Aller au contenu

Les Nord-Africains ont de la difficulté à trouver un emploi


Angela

Messages recommandés

  • Habitués
Cet article ne nous apprend rien que l'on savait déjà ! Les immigrants ont un taux de chômage plus élevés que les populations locales, c'est vrai au Canada mais c'est vrai AUSSI partout à travers le monde... (difficultés d'intégration, difficultés de faire reconnaître leurs diplômes pour les immigrants etc. )

C'est vrai ailleurs, en effet, sauf qu'ici les immigrants ont un niveau d'éducation plus élevé qu'ailleurs, souvent même plus élevé que la moyenne canadienne, et que ce n'est donc pas normal. Par ailleurs, le Canada pratique un système dit d'immigration choisie, ce qui constitue une circonstance aggravante pour Ottawa. Pourquoi trier les immigrants sur le volet pour en fin de compte les destiner à faire des sandwich kebab ? C'est d'autant plus grave que ce système siphonne toute la matière grise des pays pauvres qui se voient ainsi privés de cerveaux. C'est une double abberation.

Mats, entre un préposé aux sandwichs qui ne sait pas lire et celui qui a un diplôme universitaire, je choisis le second si je suis recruteur. Et tu sais pourquoi? Parce que les avantages de l'éducation vont loin au delà du salaire et du revenu: plus les gens sont éduqués, plus ils sont propres, plus ils sont en santé, etc. Ils risquent mois de verser dans la criminalité et de se ramasser en prison. Ils font moins d'enfants et les éduquent mieux. Ils sont relativement ouverts aux valeurs démocratiques, etc ... Donc, recruter des universitaires tout en sachant qu'ils vont peut-être faire le taxi, c'est fait exprès: il est plus facile de gérer les gens éduqués, même accablés de frustration, que des gens peu instruits ...

Propre et en santé, on ne le reste pas longtemps avec le salaire minimum, une famille à charge et une frustration qui peut conduire en fin de compte à se révolter contre le système, ce qui ne sert pas les intérêts de la société. à ce niveau, ce n'est plus une politique d'immigration, c'est du pur cynisme, c'est grave, honteux et contre-productif.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Réponses 190
  • Created
  • Dernière réponse

Top Posters In This Topic

  • Habitués
Cet article ne nous apprend rien que l'on savait déjà ! Les immigrants ont un taux de chômage plus élevés que les populations locales, c'est vrai au Canada mais c'est vrai AUSSI partout à travers le monde... (difficultés d'intégration, difficultés de faire reconnaître leurs diplômes pour les immigrants etc. )

C'est vrai ailleurs, en effet, sauf qu'ici les immigrants ont un niveau d'éducation plus élevé qu'ailleurs, souvent même plus élevé que la moyenne canadienne, et que ce n'est donc pas normal. Par ailleurs, le Canada pratique un système dit d'immigration choisie, ce qui constitue une circonstance aggravante pour Ottawa. Pourquoi trier les immigrants sur le volet pour en fin de compte les destiner à faire des sandwich kebab ? C'est d'autant plus grave que ce système siphonne toute la matière grise des pays pauvres qui se voient ainsi privés de cerveaux. C'est une double abberation.

Mats, entre un préposé aux sandwichs qui ne sait pas lire et celui qui a un diplôme universitaire, je choisis le second si je suis recruteur. Et tu sais pourquoi? Parce que les avantages de l'éducation vont loin au delà du salaire et du revenu: plus les gens sont éduqués, plus ils sont propres, plus ils sont en santé, etc. Ils risquent mois de verser dans la criminalité et de se ramasser en prison. Ils font moins d'enfants et les éduquent mieux. Ils sont relativement ouverts aux valeurs démocratiques, etc ... Donc, recruter des universitaires tout en sachant qu'ils vont peut-être faire le taxi, c'est fait exprès: il est plus facile de gérer les gens éduqués, même accablés de frustration, que des gens peu instruits ...

angela je voulais pas le dire pour ne pas passer pour un raciste..mais ce ce que je pense aussi...un non eduque africain ou maghrebin pour les occidentaux ressemble a qq un de sale sans savoir vivre...avec des idees retrogrades et tout le tralala malheursement c le cliche que bon nombre de recruteur occidentaux ont.....

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Cet article ne nous apprend rien que l'on savait déjà ! Les immigrants ont un taux de chômage plus élevés que les populations locales, c'est vrai au Canada mais c'est vrai AUSSI partout à travers le monde... (difficultés d'intégration, difficultés de faire reconnaître leurs diplômes pour les immigrants etc. )

C'est vrai ailleurs, en effet, sauf qu'ici les immigrants ont un niveau d'éducation plus élevé qu'ailleurs, souvent même plus élevé que la moyenne canadienne, et que ce n'est donc pas normal. Par ailleurs, le Canada pratique un système dit d'immigration choisie, ce qui constitue une circonstance aggravante pour Ottawa. Pourquoi trier les immigrants sur le volet pour en fin de compte les destiner à faire des sandwich kebab ? C'est d'autant plus grave que ce système siphonne toute la matière grise des pays pauvres qui se voient ainsi privés de cerveaux. C'est une double abberation.

Mats, entre un préposé aux sandwichs qui ne sait pas lire et celui qui a un diplôme universitaire, je choisis le second si je suis recruteur. Et tu sais pourquoi? Parce que les avantages de l'éducation vont loin au delà du salaire et du revenu: plus les gens sont éduqués, plus ils sont propres, plus ils sont en santé, etc. Ils risquent mois de verser dans la criminalité et de se ramasser en prison. Ils font moins d'enfants et les éduquent mieux. Ils sont relativement ouverts aux valeurs démocratiques, etc ... Donc, recruter des universitaires tout en sachant qu'ils vont peut-être faire le taxi, c'est fait exprès: il est plus facile de gérer les gens éduqués, même accablés de frustration, que des gens peu instruits ...

ahhh angela, je ne suis pas d'accord avec tes propos... tu sais nous sommes ici dans un environnement puremment capitaliste, et tu es sans ignorer les lois et contraintes prevalant dans un tel environnement concurrentiel cela dit, chaque entreprise envisage egaler son cout marginal au prix du marché..

cest donc dire, un entrepreneur exercant dans le sandwitch, jugera necessaire d'embaucher celui qui sait faire cette job, meme ss niveau, que d'embaucher un universitaire bourré de theories de tt bord.

cest pr cette raison qu'au quebec, au lieu dembaucher directement un ingenieur , on prefere recruter un titulaire de DEP ou DES, et le former sur le tas, et ce dernier fera la meme job que l'ingenieur, et sera payé 10 fois moins que l'ingenieur.....

et ct meme ce qui pousse bon nombre dentreprises à se delocaliser en chine, à cause de la main d'oeuvre.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués
tu as totalement raison!! il faut envisager aisni de faire une carriere en tant que prepose meme si vous etiez ingenieur ou docteur chez vous! par prepose je veux dire entretient menager entre autre....c'est un metier comme un autre.

Ah ouinnnn...??? et tu fais quoi toi?

le probleme n est pas ec que je fais moi....mais ce que vous devez vous attendre a faire en arrivant..c'est tout.

tu sais quand j etais a quebec j'ai pas trop cotoye d'immigrant mais c fous depuis que je suis a montreal combien je vois de toutes origines et qui sont surdipolomes dans leur pays et qui depuis des annees font des ptits jobs....c'est ca que je condamne y en a pour qui ca dure depuis 10 ans.

ceux qui s'ensortent le mieux sont ceux qui sont juste venue ici avec un diplome de fin d etudes genre le bac( francais) ils n etaient pas surqualifie pour les metiers proposes et ont vite trouver un job..les autrees galerent.

Juste qu'il y a une grosse différence entre l'envisager et le vivre, non?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués
Cet article ne nous apprend rien que l'on savait déjà ! Les immigrants ont un taux de chômage plus élevés que les populations locales, c'est vrai au Canada mais c'est vrai AUSSI partout à travers le monde... (difficultés d'intégration, difficultés de faire reconnaître leurs diplômes pour les immigrants etc. )

C'est vrai ailleurs, en effet, sauf qu'ici les immigrants ont un niveau d'éducation plus élevé qu'ailleurs, souvent même plus élevé que la moyenne canadienne, et que ce n'est donc pas normal. Par ailleurs, le Canada pratique un système dit d'immigration choisie, ce qui constitue une circonstance aggravante pour Ottawa. Pourquoi trier les immigrants sur le volet pour en fin de compte les destiner à faire des sandwich kebab ? C'est d'autant plus grave que ce système siphonne toute la matière grise des pays pauvres qui se voient ainsi privés de cerveaux. C'est une double abberation.

+ 1000! Je suis entièrement d'accord avec toi.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués
Cet article ne nous apprend rien que l'on savait déjà ! Les immigrants ont un taux de chômage plus élevés que les populations locales, c'est vrai au Canada mais c'est vrai AUSSI partout à travers le monde... (difficultés d'intégration, difficultés de faire reconnaître leurs diplômes pour les immigrants etc. )

C'est vrai ailleurs, en effet, sauf qu'ici les immigrants ont un niveau d'éducation plus élevé qu'ailleurs, souvent même plus élevé que la moyenne canadienne, et que ce n'est donc pas normal. Par ailleurs, le Canada pratique un système dit d'immigration choisie, ce qui constitue une circonstance aggravante pour Ottawa. Pourquoi trier les immigrants sur le volet pour en fin de compte les destiner à faire des sandwich kebab ? C'est d'autant plus grave que ce système siphonne toute la matière grise des pays pauvres qui se voient ainsi privés de cerveaux. C'est une double abberation.

Mats, entre un préposé aux sandwichs qui ne sait pas lire et celui qui a un diplôme universitaire, je choisis le second si je suis recruteur. Et tu sais pourquoi? Parce que les avantages de l'éducation vont loin au delà du salaire et du revenu: plus les gens sont éduqués, plus ils sont propres, plus ils sont en santé, etc. Ils risquent mois de verser dans la criminalité et de se ramasser en prison. Ils font moins d'enfants et les éduquent mieux. Ils sont relativement ouverts aux valeurs démocratiques, etc ... Donc, recruter des universitaires tout en sachant qu'ils vont peut-être faire le taxi, c'est fait exprès: il est plus facile de gérer les gens éduqués, même accablés de frustration, que des gens peu instruits ...

ahhh angela, je ne suis pas d'accord avec tes propos... tu sais nous sommes ici dans un environnement puremment capitaliste, et tu es sans ignorer les lois et contraintes prevalant dans un tel environnement concurrentiel cela dit, chaque entreprise envisage egaler son cout marginal au prix du marché..

cest donc dire, un entrepreneur exercant dans le sandwitch, jugera necessaire d'embaucher celui qui sait faire cette job, meme ss niveau, que d'embaucher un universitaire bourré de theories de tt bord.

cest pr cette raison qu'au quebec, au lieu dembaucher directement un ingenieur , on prefere recruter un titulaire de DEP ou DES, et le former sur le tas, et ce dernier fera la meme job que l'ingenieur, et sera payé 10 fois moins que l'ingenieur.....

et ct meme ce qui pousse bon nombre dentreprises à se delocaliser en chine, à cause de la main d'oeuvre.

+1

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués
tu as totalement raison!! il faut envisager aisni de faire une carriere en tant que prepose meme si vous etiez ingenieur ou docteur chez vous! par prepose je veux dire entretient menager entre autre....c'est un metier comme un autre.

Ah ouinnnn...??? et tu fais quoi toi?

le probleme n est pas ec que je fais moi....mais ce que vous devez vous attendre a faire en arrivant..c'est tout.

tu sais quand j etais a quebec j'ai pas trop cotoye d'immigrant mais c fous depuis que je suis a montreal combien je vois de toutes origines et qui sont surdipolomes dans leur pays et qui depuis des annees font des ptits jobs....c'est ca que je condamne y en a pour qui ca dure depuis 10 ans.

ceux qui s'ensortent le mieux sont ceux qui sont juste venue ici avec un diplome de fin d etudes genre le bac( francais) ils n etaient pas surqualifie pour les metiers proposes et ont vite trouver un job..les autrees galerent.

Juste qu'il y a une grosse différence entre l'envisager et le vivre, non?

desoler mais j ai pas compris ce que tu veux dire...

ce que je veux dire simplement c que une grande majorite d africains qui viennet ici avec leur diplome?( d ailleur il ne peuvent pas venir sans!!!) trouveront pour une toute petite [rortion de la job dans leur domaine les autres galerent..

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués
Cet article ne nous apprend rien que l'on savait déjà ! Les immigrants ont un taux de chômage plus élevés que les populations locales, c'est vrai au Canada mais c'est vrai AUSSI partout à travers le monde... (difficultés d'intégration, difficultés de faire reconnaître leurs diplômes pour les immigrants etc. )

C'est vrai ailleurs, en effet, sauf qu'ici les immigrants ont un niveau d'éducation plus élevé qu'ailleurs, souvent même plus élevé que la moyenne canadienne, et que ce n'est donc pas normal. Par ailleurs, le Canada pratique un système dit d'immigration choisie, ce qui constitue une circonstance aggravante pour Ottawa. Pourquoi trier les immigrants sur le volet pour en fin de compte les destiner à faire des sandwich kebab ? C'est d'autant plus grave que ce système siphonne toute la matière grise des pays pauvres qui se voient ainsi privés de cerveaux. C'est une double abberation.

Mats, entre un préposé aux sandwichs qui ne sait pas lire et celui qui a un diplôme universitaire, je choisis le second si je suis recruteur. Et tu sais pourquoi? Parce que les avantages de l'éducation vont loin au delà du salaire et du revenu: plus les gens sont éduqués, plus ils sont propres, plus ils sont en santé, etc. Ils risquent mois de verser dans la criminalité et de se ramasser en prison. Ils font moins d'enfants et les éduquent mieux. Ils sont relativement ouverts aux valeurs démocratiques, etc ... Donc, recruter des universitaires tout en sachant qu'ils vont peut-être faire le taxi, c'est fait exprès: il est plus facile de gérer les gens éduqués, même accablés de frustration, que des gens peu instruits ...

Angela, alors là je suis atterrée par ce que tu dis. Tu penses que les personnes hautement diplômées ne peuvent pas devenir des criminels, ne peuvent pas devenir dépressives à cause de la frustration qu'engendre la situation précaire dans laquelle elles sont?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués
Cet article ne nous apprend rien que l'on savait déjà ! Les immigrants ont un taux de chômage plus élevés que les populations locales, c'est vrai au Canada mais c'est vrai AUSSI partout à travers le monde... (difficultés d'intégration, difficultés de faire reconnaître leurs diplômes pour les immigrants etc. )

C'est vrai ailleurs, en effet, sauf qu'ici les immigrants ont un niveau d'éducation plus élevé qu'ailleurs, souvent même plus élevé que la moyenne canadienne, et que ce n'est donc pas normal. Par ailleurs, le Canada pratique un système dit d'immigration choisie, ce qui constitue une circonstance aggravante pour Ottawa. Pourquoi trier les immigrants sur le volet pour en fin de compte les destiner à faire des sandwich kebab ? C'est d'autant plus grave que ce système siphonne toute la matière grise des pays pauvres qui se voient ainsi privés de cerveaux. C'est une double abberation.

Mats, entre un préposé aux sandwichs qui ne sait pas lire et celui qui a un diplôme universitaire, je choisis le second si je suis recruteur. Et tu sais pourquoi? Parce que les avantages de l'éducation vont loin au delà du salaire et du revenu: plus les gens sont éduqués, plus ils sont propres, plus ils sont en santé, etc. Ils risquent mois de verser dans la criminalité et de se ramasser en prison. Ils font moins d'enfants et les éduquent mieux. Ils sont relativement ouverts aux valeurs démocratiques, etc ... Donc, recruter des universitaires tout en sachant qu'ils vont peut-être faire le taxi, c'est fait exprès: il est plus facile de gérer les gens éduqués, même accablés de frustration, que des gens peu instruits ...

Angela, alors là je suis atterrée par ce que tu dis. Tu penses que les personnes hautement diplômées ne peuvent pas devenir des criminels, ne peuvent pas devenir dépressives à cause de la frustration qu'engendre la situation précaire dans laquelle elles sont?

ils deviendront des criminels en costards cravates: mafieux,blanchiments d'aregnts,avocat verreux....

mais beaucoup moins braqueurs.........

c pas ca le probleme il ya toujours des exceptions ..mais ce que dit angela est totalemnt vrai c comme ca que sont percus les non diplomes provenant des pays du tier monde et c est pour ca que l on prefere les diplomes.c honteux et malheureux mais c la verite

Modifié par Neo-quebecois V.08
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués
Cet article ne nous apprend rien que l'on savait déjà ! Les immigrants ont un taux de chômage plus élevés que les populations locales, c'est vrai au Canada mais c'est vrai AUSSI partout à travers le monde... (difficultés d'intégration, difficultés de faire reconnaître leurs diplômes pour les immigrants etc. )

C'est vrai ailleurs, en effet, sauf qu'ici les immigrants ont un niveau d'éducation plus élevé qu'ailleurs, souvent même plus élevé que la moyenne canadienne, et que ce n'est donc pas normal. Par ailleurs, le Canada pratique un système dit d'immigration choisie, ce qui constitue une circonstance aggravante pour Ottawa. Pourquoi trier les immigrants sur le volet pour en fin de compte les destiner à faire des sandwich kebab ? C'est d'autant plus grave que ce système siphonne toute la matière grise des pays pauvres qui se voient ainsi privés de cerveaux. C'est une double abberation.

Mats, entre un préposé aux sandwichs qui ne sait pas lire et celui qui a un diplôme universitaire, je choisis le second si je suis recruteur. Et tu sais pourquoi? Parce que les avantages de l'éducation vont loin au delà du salaire et du revenu: plus les gens sont éduqués, plus ils sont propres, plus ils sont en santé, etc. Ils risquent mois de verser dans la criminalité et de se ramasser en prison. Ils font moins d'enfants et les éduquent mieux. Ils sont relativement ouverts aux valeurs démocratiques, etc ... Donc, recruter des universitaires tout en sachant qu'ils vont peut-être faire le taxi, c'est fait exprès: il est plus facile de gérer les gens éduqués, même accablés de frustration, que des gens peu instruits ...

Angela, alors là je suis atterrée par ce que tu dis. Tu penses que les personnes hautement diplômées ne peuvent pas devenir des criminels, ne peuvent pas devenir dépressives à cause de la frustration qu'engendre la situation précaire dans laquelle elles sont?

ils deviendront des criminels en costards cravates: mafieux,blanchiments d'aregnts,avocat verreux....

mais beaucoup moins braqueurs.........

c pas ca le probleme il ya toujours des exceptions ..mais ce que dit angela est totalemnt vrai c comme ca que sont percus les non diplomes provenant des pays du tier monde et c est pour ca que l on prefere les diplomes.c honteux et malheureux mais c la verite

Neo, tu fais trop dans la généralisation...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

ecoute quand au moins 60a 70% sont dans ce cas voire plus t appel ca comment toi? une minorite? come on!!!!

ps: j ai aps voulu dire 90% lol

j espere de tout mon cpoeur que je me trompe mais je pense pas et faut pas se voila la face...

Modifié par Neo-quebecois V.08
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués
Cet article ne nous apprend rien que l'on savait déjà ! Les immigrants ont un taux de chômage plus élevés que les populations locales, c'est vrai au Canada mais c'est vrai AUSSI partout à travers le monde... (difficultés d'intégration, difficultés de faire reconnaître leurs diplômes pour les immigrants etc. )

C'est vrai ailleurs, en effet, sauf qu'ici les immigrants ont un niveau d'éducation plus élevé qu'ailleurs, souvent même plus élevé que la moyenne canadienne, et que ce n'est donc pas normal. Par ailleurs, le Canada pratique un système dit d'immigration choisie, ce qui constitue une circonstance aggravante pour Ottawa. Pourquoi trier les immigrants sur le volet pour en fin de compte les destiner à faire des sandwich kebab ? C'est d'autant plus grave que ce système siphonne toute la matière grise des pays pauvres qui se voient ainsi privés de cerveaux. C'est une double abberation.

Mats, entre un préposé aux sandwichs qui ne sait pas lire et celui qui a un diplôme universitaire, je choisis le second si je suis recruteur. Et tu sais pourquoi? Parce que les avantages de l'éducation vont loin au delà du salaire et du revenu: plus les gens sont éduqués, plus ils sont propres, plus ils sont en santé, etc. Ils risquent mois de verser dans la criminalité et de se ramasser en prison. Ils font moins d'enfants et les éduquent mieux. Ils sont relativement ouverts aux valeurs démocratiques, etc ... Donc, recruter des universitaires tout en sachant qu'ils vont peut-être faire le taxi, c'est fait exprès: il est plus facile de gérer les gens éduqués, même accablés de frustration, que des gens peu instruits ...

Angela, alors là je suis atterrée par ce que tu dis. Tu penses que les personnes hautement diplômées ne peuvent pas devenir des criminels, ne peuvent pas devenir dépressives à cause de la frustration qu'engendre la situation précaire dans laquelle elles sont?

J'ai de la difficulté à croire qu'un immigrant hautement diplômé soit suffisamment IRRESPONSABLE pour ne pas avoir vérifier auprès de son ordre professionnel au Québec AVANT d'immigrer si ses diplômes vont être reconnu ou non et à quelle condition...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués
ecoute quand au moins 60a 70% sont dans ce cas voire plus t appel ca comment toi? une minorite? come on!!!!

ps: j ai aps voulu dire 90% lol

j espere de tout mon cpoeur que je me trompe mais je pense pas et faut pas se voila la face...

Le problème Neo c'est que tu donnes des chiffres (60%, 70%, 90%) sans jamais donner de sources... As-tu des sources fiables pour appuyer tes propos ou est-ce seulement une opinion basée sur rien...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués
ecoute quand au moins 60a 70% sont dans ce cas voire plus t appel ca comment toi? une minorite? come on!!!!

ps: j ai aps voulu dire 90% lol

j espere de tout mon cpoeur que je me trompe mais je pense pas et faut pas se voila la face...

Le problème Neo c'est que tu donnes des chiffres (60%, 70%, 90%) sans jamais donner de sources... As-tu des sources fiables pour appuyer tes propos ou est-ce seulement une opinion basée sur rien...

tu as raison sc juste une oipinion mais on ne trouveras pas de source ladessus sauf si les centre de recherche d emploi donnent leur stats...et on peut se faire une idee en cotoyant les gens de ces communautes.. en cotoies tu?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués
Angela, alors là je suis atterrée par ce que tu dis. Tu penses que les personnes hautement diplômées ne peuvent pas devenir des criminels, ne peuvent pas devenir dépressives à cause de la frustration qu'engendre la situation précaire dans laquelle elles sont?

Marina, je ne veux pas faire un cours de sociologie de l'éducation ici, mais les bienfaits de l'éducation se mesurent aussi par le comportement des gens. C'est scientifiquement prouvé et ça vaut autant pour les individus que pou les collectivités. Plus les personnes sont éduquées, moins elles ont des chances de se ramasser dans la criminalité. Qui peuplent les prisons? Généralement de pauvres bougres sans instruction. Évidemment, les exceptions existent pour confirmer la règle ...

Et tu sais pourquoi un recruteur préférera des gens instruits? À cause d'un phénomène appelé "résilience". Tu sais, ce truc que nous portons en nous, à des degrés divers, qui fait que l'on tombe, on se relève, on retombe, on se relève, puis on finit par rester debout pour de bon et à vaincre l'adversité. Ça prend le temps que ça prend, mais une personne instruite possède plus d'outils pour y arriver qu'une autre peu instruite.

Neo-Québécois, tu te trompes sur deux points:

Un ouvrier, même avec 25 ans d'expérience, ne fera jamais un travail d'ingénieur. Il sera un meilleur ouvrier, peut-être un technicien mais jamais un ingénieur. De plus, le manque d'instruction n'est pas un handicap propre aux gens du tiers-monde. Même ici, manquer d'instruction est extrêmement limitatif ... Au Québec, moins tu es instruit, moins tu as des chances de trouver un bon job. Tu fais moins de revenus et tu es plus exposé aux problématiques sociales (pauvreté, mauvaise santé, alcool, drogue, etc.)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués
ecoute quand au moins 60a 70% sont dans ce cas voire plus t appel ca comment toi? une minorite? come on!!!!

ps: j ai aps voulu dire 90% lol

j espere de tout mon cpoeur que je me trompe mais je pense pas et faut pas se voila la face...

Le problème Neo c'est que tu donnes des chiffres (60%, 70%, 90%) sans jamais donner de sources... As-tu des sources fiables pour appuyer tes propos ou est-ce seulement une opinion basée sur rien...

tu as raison sc juste une oipinion mais on ne trouveras pas de source ladessus sauf si les centre de recherche d emploi donnent leur stats...et on peut se faire une idee en cotoyant les gens de ces communautes.. en cotoies tu?

Oui, tout à fait. Je suis content que tu admettes que c'est seulement une opinion de ta part... (des chiffres AUCUNEMENT supportés par une source fiable)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Le jeudi 14 fév 2008

Les Nord-Africains ont de la difficulté à trouver un emploi

Laura-Julie Perreault

La Presse

L'automne dernier, la commission Bouchard-Taylor a entendu leurs doléances à répétition. Hier, Statistique Canada a mis des chiffres sur le malaise qu'éprouvent plusieurs immigrés maghrébins: ils ont plus de difficulté que tous les autres à trouver un emploi au Québec.

En 2006, alors que le taux de chômage au Québec était à peine de 6,3% parmi les 25-54 ans, il atteignait 27,9% pour les immigrants nés dans un pays de l'Afrique du Nord et installés au Québec entre 2001 et 2006.

Ceux qui sont arrivés au cours des cinq années précédentes, soit de 1996 à 2001, s'en tirent un peu mieux. Mais avec un taux de chômage de 18,7%, ils ne rattrapent ni la population québécoise en général, ni l'ensemble des immigrants récents, qui ont un taux de chômage de 13,4%.

Mais les immigrés d'Afrique du Nord ne sont pas les seuls mal en point sur le plan de l'emploi. Dans le triste palmarès du chômage au Québec, ils sont suivis de près par les autres nouveaux arrivants d'Afrique (27,1%), puis par ceux d'Amérique latine (15,4%), d'Asie (13,3%) et d'Europe (13,2%).

Seuls les immigrés européens de longue date, établis depuis plus de 10 ans, sont à égalité avec les travailleurs québécois nés au Canada.

Écart remarqué

À Statistique Canada, le sort des nouveaux arrivants nés en Afrique du Nord n'est pas passé inaperçu. Aucun groupe au Canada n'a une situation aussi peu enviable, note Christel Le Petit, responsable à Statistique Canada des analyses tirées de l'Enquête sur la population active. «Ces statistiques peuvent s'expliquer en partie par le fait que plus de 20% des immigrants nés en Afrique sont des réfugiés. Ces derniers arrivent avec moins de documents, alors le délai pour entrer sur le marché du travail peut être plus long», a noté l'analyste en chef.

Des études antérieures lui permettent aussi d'avancer que la non-reconnaissance des diplômes et de l'expérience acquise à l'étranger ainsi que le manque de connaissance des deux langues officielles justifient aussi, en partie, le taux de chômage plus élevé.

Un retard pancanadien

Le Québec, notait Mme Le Petit hier, est aussi dans une situation peu enviable par rapport à d'autres provinces canadiennes quant à l'intégration économique des immigrés. «La situation économique y est pour quelque chose. Il y a moins d'occasions d'emploi au Québec que dans une province comme l'Alberta» qui vit un boom économique, affirme-t-elle.

Dans une première analyse statistique sur la place des immigrés sur le marché du travail en 2006, Statistique Canada avait dévoilé l'été dernier que si, dans l'ensemble du Canada, 11,1% des immigrants très récents sont incapables de trouver du travail, au Québec, ils sont 17,8% dans la même situation. Même les immigrés de longue date (plus de 10 ans au pays) s'en sortent moins bien au Québec, avec un taux de chômage plus élevé (9,2%) que dans le reste du pays (5,5%).

L'étude rendue publique hier s'attarde aussi au taux de chômage parmi les femmes immigrées. Au pays, elles ont deux fois plus de difficulté à décrocher un boulot que la population en général.

Nouvel outil statistique

Les données dévoilées hier ne peuvent être comparées à des statistiques plus anciennes. Ce n'est que depuis 2006 que Statistique Canada, dans le cadre de son Enquête sur la population active, tient compte du lieu de naissance des répondants. «Mais à l'avenir, nous allons suivre les changements de près. S'il y a des politiques ou des programmes mis en place par le gouvernement, nous pourrons en voir les effets», note Christel Le Petit.

Le chômage des immigrés

Chez les 25-54 ans en général Canada 4,9%; Québec: 6,3%

Immigrants très récents (établis entre 2001 et 2006) Canada: 11,1%; Québec: 17,8%

Immigrants récents (établis entre 1996 et 2001) Canada: 7,3%; Québec: 13,4%

Immigrés de longue date (établis avant 1996) Canada: 5,5%; Québec 9,2%

Source: http://www.cyberpresse.ca/article/20080214...19/CPACTUALITES

Pour plus de détails sur les données de Statcan: http://www.statcan.ca/Daily/Francais/080213/q080213b.htm

Malheureusement, il s'agit d'analyses préliminaires. Elles ne parlent pas par exemple du niveau de formation de ces immigrants. Elles ne parlent pas non plus de ceux qui sont sous employés. Ils ne sont peut-être pas au chômage mais des médecins qui travaillent comme préposés aux bénéficiaires, pas très brillant comme perspective de carrière ...

Il semblerait que ceux qui s'en tirent mieux sont des Asiatiques, en tout cas.

ce qui est marrant un journal local a passé l'article ce samedi 16

16 février 2008 > Actualite

Selon statistique Canada, un tiers des maghrébins sont au chômage

Les Algériens nont pas trouvé leldorado au Québec

Ils sont bardés de diplômes dans des domaines en forte demande. Ils ont été sélectionnés par le Québec pour leur scolarité supérieure, pour leur connaissance du français, pour leur « indice de fertilité » élevé et la liste est longue. Mais ils sont sans emploi : ce sont les immigrants venant dAfrique du Nord (Algérie, Maroc, Tunisie et à une moindre mesure Libye, Egypte et Soudan).

Leur tort ? Avoir cédé au marketing « humain » du Québec en pleine crise démographique et être issus de pays qui ne savent pas retenir leurs matières grises. Statistique Canada (lONS local) qui sest penché sur le chômage chez cette catégorie de la population a publié, mercredi dernier, les résultats de la première enquête du genre. Celle-ci na fait que confirmer le sentiment général que le Québec ne fait quécrémer les ressources humaines des pays du Maghreb sans les utiliser à bon escient ou tout juste pour combler les postes de travail que snobent les Québécois de souche. Ainsi, au moment où la province francophone connaît un taux de chômage de 6,3%, celui-ci grimpe à 27,9% chez les Maghrébins qui se sont installés entre 2001 et 2006, soit un taux supérieur un peu plus de quatre fois à celui des Québécois de souche. Ceux qui sy sont installés entre 1996 et 2001 connaissent un taux de chômage de 18% 3 fois supérieur que chez les « pure laine ». Lenquête ne dit pas quels emplois occupent ceux qui sont considérés « travailleurs ». Pour Hassane Serraji, co-éditeur du magazine Réussir Ici , cette situation sexplique par le fait que « limmigration maghrébine est très récente et les Maghrébins nont pas encore tissé des réseaux qui leur permettent de trouver les emplois non affichés ». Pour lui, le 11 septembre est aussi à prendre en compte mais nexplique pas tout. De son côté, Lamine Foura, journaliste animateur à la radio et à la télévision, estime que « les structures daccueil des nouveaux arrivants au Québec sont aux antipodes des critères de sélection ». « Les Maghrébins universitaires nont pas besoin de cours de francisation. On continue à appliquer à ces derniers des méthodes qui ont été pensées à une autre époque pour les réfugiés », continue-t-il.

« Largument religieux »

Les bonnes volontés québécoises, à limage dun chroniqueur dun quotidien gratuit, demandent aux nouveaux arrivants de prendre leur mal en patience : vers 2011, les baby-boomers vont partir à la retraite et là les portes de lemploi vont forcément souvrir ! Entre temps, ce sont les centres dappel qui restent les recruteurs numéros un ! Il nest pas rare, pour ne pas dire commun, de trouver toute une section dingénieurs de luniversité de Bab Ezzouar dans un centre dappel à « apprendre » aux clients des fournisseurs daccès à internet québécois à trouver le bouton « Démarrer » de windows. Ils sont confortés à longueur de journée à des clients qui en ont assez de ces immigrants qui ne parlent pas français (comprendre français québécois). Dautres préfèrent tenter leur chance dans dautres provinces canadiennes. Walid M., un ex-ingénieur de Sonatrach, a passé 5 années à Montréal dont 3 à lécole polytechnique pour refaire son baccalauréat (léquivalent dune licence) en mécanique. Ne trouvant pas de travail au Québec et après plusieurs petits boulots dans les centres dappel, il a plié bagage avec sa femme et ses deux garçons dont le plus jeune avait deux semaines, pour la province de lAlberta. A Calgary, il affirme avoir trouvé un travail dans son domaine après deux mois. Moins chanceux, Malik B. était comptable à Alger dans une entreprise publique. Arrivé à Montréal, il y a deux ans, il a repris ses études mais vient de les abandonner. Il fait partie de ceux quon appelle BS (les bénéficiaires de laide sociale). Les adeptes de la théorie du complot affirment que ces statistiques vont apporter de leau au moulin de ceux qui pensent que les immigrants maghrébins ne peuvent pas sintégrer à la société québécoise parce quils sont tout simplement musulmans. Tout ceci pour justifier un frein à limmigration maghrébine.

source //http://www.elwatan.com/spip.php?page=article&id_article=87283

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Le jeudi 14 fév 2008

Les Nord-Africains ont de la difficulté à trouver un emploi

Laura-Julie Perreault

La Presse

L'automne dernier, la commission Bouchard-Taylor a entendu leurs doléances à répétition. Hier, Statistique Canada a mis des chiffres sur le malaise qu'éprouvent plusieurs immigrés maghrébins: ils ont plus de difficulté que tous les autres à trouver un emploi au Québec.

En 2006, alors que le taux de chômage au Québec était à peine de 6,3% parmi les 25-54 ans, il atteignait 27,9% pour les immigrants nés dans un pays de l'Afrique du Nord et installés au Québec entre 2001 et 2006.

Ceux qui sont arrivés au cours des cinq années précédentes, soit de 1996 à 2001, s'en tirent un peu mieux. Mais avec un taux de chômage de 18,7%, ils ne rattrapent ni la population québécoise en général, ni l'ensemble des immigrants récents, qui ont un taux de chômage de 13,4%.

Mais les immigrés d'Afrique du Nord ne sont pas les seuls mal en point sur le plan de l'emploi. Dans le triste palmarès du chômage au Québec, ils sont suivis de près par les autres nouveaux arrivants d'Afrique (27,1%), puis par ceux d'Amérique latine (15,4%), d'Asie (13,3%) et d'Europe (13,2%).

Seuls les immigrés européens de longue date, établis depuis plus de 10 ans, sont à égalité avec les travailleurs québécois nés au Canada.

Écart remarqué

À Statistique Canada, le sort des nouveaux arrivants nés en Afrique du Nord n'est pas passé inaperçu. Aucun groupe au Canada n'a une situation aussi peu enviable, note Christel Le Petit, responsable à Statistique Canada des analyses tirées de l'Enquête sur la population active. «Ces statistiques peuvent s'expliquer en partie par le fait que plus de 20% des immigrants nés en Afrique sont des réfugiés. Ces derniers arrivent avec moins de documents, alors le délai pour entrer sur le marché du travail peut être plus long», a noté l'analyste en chef.

Des études antérieures lui permettent aussi d'avancer que la non-reconnaissance des diplômes et de l'expérience acquise à l'étranger ainsi que le manque de connaissance des deux langues officielles justifient aussi, en partie, le taux de chômage plus élevé.

Un retard pancanadien

Le Québec, notait Mme Le Petit hier, est aussi dans une situation peu enviable par rapport à d'autres provinces canadiennes quant à l'intégration économique des immigrés. «La situation économique y est pour quelque chose. Il y a moins d'occasions d'emploi au Québec que dans une province comme l'Alberta» qui vit un boom économique, affirme-t-elle.

Dans une première analyse statistique sur la place des immigrés sur le marché du travail en 2006, Statistique Canada avait dévoilé l'été dernier que si, dans l'ensemble du Canada, 11,1% des immigrants très récents sont incapables de trouver du travail, au Québec, ils sont 17,8% dans la même situation. Même les immigrés de longue date (plus de 10 ans au pays) s'en sortent moins bien au Québec, avec un taux de chômage plus élevé (9,2%) que dans le reste du pays (5,5%).

L'étude rendue publique hier s'attarde aussi au taux de chômage parmi les femmes immigrées. Au pays, elles ont deux fois plus de difficulté à décrocher un boulot que la population en général.

Nouvel outil statistique

Les données dévoilées hier ne peuvent être comparées à des statistiques plus anciennes. Ce n'est que depuis 2006 que Statistique Canada, dans le cadre de son Enquête sur la population active, tient compte du lieu de naissance des répondants. «Mais à l'avenir, nous allons suivre les changements de près. S'il y a des politiques ou des programmes mis en place par le gouvernement, nous pourrons en voir les effets», note Christel Le Petit.

Le chômage des immigrés

Chez les 25-54 ans en général Canada 4,9%; Québec: 6,3%

Immigrants très récents (établis entre 2001 et 2006) Canada: 11,1%; Québec: 17,8%

Immigrants récents (établis entre 1996 et 2001) Canada: 7,3%; Québec: 13,4%

Immigrés de longue date (établis avant 1996) Canada: 5,5%; Québec 9,2%

Source: http://www.cyberpresse.ca/article/20080214...19/CPACTUALITES

Pour plus de détails sur les données de Statcan: http://www.statcan.ca/Daily/Francais/080213/q080213b.htm

Malheureusement, il s'agit d'analyses préliminaires. Elles ne parlent pas par exemple du niveau de formation de ces immigrants. Elles ne parlent pas non plus de ceux qui sont sous employés. Ils ne sont peut-être pas au chômage mais des médecins qui travaillent comme préposés aux bénéficiaires, pas très brillant comme perspective de carrière ...

Il semblerait que ceux qui s'en tirent mieux sont des Asiatiques, en tout cas.

ce qui est marrant un journal local a passé l'article ce samedi 16

16 février 2008 > Actualite

Selon statistique Canada, un tiers des maghrébins sont au chômage

Les Algériens nont pas trouvé leldorado au Québec

Ils sont bardés de diplômes dans des domaines en forte demande. Ils ont été sélectionnés par le Québec pour leur scolarité supérieure, pour leur connaissance du français, pour leur « indice de fertilité » élevé et la liste est longue. Mais ils sont sans emploi : ce sont les immigrants venant dAfrique du Nord (Algérie, Maroc, Tunisie et à une moindre mesure Libye, Egypte et Soudan).

Leur tort ? Avoir cédé au marketing « humain » du Québec en pleine crise démographique et être issus de pays qui ne savent pas retenir leurs matières grises. Statistique Canada (lONS local) qui sest penché sur le chômage chez cette catégorie de la population a publié, mercredi dernier, les résultats de la première enquête du genre. Celle-ci na fait que confirmer le sentiment général que le Québec ne fait quécrémer les ressources humaines des pays du Maghreb sans les utiliser à bon escient ou tout juste pour combler les postes de travail que snobent les Québécois de souche. Ainsi, au moment où la province francophone connaît un taux de chômage de 6,3%, celui-ci grimpe à 27,9% chez les Maghrébins qui se sont installés entre 2001 et 2006, soit un taux supérieur un peu plus de quatre fois à celui des Québécois de souche. Ceux qui sy sont installés entre 1996 et 2001 connaissent un taux de chômage de 18% 3 fois supérieur que chez les « pure laine ». Lenquête ne dit pas quels emplois occupent ceux qui sont considérés « travailleurs ». Pour Hassane Serraji, co-éditeur du magazine Réussir Ici , cette situation sexplique par le fait que « limmigration maghrébine est très récente et les Maghrébins nont pas encore tissé des réseaux qui leur permettent de trouver les emplois non affichés ». Pour lui, le 11 septembre est aussi à prendre en compte mais nexplique pas tout. De son côté, Lamine Foura, journaliste animateur à la radio et à la télévision, estime que « les structures daccueil des nouveaux arrivants au Québec sont aux antipodes des critères de sélection ». « Les Maghrébins universitaires nont pas besoin de cours de francisation. On continue à appliquer à ces derniers des méthodes qui ont été pensées à une autre époque pour les réfugiés », continue-t-il.

« Largument religieux »

Les bonnes volontés québécoises, à limage dun chroniqueur dun quotidien gratuit, demandent aux nouveaux arrivants de prendre leur mal en patience : vers 2011, les baby-boomers vont partir à la retraite et là les portes de lemploi vont forcément souvrir ! Entre temps, ce sont les centres dappel qui restent les recruteurs numéros un ! Il nest pas rare, pour ne pas dire commun, de trouver toute une section dingénieurs de luniversité de Bab Ezzouar dans un centre dappel à « apprendre » aux clients des fournisseurs daccès à internet québécois à trouver le bouton « Démarrer » de windows. Ils sont confortés à longueur de journée à des clients qui en ont assez de ces immigrants qui ne parlent pas français (comprendre français québécois). Dautres préfèrent tenter leur chance dans dautres provinces canadiennes. Walid M., un ex-ingénieur de Sonatrach, a passé 5 années à Montréal dont 3 à lécole polytechnique pour refaire son baccalauréat (léquivalent dune licence) en mécanique. Ne trouvant pas de travail au Québec et après plusieurs petits boulots dans les centres dappel, il a plié bagage avec sa femme et ses deux garçons dont le plus jeune avait deux semaines, pour la province de lAlberta. A Calgary, il affirme avoir trouvé un travail dans son domaine après deux mois. Moins chanceux, Malik B. était comptable à Alger dans une entreprise publique. Arrivé à Montréal, il y a deux ans, il a repris ses études mais vient de les abandonner. Il fait partie de ceux quon appelle BS (les bénéficiaires de laide sociale). Les adeptes de la théorie du complot affirment que ces statistiques vont apporter de leau au moulin de ceux qui pensent que les immigrants maghrébins ne peuvent pas sintégrer à la société québécoise parce quils sont tout simplement musulmans. Tout ceci pour justifier un frein à limmigration maghrébine.

source //http://www.elwatan.com/spip.php?page=article&id_article=87283

Malgré ça, 80% (4/5) des Algériens décident de rester au Canada quand même... selon El Watan

Edition du 16 février 2008 > Actualite

Article en PDF Imprimer l'article Envoyer l'article

Le Canada attire 3500 Algériens par an

Le Canada attire environ 3500 Algériens par an. Le Québec est leur destination favorite. En 2006, limmigration algérienne sest classée première, devançant celle française et chinoise. Près de 50 000 Algériens résident désormais au Canada.

La « destination Canada » a commencé à simposer aux Algériens à partir des années 1990. Voulant fuir le terrorisme intégriste et devant la décision de la France (cest le pays où les Algériens émigrent traditionnellement) de leur imposer des visas dentrée, ils ont vu en lAmérique du Nord (le Canada francophone particulièrement), car plus permissive en matière dimmigration, une bonne alternative. Une fois arrivés sur place, les Algériens découvrent que même si la vie y est plus facile par certains aspects, cest néanmoins loin dêtre leldorado rêvé. En effet, le Canada vit aussi au rythme dune réalité qui peut surprendre les immigrants qui sattendent à une vie facile et sans embûches. 20% des immigrants, déçus, quittent le Canada pour retourner dans leur pays dorigine ou tenter leur chance ailleurs (Etats-Unis, Australie ou grande-Bretagne). Des Algériens, tous les ans, reviennent et se réinstallent dans une vie quils pensaient avoir définitivement quittée. Le taux de rétention ceux qui restent est quand même élevé : les 4/5e saccrochent et refont leur vie dans un pays où la bureaucratie est tout de même nettement moindre et les chances de réussite plus importantes.

Aniss Z.

source El Watan :

http://www.elwatan.com/spip.php?page=artic...d_article=87290

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués
Maghrébins nont pas encore tissé des réseaux qui leur permettent de trouver les emplois non affichés

Un effet de la "ghettoïsation" peut-être ?

Bon alors je n'ai pas de grandes études à citer etc. mais j'ai discuté il y a quelques années avec une personne travaillant au département des ressources humaines d'une grande firme.

Cette firme engage des gens de toutes les origines ... elle m'a dit ... les Algériens ... le moins possible !!!

Je lui ai dis ... ah bon ... pourquoi ... ils sont pourtant très instruits ... diplômés etc.

Réponse: et arrogants pour la plupart ... et imbus d'eux-même ... ils présentent leur candidature et s'attentent à ce qu'on déroule le tapis rouge comme si c'était Salomon en personne qui arrivait ... bref ... difficile d'intégrer ce genre de "personnalité" dans une équipe.

En plus ... c'est toujours MOI je ne fais pas ce genre de boulot ... MOI je suis mieux que ça ... MOI je mérite mieux que ça.

Quand elle m'a dit ça j'ai revu en mémoire les Algériens de ma connaissance ... et bien ... je dois dire qu'elle n'a pas tort.

En effet ... la plupart de ceux que je connais ... et j'en connais quand même plusieurs pour me faire une bonne idée ... ont une attitude qui par moment peut être dérangeante ... comme si ils disaient ... regardez ... j'arrive ... je ne sais pas comment l'exprimer.

Bon un exemple ... l'obsession de la marque ... même Felag en a fait un numéro très juste ... le "paraître" ... c'est plus qu'une simple question de fierté ... c'est ... après Dieu ... y'a les Algériens. :D (et même que Dieu ... il est Algérien) ... Vous comprenez ? :D

Modifié par Lilideslacs
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués
Maghrébins nont pas encore tissé des réseaux qui leur permettent de trouver les emplois non affichés

Un effet de la "ghettoïsation" peut-être ?

Bon alors je n'ai pas de grandes études à citer etc. mais j'ai discuté il y a quelques années avec une personne travaillant au département des ressources humaines d'une grande firme.

Cette firme engage des gens de toutes les origines ... elle m'a dit ... les Algériens ... le moins possible !!!

Je lui ai dis ... ah bon ... pourquoi ... ils sont pourtant très instruits ... diplômés etc.

Réponse: et arrogants pour la plupart ... et imbus d'eux-même ... ils présentent leur candidature et s'attentent à ce qu'on déroule le tapis rouge comme si c'était Salomon en personne qui arrivait ... bref ... difficile d'intégrer ce genre de "personnalité" dans une équipe.

En plus ... c'est toujours MOI je ne fais pas ce genre de boulot ... MOI je suis mieux que ça ... MOI je mérite mieux que ça.

Quand elle m'a dit ça j'ai revu en mémoire les Algériens de ma connaissance ... et bien ... je dois dire qu'elle n'a pas tort.

En effet ... la plupart de ceux que je connais ... et j'en connais quand même plusieurs pour me faire une bonne idée ... ont une attitude qui par moment peut être dérangeante ... comme si ils disaient ... regardez ... j'arrive ... je ne sais pas comment l'exprimer.

Bon un exemple ... l'obsession de la marque ... même Felag en a fait un numéro très juste ... le "paraître" ... c'est plus qu'une simple question de fierté ... c'est ... après Dieu ... y'a les Algériens. :D (et même que Dieu ... il est Algérien) ... Vous comprenez ? :D

Ouiiii Lilli bonsoir

je suis algérien et je te dis tu as tout a fait raison !!!

mais ça me fait rire comment on est vu par vous ?

c'est juste une carapace l'interieur est tendre

voila à bientot

bonne st valentin lillie

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.



×
×
  • Créer...
Ouvrir un compte bancaire avant mon départ
© 2024 immigrer.com

Advertisement