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Les immigrants doivent mieux gagner leur vie


Laurent

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Étude | Immigration

Les immigrants doivent mieux gagner leur vie

Isabelle Maher

17/05/2011 06h32

Le gouvernement canadien doit revoir son processus de sélection des immigrants de façon à ce que ceux-ci intègrent mieux le marché du travail et allègent le fardeau fiscal, suggère une étude de l'Institut Fraser.

Depuis 20 ans, près d'un quart de million d'immigrants entre au pays chaque année. Les effets de cette immigration ne représentent pas les bénéfices économiques escomptés avancent deux chercheurs de l'Institut Fraser.

«Selon nos calculs, le revenu des immigrants est en moyenne de 6 051 $ inférieur à celui des autres Canadiens, ce qui fait que les immigrants paient moins d'impôt sur le revenu», explique l'économiste Patrick Grady, co-auteur de l'étude.

Selon les données de l'étude menée à partir des chiffres de Statistique Canada de 2006, les immigrants gagneraient en moyenne 72 % du revenu de celui des autres Canadiens et paieraient un peu plus de la moitié de l'impôt que paient les autres canadiens. Cette différence représenterait un coût total estimé pouvant aller jusqu'à 23,6 milliards $ chaque année.

Cette situation est essentiellement attribuable à une mauvaise connaissance du marché de l'emploi, croit Patrick Grady. «Le gouvernement ne sait pas ce que les employeurs veulent et ce dont ils ont besoin. Il doit choisir les immigrants en fonction de l'emploi pour leur permettre de gagner assez et de payer des impôts», soutient l'économiste. Pour les chercheurs, il est urgent de repenser l'immigration au Canada de façon à pouvoir faire face aux défis futurs liés notamment au vieillissement.

«Personne ne regarde la contribution économique des immigrants, mais si nous ne voulons pas alourdir davantage notre fardeau fiscal et voir hausser nos impôts, il faut que les immigrants arrivent à gagner assez», insiste-t-il.

La situation s'améliore après 20 ans

Selon les chercheurs, présentement les personnes issues de l'immigration ne gagnent pas suffisamment pour financer leurs propres dépenses en santé et en pension de vieillesse.

«Notre immigration nous coûte trop cher et ne rapporte pas assez», résume Patrick Grady.

Fait à noter, l'étude démontre clairement qu'après plus de 20 ans au pays, le taux de citoyens issus de l'immigration ayant un faible revenu est de 13 %, soit exactement le même taux observé chez les Canadiens d'origine.

Les auteurs recommandent tout de même de faire pression sur les nouveaux immigrants pour qu'ils arrivent rapidement à intégrer le marché de l'emploi.

Ils proposent notamment que les immigrants reçoivent des visas de travail temporaires qui leur seraient retirés en cas de perte d'emploi si les nouveaux arrivants ne réintègrent pas le marché de l'emploi à l'intérieur d'une période de trois mois. «C'est une idée que nous souhaitons mettre sur la table afin d'en discuter, plaide le chercheur. Le temps passe et il faut proposer de nouvelles solutions», résume-t-il.

L'immigration en chiffres

3,9 millions d'immigrants sont entrés au Canada entre 1987 et 2004

Un immigrant gagne en moyenne 72% du salaire des autres canadiens

Comparaison des salaires

25 396 $ : Salaire moyen des immigrants

35 057 $ : Salaire moyen des canadiens

Pourcentage d'immigrants à faible revenu

36 % : 5 ans après leur arrivée

13 % : 20 ans après leur arrivée

Source : Institut Fraser - Immigration and the Canadian welfare state

source :

http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2011/05/20110517-063201.html

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  • Habitués

La faute a qui ? En arrivant ici, les immigrants ne demandent qu'une chose, travailler dans leurs domaines, mais malheureusement pour certains (une grosse partie), le passage "jobine" est obligatoire et bien entendu pas vraiment bien payé. Je sais, on doit faire nos preuves c'est normal, mais nous comparer a des canadiens pur souche, c'est un peu perdu d'avance non ? Et si les immigrants ne sont plus utiles, fermez les vannes La remarque a retenir est qu'au bout de 20 ANS notre différence est gommée. Courage les amis 20 ANS c'est pas si long !!!!biggrin.gif

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  • Habitués

Puis, je me demande... qu'est-ce qu'on fait avec les Canadiens de souche à faible revenu?

Ne croyez pas que la pauvrété au Canada est exclusive des immigrants!

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  • Habitués

De toute façon, c'est l'Institut Fraser, alors...

Pour ceux qui lisent l'anglais, ça vaut la peine de prendre connaissance de l'étude en question (téléchargeable avec le lien ci-après) et des propositions "édifiantes" de ces messieurs !

http://www.fraserinstitute.org/research-news/display.aspx?id=17546

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  • Habitués

De toute façon, c'est l'Institut Fraser, alors...

exactement ca vaut meme pas le papier sur lequel c'est imprimer.

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  • Habitués

Tiens il me semblait (selon certains ici) que c'était UNIQUEMENT au Québec que les immigrants étaient maltraité !

L'Institut Fraser parle du Canada au complet, non ?

jimmy

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  • Habitués

Puis, je me demande... qu'est-ce qu'on fait avec les Canadiens de souche à faible revenu?

Ne croyez pas que la pauvrété au Canada est exclusive des immigrants!

Pour ces gens-là, c'est pas compliqué. Comme c'est trop difficile d'éliminer la pauvreté, y'a qu'à éliminer les pauvres... :innocent:

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  • Habitués

La question soulevée est très intéressante. Personne ne gagne à ce qu'il y'ait de plus en plus d'immigrants sans travail ou sous-employés. Les immigrés sont d'ailleurs les premiers perdants.

Par contre la solution proposée par ces "chercheurs" ??? est à la fois intellectuellement pauvre et socialement désastreuse. Une immigration "jettable" !!! C'est bien de cela qu'il s'agit : on les prend tant qu'on en a besoin et on les jette quand on n'en veut plus.

Ils faut rappeler à ces "chercheurs" ??? que c'est des vies humaines qui sont en cause là, pas des objets !!! Faites bien votre sélection c'est tout !!! Surtout vu le prix qu'on paye !!! Informez les gens aussi, enfin ...de façon sincère, pas la pub !!!

Modifié par marko33
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  • Habitués

" Le gouvernement canadien doit revoir son processus de sélection des immigrants de façon à ce que ceux-ci intègrent mieux le marché du travail et allègent le fardeau fiscal, suggère une étude de l'Institut Fraser.

Depuis 20 ans, près d'un quart de million d'immigrants entre au pays chaque année. Les effets de cette immigration ne représentent pas les bénéfices économiques escomptés avancent deux chercheurs de l'Institut Fraser.

«Selon nos calculs, le revenu des immigrants est en moyenne de 6 051 $ inférieur à celui des autres Canadiens, ce qui fait que les immigrants paient moins d'impôt sur le revenu», explique l'économiste Patrick Grady, co-auteur de l'étude.

Selon les données de l'étude menée à partir des chiffres de Statistique Canada de 2006, les immigrants gagneraient en moyenne 72 % du revenu de celui des autres Canadiens et paieraient un peu plus de la moitié de l'impôt que paient les autres canadiens. Cette différence représenterait un coût total estimé pouvant aller jusqu'à 23,6 milliards $ chaque année.

Cette situation est essentiellement attribuable à une mauvaise connaissance du marché de l'emploi, croit Patrick Grady. «Le gouvernement ne sait pas ce que les employeurs veulent et ce dont ils ont besoin. Il doit choisir les immigrants en fonction de l'emploi pour leur permettre de gagner assez et de payer des impôts», soutient l'économiste. Pour les chercheurs, il est urgent de repenser l'immigration au Canada de façon à pouvoir faire face aux défis futurs liés notamment au vieillissement.

«Personne ne regarde la contribution économique des immigrants, mais si nous ne voulons pas alourdir davantage notre fardeau fiscal et voir hausser nos impôts, il faut que les immigrants arrivent à gagner assez», insiste-t-il.

La situation s'améliore après 20 ans

Selon les chercheurs, présentement les personnes issues de l'immigration ne gagnent pas suffisamment pour financer leurs propres dépenses en santé et en pension de vieillesse.

«Notre immigration nous coûte trop cher et ne rapporte pas assez», résume Patrick Grady.

Fait à noter, l'étude démontre clairement qu'après plus de 20 ans au pays, le taux de citoyens issus de l'immigration ayant un faible revenu est de 13 %, soit exactement le même taux observé chez les Canadiens d'origine.

Les auteurs recommandent tout de même de faire pression sur les nouveaux immigrants pour qu'ils arrivent rapidement à intégrer le marché de l'emploi.

Ils proposent notamment que les immigrants reçoivent des visas de travail temporaires qui leur seraient retirés en cas de perte d'emploi si les nouveaux arrivants ne réintègrent pas le marché de l'emploi à l'intérieur d'une période de trois mois. «C'est une idée que nous souhaitons mettre sur la table afin d'en discuter, plaide le chercheur. Le temps passe et il faut proposer de nouvelles solutions», résume-t-il.

L'immigration en chiffres

3,9 millions d'immigrants sont entrés au Canada entre 1987 et 2004

Un immigrant gagne en moyenne 72% du salaire des autres canadiens

Comparaison des salaires

25 396 $ : Salaire moyen des immigrants

35 057 $ : Salaire moyen des canadiens

Pourcentage d'immigrants à faible revenu

36 % : 5 ans après leur arrivée

13 % : 20 ans après leur arrivée

Source : Institut Fraser - Immigration and the Canadian welfare state "

La référence

Déjà, si un contrôle est mis à la frontière pour vérifier qu'ils arrivent bien avec la somme minimale requise, ce sera bien

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  • Habitués

ma foi, toutes ses enquêtes et ses chiffres me donnent juste le vertige! à mon avis, le problème d'intégration passe surtout par un système d'équivalence des diplômes fluide et dynamique, sinon ça serait toujours la même galère avec des immigrants qui s'installent chaque années au Québec avec des difficultés d'incarcération dans le marché du travail québecois et cela quelque soit le nombre de ses derniers! donc le problème majeur ne réside pas dans le nombre des nouveaux immigrants chaque année mais dans les permis de travail octroyés à ses immigrants justement par les différents ordres professionnels du Québec !

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  • Habitués

Les auteurs recommandent tout de même de faire pression sur les nouveaux immigrants pour qu'ils arrivent rapidement à intégrer le marché de l'emploi.

Ils proposent notamment que les immigrants reçoivent des visas de travail temporaires qui leur seraient retirés en cas de perte d'emploi si les nouveaux arrivants ne réintègrent pas le marché de l'emploi à l'intérieur d'une période de trois mois. «C'est une idée que nous souhaitons mettre sur la table afin d'en discuter, plaide le chercheur. Le temps passe et il faut proposer de nouvelles solutions», résume-t-il.

Donc, si je comprends bien, c'est uniquement la faute des immigrants s'ils ne trouvent pas du travail. Donc, il faut faire pression sur ces fautifs ... Et tant qu'à y être, les renvoyer chez eux s'ils ne se révèlent pas être des vaches à lait commodes qu'ils avaient promis d'être ...

Que font-ils, ces éminents économistes, des valeurs d'égalité et de solidarité entre citoyens qui fondent les sociétés canadiennes/québécoises? Connaissent-ils au moins la différence entre un RP et un travailleur étranger?

Décidément, les radio-poubelles doivent déteindre sur moi: j'adore de plus en plus les libertaaaaaaaaariens ... girl_devil.gif

Modifié par Kweli
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"" Ils proposent notamment que les immigrants reçoivent des visas de travail temporaires qui leur seraient retirés en cas de perte d'emploi si les nouveaux arrivants ne réintègrent pas le marché de l'emploi à l'intérieur d'une période de trois mois. «C'est une idée que nous souhaitons mettre sur la table afin d'en discuter, plaide le chercheur. Le temps passe et il faut proposer de nouvelles solutions», résume-t-il. ""

!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!????????????

On propose notamment d'ôter ce chercheur de son diplôme , de lui retirer tous ses droits de travail et encore ne réintégrera jamais le marché de l'emploi car il a mis déjà plus de trois mois de recherche sans qu'il ne trouve des solutions pour l'intégration et la rentabilisation ( l'exploitation) des nouveaux arrivants . ça reste une proposition car je ne pourrai jamais mettre cette idée sur la table afin d'en discuter ; je ne suis pas canadien . ( trois mois! même pas une chance pour se déchausser)

(que moi ) je lui dirai qu'un nouvel arrivant lui faut une prise en charge totale même psychologique et cela pour plus d'une année, le temps de voir défiler devant lui les quatre saisons, et de lui proposer ensuite des postes d'emploi selon ses " goûts" et ses compétences acquises dans son pays d'origine , si jamais cela ne marche pas il va falloir ajuster le marché du travail afin qu'il réponde aux besoins de ces immigrants dénichés dans les quatre coins du mondes si non c à lui le ( chercheur) de trouver une équation économique qui fera la joie de tout le monde en tenant compte que les nouveaux arrivants sont des êtres humains pas des machines (investissements) et ne sont pas encore des emballages perdus dont la durée de vie est de trois mois, doit savoir que l'échec leur en coûtera très cher et leurs en fera très mal, au lieu de continuer à croire qu'ils "devront mieux refaire leurs vies " en plus chez eux et puiser dans les réserves fiscales de leurs pays d'origine. "le pen" de France aime les immigrés chez eux, celui là les aime uniquement pour trois mois, c une amourette d'immigration choisie, ne dure pas longtemps.

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avec des difficultés d'incarcération

Euh ... D'insertion, ce sera moins violent :lol: . Pour ma part, je pense que c'est surtout la méfiance des employeurs québécois qu'il faut convaincre. tous les métiers n'ont pas d'ordre professionnel. Et c'est, je crois, ce que préconise l'économiste. Demander directement aux employeurs ce dont ils ont besoin et recentrer les choix en fonction de ces besoins. Dans cette optique, logiquement, les employeurs n'auraient plus de raisons de se plaindre de ne pas trouver leurs ressources.

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  • Habitués

"" Ils proposent notamment que les immigrants reçoivent des visas de travail temporaires qui leur seraient retirés en cas de perte d'emploi si les nouveaux arrivants ne réintègrent pas le marché de l'emploi à l'intérieur d'une période de trois mois. «C'est une idée que nous souhaitons mettre sur la table afin d'en discuter, plaide le chercheur. Le temps passe et il faut proposer de nouvelles solutions», résume-t-il. ""

!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!????????????

On propose notamment d'ôter ce chercheur de son diplôme , de lui retirer tous ses droits de travail et encore ne réintégrera jamais le marché de l'emploi car il a mis déjà plus de trois mois de recherche sans qu'il ne trouve des solutions pour l'intégration et la rentabilisation ( l'exploitation) des nouveaux arrivants . ça reste une proposition car je ne pourrai jamais mettre cette idée sur la table afin d'en discuter ; je ne suis pas canadien . ( trois mois! même pas une chance pour se déchausser)

(que moi ) je lui dirai qu'un nouvel arrivant lui faut une prise en charge totale même psychologique et cela pour plus d'une année, le temps de voir défiler devant lui les quatre saisons, et de lui proposer ensuite des postes d'emploi selon ses " goûts" et ses compétences acquises dans son pays d'origine , si jamais cela ne marche pas il va falloir ajuster le marché du travail afin qu'il réponde aux besoins de ces immigrants dénichés dans les quatre coins du mondes si non c à lui le ( chercheur) de trouver une équation économique qui fera la joie de tout le monde en tenant compte que les nouveaux arrivants sont des êtres humains pas des machines (investissements) et ne sont pas encore des emballages perdus dont la durée de vie est de trois mois, doit savoir que l'échec leur en coûtera très cher et leurs en fera très mal, au lieu de continuer à croire qu'ils "devront mieux refaire leurs vies " en plus chez eux et puiser dans les réserves fiscales de leurs pays d'origine. "le pen" de France aime les immigrés chez eux, celui là les aime uniquement pour trois mois, c une amourette d'immigration choisie, ne dure pas longtemps.

:shok:

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  • Habitués

J'ai fusionné les deux sujets écrits sur la même base, dans deux forums différents.

La modération

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Les auteurs recommandent tout de même de faire pression sur les nouveaux immigrants pour qu'ils arrivent rapidement à intégrer le marché de l'emploi.

Ils proposent notamment que les immigrants reçoivent des visas de travail temporaires qui leur seraient retirés en cas de perte d'emploi si les nouveaux arrivants ne réintègrent pas le marché de l'emploi à l'intérieur d'une période de trois mois. «C'est une idée que nous souhaitons mettre sur la table afin d'en discuter, plaide le chercheur. Le temps passe et il faut proposer de nouvelles solutions», résume-t-il.

Donc, si je comprends bien, c'est uniquement la faute des immigrants s'ils ne trouvent pas du travail. Donc, il faut faire pression sur ces fautifs ... Et tant qu'à y être, les renvoyer chez eux s'ils ne se révèlent pas être des vaches à lait commodes qu'ils avaient promis d'être ...

Que font-ils, ces éminents économistes, des valeurs d'égalité et de solidarité entre citoyens qui fondent les sociétés canadiennes/québécoises? Connaissent-ils au moins la différence entre un RP et un travailleur étranger?

Décidément, les radio-poubelles doivent déteindre sur moi: j'adore de plus en plus les libertaaaaaaaaariens ... girl_devil.gif

N'est-ce pas ce qui se fait aux États Unis? N'oublions pas que nous sommes ici pour répondre à un besoin économique du Québec, pas à un acte de philantropie.

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  • Habitués

Euh ... D'insertion, ce sera moins violent :lol: . Pour ma part, je pense que c'est surtout la méfiance des employeurs québécois qu'il faut convaincre. tous les métiers n'ont pas d'ordre professionnel. Et c'est, je crois, ce que préconise l'économiste. Demander directement aux employeurs ce dont ils ont besoin et recentrer les choix en fonction de ces besoins. Dans cette optique, logiquement, les employeurs n'auraient plus de raisons de se plaindre de ne pas trouver leurs ressources.

Tu es donc optimiste toi smile.gif

À l'exception des dossiers européens, un dossier d'immigration dure trois ans. Ils trouveront toujours moyen de dire qu'en trois ans, leurs besoins ont changé. Ils n'ont plus besoin d'infirmières, ce sont plutôt les mineurs dont ils ont besoin, pour le Plan Nord. Et ainsi de suite.

Les seuls candidats qui y gagneraient seraient Européens. Mais tout le monde sait que ce ne sont pas des candidats européens qui ont des difficultés sur le marché du travail.

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  • Habitués

peut-etre que 3 mois c'est court et encore meme pour trouver une jobine ca doit pouvoir se faire.

quand j'en parle a des collègues quebecois, c'est comme ca qu'ils le ressentent, tu trouves pas de boulot tu rentres chez toi. comme le dit Cherrybee il s'agit d'une immigration économique

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  • Habitués

J'ai fusionné les deux sujets écrits sur la même base, dans deux forums différents.

La modération

Pas de problème. Mais ça aurait été bien de laisser un lien dans le forum " démarches avant immigration" afin que ceux qui se renseignent puissent justement être renseignés AVANT et trouver le fil de discussion. On ne peut pas remettre un lien?

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  • Habitués

L'Institut Fraser est un "think tank" de droite. Ses études sont donc aussi orientées.

Évidemment qu'ils vont favoriser les employeurs, les employés et les syndicats auront toujours tort et les employeurs n'ont jamais à se remettre en question.

Seulement, seulement... je ne peux m'empêcher de réagir aussi à certains propos, comme celui-ci :

je lui dirai qu'un nouvel arrivant lui faut une prise en charge totale même psychologique et cela pour plus d'une année

Il ne faut pas non plus tomber dans l'autre extrême avec l'assistanat. Je crois que pour améliorer la situation, tous doivent mettre la main à la pâte.

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