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lionelb

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  • Habitués

Donc en gros je crois que la plupart des intervenants sont d'accord pour dire que le système public québécois c'est pas tout à fait ça, d'ou la preference des familles immigrantes pour le privé, français ou québécois. C'est bon à savoir.

C'est ce que vous en concluez. Je travaille avec des physiciens, des ingénieurs biomédicaux et je peux vous dire qu'aucun n'a été dans des écoles privées. En revanche, tous m'ont dit que leurs parents les avaient élevés .... Comment dire .... avec une tendre fermeté.

Bien sûr, mon équipe ne compte qu'une trentaine de personnes. Nous ne sommes pas représentatifs de tout le Québec, mais quand même.

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  • Habitués

Le problème n'est ni au cégep ni à l'université, car les élèves ont terminé leur secondaire. Les cégeps et les universités sont pleins, là n'est pas le problème.

ben c'est ça. On sest bien d'accord. :smile: . Donc tous ces étudiants qui y sont arrivés, ils n'ont pas sauté le secondaire à pieds joints. Et je sais que ceux que je connais sont issus du public.

Bien sûr qu'il y a un taux de décrochage. C'est ainsi dans tous les pays. Je pense qu'il est difficile de faire mieux que les pays asiatiques ou la Finlande. Au fait, avez-vous vraiment envie que vos enfants soient dressés comme dans ces pays? Il y a des limites à respecter et des échecs à accepter.

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  • Habitués

Donc en gros je crois que la plupart des intervenants sont d'accord pour dire que le système public québécois c'est pas tout à fait ça, d'ou la preference des familles immigrantes pour le privé, français ou québécois. C'est bon à savoir.

C'est ce que vous en concluez. Je travaille avec des physiciens, des ingénieurs biomédicaux et je peux vous dire qu'aucun n'a été dans des écoles privées. En revanche, tous m'ont dit que leurs parents les avaient élevés .... Comment dire .... avec une tendre fermeté.

Bien sûr, mon équipe ne compte qu'une trentaine de personnes. Nous ne sommes pas représentatifs de tout le Québec, mais quand même.

et quel age ont ils tous ces braves gens... tu ne pensent pas non plus que la qualité de l'éducation au secondaire est en chute libre depuis quelques temps... tout comme la simplification des programmes, les boni de notes pour faire remonter l'école dans un classement...

après il y a de bonnes écoles publiques, mais cela dépend de votre lieu de résidence, tout n'est pas parfait mais tout n'est pas non plus à jeter!

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  • Habitués

et quel age ont ils tous ces braves gens... tu ne pensent pas non plus que la qualité de l'éducation au secondaire est en chute libre depuis quelques temps... tout comme la simplification des programmes, les boni de notes pour faire remonter l'école dans un classement...

après il y a de bonnes écoles publiques, mais cela dépend de votre lieu de résidence, tout n'est pas parfait mais tout n'est pas non plus à jeter!

Entre 28 et 44 ans. On vient d'en embaucher à la fin de son stage de fin d'études chez nous. Sinon, pour le reste, tu as entièrement raison.

Modifié par Cherrybee
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  • Habitués

Dans le public il y a des meilleures et des moins bonnes , aimerais tu que ton enfant etudie a Gerard Filion (Longueuil) , moi non la comme partout il faut trier; et le privé remporte la palme chez bien des parents.

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  • Habitués

Dans le public il y a des meilleures et des moins bonnes , aimerais tu que ton enfant etudie a Gerard Filion (Longueuil) , moi non la comme partout il faut trier; et le privé remporte la palme chez bien des parents.

Non monsieur :wink: Je connais trop bien la réputation de cette école près de mon travail. De plus, mon voisin y travaille depuis plus de 25 ans. Il va bientôt prendre sa retraite d'ailleurs (après une dépression il y a 5 ans). Prof de français (le malheureux !), il nous a dit que le plus clair de son temps consistait à montrer à vivre aux enfants.

En tout cas, avant d'avoir un enfant (il a y 18 ans), j'entendais déjà parler du système scolaire défaillant. Maintenant que j'ai une fille qui y a fait son primaire et son secondaire au public (mais dans une petite école secondaire de 600 élèves seulement où tout le monde se connaît), je peux dire que j'ai une assez bonne idée de la façon dont ça fonctionne, et suis souvent allée de surprise en étonnement et en coups de gueule.

Et ça prendrait un « maudit » bon coup de balai chez les « fonctionnaleux » du ministère de l'Éducation, tout comme ceux de la santé d'ailleurs :smile:

Modifié par Bérénice007
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  • Habitués

Cherrybee, je ne comprends pas que tu puisses argumenter sur la base d'une équipe de 30 ingénieurs biomédicaux ou assimilés. Personne ne contredit qu'il y ait bcp de québécois brillants. Ils sont d'ailleurs reconnus dans le monde au niveau ingénieurs :)

Encore une fois c'est un choix personnel pour ses enfants. Les miens sont stimulés dans un environnement international et s'y épanouissent.

Nos bons amis belges ont decidé il y a un an de mettre les leurs dans l'école publique du quartier. On voit déjà une différence de niveau. Pas parce que le prof est mauvais. Non, parce que cette philosophie de ne surtout pas confronter un enfant à des difficultés nivelle tout vers le bas.

Modifié par Phtiba
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Cherrybee, je ne comprends pas que tu puisses argumenter sur la base d'une équipe de 30 ingénieurs biomédicaux ou assimilés. Personne ne contredit qu'il y ait bcp de québécois brillants. Ils sont d'ailleurs reconnus dans le monde au niveau ingénieurs :smile:

Encore une fois c'est un choix personnel pour ses enfants. Les miens sont stimulés dans un environnement international et s'y épanouissent.

Nos bons amis belges ont decidé il y a un an de mettre les leurs dans l'école publique du quartier. On voit déjà une différence de niveau. Pas parce que le prof est mauvais. Non, parce que cette philosophie de ne surtout pas confronter un enfant à des difficultés nivelle tout vers le bas.

Je comprends bien Phtiba. Juste que je suis un peu tannée de voir les généralités qui sont aussi vite faites sur ce forum.

Oui il y a de mauvais établissements public, oui, il y en a aussi de bons.

Oui il y a un taux d'échec scolaire au Québec, oui c'est la même chose ailleurs ( sauf en asie)

Oui il y a des parents très attentifs à l'éducation scolaire et au parcours personnel de leurs enfants, et oui, il y en a aussi qui s'en fichent complètement ou qui les laissent faire ce qu'ils veulent.

Ceci est juste un message pour ceux qui n'ont pas les moyens de payer des fortunes pour mettre leur enfant obligatoirement dans du privé et afin qu'ils ne culpabilisent pas.

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Donc en gros je crois que la plupart des intervenants sont d'accord pour dire que le système public québécois c'est pas tout à fait ça, d'ou la preference des familles immigrantes pour le privé, français ou québécois. C'est bon à savoir.

C'est ce que vous en concluez. Je travaille avec des physiciens, des ingénieurs biomédicaux et je peux vous dire qu'aucun n'a été dans des écoles privées. En revanche, tous m'ont dit que leurs parents les avaient élevés .... Comment dire .... avec une tendre fermeté.

Bien sûr, mon équipe ne compte qu'une trentaine de personnes. Nous ne sommes pas représentatifs de tout le Québec, mais quand même.

Non, c'est ce que je conclus des discussions que je lis sur ce fil. J'ai l'impression que beaucoup pensent que le privé permet d'accéder aux meilleures filières dans les meilleures universités. A part vous jusqu'ici personne ne semble dire que le système public québécois est la panacée, simplement parce que tous vos brillants collègues ont fait le public.

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Ceci est juste un message pour ceux qui n'ont pas les moyens de payer des fortunes pour mettre leur enfant obligatoirement dans du privé et afin qu'ils ne culpabilisent pas.

Le message aux parents qui n'ont pas 5000 dollars par an à mettre pour l'école privée de leurs enfants ne serait-il justement pas de pointer les problèmes du système scolaire public, afin qu'ils soient vigilants dans le choix de l'école, dans le suivi scolaire des enfants afin de ne pas trop s'appuyer sur l'école pour que le "nivellement par le bas" n'aie pas lieu, plutôt que de se voiler la face et de dire oui, le système public fonctionne bien, tout va bien dans le meilleur des mondes, et que les enfants se retrouvent confrontés à des grosses lacunes voire au décrochage plus tard?

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Donc en gros je crois que la plupart des intervenants sont d'accord pour dire que le système public québécois c'est pas tout à fait ça, d'ou la preference des familles immigrantes pour le privé, français ou québécois. C'est bon à savoir.

C'est ce que vous en concluez. Je travaille avec des physiciens, des ingénieurs biomédicaux et je peux vous dire qu'aucun n'a été dans des écoles privées. En revanche, tous m'ont dit que leurs parents les avaient élevés .... Comment dire .... avec une tendre fermeté.

Bien sûr, mon équipe ne compte qu'une trentaine de personnes. Nous ne sommes pas représentatifs de tout le Québec, mais quand même.

Non, c'est ce que je conclus des discussions que je lis sur ce fil. J'ai l'impression que beaucoup pensent que le privé permet d'accéder aux meilleures filières dans les meilleures universités. A part vous jusqu'ici personne ne semble dire que le système public québécois est la panacée, simplement parce que tous vos brillants collègues ont fait le public.

Problème très complexe, mais dont on parle abondamment et tout le temps.

Nous avons voulu nous-mêmes envoyer notre fille au privé, et je sais déjà qu'elle aurait terminé son secondaire avec un niveau de culture plus élevé que ce qu'elle a acquis. Je n'ai qu'à regarder, encore une fois, la fille de mon amie, qui va au privé, pour voir que ce sont deux univers... en fait, ce n'est presque pas comparable. Cependant, elle pleurait énormément, craignait de perdre toutes ses amies, alors nous avons respecté son choix et l'avons envoyée au public.

Ceci est juste un message pour ceux qui n'ont pas les moyens de payer des fortunes pour mettre leur enfant obligatoirement dans du privé et afin qu'ils ne culpabilisent pas.

Le message aux parents qui n'ont pas 5000 dollars par an à mettre pour l'école privée de leurs enfants ne serait-il justement pas de pointer les problèmes du système scolaire public, afin qu'ils soient vigilants dans le choix de l'école, dans le suivi scolaire des enfants afin de ne pas trop s'appuyer sur l'école pour que le "nivellement par le bas" n'aie pas lieu, plutôt que de se voiler la face et de dire oui, le système public fonctionne bien, tout va bien dans le meilleur des mondes, et que les enfants se retrouvent confrontés à des grosses lacunes voire au décrochage plus tard?

Excellent commentaire Lolitia :wink:

Il y a un nivellement pas le bas qui est assez largement dénoncé. Je suis québécoise, j'ai fait toutes mes études ici et je vois maintenant ce qu'est devenu l'école publique. Il y a du bon, certes : on veut que l'enfant acquiert l'estime de soi. C'est parfait, comme on le disait, mais il faut être prudent.

Que veut-on de nos enfants? Qu'ils aient de super notes au secondaire pour arriver ensuite au cégep et se cogner sur un mur, car on ne leur aura pas montrer de méthode de travail - et c'est ce qui se passe. Ou ne serait-il pas mieux de les forcer à réfléchir, à leur donner surtout le goût d'apprendre, ce qui n'est pas le cas !

A force de toujours remonter les notes pour mieux figurer dans les palmarès des écoles ou pour ne pas froisser l'estime des jeunes, on leur apprend la loi du moindre effort.

Ma fille termine son secondaire et elle va avoir fait ses études « les deux doigts dans le nez ». Excellentes notes... eh oui ! Mais combien de fois le prof l'a envoyée en arrière de la classe, avec d'autres, parce qu'elle n'avait plus de travaux à faire, que ses exercices étaient terminés. Elle faisait donc ses devoirs. Par conséquent, elle n'a pratiquement jamais eu de devoirs à faire à la maison, ce qui est franchement étonnant !!!!

Une chose est sûre : les réformes et contre-réformes ont mêlé tout le monde, et les professeurs en premier lieu.

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  • Habitués

Oui il y a un taux d'échec scolaire au Québec, oui c'est la même chose ailleurs ( sauf en asie)

Pas dans les mêmes proportions qu'ici

http://ife.ens-lyon.fr/ife/institut/aqe/archives/02/dossier

Vraiment...?

Sur ton lien, je lis ceci:

L’Union européenne regroupe sous le terme de décrochage scolaire toute forme d’abandon précoce de l’enseignement et de la formation, sans diplôme ni qualification, de jeunes de 18 à 24 ans dont le niveau d’étude ne dépasse pas le premier cycle de l’enseignement secondaire (ou équivalent).

la France affichant quant à elle un taux de 12,5 % d’abandon scolaire.

Pour le Québec (9.4%), l'Ontario (6.2%) et le Canada (7.4%)

  • Le taux de décrochage correspond à la proportion des personnes de 20 à 24 ans ne fréquentant pas l'école et n'ayant pas obtenu de diplôme d'études secondaires.

http://qe.cirano.qc.ca/tab/theme/indicateurs_sociaux/capital_humain/taux_de_decrochage_scolaire_2012

Voilà qui est beaucoup plus réaliste et comparable.... :smile:

L'article cité par Bérénice007 référait aux jeunes de moins de 20 ans. Faut jamais mélanger des pommes et des oranges...

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  • Habitués

Donc en gros je crois que la plupart des intervenants sont d'accord pour dire que le système public québécois c'est pas tout à fait ça, d'ou la preference des familles immigrantes pour le privé, français ou québécois. C'est bon à savoir.

C'est ce que vous en concluez. Je travaille avec des physiciens, des ingénieurs biomédicaux et je peux vous dire qu'aucun n'a été dans des écoles privées. En revanche, tous m'ont dit que leurs parents les avaient élevés .... Comment dire .... avec une tendre fermeté.

Bien sûr, mon équipe ne compte qu'une trentaine de personnes. Nous ne sommes pas représentatifs de tout le Québec, mais quand même.

Non, c'est ce que je conclus des discussions que je lis sur ce fil. J'ai l'impression que beaucoup pensent que le privé permet d'accéder aux meilleures filières dans les meilleures universités. A part vous jusqu'ici personne ne semble dire que le système public québécois est la panacée, simplement parce que tous vos brillants collègues ont fait le public.

Connaissez-vous un seul système public d'éducation qui soit une panacée? Je crois plutôt que Cherrybee essaie de soulever l'idée que le dit système n'est en rien aussi catastrophique que certains commentaires laissent présager.

Par ailleurs, notre système étant moins élitisme que celui de la France, il est tout à fait possible de suivre un cursus scolaire au public et d'accéder aux meilleures universités.

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C'est clair qu'il faut relativiser... tu vas trouver plein de français pour descendre en flèche aussi le système français parce qu'il est loin d'être la panacée aussi !

Moi ce qui m'intéresse c'est que mes enfants apprennent en s'épanouissant et pas sous la contrainte/menace/peur/stress, name it ! J'ai pas non plus d'idée préconçue de leur avenir en me disait : ça serait mieux qu'il fasse ça pour pouvoir intégrer telle université et devenir ci ou ça plus tard...

Tsé genre ma mère qui aurait voulu que je fasse une prépa littéraire bla bla... ben franchement non je voyais pas bien l'intérêt hormis le côté un tantinet prestigieux du truc !!!

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  • Habitués

C'est clair qu'il faut relativiser... tu vas trouver plein de français pour descendre en flèche aussi le système français parce qu'il est loin d'être la panacée aussi !

Moi ce qui m'intéresse c'est que mes enfants apprennent en s'épanouissant et pas sous la contrainte/menace/peur/stress, name it ! J'ai pas non plus d'idée préconçue de leur avenir en me disait : ça serait mieux qu'il fasse ça pour pouvoir intégrer telle université et devenir ci ou ça plus tard...

Tsé genre ma mère qui aurait voulu que je fasse une prépa littéraire bla bla... ben franchement non je voyais pas bien l'intérêt hormis le côté un tantinet prestigieux du truc !!!

Tu as bien raison, marionnette1979. Ça s'appelle le renforcement positif et c'est une bien meilleure façon de favoriser les apprentissages et le goût des études.

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  • Habitués

Merci Kobico.

Je vais poser ma question à Kobico, au cas où...

Kobico, je ne sais pas si tu as des enfants qui ont fréquenté l'école (que ce soit le public ou le privé... ou les deux). Si c'est le cas, comment as-tu vécu cette expérience (les travaux donnés, les livres proposés, les devoirs, l'encadrement, le bulletin, etc.). Quelles sont les choses que tu as aimées et celles qui t'ont agacée? Merci :smile:

Je ne vois ni l'intérêt ni la pertinence de te répondre. Contrairement à toi, je ne fais pas une généralité de mes expériences personnelles ou de celles de mon entourage pour poser un diagnostic ultra sombre sur l'ensemble du réseau public d'enseignement au Québec. :smile:

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  • Habitués

Ma scolarité en France m'a fait haïr les études, toujours dans la dévalorisation et en mettant en avant les mauvais résultats. Il m'est arrivée plus d'une fois que l'on me dise que ma bonne note n'était qu'un coup de chance que je n'avais pas d'avenir!

Résultat je me suis rebellé contre ce système par dégoût et je n'ai jamais étudié, j'ai toujours réussi mais très moyennement et j'ai quitté les études le plus rapidement possible.

Avec une autre approche j'aurais sûrement prolongé de plusieurs années!

Alors je me dis qu'il est mieux de réussir peut être moyennement mais en ayant confiance en soit, et en aimant aller à l'école.

(Je n'ai fait que du privé)

Et l'ironie dans tout ça, c'est qu'aujourd'hui j'ai une bien meilleure situation que pas mal de monde de mon entourage qui ont fait bien plus d'études que moi :P

Envoyé par l'application mobile Forum IC

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  • Habitués

Merci Kobico.

Je vais poser ma question à Kobico, au cas où...

Kobico, je ne sais pas si tu as des enfants qui ont fréquenté l'école (que ce soit le public ou le privé... ou les deux). Si c'est le cas, comment as-tu vécu cette expérience (les travaux donnés, les livres proposés, les devoirs, l'encadrement, le bulletin, etc.). Quelles sont les choses que tu as aimées et celles qui t'ont agacée? Merci :smile:

Je ne vois ni l'intérêt ni la pertinence de te répondre. Contrairement à toi, je ne fais pas une généralité de mes expériences personnelles ou de celles de mon entourage pour poser un diagnostic ultra sombre sur l'ensemble du réseau public d'enseignement au Québec. :smile:

Oui par contre pour toi les discussions dans les salons de coiffure est une bonne référence politique qui permet de faire une généralité et tirer des conclusions pertinents.

C'est vrai, il n'y a que les souverainistes/indépendantistes pour être racistes et islamophobes... :lazy:

Wow donc le PQ devrait aller chercher par exemple, ceux qui font du vandalisme sur les mosquées et autres temples dans les autres provinces! Si je ne me trompe pas ceci est plus élevé dans les autres provinces.

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Oui il y a un taux d'échec scolaire au Québec, oui c'est la même chose ailleurs ( sauf en asie)

Pas dans les mêmes proportions qu'ici

http://ife.ens-lyon.fr/ife/institut/aqe/archives/02/dossier

Vraiment...?

Sur ton lien, je lis ceci:

L’Union européenne regroupe sous le terme de décrochage scolaire toute forme d’abandon précoce de l’enseignement et de la formation, sans diplôme ni qualification, de jeunes de 18 à 24 ans dont le niveau d’étude ne dépasse pas le premier cycle de l’enseignement secondaire (ou équivalent).

la France affichant quant à elle un taux de 12,5 % d’abandon scolaire.

Pour le Québec (9.4%), l'Ontario (6.2%) et le Canada (7.4%)

  • Le taux de décrochage correspond à la proportion des personnes de 20 à 24 ans ne fréquentant pas l'école et n'ayant pas obtenu de diplôme d'études secondaires.

http://qe.cirano.qc.ca/tab/theme/indicateurs_sociaux/capital_humain/taux_de_decrochage_scolaire_2012

Voilà qui est beaucoup plus réaliste et comparable.... :smile:

L'article cité par Bérénice007 référait aux jeunes de moins de 20 ans. Faut jamais mélanger des pommes et des oranges...

Comment peut-on passer de 24 % de décrochage scolaire avant 20 ans, à 9 % après 24 ans ? Chiffres faussés quelque part ou baguette magique ?

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