suis le meilleur" qui arrive avec ses gros sabots pour en remontrer à tous les Québécois. C'est bien ça. Vous vous êtes lattés ici car vous n'avez pas compris comment le marché du travail fonctionnait. Vous n'avez aucune idée des diplômes et du degré d'expertise qu'il faut avoir pour exercer ici un vrai métier d'adjointe administrative.

C'est ça, tu as des idées sur tout, mais tu as surtout des idées :biggrin2:

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Posté(e) (modifié)

1) La France ... Le Québec ... ? ......

2)

Si je privilégie une perspective purement professionnelle, je pense que je retenterai l'expérience de l'Immigration à Londres plutôt qu'à Toronto car le Marché à Londres est nettement plus conséquent

Premier post: Alors mon choix est fait... je retourne en France et si jamais je dois revenir au Canada, ce sera définitivement en Ontario et pas au Québec.

Comme quoi, tu es vraiment négligente. Je commence même à me demander ce que tu vaux comme secrétaire.

Hi hi. En tout cas, moi, dès mon arrivée, j'ai trouvé du travail et je n'ai pas été obligée de travailler 37 heures sur un plateau téléphonique pour 9 $ de l'heure ou en vendant des vêtements a La Baie pour a peine un peu plus :innocent:

Ben oui, je sais... Quand on arrive au QC avec une faible qualification, on trouve plus facilement un job relativement peu qualifié, tel que secrétaire

Voilà, voilà !!! Tout s'éclaire petit à petit ! En définitive, on supposait bien, le cas type du maudit français "je sais tout et je suis le meilleur" qui arrive avec ses gros sabots pour en remontrer à tous les Québécois. C'est bien ça. Vous vous êtes lattés ici car vous n'avez pas compris comment le marché du travail fonctionnait. Vous n'avez aucune idée des diplômes et du degré d'expertise qu'il faut avoir pour exercer ici un vrai métier d'adjointe administrative.

C'est ça, tu as des idées sur tout, mais tu as surtout des idées :biggrin2:

Si, il faut environ 2-3 ans d'études.

Maintenant, tu ne dois pas être très bonne si j'en juge par ton niveau de méticulosité, et puis ne viens pas me dire que c'est la gloire !

Enfin, moi, je n'ai pas eu à savoir comment le marché du travail fonctionnait car je me suis fais recruter avant de venir m'installer, sans doute pour des responsabilités et une rémunération triple ou quadruple de la tienne.

Alors me faire latter et me faire donner des leçons pour savoir comment gagner ma vie... par une secrétaire...

Modifié par lovcen
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Dis moi ce qui est faux:

- les jobines au minimum légal qui attendent la majorité des immigrants à qui on a fait miroiter le paradis ? c'est ça un meilleur marché de l'emploi ?

- la fermeture québécoise à l'expérience et aux compétences sauf à passer sous les fourches caudines des divers ordres et syndicats ?

C'est le cas egalement en Ontario mais peut-etre ne le vois-tu pas. C'est aussi le type de petits boulots que l'on propose aux immigrants meme lorsqu'ils ont une experience de travail avec une societe canadienne dans leur pays d'origine. La version de l'experience quebecoise etst l'experience canadienne. Cette derniere si tu ne l'as pas, c'est plus dur de trouver du boulot. Untel PMP qui travail dans un supermarche, tel autre chez Bell a poser le cable, tel autre dans un call center ou encore le copain qui ne trouvait rien a Toronto et alentours et qui finalement s'est resolu a aller bosser pour l'ONU a Geneve. Tu vois des exemples il y en a a la pelle, des exemples que tu peux croiser lorsque tu fais une immigration qui n'est pas celle du Quebec et que tu vas participer aux sceances d'immersion dans le monde du travail propose par le gouvernement..

Ne t'es tu pas demande si le fait de trouver du boulot en Ontario pouvait provenir du fait que tu avais acquis une experience de travail canadienne au Quebec ? En gros tu as ete degrossi meme si le travail ne correspondait pas a ta branche d'activite. Et tout le monde le dit: n'importe quel travail te donne l'experience du monde du travail au Canada et ddonc forcement va t'ouvrir les portes plus facilement par la suite.

Non, l'expérience québécoise n'a pas vraiment de valeur en Ontario. La culture du travail est assez différente et je m'en rends compte tous les jours.

Par ailleurs, mais mon cas est encore trop spécifique, c'est mon expertise et mon bilinguisme qui font la différence.

Oui, en Ontario comme au QC ça pullule de petits jobs et les chauffeurs de taxis qui ont le plus haut niveau de qualification du Monde (docteurs, ingénieurs, universitaires...) ont les mêmes frustrations qu'au QC.

Je suis desole mais je ne partage pas ce que tu dis au sujet que l'experience quebecoise n'a presque pas de valeur. La c'est un peu de l'exageration, franchement. Le Quebec n'est pas un pays etranger, c'est le Canada -- et sans lui le Canada ne serait pas ce qu'il est -- donc toute experience ici est reconnue comme une approche du marche du travail et ouvre plus facilement les portes. Ou alors tu vas me dire qu'il n'y a que lOntario qui ne reconnait pas l'experience quebecoise mais que les autres provinces, elles la reconnaissent ? Que les rythmes de travail soient differents peut-etre mais le monde du travail est le meme, sinon tous les quebecois autour de moi qui sont alles travailler dans les autres provinces -- dont l'ontario -- seraient tous des " vernis " dans ton style a savoir une experience unique, une expertise rare et un bilinguisme parfait ? Hum desole, je doute.

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Lovcen je vois que tu es consultant en sécurité des TI, mais es-tu au niveau de l'immigration un RP ou es-tu devenu citoyen ?

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À lovcen

:cool: Tu parles de certains immigrants qui quittent le Québec pour les provinces anglophones mais tu omets de parler des immigrants et des natifs qui quittent les provinces anglophones pour le Québec... et ce même si plusieurs d'entre eux sont pénalisés par leur non-connaissance du français qui est particulèrement important pour les emplois en régions au Québec. Par exemple les gens qui quittent Vancouver pour le Québec parce qu'ils trouvent que le prix des logements à Vancouver est horriblement cher :shok: ... alors qu'au Québec le prix des logements est plus abordable. Par exemple Mariko McDonald qui a quitté Vancouver pour s'établir à Montréal comme l'indique l'article du journal La Presse...

Source: La Presse

Fièvre immobilière: quitter Vancouver

Ce petit bungalow, construit dans les années 50 au coin de la rue Balsam et de la 22e Avenue, à Vancouver, est à vendre, pour 2 489 000$

(VANCOUVER) Pour la première fois en 40 ans, Vancouver est victime d'un solde migratoire négatif: les gens qui quittent la ville sont plus nombreux que ceux qui y arrivent. Les prix des maisons - les plus hauts du Canada et parmi les plus élevés du monde - sont, de plus en plus, vus comme étant problématiques. Voyage au coeur d'une ville au point d'ébullition.L'un des taudis les plus chers du monde est un bungalow blanc et vert, construit dans les années 50 au coin de la rue Balsam et de la 22e Avenue, à Vancouver.L'escalier du porche tombe en ruine. Les murs blancs sont sales. La clôture qui entoure la minuscule cour est en partie écroulée. Le terrain comprend un petit arbre malade, et fait à peine 17 mètres de largeur.Le tout est sur le marché pour 2 489 000$.Si le prix vous fait sourciller, vous ne venez pas de Vancouver. Ici, personne n'est surpris. En juin, le prix moyen d'une maison unifamiliale trônait à 1 215 265$, une hausse de plus de 800 000$ depuis 2001. Cela place Vancouver au sommet du palmarès des villes les plus chères du Canada, et même, selon certains analystes, du monde anglo-saxon, devant New York et Londres.Partout au Canada, la hausse faramineuse des prix de l'immobilier depuis 10 ans - un phénomène sans précédent dans l'histoire du pays - a transformé tout propriétaire en investisseur heureux de sa bonne étoile. À Vancouver, cette fièvre a atteint des sommets jamais vus.Cam Good, l'un des agents immobiliers les plus connus de Vancouver, se montre direct. À ceux qui s'inquiètent des prix, M. Good résume la situation ainsi:«Si vous ne voulez pas [payer les prix de Vancouver]... eh bien, peut-être que vous devriez aller vivre ailleurs. N'importe quelle ville aussi belle, aussi populaire, présentera ces ennuis. Ou bien vous voulez y vivre, ou bien vous ne voulez pas.»Plus cher que Hong KongDeirdre Marconato ne connaît pas Cam Good, mais ses propos lui sont familiers. Elle entend régulièrement ses voisins et connaissances dire que Vancouver est «le meilleur endroit du monde».«C'est une phrase très prétentieuse, mais c'est dit sans aucune gêne, c'est accepté comme une vérité immuable», dit-elle.Mme Marconato considérait elle aussi que Vancouver était un endroit idéal quand elle y est arrivée, en 2008. Son mari, qui fait une carrière internationale comme analyste financier, et elle avaient décidé de vendre leur appartement à Hong Kong pour déménager sur la côte ouest canadienne, d'où Mme Marconato est originaire. Ils voulaient s'établir avec leur fille dans un endroit accueillant, près de bonnes écoles, de l'océan et des montagnes.Quand La Presse l'a rencontrée dans sa maison du quartier cossu de Vancouver Ouest, à la fin juin, Mme Marconato était occupée à remplir ses dernières boîtes. Son aventure tirait à sa fin: après trois ans passés à Vancouver, la famille rentre à Hong Kong.Dès leur arrivée, les Marconato ont vu que quelque chose clochait. Pourtant à l'aise financièrement et habitués au coût de la vie de Hong Kong, ils ont été estomaqués lorsqu'ils ont vu le prix des maisons. Ils se sont tournés vers la location.Or, être locataire à Vancouver, c'est faire partie d'une sous-classe, a vite réalisé Mme Marconato. «Quand je dis aux gens que nous louons notre maison, leur regard change. C'est comme si c'était honteux d'être locataire», dit-elle.La vie de quartier dans Vancouver Ouest n'est pas non plus ce qu'elle imaginait. «Au moins 60% des maisons de mon quartier ont été vendues depuis deux ans. Plusieurs sont vides. Ça fait une ambiance très froide. Nous invitons les gens, mais on ne se fait jamais rendre la pareille. J'ai vécu à Londres, à Paris, à Singapour et à Toronto, et je n'ai jamais vécu une telle situation.»Vancouver Ouest n'est pas non plus à l'abri du crime: plusieurs fusillades de gangs ont eu lieu dans le quartier depuis deux ans. Un élève de l'école secondaire que fréquente sa fille a été poignardé devant l'école.Il y a quelques mois, un chasseur de têtes a pris contact avec le mari de Mme Marconato pour lui offrir un emploi à Hong Kong. La décision de partir s'est prise rapidement.Mme Marconato dit être déçue de voir son «rêve canadien» s'achever.«Je ne comprends pas comment les gens font pour vivre à Vancouver, dit-elle. À Hong Kong, la vie est chère, mais les salaires sont élevés. Ici, les emplois ne sont pas très bien rémunérés. Les gens doivent s'endetter massivement pour mener un train de vie normal. Ce n'est pas ce que nous voulons.»50% de DetroitMalgré son emplacement unique et la beauté de ses environs, Vancouver a l'économie d'une métropole nord-américaine de taille modeste.L'économie de Vancouver représente moins de 50% de celle de Detroit, selon PricewaterhouseCoopers. Les salaires y sont inférieurs à ceux de Toronto. Pourtant, en 2011, le prix moyen des logements représente 9,5 fois le revenu moyen des ménages, un sommet au Canada. (Les économistes estiment que le marché est sain quand les logements représentent en moyenne trois fois le revenu moyen des ménages.)Bien des gens attribuent la hausse des prix aux Asiatiques fortunés qui investissent sur la côte Ouest. Or, «l'invasion asiatique» semble être largement un phénomène anecdotique: un récent rapport de l'Urban Futures Institute, une firme de recherche de Vancouver, montre que, sur les 55 512 maisons vendues répertoriées en 2010, 195 ont été achetées par des gens en provenance de l'extérieur du Canada. Cela représente 0,4% des acheteurs cette année-là, l'une des plus actives de la décennie pour le volume des ventes, note l'analyste Andrew Ramlo.«Nos données contredisent les histoires et anecdotes qui circulent à Vancouver, selon lesquelles la demande des investisseurs étrangers est le moteur de la hausse importante des prix de l'immobilier», observe-t-il.Qui plus est, pour la première fois depuis que les données ont commencé à être compilées, en 1972, Statistique Canada a noté une baisse de l'immigration internationale en Colombie-Britannique, dans le dernier trimestre de 2010. Au total, 7353 résidents non permanents ont quitté la province, renversant une tendance à la hausse observée depuis des décennies. Cette baisse est unique, et il est trop tôt pour savoir si elle se répétera en 2011.Doutes sur la «fièvre»Chose certaine, le coût de la vie est de plus en plus montré du doigt par les gens qui quittent Vancouver.L'auteure et traductrice Mariko McDonald a quitté la ville, il y a trois ans et demi, pour déménager à Montréal. C'est le prix des loyers qui lui a donné l'envie de partir.«Le coût des loyers a perdu tout lien avec les salaires, dit-elle en entrevue téléphonique. Je dépensais de 60 à 70% de mon salaire pour me loger. Sortir dans un bar ou au resto était impossible. Je ne voyais tout simplement pas d'avenir pour moi là-bas.»

http://affaires.lapr...r-vancouver.php

C'est comme tout, c'est une question de salaire et de perspectives d'évolution. Celui d'une journaliste pigiste et d'un consultant de bon niveau n'ont rien à voir.

:Crylol: Journalistes pigistes , traductrices ou consultants ou autres métiers, ils sont tous affectés par les logements affreusement chers de Vancouver...alors plusieurs immigrants et natifs quittent Vancouver ( ou Toronto qui est aussi une ville chère ) pour d'autres villes... plusieurs viennent au Québec où le coût de la vie et le coût du logement est plus abordable. Ce sont des migrations interprovinciales et ça marche dans les 2 sens... :whistlingb:

Ca ne change rien au fait qu'un consultant de bon niveau a Toronto a un salaire qui est augmenté quand il s'est relocalisé en quittant Montréal (dans ma boite). Et il en serait de même si on m'envoyait en Russie où au Japon, là oû les loyers sont les plus chers du Monde.

Un pigiste, travailleur autonome pas essence, a d'autres avantages, il peut augmenter sa facturation, mais dans certaines limites.

Donc, je le répète, entre un pigiste journaliste et un immigrant qualifié qui bosse dans une grande boite il y a autant de différence qu'entre Cherrylbee et moi, pour qui un logement cher à Toronto demeure accessible et avec une qualité de construction et de services qu'on ne retrouve pas beaucoup à montréal, sauf dans les immeubles de grand standing (salle de sport, piscine, gardien...).

Lovcen je vois que tu es consultant en sécurité des TI, mais es-tu au niveau de l'immigration un RP ou es-tu devenu citoyen ?

J'ai ma RP depuis le mois de mai dernier. je devrais pouvoir demander la citoyenneté dans 2 ans environ car j'ai passé près de 4 ans sur place avec un visa temporaire.

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Dis moi ce qui est faux:

- les jobines au minimum légal qui attendent la majorité des immigrants à qui on a fait miroiter le paradis ? c'est ça un meilleur marché de l'emploi ?

- la fermeture québécoise à l'expérience et aux compétences sauf à passer sous les fourches caudines des divers ordres et syndicats ?

C'est le cas egalement en Ontario mais peut-etre ne le vois-tu pas. C'est aussi le type de petits boulots que l'on propose aux immigrants meme lorsqu'ils ont une experience de travail avec une societe canadienne dans leur pays d'origine. La version de l'experience quebecoise etst l'experience canadienne. Cette derniere si tu ne l'as pas, c'est plus dur de trouver du boulot. Untel PMP qui travail dans un supermarche, tel autre chez Bell a poser le cable, tel autre dans un call center ou encore le copain qui ne trouvait rien a Toronto et alentours et qui finalement s'est resolu a aller bosser pour l'ONU a Geneve. Tu vois des exemples il y en a a la pelle, des exemples que tu peux croiser lorsque tu fais une immigration qui n'est pas celle du Quebec et que tu vas participer aux sceances d'immersion dans le monde du travail propose par le gouvernement..

Ne t'es tu pas demande si le fait de trouver du boulot en Ontario pouvait provenir du fait que tu avais acquis une experience de travail canadienne au Quebec ? En gros tu as ete degrossi meme si le travail ne correspondait pas a ta branche d'activite. Et tout le monde le dit: n'importe quel travail te donne l'experience du monde du travail au Canada et ddonc forcement va t'ouvrir les portes plus facilement par la suite.

Non, l'expérience québécoise n'a pas vraiment de valeur en Ontario. La culture du travail est assez différente et je m'en rends compte tous les jours.

Par ailleurs, mais mon cas est encore trop spécifique, c'est mon expertise et mon bilinguisme qui font la différence.

Oui, en Ontario comme au QC ça pullule de petits jobs et les chauffeurs de taxis qui ont le plus haut niveau de qualification du Monde (docteurs, ingénieurs, universitaires...) ont les mêmes frustrations qu'au QC.

Je suis desole mais je ne partage pas ce que tu dis au sujet que l'experience quebecoise n'a presque pas de valeur. La c'est un peu de l'exageration, franchement. Le Quebec n'est pas un pays etranger, c'est le Canada -- et sans lui le Canada ne serait pas ce qu'il est -- donc toute experience ici est reconnue comme une approche du marche du travail et ouvre plus facilement les portes. Ou alors tu vas me dire qu'il n'y a que lOntario qui ne reconnait pas l'experience quebecoise mais que les autres provinces, elles la reconnaissent ? Que les rythmes de travail soient differents peut-etre mais le monde du travail est le meme, sinon tous les quebecois autour de moi qui sont alles travailler dans les autres provinces -- dont l'ontario -- seraient tous des " vernis " dans ton style a savoir une experience unique, une expertise rare et un bilinguisme parfait ? Hum desole, je doute.

Presque ne veut pas dire 'du tout'. Je sais comment le système marche (banques, administrations, relations inter-provinciales...).

Mais franchement non, mon expérience au QC ne me sert pas en Ontario.

Le mode de relation dans l'environnement professionnel est très différent:

- je n'ai jamais autant travaillé à distance et en utilisant les audio conférences,

- la manìère de faire des gestionnaires de projets québécois, pour le moment je ne l'ai pas retrouvée et j'en suis heureux,

- le rythme de vie n'est pas le même, c'est plus proche de ce que j'ai connu à Paris en termes d'énergie,

- et puis il y a une réelle curiosité sur ce qui se passe à l'étranger alors qu'au QC !!!!!!! Ce qui se passe à Montréal quand on vit à Québec et inversement, on s'en bat un peut la branche dès qu'on s'éloigne un peu de l'île de Montréal. A Toronto, on ne me dit pas: Ce que vous avez fait en dehors de l'Ontario ne nous intéresse pas ! C'est plutôt le contraire. Or, les choses les plus intéressantes que j'ai faites, c'est à Paris et à new York, malheureusement pas à Montréal, faute d'opportunités.

Ah j'oubliais... pour mes interlocuteurs, je suis un français de France. Ils ne se posent même pas la question de savoir si j'ai vécu au QC.

Modifié par lovcen
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À lovcen

:cool: Tu parles de certains immigrants qui quittent le Québec pour les provinces anglophones mais tu omets de parler des immigrants et des natifs qui quittent les provinces anglophones pour le Québec... et ce même si plusieurs d'entre eux sont pénalisés par leur non-connaissance du français qui est particulèrement important pour les emplois en régions au Québec. Par exemple les gens qui quittent Vancouver pour le Québec parce qu'ils trouvent que le prix des logements à Vancouver est horriblement cher :shok: ... alors qu'au Québec le prix des logements est plus abordable. Par exemple Mariko McDonald qui a quitté Vancouver pour s'établir à Montréal comme l'indique l'article du journal La Presse...

Source: La Presse

Fièvre immobilière: quitter Vancouver

Ce petit bungalow, construit dans les années 50 au coin de la rue Balsam et de la 22e Avenue, à Vancouver, est à vendre, pour 2 489 000$

(VANCOUVER) Pour la première fois en 40 ans, Vancouver est victime d'un solde migratoire négatif: les gens qui quittent la ville sont plus nombreux que ceux qui y arrivent. Les prix des maisons - les plus hauts du Canada et parmi les plus élevés du monde - sont, de plus en plus, vus comme étant problématiques. Voyage au coeur d'une ville au point d'ébullition.L'un des taudis les plus chers du monde est un bungalow blanc et vert, construit dans les années 50 au coin de la rue Balsam et de la 22e Avenue, à Vancouver.L'escalier du porche tombe en ruine. Les murs blancs sont sales. La clôture qui entoure la minuscule cour est en partie écroulée. Le terrain comprend un petit arbre malade, et fait à peine 17 mètres de largeur.Le tout est sur le marché pour 2 489 000$.Si le prix vous fait sourciller, vous ne venez pas de Vancouver. Ici, personne n'est surpris. En juin, le prix moyen d'une maison unifamiliale trônait à 1 215 265$, une hausse de plus de 800 000$ depuis 2001. Cela place Vancouver au sommet du palmarès des villes les plus chères du Canada, et même, selon certains analystes, du monde anglo-saxon, devant New York et Londres.Partout au Canada, la hausse faramineuse des prix de l'immobilier depuis 10 ans - un phénomène sans précédent dans l'histoire du pays - a transformé tout propriétaire en investisseur heureux de sa bonne étoile. À Vancouver, cette fièvre a atteint des sommets jamais vus.Cam Good, l'un des agents immobiliers les plus connus de Vancouver, se montre direct. À ceux qui s'inquiètent des prix, M. Good résume la situation ainsi:«Si vous ne voulez pas [payer les prix de Vancouver]... eh bien, peut-être que vous devriez aller vivre ailleurs. N'importe quelle ville aussi belle, aussi populaire, présentera ces ennuis. Ou bien vous voulez y vivre, ou bien vous ne voulez pas.»Plus cher que Hong KongDeirdre Marconato ne connaît pas Cam Good, mais ses propos lui sont familiers. Elle entend régulièrement ses voisins et connaissances dire que Vancouver est «le meilleur endroit du monde».«C'est une phrase très prétentieuse, mais c'est dit sans aucune gêne, c'est accepté comme une vérité immuable», dit-elle.Mme Marconato considérait elle aussi que Vancouver était un endroit idéal quand elle y est arrivée, en 2008. Son mari, qui fait une carrière internationale comme analyste financier, et elle avaient décidé de vendre leur appartement à Hong Kong pour déménager sur la côte ouest canadienne, d'où Mme Marconato est originaire. Ils voulaient s'établir avec leur fille dans un endroit accueillant, près de bonnes écoles, de l'océan et des montagnes.Quand La Presse l'a rencontrée dans sa maison du quartier cossu de Vancouver Ouest, à la fin juin, Mme Marconato était occupée à remplir ses dernières boîtes. Son aventure tirait à sa fin: après trois ans passés à Vancouver, la famille rentre à Hong Kong.Dès leur arrivée, les Marconato ont vu que quelque chose clochait. Pourtant à l'aise financièrement et habitués au coût de la vie de Hong Kong, ils ont été estomaqués lorsqu'ils ont vu le prix des maisons. Ils se sont tournés vers la location.Or, être locataire à Vancouver, c'est faire partie d'une sous-classe, a vite réalisé Mme Marconato. «Quand je dis aux gens que nous louons notre maison, leur regard change. C'est comme si c'était honteux d'être locataire», dit-elle.La vie de quartier dans Vancouver Ouest n'est pas non plus ce qu'elle imaginait. «Au moins 60% des maisons de mon quartier ont été vendues depuis deux ans. Plusieurs sont vides. Ça fait une ambiance très froide. Nous invitons les gens, mais on ne se fait jamais rendre la pareille. J'ai vécu à Londres, à Paris, à Singapour et à Toronto, et je n'ai jamais vécu une telle situation.»Vancouver Ouest n'est pas non plus à l'abri du crime: plusieurs fusillades de gangs ont eu lieu dans le quartier depuis deux ans. Un élève de l'école secondaire que fréquente sa fille a été poignardé devant l'école.Il y a quelques mois, un chasseur de têtes a pris contact avec le mari de Mme Marconato pour lui offrir un emploi à Hong Kong. La décision de partir s'est prise rapidement.Mme Marconato dit être déçue de voir son «rêve canadien» s'achever.«Je ne comprends pas comment les gens font pour vivre à Vancouver, dit-elle. À Hong Kong, la vie est chère, mais les salaires sont élevés. Ici, les emplois ne sont pas très bien rémunérés. Les gens doivent s'endetter massivement pour mener un train de vie normal. Ce n'est pas ce que nous voulons.»50% de DetroitMalgré son emplacement unique et la beauté de ses environs, Vancouver a l'économie d'une métropole nord-américaine de taille modeste.L'économie de Vancouver représente moins de 50% de celle de Detroit, selon PricewaterhouseCoopers. Les salaires y sont inférieurs à ceux de Toronto. Pourtant, en 2011, le prix moyen des logements représente 9,5 fois le revenu moyen des ménages, un sommet au Canada. (Les économistes estiment que le marché est sain quand les logements représentent en moyenne trois fois le revenu moyen des ménages.)Bien des gens attribuent la hausse des prix aux Asiatiques fortunés qui investissent sur la côte Ouest. Or, «l'invasion asiatique» semble être largement un phénomène anecdotique: un récent rapport de l'Urban Futures Institute, une firme de recherche de Vancouver, montre que, sur les 55 512 maisons vendues répertoriées en 2010, 195 ont été achetées par des gens en provenance de l'extérieur du Canada. Cela représente 0,4% des acheteurs cette année-là, l'une des plus actives de la décennie pour le volume des ventes, note l'analyste Andrew Ramlo.«Nos données contredisent les histoires et anecdotes qui circulent à Vancouver, selon lesquelles la demande des investisseurs étrangers est le moteur de la hausse importante des prix de l'immobilier», observe-t-il.Qui plus est, pour la première fois depuis que les données ont commencé à être compilées, en 1972, Statistique Canada a noté une baisse de l'immigration internationale en Colombie-Britannique, dans le dernier trimestre de 2010. Au total, 7353 résidents non permanents ont quitté la province, renversant une tendance à la hausse observée depuis des décennies. Cette baisse est unique, et il est trop tôt pour savoir si elle se répétera en 2011.Doutes sur la «fièvre»Chose certaine, le coût de la vie est de plus en plus montré du doigt par les gens qui quittent Vancouver.L'auteure et traductrice Mariko McDonald a quitté la ville, il y a trois ans et demi, pour déménager à Montréal. C'est le prix des loyers qui lui a donné l'envie de partir.«Le coût des loyers a perdu tout lien avec les salaires, dit-elle en entrevue téléphonique. Je dépensais de 60 à 70% de mon salaire pour me loger. Sortir dans un bar ou au resto était impossible. Je ne voyais tout simplement pas d'avenir pour moi là-bas.»

http://affaires.lapr...r-vancouver.php

C'est comme tout, c'est une question de salaire et de perspectives d'évolution. Celui d'une journaliste pigiste et d'un consultant de bon niveau n'ont rien à voir.

:Crylol: Journalistes pigistes , traductrices ou consultants ou autres métiers, ils sont tous affectés par les logements affreusement chers de Vancouver...alors plusieurs immigrants et natifs quittent Vancouver ( ou Toronto qui est aussi une ville chère ) pour d'autres villes... plusieurs viennent au Québec où le coût de la vie et le coût du logement est plus abordable. Ce sont des migrations interprovinciales et ça marche dans les 2 sens... :whistlingb:

Ca ne change rien au fait qu'un consultant de bon niveau a Toronto a un salaire qui est augmenté quand il s'est relocalisé en quittant Montréal (dans ma boite). Et il en serait de même si on m'envoyait en Russie où au Japon, là oû les loyers sont les plus chers du Monde.

:8): Tu ne représentes aucunement la totalité des gens. Parle pour toi seulement. Pour Mariko McDonald, tel que citée par le journal La Presse, et bien elle considère qu'elle est mieux à Montréal qu'à Vancouver... :whistlingb: compte tenu des logements affreusement chers et du coût de la vie à Vancouver. Et il y a plein d'autres gens comme Mariko McDonald au Canada.

Je suis bien d'accord avec toi. Je ne représente aucunement la totalité des gens.

Mais est-ce que je suis pour autant un cas unique ? Pose toi la question.

Que la vie soit affreusement chère à Vancouver et un peu moins chère à Toronto et beaucoup moins chère à Montréal n'est qu'une partie de la question. Accessoirement Vancouver n'est pas le sujet.

Quand tu as deux situations:

  • une très bonne et une pas bonne du tout à Montréal tu t'en sors bien mais en termes de vie personnelle et professionnelle c'est pas le top surtout pour celui ou celle qui vit mal ce qui est une réelle rétrogradation sociale,
  • une très bonne et une très correcte à Toronto, parce qu'au QC tu n'as pas en définitive ta place, et bien le différentiel de prix des logements est... très accessoire.

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Non, l'expérience québécoise n'a pas vraiment de valeur en Ontario.

:rofl: Une autre affirmation bidon de lovcen basé non pas sur la réalité mais sur les préjugés... Tu devrais dire ça aux Québécois qui ont déménagé en Ontario et qui se sont trouvé du travail en Ontario basé en bonne partie sur leurs expériences de travail au Québec...J'en connais personnellement. :cool:

Le système de santé français se dégrade, c'est sûr, et la sécurité sociale ne rembourse pas grand chose, comme au QC. Mais je n'ai pas lu dans la presse qu'un malheureux était mort après 16 heures d'agonie aux urgences de Saint Jérôme et je n'ai pas de collègue qui a mis bas dans une salle d'attente. Alors de ce point de vue, la comparaison demeure largement en défaveur du QC. Des cas d'espèce tu me diras. Mais quand même révélateurs de l'état de votre système.

:blink2: Je ne sais pas si tu as inventé ça aussi mais le Québec a une des meilleure espérance de vie au monde... :8): alors je doute que le système de santé au Québec soit aussi mauvais que tu le prétends. :innocent: Par contre en France, 29 % des Français se privent de soins de santé parce qu'il sont trop pauvres pour payer les honoraires... ça commence à être inquiétant. Et le pire est à venir pour le système de santé français, la croissance économique de la France est médiocre donc moins de revenus pour l'état français... donc moins d'argent pour financer les hôpitaux en France. Déjà que certains hôpitaux français sont en quasi faillite ( j'ai donné l'hyperlien dans un autre fil de discussion ) . Et j'ai donné aussi un hyperlien du réseau français BFM Business qui indique que 25 % des universités en France sont aussi au bord de la faillite.Etc. Bref les services publiques en France ne peuvent que se dégrader.. .

Je dis ce que je vis... pas ce que tu attends que je dise.

Dans mon cas, et dans celui d'autres consultants qui travaillent dans divers cabinets d'audits et de services de consultation (c'est fou ce qu'on trouve comme français de France chez KPMG !), apparemment l'expérience québécoise n'a pas ou peu d'intérêt pour un francophone qui se débrouille bien en Anglais.

Les ontariens n'en n'ont rien à battre et à rebattre de ce qui se passe de l'autre côté de la limite provinciale, sauf quand ils y vont pour faire la fête.

La situation en France n'est pas brillante, c'est sûr, et alors... je suis en Ontario pas en France. Je paye mes taxes en Ontario. Je compare ce que je vis en Ontario et au Québec. Tu comprends tu un peu le français ou t'as tu de la difficulté de compréhension ?

À lovcen

:cool: Tu parles de certains immigrants qui quittent le Québec pour les provinces anglophones mais tu omets de parler des immigrants et des natifs qui quittent les provinces anglophones pour le Québec... et ce même si plusieurs d'entre eux sont pénalisés par leur non-connaissance du français qui est particulèrement important pour les emplois en régions au Québec. Par exemple les gens qui quittent Vancouver pour le Québec parce qu'ils trouvent que le prix des logements à Vancouver est horriblement cher :shok: ... alors qu'au Québec le prix des logements est plus abordable. Par exemple Mariko McDonald qui a quitté Vancouver pour s'établir à Montréal comme l'indique l'article du journal La Presse...

Source: La Presse

Fièvre immobilière: quitter Vancouver

Ce petit bungalow, construit dans les années 50 au coin de la rue Balsam et de la 22e Avenue, à Vancouver, est à vendre, pour 2 489 000$

(VANCOUVER) Pour la première fois en 40 ans, Vancouver est victime d'un solde migratoire négatif: les gens qui quittent la ville sont plus nombreux que ceux qui y arrivent. Les prix des maisons - les plus hauts du Canada et parmi les plus élevés du monde - sont, de plus en plus, vus comme étant problématiques. Voyage au coeur d'une ville au point d'ébullition.L'un des taudis les plus chers du monde est un bungalow blanc et vert, construit dans les années 50 au coin de la rue Balsam et de la 22e Avenue, à Vancouver.L'escalier du porche tombe en ruine. Les murs blancs sont sales. La clôture qui entoure la minuscule cour est en partie écroulée. Le terrain comprend un petit arbre malade, et fait à peine 17 mètres de largeur.Le tout est sur le marché pour 2 489 000$.Si le prix vous fait sourciller, vous ne venez pas de Vancouver. Ici, personne n'est surpris. En juin, le prix moyen d'une maison unifamiliale trônait à 1 215 265$, une hausse de plus de 800 000$ depuis 2001. Cela place Vancouver au sommet du palmarès des villes les plus chères du Canada, et même, selon certains analystes, du monde anglo-saxon, devant New York et Londres.Partout au Canada, la hausse faramineuse des prix de l'immobilier depuis 10 ans - un phénomène sans précédent dans l'histoire du pays - a transformé tout propriétaire en investisseur heureux de sa bonne étoile. À Vancouver, cette fièvre a atteint des sommets jamais vus.Cam Good, l'un des agents immobiliers les plus connus de Vancouver, se montre direct. À ceux qui s'inquiètent des prix, M. Good résume la situation ainsi:«Si vous ne voulez pas [payer les prix de Vancouver]... eh bien, peut-être que vous devriez aller vivre ailleurs. N'importe quelle ville aussi belle, aussi populaire, présentera ces ennuis. Ou bien vous voulez y vivre, ou bien vous ne voulez pas.»Plus cher que Hong KongDeirdre Marconato ne connaît pas Cam Good, mais ses propos lui sont familiers. Elle entend régulièrement ses voisins et connaissances dire que Vancouver est «le meilleur endroit du monde».«C'est une phrase très prétentieuse, mais c'est dit sans aucune gêne, c'est accepté comme une vérité immuable», dit-elle.Mme Marconato considérait elle aussi que Vancouver était un endroit idéal quand elle y est arrivée, en 2008. Son mari, qui fait une carrière internationale comme analyste financier, et elle avaient décidé de vendre leur appartement à Hong Kong pour déménager sur la côte ouest canadienne, d'où Mme Marconato est originaire. Ils voulaient s'établir avec leur fille dans un endroit accueillant, près de bonnes écoles, de l'océan et des montagnes.Quand La Presse l'a rencontrée dans sa maison du quartier cossu de Vancouver Ouest, à la fin juin, Mme Marconato était occupée à remplir ses dernières boîtes. Son aventure tirait à sa fin: après trois ans passés à Vancouver, la famille rentre à Hong Kong.Dès leur arrivée, les Marconato ont vu que quelque chose clochait. Pourtant à l'aise financièrement et habitués au coût de la vie de Hong Kong, ils ont été estomaqués lorsqu'ils ont vu le prix des maisons. Ils se sont tournés vers la location.Or, être locataire à Vancouver, c'est faire partie d'une sous-classe, a vite réalisé Mme Marconato. «Quand je dis aux gens que nous louons notre maison, leur regard change. C'est comme si c'était honteux d'être locataire», dit-elle.La vie de quartier dans Vancouver Ouest n'est pas non plus ce qu'elle imaginait. «Au moins 60% des maisons de mon quartier ont été vendues depuis deux ans. Plusieurs sont vides. Ça fait une ambiance très froide. Nous invitons les gens, mais on ne se fait jamais rendre la pareille. J'ai vécu à Londres, à Paris, à Singapour et à Toronto, et je n'ai jamais vécu une telle situation.»Vancouver Ouest n'est pas non plus à l'abri du crime: plusieurs fusillades de gangs ont eu lieu dans le quartier depuis deux ans. Un élève de l'école secondaire que fréquente sa fille a été poignardé devant l'école.Il y a quelques mois, un chasseur de têtes a pris contact avec le mari de Mme Marconato pour lui offrir un emploi à Hong Kong. La décision de partir s'est prise rapidement.Mme Marconato dit être déçue de voir son «rêve canadien» s'achever.«Je ne comprends pas comment les gens font pour vivre à Vancouver, dit-elle. À Hong Kong, la vie est chère, mais les salaires sont élevés. Ici, les emplois ne sont pas très bien rémunérés. Les gens doivent s'endetter massivement pour mener un train de vie normal. Ce n'est pas ce que nous voulons.»50% de DetroitMalgré son emplacement unique et la beauté de ses environs, Vancouver a l'économie d'une métropole nord-américaine de taille modeste.L'économie de Vancouver représente moins de 50% de celle de Detroit, selon PricewaterhouseCoopers. Les salaires y sont inférieurs à ceux de Toronto. Pourtant, en 2011, le prix moyen des logements représente 9,5 fois le revenu moyen des ménages, un sommet au Canada. (Les économistes estiment que le marché est sain quand les logements représentent en moyenne trois fois le revenu moyen des ménages.)Bien des gens attribuent la hausse des prix aux Asiatiques fortunés qui investissent sur la côte Ouest. Or, «l'invasion asiatique» semble être largement un phénomène anecdotique: un récent rapport de l'Urban Futures Institute, une firme de recherche de Vancouver, montre que, sur les 55 512 maisons vendues répertoriées en 2010, 195 ont été achetées par des gens en provenance de l'extérieur du Canada. Cela représente 0,4% des acheteurs cette année-là, l'une des plus actives de la décennie pour le volume des ventes, note l'analyste Andrew Ramlo.«Nos données contredisent les histoires et anecdotes qui circulent à Vancouver, selon lesquelles la demande des investisseurs étrangers est le moteur de la hausse importante des prix de l'immobilier», observe-t-il.Qui plus est, pour la première fois depuis que les données ont commencé à être compilées, en 1972, Statistique Canada a noté une baisse de l'immigration internationale en Colombie-Britannique, dans le dernier trimestre de 2010. Au total, 7353 résidents non permanents ont quitté la province, renversant une tendance à la hausse observée depuis des décennies. Cette baisse est unique, et il est trop tôt pour savoir si elle se répétera en 2011.Doutes sur la «fièvre»Chose certaine, le coût de la vie est de plus en plus montré du doigt par les gens qui quittent Vancouver.L'auteure et traductrice Mariko McDonald a quitté la ville, il y a trois ans et demi, pour déménager à Montréal. C'est le prix des loyers qui lui a donné l'envie de partir.«Le coût des loyers a perdu tout lien avec les salaires, dit-elle en entrevue téléphonique. Je dépensais de 60 à 70% de mon salaire pour me loger. Sortir dans un bar ou au resto était impossible. Je ne voyais tout simplement pas d'avenir pour moi là-bas.»

http://affaires.lapr...r-vancouver.php

C'est comme tout, c'est une question de salaire et de perspectives d'évolution. Celui d'une journaliste pigiste et d'un consultant de bon niveau n'ont rien à voir.

:Crylol: Journalistes pigistes , traductrices ou consultants ou autres métiers, ils sont tous affectés par les logements affreusement chers de Vancouver...alors plusieurs immigrants et natifs quittent Vancouver ( ou Toronto qui est aussi une ville chère ) pour d'autres villes... plusieurs viennent au Québec où le coût de la vie et le coût du logement est plus abordable. Ce sont des migrations interprovinciales et ça marche dans les 2 sens... :whistlingb:

Ca ne change rien au fait qu'un consultant de bon niveau a Toronto a un salaire qui est augmenté quand il s'est relocalisé en quittant Montréal (dans ma boite). Et il en serait de même si on m'envoyait en Russie où au Japon, là oû les loyers sont les plus chers du Monde.

:8): Tu ne représentes aucunement la totalité des gens. Parle pour toi seulement. Pour Mariko McDonald, tel que citée par le journal La Presse, et bien elle considère qu'elle est mieux à Montréal qu'à Vancouver... :whistlingb: compte tenu des logements affreusement chers et du coût de la vie à Vancouver. Et il y a plein d'autres gens comme Mariko McDonald au Canada.

Je suis bien d'accord avec toi. Je ne représente aucunement la totalité des gens.

Mais est-ce que je suis pour autant un cas unique ? Pose toi la question.

Que la vie soit affreusement chère à Vancouver et un peu moins chère à Toronto et beaucoup moins chère à Montréal n'est qu'une partie de la question. Accessoirement Vancouver n'est pas le sujet.

Quand tu as deux situations:

  • une très bonne et une pas bonne du tout à Montréal tu t'en sors bien mais en termes de vie personnelle et professionnelle c'est pas le top surtout pour celui ou celle qui vit mal ce qui est une réelle rétrogradation sociale,
  • une très bonne et une très correcte à Toronto, parce qu'au QC tu n'as pas en définitive ta place, et bien le différentiel de prix des logements est... très accessoire.

:Crylol: Le différentiel de prix des logements est très accessoire ? Tu devrais dire ça aux Mariko McDonald du Canada quittent leurs villes très chères pour cette raison... ces personnes vont simplement rire de toi. lol ! Le coût de la vie est un facteur très important pour déterminer là où on veut vivre.

Pour moi c'est accessoire surtout avec un salaire supplémentaire qui devrait s'accroître de 30% pour ma femme et qu'elle va obtenir pour travailler dans une administration ontarienne.

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

. tu songerais maintenant à quitter Toronto pour Londres ... lol ! Tu n'es pas au courant que Londres et l'Angleterre sont dans une terrible récession... Et ensuite tu vas vouloir aller à Tokyo, à Singapour, à New-York etc.

Tâche de connecter tes trois neurones pour changer un peu. Est-ce que la récession est un argument pour ne pas saisir une opportunité professionnelle intéressante ? La réponse est : non. Pourquoi ? Parce que cela permet par exemple d'acheter de l'immobilier à meilleur tarif. Bref, il y a aussi des avantages, qui permettent de tirer son épingle du jeu selon la proposition d'emploi.

:8): C'est plutôt toi qui devrait connecter tes trois neuronnes. :biggrin2: Premièrement, l'histoire de l'offre d'emploi de Londres de lovcen, je n'y crois pas... Londres et l'Angleterre sont dans une terrible récession, donc les entreprises de Londres ne sont pas en mode recrutement, plutôt en mode réduction de personnel. Et pour ton information, selon l'étude de UBS, Prix et salaires, Édition 2009, mise à jour août 2011, ( voir hyperlien en bas de ce message qui prouve ce que je dis ), Londres est une ville chère, plus chère que Montréal, ( page 4 de l'étude ). les salaires à Montréal sont supérieurs à ceux de Londres ( page 5 de l'étude ), et le pouvoir d'achat à Montréal est supérieur au pouvoir d'achat à Londres... ( page 6 de l'étude de UBS )... :whistlingb: Et ça c'est basé sur les statistiques officielles des experts de UBS et non sur les préjugés de lovcen... dans un tel contexte, après avoir été à Montréal et vouloir aller à Londres constitue une régression... mais lovcen a le droit de se planter de nouveau à Londres. :innocent:

Étude de UBS : Prix et salaires, Édition 2009, mise à jour août 2011

http://www.ubs.com/g...s_earnings.html

Et bien c'est ton problème, typiquement québécois d'ailleurs. En dehors de la belle province il ne se passe rien ou alors de pas bon.

Londres est une ville a peu près aussi chère que Paris.

Encore faut il voir un peu le monde, qui ne se limite pas à l'île de Montréal, la floride, Cuba et les répliques des villes à visiter reconstituées en carton pâte à Las Végas.

Modifié par lovcen
  • Habitués
Posté(e)

1) La France ... Le Québec ... ? ......

2)

Si je privilégie une perspective purement professionnelle, je pense que je retenterai l'expérience de l'Immigration à Londres plutôt qu'à Toronto car le Marché à Londres est nettement plus conséquent

Premier post: Alors mon choix est fait... je retourne en France et si jamais je dois revenir au Canada, ce sera définitivement en Ontario et pas au Québec.

Comme quoi, tu es vraiment négligente. Je commence même à me demander ce que tu vaux comme secrétaire.

Hi hi. En tout cas, moi, dès mon arrivée, j'ai trouvé du travail et je n'ai pas été obligée de travailler 37 heures sur un plateau téléphonique pour 9 $ de l'heure ou en vendant des vêtements a La Baie pour a peine un peu plus :innocent:

Ben oui, je sais... Quand on arrive au QC avec une faible qualification, on trouve plus facilement un job relativement peu qualifié, tel que secrétaire

Voilà, voilà !!! Tout s'éclaire petit à petit ! En définitive, on supposait bien, le cas type du maudit français "je sais tout et je suis le meilleur" qui arrive avec ses gros sabots pour en remontrer à tous les Québécois. C'est bien ça. Vous vous êtes lattés ici car vous n'avez pas compris comment le marché du travail fonctionnait. Vous n'avez aucune idée des diplômes et du degré d'expertise qu'il faut avoir pour exercer ici un vrai métier d'adjointe administrative.

C'est ça, tu as des idées sur tout, mais tu as surtout des idées :biggrin2:

Si, il faut environ 2-3 ans d'études.

Maintenant, tu ne dois pas être très bonne si j'en juge par ton niveau de méticulosité, et puis ne viens pas me dire que c'est la gloire !

Alors me faire latter et me faire donner des leçons pour savoir comment gagner ma vie... par une secrétaire...

2- 3 ans :rofl: :rofl: . Et un peu plus!!! C'est vrai qu'on peut commencer avec un BEP, aussi. Mais par rapport à quelqu'un qui n'a aucun diplôme ... C'est risible. Je ne veux pas jouer à la guéguerre, juste te démontrer que tant que tu traineras dans la boue le Québec et tous ceux qui, selon toi, ne sont pas dignes de ton intérêt puisque pas concurrentiels avec ton soit-disant merveilleux futur poste, tu manqueras des choses essentielles dans ta vie. Bon, je ne perds pas plus de temps avec toi. Je te laisse avec ton salaire mirobolant et ton petit 2 1/2 .... :Crylol:

  • Habitués
Posté(e)

Pour moi c'est accessoire surtout avec un salaire supplémentaire qui devrait s'accroître de 30% pour ma femme et qu'elle va obtenir pour travailler dans une administration ontarienne.

Eh ben, la pauvre! Ça va pas voler haut :crying:

  • Habitués
Posté(e)

. tu songerais maintenant à quitter Toronto pour Londres ... lol ! Tu n'es pas au courant que Londres et l'Angleterre sont dans une terrible récession... Et ensuite tu vas vouloir aller à Tokyo, à Singapour, à New-York etc.

Tâche de connecter tes trois neurones pour changer un peu. Est-ce que la récession est un argument pour ne pas saisir une opportunité professionnelle intéressante ? La réponse est : non. Pourquoi ? Parce que cela permet par exemple d'acheter de l'immobilier à meilleur tarif. Bref, il y a aussi des avantages, qui permettent de tirer son épingle du jeu selon la proposition d'emploi.

:8): C'est plutôt toi qui devrait connecter tes trois neuronnes. :biggrin2: Premièrement, l'histoire de l'offre d'emploi de Londres de lovcen, je n'y crois pas... Londres et l'Angleterre sont dans une terrible récession, donc les entreprises de Londres ne sont pas en mode recrutement, plutôt en mode réduction de personnel. Et pour ton information, selon l'étude de UBS, Prix et salaires, Édition 2009, mise à jour août 2011, ( voir hyperlien en bas de ce message qui prouve ce que je dis ), Londres est une ville chère, plus chère que Montréal, ( page 4 de l'étude ). les salaires à Montréal sont supérieurs à ceux de Londres ( page 5 de l'étude ), et le pouvoir d'achat à Montréal est supérieur au pouvoir d'achat à Londres... ( page 6 de l'étude de UBS )... :whistlingb: Et ça c'est basé sur les statistiques officielles des experts de UBS et non sur les préjugés de lovcen... dans un tel contexte, après avoir été à Montréal et vouloir aller à Londres constitue une régression... mais lovcen a le droit de se planter de nouveau à Londres. :innocent:

Étude de UBS : Prix et salaires, Édition 2009, mise à jour août 2011

http://www.ubs.com/g...s_earnings.html

Et bien c'est ton problème, typiquement québécois d'ailleurs. En dehors de la belle province il ne se passe rien ou alors de pas bon.

:laugh: Tu prouves ce que je disais lovcen... ce que tu dis est basés sur tes préjugés et ta mauvaise foi alors que moi ce que je dis est basé sur des statistiques, des hyperliens etc. dont les statistiques de UBS qui démontrent que les salaires à Montréal sont supérieur à ceux de Paris et Londres, et que le pouvoir d'achat à Montréal est supérieur au pouvoir d'achat à Londres et à Paris... CQFD

C'est bien, c'est bien... va voir un peu le Monde, ça te changera des stats.

La vie des immigrants tu ne la connais qu'au travers des chopines de bière et des discours de convenance: Alors... vous êtes bien au QC ? Vous allez demander la citoyenneté ? Vous allez rester ?

Et bien non Mckenzzz, on n'a pas été bien au QC. On a bouffé de la vache enragée au QC. On en a marre du maudit consensus et de l'esprit borné de tous ceux qui comme toi ne sont jamais sortis de leur province et dont tu es un prototype représentatif.

On va demander la citoyenneté et vivre ailleurs que dans la belle province.

Pour moi c'est accessoire surtout avec un salaire supplémentaire qui devrait s'accroître de 30% pour ma femme et qu'elle va obtenir pour travailler dans une administration ontarienne.

Eh ben, la pauvre! Ça va pas voler haut :crying:

A peu près aussi haut que toi malheureusement.

Mais c'est un début alors que toi....

  • Habitués
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1) La France ... Le Québec ... ? ......

2)

Si je privilégie une perspective purement professionnelle, je pense que je retenterai l'expérience de l'Immigration à Londres plutôt qu'à Toronto car le Marché à Londres est nettement plus conséquent

Premier post: Alors mon choix est fait... je retourne en France et si jamais je dois revenir au Canada, ce sera définitivement en Ontario et pas au Québec.

Comme quoi, tu es vraiment négligente. Je commence même à me demander ce que tu vaux comme secrétaire.

Hi hi. En tout cas, moi, dès mon arrivée, j'ai trouvé du travail et je n'ai pas été obligée de travailler 37 heures sur un plateau téléphonique pour 9 $ de l'heure ou en vendant des vêtements a La Baie pour a peine un peu plus :innocent:

Ben oui, je sais... Quand on arrive au QC avec une faible qualification, on trouve plus facilement un job relativement peu qualifié, tel que secrétaire

Voilà, voilà !!! Tout s'éclaire petit à petit ! En définitive, on supposait bien, le cas type du maudit français "je sais tout et je suis le meilleur" qui arrive avec ses gros sabots pour en remontrer à tous les Québécois. C'est bien ça. Vous vous êtes lattés ici car vous n'avez pas compris comment le marché du travail fonctionnait. Vous n'avez aucune idée des diplômes et du degré d'expertise qu'il faut avoir pour exercer ici un vrai métier d'adjointe administrative.

C'est ça, tu as des idées sur tout, mais tu as surtout des idées :biggrin2:

Si, il faut environ 2-3 ans d'études.

Maintenant, tu ne dois pas être très bonne si j'en juge par ton niveau de méticulosité, et puis ne viens pas me dire que c'est la gloire !

Alors me faire latter et me faire donner des leçons pour savoir comment gagner ma vie... par une secrétaire...

2- 3 ans :rofl: :rofl: . Et un peu plus!!! C'est vrai qu'on peut commencer avec un BEP, aussi. Mais par rapport à quelqu'un qui n'a aucun diplôme ... C'est risible. Je ne veux pas jouer à la guéguerre, juste te démontrer que tant que tu traineras dans la boue le Québec et tous ceux qui, selon toi, ne sont pas dignes de ton intérêt puisque pas concurrentiels avec ton soit-disant merveilleux futur poste, tu manqueras des choses essentielles dans ta vie. Bon, je ne perds pas plus de temps avec toi. Je te laisse avec ton salaire mirobolant et ton petit 2 1/2 .... :Crylol:

Je trouve que la guéguerre tu la joues assez bien.

Maintenant, je ne critique pas le fait que tu te contentes d'un job de secrétaire. C'est ta vie et ton choix.

Tu n'apportes rien au débat. juste des pointes personnelles et des généralisations: oyez oyez. un maudit français traine le QC dans la boue et tous ceux qui, comme moi, sont indignes d'intérêt.

C'est la plaine qui donne du relief à la montagne et Dieu que tu es plate !

  • Habitués
Posté(e)

A peu près aussi haut que toi malheureusement.

Mais c'est un début alors que toi....

Arrêtes, tu me fais pleurer de rire :rofl: . C'est vrai, j'oubliais, tu sais tout, tu es le plus grand, le plus beau, le plus fort, et tu connais même mon salaire. Je me demande ce que tu vas encore nous sortir d'ici la fin de la soirée!

  • Habitués
Posté(e)

C'est la plaine qui donne du relief à la montagne et Dieu que tu es plate !

Mmmmmhhhh non ... Moi, je trouve que j'ai de beaux arguments ... :innocent: Et sans push up, s'il vous plait :biggrin2:

  • Habitués
Posté(e)

A peu près aussi haut que toi malheureusement.

Mais c'est un début alors que toi....

Arrêtes, tu me fais pleurer de rire :rofl: . C'est vrai, j'oubliais, tu sais tout, tu es le plus grand, le plus beau, le plus fort, et tu connais même mon salaire. Je me demande ce que tu vas encore nous sortir d'ici la fin de la soirée!

Tu peux pleurer. Avec ta position tu dois plafonner à 35.40.000 $ grand max.

Avec ça, ta pension de retraite ne va pas aller bien loin.

C'est la plaine qui donne du relief à la montagne et Dieu que tu es plate !

Mmmmmhhhh non ... Moi, je trouve que j'ai de beaux arguments ... :innocent: Et sans push up, s'il vous plait :biggrin2:

Sur ta photo on devine plutôt quelques extra pounds.

  • Habitués
Posté(e)

Et bien non Mckenzzz, on n'a pas été bien au QC. On a bouffé de la vache enragée au QC. On en a marre du maudit consensus et de l'esprit borné de tous ceux qui comme toi ne sont jamais sortis de leur province et dont tu es un prototype représentatif.

:8): Je connais bien l'Europe et les États-Unis ... donc encore une fois lovcen tu as tort. :biggrin2:

C'est possible, mais comme tu ne parles que de stats et qu'apparemment tes informations ne sont pas du vécu de ton cru...

  • Habitués
Posté(e)

A peu près aussi haut que toi malheureusement.

Mais c'est un début alors que toi....

Arrêtes, tu me fais pleurer de rire :rofl: . C'est vrai, j'oubliais, tu sais tout, tu es le plus grand, le plus beau, le plus fort, et tu connais même mon salaire. Je me demande ce que tu vas encore nous sortir d'ici la fin de la soirée!

Tu peux pleurer. Avec ta position tu dois plafonner à 35.40.000 $ grand max.

Si ça te fait plaisir de le croire :biggrin2: Au moins, ça justifieras dans ta tête ton dégoût du Québec, ça te rassurera dans tes affirmations :bye:

  • Habitués
Posté(e)

Et bien non Mckenzzz, on n'a pas été bien au QC. On a bouffé de la vache enragée au QC. On en a marre du maudit consensus et de l'esprit borné de tous ceux qui comme toi ne sont jamais sortis de leur province et dont tu es un prototype représentatif.

:8): Je connais bien l'Europe et les États-Unis ... donc encore une fois lovcen tu as tort. :biggrin2:

C'est possible, mais comme tu ne parles que de stats et qu'apparemment tes informations ne sont pas du vécu de ton cru...

Il y a du vécu ET des statistiques. Un empêche pas l'autre. Et contrairement à toi, moi je prouve ce que je dis à l'aide de statistiques et d'hyperliens. :whistlingb:

C'est possible. Moi je parle essentiellement de ce que je vis. Toi de ce que aimerais que les immigrants au QC vivent.

  • Habitués
Posté(e)

A peu près aussi haut que toi malheureusement.

Mais c'est un début alors que toi....

Arrêtes, tu me fais pleurer de rire :rofl: . C'est vrai, j'oubliais, tu sais tout, tu es le plus grand, le plus beau, le plus fort, et tu connais même mon salaire. Je me demande ce que tu vas encore nous sortir d'ici la fin de la soirée!

Tu peux pleurer. Avec ta position tu dois plafonner à 35.40.000 $ grand max.

Si ça te fait plaisir de le croire :biggrin2: Au moins, ça justifieras dans ta tête ton dégoût du Québec, ça te rassurera dans tes affirmations :bye:

Allez, CherryBee, bon vent.

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