- 0
Obtention d'un permis pour les ingénieurs étrangers: accélération du processus en vue
-
Contenu similaire
-
- 3 réponses
- 15 199 vues
-
- 1 réponse
- 3 858 vues
-
- 5 réponses
- 1 709 vues
-
- 2 réponses
- 2 563 vues
-
- 0 réponse
- 1 835 vues
-
- 16 réponses
- 2 997 vues
-
- 11 réponses
- 6 547 vues
-
- 1 réponse
- 962 vues
-
- 1 réponse
- 4 312 vues
-
- 1 réponse
- 2 725 vues
-
-
En ligne récemment 0 membre est en ligne
- Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.
Question
immigrer.com
DOSSIER PROFESSION INGÉNIEURS - Plus de 600 ingénieurs étrangers obtiennent un permis de pratiquer de l’Ordre des ingénieurs du Québec (OIQ) chaque année. L’Ordre est sur le point de mettre en place des mesures pour accélérer les démarches, en prévision des besoins futurs en main-d’œuvre de l’industrie. Des entreprises font déjà appel au recrutement à l’étranger pour combler leurs besoins.
par Anne Gaignaire
Merkur, une firme spécialisée en génie manufacturier en croissance, embauche. Plus de 15 personnes ont été recrutées depuis le mois de juin et 30 postes sont encore à pourvoir. Mais « on est en pénurie de main-d’œuvre au Québec pour nos besoins », explique Stéphanie Castang, responsable des ressources humaines de Merkur. Si elle embauche des jeunes, elle a aussi besoin d’ingénieurs d’expérience, une denrée plus rare sur le marché québécois.
Par conséquent, depuis plusieurs années, elle recrute des ingénieurs et des techniciens en dehors du Québec, principalement en France. Sur les 110 employés de Merkur, près d’un tiers sont des étrangers. Elle s’est tournée naturellement vers la France. Non seulement, « les Français sont attirés par le Québec mais en plus, on peut trouver là-bas des ingénieurs d’expérience dans le secteur du transport, notamment automobile, qui n’existent pas ici », souligne Stéphanie Castang. La formation, plus généraliste, là-bas est également très complémentaire avec celle des ingénieurs québécois, qui se spécialisent beaucoup plus vite dans leur parcours d’études universitaires.
Sur le plan des démarches, tant pour trouver les ressources que pour les faire venir, Stéphanie Castang s’est formée et connaît tous les programmes qui permettent de les faciliter. Le fait que plusieurs génies soient sur la liste des professions admissibles au traitement simplifié du ministère de l’Immigration, de la Diversité et de l’Inclusion, accélère aussi le processus. « Le dernier ingénieur qu’on a recruté est arrivé en trois semaines », note-t-elle.
0 réponse à cette question
Messages recommandés
Rejoindre la conversation
Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.