pour nos amis québécois avant toute chose soyez assurés que nous vous respectons et que nous n'arrivons pas en conquérent. Préambule qui permettra j'espere de ne pas dévier du sujet.
le québec joue à un jeu dangereux en ce moment qui est de ne pas reconnaitre les compétences des gens pour ne pas avoir à les payer à leur juste valeur malgré les ARM.
Un regroupement d'infirmieres et d'infirmiers français travaille d'arrache pied depuis 2 ans pour faire reconnaitre leurs compétences.
Dans l'ARM, il y a des principes directeurs qui sont l'équité, la transparence, la réciprocité. Malgré ceux-ci, malgré le fait que l'ordre des inf qc est favorable à notre reconnaissance, malgré le fait que des universités nous acceptent en second cycle, le MICC, qui ne connait ni notre programme de formation, ni nos parcours, se permet de donner son avis. Avis contraire aux personnes légitimes. Avis qu'il précise facultatif mais que les employeurs suivent....pourquoi payer plus cher qq'un qui fait le job?
lors d'un rdv avec le Micc, ce regroupement a fait part de son étonnement vis a vis de la position du MICC par rapport aux infirmiers du programme de 1992 (car pour ceux qui sont diplômés depuis 2009, maintenant c'est dans un processus LMD, ils sont reconnus cliniciens ici) en le ramenant à la reconnaissance des assistantes sociales qui sont reconnues bac en travail social. Et bien, le MICC, plutôt que de revoir son évaluation(malgré un courrier du ministere français qui lui précisait que les anciens et les nouveaux inf, avaient les mêmes compétences, malgré le fait que la formation de 1992 comporte plus d'heures de formations que le bac en sc sociales) a laissé entendre qu'il reverrait peut être l'évaluation des DE Ass Soc....
cette persistance, mise en lien avec le courrier du MICC qui précise expressément qu'il n'étudie pas les cours ni dans leur forme, ni dans leur fond, s'apparente de plus en plus à une position malhonnête.
malgré des discours récents sur l'importance de reconnaitre le niveau d'études de ses immigrants, cela ne se traduit pas vraiment en acte....quel dommage, une personne exploitée a rarement envie de faire plaisir à son exploiteur...
un reportage tv récent dépeignait le paradis pour les inf ici, en se faisant écho de soi disant rétention de 60%...il est vrai qu'il y a eu un nombre d'infirmiers plus grand à venir depuis cet ARM....si le MICC continue ce petit jeu, je pense que ce chiffre va vraiment diminuer car quand on vient on croit qu'il y a reconnaissance...en ce qui me concerne c'est fini, retour déjà prévu pour l'année prochaine.
des conditions de travail déplorables(TSO, Différents quart), un salaire qui ramené au nombre de jours travaillés est plus bas, des cotisations syndicales et ordinales obligatoires pour un montant annuel exhorbitant, des jours de congé inférieur à ce que j'avais en FRANCE et qui ne permettent pas vraiment de découvrir les beaux paysages ou aors en plusieurs années, une possibilité d'évoluer quasi nulle (études payantes et longues)....enfin bref si on vient de Paris et qu'on aime les grandes villes ok sinon...
ça restera une aventure mais pas forcément des bons souvenirs professionnels.
Question
le perplexe
bonjour à tous
pour nos amis québécois avant toute chose soyez assurés que nous vous respectons et que nous n'arrivons pas en conquérent. Préambule qui permettra j'espere de ne pas dévier du sujet.
le québec joue à un jeu dangereux en ce moment qui est de ne pas reconnaitre les compétences des gens pour ne pas avoir à les payer à leur juste valeur malgré les ARM.
Un regroupement d'infirmieres et d'infirmiers français travaille d'arrache pied depuis 2 ans pour faire reconnaitre leurs compétences.
Dans l'ARM, il y a des principes directeurs qui sont l'équité, la transparence, la réciprocité. Malgré ceux-ci, malgré le fait que l'ordre des inf qc est favorable à notre reconnaissance, malgré le fait que des universités nous acceptent en second cycle, le MICC, qui ne connait ni notre programme de formation, ni nos parcours, se permet de donner son avis. Avis contraire aux personnes légitimes. Avis qu'il précise facultatif mais que les employeurs suivent....pourquoi payer plus cher qq'un qui fait le job?
lors d'un rdv avec le Micc, ce regroupement a fait part de son étonnement vis a vis de la position du MICC par rapport aux infirmiers du programme de 1992 (car pour ceux qui sont diplômés depuis 2009, maintenant c'est dans un processus LMD, ils sont reconnus cliniciens ici) en le ramenant à la reconnaissance des assistantes sociales qui sont reconnues bac en travail social. Et bien, le MICC, plutôt que de revoir son évaluation(malgré un courrier du ministere français qui lui précisait que les anciens et les nouveaux inf, avaient les mêmes compétences, malgré le fait que la formation de 1992 comporte plus d'heures de formations que le bac en sc sociales) a laissé entendre qu'il reverrait peut être l'évaluation des DE Ass Soc....
cette persistance, mise en lien avec le courrier du MICC qui précise expressément qu'il n'étudie pas les cours ni dans leur forme, ni dans leur fond, s'apparente de plus en plus à une position malhonnête.
malgré des discours récents sur l'importance de reconnaitre le niveau d'études de ses immigrants, cela ne se traduit pas vraiment en acte....quel dommage, une personne exploitée a rarement envie de faire plaisir à son exploiteur...
un reportage tv récent dépeignait le paradis pour les inf ici, en se faisant écho de soi disant rétention de 60%...il est vrai qu'il y a eu un nombre d'infirmiers plus grand à venir depuis cet ARM....si le MICC continue ce petit jeu, je pense que ce chiffre va vraiment diminuer car quand on vient on croit qu'il y a reconnaissance...en ce qui me concerne c'est fini, retour déjà prévu pour l'année prochaine.
des conditions de travail déplorables(TSO, Différents quart), un salaire qui ramené au nombre de jours travaillés est plus bas, des cotisations syndicales et ordinales obligatoires pour un montant annuel exhorbitant, des jours de congé inférieur à ce que j'avais en FRANCE et qui ne permettent pas vraiment de découvrir les beaux paysages ou aors en plusieurs années, une possibilité d'évoluer quasi nulle (études payantes et longues)....enfin bref si on vient de Paris et qu'on aime les grandes villes ok sinon...
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le perplexe
maxo09, contrairement à ce que tu penses, on ne quémande pas un emploi après avoir immigré, le Québec se déplace nous recruter car il n'a pas assez d'infirmier et c'est pour ça qu'entre le début de la
le perplexe
bonjour à tous pour nos amis québécois avant toute chose soyez assurés que nous vous respectons et que nous n'arrivons pas en conquérent. Préambule qui permettra j'espere de ne pas dévier du sujet
le perplexe
pour dantan pas la peine de t'exciter mon jeune ami, et pas de leçon sur le fait de me lever je suis infirmier et comme tous les infirmiers de tous les pays du monde, se lever le matin, travailler
54 réponses à cette question
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