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L'état du français à Montréal inquiète le PQ


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Oui c'est bien de préciser qu'ici au Québec on parle québecois! En admettant ce fait, on doit admettre également que le parlé québecois est une version massacrée du français! C'est oui ou non?

Juste une petite anecdote. Il y a deux semaines, on était entre amis au café. Lors de nos discussions (intéresssantes :cool: ), il était arrivé qu'on voulait essayer de déchiffrer qques phrases en québecois! Et Paff! Un de mes amis (4ans en France et 7ans au Québec) nous dit que la "langue" québecoise est la plus belle langue au monde. Un autre rétorque, "mais comment ça"? Il répond qu'il n'y a aucune "règle" et que tu peux dire n'importe quoi et ça "communique".

Ne le prenez pas comme une moquerie, et me dites pas de décrisser :biggrin2:

Ne me fais pas dire ce que je n'ai pas dit! Lorsque j'utilise l'expression "en québécois", je veux dire "en mode" au sens de "style québécois". Le québécois est une variété nationale (ou régionale si tu préfères) du français. Une variété éloignée du français international standard mais du français quand même. D'autres pensent que le français québécois est si éloigné du français standard qu'il constitue en soi une langue différente. En réalité, ce n'est qu'à l'expression orale qu'il "s'entend" distinctement car, à l'écrit, nous partageons les mêmes règles grammaticales.

Ton copain français est complètement dans le champ en suggérant qu'il n'y ait aucune règle. :rolleyes: Il y a un bon usage de la langue, une norme québécoise et des usages fautifs et décriés en français québécois. Vous avez trop souvent la manie de tout mettre dans le même panier. Par exemple, l'expression "icitte" du registre populaire est considérée vicieuse et à éviter. Son utilisation n'est pas souhaitable selon notre norme québécoise du bon usage et je constate que plusieurs Français s'amusent à l'utiliser alors que collectivement nous l'avons combattue....

Et sur cette notion très subjective de la qualité de la langue:

Au Québec, en matière d’usages et de norme, il est devenu habituel de parler de « qualité de la langue ». Selon Daneš (1987, p. 455), l’expression même de « qualité de la langue » est un concept québécois; elle n’est pas consignée dans les dictionnaires français. Ce serait le linguiste Jean-Denis Gendron qui, à la fin des années 1960, aurait utilisé cette expression pour la première fois. Paradoxalement, ce concept demeure vague. En général, la notion de « qualité » est définie à partir de critères positifs (degré élevé d’une échelle de valeurs); au contraire, la « qualité de la langue », au Québec, est perçue d’une manière négative et renvoie le plus souvent à des textes qui en seraient dépourvus. De même, la notion de « maîtrise de la langue » fait essentiellement référence à la « connaissance », à la « formation » de base en français. Et elle est le plus souvent qualifiée de « minimale », de « satisfaisante » ou d’« insatisfaisante ».

À l’instar des notions de « culture » et de « qualité de vie », on conçoit bien que la notion de « qualité de la langue » regroupe des éléments difficilement mesurables. Le sens de cette expression diffère aussi beaucoup selon les personnes. Certains y voient un élément de perfection, un idéal à atteindre, une parfaite conformité avec les différentes conventions linguistiques établies dans le français de France. D’autres la situent dans un cadre fonctionnel, qui tient compte de la situation de communication et du public visé. D’autres encore y ajoutent des éléments d’efficacité de la communication (lisibilité). D’autres enfin insistent sur l’importance de la notion de variation linguistique, c'est-à-dire sur l’existence de plusieurs normes sociales dans la communauté linguistique, incluant une norme québécoise dominante.

Pour nous, la « qualité de la langue au Québec » devrait équivaloir à la notion de « bon usage », lequel devrait être défini comme la norme du français au Québec, soit l’ensemble des règles qu’il faut respecter pour bien parler et bien écrire le français au Québec, selon les divers types de communication et le public visé.

En ce qui a trait à la langue écrite, la définition de la qualité de la langue présente deux difficultés majeures :

- d’une part, le « modèle » auquel renvoie obligatoirement le « bon » usage de la langue écrite n’est pas encore décrit. Pourtant, il y a un consensus sur certains écarts entre la norme française et la norme québécoise, comme la féminisation de certains titres (la forme directrice est acceptée et fréquente au Québec, alors qu’en France, on emploie plutôt la forme masculine, directeur). Il en va de même des équivalents français à divers anglicismes en usage en France (désodorisant en bâton fait partie du bon usage au Québec plutôt que désodorisant en stick).

- d’autre part, comme le modèle a pour fondement social l’autorité de certaines personnes (en général, les écrivains) ou de certaines institutions (comme l’Académie française, en France), aucune autorité au Québec n’est en mesure pour moment de jouer ce rôle «normatif» à l’égard de notre langue. Nos écrivains, à cause, entre autres, de l’emploi du joual dans leurs textes, ne peuvent acquérir ce prestige social et l’Office de la langue française n’intervient pas dans la langue générale.

Pour ce qui est de la langue orale, un «modèle» de bonne prononciation du français du Québec, fait consensus aujourd’hui chez les Québécois. À titre d’exemple, l’Association québécoise des professeurs et professeures de français à approuvé et reconnu officiellement le modèle articulatoire des annonceurs de Radio-Canada. De plus, ce modèle a fait l’objet de plusieurs descriptions, dont celle principalement de Jean-Denis Gendron (1960, 1968, 1983).

http://agora.qc.ca/f...jolet-Laganiere

Je suis tout à fait d'accord avec ce que tu disais à propos du québecois et du bon usage de certaines expressions! Je l'ai dit un peu dans ma réponse à Jimmy! Et pis pour la petite anecdote que j'ai racontée, ça veut pas dire que je la partage ; je voulais juste partager avec vous une opinion "extérieure"! Donc le problème n'est pas là!

Voilà plus clairement mon point de vue : c'est que l'utilisation au quotidien du québecois parlé a bcoup influé sur le français (au Québec).

Voici un exemple que j'ai pu lire sur une affiche (donc note d'info):

- (... au personnes présentent...). Est-ce du français québecois, ça?

Ou une phrase que j'entends très souvent :

- (... mais viens t'assir...)

  • Habitués
Posté(e)

Je suis tout à fait d'accord avec ce que tu disais à propos du québecois et du bon usage de certaines expressions! Je l'ai dit un peu dans ma réponse à Jimmy! Et pis pour la petite anecdote que j'ai racontée, ça veut pas dire que je la partage ; je voulais juste partager avec vous une opinion "extérieure"! Donc le problème n'est pas là!

Voilà plus clairement mon point de vue : c'est que l'utilisation au quotidien du québecois parlé a bcoup influé sur le français (au Québec).

Voici un exemple que j'ai pu lire sur une affiche (donc note d'info):

- (... au personnes présentent...). Est-ce du français québecois, ça? Non. C'est du français mal orthographié.

Ou une phrase que j'entends très souvent :

- (... mais viens t'assir...) Un exemple d'utilisation d'une forme ancienne de français qui a persisté au Québec. L'origine de la conjugaison en "ir" du verbe assoir (ou asseoir...).

Voici ce qu'en dit des universitaires acadiens:

ASSIR. Asseoir. Voici un verbe dont la conjugaison académique est un véritable gâchis. Nous le conjuguons régulièrement, en Acadie comme il devrait l'être, et comme les anciens le conjuguaient: Je m'assis; assisez-vous; il s'assira: «Assisez-vous sur cette molle couche», nous dit Ronsard, (Amours, t. I, p. 218), et Régnier, (Satires); «Puis, sans qu'on les y convie... / S'assirent, en prelats, les premiers»; «Ils s'assirent sur les nattes», (SAGARD, 423).

Rabelais, (Gargantua): «Mais si en cest habit je m'assis à table, je boiray, par Dieu»; «Assiez-vous donc là», dit un personnage de l'Ancien Théâtre français, (t. VIII, p. 425) et Thomas Corneille: «Je m'assis; tu t'assis»; Vauvenargues conjugue au futur: «Il s'assira» et aussi Ronsard ([Églogues], «Églogue III»). Je pourrais citer beaucoup d'autres exemples pris dans les meilleurs auteurs. Perceval, par exemple: «Ils s'assirent quelque petit».

Nous disons: tu t'assisis; l'ancien français avait: tu assésis. La Bruyère emploie le plus souvent il s'assit, quoiqu'il écrive aussi il s'assied.

En voilà assez pour réhabiliter la manière acadienne et canadienne de conjuguer ce verbe. Assoir est normand.

Sur l'infinitif assir a été formé le mot très français assises.

Et tiré de la banque de dépannage linguistique de l'OQLF:

Au Québec, un autre radical, assi-, est encore largement répandu. Par exemple, le présent de l’indicatif est souvent conjugué : je m’assis, tu t’assis, … ils s’assisent et à l’impératif, on entend les formes assis-toi, assisons-nous, assisez-vous. Si ce radical n’est plus admis dans l’usage neutre ou soigné actuel en français, ce ne fut pas toujours le cas cependant. Cette conjugaison correspondait à un infinitif assire, du latin *assidere, contrairement à asseoir qui remonterait à une forme *assedere. Assire est consigné dans les dictionnaires de moyen français et on en trouve de nombreuses attestations chez les grands auteurs du XVIe siècle. On peut citer, entre autres, Ronsard : Où fuis-tu, mon Angelette…? Assy-toy sur mes genoux;Rabelais : Si en cest habit je m’assys à table, je boiray, par dieu, et à toy et à ton cheval;ou encore La Bruyère : il s’assit, il se repose, il est chez soi. L’hésitation entre ce radical et les formes actuelles du verbe avait d’ailleurs fait l’objet de discussions à l’Académie française du temps de Vaugelas. Comme ce flottement dans l’usage avait cours à l’époque de la colonisation de la Nouvelle-France, cela explique que les Canadiens, dont les ancêtres quittèrent la France au même moment, aient conservé aussi vivant cet usage aujourd’hui senti comme étant nettement populaire en France.

On peut donc accabler les Québécois "parleux de vieux français" .... :sleep: tout en se rappelant que cela constitue un jugement normatif.

Ce que j'ai grasseyé me semble être un raisonnement à la mords-moi la queue. Le français en usage au Québec n'a cessé d'évoluer et de se différencier du français en usage en France. C'est ainsi depuis le début de la colonisation et pour une foule de raisons. Il est devenu du français québécois dans toute sa spécificité dont notamment l'utilisation massive de nombreux anglicismes et la persistance de mots et d'expressions issus du fond populaire (vieux français).

Posté(e)

Décidément, on apprend des choses sur le français au Québec :blush2:

  • Habitués
Posté(e)

Bonjour, ce que je trouve regrettable c'est qu'au Québec un organisme s'emploie à traduire des mots ou des expressions anglaises ( courriel, pouriel... Les 2 premiers qui viennent à l'esprit) et que ces mots ne sont même pas utiliser en France.

On a même vu sur ce forum, une virulente charge dénonçant l'utilisation ridicule du non moins ridicule mot "courriel" alors que "e-mail" ou simplement "mail" font très bien l'affaire.

Tiens, juste comme ça, un mot que tu n'entendras jamais au Québec même s'il est largement utilisé partout en Europe c'est "ferry-boat". Avec un trait d'union c'est un terme françisé (ferryboat en anglais) alors que depuis la fin du XIXe siècle nous utilisons le mot "traversier".

  • Habitués
Posté(e)
On a même vu sur ce forum, une virulente charge dénonçant l'utilisation ridicule du non moins ridicule mot "courriel" alors que "e-mail" ou simplement "mail" font très bien l'affaire.

Tiens, juste comme ça, un mot que tu n'entendras jamais au Québec même s'il est largement utilisé partout en Europe c'est "ferry-boat". Avec un trait d'union c'est un terme françisé (ferryboat en anglais) alors que depuis la fin du XIXe siècle nous utilisons le mot "traversier".

Au lieu de se cacher derrière le prétexte des anglicismes, il serait bon que les gens maîtrisent les régles de base du français (Grammaire, orthographe...). Et ça ce n'est pas gagné au Québec :rolleyes:

  • Habitués
Posté(e)

Bonjour, ce que je trouve regrettable c'est qu'au Québec un organisme s'emploie à traduire des mots ou des expressions anglaises ( courriel, pouriel... Les 2 premiers qui viennent à l'esprit) et que ces mots ne sont même pas utiliser en France.

Attends peu, si je comprend bien, on ne devrait pas traduire une expression anglaise si elle n'est pas utiliser en France ? Donc seule la France selon toi, a le droit d'ajouter des nouveaux mots c'est ça ?

Posté(e)

Non c'est pas ça! Il aimerait que ces traductions faites au Québec soient introduites également en France!

  • Habitués
Posté(e)

On a même vu sur ce forum, une virulente charge dénonçant l'utilisation ridicule du non moins ridicule mot "courriel" alors que "e-mail" ou simplement "mail" font très bien l'affaire.

Tiens, juste comme ça, un mot que tu n'entendras jamais au Québec même s'il est largement utilisé partout en Europe c'est "ferry-boat". Avec un trait d'union c'est un terme françisé (ferryboat en anglais) alors que depuis la fin du XIXe siècle nous utilisons le mot "traversier".

Au lieu de se cacher derrière le prétexte des anglicismes, il serait bon que les gens maîtrisent les régles de base du français (Grammaire, orthographe...). Et ça ce n'est pas gagné au Québec :rolleyes:

Pourquoi ??? Non mais franchement pourquoi ?

En France c'est super important et je comprend, mais ici nous avons d'autres valeurs. Je ne comprend pas cette obstination, cette fixation sur la qualité de la langue. Je vais vous emmenner discuter avec ma grand-mère et mes vieux oncles, ils sont pratiquement illettrés, mais leur language est coloré, riche et unique ! Et je ne me mettrai pas à dire que c'est une honte, mais non j'en suis fier et c'est eux qui m'ont apprit à parler. Et c'est eux et mes ancêtres qui ont conservé cette langue si mal parlée soit-elle.

Un peu de respect ne vous ferait pas de tort !!!

  • Habitués
Posté(e)
Pourquoi ??? Non mais franchement pourquoi ?

En France c'est super important et je comprend, mais ici nous avons d'autres valeurs. Je ne comprend pas cette obstination, cette fixation sur la qualité de la langue.

Tu a réson. nos valleur c'és la libertè 2 parllé nímpaurte comant :lol: iu tu la met lo terapi toé. Chy po la né.

Viens pas dire que tu veux que l'on parle français au Québec si c'est pour parler n'importe comment ;)

  • Habitués
Posté(e)

Autant retirer les enfants des écoles alors... A quoi bon vouloir une education de qualité pour construire une société solide, pas besoin mettons les chez nos grands parents illettrés!! La société ne sera que meilleur, moins de dépenses, plus de soucis avec l'instruction, bref une société bloquée dans un immobilisme économique et social, une société pauvre!

Parfois je me demande comment certains peuvent aspirer à la médiocrité au lieu de vouloir s'améliorer pour avancer!

  • Habitués
Posté(e)

Non non je dit que puisqu'un organisme trouve des traductions de mots anglais pourquoi la France n'utilise pas ces nouveaux mots dans sa langue.

  • Habitués
Posté(e)

On a même vu sur ce forum, une virulente charge dénonçant l'utilisation ridicule du non moins ridicule mot "courriel" alors que "e-mail" ou simplement "mail" font très bien l'affaire.

Tiens, juste comme ça, un mot que tu n'entendras jamais au Québec même s'il est largement utilisé partout en Europe c'est "ferry-boat". Avec un trait d'union c'est un terme françisé (ferryboat en anglais) alors que depuis la fin du XIXe siècle nous utilisons le mot "traversier".

Au lieu de se cacher derrière le prétexte des anglicismes, il serait bon que les gens maîtrisent les régles de base du français (Grammaire, orthographe...). Et ça ce n'est pas gagné au Québec :rolleyes:

Pourquoi ??? Non mais franchement pourquoi ?

En France c'est super important et je comprend, mais ici nous avons d'autres valeurs. Je ne comprend pas cette obstination, cette fixation sur la qualité de la langue. Je vais vous emmenner discuter avec ma grand-mère et mes vieux oncles, ils sont pratiquement illettrés, mais leur language est coloré, riche et unique ! Et je ne me mettrai pas à dire que c'est une honte, mais non j'en suis fier et c'est eux qui m'ont apprit à parler. Et c'est eux et mes ancêtres qui ont conservé cette langue si mal parlée soit-elle.

Un peu de respect ne vous ferait pas de tort !!!

Exactement...et c'est ca qui me ch**r dans toute cette discussion.

Cet espèce de petit ton supérieur et méprisant lorsque certains parle de la langue Québécoise.

Cette langue Québécoise est très jolie, colorée, imagée et fait parti de notre patrimoine.

La question, et c'est ce que je défend depuis le début, c'est vous êtes qui pour dire que cette langue est bien ou pas bien ?

Vous êtes qui pour juger, vous êtes dieu ?

Ben non vous êtes des petits êtres mesquins qui sont tellement fier de pouvoir ch**r sur un autre peuple.

Étant donné que la France est la gardienne du bon parlé francais, vous trouvez dans la parlure Québécoise une magnifique occasion de montrer que votre kékette est plus longue et plus grosse.

jimmy

jimmy

  • Habitués
Posté(e)
Exactement...et c'est ca qui me ch**r dans toute cette discussion.

Cet espèce de petit ton supérieur et méprisant lorsque certains parle parlent de la langue Québécoise québécoise.

Cette langue Québécoise québécoise est très jolie, colorée, imagée et fait parti de notre patrimoine.

La question, et c'est ce que je défend défends depuis le début, c'est vous êtes qui pour dire que cette langue est bien ou pas bien ?

Vous êtes qui pour juger, vous êtes dieu Dieu?

Ben non vous êtes des petits êtres mesquins qui sont tellement fier fiers de pouvoir ch**r sur un autre peuple.

Étant donné que la France est la gardienne du bon parlé francais français, vous trouvez dans la parlure Québécoise québécoise une magnifique occasion de montrer que votre kékette est plus longue et plus grosse.

jimmy

La langue québécoise n'existe pas. Pas plus que le Québec est un pays.

  • Habitués
Posté(e)

Pourquoi ??? Non mais franchement pourquoi ?

En France c'est super important et je comprend, mais ici nous avons d'autres valeurs. Je ne comprend pas cette obstination, cette fixation sur la qualité de la langue.

Tu a réson. nos valleur c'és la libertè 2 parllé nímpaurte comant :laugh: iu tu la met lo terapi toé. Chy po la né.

Viens pas dire que tu veux que l'on parle français au Québec si c'est pour parler n'importe comment :wink:

Quelle arrogance, quel irrespect, quel manque d'ouverture !

Eric70 a raison, une langue s'enrichit de son passé et de son histoire. Elle a du sens. Elle s'est construite au fil du temps. Elle est force de vécu, de sensibilité, de valeurs. Et cela est aussi important que le français dont tu te crois représentatif et expert.

Mais, pas sûre que tu sois apte à en comprendre les subtilités, vu ton étroitesse d'esprit !

Cela explique aussi tes différentes interventions sur ce site où la critique et le rejet semblent être ton seul "carburant". C'est triste d'en arriver là !

  • Habitués
Posté(e)

Exactement...et c'est ca qui me ch**r dans toute cette discussion.

Cet espèce de petit ton supérieur et méprisant lorsque certains parle parlent de la langue Québécoise québécoise.

Cette langue Québécoise québécoise est très jolie, colorée, imagée et fait parti de notre patrimoine.

La question, et c'est ce que je défend défends depuis le début, c'est vous êtes qui pour dire que cette langue est bien ou pas bien ?

Vous êtes qui pour juger, vous êtes dieu Dieu?

Ben non vous êtes des petits êtres mesquins qui sont tellement fier fiers de pouvoir ch**r sur un autre peuple.

Étant donné que la France est la gardienne du bon parlé francais français, vous trouvez dans la parlure Québécoise québécoise une magnifique occasion de montrer que votre kékette est plus longue et plus grosse.

jimmy

La langue québécoise n'existe pas. Pas plus que le Québec est un pays.

Woooooh, elle doit être grosse en ostie la tienne

jimmy

  • Habitués
Posté(e)
Woooooh, elle doit être grosse en ostie la tienne

jimmy

Que ce soit en français de France ou en français du Québec, ta faible maîtrise de la langue avec ses innombrables fautes de grammaire et d'orthographe est un affaiblissement de la langue. Avant de pointer du doigt les autres, remets-toi en cause. Le problème du français à Montréal vient de là. Nulle part ailleurs.

  • Habitués
Posté(e)

Exactement...et c'est ca qui me ch**r dans toute cette discussion.

Cet espèce de petit ton supérieur et méprisant lorsque certains parle parlent de la langue Québécoise québécoise.

Cette langue Québécoise québécoise est très jolie, colorée, imagée et fait parti de notre patrimoine.

La question, et c'est ce que je défend défends depuis le début, c'est vous êtes qui pour dire que cette langue est bien ou pas bien ?

Vous êtes qui pour juger, vous êtes dieu Dieu?

Ben non vous êtes des petits êtres mesquins qui sont tellement fier fiers de pouvoir ch**r sur un autre peuple.

Étant donné que la France est la gardienne du bon parlé francais français, vous trouvez dans la parlure Québécoise québécoise une magnifique occasion de montrer que votre kékette est plus longue et plus grosse.

jimmy

La langue québécoise n'existe pas. Pas plus que le Québec est un pays.

Woooooh, elle doit être grosse en ostie la tienne

jimmy

En proportion inverse de ce qui est supposé se trouver un peu plus haut...

  • Habitués
Posté(e) (modifié)
Woooooh, elle doit être grosse en ostie la tienne

jimmy

En proportion inverse de ce qui est supposé se trouver un peu plus haut...

Je dirais plutôt que QuebecCa/CapitaineCaverne a une mini kékette... le reste n'est que de diarrhée verbale pitoyable et arguments trollesques de la part de celui-ci. :biggrin2:

Mes arguments font mouche car ils sont justes et reflétent parfaitement la réalité. Il ne vous reste plus que les attaques personnelles comme argument :smile: C'est presque un plaisir de lire ce genre de réponses :laugh:

Modifié par QuebecCa
  • Habitués
Posté(e)

On a même vu sur ce forum, une virulente charge dénonçant l'utilisation ridicule du non moins ridicule mot "courriel" alors que "e-mail" ou simplement "mail" font très bien l'affaire.

Tiens, juste comme ça, un mot que tu n'entendras jamais au Québec même s'il est largement utilisé partout en Europe c'est "ferry-boat". Avec un trait d'union c'est un terme françisé (ferryboat en anglais) alors que depuis la fin du XIXe siècle nous utilisons le mot "traversier".

Au lieu de se cacher derrière le prétexte des anglicismes, il serait bon que les gens maîtrisent les régles de base du français (Grammaire, orthographe...). Et ça ce n'est pas gagné au Québec :rolleyes:

Pourquoi ??? Non mais franchement pourquoi ?

En France c'est super important et je comprend, mais ici nous avons d'autres valeurs. Je ne comprend pas cette obstination, cette fixation sur la qualité de la langue. Je vais vous emmenner discuter avec ma grand-mère et mes vieux oncles, ils sont pratiquement illettrés, mais leur language est coloré, riche et unique ! Et je ne me mettrai pas à dire que c'est une honte, mais non j'en suis fier et c'est eux qui m'ont apprit à parler. Et c'est eux et mes ancêtres qui ont conservé cette langue si mal parlée soit-elle.

Un peu de respect ne vous ferait pas de tort !!!

Éric, un troll comme QuébecCa aime semer la confusion et réussit parfois à nous confondre avec ses équations aussi simplistes que fausses:Parler québécois = mal parler, ou encore, suggérer que la maîtrise du français écrit est extraordinairement déficiente, comme s'il n'y avait qu'au Québec où ce phénomène est observé, comme si le Québec traînait de la patte loin derrière les autres pays (je n'ose pas dire la France.... :sleep: ) Que veux-tu, il préfère se bercer d'illusions, sans doute que cela lui fait du bien et le conforte de penser que la France domine le tableau, comme si cela constituait une quelconque marque de supériorité.

Quelle fierté y'a t-il à présumément mieux maîtriser le français oral et écrit alors que l'on est Français, natifs du pays qui a vu naître la civilisation française? Quelle fierté et quel contentement individuel peut-il y avoir à se comparer aux petits Québécois de laine qui vivent au sein d'une colonie anglaise depuis 250 ans et qui malgré tout persiste à vouloir vivre en français? Notre attachement à la langue française, depuis belle lurette nous le crions sur tous les toits et ne recevons que sarcasmes et mépris de la part des trolls comme QuébecCA et juetben. De quelques autres aussi....

En fait, je suis blasée des commentaires à la con des trolls qui prennent plaisir à discréditer, désinformer, rabaisser, railler, mais bon, cela me donne aussi l'occasion de rectifier les faits, de renseigner ceux et celles qui démontrent autre chose qu'un esprit étroit et outrancier en mal de valorisation. Si cela ne fait pas pitié d'en arriver là... :sad:

Alors non, la France n'a pas (n'a plus) le monopole du bon parler. La langue française appartient à ses locuteurs et nous sommes assez grands, assez différents et assez matures en tant que société pour développer notre propre norme et nos propres règles du bon usage du français québécois.

  • Habitués
Posté(e)

Autant retirer les enfants des écoles alors... A quoi bon vouloir une education de qualité pour construire une société solide, pas besoin mettons les chez nos grands parents illettrés!! La société ne sera que meilleur, moins de dépenses, plus de soucis avec l'instruction, bref une société bloquée dans un immobilisme économique et social, une société pauvre!

:innocent: Je ne sais pas de quoi tu parles... le Québec a une éducation de qualité et la preuve de ça c'est que les élèves québécois ont des résultats supérieurs aux élèves français aux tests PISA de l'OCDE. Société pauvre ??? Le Québec a un niveau de vie supérieur à celui de la France ! Bref tu dis n'importe quoi !

Il parle à travers son chapeau. Les trolls aiment provoquer, dire n'importe quoi sans aucune objectivité.

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