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Posté(e) (modifié)

Salut à toutes et tous.

Voilà quelques temps que je n'avais pas entretenu ce fil de discussion.

En même temps, toujours rien de neuf concernant notre dossier : pas encore de retour de l'évaluation comparative des études et pas encore de prélèvement indicateur de l'ouverture de notre dossier CSQ.

Patience donc... :biggrin2:

Réflexion du soir :

La vie nous réserve parfois des surprises auxquelles il faut parfois savoir faire face...

Fâché avec ma mère depuis bientôt un an, j'apprends, voilà une dizaine de jours, que cette dernière est atteinte d'une maladie dont l'issue sera, à terme plus ou moins long, fatale. Pas glop.

Voilà de quoi réveiller des craintes et des angoisses tenaces et, surtout, d'apprendre à mettre tous les mauvais moments de côté pour se centrer sur l'essentiel : être auprès d'elle. Ce que j'ai fait en partant quelques jours lui rendre visite. Les choses ont, après de longues heures de discussion, pu se poser et s'apaiser.

Voilà cependant de quoi se poser plein de questions concernant notre départ éventuel. Comment pallier à ses besoin si loin d'elle ? Comment gérer cet éloignement ? Comment ne pas ressentir une certaine culpabilité à l'idée de la priver de ses petits enfants durant les années à venir à un moment où elle en aurait vraiment besoin ? Cela va-t-il, doit-il, remettre en cause tout ce projet ?

Bref, autant de questions qui sont venues se heurter et auxquelles se sont ajoutés les commentaires et les questions culpabilisantes de la famille chez qui nous étions. Une fois de plus, nous avons eu droit au "vous nous abandonnez", ou encore "vous êtes égoïstes", ou même "vous n'avez pas le droit de nous faire ça"... Autant de choses qui, au regard du contexte, ont fait beaucoup pour nos petites têtes depuis 6 jours.

Heureusement pour nous, notre couple est fort. Très fort. Très très fort !!

Nous en avons beaucoup parlé, mon épouse et moi-même. Nous nous soutenons. Toujours. Nous allons de l'avant. Toujours plus loin.

Nous avons la force et la détermination de montrer, est-ce besoin de le faire, que nous irons au bout de ce projet. Coûte que coûte.

Mais, aussi forte que soit cette conviction, je ne peux m'empêcher de me poser et me reposer ces même questions. Sans cesse. Comme pour me convaincre, à chaque fois, que nous allons dans le bon sens.

Alors oui, un projet comme celui-là doit être mené de façon à pouvoir surmonter les épreuves et les obstacles qu'ils comporte, aussi hauts soient-ils. Ce n'est pas chose aisée. C'est même douloureux à certains moments.

Ce soir, après avoir passer de nombreuses heures à parler et à échanger sur ce thème, nous sommes convaincus d'être toujours dans le vrai. Pour nous, pour nos enfants.

Rien ne pourra nous faire changer d'avis.

Nous allons devoir compter et composer avec de nouveaux éléments à prendre en compte, en essayant de les gérer au mieux de manière à partir, nous l'espérons, la conscience tranquille, capables de nous regarder sans rougir chaque matin dans le miroir.

Pas simple.

Modifié par B@bouk
  • Habitués
Posté(e)

Salut à toutes et tous.

Voilà quelques temps que je n'avais pas entretenu ce fil de discussion.

En même temps, toujours rien de neuf concernant notre dossier : pas encore de retour de l'évaluation comparative des études et pas encore de prélèvement indicateur de l'ouverture de notre dossier CSQ.

Patience donc... :biggrin2:

Réflexion du soir :

La vie nous réserve parfois des surprises auxquelles il faut parfois savoir faire face...

Fâché avec ma mère depuis bientôt un an, j'apprends, voilà une dizaine de jours, que cette dernière est atteinte d'une maladie dont l'issue sera, à terme plus ou moins long, fatale. Pas glop.

Voilà de quoi réveiller des craintes et des angoisses tenaces et, surtout, d'apprendre à mettre tous les mauvais moments de côté pour se centrer sur l'essentiel : être auprès d'elle. Ce que j'ai fait en partant quelques jours lui rendre visite. Les choses ont, après de longues heures de discussion, pu se poser et s'apaiser.

Voilà cependant de quoi se poser plein de questions concernant notre départ éventuel. Comment pallier à ses besoin si loin d'elle ? Comment gérer cet éloignement ? Comment ne pas ressentir une certaine culpabilité à l'idée de la priver de ses petits enfants durant les années à venir à un moment où elle en aurait vraiment besoin ? Cela va-t-il, doit-il, remettre en cause tout ce projet ?

Bref, autant de questions qui sont venues se heurter et auxquelles se sont ajoutés les commentaires et les questions culpabilisantes de la famille chez qui nous étions. Une fois de plus, nous avons eu droit au "vous nous abandonnez", ou encore "vous êtes égoïstes", ou même "vous n'avez pas le droit de nous faire ça"... Autant de choses qui, au regard du contexte, ont fait beaucoup pour nos petites têtes depuis 6 jours.

Heureusement pour nous, notre couple est fort. Très fort. Très très fort !!

Nous en avons beaucoup parlé, mon épouse et moi-même. Nous nous soutenons. Toujours. Nous allons de l'avant. Toujours plus loin.

Nous avons la force et la détermination de montrer, est-ce besoin de le faire, que nous irons au bout de ce projet. Coûte que coûte.

Mais, aussi forte que soit cette conviction, je ne peux m'empêcher de me poser et me reposer ces même questions. Sans cesse. Comme pour me convaincre, à chaque fois, que nous allons dans le bon sens.

Alors oui, un projet comme celui-là doit être mené de façon à pouvoir surmonter les épreuves et les obstacles qu'ils comporte, aussi hauts soient-ils. Ce n'est pas chose aisée. C'est même douloureux à certains moments.

Ce soir, après avoir passer de nombreuses heures à parler et à échanger sur ce thème, nous sommes convaincus d'être toujours dans le vrai. Pour nous, pour nos enfants.

Rien ne pourra nous faire changer d'avis.

Nous allons devoir compter et composer avec de nouveaux éléments à prendre en compte, en essayant de les gérer au mieux de manière à partir, nous l'espérons, la conscience tranquille, capables de nous regarder sans rougir chaque matin dans le miroir.

Pas simple.

Une seule chose a dire vous n'avez pas le droit d'abandonner tonton Ben maintenant !!!!!

Courage vous avez fait le bon choix mon Babouk :) la famille reste la famille même si il y'a ses commentaires on les comprends mais âpres il fait savoir qu'on vit pour nous et pour notre famille a nous ( même si je suis pas encore papa et Marier lol )

Foncez Babouk on a un coca a prendre ensemble lol

  • Habitués
Posté(e)

Ce qui me rassure dans ton sujet, c'est que nous ne sommes pas les seuls à vivre la même chose. À la seule différence, nous n'avons pas de parents malades. On se pose bcp de questions, on sait que nous allons rendre des personnes qui nous sont chères, tristes, mais nous voulons aspirer à une vie meilleure et relever ce défi. Et si pour x raisons, ça se passe pas bien au Québec, on rentrera en France. On aura vécu une expérience et surtout, on ne vivra pas dans les regrets. Et cette longue attente du csq est difficile car on a le temps de cogiter. Ce n'est peut être pas un mal :rolleyes:. Bonne nuit Envoyé par l'application mobile Forum IC

  • Habitués
Posté(e)

On se pose vraiment tous les mêmes questions. Le fait que ta maman soit malade rend les choses encore plus sensible, mais c'est de toute façon déjà nous éloigner de nos proches, empecher nos parents de voir grandir leur petits enfants. Immigrer aussi loin c'est de toute façon déjà tout ca.

Je vais te dire un truc qui m'a aidé, moi, en espérant que ça t'aide, toi : nos parents nous ont élevé pour nous rendre fort, indépendant, et capable de prendre notre vie en main. C'est ce que nous faisons et c'est le plus bel hommage que nous pouvons leur rendre que d'entreprendre un tel projet. Même si aujourd'hui, ils peuvent voir les choses autrement : l'oiseau a quitté le nid et est assez fort pour affronter les tempêtes. C'est la nature de l'homme comme de l'oiseau de quitter le nid, ça n'en fait pas un égoïste individualiste et insensible...

Personnellement, j'en ai marre d'entendre ma famille me reprocher notre départ, l'abandon, l'égoïsme... Merde, c'est nous qui quittons tout, qui arriverons la bas, si on y arrive, sans connaître personne, avec personne qui nous attend, avec tout à construire. C'est nous qui assumeront l'échec éventuel et les difficultés certaines. C'est nous qui décrocheront le téléphone quand on nous annoncera un drame et qui resteront seuls, encore, avec cette probable culpabilité qu'il faudra digérer.

Ils ne voient la situation que de leur point de vue, sans considérer le nôtre, alors qu'a l'inverse on est pret à les comprendre, échanger et leur expliquer encore et encore. Franchement je crois que l'égoïsme n'est pas de notre coté.

Bon courage,

Amicalement,

Maraudeur

  • Habitués
Posté(e)

Babouk et toute la secte... Je vous suis depuis un certain temps. Notre projet n'en est qu'à ses débuts et nous n'aurons certainement pas le même parcours que vous pour différentes raisons. La n'est pas le sujet.

Nos parents, nos aînés quels qu'ils soient nous ont élevés pour que nous puissions prendre les meilleures décisions dans nos vies d'adultes. Ces décisions ne sont pas forcément faciles à prendre et sont en principe réfléchies.

Ta maman malade est une situation compliquée mais il faut penser "égoïstement" à vous votre avenir et celui de vos enfants (le chien aussi mais moins) et Maraudeur a bien résumé l'état d'esprit qui vous animera à 6000 km d'ici plus tard... Mais c'est plus tard c'est ni aujourd'hui ni demain en attendant rien ni personne ne devraient remettre en cause votre projet de vie de votre vie !

Bon courage

Envoyé par l'application mobile Forum IC

  • Habitués
Posté(e)

Salut à toutes et tous.

Voilà quelques temps que je n'avais pas entretenu ce fil de discussion.

En même temps, toujours rien de neuf concernant notre dossier : pas encore de retour de l'évaluation comparative des études et pas encore de prélèvement indicateur de l'ouverture de notre dossier CSQ.

Patience donc... :biggrin2:

Réflexion du soir :

La vie nous réserve parfois des surprises auxquelles il faut parfois savoir faire face...

Fâché avec ma mère depuis bientôt un an, j'apprends, voilà une dizaine de jours, que cette dernière est atteinte d'une maladie dont l'issue sera, à terme plus ou moins long, fatale. Pas glop.

Voilà de quoi réveiller des craintes et des angoisses tenaces et, surtout, d'apprendre à mettre tous les mauvais moments de côté pour se centrer sur l'essentiel : être auprès d'elle. Ce que j'ai fait en partant quelques jours lui rendre visite. Les choses ont, après de longues heures de discussion, pu se poser et s'apaiser.

Voilà cependant de quoi se poser plein de questions concernant notre départ éventuel. Comment pallier à ses besoin si loin d'elle ? Comment gérer cet éloignement ? Comment ne pas ressentir une certaine culpabilité à l'idée de la priver de ses petits enfants durant les années à venir à un moment où elle en aurait vraiment besoin ? Cela va-t-il, doit-il, remettre en cause tout ce projet ?

Bref, autant de questions qui sont venues se heurter et auxquelles se sont ajoutés les commentaires et les questions culpabilisantes de la famille chez qui nous étions. Une fois de plus, nous avons eu droit au "vous nous abandonnez", ou encore "vous êtes égoïstes", ou même "vous n'avez pas le droit de nous faire ça"... Autant de choses qui, au regard du contexte, ont fait beaucoup pour nos petites têtes depuis 6 jours.

Heureusement pour nous, notre couple est fort. Très fort. Très très fort !!

Nous en avons beaucoup parlé, mon épouse et moi-même. Nous nous soutenons. Toujours. Nous allons de l'avant. Toujours plus loin.

Nous avons la force et la détermination de montrer, est-ce besoin de le faire, que nous irons au bout de ce projet. Coûte que coûte.

Mais, aussi forte que soit cette conviction, je ne peux m'empêcher de me poser et me reposer ces même questions. Sans cesse. Comme pour me convaincre, à chaque fois, que nous allons dans le bon sens.

Alors oui, un projet comme celui-là doit être mené de façon à pouvoir surmonter les épreuves et les obstacles qu'ils comporte, aussi hauts soient-ils. Ce n'est pas chose aisée. C'est même douloureux à certains moments.

Ce soir, après avoir passer de nombreuses heures à parler et à échanger sur ce thème, nous sommes convaincus d'être toujours dans le vrai. Pour nous, pour nos enfants.

Rien ne pourra nous faire changer d'avis.

Nous allons devoir compter et composer avec de nouveaux éléments à prendre en compte, en essayant de les gérer au mieux de manière à partir, nous l'espérons, la conscience tranquille, capables de nous regarder sans rougir chaque matin dans le miroir.

Pas simple.

Bonjour B@bouk,

J'ai lu avec grande émotion ta réflexion du soir qui m'a rappelé une triste période de ma vie pendant laquelle j'étais fâchée avec mon papa. Depuis, les choses ont beaucoup évolué, l'un comme l'autre, on a réussi à mettre nos différents de côté et profiter des moments que la vie nous a offerts. Mon papa a eu une opération très délicate et dieu merci il s'est bien rétabli après une longue période de convaléscence.

Depuis mes 21 ans, j'ai quitté ma famille et mon pays (je suis Franco-Marocaine) pour continuer mes études et je n'y suis plus retournée sauf pour de courtes périodes de vacances. Etre loin de son enfant, mes parents le vivent depuis fort longtemps. Il est vrai qu' ils sont tristes sans moi sans leurs petits enfants qui grandissent loin d'eux mais ils ont bien compris que c'était pour notre bien. Dans ma démarche d'immigration pour le Canada, ils m'encouragent depuis le début car la priorité pour eux ce n'est même plus l'avenir ou le bien-être de leur fille mais plutôt celui de leurs petits enfants.

Nos parents nous aiment, ils veulent le meilleur pour nous. Sois certain B@bouk, un jour viendra et ils vont te soutenir dans cette belle aventure, il faut leur laisser le temps.

J'espère qu'on aura l'occasion de se voir sur Québec car pour nous aussi notre choix de ville s'est confirmé après notre petit voyage de février.

Bon courage et surtout ne changez pas vos projets.

Posté(e)

Merci à toutes et tous pour vos messages de soutien qui nous vont droit au coeur. Vivre loin des notres ne nous préoccupe pas, nous l'avons fait pendant 6 ans lors de notre séjour à la Réunion. Certains de nos proches ne l'avaient d'ailleurs pas plus admis qu'ils ne le font maintenant pour le Québec. Nous en acceptons le principe. Ce qui complique les choses, c'est cette situation de maladie et le fait que nous nous soyons fâchés. Nous parviendrons, quoi qu'il en soit, à surmonter ce cap. Votre soutien nous conforte dans notre conviction d'être dans le vrai. Le dicton populaire dit : "il y a deux choses à donner à nos enfants. l'une ce sont des racines. L'autre ce sont des ailes." Nous avons eu, pour notre part, les deux. Je ressens, me concernant, avoir reçu plus d'ailes que de racines. Ceci explique sans doute cela. Merci à vous tous !

  • Habitués
Posté(e)

Je retiens ce dicton. Il dit en une ligne ce que j'ai essayé d'expliquer en 10 lignes ^^

Le positif c'est que ces épreuves vous soudent encore plus dans votre couple et vous font prendre conscience (encore plus que plus ^^) de la chance que vous avez de vous avoir l'un et l'autre.

  • Habitués
Posté(e)

Très beau dicton à retenir sans faute.

Posté(e)

Triste nouvelle ce jour.

En ouvrant la boite aux lettres, nous découvrons...notre dossier retourné par le BIQ. :crying: :crying:

Motif invoqué : manque les preuves de cotisations sociales. Nous avions pourtant fournis nos derniers bulletins de salaires et nos 4 derniers avis d'imposition...

Bref, un coup derrière la tête à une période pas vraiment heureuse...

Ce qui nous rassure, c'est qu'il s'agit d'un document manquant et non pas d'un refus catégorique de notre dossier. :blink2:

Nous allons vite faire le nécessaire et renvoyer le tout cette semaine.

Trois mois de perdus. :crying: Comme quoi : immigrer se mérite.

Allez, zou ! On y retourne !

Posté(e)

Info du jour :

Contact pris avec le BIQ pour faire le point sur notre situation.

Il manquait trop d'éléments pour justifier de la légalité de notre expérience professionnelle.

Il faut donc, pour remédier à tout cela :

1) Envoyer notre relevé de carrière (à demander en ligne sur le site de la sécu : https://www.lassuranceretraite.fr/cs/Satellite/PUBPrincipale/Salaries/Droits-Cas-Par-Cas-Salaries/En-Cas-Activites-France-Etranger/Releve-Carriere-Activites-Etranger?packedargs=null)

2) Joindre nos 5 derniers avis d'imposition et nos 3 dernières fiches de paye (ce que nous avions fait, mais il nous manquait l'avis d'imposition de 2008)

Un courrier expliquant les documents manquants devrait permettre de faciliter la compréhension de notre situation.

L'agent contacté a précisé de joindre "toutes les preuves possibles permettant de démontrer la validité de notre expérience professionnelle"

3) Par ricochet, le montant des frais change et devient celui mentionné au titre de l'année 2013 (750$CAD pour le requérant principal et 160$CAD pour le conjoint et pour chaque enfant)

4) le formulaire de DCSQ reste inchangé. Pas besoin de le refaire.

A savoir : le renvoi global du dossier pour documents manquants fait repartir notre demande de zéro. C'est comme si nous n'avions jamais envoyé de dossier. Ce dernier sera traité comme les autres, par date chronologique d'arrivée.

3 mois de perdus pour nous.

Posté(e)

C'est vraiment fatiguant de devoir tout recommencer et attendre la suite. Nous comptons expédier notre dossier dans cette semaine, mais je me pose une question: où doit-on expédier notre demande? est-ce au bureau d'immigration du québec à paris ou est-ce à cette adresse:

Direction de l’immigration économique – International

Service Europe de l’Ouest, Afrique subsaharienne, Maghreb
285, rue Notre-Dame Ouest, 4e étage
Montréal (Québec) H2Y 1T8 CANADA
Nous sommes sur paris
Posté(e)

Dossier à envoyer à l'adresse que tu as donnée à Montréal.

  • Habitués
Posté(e)

2) Joindre nos 5 derniers avis d'imposition et nos 3 dernières fiches de paye (ce que nous avions fait, mais il nous manquait l'avis d'imposition de 2008)

Sachant qu'en France la durée de conservation des avis d'imposition est de 3 ans... Et sachant également que j'ai fait un ménage par le vide fin 2011, je vous laisse deviner la suite...

Je pense effectivement qu'une lettre explicative devrait faire la blague. Heureusement que j'avais scanné l'avis de 2008, peut-être qu'ils pourront s'en contenter ?

1) Envoyer notre relevé de carrière (à demander en ligne sur le site de la sécu : https://www.lassuran...packedargs=null)

Est-ce que ce relevé de carrière fait office de preuve de cotisations sociales ?

Bon courage en tout cas et merci pour toutes ces précieuses informations :)

Posté(e)

@ lorelai : j'espère que ton avis d'imposition scanné fera l'affaire. Avec un courrier d'accompagnement, ça devrait aller.

De ce que j'ai pu comprendre de l'agent du BIQ et de ce que j'ai pu lire ici, ce relevé peut faire office de preuve de cotisations sociales.

Posté(e)

Info du jour : Nouveau dépôt de notre DCSQ ce jour.

1.5 kilos de documents envoyés via chronopost (77Euros :crying: ) !!

Nous avons fait ,selon nous, le maximum pour rentrer dans les clous, en ajoutant à nos précédents documents notre relevé de carrière, la copie de notre avis d'impôts sur le revenu de 2007 ainsi que toutes nos fiches de paye depuis janvier 2007 à ce jour. :blink2: :blink2:

Maintenant, ça ne dépend plus de nous.

  • Habitués
Posté(e)

Info du jour : Nouveau dépôt de notre DCSQ ce jour.

1.5 kilos de documents envoyés via chronopost (77Euros :crying: ) !!

Nous avons fait ,selon nous, le maximum pour rentrer dans les clous, en ajoutant à nos précédents documents notre relevé de carrière, la copie de notre avis d'impôts sur le revenu de 2007 ainsi que toutes nos fiches de paye depuis janvier 2007 à ce jour. :blink2: :blink2:

Maintenant, ça ne dépend plus de nous.

Je croise les doigts pour vous.

Courage.

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