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Question

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bonjour à tous

pour nos amis québécois avant toute chose soyez assurés que nous vous respectons et que nous n'arrivons pas en conquérent. Préambule qui permettra j'espere de ne pas dévier du sujet.

le québec joue à un jeu dangereux en ce moment qui est de ne pas reconnaitre les compétences des gens pour ne pas avoir à les payer à leur juste valeur malgré les ARM.

Un regroupement d'infirmieres et d'infirmiers français travaille d'arrache pied depuis 2 ans pour faire reconnaitre leurs compétences.

Dans l'ARM, il y a des principes directeurs qui sont l'équité, la transparence, la réciprocité. Malgré ceux-ci, malgré le fait que l'ordre des inf qc est favorable à notre reconnaissance, malgré le fait que des universités nous acceptent en second cycle, le MICC, qui ne connait ni notre programme de formation, ni nos parcours, se permet de donner son avis. Avis contraire aux personnes légitimes. Avis qu'il précise facultatif mais que les employeurs suivent....pourquoi payer plus cher qq'un qui fait le job?

lors d'un rdv avec le Micc, ce regroupement a fait part de son étonnement vis a vis de la position du MICC par rapport aux infirmiers du programme de 1992 (car pour ceux qui sont diplômés depuis 2009, maintenant c'est dans un processus LMD, ils sont reconnus cliniciens ici) en le ramenant à la reconnaissance des assistantes sociales qui sont reconnues bac en travail social. Et bien, le MICC, plutôt que de revoir son évaluation(malgré un courrier du ministere français qui lui précisait que les anciens et les nouveaux inf, avaient les mêmes compétences, malgré le fait que la formation de 1992 comporte plus d'heures de formations que le bac en sc sociales) a laissé entendre qu'il reverrait peut être l'évaluation des DE Ass Soc....

cette persistance, mise en lien avec le courrier du MICC qui précise expressément qu'il n'étudie pas les cours ni dans leur forme, ni dans leur fond, s'apparente de plus en plus à une position malhonnête.

malgré des discours récents sur l'importance de reconnaitre le niveau d'études de ses immigrants, cela ne se traduit pas vraiment en acte....quel dommage, une personne exploitée a rarement envie de faire plaisir à son exploiteur...

un reportage tv récent dépeignait le paradis pour les inf ici, en se faisant écho de soi disant rétention de 60%...il est vrai qu'il y a eu un nombre d'infirmiers plus grand à venir depuis cet ARM....si le MICC continue ce petit jeu, je pense que ce chiffre va vraiment diminuer car quand on vient on croit qu'il y a reconnaissance...en ce qui me concerne c'est fini, retour déjà prévu pour l'année prochaine.

des conditions de travail déplorables(TSO, Différents quart), un salaire qui ramené au nombre de jours travaillés est plus bas, des cotisations syndicales et ordinales obligatoires pour un montant annuel exhorbitant, des jours de congé inférieur à ce que j'avais en FRANCE et qui ne permettent pas vraiment de découvrir les beaux paysages ou aors en plusieurs années, une possibilité d'évoluer quasi nulle (études payantes et longues)....enfin bref si on vient de Paris et qu'on aime les grandes villes ok sinon...

ça restera une aventure mais pas forcément des bons souvenirs professionnels.

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@ le perplexe

Bonjour

Je suis scandalisée par ce que vous racontez. Ça semble tellement énorme ce que vous vivez. Je ne suis pas dans le domaine et jusqu'à présent c'est toujours du positif que j'ai pu lire sur le métier infirmier/infirmière. Quelques récits (sur le site) d'infirmières françaises installées au Qc révèlent quelques difficultés mais jamais de ce genre ! Elles sembles s'en accoutumer !

Là cette situation est à prendre vraiment au sérieux et je vous soutiens car si ce n'est pour vous (puisque vous dites repartir) au moins les actions que vous poserez (témoignages, etc.) aideront pour le futur.

D'autre part, je m'interroge sur la question de Steca : puis je postuler pour n'importe quel offre (ex: infirmière en entreprise ou dans une école ... )

Il me semble qu'il n'y a pas d'infirmier/ère dans les écoles comme en France ou dans les entreprises ? Le savez-vous ? Merci.

Je vous souhaite le meilleur pour l'avenir.

Crdl

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Trefle : c'est pourtant la vérité très exacte, d'ailleurs déjà exprimée à de multiples reprises par de précédentes infirmières par ici. Pas au sujet de notre diplôme pas reconnu bac, après tout c'était la norme jusqu'en 2011 donc les infirmières s'en plaignaient moins.

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ça c'est l'immigration que tu perçois, et certainement pas une généralité...je vois que tu viens d'Haiti, nos réalités sont donc différentes à la base...de plus on parle ici d'un ARM, d'un Arrangement de Reconnaissances Mutuelles pas de qq'un qui vient et qui espère après voir reconnaitre ses compétences, mais de personnes que le pays accueillant vient rechercher tous les ans, et dont le pays accueillant a signé un ARM dont bénéficient ses ressortissants en FR. un pays dont les universités nous permettent de poursuivre en second cycle, où l'oiiq a dit que l'on devrait être reconnu, où le MSSS pense qu'on devrait être reconnus...un pays dont les inf cliniciennes peuvent travailler en fr alors même qu'elles ont moins de formation que les inf françaises...donc non ce n'est pas ça l'immigration,...et concernant les travailleurs formés à l'étranger et qui travaillent en Fr...ne généralise pas stp

Salut Perplexe,

Effectivement je viens d'HAITI; mais j'ai vecu et fais mes etudes en France avec pour benefice un ARM( OAAQ---ADMA) et la realité sera toujours differente du fait de l'endroit ou' tu te retrouves: oppresseur/ oppressé, natif du Canada/ immigrant et t'en fais parti des immigrants. Juste à mes côtés là ou' je bosses, il ya un Roumain sous payé malgré ses competences inégalées en chiffre dans l'entreprise. Voilà pourquoi je dis que c'est cà l'immigration car elle traine derrière elle tout un ensemble de choses qu'on aurait jamais connu dans son propre pays. Au canada on est tous des immigrants, battons pour le respect de nos droits....Voilà Perplexe.

Il ne suffit pas d'avoir des diplômes de France pour soi-disant ''bénéficier" du statut ARM. Il faut être un Français ou quelqu'un qui a le permis séjour, et de travailler en France. C'est au gens de s'informer correctement, les moyens ne manquent pas.

Faites du http://twitter.com/DeCourcyDiane il n' a rien de mieux que Twitter pour informer, communiquer à propos de la situation. C'est juste un avis.

LOTUS 1......T'es pas informé, si t'etais informé et meme pris le soin de lire les ARM, sans doute tu verrais qu'il y a un article qui stipule: Les ARM signés sont accordés aux diplomés francais et quebecois independemment de leurs nationalités. On parle de diplomés des universités francaises/quebecoises et non de residents. Pour votre connaissance j'ai une carte de 10 ans en France. Merci de t'informer avant de raconter n'importe quoi sur le Forum...OK

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LOTUS 1......T'es pas informé, si t'etais informé et meme pris le soin de lire les ARM, sans doute tu verrais qu'il y a un article qui stipule: Les ARM signés sont accordés aux diplomés francais et quebecois independemment de leurs nationalités. On parle de diplomés des universités francaises/quebecoises et non de residents. Pour votre connaissance j'ai une carte de 10 ans en France. Merci de t'informer avant de raconter n'importe quoi sur le Forum...OK

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ça c'est l'immigration que tu perçois, et certainement pas une généralité...je vois que tu viens d'Haiti, nos réalités sont donc différentes à la base...de plus on parle ici d'un ARM, d'un Arrangement de Reconnaissances Mutuelles pas de qq'un qui vient et qui espère après voir reconnaitre ses compétences, mais de personnes que le pays accueillant vient rechercher tous les ans, et dont le pays accueillant a signé un ARM dont bénéficient ses ressortissants en FR. un pays dont les universités nous permettent de poursuivre en second cycle, où l'oiiq a dit que l'on devrait être reconnu, où le MSSS pense qu'on devrait être reconnus...un pays dont les inf cliniciennes peuvent travailler en fr alors même qu'elles ont moins de formation que les inf françaises...donc non ce n'est pas ça l'immigration,...et concernant les travailleurs formés à l'étranger et qui travaillent en Fr...ne généralise pas stp

Salut Perplexe,

Effectivement je viens d'HAITI; mais j'ai vecu et fais mes etudes en France avec pour benefice un ARM( OAAQ---ADMA) et la realité sera toujours differente du fait de l'endroit ou' tu te retrouves: oppresseur/ oppressé, natif du Canada/ immigrant et t'en fais parti des immigrants. Juste à mes côtés là ou' je bosses, il ya un Roumain sous payé malgré ses competences inégalées en chiffre dans l'entreprise. Voilà pourquoi je dis que c'est cà l'immigration car elle traine derrière elle tout un ensemble de choses qu'on aurait jamais connu dans son propre pays. Au canada on est tous des immigrants, battons pour le respect de nos droits....Voilà Perplexe.

Il ne suffit pas d'avoir des diplômes de France pour soi-disant ''bénéficier" du statut ARM. Il faut être un Français ou quelqu'un qui a le permis séjour, et de travailler en France. C'est au gens de s'informer correctement, les moyens ne manquent pas.

Faites du http://twitter.com/DeCourcyDiane il n' a rien de mieux que Twitter pour informer, communiquer à propos de la situation. C'est juste un avis.

LOTUS 1......T'es pas informé, si t'etais informé et meme pris le soin de lire les ARM, sans doute tu verrais qu'il y a un article qui stipule: Les ARM signés sont accordés aux diplomés francais et quebecois independemment de leurs nationalités. On parle de diplomés des universités francaises/quebecoises et non de residents. Pour votre connaissance j'ai une carte de 10 ans en France. Merci de t'informer avant de raconter n'importe quoi sur le Forum...OK

En admettant que je me trompe, et ce n'est pas le cas, surveilles ton langage quend tu t'adresses aux gens. En tout cas t'es peut-être resté 10 ans en France mais tu ne t'es pas bien assimilé pour autant.

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maxo09, contrairement à ce que tu penses, on ne quémande pas un emploi après avoir immigré, le Québec se déplace nous recruter car il n'a pas assez d'infirmier et c'est pour ça qu'entre le début de la démarche et l'arrivée ça prend environ 6 mois. Ils nous donnent des primes et nous font signer des contrats directement sur place en France. on est pas dans une démarche d'immigration à tout prix vers le Québec mais plutôt dans le ''pourquoi pas''....pour le combat, pas de souci c'est pour ça qu'on a créé le RIFQ. on parle pas ici d'autre chose que d'un ARM dont le Québec ne respecte pas les principes.

le Québec clamait haut et fort qu'il fallait qu'il intègre mieux ces immigrants en fonction de leurs diplômes, parfait qu'il passe à l'acte et qu'il commence par respecter les engagements qu'il a pris.

Il n'y a pas plus clair. On n'entend pas de Québécois se plaindre, c'est que la France respecte l'engagement mais pas le Québec.

pour blueberry, l'essence même des ARM c'est la facilitation des reconnaissances. En ce qui concerne les infirmiers ce n'est pas un pb d'employeur, ils viennent eux même nous recruter. Le Ministère de la santé Qc se déplace tous les ans dans différentes villes Fr pour recruter. Le Micc, est absolument incapable de justifier sa réponse nous l'avons rencontré à plusieurs reprises et ces réponses sont incohérentes et fausses. L'ordre des inf au Québec pense que nous devrions être reconnus et ce sont eux les signataires. Lorsqu'un ARM est signé on le respecte un point c'est tout. On permet en Fr à ces infirmières cliniciennes de travailler alors qu'elles ont moins de formation que nous, je te parle pas de 3 ou 4 heures mais de 800h de stage de moins et de 500 par rapport au nouveau diplôme fr. IL s'agit de malhonnêteté ni plus ni moins, de payer moins pour des travailleurs compétents dont on a pas eu à supporter le coût de formation. On ne parle pas ici de quelqu'un qui aurait un diplôme non reconnu et que donc il ne pourrait pas exercer, non non, on parle ici de professionnels reconnus car dans la réalité au quotidien, les techniciennes font le même boulot que les cliniciennes, d'ailleurs les postes de cliniciennes non pourvus sont occupés par des techniciennes, donc ça suffit, déjà plus de 40 % des inf fr repartent au bout de 2 ans, avec leur entourloupe actuelle je prédis que ce chiffre va augmenter, d'ailleurs la présidente de l'ordre qc s'en inquiétait déjà en 2010, mais on avait pas encore goûté à leur menu...le Québec va non seulement perdre des infirmières, au vu de la pénurie actuelle dommage pour lui et pour les patients, mais en plus il vient de créer une animosité qui n'existait pas, des gens qui vont retourner en Fr et pouvoir communiquer sur la réalité québécoise, et qui vont bien entendu lutter pour la réciprocité ou sinon pour la fin de l'ARM et vu le nombre d'heures qu'elles ont en moins, devant le tribunal administratif français ça ne tiendra pas longtemps...

Modifié par Lotus01
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Posté(e) (modifié)

Il faut garder à l'esprit que n'importe quel ARM est surtout une entente entre le gouvernement Français et le gouvernement Québécois. Les employeurs ne sont nullement tenus de s'y conformer. Beaucoup trop d'immigrants arrivent en pensant que parce que leurs diplômes sont plus ou moins reconnus, ils n'auront aucune difficulté à trouver un emploi. Rien n'est plus éloigné de la vérité.

Tout à fait. Il est toujours bon de distinguer le "marketing immigratoire", qui n'est essentiellement que fumisterie, et la réalité telle qu'on la vit sur le terrain. Seul le contact avec un employeur permet de s'en approcher. Et je dis bien de "s'en approcher", car la parole ne vaut rien, il faut une trace écrite, il faut un contrat (de travail, en l'occurrence), dont la validité est vérifiable, pour commencer à être sûr de son coup. Attention d'ailleurs au dernier moment de la signature du contrat : ne pas s'étonner que l'employeur se mette à prétendre qu'il y aura une seule copie du contrat et que ce sera lui qui la garde.

ah et j'allais oublier : l'ontario lui nous reconnait clinicien....ça la fout mal pour les "relations privilégiées" entre le québec et la france...

Baratin immigratoire.

Sur de nombreux points, l'Ontario est plus généreux.

Autre exemple : à Ottawa ou à Sudbury (Ontario) les enseignants peuvent suivre une formation de huit mois pour être reconnus, alors qu'au Québec on leur demande de refaire quatre ans d'étude.

Modifié par LeBalladin
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pour lotus01:

le pb pour les infirmiers c'est que l'ordre Qc a affirmé à plusieurs reprises qu'on devrait être reconnus bacheliers, le MSSS pense qu'on devrait l'être, des universités nous acceptent en maîtrise et le MICC dit qu'il a juste un avis consultatif mais que pour lui on est juste DEC+1 Certificat. Je fais parti du RIFQ, on les a rencontré en avril de cette année, et rien de leurs arguments n'étaient exact, rien.

ils font fi des accords cadre franco-québécois de 1996 qui posait l'égalité : bac fr = Dec qc....en Fr il faut son bac pour ensuite faire 3 ans d'études et le micc nous en reconnait une seule?? le micc reconnait le statut clinicien pour les nouveaux diplômés de 2012, car maintenant en fr cela s'appelle un diplôme d'état grade licence, mais ces jeunes ont fait - d'études que nous...le micc s'est positionné vis a vis de notre diplôme sans tenir compte de ce que pensait l'ordre et les université du qc et sans voir nos parcours respectifs, par ex en ce qui me concerne, j'ai validé une année universitaire en fr et j'ai aussi un diplôme universitaire en recherche clinique...mais cela le MICC n'en a pas tenu compte...l'OIIQ nous a facturé une analyse de notre dossier sans qui que ce soit l'analyse....

donc pour nous ce n'est pas un pb de représentation on a rencontré le MICC, le MSSS, l'OIIQ, on représent environ 1600 personnes...c'est juste une volonté manifeste de faire des économies sur notre dos...le MICC nos a dit qu'il n'étudiait pas les cours reçus, ne tenaient pas compte de l'expérience professionnelle, il compare juste deux systeme et nous dit "inocement" pour être infirmiere bac au qc c'est 16 ans d'étude vous n'en avez que 15, bah oui comme pour avoir un DEC c'est 13 et pour le Bac fr c'est 12....ils nous disent qu'on a plus de 1000h que les dec mais ils ne disent pas qu'on a 50h de plus que les bac (d'autant que dans notre formation le temps de travail personnel n'était pas compté et pour les bac qc cela représente 2100 heures, on a 800h de plus de stage, et en fr les stages c'est temps plein, c'est pas 5 demi-journées plus 5 demi-journées de travail personnel...

franchement on a pas l'impression de vouloir voler qui que ce soit...

@Perplexe: Oui, toutes ces aberrations sont une réalité endossée par tout un systéme. Même les media dont les nouvelles sont remplies de faits divers (comme un raton laveur retrouvé écrasé à la 19e rue à St-Léonard....Hahaha) ils ne publient rien sur la problématique que nous discutons.

Pourquoi le Québec (MICC spécifiquement) se déplace jusqu'en France et lance sont dévolu même sur la Belgique aussi, fait tout un show aux frais des contribuables pour recruter des Français qu'il rejette ensuite!!! La France bouge pas non plus.... Il le faut.

Je suis ici depuis plusieurs années c'est surtout le processus de reconnaissance des compétences professionnelles que je connais très bien, medecins et pharmaciens.

En 2008, le MICC a initié l'entente ARM pour les Français et il a mis soi-disant un processus de reconnaissance des compétences professionnelles pour ''intégrer" les immigrants. Regardez la malhonêteté (sournoise) du gouvernement du Québec:

* Le MICC va donner des subventions aux ordres professionnels pour un partenariat avec les universités, créer un programme de formation d'appoint (un genre de mise à niveau). Nul besoin de rappeler que les diplômes européens sont d'un niveau nettement supérieur et ne nécissent pas une formation à plein temps de 16 mois!!!

Mais une fois que les immigrants attérissent ici, ils sont pris au jeu et pas de choix, ils vont dans d'autres provinces s'ils connaissent l'anglais ou suivent cette formation d'appoint à leurs frais, ce qui fait renflouer les caisses des Ordres professionnels (frais d'étude de dossier) et celles des Universités et DEC (frais des crédit).

* Il s'en suit que les Ordres professionnels ne bloquenet plus aux diplômes, une équivalence partielle est octroyée presque à tous les appliquant. Il faut bien que des gens puissent s'inscrire dans cette formation d'appoint, qui est devenue tellement contingentée (forte demande) que les candidats attendent 2 ans sur une liste d'attente et si non pris, il faut revalider l'équivalence partielle initiale et bien sûr payer à nouveau des frais. C'est abusif, je me demande si le Protectrice du citoyen du Québec ne devrait pas être saisi.un pu abus qui doit être déclaré à la commission des droits de la personne appliquent.

* Une fois la formation d'appoint accomplie, les ordres professionnels bloquent les candidats (immigrants) aux stages.

* avant 2008, les stages exigés par les Ordres professionnels étaient payés mais ce n'est plus le cas.''http://twitter.com/tweetyourinfo " dit qu'il a fait 1250 heures de stages et n'a pas été payé et il n'a pas obtenu le permis non plus.

* Après 2008, les Lois de la CNT ont également changé (Art.2 et Art. 77) dans le cadre d'un stage régi par un Règlement les stagiaire ne reçoit aucun salaire... Abus/Exploitation ou pas... on se pose pas de question

* Le gouvernement à pensé à tout: Il y a un commissaire aux plaintes, Office des Professionns du Québec, qui veille à ce que l'ordre professionnel évalue les dossiers de façon équitable.... Et devinez quoi? son mandat n'inclue pas les stages et donc pas d'enquête sur la partialité de l'ordre professionnel.

Mme DeCourcy, Ministre du MICC en entrevue à Canal M, je vous laisse écouter http://www.vuesetvoix.com/radio/2013/04/19/sophie-en-direct-19-avril/ On se demande si elle est aussi déconnectée de la réalité !!!

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@ le perplexe

Bonjour

Je suis scandalisée par ce que vous racontez. Ça semble tellement énorme ce que vous vivez. Je ne suis pas dans le domaine et jusqu'à présent c'est toujours du positif que j'ai pu lire sur le métier infirmier/infirmière. Quelques récits (sur le site) d'infirmières françaises installées au Qc révèlent quelques difficultés mais jamais de ce genre ! Elles sembles s'en accoutumer !

Là cette situation est à prendre vraiment au sérieux et je vous soutiens car si ce n'est pour vous (puisque vous dites repartir) au moins les actions que vous poserez (témoignages, etc.) aideront pour le futur.

D'autre part, je m'interroge sur la question de Steca : puis je postuler pour n'importe quel offre (ex: infirmière en entreprise ou dans une école ... )

Il me semble qu'il n'y a pas d'infirmier/ère dans les écoles comme en France ou dans les entreprises ? Le savez-vous ? Merci.

Je vous souhaite le meilleur pour l'avenir.

Crdl

@Trefle,

Ce que dit Perplexe est authentique mais à ma connaissance ce n'est pas nouveau.

Quand PQ était au gouvernement et avait encouragé une retraite massive d'infirmier(e)s (d'aiileurs on n'en sort pas encore de cette crise), il a été recruté ensuite des infirmier(e)s en France, Suisse....

Après leur le contrat, celles qui voulaient rester, l'Ordre leur avait demandé de passer par le processus d'équivalence pour obtenir le permis d'exercice.

Pour le dernier paragraphe de votre email: les infirmières comme les autres professionnels peuvent travaillier avec leur titre scientifique mais pas comme infirmières (poser un geste médical) si elle n'ont pas la licence (inscrite sur le tableau de leur Ordre). Ceci est bien clair dans le contrat d'assurance "erreur/omission" d'un employeur.

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Il faut garder à l'esprit que n'importe quel ARM est surtout une entente entre le gouvernement Français et le gouvernement Québécois. Les employeurs ne sont nullement tenus de s'y conformer. Beaucoup trop d'immigrants arrivent en pensant que parce que leurs diplômes sont plus ou moins reconnus, ils n'auront aucune difficulté à trouver un emploi. Rien n'est plus éloigné de la vérité.

Tout à fait. Il est toujours bon de distinguer le "marketing immigratoire", qui n'est essentiellement que fumisterie, et la réalité telle qu'on la vit sur le terrain. Seul le contact avec un employeur permet de s'en approcher. Et je dis bien de "s'en approcher", car la parole ne vaut rien, il faut une trace écrite, il faut un contrat (de travail, en l'occurrence), dont la validité est vérifiable, pour commencer à être sûr de son coup. Attention d'ailleurs au dernier moment de la signature du contrat : ne pas s'étonner que l'employeur se mette à prétendre qu'il y aura une seule copie du contrat et que ce sera lui qui la garde.

>ah et j'allais oublier : l'ontario lui nous reconnait clinicien....ça la fout mal pour les "relations privilégiées" entre le québec et la france...

Baratin immigratoire.

Sur de nombreux points, l'Ontario est plus généreux.

Autre exemple : à Ottawa ou à Sudbury (Ontario) les enseignants peuvent suivre une formation de huit mois pour être reconnus, alors qu'au Québec on leur demande de refaire quatre ans d'étude.

Une autre Aberration. Il n'y a que ça me diriez vous.

Une chance, ils peuvent faire les 8 mois à Ottawa et enseigner au Québec....

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Pour le dernier paragraphe de votre email: les infirmières comme les autres professionnels peuvent travaillier avec leur titre scientifique mais pas comme infirmières (poser un geste médical) si elle n'ont pas la licence (inscrite sur le tableau de leur Ordre). Ceci est bien clair dans le contrat d'assurance "erreur/omission" d'un employeur.

Tu racontes n'importe quoi. Pour ces infirmières françaises diplômées avant 2012, elles sont reconnues DEC point barre. Quand tu es infirmière DEC, tu fais exactement les mêmes soins que les infirmières BAC. La différence c'est que les BAC :

- sont mieux payées

- ont des postes plus intéressants et beaucoup plus variés

- peuvent rester le cul derrière un bureau à gagner jusqu'à 80.0000 dollars par an si elles le souhaitent

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Il y a des personnes qui jalousent les infirmières BAC, alors elles n'ont qu'à faire leur BAC au lieu de critiquer.

Modifié par dentan
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Pour le dernier paragraphe de votre email: les infirmières comme les autres professionnels peuvent travaillier avec leur titre scientifique mais pas comme infirmières (poser un geste médical) si elle n'ont pas la licence (inscrite sur le tableau de leur Ordre). Ceci est bien clair dans le contrat d'assurance "erreur/omission" d'un employeur.

Tu racontes n'importe quoi. Pour ces infirmières françaises diplômées avant 2012, elles sont reconnues DEC point barre. Quand tu es infirmière DEC, tu fais exactement les mêmes soins que les infirmières BAC. La différence c'est que les BAC :

- sont mieux payées

- ont des postes plus intéressants et beaucoup plus variés

- peuvent rester le cul derrière un bureau à gagner jusqu'à 80.0000 dollars par an si elles le souhaitent

@Caroline77: je ne connais pas les détails comme vous puisque vous êtes dans cette discipline mais j'emploie des infirmières depuis 1995, souvent celles issues d'immigrations se sont converties en Infirmière auxiliaire et préposée aux bénéficiaires.

Il y a quelques années le gouvernement a même octroyé des subventions pour convertir des médecins étrangers en infirmier(e)s (4000$/médecin recruté) .... Plusieurs de ces médecins n'obtenaient pas la licence d'infirmier(e)s pour le soi-disant Pb. de comportement qui n'en est pas eux, c'est juste qu'ils s'oubliaient et interféraient (inconsciemment) avec les médecins en discutant un diagnostic par exple....

La malhonnêteté du gouvernement atteint son comble avec l'entente ARM respectée par la France mais pas par le Québec.

Par ailleurs, j'entends parler de la problématique des infirmières qu'on importe avec contrat et ensuite qu'on rejette depuis au moins 1998, racontée par 2 infirmières que je connaissais. Et comme vous dites, l'une d'elles s'est convertie en CRA (Clinical Research Associate/Assitante) aux E.U elle faisait du 90K USD, un travail de bureau et 60% de leur temps dans les avions. C'est bien beau au début (fric et voyage) et ensuite c'est pire puisque le travail de bureau prend toute la place.

Ce n'est pas la reconnaissance des diplômes qui pose le problème c'est l'octroi du numéro de licence; il y a mille et un prétexte qui bloque les professionnels (Infirmiers et autres) d'obtenir le permis d'exercice. Plusieurs aberrations ont été rapportées par Perplexe, nul besoin de les répéter. Au lieu que le gouvernement du Québec cherche des solutions il sort toujours avec une stratégie dont la logique ne s'explique pas.

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@Caroline77: je ne connais pas les détails comme vous puisque vous êtes dans cette discipline mais j'emploie des infirmières depuis 1995, souvent celles issues d'immigrations se sont converties en Infirmière auxiliaire et préposée aux bénéficiaires.

Il y a quelques années le gouvernement a même octroyé des subventions pour convertir des médecins étrangers en infirmier(e)s (4000$/médecin recruté) .... Plusieurs de ces médecins n'obtenaient pas la licence d'infirmier(e)s pour le soi-disant Pb. de comportement qui n'en est pas eux, c'est juste qu'ils s'oubliaient et interféraient (inconsciemment) avec les médecins en discutant un diagnostic par exple....

La malhonnêteté du gouvernement atteint son comble avec l'entente ARM respectée par la France mais pas par le Québec.

Par ailleurs, j'entends parler de la problématique des infirmières qu'on importe avec contrat et ensuite qu'on rejette depuis au moins 1998, racontée par 2 infirmières que je connaissais. Et comme vous dites, l'une d'elles s'est convertie en CRA (Clinical Research Associate/Assitante) aux E.U elle faisait du 90K USD, un travail de bureau et 60% de leur temps dans les avions. C'est bien beau au début (fric et voyage) et ensuite c'est pire puisque le travail de bureau prend toute la place.

Ce n'est pas la reconnaissance des diplômes qui pose le problème c'est l'octroi du numéro de licence; il y a mille et un prétexte qui bloque les professionnels (Infirmiers et autres) d'obtenir le permis d'exercice. Plusieurs aberrations ont été rapportées par Perplexe, nul besoin de les répéter. Au lieu que le gouvernement du Québec cherche des solutions il sort toujours avec une stratégie dont la logique ne s'explique pas.

C'est l'ordre qui pose problème, comme d'hab'. Enfin ici c'est comme ça.

Ah oui mais je n'avais pas compris que tu parlais des infirmières étrangères qui souvent ne sont pas reconnues. Les infirmières françaises et belges ont un "traitement de faveur grâce à l'ARM". Les infirmières américaines ont souvent leur diplôme de reconnu aussi (même les pays du sud), par contre jamais ceux venant d'Afrique, ailleurs en Europe, Asie etc. Celles là sont rançonnées de 10.000 dollars et doivent se contenter d'être infirmières auxiliaires. Ah oui, mais infirmière auxiliaire, ce n'est pas être infirmière, désolée. Le mieux est d'être précis dans ses propos pour qu'ils soient compréhensibles.

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Je me demande si on ne peut pas créer un syndicat parce qu'on représente un facteur important de l'économie canadienne et du Québec en l'occurence.

- Frais d'immigration,

- Frais de séjour,

- Frais d'études de dossiers (à ne pas en finir),

- Frais de cours universitaires (mise à ''niveau'',

- Des stages non rémunérés,

- Etc.,

De plus, si on met ensemble tous les professionnels étrangers (immigrants permanents ou temporaires) qui font face à cette problématique (par rapport au permis d'exercice de leur profession) on représente un grande proportion de la population du Québec.

Qu'enpensez-vous?

PS.: Réponses/Messages incendiers, impolis, pas la peine, juste s'abtenir de commenter .

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@Caroline77: je ne connais pas les détails comme vous puisque vous êtes dans cette discipline mais j'emploie des infirmières depuis 1995, souvent celles issues d'immigrations se sont converties en Infirmière auxiliaire et préposée aux bénéficiaires.

Il y a quelques années le gouvernement a même octroyé des subventions pour convertir des médecins étrangers en infirmier(e)s (4000$/médecin recruté) .... Plusieurs de ces médecins n'obtenaient pas la licence d'infirmier(e)s pour le soi-disant Pb. de comportement qui n'en est pas eux, c'est juste qu'ils s'oubliaient et interféraient (inconsciemment) avec les médecins en discutant un diagnostic par exple....

La malhonnêteté du gouvernement atteint son comble avec l'entente ARM respectée par la France mais pas par le Québec.

Par ailleurs, j'entends parler de la problématique des infirmières qu'on importe avec contrat et ensuite qu'on rejette depuis au moins 1998, racontée par 2 infirmières que je connaissais. Et comme vous dites, l'une d'elles s'est convertie en CRA (Clinical Research Associate/Assitante) aux E.U elle faisait du 90K USD, un travail de bureau et 60% de leur temps dans les avions. C'est bien beau au début (fric et voyage) et ensuite c'est pire puisque le travail de bureau prend toute la place.

Ce n'est pas la reconnaissance des diplômes qui pose le problème c'est l'octroi du numéro de licence; il y a mille et un prétexte qui bloque les professionnels (Infirmiers et autres) d'obtenir le permis d'exercice. Plusieurs aberrations ont été rapportées par Perplexe, nul besoin de les répéter. Au lieu que le gouvernement du Québec cherche des solutions il sort toujours avec une stratégie dont la logique ne s'explique pas.

je n'avais pas compris que tu parlais des infirmières étrangères qui souvent ne sont pas reconnues. Les infirmières françaises et belges ont un "traitement de faveur grâce à l'ARM". Les infirmières américaines ont souvent leur diplôme de reconnu aussi (même les pays du sud), par contre jamais ceux venant d'Afrique, ailleurs en Europe, Asie etc. Celles là sont rançonnées de 10.000 dollars et doivent se contenter d'être infirmières auxiliaires. Ah oui, mais infirmière auxiliaire, ce n'est pas être infirmière, désolée. Le mieux est d'être précis dans ses propos pour qu'ils soient compréhensibles.

C'est les Ordres qui posent le problème depuis toujours et encore le cas.

Je ne viens pas sur ce forum pour perdre mon temps sur ce qui se passe dans le fin fond de l'Afrique ou de l'Asie, et même en France, Belgique ou Allemagne constitue une limite. Cependant, dans le cadre de l'ARM, j'aimerais bien lire des témoignages de Québécois qui ont été en France; mais il n'y en a pas.... j'en conclue que le problème est inexistant ou pas aussi grave par rapport à ici, comme le rapporte Perplexe et bien d'autres sur ce forum.

J'ai autre chose à faire que de potasser le processus de reconnaissance des compétences professionnels de chaque ordre et trouver les les innonbrables failles dans chacun d'eux, juste pour être négative et montrer que je suis au courant.

Par rapport à Infirmier qui est # d'infirmier auxiliaire et ce dernier # préposé au bénéficiaires, ça me paraît évident. Excuses pour la confusion, bien que j'ai employé la virgule pour les citer dans le précédent post.

L'ARM, l'ARM..... ça sert à rien de se gonfler la tête avec ça, tant que la Française tout comme ''l'Asiatique ou l'Africaine ou...." n'obtient pas sa Licence (permis d'exercice).... elles sont toutes dans la même sauce (recette différente).....

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Les infirmiers asiatiques ou africains qui doivent débourser 10.000 dollars pour se voir octroyer le titre d'infirmier auxiliaire au bout de 6 mois d'études, seront sûrement heureux qu'on leur dise qu'ils sont dans la même sauce que les infirmières françaises avant 2012 reconnues directement DEC qui sont recrutées à 23 dollars de l'heure pour débuter, avec une partie des frais d'immigration pris en charge.

Modifié par caroline77
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Pour le dernier paragraphe de votre email: les infirmières comme les autres professionnels peuvent travaillier avec leur titre scientifique mais pas comme infirmières (poser un geste médical) si elle n'ont pas la licence (inscrite sur le tableau de leur Ordre). Ceci est bien clair dans le contrat d'assurance "erreur/omission" d'un employeur.

Tu racontes n'importe quoi. Pour ces infirmières françaises diplômées avant 2012, elles sont reconnues DEC point barre. Quand tu es infirmière DEC, tu fais exactement les mêmes soins que les infirmières BAC. La différence c'est que les BAC :

- sont mieux payées

- ont des postes plus intéressants et beaucoup plus variés

- peuvent rester le cul derrière un bureau à gagner jusqu'à 80.0000 dollars par an si elles le souhaitent

@Caroline77: je ne connais pas les détails comme vous puisque vous êtes dans cette discipline mais j'emploie des infirmières depuis 1995, souvent celles issues d'immigrations se sont converties en Infirmière auxiliaire et préposée aux bénéficiaires.

Il y a quelques années le gouvernement a même octroyé des subventions pour convertir des médecins étrangers en infirmier(e)s (4000$/médecin recruté) .... Plusieurs de ces médecins n'obtenaient pas la licence d'infirmier(e)s pour le soi-disant Pb. de comportement qui n'en est pas eux, c'est juste qu'ils s'oubliaient et interféraient (inconsciemment) avec les médecins en discutant un diagnostic par exple....

Vous travaillez dans un hôpital? Cette réponse est étonnante, car des infirmières françaises ou belges qui sont embauchées ici, le sont à titre d'infirmières, et font une job d'infirmière. Pas de préposées aux bénéficiaires.

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Les infirmiers asiatiques ou africains qui doivent débourser 10.000 dollars pour se voir octroyer le titre d'infirmier auxiliaire au bout de 6 mois d'études, seront sûrement heureux qu'on leur dise qu'ils sont dans la même sauce que les infirmières françaises avant 2012 reconnues directement DEC qui sont recrutées à 23 dollars de l'heure pour débuter, avec une partie des frais d'immigration pris en charge.

Les prétextes sont nombreux mais le résultat est le même, blocage des gradués hors-Québec par les Ordres Professionnels les empêchant d'accéder à la profession. Ce protectionisme est devenu collision.

Un medecin se convertit en infirmière (s'il arrive), une infirmière en inf. axiliaire, un pharmacien en ATP, et ainsi de suite. Les frais de conversion s'élèvent à 10-15000$ sans résultat garanti. C'est ridicule de faire le jeu du gouvernement, se convertir en vache à lait pour renflouer les caisses des Ordres Professionnels et des Universités.C'est le but de tout le stratagème de l'immigration au Québec.

Arrêtons de se prendre la tête avec les diplômés Français, qu'ils sooient mieux considérés par le Québec ... Si c'était le cas, ce forum ne serait pas rempli de messages et témoignages venant surtout de Français et assimilés.

Les français viennent et retournent, et ceux qui restent s'en sortent mieux qu'en restant en France. On connait la situation économique de l'Europe.

Sur ce forum, ce mois-ci, on publie qu'une dame Française de 49 ans en RH est restée 4 ans sans travail, le 9 juin 2013, elle a fait la file de 2 heures pour arriver au bureau de recrutement du Québec à Paris.... en espérant qu'elle passe la sélection de l'immigration Québec. Elle ne retournera pas en France, c'est certain.

Je je ne crois que les cadres français viendront. C'est fini le temps de les attirer par des ''menteries''. Mais le gouverment du Québec est perspicace, il recrute les Français au "berceau" = niveau secondaire 5 et DEC, il paye une partie de leurs frais scolaires, il espère les garder pour lui prendre en charge sa population vieillissante.... Donc à suivre.

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Posté(e)

Pour le dernier paragraphe de votre email: les infirmières comme les autres professionnels peuvent travaillier avec leur titre scientifique mais pas comme infirmières (poser un geste médical) si elle n'ont pas la licence (inscrite sur le tableau de leur Ordre). Ceci est bien clair dans le contrat d'assurance "erreur/omission" d'un employeur.

Tu racontes n'importe quoi. Pour ces infirmières françaises diplômées avant 2012, elles sont reconnues DEC point barre. Quand tu es infirmière DEC, tu fais exactement les mêmes soins que les infirmières BAC. La différence c'est que les BAC :

- sont mieux payées

- ont des postes plus intéressants et beaucoup plus variés

- peuvent rester le cul derrière un bureau à gagner jusqu'à 80.0000 dollars par an si elles le souhaitent

@Caroline77: je ne connais pas les détails comme vous puisque vous êtes dans cette discipline mais j'emploie des infirmières depuis 1995, souvent celles issues d'immigrations se sont converties en Infirmière auxiliaire et préposée aux bénéficiaires.

Il y a quelques années le gouvernement a même octroyé des subventions pour convertir des médecins étrangers en infirmier(e)s (4000$/médecin recruté) .... Plusieurs de ces médecins n'obtenaient pas la licence d'infirmier(e)s pour le soi-disant Pb. de comportement qui n'en est pas eux, c'est juste qu'ils s'oubliaient et interféraient (inconsciemment) avec les médecins en discutant un diagnostic par exple....

Vous travaillez dans un hôpital? Cette réponse est étonnante, car des infirmières françaises ou belges qui sont embauchées ici, le sont à titre d'infirmières, et font une job d'infirmière. Pas de préposées aux bénéficiaires.

Je travaille dans le privé depuis 1995. On a des infirmières, des infirmières auxiliaires (carte de membres à l'appui) et des préposées aux bénéficiares (ça ne prend pas de formation).

On emploie aussi les infirmières pour faire un travail de recherche (juste administratif sans toucher un patient). ''Tant qu'à se convertir en auxiliaire certaines préfèrent se convertir en CRA (travail administratif) pour un salaire de 75000$ et +

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