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IDE à temps plein au QC mais après ?


Question

Posté(e)

J'ai lu sur ce forum le témoignage d'une personne qui se plaignait de ne pas travailler en tant qu'inf' à temps plein au Québec.

Je me suis rendu au salon infirmier et une personne de l'OIIQ (assez désagréable, et se moquant aussi des français qui font beaucoup de soins en stérile...) m'a dit qu'effectivement pendant deux ans le Québec assure un temps plein pendant 2 ans mais après...

J'ai dû insisté pour qu'elle me dise qu'il y existe une forte possibilité de passé à temps partiel, d'autant plus que le marché de l'emploi commence à être saturer sur Montréal et bientôt sur le reste de la province.

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Posté(e)

Alors ce n'est pas tellement qu'il y a moins de boulot car malgré tout, toujours pénurie dans les services, nous ne sommes pas assez nombreuses. C'est juste qu'il n'y a plus de sous pour embaucher.

C'est aberrant de préférer payer des temps sup quand même, non?!!!

Envoyé par l'application mobile Forum IC

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Posté(e)

Oui c'est clair mais ils ne sont pas fous,ils savent que quoiqu'ils arrivent les gentilles IDE feront le boulot, qu'on ne laissera pas nos patients en galère dc ils tirent sur la corde jusqu'à ce que le personnel soignant en ai marre et la pour calmer les esprits, on prend un peu d'intérim.

Ceci dit complètement d'accord en ce qui concerne la Bretagne, déjà quand j'étais ESI (2003/2006), la Bretagne c'était galère pour trouver un poste (une fille de ma promo était bretonne et voulait y retourner).

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Posté(e)

:-D !!! Comme beaucoup !! Je crois que "le ni nonnes ni connes", n'est pas totalement révolu. Malheureusement il compte fortement sur notre conscience pro et ils ont raison car on est la quoiqu'il arrive. Ils profitent à fond ! Et puis la santé n'intéresse pas nos gouvernements ! Tout ça pour dire que les conditions de travail en France ne sont pas prêtés de s'améliorer. En plus maintenant s'ajoute le problème de la carence de postes !!!

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Posté(e)

Même en IDF commence a en avoir pénurie de postes...!!!!!! :crying:

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Posté(e) (modifié)

Depuis quelques semaines un phénomène bien étrange, et surtout sans précédent,

touche les infirmières et plus précisément les « nouveaux » diplômés.

En effet, dans certaines régions de France, il serait difficile de

trouver un poste. Les offres d’emplois se font rares tandis que les

demandes s'accroissent : la tendance se serait-elle inversée ?



hopital-couloir-g.jpgDepuis septembre 2012, plusieurs topics sur le forum d’Infirmiers.com

traitent de la difficulté pour certains infirmiers de trouver un emploi

et les intitulés sont clairs : « recherche d'emploi désespérant », «

IDE au chômage dans le Nord-Pas-de-Calais »... Cela concerne plusieurs

régions : Aquitaine, Haute-Normandie, Nord Pas de Calais… pour

l’instant, l’Ile de France n'est pas touchée, pas plus que les grandes

métropoles comme Marseille, Nice ou Toulouse. Une page Facebook

intitulée « infirmier(e)s au chômage ? » s'est même ouverte...



Face à ces différentes informations, nous avons également interrogé notre service emploi

et son propos est identique aux dires des internautes : il y a de moins

en moins d’embauches au sein des hôpitaux Français mais également en

intérim.



Nous avons donc profité du Salon Infirmier, tenu du 24 au 26 octobre dernier à Paris,

pour en parler aux principaux intéressés, jeunes diplômés notamment,

mais aussi aux différents directeurs de soins présents, qui confirment

également l’information.



« Un soignant travaille souvent pour deux »




Pourquoi ce revirement de situation ?

L’offre de soins et le besoin en infirmières est présent. La charge de travail du personnel en poste ne cesse d'augmenter et un soignant travaille souvent comme deux.

Ce sont les embauches qui sont limitées. Nous pouvons alors nous

demander pourquoi en cet automne 2012 certaines infirmières sont au

chômage ? Il n’y a pour l’instant pas de réponses officielles, mais les

restrictions budgétaires observées ça et là sont un bon indicateur du

marché du travail actuel. Il y a moins de postes disponibles car la

crise financière restreint les effectifs de la fonction publique, le

tout combiné à une fermeture de lits dans certains services et des

remplacements de longue durée laissés vacants. De plus, le peu de postes

disponibles en début d'année 2012 a été pourvu par la première sortie

des jeunes diplômés. Il est donc plus difficile pour la dernière

promotion de juin 2012 de trouver un emploi.




Une situation à suivre...

Pour ne pas rester inactifs des IDE se font embaucher comme

aide-soignant en attendant qu’un poste se libère. D’autres déménagent et

migrent vers des régions moins touchées voire s'expatrient en Suisse ou

au Québec. Les besoins en soins augmentent mais l’attractivité pour le

métier n’est pas au rendez-vous. Nous ne manquerons pas de vous tenir

informés de la suite des événements et n'hésitez pas à partager vos

dernières informations. Cette situation serait-elle le début d’une

longue période ?



NDLR : un remerciement particulier aux internautes du forum pour leurs témoignages et avis.




88x31.png


Audrey DEMEILLEZ Rédactrice Infirmiers.com
[email protected]



















Modifié par sophie.1940
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Posté(e)

Complètement d'accord avec ce qui a été dit précédemment. C'est la triste réalité de l'emploi IDE en France ces derniers temps. Chômage pour certains et pour ceux qui ont la chance d'avoir un poste, on tire à fond sur la corde jusqu'à ce qu'elle casse parfois pour certains (ceci dit c'était déjà le cas avant mais c'est encore pire maintenant).

Ce qui est rageant c'est de savoir qu'il y en a beaucoup du boulot dans les services.

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Posté(e)

J'espère que pur l'instant au Québec ne soit pas même situation..parce que la crise est très présente dans les institutions hospitalières...ce n'est pas rose les hôpitaux du Québec.....

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Posté(e)

personnellement je trouve que être infirmère au Quebec et avoir une vie de famille, c'est juste incompatible. dans mon cas en tout cas. Les TSO, les shit de soir ou de nuit parce que avec les syndicas tu as aucune chance de travailler de jour les 5 premières années. Tout se joue à l'ancienneté, et peu de reconnaissance du mérite.
Quand je vois comment on acceuille avec le tapis rouge maintenant les inf francaises, je suis un peu frustrée, moi qui est sortie mes rames et un beau 500$ pour me faire dire que je ne rentre pas dans ces fichus accords franco quebecois.

mais dans un sens ca m'a rendu service, je suis maintenant passionnée par mon travail, libre et heureuse! mais la route fut pas facile!

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Posté(e)

p

Quand je vois comment on acceuille avec le tapis rouge maintenant les inf francaises, je suis un peu frustrée, moi qui est sortie mes rames et un beau 500$ pour me faire dire que je ne rentre pas dans ces fichus accords franco quebecois.

mais dans un sens ca m'a rendu service, je suis maintenant passionnée par mon travail, libre et heureuse! mais la route fut pas facile!

En quoi les conditions actuelles auraient pu faire que tu sois reconnue ? Il me semble bien qu'elles sont exactement les mêmes sauf qu'on n'a plus à repasser le diplôme. Donc ton cas aurait été exactement identique.

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Posté(e)

vous me faites peur les filles avec vos temps partiels !! J'espere vraiment que tout se passera comme convenu .. je commence le 14 novembre on verra ..

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Posté(e)

Pour le CHUM ? Puisqu'on vous dit que ce sont des temps pleins au CHUM.

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Posté(e)

L'OIIQ dit le contraire! mais pour contrebalancer cette nouvelle peu rassurante, l'OIIQ dit aussi que généralement les inf' à temps partiel arrive à combler et à parvenir à un temps complets avec les heures sup'

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Posté(e)

L'OIIQ dit quoi ? Merci de faire semblant d'être précis.

C'est ce que je dis depuis le départ, ce n'est pas parce que le contrat est à temps partiel, qu'on fait du temps partiel.

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Posté(e)

toujours aussi charmante...

Effectivement même à temps partiel on peut faire du complet mais le marché infirmier va être saturer d'ici 2/3 ans. Il sera donc plus difficile pour les temps partiels de faire un temps complet.

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Posté(e)

t

mais le marché infirmier va être saturer d'ici 2/3 ans.

Source ?

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Posté(e)

RSQ entretien télephonique du 16 octobre à mon domicile.

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