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  • Habitués
Posté(e)

Et donc, au final, c'est quoi un Canadien ???:innocent:

Celui qui a la citoyenneté canadienne :)

Pas con comme réponse.:lol:

Simple, concis et y a pas à tortiller ... ça tient la route !:P

  • Habitués
Posté(e)

Et donc, au final, c'est quoi un Canadien ???:innocent:

Celui qui a la citoyenneté canadienne :)

+1

Et ca conclut bien tout ce débat je trouve :good:

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Et donc, au final, c'est quoi un Canadien ???:innocent:

Celui qui a la citoyenneté canadienne :)

+1

Et ca conclut bien tout ce débat je trouve :good:

Et c'est quoi être un Québécois?

Voilà une question que je ne me pose jamais quand je suis tranquillement chez moi, dans mes pénates. Tout le monde autour de moi parle français, se lève le matin pour aller bosser, rentre le soir pour s'occuper de sa famille, etc. Je vis en français, je travaille en français, je magasine en français, mes loisirs sont en français, et les touristes qui s'adressent à moi en anglais, j'aime bien leurs $$$ mais je les emmerde!

Paradoxalement, je me sens Québécoise lorsque je suis hors du Québec.

Dernièrement, j'ai fait un voyage à Ottawa en avion. Dès la descente d'avion, j'entends des instructions pour les passagers en anglais, je lis des panneaux unilingues anglais, les radios parlent en anglais, les musiques sont en anglais, dans les restos et les commerces, tout le monde veut me forcer à parler anglais ... Même si je suis parfaitement bilingue, l'aéroport d'Ottawa (qui n'est pas si loin du Québec finalement) réveille ma fibre québécoise et pas à peu près! Au bout de 20 minutes, je me sens Québécoise jusqu'à la racine des cheveux et j'ai juste envie d'emmerder tous ces abrutis. Lors de mon voyage, tête de cochon que je suis, je les ai emmerdés jusqu'au bout et ils ont été bien obligés de s'adresser à moi rien qu'en français.

Un autre voyage à Toronto. Je regardais les gens aller et je me disais: franchement, je n'ai rien en commun avec ces personnes.

Bref, personnellement, je ne peux pas préciser à partir de quand je me sens attachée à mon bout de pays ni exactement dans quelles conditions. Tout ce que je sais, c'est que l'identité québécoise ne me dit pas grand chose tant que je suis à Québec (ben, je suis comme tout le monde, pas de quoi faire un plat), mais que je suis bien forcée de la traîner partout où je vais comme une seconde peau.

Modifié par Kweli
  • Habitués
Posté(e)

Bref, personnellement, je ne peux pas préciser à partir de quand je me sens attachée à mon bout de pays ni exactement dans quelles conditions. Tout ce que je sais, c'est que l'identité québécoise ne me dit pas grand chose tant que je suis à Québec (ben, je suis comme tout le monde, pas de quoi faire un plat), mais que je suis bien forcée de la traîner partout où je vais comme une seconde peau.

...ce qui fait de toi une crypto-québécoise... :P:lol:

  • Habitués
Posté(e)

Et donc, au final, c'est quoi un Canadien ???:innocent:

Celui qui a la citoyenneté canadienne :)

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Et ca conclut bien tout ce débat je trouve :good:

Et c'est quoi être un Québécois?

Voilà une question que je ne me pose jamais quand je suis tranquillement chez moi, dans mes pénates. Tout le monde autour de moi parle français, se lève le matin pour aller bosser, rentre le soir pour s'occuper de sa famille, etc. Je vis en français, je travaille en français, je magasine en français, mes loisirs sont en français, et les touristes qui s'adressent à moi en anglais, j'aime bien leurs $$$ mais je les emmerde!

Paradoxalement, je me sens Québécoise lorsque je suis hors du Québec.

Dernièrement, j'ai fait un voyage à Ottawa en avion. Dès la descente d'avion, j'entends des instructions pour les passagers en anglais, je lis des panneaux unilingues anglais, les radios parlent en anglais, les musiques sont en anglais, dans les restos et les commerces, tout le monde veut me forcer à parler anglais ... Même si je suis parfaitement bilingue, l'aéroport d'Ottawa (qui n'est pas si loin du Québec finalement) réveille ma fibre québécoise et pas à peu près! Au bout de 20 minutes, je me sens Québécoise jusqu'à la racine des cheveux et j'ai juste envie d'emmerder tous ces abrutis. Lors de mon voyage, tête de cochon que je suis, je les ai emmerdés jusqu'au bout et ils ont été bien obligés de s'adresser à moi rien qu'en français.

Un autre voyage à Toronto. Je regardais les gens aller et je me disais: franchement, je n'ai rien en commun avec ces personnes.

Bref, personnellement, je ne peux pas préciser à partir de quand je me sens attachée à mon bout de pays ni exactement dans quelles conditions. Tout ce que je sais, c'est que l'identité québécoise ne me dit pas grand chose tant que je suis à Québec (ben, je suis comme tout le monde, pas de quoi faire un plat), mais que je suis bien forcée de la traîner partout où je vais comme une seconde peau.

c'est un peu comme toutes les nationalités finalement, c'est quand tu es hors du pays, que tu défends plus férocement tes origines.

  • Habitués
Posté(e) (modifié)
...et les touristes qui s'adressent à moi en anglais, j'aime bien leurs $$$ mais je les emmerde!

Alors ça, y a pas à dire, c'est grande classe !!!

Ben si être québécois, c'est avoir ce genre de raisonnement, disons que je me contenterais d'être canadien ...

T'es comme ça aussi avec les immigrants ou bien t'arrives à te souvenir que t'en fut une ?!

Modifié par Baker & Hattaway
  • Habitués
Posté(e)

Lors de mon voyage, tête de cochon que je suis, je les ai emmerdés jusqu'au bout et ils ont été bien obligés de s'adresser à moi rien qu'en français.

Alors là, je ne suis pas du tout d'accord. A l'extérieur du Québec, c'est en anglais que ca se passe, et on se doit de respecter ces gens comme on désire être respecté lorsqu'on ait chez nous.

Sinon, ma théorie sur le fantasme des canadiens sur le multiculturalisme : C'est pour eux une facon d'expier leur crime contres les francophones et les amérindiens.

Michel

  • Habitués
Posté(e)

Lors de mon voyage, tête de cochon que je suis, je les ai emmerdés jusqu'au bout et ils ont été bien obligés de s'adresser à moi rien qu'en français.

Alors là, je ne suis pas du tout d'accord. A l'extérieur du Québec, c'est en anglais que ca se passe, et on se doit de respecter ces gens comme on désire être respecté lorsqu'on ait chez nous.

Tout a fait Michel. J'avais pas relevé ce passage qui pourtant le mérite.

Pour revenir un peu au sujet, je me pose une question concernant les drapeaux.

Contrairement à chez nous, j'ai remarqué qu'on voyait peu de drapeau au fronton des maisons. Que ce soit un drapeau national, de province (ou d'état) ou d'une équipe de sport.

C'est mal vu ou bien juste pas dans la mentalité canadienne ?

Si un habitant du Québec met un drapeau Canadien au mat de sa maison, est-ce-qu'il se fera mal voir de ses voisin ou bien s'en fichent-ils ?

J'aime bien ça, moi, les drapeaux devant les maisons. J'aurais le choix puisque j'ai celui du Canada, du Québec, de l'Ontario et même celui de Montréal.

  • Habitués
Posté(e) (modifié)
Au bout de 20 minutes, je me sens Québécoise jusqu'à la racine des cheveux et j'ai juste envie d'emmerder tous ces abrutis. Lors de mon voyage, tête de cochon que je suis, je les ai emmerdés jusqu'au bout et ils ont été bien obligés de s'adresser à moi rien qu'en français.

Quand je lis ça, je n'y vois que du préjugé, un certain racisme lié à la langue. Être Québécois, ne se résume heureusement pas à parler français et à développer une haine de son voisin.

Modifié par MontRoyal
  • Habitués
Posté(e)

Pour revenir un peu au sujet, je me pose une question concernant les drapeaux.

Contrairement à chez nous, j'ai remarqué qu'on voyait peu de drapeau au fronton des maisons. Que ce soit un drapeau national, de province (ou d'état) ou d'une équipe de sport.

C'est mal vu ou bien juste pas dans la mentalité canadienne ?

Si un habitant du Québec met un drapeau Canadien au mat de sa maison, est-ce-qu'il se fera mal voir de ses voisin ou bien s'en fichent-ils ?

J'aime bien ça, moi, les drapeaux devant les maisons. J'aurais le choix puisque j'ai celui du Canada, du Québec, de l'Ontario et même celui de Montréal.

Un peu plus avant sur ce fil, j'ai écrit que le patriotisme canadien était plus passif, moins évident que celui des Américains. Je me souviens, toute jeune, lors de mes premiers voyages aux USA, d'avoir été surprise du nombre de drapeaux américains hissés devant les chaumières.

Je ne peux pas parler pour l'ensemble du Canada mais je te dirais que ce n'est pas nécessairement mal vu, seulement moins courant, moins instinctif. Ici, dans ma région très francophone, je vois les deux (drapeau québécois et canadien) mais plus souvent le québécois et jamais ou très rarement, me semble-t-il, uniquement le drapeau canadien. Je pense que personne n'est embêté avec cela.

  • Habitués
Posté(e)

Au bout de 20 minutes, je me sens Québécoise jusqu'à la racine des cheveux et j'ai juste envie d'emmerder tous ces abrutis. Lors de mon voyage, tête de cochon que je suis, je les ai emmerdés jusqu'au bout et ils ont été bien obligés de s'adresser à moi rien qu'en français.

Quand je lis ça, je n'y vois que du préjugé, un certain racisme lié à la langue. Être Québécois, ne se résume heureusement pas à parler français et à développer une haine de son voisin.

Il y a tout de même une différence entre être raciste et exiger d'être servi dans sa langue, surtout dans la capitale nationale d'un pays qui se targue d'être bilingue d'un océan à l'autre.

Posté(e)

http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-canadienne/201006/30/01-4294354-quest-ce-quun-canadien.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS1

Existe-t-il une identité canadienne? Oui, répond Michael Adams, président de la firme de sondage Environics. «L'identité du Canada, c'est celle d'une place où la diversité est une occasion, pas un problème, et où on est accommodant pour l'autre.»

Il n'existerait donc pas un «nous» canadien bien circonscrit. Le Canada serait plutôt défini par une valeur commune: celle de laisser chacun fleurir à sa façon. M. Adams va encore plus loin: «Le multiculturalisme est notre identité nationale.»

Et c'est une bonne chose, croit Antonia Maioni, directrice de l'Institut d'études canadiennes de McGill. «Chercher une identité n'est pas la bonne façon de voir les choses», soutient-elle.

Elle se souvient de la conférence des «grands penseurs» du Parti libéral du Canada organisée à Montréal au printemps. «Plusieurs cherchaient à définir le Canada, à lui accoler une marque. Je trouvais cela désolant. Un pays n'est pas une boîte de céréales qu'on essaie de vendre, c'est une entité complexe et multiple.»

Le pluralisme empêche-t-il toute possibilité d'identité canadienne? Jean-François Lisée ne le croit pas. «Bien sûr qu'il existe une identité canadienne, lance-t-il. La difficulté, c'est de la définir. La romancière Margaret Atwood a dit que le fondement de notre identité était la survivance aux éléments, au temps et à l'énorme pôle d'attraction états-unien», indique l'ancien conseiller de Jacques Parizeau et Lucien Bouchard et blogueur à L'actualité.

Pas comme le voisin

En 1993, The Economist a décrit le Canada ainsi: «Des États-Unis avec un système de santé public et sans fusils.» Les Canadiens se sont en effet toujours un peu définis par ce qui les distingue de leur voisin géant. «C'est passé du chemin de fer à la CBC à l'assurance maladie», rappelle M. Lisée.

Distinguer ces deux cultures est toutefois plus difficile. La culture pop canadienne se fond souvent dans l'américaine. Des artistes qui réussissent, comme Neil Young ou Michael J. Fox, s'établissent aux États-Unis assez longtemps pour qu'on oublie leur passeport original. Toronto a même calqué le Walk of Fame d'Hollywood, rappelle M. Lisée.

A-t-on tort d'opposer le Canada aux États-Unis? Antonia Maioni pense que oui. «C'est naïf. Cela suppose que les États-Unis sont un pays uniforme. Or, leurs différences régionales sont encore plus fortes que les nôtres.»

Ce serait naïf, et aussi suranné. Dans son essai Fire&Ice, Michael Adams soutient que les Canadiens se différencient de plus en plus des Américains. «On se définissait auparavant dans l'ombre des empires. Mais depuis 50 ans, on sort du colonialisme, on devient notre propre trajectoire exceptionnelle.»

L'identité, une chose récente

Au début des années 60, le Canada n'avait pas encore de drapeau ni d'hymne national. Et la fête du Canada se célébrait très peu, explique M. Lisée. «Pour les étrangers, l'identité canadienne existe depuis longtemps. Mais pour les Canadiens eux-mêmes, c'est une chose beaucoup plus récente. L'acte de naissance du Canada moderne est la Charte des droits et libertés de 1982.»

Selon le souverainiste, au-delà du pluralisme, les Québécois et les autres Canadiens possèdent des valeurs communes et distinctes. «Dans un sondage mené en 1990, on a constaté que la différence entre ces deux groupes était aussi importante que la différence entre les Français et les Allemands. La question où la distinction était la plus nette était: que choisissez-vous entre le plaisir et le devoir? Les Québécois optaient pour le plaisir, et les Canadiens pour le devoir. Peut-être est-ce la faute du protestantisme.»

On n'est pas loin du cliché du Canadien aussi agité que les eaux glaciales des Rocheuses. Michael Adams s'attaque à cette image. «L'image des Rocheuses, des orignaux et de la police montée est révolue. Aujourd'hui, les Canadiens, c'est le Cirque du Soleil, Juste pour rire, Russell Peters et la montée des autochtones.»

Alors que la population canadienne a été recensée à 34 millions, et les 2/3 de cette augmentation grace à l'immigration, pour vous, futur canadien, c'est quoi votre définition ?

Sur le sujet deux vidéos

Vidéo 1

Vidéo 2

  • Habitués
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Il y a tout de même une différence entre être raciste et exiger d'être servi dans sa langue, surtout dans la capitale nationale d'un pays qui se targue d'être bilingue d'un océan à l'autre.

Ce sont des propos inaceptables. Si le "tous ces abrutis" avaient été destinés aux Québécois, ça n'aurait pas fait long feu. M'enfin, immigrer.com quoi...

  • Habitués
Posté(e)

Il y a tout de même une différence entre être raciste et exiger d'être servi dans sa langue, surtout dans la capitale nationale d'un pays qui se targue d'être bilingue d'un océan à l'autre.

Ce sont des propos inaceptables. Si le "tous ces abrutis" avaient été destinés aux Québécois, ça n'aurait pas fait long feu. M'enfin, immigrer.com quoi...

Plutôt tendancieuse voir polémique comme réponse ......

  • Habitués
Posté(e)
Plutôt tendancieuse voir polémique comme réponse ......

En quoi c'est tendancieux ? L'animosité que certains développent envers les Canadiens-anglais ou les Canadiens-français (parce que ça marche dans les 2 sens) n'est un secret pour personne.

  • Habitués
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Plutôt tendancieuse voir polémique comme réponse ......

En quoi c'est tendancieux ? L'animosité que certains développent envers les Canadiens-anglais ou les Canadiens-français (parce que ça marche dans les 2 sens) n'est un secret pour personne.

Si si c'est un secret pour moi :P Tu peux m'en parler plus? ^_^

  • Habitués
Posté(e)

1) Après l'indépendance, tous les citoyens canadiens habitant le Québec vont devenir citoyens québécois de facto. Pour ce qui est de la nationalité canadienne, ben comment deviner ce qu'Ottawa va décider? (je te souligne que 2 millions de Canadiens vivent à l'étranger)

Mais ça c'est ta version... il y a autant de version différente que d'indépendantiste. C'est quoi un Québécois, juste quelqu'un qui vit au Québec ? On en revient à la question du projet indépendantiste. Bah, il y en a pas. Ça se résume à : "On verra quand on y sera".

Pas mal d'accord avec Captain-Volvic-Yoplait-MrPlante-MontRoyal.

J'ai essayé, surement maladroitement, de comprendre ce que le PQ et le Bloc proposait en cas de victoire d'un referendum sur l'indépendance du Québec. J'ai surtout trouvé du vide, du "On verra quand on y sera" et du flou.

Lorsque je suis arrivé il ya 4 ans, le sujet de l'indépendance était encore sensible dans mon entourage proffessionel, aujourd'hui il est tout simplement complètement absent.

Il est d'ailleurs également largement absent de la part de PQ et du bloc qui ont mis en priorité leur coté social-démocrate, au détriment de l'objectif d'indépendance.

  • Habitués
Posté(e)

Il y a tout de même une différence entre être raciste et exiger d'être servi dans sa langue, surtout dans la capitale nationale d'un pays qui se targue d'être bilingue d'un océan à l'autre.

Ce sont des propos inaceptables. Si le "tous ces abrutis" avaient été destinés aux Québécois, ça n'aurait pas fait long feu. M'enfin, immigrer.com quoi...

Kweli a son franc-parler mais je ne crois pas qu'elle voulait dire "les Canadiens anglais sont des abrutis". À ce que je sache, Kweli aime le Canada et est fédéraliste, ce qui évidemment n'est pas un empêchement pour se sentir également Québécoise.

J'ai interprété son utilisation du mot "abruti" comme un terme générique (pas nécessairement délicat...sleep.gif ) pour désigner simplement ces gens-là, les travailleurs de l'aéroport. Faut pas voir le mal partout, n'est-ce pas?

Et puis, tu es très mal placé pour faire la leçon car c'est bien toi qui a généralisé une forme d'abrutissement collectif des Québécois en écrivant ceci:

Mais bien souvent, certaines différences culturelles sont mal interprétées quand on y vit que temporairement. Il y a des tas de choses à découvrir, mais parfois on se dit "sont vraiment des handicapés du cerveau !".

whistlingb.gif

C'est ça aussi immigrer.com!

  • Habitués
Posté(e)

à date, le Canadien, ce nest pas moi,

Cest incroyable, ca fait 5 mois que jai posté le dossier pour la citoyenneté et je nai toujours pas reçu laccusé de réception.

  • Habitués
Posté(e)
Kweli a son franc-parler mais je ne crois pas qu'elle voulait dire "les Canadiens anglais sont des abrutis". À ce que je sache, Kweli aime le Canada et est fédéraliste, ce qui évidemment n'est pas un empêchement pour se sentir également Québécoise.

J'ai interprété son utilisation du mot "abruti" comme un terme générique (pas nécessairement délicat...sleep.gif ) pour désigner simplement ces gens-là, les travailleurs de l'aéroport. Faut pas voir le mal partout, n'est-ce pas?

Et puis, tu es très mal placé pour faire la leçon car c'est bien toi qui a généralisé une forme d'abrutissement collectif des Québécois en écrivant ceci:

Mais bien souvent, certaines différences culturelles sont mal interprétées quand on y vit que temporairement. Il y a des tas de choses à découvrir, mais parfois on se dit "sont vraiment des handicapés du cerveau !".

whistlingb.gif

C'est ça aussi immigrer.com!

Tu as bien raison de mettre toute ma phrase car j'explique bien que c'est une différence culturelle et le terme "handicapés du cerveau" est parfois un ressenti d'une mauvaise compréhension de la part de l'immigrant. Rien à voir avec Kweli qui accuse ouvertement d'abrutis les Canadiens-anglais.

Mais je note ta remarque. Si un jour je dis que les Québécois sont des abrutis, tu le considéras comme un terme générique peu délicat pour désigner simplement les Québécois (c'est tes propres termes) :innocent: Tiens, c'est drôle mais je pense plutôt que la censure me tombera dessus si c'est le cas.

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