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Les immigrants sur le BS: c'est vrai


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Cela aurait été plus objectif de croiser ces données avec les chiffres du chômage et de parler de la difficulté pour un primo-arrivant d'obtenir la fameuse expérience québécoise.

Un article qui verse dans un grave sensationnalisme sans aucune once d'éthique.

Pour avoir droit au chômage, il faut avoir travaillé(qqc comme de 360 à 600 hrs ,dépendamment des régions)

Cet article parle des BS,c'est à dire ceux qui n'ont pas droit au chômage ou ceux dont le temps admissible est terminé.

Et il rend hommage aux immigrants:Ils en sortent plus rapidement que les de souche.

J-B

+ 1

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Cela aurait été plus objectif de croiser ces données avec les chiffres du chômage et de parler de la difficulté pour un primo-arrivant d'obtenir la fameuse expérience québécoise.

Un article qui verse dans un grave sensationnalisme sans aucune once d'éthique.

Ce qui ressort de l'étude (qui est bien réelle en passant), c'est que les immigrants recourent à l'aide sociale comme une mesure de transition. Ils n'en font pas un mode de vie. Et ils restent là-dedans moins longtemps que les Québécois nés ici.

Je ne sais pas quelles hypothèses les chercheurs ont avancées pour expliquer cela. Mais j'imagine qu'il y a la difficulté à intégrer immédiatement le marché du travail. La reconnaissance du diplôme mais aussi la fameuse expérience québécoise ne sont pas si évidente à obtenir. Puis, tu vois, la période considérée couvre aussi la post 11/09, qui a rendu plus difficile la situation d'immigrants musulmans ou supposés.

Bien entendu, il est aussi plus facile pour Bouclette de venir avec une réserve de 30 000 euros que pour Mimou. J'imagine qu'il y a aussi toute la question des mentalités, certains sont plus prompts que d'autres à accepter l'assistance sociale, on n'en voit parfois ici qui disent qu'une jobine, ça ne sert à rien comme expérience québécoise.

L'essentiel est que les immigrants rebondissent rapidement, alors que certains Québécois ont tendance à faire du BS un mode de vie.

Un retour rapide à l'emploi, oui, mais une majorité a tendance à travailler au black et à chauffer les chaises des terrasses de café. Je suis certain que le jour où tu fera un tour à jean talon tu vas comprendre pourquoi nous commençons à avoir une mauvaise réputation.

+1 Kweli.

Ce que je dénonce dans cette article ce sont les simplifications à l'extrême alors que les choses sont bien plus complexes.

Et puis accepter le BS n'est pas honte si on est dans le besoin. Cela devrait être un tremplin pour un retour rapide à l'Emploi.

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Cela aurait été plus objectif de croiser ces données avec les chiffres du chômage et de parler de la difficulté pour un primo-arrivant d'obtenir la fameuse expérience québécoise.

Un article qui verse dans un grave sensationnalisme sans aucune once d'éthique.

Ce qui ressort de l'étude (qui est bien réelle en passant), c'est que les immigrants recourent à l'aide sociale comme une mesure de transition. Ils n'en font pas un mode de vie. Et ils restent là-dedans moins longtemps que les Québécois nés ici.

Je ne sais pas quelles hypothèses les chercheurs ont avancées pour expliquer cela. Mais j'imagine qu'il y a la difficulté à intégrer immédiatement le marché du travail. La reconnaissance du diplôme mais aussi la fameuse expérience québécoise ne sont pas si évidente à obtenir. Puis, tu vois, la période considérée couvre aussi la post 11/09, qui a rendu plus difficile la situation d'immigrants musulmans ou supposés.

Bien entendu, il est aussi plus facile pour Bouclette de venir avec une réserve de 30 000 euros que pour Mimou. J'imagine qu'il y a aussi toute la question des mentalités, certains sont plus prompts que d'autres à accepter l'assistance sociale, on n'en voit parfois ici qui disent qu'une jobine, ça ne sert à rien comme expérience québécoise.

L'essentiel est que les immigrants rebondissent rapidement, alors que certains Québécois ont tendance à faire du BS un mode de vie.

+1 Kweli.

Ce que je dénonce dans cette article ce sont les simplifications à l'extrême alors que les choses sont bien plus complexes.

Et puis accepter le BS n'est pas honte si on est dans le besoin. Cela devrait être un tremplin pour un retour rapide à l'Emploi.

Jamais je n'accepterai le BS. Perso, je trouve qu'effectivement ça me mettrai la honte sur la tête dans un pays où, même en période de crise on trouve des tas de panneaux sur les portes vitrées des magasins "on embauche" . Ah, évidemment, ce ne sera pas des jobs à 50 $ de l'heure! Mais ce ne sera pas pire que le BS

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  • Habitués

Kweli,

Je souhaite savoir ce que veut dire: ceux qui font leur recherche d'emploi comme il faut et tissent leur réseau». Parce que tisser ton réseau c'est trouver des personnes capables de vous aider à trouver une opportunité de stage ou d'emploi. Ne pas faire du bénévolat comme on le prétend souvent ou des réunions entre compatriotes parfois déprimantes! (Même si ca peut ¸être utile pour briser l'isolement).

Pour la recherche d'emploi comme il faut, la encore ça dépends. Si tu as des contacts ACTIFS (qui bossent) c'est plus facile, (et ça dépends de leur esprit d'ouverture). MAIS ne connaissant pas souvent grand monde à leur arrivée, et en manque de $$$, il est plus facile pour un immigrant de se retrouver en manufacture après le débarquement à Dorval, que d'aller faire du golf...le week-end. Ils doivent prendre (certains) dès lors le dernier recours (BS) le temps de voir. Pour d'autres, cela devient un mode de vie, mais pas tous, car le retour aux études est possible via les prêts et bourses ou emploi Qc.

Mais le vrai problème reste quelles études faire? Car si en soins infirmiers le marché du travail est assuré presque, dans d'autres domaines, un diplôme ne garantit pas la job non plus. En outre, il reste l'obstacle de la de 1ere expérience dans votre domaine de COMPÉTENCE au Québec...

Bonne suite aux immigrants en procédure! Un conseil ne pas attendre d'être au Québec pour découvrir que vos diplômes ne seront peut-être pas tous reconnus par vos ordres respectifs... Commencez tôt et évitez-vous bien du souci en arrivant. Cela peut vous permettre de réajuster votre plan de carrière avant l'arrivée en sol Québécois (réorientation au besoin, etc...)

Moi je termine en disant que c'est la 2e génération qui profitera vraiment!

Cam

Modifié par cam
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Kweli,

Je souhaite savoir ce que veut dire: ceux qui font leur recherche d'emploi comme il faut et tissent leur réseau». Parce que tisser ton réseau c'est trouver des personnes capables de vous aider à trouver une opportunité de stage ou d'emploi. Ne pas faire du bénévolat comme on le prétend souvent ou des réunions entre compatriotes parfois déprimantes! (Même si ca peut ¸être utile pour briser l'isolement).

Pour la recherche d'emploi comme il faut, la encore ça dépends. Si tu as des contacts ACTIFS (qui bossent) c'est plus facile, (et ça dépends de leur esprit d'ouverture). MAIS ne connaissant pas souvent grand monde à leur arrivée, et en manque de $$$, il est plus facile pour un immigrant de se retrouver en manufacture après le débarquement à Dorval, que d'aller faire du golf...le week-end. Ils doivent prendre (certains) dès lors le dernier recours (BS) le temps de voir. Pour d'autres, cela devient un mode de vie, mais pas tous, car le retour aux études est possible via les prêts et bourses ou emploi Qc.

Mais le vrai problème reste quelles études faire? Car si en soins infirmiers le marché du travail est assuré presque, dans d'autres domaines, un diplôme ne garantit pas la job non plus. En outre, il reste l'obstacle de la de 1ere expérience dans votre domaine de COMPÉTENCE au Québec...

Bonne suite aux immigrants en procédure! Un conseil ne pas attendre d'être au Québec pour découvrir que vos diplômes ne seront peut-être pas tous reconnus par vos ordres respectifs... Commencez tôt et évitez-vous bien du souci en arrivant. Cela peut vous permettre de réajuster votre plan de carrière avant l'arrivée en sol Québécois (réorientation au besoin, etc...)

Moi je termine en disant que c'est la 2e génération qui profitera vraiment!

Cam

La grosse erreur que nous faisons dans la recherche d'emploi est de fonctionner avec des stratégies importées de nos pays d'origine. Cela peut fonctionner parfois, mais les chances de reussite sont minces.

Se contenter de balancer des Cv par le biais du net ou de la poste donne l'impression qu'on est entrain de chercher du travail. Ici c'est une stratégie passive.

Pourquoi les gens ne commencent-ils pas par le commencement en s'inscrivant entre autres à des clubs de recherche d'emploi pour aller chercher des outils et pour mieux comprendre la réalité d'ici , pour pallier les lacunes de base.

On y apprend tes techniques pour se créer un réseau et surtout à l'exploiter.

Certains ne le font par simple ignorance, ou suivent les "conseils avisés"d'un compatriote qui te fait répéter parfois ses propres erreurs.

Le premier devoir d'un immigrant est d'aller chercher l'information et les ressources disponibles pour mieux structurer sa démarche et maximiser les chances de reussite. Ce n'est pas une assurance de reussite à 100%, mais le résultat arrivera un jour ou l'autre en restant déterminé et positif.

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  • Habitués

Pour vous répondre à tous les deux:

La première erreur des immigrants: s'installer à Montréal, en pensant que les opportunités d'emploi y sont meilleures. Ce qui est absolument faux. Ce n'est pas mauvais en soi de s'installer à Montréal mais au bout de deux ans sans résultats probants, la moindre des choses est de questionner ses choix.

Deuxième erreur: ne pas recourir aux ressources existantes pour améliorer son employabilité. Des clubs de recherche d'emploi sont de bons exemples de ressources à utiliser. Le bénévolat aussi. Comment connaître le monde si tu ne sors pas de ton cercle? Surtout que les immigrants ont tendance à se tenir avec les compatriotes, lesquels ne se pas plus avancés côté emploi. D'ailleurs ceux qui vont travailler au noir sont souvent conseillés par des compatriotes.

Troisième erreur: ne pas tisser des réseaux "utiles". Je précise "utiles" parce que ton club de soccer ne te conduira pas forcément à un recruteur potentiel. On peut commencer par les personnes rencontrées ici ou là. Foires d'emplois, amis d'amis, etc. Et "je ne connais personne à Montréal" n'est pas une excuse: les technologies font des miracles quand on sait les utiliser à bon escient.

Quatrième erreur: sous-estimer le potentiel d'une jobine. Nous venons avec une mentalité qui veut que le seul travail valable est celui de col blanc. Or c'est archifaux. Une jobine est très instructive quand on y fait attention. Tu apprends la mentalité des québécois au travail. Tu y fais de belles rencontres. Parfois, ton collègue connaît quelqu'un qui connaît quelqu'un ... Et enfin, tu explores. Quand j'ai travaillé comme préposée aux bénéficiaires, j'étais payée entre 12 et 14$ de l'heure (j'avais commencé à 10,75$). À ce moment là le salaire minimum était à 7$. Avec ce métier, j'ai compris que je pouvais réorienter ma carrière dans les métiers de la santé si ça me tentait vraiment.

Cinquième erreur: accumuler diplôme sur diplôme, souvent sans aucun plan de carrière précis. les conseillers d'orientation sont là pour cela mais combien d'immigrants les consultent vraiment? Quand tu présentes ton CV, un employeur constate que tout ce que tu sais faire dans la vie, c'est ... juste étudier.

Sixième erreur: une recherche d'emploi de type médiéval. Envoyer des CVs en masse, pas vraiment efficace.

Modifié par Kweli
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  • Habitués

Septième erreur : Croire que les conseils des autres sont valables dans son cas. Personnellement, j'ai fait tout le contraire des 6 premiéres erreurs et ça m'a bien réussi :)

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  • Habitués
http://www.cyberpres...-immigrants.php

document.write(publicatioin_date("2009-10-08 05:00:00.000", "2009-10-08 06:21:00.000"));Publié le 08 octobre 2009 à 05h00 | Mis à jour à 06h21

L'aide sociale, une mesure de transition pour les immigrants

PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE

Denis Lessard

La Presse

(Québec) Quand ils arrivent au Québec, les immigrants se tournent massivement vers l'aide sociale dans leur première année ici. Mais ils en sortent plus rapidement que l'ensemble des Québécois, démontre une étude confidentielle du ministère de l'Immigration et des Communautés culturelles.

Obtenu par La Presse, c'est l'examen le plus récent qu'a fait ce ministère, en collaboration avec la direction de la recherche du ministère de l'Emploi. Pour les auteurs, le recours des néo-Québécois à l'aide sociale devrait être considéré comme une «transition»

.L'étude «met en évidence l'importance de prévoir une forme d'aide à l'établissement» pour les nouveaux arrivants. L'enquête porte sur les 80 000 immigrés toujours résidants du Québec en 2006, dans la cohorte des 95 000 «travailleurs qualifiés» venus de l'étranger entre 1996 et 2004. Il s'agit du groupe pour lequel l'intégration à l'emploi est théoriquement la plus facile - les deux tiers des nouveaux arrivants environ.

Pas moins de 54% de tous ces immigrés ont reçu de l'aide sociale ou de l'assistance financière du ministère de l'Immigration.

Pour ce qui est du dernier tiers des immigrés, ils sont venus grâce au programme de réunification des familles ou pour des raisons humanitaires.

Le Québec ne les a pas sélectionnés et n'a pas de chiffres à leur sujet.

Le résumé de l'étude indique sans détour que «le recours à l'aide sociale des immigrants récents constitue un objet de préoccupation» pour Québec, surtout quand on constate qu'il s'agit de travailleurs qualifiés, les plus susceptibles de trouver un emploi - 89% d'entre eux ont un diplôme postsecondaire et 81% parlent le français. De plus, ils sont en plein dans leur période active - 90% ont entre 24 et 44 ans.

Au cours de la période donnée, le nombre des entrées a augmenté de 276% - donc presque triplé. Le nombre des immigrés qui ont eu recours à l'aide sociale a augmenté de 186%, en particulier dans certains groupes précis. Parmi les immigrés de 2004, environ 16 000 personnes - le quart, environ - ont recouru à l'aide sociale cette année-là. Si on compte l'ensemble des bénéficiaires de l'aide de dernier recours, 35% des immigrés en ont reçu en 2004, et 45%, par exemple, en 2002.

Les probabilités de se retrouver à l'aide sociale dans les 12 mois qui suivent l'arrivée au Québec varie énormément selon l'origine. Ainsi 78% des Algériens, 60% des Marocains et 55% des Roumains passent par l'aide sociale durant leur première année. Les ressortissants français sont environ 5% à le faire, et les Chinois encore moins

Wow ! Une proportion énorme d'Algériens, Roumains et Marocains se retrouvent sur l'aide sociale ( BS ) selon les statistiques. Et peu d'immigrants français et chinois. Ça veut dire qu'il faudrait pour des raisons économiques diminuer le nombre d'immigrants d'Algérie, de Roumanie et du Maroc qui se retrouvent en grande proportion sur le BS et augmenter le nombre d'immigrants français et chinois qui se retrouvent très peu sur le BS car des immigrants sur le BS est un fardeau économique pour le Québec. Le Québec a le droit de défendre ses intérêts et de sélectionner des immigrants qui vont être rentable pour lui et non des immigrants de certains pays qui ont toutes les chances de se retrouver sur le BS. Et beaucoup d'immigrants devraient imiter les immigrants chinois qui ont une étique du travail élevé et réussissent beaucoup mieux que des immigrants de certains autres pays.

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  • Habitués

Wow ! Une proportion énorme d'Algériens, Roumains et Marocains se retrouvent sur l'aide sociale ( BS ) selon les statistiques. Et peu d'immigrants français et chinois. Ça veut dire qu'il faudrait pour des raisons économiques diminuer le nombre d'immigrants d'Algérie, de Roumanie et du Maroc qui se retrouvent en grande proportion sur le BS et augmenter le nombre d'immigrants français et chinois qui se retrouvent très peu sur le BS car des immigrants sur le BS est un fardeau économique pour le Québec. Le Québec a le droit de défendre ses intérêts et de sélectionner des immigrants qui vont être rentable pour lui et non des immigrants de certains pays qui ont toutes les chances de se retrouver sur le BS. Et beaucoup d'immigrants devraient imiter les immigrants chinois qui ont une étique du travail élevé et réussissent beaucoup mieux que des immigrants de certains autres pays.

Un exemple parfait de ce qu'on appelle "réfléchir avec ses pieds".

Modifié par Kweli
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  • Habitués

". Et beaucoup d'immigrants devraient imiter les immigrants chinois qui ont une étique du travail élevé et réussissent beaucoup mieux que des immigrants de certains autres pays."

[

indonesie et asie c'est pas trop loin, non ? ...........

mais bon, nous sommes sur la bonne voie..... la fin de ce fil !

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  • Habitués

Les Français ont des diplomes plus ou moins reconnus au Québec et si la situation ne leur plait pas , ils peuvent retourner chez eux ...

Les Chinois et les autres minorités non pauvres sont ANGLOPHONES

Ca ne vous étonne pas que les 3 nationalités citées sont historiquement FRANCOPHONES !!!

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  • Habitués

Pourquoi insister sur le coté francophone ? cela signifierait à tes yeux qu'ils sont - les francophones - plus inaptes pour se frayer un chemin au Canada ?

Je note juste que les immigrants des 3 pays cités sont peut-être un peu juste dans les fonds amenés lors de l'installation. Le Québec demande combien ? $CAN 4-5.000 alors que le dossier Fédéral demande $CAN 10.000 pour une personne.

Il faut peut-être voir le recours à l'aide sociale de ce coté là aussi !

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  • Habitués

Le Québec demande combien ? $CAN 4-5.000 alors que le dossier Fédéral demande $CAN 10.000 pour une personne.

Il faut peut-être voir le recours à l'aide sociale de ce coté là aussi !

Tout à fait !

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  • Habitués

Pourquoi insister sur le coté francophone ? cela signifierait à tes yeux qu'ils sont - les francophones - plus inaptes pour se frayer un chemin au Canada ?

80% des immigrants s'installent à Montréal ; or à Montréal la vie professionnelle se conjuge en ANGLAIS !

Ils pourraient s'installer en région où la vie se conjugue un peu plus en Français mais ce ne sont pas les régions les plus riches à part Québec Ville

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80% des immigrants s'installent à Montréal ; or à Montréal la vie professionnelle se conjuge en ANGLAIS !

Ils pourraient s'installer en région où la vie se conjugue un peu plus en Français mais ce ne sont pas les régions les plus riches à part Québec Ville

Il ne faut quand même pas exagérer... il y a plein de gens à Montréal qui n'utilisent pas l'anglais dans leur vie professionnelle ! Et que ce soit à Montréal ou en région, nos échanges commerciaux se font principalement avec des contrées anglophones. C'est une erreur de penser que le recours au BS est dû à un manque de connaissance de l'anglais.

Modifié par bencoudonc
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80% des immigrants s'installent à Montréal ; or à Montréal la vie professionnelle se conjuge en ANGLAIS !

Ils pourraient s'installer en région où la vie se conjugue un peu plus en Français mais ce ne sont pas les régions les plus riches à part Québec Ville

hum et comment je fais donc mon cher sarbacan pour vivre et travailler à Montréal depuis presque 7 ans sans avoir eut à prononcer le moindre mot en anglais pour me faire comprendre... un véritable mystère que d'avoir une vie professionelle et sociale sans l'anglais n'est ce pas...

tu réfléchiras un peu à ça et accepteras parfois les conseils des autres...

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80% des immigrants s'installent à Montréal ; or à Montréal la vie professionnelle se conjuge en ANGLAIS !

Ils pourraient s'installer en région où la vie se conjugue un peu plus en Français mais ce ne sont pas les régions les plus riches à part Québec Ville

hum et comment je fais donc mon cher sarbacan pour vivre et travailler à Montréal depuis presque 7 ans sans avoir eut à prononcer le moindre mot en anglais pour me faire comprendre... un véritable mystère que d'avoir une vie professionelle et sociale sans l'anglais n'est ce pas...

tu réfléchiras un peu à ça et accepteras parfois les conseils des autres...

Mais tu exerce un métier manuel ; pas besoin de connaitre l'Anglais pour manier le Marteau et l'enclume (Humour ) !

C'est vrai que certains métiers connaissent une pénurie comme infirmièr(e) , plombier , charpentier...

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Mais tu exerce un métier manuel ; pas besoin de connaitre l'Anglais pour manier le Marteau et l'enclume (Humour ) !

:wacko:

Que ce soit dans le cadre d'un métier manuel (très valorisé et bien rémunéré ici soit dit en passant, vraiment pas de quoi lever le nez) ou dans le cadre d'un poste de "pousseux de crayon", ça ne change pas grand chose à la donne linguistique...

Modifié par bencoudonc
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80% des immigrants s'installent à Montréal ; or à Montréal la vie professionnelle se conjuge en ANGLAIS !

Ils pourraient s'installer en région où la vie se conjugue un peu plus en Français mais ce ne sont pas les régions les plus riches à part Québec Ville

hum et comment je fais donc mon cher sarbacan pour vivre et travailler à Montréal depuis presque 7 ans sans avoir eut à prononcer le moindre mot en anglais pour me faire comprendre... un véritable mystère que d'avoir une vie professionelle et sociale sans l'anglais n'est ce pas...

tu réfléchiras un peu à ça et accepteras parfois les conseils des autres...

Mais tu exerce un métier manuel ; pas besoin de connaitre l'Anglais pour manier le Marteau et l'enclume (Humour ) !

C'est vrai que certains métiers connaissent une pénurie comme infirmièr(e) , plombier , charpentier...

.... et si de plus tu ne pratiques pas la langue de Shakespeare .... pas de poste !!!!! en tout cas sur Montréal !!!

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