Habitués Puda Posté(e) 29 décembre 2014 Auteur Habitués Posté(e) 29 décembre 2014 d’autres reviendront en s’apercevant que l’immigration n’est pas faite pour eux. C’est ce que je vois autour de moi… Yep exactement ! C'est pour ça que je n'aime pas qu'on « accuse » un pays de tous les maux alors qu'il est fort probable que l'expatriation n'est pas faite pour nous. Elle n'est pas faite pour beaucoup de monde donc c'est un élément important à ne pas négliger. Inutile de se chercher des excuses (un fait bien français), dire simplement que ce n'est pas fait pour soi est une grande forme d'humilité. Citer
Habitués SarahJade Posté(e) 29 décembre 2014 Habitués Posté(e) 29 décembre 2014 (modifié) Déjà d'aller s'installer dans le fin fond de Rouyn c'est pas se faciliter l'adaptation... Il faudrait vraiment me proposer un salaire de fou pour que j'accepte d'y aller! Pourquoi dans l'article elle parle de 2 saisons? Je sais pas si elle a vraiment atterrie dans le bon pays! Sinon, je suis d'accord avec les points suivants : "Honnêtement, je pense qu'un Français qui fait l'expérience de s'expatrier y trouvera son compte, jusqu'au jour où il aura affaire au système de santé du pays d'accueil, ou lorsqu'il aura des enfants. Au Québec, le taux d'imposition est comparable à celui de la France. Cependant, les services publics sont quasi inexistants, presque tout est à la charge du contribuable : crèches, universités, système de santé faussement équitable... Pour faire clair, mon taux horaire était de 30$ CA brut, environ 1400$ CA net par quinzaine, soit une retenue à la source d'environ 40%. Et je ne parle même pas de ma complémentaire santé, indispensable, qui me coûtait la modique somme de 130$ par quinzaine !" Modifié 29 décembre 2014 par SarahJade geckooa et wilitause ont réagi à ceci 2 Citer
Habitués alfajorcito Posté(e) 29 décembre 2014 Habitués Posté(e) 29 décembre 2014 Lorsque j'ai vécu à Montréal, j'ai fait la connaissance d'un Québécois qui travaillait comme infirmier dans un hôpital montréalais. Plusieurs de ses collègues infirmières étaient Françaises et regrettaient leurs conditions de travail en France (dont elles se plaignaient avant de partir au Québec). Le ministère de la Santé québécois courtise les infirmières et infirmiers français depuis plusieurs années afin de pallier à un important besoin de main-d'œuvre dans cette profession. Le Québec vient les chercher, notamment en participant au Salon infirmier de Paris, et leur délivre les papiers d'immigration en un temps record. Hélas, une fois sur place beaucoup ont déchanté, notamment face à l'absence de reconnaissance de leur diplôme (reconnu depuis février dernier) et aux conditions de travail difficiles qui leur sont imposées à leur arrivée (services et horaires non fixes). L'absence de reconnaissance de leur diplôme provoquait un préjudice salarial de l'ordre de 14 000 dollars par an (en moyenne) ! Leur intégration professionnelle n'est pas facilitée, il leur faut toujours accomplir un stage de plusieurs mois et réussir une évaluation pour voir leurs compétences reconnues. Cela relève de la responsabilité du gouvernement québécois bien qu'il soit désormais plus facile de se renseigner sur les conditions réelles d'exercice de la profession au Québec et que certains candidats au départ soient effectivement peu ou mal préparés et minimisent les difficultés liées à l'expatriation. Dans le cas des infirmières et infirmiers démarchés en France, lorsque leur installation au Québec est vécue comme un échec, le Québec (le gouvernement - et non pas la société québécoise ni la province en tant que cadre de vie) a également sa part de responsabilité. Près de deux cents infirmières et infirmiers français s'installent dans la province chaque année (entre 4,5 et 6% des immigrants français selon les années), le Québec ne peut pas continuer à tout exiger de la part des immigrants qu'il vient chercher - ou ne doit pas s'étonner d'en voir repartir autant. Au final, il s'agit d'un mauvais investissement aussi bien pour ces immigrants que pour le Québec. L'immigration française est difficile car elle provient d'un pays au niveau de vie équivalent à celui du Québec (ou légèrement supérieur, si l'on s'en tient au PIB par habitant). Le Québec cherche des immigrants qualifiés francophones et mène des campagnes de promotion de l'immigration au Québec en France. Les attentes de ces immigrants sont grandes car ils souhaitent trouver une meilleure qualité de vie qu'en France. Le Québec se démarque de toutes les autres destinations d'immigration (française) car c'est le seul territoire étranger qui mène une opération de séduction à grande échelle (publicités, participation aux salons professionnels, etc.). Si le Québec n'est pas capable de retenir ses immigrants français, la faute ne leur incombe pas complètement. Il ne s'agit pas seulement d'idéalisation du Québec, de mauvaise préparation ou d'incapacité à s'intégrer à un nouvel environnement mais aussi d'une mauvaise préparation de la part du Québec pour recevoir ces immigrants (problème de la reconnaissance de l'expérience et des diplômes étrangers propre au Québec). Le Québec présente par ailleurs des problèmes touchant l'ensemble de la population résidant dans la province et que les gouvernements successifs se sont pour le moment montrés incapables de résoudre (le système de santé défaillant notamment). Voilà un point où le Québec pèche particulièrement en comparaison de la France (dont le système de santé est réputé l'un des meilleurs au monde). On peut également remettre en cause la qualité des services publics fournis à taux d'imposition égal, particulièrement en ce qui concerne les infrastructures (état des routes, etc.) ou préférer le système de retraite français (bien qu'il reste déficitaire). Pour le reste, il s'agit d'aspects entièrement subjectifs, laissés à l'appréciation de chacun (climat, paysages, vie culturelle, gastronomie, etc.). Le Québec s'aveugle en ayant recours massivement à l'immigration plutôt que de favoriser la natalité sur son propre territoire (allocations familiales, création de places en garderie, etc.). Ce recours à la facilité à court terme est néfaste aussi bien pour les immigrants que pour la population québécoise dont les conditions de vie ne s'améliorent pas (système de santé toujours aussi désastreux). Citer
Habitués kuroczyd Posté(e) 29 décembre 2014 Habitués Posté(e) 29 décembre 2014 J ajouterai à cela que c est aussi un endroit de prédilection pour les français car c est un pays qui autorise l immigration et qui parle FRANCAIS : il n y en a pas deux comme cela. Les autres provinces font aussi en France des sessions d information mais on y dit clairement que l anglais de bon niveau est obligatoire, et clairement ces provinces attirent bien moins de monde. Bref, c est une suite de compromis dans tous les sens. Puda a réagi à ceci 1 Citer
Habitués Le Guitariste Posté(e) 30 décembre 2014 Habitués Posté(e) 30 décembre 2014 Tu te rends pas compte que tout le monde ne cherche pas la même chose que toi notamment les grandes villes. Il y en a ceux qui viennent chercher au Canada les grands espaces et un endroit elle et très peu peuplé qu'ils ne retrouvent pas en Europe. Où vois-tu que je parle de grande ville ? Quand je dis que Rouyn-Noranda n'est pas un environnement facile pour débarquer, je ne me réfère pas particulièrement au nombre d'habitants ou à la taille de la ville... Et puis si tu rêves de grands espaces et d'habiter dans une carte postale mieux vaudrait choisir une région dont le paysage n'a pas été dévasté par l'industrie minière et forestière, nan? C'est pour cela que je déménage en Colombie-Britannique Citer
Habitués tohonu Posté(e) 30 décembre 2014 Habitués Posté(e) 30 décembre 2014 Immigrer est un chose mais commencer par un endroit aussi éloigné c'est de tenter l'émigration extrême quand même. Soit on est conscient de l'endroit ou l'on va et on est aventurier dans l’âme soit ça veut dire que l'on a pas préparé grand chose ... En tout cas, bon retour à eux en France ou les sentiers sont balisés je suis bien alle me perdre a Kuujjuaq, qui est un peu plus eloigne et isole que ROyn-Nouranda et il ne faut pas exagerer, il ne faut pas parler d'aventures. Et tu es allé à Kuujjuaq en PTT en ayant tout vendu en France ? Je suis RP depuis le debut. Citer
Habitués kuroczyd Posté(e) 30 décembre 2014 Habitués Posté(e) 30 décembre 2014 Immigrer est un chose mais commencer par un endroit aussi éloigné c'est de tenter l'émigration extrême quand même. Soit on est conscient de l'endroit ou l'on va et on est aventurier dans l’âme soit ça veut dire que l'on a pas préparé grand chose ... En tout cas, bon retour à eux en France ou les sentiers sont balisés je suis bien alle me perdre a Kuujjuaq, qui est un peu plus eloigne et isole que ROyn-Nouranda et il ne faut pas exagerer, il ne faut pas parler d'aventures. Et tu es allé à Kuujjuaq en PTT en ayant tout vendu en France ? Je suis RP depuis le debut. Tu vois que ta situation n'est pas la même Moi même, si j’étais sans enfants et plus jeune, j'aurais bien tenté une expérience un peu plus extrême que Montréal Citer
Habitués tohonu Posté(e) 30 décembre 2014 Habitués Posté(e) 30 décembre 2014 Immigrer est un chose mais commencer par un endroit aussi éloigné c'est de tenter l'émigration extrême quand même. Soit on est conscient de l'endroit ou l'on va et on est aventurier dans l’âme soit ça veut dire que l'on a pas préparé grand chose ... En tout cas, bon retour à eux en France ou les sentiers sont balisés je suis bien alle me perdre a Kuujjuaq, qui est un peu plus eloigne et isole que ROyn-Nouranda et il ne faut pas exagerer, il ne faut pas parler d'aventures. Elle infirmiere rencontre les problemes d'un Ordre totalement ferme qui malgre les accords ne reconnait pas pleinement les qualifications et experiences d'une infirmiere FR. A cote de ceal, tu as du monde qui travail dans les hopitaux en tant que preposes aux beneficiares qui 'ont absolument aucune experience dans le domaine, aucun diplome mais .. Quebecois(es). Ou avoir du personnel dans les services sociaux, des jeunes, qui ont juste le secondaire 5 ... Mais il y en a qui aime parler à travers leur chapeau et dire des faussetés mais .... immigrant qui déteste sa terre d'accueil: Un exemple au CHUQ PRÉPOSÉ OU PRÉPOSÉE AUX BÉNÉFICIAIRES Exigences : • diplôme d'études professionnelles (DEP) en assistance aux bénéficiaires en établissement de santé OU • Une année complétée en soins infirmiers (incluant le programme d’infirmière auxiliaire) • diplôme d'études secondaires (DES) (atout) Vous devez détenir une carte de RCR et une formation de PDSB à jour. http://v1.santemontreal.qc.ca/rh/pub/fr/details.asp?ID=128382 Ben ... heu .. desole mais tu ne dois pas forcement connaitre les realites du Nord :-) Dans le sud, tu dois certainement avoir des diplomes mais a d'autres endroits, pas forcement car il y a penurie. Et juste pour mon information, ou as tu vu que je suis un immigrant qui deteste sa terre d'acceuil ? Citer
Habitués juetben Posté(e) 30 décembre 2014 Habitués Posté(e) 30 décembre 2014 tu detestes ta terre d'accueil comme tous les immigrants à qui il s'adresse... Quand ton vécu ne rencontre pas ses standards tu ne mérites que de rentrer chez toi... La réalité dans le nord et totalement différente, une amie est au rh d'une société gérant de la main d'oeuvre autochtone notamment des chauffeurs de camions... Et bien quand ils échouent le test de drogue ou sont pris avec alcool au volant il n'y a aucune mesure disciplinaire... Impensable ailleurs mais dans le nord oui! Bon après ce passage je vais me faire dire de rentrer chez moi eheheh! Citer
Habitués tohonu Posté(e) 30 décembre 2014 Habitués Posté(e) 30 décembre 2014 Je suis RP depuis le debut. Tu vois que ta situation n'est pas la même Moi même, si j’étais sans enfants et plus jeune, j'aurais bien tenté une expérience un peu plus extrême que Montréal j'ai du mal a te suivre la. RP ou PVT ou autre, quelle difference ? On parlait de region, de coin. Est-ce que aller a Rouyn, Eastmain, Val d'or .. au lieu de Montreal, Quebec ou Sherbrooke est dangeureux professionnellement ? Est-ce dangeureux et penalisant pour une immigration "reussie" ? Tout depend de ton domaine d'emploi. Un financier allant a Wemendji, oui il raterait son immigration. Un menuisier-charpentier tirerait tres bien son epingle du jeu. L'age ne renter pas en compte non plus, je ne suis pas monte a kuujjuaq a 30 ans ! bon OK, pas d'enfant avec moi (elle est a Sherbrooke) mais est-ce un frein ? Citer
Habitués kuroczyd Posté(e) 30 décembre 2014 Habitués Posté(e) 30 décembre 2014 Je suis RP depuis le debut. Tu vois que ta situation n'est pas la même Moi même, si j’étais sans enfants et plus jeune, j'aurais bien tenté une expérience un peu plus extrême que Montréal j'ai du mal a te suivre la. RP ou PVT ou autre, quelle difference ? On parlait de region, de coin. Est-ce que aller a Rouyn, Eastmain, Val d'or .. au lieu de Montreal, Quebec ou Sherbrooke est dangeureux professionnellement ? Est-ce dangeureux et penalisant pour une immigration "reussie" ? Tout depend de ton domaine d'emploi. Un financier allant a Wemendji, oui il raterait son immigration. Un menuisier-charpentier tirerait tres bien son epingle du jeu. L'age ne renter pas en compte non plus, je ne suis pas monte a kuujjuaq a 30 ans ! bon OK, pas d'enfant avec moi (elle est a Sherbrooke) mais est-ce un frein ? Bien sur qu'il y a une différence quand tu es en PTT et que tu perds ton emploi (et pas de CSQ en main), le nouveau permis c'est 2, 3, 4 mois... si l'autre ne travaille pas, oui, c'est un problème. Dans un endroit ou il y a moins d'opportunités de domaines, c'est moins évident que pour un gars qui est en RP et qui peu du jour qu lendemain changer de job. Citer
Habitués tohonu Posté(e) 30 décembre 2014 Habitués Posté(e) 30 décembre 2014 tu detestes ta terre d'accueil comme tous les immigrants à qui il s'adresse... Quand ton vécu ne rencontre pas ses standards tu ne mérites que de rentrer chez toi... La réalité dans le nord et totalement différente, une amie est au rh d'une société gérant de la main d'oeuvre autochtone notamment des chauffeurs de camions... Et bien quand ils échouent le test de drogue ou sont pris avec alcool au volant il n'y a aucune mesure disciplinaire... Impensable ailleurs mais dans le nord oui! Bon après ce passage je vais me faire dire de rentrer chez moi eheheh! hahhaha ... je comprends mieux a lire ta premiere phrase Pour la seconde partie, c'est une realite du Nord. Il y a d'autres realites non connues des "sudistes". Cela changera petit a petit a mesure que de jeunes diplomes arriveront sur le marche du travail et que finalement, cela ne sera plus l'urgence du travail devant etre fait qui dictera mais les competences acquises avec la formation et l'experience. Pour le moment, ce n'est pas le cas partout et dans tous les domaines. Il y a une prise en compte de cela par les chefs de Band et autres dirigeants, mais il faut pour le moment composer avec. C'est un jeu delicat de relations sociales, de diplomatie, de petits arrangements entre amis, de developpements economiques, de contruction "durables" ... et a ce jour, le plus simple est de fermer les yeux sur la realite que tu decries avec les routiers afin de ne pas faire monter que des "blancs" pour faire le boulot. Paix sociale cela s'appelle .. et/ou re-election :-) Citer
Habitués tohonu Posté(e) 30 décembre 2014 Habitués Posté(e) 30 décembre 2014 (modifié) Je suis RP depuis le debut. Tu vois que ta situation n'est pas la même Moi même, si j’étais sans enfants et plus jeune, j'aurais bien tenté une expérience un peu plus extrême que Montréal j'ai du mal a te suivre la. RP ou PVT ou autre, quelle difference ? On parlait de region, de coin. Est-ce que aller a Rouyn, Eastmain, Val d'or .. au lieu de Montreal, Quebec ou Sherbrooke est dangeureux professionnellement ? Est-ce dangeureux et penalisant pour une immigration "reussie" ? Tout depend de ton domaine d'emploi. Un financier allant a Wemendji, oui il raterait son immigration. Un menuisier-charpentier tirerait tres bien son epingle du jeu. L'age ne renter pas en compte non plus, je ne suis pas monte a kuujjuaq a 30 ans ! bon OK, pas d'enfant avec moi (elle est a Sherbrooke) mais est-ce un frein ? Bien sur qu'il y a une différence quand tu es en PTT et que tu perds ton emploi (et pas de CSQ en main), le nouveau permis c'est 2, 3, 4 mois... si l'autre ne travaille pas, oui, c'est un problème. Dans un endroit ou il y a moins d'opportunités de domaines, c'est moins évident que pour un gars qui est en RP et qui peu du jour qu lendemain changer de job. Je susi d'accord avec toi si c'est un permis de travail ferme. Si c'est un permis de travail ouvert tu as la possibilite de travailler du jour au lendemain dans une autre place il me semble. Modifié 30 décembre 2014 par tohonu Citer
Habitués kuroczyd Posté(e) 30 décembre 2014 Habitués Posté(e) 30 décembre 2014 Je susi d'accord avec toi si c'est un permis de travail ferme. Si c'est un permis de travail ouvert tu as la possibilite de travailler du jour au lendemain dans une autre place il me semble.C’était en effet ça leur situation: venus en PTT pour lui, pas de job pour elle et en ayant tout vendu en France... Citer
Habitués mariedm Posté(e) 30 décembre 2014 Habitués Posté(e) 30 décembre 2014 Je vous laisse le lire et me donner votre avis : http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1296004-expatriee-je-suis-rentree-en-france-au-bout-d-1-an-l-herbe-n-est-pas-plus-verte-ailleurs.html Pardon si ça a déjà été posté ! Je trouve que tout là-dedans sentait l'immigration qui allait foirer... Mais bon c'est mon avis. J'ai du mal à comprendre une infirmière qui donne sa démission. Pourquoi ne pas se mettre en disponibilité ? Est-ce que vous, infirmières du forum, vous êtes nombreuses a avoir carrément donné votre démission? En fait on ne peut se mettre en disponibilité que si l'on est fonctionnaire "titulaire dans un hôpital public". perso, je démissionnerai, à moins de trouver entre temps un CDD qui s'arrête au bon moment, mais ça ne changera pas grand chose sauf conserver mes droits à pôle emploi en cas de retour forcé ! Sinon cet article m'aura appris quelque chose : me méfier des orignaux " La nature prédomine, avec tous les dangers que ça comportent (comme les orignaux par exemple)." Citer
Habitués bencoudonc Posté(e) 30 décembre 2014 Habitués Posté(e) 30 décembre 2014 Sinon cet article m'aura appris quelque chose : me méfier des orignaux " La nature prédomine, avec tous les dangers que ça comportent (comme les orignaux par exemple)." C'est vrai que, mal apprêté, ça peut être un peu dur comme viande Citer
Habitués Le Guitariste Posté(e) 30 décembre 2014 Habitués Posté(e) 30 décembre 2014 Sinon cet article m'aura appris quelque chose : me méfier des orignaux " La nature prédomine, avec tous les dangers que ça comportent (comme les orignaux par exemple)." C'est vrai que, mal apprêté, ça peut être un peu dur comme viande se méfier des orignaux lorsqu'on est au volant, ce n'est pas une blague Citer
Habitués bencoudonc Posté(e) 30 décembre 2014 Habitués Posté(e) 30 décembre 2014 Sinon cet article m'aura appris quelque chose : me méfier des orignaux " La nature prédomine, avec tous les dangers que ça comportent (comme les orignaux par exemple)." C'est vrai que, mal apprêté, ça peut être un peu dur comme viande se méfier des orignaux lorsqu'on est au volant, ce n'est pas une blague Ben oui, et des chevreuils, et des renards, et des ratons-laveurs, et même des lièvres. Duuuh. Citer
Habitués Le Guitariste Posté(e) 30 décembre 2014 Habitués Posté(e) 30 décembre 2014 Sinon cet article m'aura appris quelque chose : me méfier des orignaux " La nature prédomine, avec tous les dangers que ça comportent (comme les orignaux par exemple)." C'est vrai que, mal apprêté, ça peut être un peu dur comme viande se méfier des orignaux lorsqu'on est au volant, ce n'est pas une blague Ben oui, et des chevreuils, et des renards, et des ratons-laveurs, et même des lièvres. Duuuh. oui mais la différence c'est que les orignaux peuvent tuer dans un accident Citer
Habitués kuroczyd Posté(e) 30 décembre 2014 Habitués Posté(e) 30 décembre 2014 Sinon cet article m'aura appris quelque chose : me méfier des orignaux " La nature prédomine, avec tous les dangers que ça comportent (comme les orignaux par exemple)."C'est vrai que, mal apprêté, ça peut être un peu dur comme viande se méfier des orignaux lorsqu'on est au volant, ce n'est pas une blagueBen oui, et des chevreuils, et des renards, et des ratons-laveurs, et même des lièvres. Duuuh.oui mais la différence c'est que les orignaux peuvent tuer dans un accidentUn cheveuil aussi ... Citer
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