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France en récession et Canada en croissance, immigration ?


Laurent

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"assez d'immigrants pour leurs besoins". Mais alors dans ce cas et si tel est le cas, pourquoi tant de complications pour reconnaître les diplômes étrangers ? Et pourquoi ne pas tenir compte de l'expérience professionnelle des immigrés dans leur pays d'origine ?

Qu'entends-tu par " la vérité est probablement que les canadiens veulent juste assez d'immigrants pour leurs besoins" ? Que veux-tu dire et où veux-tu en venir ?

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"assez d'immigrants pour leurs besoins". Mais alors dans ce cas et si tel est le cas, pourquoi tant de complications pour reconnaître les diplômes étrangers ? Et pourquoi ne pas tenir compte de l'expérience professionnelle des immigrés dans leur pays d'origine ?

Qu'entends-tu par " la vérité est probablement que les canadiens veulent juste assez d'immigrants pour leurs besoins" ? Que veux-tu dire et où veux-tu en venir ?

Parce que les diplômes même s'ils portent le même noms ne sont pas nécessairement équivalent en terme de niveau. Parce que les lois et reglementations (en ce qui concerne le québec un système juridique complètement différent de ce qui se fait ailleurs dans le monde) sont différentes. Pour ce qui est de l'expérience professionnelle dans le pays d'origine ça dépend toujours de la profession, si les diplômés n'ont pas le même niveau, je ne vois pas comment on peut considérer cette expérience professionnelle comme étant pertinente.

Modifié par Tline250
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"assez d'immigrants pour leurs besoins". Mais alors dans ce cas et si tel est le cas, pourquoi tant de complications pour reconnaître les diplômes étrangers ? Et pourquoi ne pas tenir compte de l'expérience professionnelle des immigrés dans leur pays d'origine ?

Qu'entends-tu par " la vérité est probablement que les canadiens veulent juste assez d'immigrants pour leurs besoins" ? Que veux-tu dire et où veux-tu en venir ?

Parce que les diplômes même s'ils portent le même noms ne sont pas nécessairement équivalent en terme de niveau. Parce que les lois et reglementations (en ce qui concerne le québec un système juridique complètement différent de ce qui se fait ailleurs dans le monde) sont différentes. Pour ce qui est de l'expérience professionnelle dans le pays d'origine ça dépend toujours de la profession, si les diplômés n'ont pas le même niveau, je ne vois pas comment on peut considérer cette expérience professionnelle comme étant pertinente.

Je suis d'accord en ce qui concerne les codes, lois et réglements, chaque pays ayant ses normes et spécificités.

Je ne suis par ailleurs absolument pas d'accord en ce qui concerne cette vision réductrice des diplômes étrangers.

Je finalise ma formation et je viens de recevoir un titre d'excellence pour mes résultats.

La médaille du gouverneur devrait s'en suivre, ma moyenne étant assez exceptionnelle.

Je suis cependant détenteur de diplômes étrangers : belges et algériens.

Plusieurs de mes collègues de cours étaient Québécois, et lors de travaux communs, ils étaient souvent les lapins dans la charette tirée par... le maghrébin. :whistlingb:

Alors, qu'on arrête ces préconçues idées tordues consistant à dire que les diplômes étrangers ne sont pas à la hauteur de ceux du Québec.

Le politique prime, et cela changera nécessairement un jour.

N.B : Excuses aux lecteurs, je n'aime pas me mettre en valeur, mais il y en a ras le bol de ces visions réductrices :angry:

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"assez d'immigrants pour leurs besoins". Mais alors dans ce cas et si tel est le cas, pourquoi tant de complications pour reconnaître les diplômes étrangers ? Et pourquoi ne pas tenir compte de l'expérience professionnelle des immigrés dans leur pays d'origine ?

Qu'entends-tu par " la vérité est probablement que les canadiens veulent juste assez d'immigrants pour leurs besoins" ? Que veux-tu dire et où veux-tu en venir ?

Parce que les diplômes même s'ils portent le même noms ne sont pas nécessairement équivalent en terme de niveau. Parce que les lois et reglementations (en ce qui concerne le québec un système juridique complètement différent de ce qui se fait ailleurs dans le monde) sont différentes. Pour ce qui est de l'expérience professionnelle dans le pays d'origine ça dépend toujours de la profession, si les diplômés n'ont pas le même niveau, je ne vois pas comment on peut considérer cette expérience professionnelle comme étant pertinente.

Je suis d'accord en ce qui concerne les codes, lois et réglements, chaque pays ayant ses normes et spécificités.

Je ne suis par ailleurs absolument pas d'accord en ce qui concerne cette vision réductrice des diplômes étrangers.

Je finalise ma formation et je viens de recevoir un titre d'excellence pour mes résultats.

La médaille du gouverneur devrait s'en suivre, ma moyenne étant assez exceptionnelle.

Je suis cependant détenteur de diplômes étrangers : belges et algériens.

Plusieurs de mes collègues de cours étaient Québécois, et lors de travaux communs, ils étaient souvent les lapins dans la charette tirée par... le maghrébin. :whistlingb:

Alors, qu'on arrête ces préconçues idées tordues consistant à dire que les diplômes étrangers ne sont pas à la hauteur de ceux du Québec.

Le politique prime, et cela changera nécessairement un jour.

N.B : Excuses aux lecteurs, je n'aime pas me mettre en valeur, mais il y en a ras le bol de ces visions réductrices :angry:

Prenons en exemple un diplome de maitrise tunisien qui équivaut à un baccalauréat québécois, donc évidement des gens ayant des maitrises au Québec et en Tunisie n'ont pas le même niveau. Pour ce qui est des étudiants étrangers, en ce qui me concerne (selon mon expérience), c'est plutôt le contraire la majorité étudiants étrangers de ma promotion tire de la patte si je puis dire (une seule personne dans ceux-ci s'en est sorti avec des mentions d'excellences sur le relevé de notes alors que nous sommes au moins 5 étudiants non-étranger à obtenir les mentions d'excellences).

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a

"assez d'immigrants pour leurs besoins". Mais alors dans ce cas et si tel est le cas, pourquoi tant de complications pour reconnaître les diplômes étrangers ? Et pourquoi ne pas tenir compte de l'expérience professionnelle des immigrés dans leur pays d'origine ?

Qu'entends-tu par " la vérité est probablement que les canadiens veulent juste assez d'immigrants pour leurs besoins" ? Que veux-tu dire et où veux-tu en venir ?

Parce que les diplômes même s'ils portent le même noms ne sont pas nécessairement équivalent en terme de niveau. Parce que les lois et reglementations (en ce qui concerne le québec un système juridique complètement différent de ce qui se fait ailleurs dans le monde) sont différentes. Pour ce qui est de l'expérience professionnelle dans le pays d'origine ça dépend toujours de la profession, si les diplômés n'ont pas le même niveau, je ne vois pas comment on peut considérer cette expérience professionnelle comme étant pertinente.

Je comprend mais encore une fois, pourquoi est-ce que le Québec (particulièrement) fait-il une telle propagande en se gardant (évidemment) de préciser tous ces points dont tu parles justement ? Ce pourait être du style : "venez chez nous, nous avons besoin de vous, de vos compétences, de votre expérience...Mais, sachez que vos diplômes ne seront pas reconnus chez nous car vos connaissances ne sont pas équivalentes aux nôtres, que vous soyez médecins, vétérinaires, maçons ou autre...

En fait, le Québec attire le "client" par tous les moyens. Des milliers de personnes mordent à l'hameçon, croient à cette propagande, généralement pour fuir leur condition de vie, chacun dans son pays respectif. Fort de ce que leur à fait croire les autorités québécoises, avec leur publicité carte postale, ils y croient, ils se disent que le Québec est un pays de rêve. Ils font les démarches, obtiennent leur visa, vendent leurs biens, abandonnent tout et s'embarquent avec femmes et enfants. Ils ont cru que le Québec allait leur offrir un travail, tout cuit dans le bec ! Ils y ont cru car la publicité carte postale, semblait bien vouloir le dire....

Seulement la réalité était tout autre.... Ils pensaient n'avoir pas trop de problèmes à trouver un job dans leur branche, puisqu'on leur a fait croire que....

Alors, ils se plantent, pataugent dans la semoule, se demandant comment ils vont faire pour nourrir femme et enfants. Ils acceptent n'importe quelle jobine pour subvenir à leurs besoins.

Beaucoup n'ont même pas les moyens de retourner chez eux.

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@ CriminelKatom Ton problème c'est que tu compares la situation au Canada à l'Europe alors que la situation au Canada est très différente de celle de l'Europe. Les pays européens sont de petits pays, le Canada est un pays IMMENSE, le deuxième pays du monde par sa supercie alors les distances au Canada sont ÉNORMES. Pour un train à grande vitesse entre la ville de Québec et Windsor, ça coûte 20 milliars de dollars parce qu'il faut investir, entre autre, dans des rails qui sont différents des rails conventionnels. Entre Québec et Vancouver ( Vancouver étant quand même la troisième ville la plus importante du Canada ), ça coûterait combien ? 60 milliards de dollars ? 80 milliards de dollards ? 100 milliars de dollars ? Qui va payer pour pour cet éléphant blanc très coûteux qu'est le train à grande vitesse ? CriminelKatom ? Bien sûr que non ! C'est les contribuables canadiens qui vont devoir subventionner ces trains à grande vitesse-éléphant blanc alors les contribuables canadiens disent NON. D'autant plus que l'alternative pour le train-à-grande-vitesse-éléphant-blanc existe, c'est l'avion et ne demande aucun investissement nouveau puique les infrascructures existent déjà. D'ailleurs l'avion est beaucoup plus rapide que le TGV. Prends par exemple le trajet Montréal-Vancouver, et bien Vancouver c'est quand même pres de 5 000 km et 3 fuseaux horaires plus loin ! C'est évident que c'est beaucoup plus rapide en avion qu'en train grande vitesse. Alors si des pays européens veulent s'embarquer dans ce gouffre financier que sont les trains à grande vitesse-éléphant blanc et s'enfoncer davantage dans la crise et le déclin, c'est leurs droits, au Canada, le gouvernement canadien et les contribuables disent NON au train-à-grande-vitesse-éléphant-blanc. Point final. PS: rassure toi, je suis pour l'immigration, je m'oppose à des trolls comme clejourdumarche, LeBalladin, MacDonald etc. C'est différent.

Ce n'est pas le TGV qui à plomber l'économie française, ce n'est pas à cause du TGV que la France est en récession. La France à pour principaux partenaire économique en terme d'exportation ses voisins européens. Ces mêmes voisins qui sont en récession depuis fort longtemps. Tant que l'Europe ne sortira pas de la récession, la France ne pourra lutter seule contre ce phénomène d'inversion de croissance.

C'est comme pour le Canada qui est membre de l'ALENA, si demain son principal client économique, les Etats Unis rencontre de graves difficultés financière au point de ne lui acheter plus rien, le Canada et notamment la région du Quebec en souffrira énormément. Tel est notre système, il s'appel mondialisation.

Il ne s'agit pas de créer un TGV de la côte EST à la côte OUEST du Canada mon cher. Mais de réfléchir au développement économique d'une région du Canada. Par exemple, une seule ligne à grande vitesse entre Toronto et Montréal pourrait réduire le temps de voyage entre Toronto, Peterborough, Kingston, Ottawa et Montréal, créant ainsi, une seule région économique. Développement donc des régions de l'Ontario et du Quebec.

Par ailleurs, un projet de TGV dans cette région serait économiquement viable d'après une récente étude de via-rail.

Après, personnellement, j'en ai strictement rien à carré (pour rester poli) si le Canada fait le choix du TGV ou pas, ce n'est pas mon problème, il faut juste arrêter de penser que c'est un gouffre et qu'il faut le critiquer outre mesure. Car cet "éléphant blanc" comme tu l'appel a attiré de nombreux pays (Allemagne, Espagne, Italie, Maroc, Japon, Chine) et demain les Etats Unis puisque le Président Obama a réaffirmer sa volonté de développer la grande vitesse dans tout le pays.

Et concernant l'aérien, les compagnies nationales survivent grâce à des subventions et des mesures de protectionnisme. Air Canada (tout comme Air France) ne vivent pas de leurs revenus mais survivent devant une concurrence de plus en plus déloyale, et les compagnies du Golf dont Emirates ne sont pas prête d'arrêter leur développement dans le long courrier, elle peuvent se le permettre étant donnée qu'elle ne paie ni taxe ni kérosène.

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"assez d'immigrants pour leurs besoins". Mais alors dans ce cas et si tel est le cas, pourquoi tant de complications pour reconnaître les diplômes étrangers ? Et pourquoi ne pas tenir compte de l'expérience professionnelle des immigrés dans leur pays d'origine ?

Qu'entends-tu par " la vérité est probablement que les canadiens veulent juste assez d'immigrants pour leurs besoins" ? Que veux-tu dire et où veux-tu en venir ?

Parce que les diplômes même s'ils portent le même noms ne sont pas nécessairement équivalent en terme de niveau. Parce que les lois et reglementations (en ce qui concerne le québec un système juridique complètement différent de ce qui se fait ailleurs dans le monde) sont différentes. Pour ce qui est de l'expérience professionnelle dans le pays d'origine ça dépend toujours de la profession, si les diplômés n'ont pas le même niveau, je ne vois pas comment on peut considérer cette expérience professionnelle comme étant pertinente.

Je suis d'accord en ce qui concerne les codes, lois et réglements, chaque pays ayant ses normes et spécificités.

Je ne suis par ailleurs absolument pas d'accord en ce qui concerne cette vision réductrice des diplômes étrangers.

Je finalise ma formation et je viens de recevoir un titre d'excellence pour mes résultats.

La médaille du gouverneur devrait s'en suivre, ma moyenne étant assez exceptionnelle.

Je suis cependant détenteur de diplômes étrangers : belges et algériens.

Plusieurs de mes collègues de cours étaient Québécois, et lors de travaux communs, ils étaient souvent les lapins dans la charette tirée par... le maghrébin. :whistlingb:

Alors, qu'on arrête ces préconçues idées tordues consistant à dire que les diplômes étrangers ne sont pas à la hauteur de ceux du Québec.

Le politique prime, et cela changera nécessairement un jour.

N.B : Excuses aux lecteurs, je n'aime pas me mettre en valeur, mais il y en a ras le bol de ces visions réductrices :angry:

Prenons en exemple un diplome de maitrise tunisien qui équivaut à un baccalauréat québécois, donc évidement des gens ayant des maitrises au Québec et en Tunisie n'ont pas le même niveau. Pour ce qui est des étudiants étrangers, en ce qui me concerne (selon mon expérience), c'est plutôt le contraire la majorité étudiants étrangers de ma promotion tire de la patte si je puis dire (une seule personne dans ceux-ci s'en est sorti avec des mentions d'excellences sur le relevé de notes alors que nous sommes au moins 5 étudiants non-étranger à obtenir les mentions d'excellences).

Autre exemple, mon Bachelor en Banque Assurance (BAC au Canada) fait en France, est reconnu comme un DEC Conseiller en assurances (BAC Pro en France) et bim, 3 ans d'études supérieures en moins. C'est à se demander si l'assurance est née en Amérique du Nord ou en Europe en l'an 1666...

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"assez d'immigrants pour leurs besoins". Mais alors dans ce cas et si tel est le cas, pourquoi tant de complications pour reconnaître les diplômes étrangers ? Et pourquoi ne pas tenir compte de l'expérience professionnelle des immigrés dans leur pays d'origine ?

Qu'entends-tu par " la vérité est probablement que les canadiens veulent juste assez d'immigrants pour leurs besoins" ? Que veux-tu dire et où veux-tu en venir ?

Parce que les diplômes même s'ils portent le même noms ne sont pas nécessairement équivalent en terme de niveau. Parce que les lois et reglementations (en ce qui concerne le québec un système juridique complètement différent de ce qui se fait ailleurs dans le monde) sont différentes. Pour ce qui est de l'expérience professionnelle dans le pays d'origine ça dépend toujours de la profession, si les diplômés n'ont pas le même niveau, je ne vois pas comment on peut considérer cette expérience professionnelle comme étant pertinente.

Je suis d'accord en ce qui concerne les codes, lois et réglements, chaque pays ayant ses normes et spécificités.

Je ne suis par ailleurs absolument pas d'accord en ce qui concerne cette vision réductrice des diplômes étrangers.

Je finalise ma formation et je viens de recevoir un titre d'excellence pour mes résultats.

La médaille du gouverneur devrait s'en suivre, ma moyenne étant assez exceptionnelle.

Je suis cependant détenteur de diplômes étrangers : belges et algériens.

Plusieurs de mes collègues de cours étaient Québécois, et lors de travaux communs, ils étaient souvent les lapins dans la charette tirée par... le maghrébin. :whistlingb:

Alors, qu'on arrête ces préconçues idées tordues consistant à dire que les diplômes étrangers ne sont pas à la hauteur de ceux du Québec.

Le politique prime, et cela changera nécessairement un jour.

N.B : Excuses aux lecteurs, je n'aime pas me mettre en valeur, mais il y en a ras le bol de ces visions réductrices :angry:

Prenons en exemple un diplome de maitrise tunisien qui équivaut à un baccalauréat québécois, donc évidement des gens ayant des maitrises au Québec et en Tunisie n'ont pas le même niveau. Pour ce qui est des étudiants étrangers, en ce qui me concerne (selon mon expérience), c'est plutôt le contraire la majorité étudiants étrangers de ma promotion tire de la patte si je puis dire (une seule personne dans ceux-ci s'en est sorti avec des mentions d'excellences sur le relevé de notes alors que nous sommes au moins 5 étudiants non-étranger à obtenir les mentions d'excellences).

Autre exemple, mon Bachelor en Banque Assurance (BAC au Canada) fait en France, est reconnu comme un DEC Conseiller en assurances (BAC Pro en France) et bim, 3 ans d'études supérieures en moins. C'est à se demander si l'assurance est née en Amérique du Nord ou en Europe en l'an 1666...

Euh un DEC technique est équivalent à un BTS, DUT en france, ce qui ne correspont pas à des cours de niveau universitaire au Québec. Le Bac Pro c'est pour les DEP si je me trompe pas.

http://en.wikipedia.org/wiki/Diploma_of_College_Studies

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"assez d'immigrants pour leurs besoins". Mais alors dans ce cas et si tel est le cas, pourquoi tant de complications pour reconnaître les diplômes étrangers ? Et pourquoi ne pas tenir compte de l'expérience professionnelle des immigrés dans leur pays d'origine ?

Qu'entends-tu par " la vérité est probablement que les canadiens veulent juste assez d'immigrants pour leurs besoins" ? Que veux-tu dire et où veux-tu en venir ?

Parce que les diplômes même s'ils portent le même noms ne sont pas nécessairement équivalent en terme de niveau. Parce que les lois et reglementations (en ce qui concerne le québec un système juridique complètement différent de ce qui se fait ailleurs dans le monde) sont différentes. Pour ce qui est de l'expérience professionnelle dans le pays d'origine ça dépend toujours de la profession, si les diplômés n'ont pas le même niveau, je ne vois pas comment on peut considérer cette expérience professionnelle comme étant pertinente.

Je suis d'accord en ce qui concerne les codes, lois et réglements, chaque pays ayant ses normes et spécificités.

Je ne suis par ailleurs absolument pas d'accord en ce qui concerne cette vision réductrice des diplômes étrangers.

Je finalise ma formation et je viens de recevoir un titre d'excellence pour mes résultats.

La médaille du gouverneur devrait s'en suivre, ma moyenne étant assez exceptionnelle.

Je suis cependant détenteur de diplômes étrangers : belges et algériens.

Plusieurs de mes collègues de cours étaient Québécois, et lors de travaux communs, ils étaient souvent les lapins dans la charette tirée par... le maghrébin. :whistlingb:

Alors, qu'on arrête ces préconçues idées tordues consistant à dire que les diplômes étrangers ne sont pas à la hauteur de ceux du Québec.

Le politique prime, et cela changera nécessairement un jour.

N.B : Excuses aux lecteurs, je n'aime pas me mettre en valeur, mais il y en a ras le bol de ces visions réductrices :angry:

Prenons en exemple un diplome de maitrise tunisien qui équivaut à un baccalauréat québécois, donc évidement des gens ayant des maitrises au Québec et en Tunisie n'ont pas le même niveau. Pour ce qui est des étudiants étrangers, en ce qui me concerne (selon mon expérience), c'est plutôt le contraire la majorité étudiants étrangers de ma promotion tire de la patte si je puis dire (une seule personne dans ceux-ci s'en est sorti avec des mentions d'excellences sur le relevé de notes alors que nous sommes au moins 5 étudiants non-étranger à obtenir les mentions d'excellences).

Autre exemple, mon Bachelor en Banque Assurance (BAC au Canada) fait en France, est reconnu comme un DEC Conseiller en assurances (BAC Pro en France) et bim, 3 ans d'études supérieures en moins. C'est à se demander si l'assurance est née en Amérique du Nord ou en Europe en l'an 1666...

Euh un DEC technique est équivalent à un BTS, DUT en france, ce qui ne correspont pas à des cours de niveau universitaire au Québec. Le Bac Pro c'est pour les DEP si je me trompe pas.

http://en.wikipedia.org/wiki/Diploma_of_College_Studies

Sauf qu'en France le BTS s'obtient après 15 ans d'études contre 13 pour le DEC il me semble.

http://www.consulfrance-montreal.org/documents/education/schema_etudes_fr_Qc.pdf

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"assez d'immigrants pour leurs besoins". Mais alors dans ce cas et si tel est le cas, pourquoi tant de complications pour reconnaître les diplômes étrangers ? Et pourquoi ne pas tenir compte de l'expérience professionnelle des immigrés dans leur pays d'origine ?

Qu'entends-tu par " la vérité est probablement que les canadiens veulent juste assez d'immigrants pour leurs besoins" ? Que veux-tu dire et où veux-tu en venir ?

Parce que les diplômes même s'ils portent le même noms ne sont pas nécessairement équivalent en terme de niveau. Parce que les lois et reglementations (en ce qui concerne le québec un système juridique complètement différent de ce qui se fait ailleurs dans le monde) sont différentes. Pour ce qui est de l'expérience professionnelle dans le pays d'origine ça dépend toujours de la profession, si les diplômés n'ont pas le même niveau, je ne vois pas comment on peut considérer cette expérience professionnelle comme étant pertinente.

Je suis d'accord en ce qui concerne les codes, lois et réglements, chaque pays ayant ses normes et spécificités.

Je ne suis par ailleurs absolument pas d'accord en ce qui concerne cette vision réductrice des diplômes étrangers.

Je finalise ma formation et je viens de recevoir un titre d'excellence pour mes résultats.

La médaille du gouverneur devrait s'en suivre, ma moyenne étant assez exceptionnelle.

Je suis cependant détenteur de diplômes étrangers : belges et algériens.

Plusieurs de mes collègues de cours étaient Québécois, et lors de travaux communs, ils étaient souvent les lapins dans la charette tirée par... le maghrébin. :whistlingb:

Alors, qu'on arrête ces préconçues idées tordues consistant à dire que les diplômes étrangers ne sont pas à la hauteur de ceux du Québec.

Le politique prime, et cela changera nécessairement un jour.

N.B : Excuses aux lecteurs, je n'aime pas me mettre en valeur, mais il y en a ras le bol de ces visions réductrices :angry:

Prenons en exemple un diplome de maitrise tunisien qui équivaut à un baccalauréat québécois, donc évidement des gens ayant des maitrises au Québec et en Tunisie n'ont pas le même niveau. Pour ce qui est des étudiants étrangers, en ce qui me concerne (selon mon expérience), c'est plutôt le contraire la majorité étudiants étrangers de ma promotion tire de la patte si je puis dire (une seule personne dans ceux-ci s'en est sorti avec des mentions d'excellences sur le relevé de notes alors que nous sommes au moins 5 étudiants non-étranger à obtenir les mentions d'excellences).

Autre exemple, mon Bachelor en Banque Assurance (BAC au Canada) fait en France, est reconnu comme un DEC Conseiller en assurances (BAC Pro en France) et bim, 3 ans d'études supérieures en moins. C'est à se demander si l'assurance est née en Amérique du Nord ou en Europe en l'an 1666...

Euh un DEC technique est équivalent à un BTS, DUT en france, ce qui ne correspont pas à des cours de niveau universitaire au Québec. Le Bac Pro c'est pour les DEP si je me trompe pas.

http://en.wikipedia.org/wiki/Diploma_of_College_Studies

Sauf qu'en France le BTS s'obtient après 15 ans d'études contre 13 pour le DEC il me semble.

http://www.consulfrance-montreal.org/documents/education/schema_etudes_fr_Qc.pdf

14 années d'études pour un dec techniques ce qui correspond à un bts

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  • Habitués

Alors que la France retourne en récession, pensez-vous que le Canada, actuellement en pleine croissance pourra continuer à accueillir autant d'immigrants au cours des prochaines années ?

De janvier à mars, l'économie française s'est contractée de 0,2 % après une contraction de même proportion au quatrième trimestre. Le pays renoue ainsi avec la récession au moment où la zone euro peine toujours à se relever.

« Tous les pays sont touchés, c'est pour ça que la solution est européenne. Mais ça ne dispense pas la France de faire des efforts pour chercher la croissance, trouver de l'emploi, donner de la confiance. » Le président François Hollande

je ne parlerai pas d'immigration dans ce cas mais de travailleurs temporaires car il n'est pas certain que ces personnes voudraient immigrer au Canada.

Cote developpement merci les sables bitumineux pour le moment mais jusqu'a quell moment ? LeBalladin suggere le developpement de la partie Nord. Rien que la discussion a propos d'une route ou d'une voie de chemin de fer se trouve Presque verrouillee du fait d'etre sur le Nunavik. Les ressources sont enormes ici mais aucun point de sortie pour le produit extrait.

Faire venir plus de monde ? pas certains que les quebecois et les canadiens apprecient toujours autant ...

Hello :bye:

Ne pas oublier que le Canada à l'origine est quand même une terre d'immigration :wink:

L'explorateur français Jacques Cartier accoste en 1534 dans la baie de Gaspé. Le Canada trouve son origine en tant que colonie française sur le territoire de l'actuelle ville de Québec, fondée par Samuel de Champlain en 1608 dans la vallée du fleuve Saint-Laurent. Le territoire fut d'abord occupé par les peuples autochtones avec qui les Français développèrent des relations diplomatiques. La colonisation française amènera, jusqu'à la conquête britannique en 1763, 90 000 colons français en Amérique du Nord. Après la Conquête, les Britanniques s'approprieront les terres de la Nouvelle-France. Puis commence une période de colonisation anglaise, principalement grâce à l'arrivée de colons loyalistes venus de Nouvelle-Angleterre après la Révolution américaine. Plus tard, en 1867, les Britanniques créeront le Dominion du Canada, un État fédéral né de l'union de trois colonies britanniques : le Canada-Uni, le Nouveau-Brunswick et la Nouvelle-Écosse. L'Acte de l'Amérique du Nord britannique de 1867, une loi britannique comprenant la majorité de la Constitution, sera rapatriée en 1982 afin de donner une constitution au Canada. Au début du XXIe siècle, le Canada est une fédération de dix provinces et de trois territoires dont chacun a son premier ministre et son assemblée législative. Le pays a obtenu son indépendance du Royaume-Uni, et ce pacifiquement, dans un processus qui s'est étalé de 1867 à 1982.

Intéressant rappel historique.

Honn^etement je pense que si les québécois par exemple, ou certains anglophones canadiens, pouvaient rencontrer leurs anc^etres européens qui venaient ici avec un esprit pionnier, travailleur etc. je crois que de part et d'autre ils s'échangeraient quelques gifles assez rapidement, à part peut ^etre qu'ils auraieent du mal à se comprendre vu l'évolution de la langue.

"En tout cas", comme ils aiment dire, si le Canada est aujourd'hui un pays d'immigration c'est ni plus ni moins que les canadiens trouvent cela convenant. Le temps où on débarquait ici à l'aise est révolu, aujourd'hui on débarque avec une valise pleine de papiers.

Et que pense les autochtones de cette immigration qui dure depuis plusieurs siècles ? à la base ils sont quand même chez eux !

Oui, je connais le refrain. Comme quoi, après tout, on n'est pas chez soi ici.

Eh bien c'est clair, le moins il y a d'immigrants le plus ça leur pla^it (dans le Nord ils sont très inquiets du réchauffement climatique), et le moins ils ont de droits par rapport à eux, qui les ont tous (ils peuvent siffler leur gn^ole à longueur de journée puis aller aux services sociaux, sans problème, là où un immigrant serait f.ment mal accueilli), le mieux c'est aussi par eux et ça leur semble normal. Sens de la justice et du mérite : zéro absolu.

Il para^^it que ça se sent encore plus chez les esquimaux. Chez eux, deux options : tu te tires une balle ou ils te la tirent.

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"assez d'immigrants pour leurs besoins". Mais alors dans ce cas et si tel est le cas, pourquoi tant de complications pour reconnaître les diplômes étrangers ? Et pourquoi ne pas tenir compte de l'expérience professionnelle des immigrés dans leur pays d'origine ?

Qu'entends-tu par " la vérité est probablement que les canadiens veulent juste assez d'immigrants pour leurs besoins" ? Que veux-tu dire et où veux-tu en venir ?

Leurs besoins ... Je ne pense pas que leur principal besoin soit de nous laisser obtenir de bons emplois bien rémunérés. C'est "en tout cas" (désolé, je me suis laissé intoxiquer par le franco-canadien) ce qu'on ressent sur le terrain, loin des belles brochures en papier glacé.

Ils ont surtout besoin de gens qui les enrichissent du simple fait de bosser bon marché à leur service.

Je ne dis pas qu'il n'y a aucune faille, bien au contraire, mais dans l'ensemble, "c'est ça que c'est ça" (c'est comme ça) (ils ont toujours besoin d'écrire plus longuement qu'en "français de france")

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je m etrangle ,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,

En effet, la mesquinerie, la myopie politicienne, la radicale incapacité à s'investir en des projets collectifs (pour le blabla "positif" ça oui par contre), risquent de situer un jour le Canada derrière la Corée du Nord. C'est spécialement évident en ce qui concerne les lignes de chemin de fer.

Les indigènes ont toujours eu une dent contre les trains.

Les canadiens s'en servaient pour amener des troupes lorsqu'il fallait mater une rébellion, comme celle des métis manitobains.

je m etrangle à vous lire

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  • Habitués

Je m'avoue inquiet pour Lucette.

Je m etrangle à vous lire

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Invité mckenzie

Alors que la France retourne en récession, pensez-vous que le Canada, actuellement en pleine croissance pourra continuer à accueillir autant d'immigrants au cours des prochaines années ?

De janvier à mars, l'économie française s'est contractée de 0,2 % après une contraction de même proportion au quatrième trimestre. Le pays renoue ainsi avec la récession au moment où la zone euro peine toujours à se relever.

« Tous les pays sont touchés, c'est pour ça que la solution est européenne. Mais ça ne dispense pas la France de faire des efforts pour chercher la croissance, trouver de l'emploi, donner de la confiance. » Le président François Hollande

je ne parlerai pas d'immigration dans ce cas mais de travailleurs temporaires car il n'est pas certain que ces personnes voudraient immigrer au Canada.

Cote developpement merci les sables bitumineux pour le moment mais jusqu'a quell moment ? LeBalladin suggere le developpement de la partie Nord. Rien que la discussion a propos d'une route ou d'une voie de chemin de fer se trouve Presque verrouillee du fait d'etre sur le Nunavik. Les ressources sont enormes ici mais aucun point de sortie pour le produit extrait.

Faire venir plus de monde ? pas certains que les quebecois et les canadiens apprecient toujours autant ...

Hello :bye:

Ne pas oublier que le Canada à l'origine est quand même une terre d'immigration :wink:

L'explorateur français Jacques Cartier accoste en 1534 dans la baie de Gaspé. Le Canada trouve son origine en tant que colonie française sur le territoire de l'actuelle ville de Québec, fondée par Samuel de Champlain en 1608 dans la vallée du fleuve Saint-Laurent. Le territoire fut d'abord occupé par les peuples autochtones avec qui les Français développèrent des relations diplomatiques. La colonisation française amènera, jusqu'à la conquête britannique en 1763, 90 000 colons français en Amérique du Nord. Après la Conquête, les Britanniques s'approprieront les terres de la Nouvelle-France. Puis commence une période de colonisation anglaise, principalement grâce à l'arrivée de colons loyalistes venus de Nouvelle-Angleterre après la Révolution américaine. Plus tard, en 1867, les Britanniques créeront le Dominion du Canada, un État fédéral né de l'union de trois colonies britanniques : le Canada-Uni, le Nouveau-Brunswick et la Nouvelle-Écosse. L'Acte de l'Amérique du Nord britannique de 1867, une loi britannique comprenant la majorité de la Constitution, sera rapatriée en 1982 afin de donner une constitution au Canada. Au début du XXIe siècle, le Canada est une fédération de dix provinces et de trois territoires dont chacun a son premier ministre et son assemblée législative. Le pays a obtenu son indépendance du Royaume-Uni, et ce pacifiquement, dans un processus qui s'est étalé de 1867 à 1982.

Et que pense les autochtones de cette immigration qui dure depuis plusieurs siècles ? à la base ils sont quand même chez eux ! :blush2:

:rolleyes: Pour ton information, les colons français et anglais ne sont pas venus en tant qu'immigrants mais en tant que CONQUÉRANTS. Le Canada était alors une colonie de la France et s'appelait la Nouvelle-France. Ensuite après la bataille des plaines d'Abraham, le Canada est passé du régime français au régime anglais et était alors une colonie de l'Angleterre. Le système politique canadien d'aujourd'hui est calqué sur celui de l'Angleterre. Les langues officielles du Canada ne sont pas l'abénaki ou le huron mais le français et l'anglais, les deux peuples fondateurs du Canada. Les autochtones ne sont pas originaires de l'Amérique du Nord mais de l'Eurasie et il ont migré au Canada par le détroit de Béring au fil des ans. Et ce n'est pas les autochtones qui vont te permettre d'immigrer au Québec mais le gouvernement du Québec et du Canada alors arrête de cracher dans la soupe.

PS : le gouvernement du Canada, en tant que gouvernement souverain, peut très bien décider d'ajuster les quotas d'immigration en fontion de la situation économique au Canada, ce qui est normal.

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Invité mckenzie
En effet, la mesquinerie, la myopie politicienne, la radicale incapacité à s'investir en des projets collectifs (pour le blabla "positif" ça oui par contre), risquent de situer un jour le Canada derrière la Corée du Nord.
Le Canada derrière la Corée du Nord ? :rofl: Le Canada a un niveau de vie supérieur à la France et à la grande majorité des pays européens alors ça donne un complexe d'infériorité à LeBalladin et lui fait dire n'importe quoi... En fait, l'économie du Canada va beaucoup mieux que celle de l'Europe alors si on suit ton type d'argumentation LeBalladin, c'est plutôt l'Europe qui va se retrouver derrière la Corée du Nord tellement la situation économique se dégrade en Europe... on fait juste suivre ton type d'argumentation. :biggrin2:
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En effet, la mesquinerie, la myopie politicienne, la radicale incapacité à s'investir en des projets collectifs (pour le blabla "positif" ça oui par contre), risquent de situer un jour le Canada derrière la Corée du Nord.

Le Canada derrière la Corée du Nord ? :rofl: Le Canada a un niveau de vie supérieur à la France et à la grande majorité des pays européens alors ça donne un complexe d'infériorité à LeBalladin et lui fait dire n'importe quoi... En fait, l'économie du Canada va beaucoup mieux que celle de l'Europe alors si on suit ton type d'argumentation LeBalladin, c'est plutôt l'Europe qui va se retrouver derrière la Corée du Nord tellement la situation économique se dégrade en Europe... on fait juste suivre ton type d'argumentation. :biggrin2:

Eh oui. Marrant, hein ?

Bon, à part ça qu'est-ce que t'en dis de mes propos concernant le rôle traditionnellement alloué aux immigrants par les canadiens ? Es-tu également amusé ? Mais je soupçonne que tu t'en fiches car tu n'es pas concerné. C'est cependant lié au fil de ce sujet. Car on peut bien entendu comprendre que les canadiens n'envisagent même pas de voir des immigrants aller tenter leur chance en pionniers vers le Nord de ce pays. D'ailleurs rien que d'y penser tu es sûrement plié en quatre. Quelle idée ridicule. Bien sûr, qu'il vaut mieux les maintenir dans les grands centres urbains. C'est clair. C'est là qu'ils sont utiles aux canadiens.

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Invité mckenzie

@ CriminelKatom :8): Qu'importe ce que tu peux dire, le TGV est un gouffre financier ( voir article en bas de ce message ). Bravo au gouvernement canadien de refuser le TGV-éléphant blanc...:whistlingb:

Source: Challenges.fr Le succès du TGV n'a d'égal que le gouffre de ses finances Sous le soleil de Besançon, Nicolas Sarkozy a inauguré, le 8 septembre, la dernière-née des lignes à grande vitesse, la Rhin-Rhône. Devant une foule de cheminots, son discours prend soudain des accents gaullistes: "Le TGV, c'est la France. Le train, c'est la France. Et c'est un effort national. Le train est aimé des Français, il n'appartient à aucun camp, à aucune famille." Autant de verbe pour un tronçon qui n'est long que de 140 kilomètres, c'est un peu trop. D'autant plus que, derrière les 30 bougies du TGV - l'anniversaire sera fêté en grande pompe samedi 24 septembre gare de Lyon -, c'est un monceau de dettes qui a été laissé en cadeau à l'Etat français. Car la star du rail, symbole de l'excellence industrielle, plébiscitée par les Français (près de 1,7 milliard de voyageurs, sans un seul accident), a coûté au pays près de 40 milliards d'euros! http://www.challenges.fr/entreprise/20110922.CHA4505/le-succes-du-tgv-n-a-d-egal-que-le-gouffre-de-ses-finances.html

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Alors que la France retourne en récession, pensez-vous que le Canada, actuellement en pleine croissance pourra continuer à accueillir autant d'immigrants au cours des prochaines années ?

De janvier à mars, l'économie française s'est contractée de 0,2 % après une contraction de même proportion au quatrième trimestre. Le pays renoue ainsi avec la récession au moment où la zone euro peine toujours à se relever.

« Tous les pays sont touchés, c'est pour ça que la solution est européenne. Mais ça ne dispense pas la France de faire des efforts pour chercher la croissance, trouver de l'emploi, donner de la confiance. » Le président François Hollande

je ne parlerai pas d'immigration dans ce cas mais de travailleurs temporaires car il n'est pas certain que ces personnes voudraient immigrer au Canada.

Cote developpement merci les sables bitumineux pour le moment mais jusqu'a quell moment ? LeBalladin suggere le developpement de la partie Nord. Rien que la discussion a propos d'une route ou d'une voie de chemin de fer se trouve Presque verrouillee du fait d'etre sur le Nunavik. Les ressources sont enormes ici mais aucun point de sortie pour le produit extrait.

Faire venir plus de monde ? pas certains que les quebecois et les canadiens apprecient toujours autant ...

Hello :bye:

Ne pas oublier que le Canada à l'origine est quand même une terre d'immigration :wink:

L'explorateur français Jacques Cartier accoste en 1534 dans la baie de Gaspé. Le Canada trouve son origine en tant que colonie française sur le territoire de l'actuelle ville de Québec, fondée par Samuel de Champlain en 1608 dans la vallée du fleuve Saint-Laurent. Le territoire fut d'abord occupé par les peuples autochtones avec qui les Français développèrent des relations diplomatiques. La colonisation française amènera, jusqu'à la conquête britannique en 1763, 90 000 colons français en Amérique du Nord. Après la Conquête, les Britanniques s'approprieront les terres de la Nouvelle-France. Puis commence une période de colonisation anglaise, principalement grâce à l'arrivée de colons loyalistes venus de Nouvelle-Angleterre après la Révolution américaine. Plus tard, en 1867, les Britanniques créeront le Dominion du Canada, un État fédéral né de l'union de trois colonies britanniques : le Canada-Uni, le Nouveau-Brunswick et la Nouvelle-Écosse. L'Acte de l'Amérique du Nord britannique de 1867, une loi britannique comprenant la majorité de la Constitution, sera rapatriée en 1982 afin de donner une constitution au Canada. Au début du XXIe siècle, le Canada est une fédération de dix provinces et de trois territoires dont chacun a son premier ministre et son assemblée législative. Le pays a obtenu son indépendance du Royaume-Uni, et ce pacifiquement, dans un processus qui s'est étalé de 1867 à 1982.

Et que pense les autochtones de cette immigration qui dure depuis plusieurs siècles ? à la base ils sont quand même chez eux ! :blush2:

:rolleyes: Pour ton information, les colons français et anglais ne sont pas venus en tant qu'immigrants mais en tant que CONQUÉRANTS. Le Canada était alors une colonie de la France et s'appelait la Nouvelle-France. Ensuite après la bataille des plaines d'Abraham, le Canada est passé du régime français au régime anglais et était alors une colonie de l'Angleterre. Le système politique canadien d'aujourd'hui est calqué sur celui de l'Angleterre. Les langues officielles du Canada ne sont pas l'abénaki ou le huron mais le français et l'anglais, les deux peuples fondateurs du Canada. Les autochtones ne sont pas originaires de l'Amérique du Nord mais de l'Eurasie et il ont migré au Canada par le détroit de Béring au fil des ans. Et ce n'est pas les autochtones qui vont te permettre d'immigrer au Québec mais le gouvernement du Québec et du Canada alors arrête de cracher dans la soupe.

PS : le gouvernement du Canada, en tant que gouvernement souverain, peut très bien décider d'ajuster les quotas d'immigration en fontion de la situation économique au Canada, ce qui est normal.

Avant d'écrire n'importe quoi, lis et relis les messages cela t'évitera de poster des conneries !!! Ou as tu vu que je crache dans la soupe ??????? Ou as tu vu dans mon message que ce sont les Autochtones qui vont me permettre d'immigrer ?????? :blink2:

Arrête de te la raconter et respect un peu plus les amis du forum car avec ton arrogance tu donne une très mauvaise image de ton pays !!!

Modifié par Nadège et Philippe
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