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Revenu des ménages : le Québec est 9e sur 10 au Canada


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Revenu des ménages : le Québec est 9e sur 10 au Canada

Parmi les provinces canadiennes, le Québec continue de se classer au neuvième rang quant au revenu disponible des ménages avec 25 646 $ par habitant. Seule l’Île-du-Prince-Édouard fait moins bonne figure avec 23 879 $.

Selon l’Institut de la statistique, «le retard historique du Québec par rapport à la moyenne canadienne est attribuable, d’une part, à la rémunération des salariés et au taux d’emploi qui sont moindres et, d’autre part, à la proportion plus importante du revenu consacrée à l’impôt direct et aux autres transferts des ménages aux administrations publiques».

Une nouvelle qui réjouira le maire Régis Labeaume: malgré une croissance modeste en 2010 et en 2011, Québec devance Montréal pour une troisième année consécutive au chapitre du revenu disponible des ménages. En effet, celui-ci atteint 27 024 $ à Québec comparativement à 26 857 $ à Montréal.

Soit dit en passant, le maire Labeaume annonçait ce matin avec la ministre Agnès Maltais le versement de 415 000 $ pour la réalisation d’une étude de faisabilité d’un projet de production biopharmaceutique.

Par ailleurs, le revenu disponible des ménages par habitant a progressé au Québec, en termes réels, de 0,7 % en 2011, soit 0,5% de plus qu’en 2010. La hausse en 2011 s’explique par un accroissement plus rapide de la rémunération des salariés et du revenu net de la propriété. Au Canada, le taux de croissance du revenu disponible des ménages par habitant est légèrement inférieur à celui du Québec avec une hausse de 0,6%

source : http://www.courrierparlementaire.com/

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  • Habitués
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c'est aussi une course à l'endettement...

Les finances personnelles des Québécois s’aventurent plus profond en terrain dangereux. Quoiqu’en disent les économistes qui tentent gentiment de nous rassurer.

Le taux d’endettement des Québécois continue de grimper en flèche depuis le tournant des années 2000. Les dettes augmentent plus rapidement que les revenus.

Mais notre situation financière n’est pas si pire, selon une étude de Desjardins. Pour deux raisons, surtout. D’abord, les taux d’intérêt demeurent bas (et devraient y rester pour quelque temps encore). Ce qui aide à réduire les paiements mensuels sur l’hypothèque ou la marge de crédit, par exemple.

Le hic, c’est que ce faible coût du crédit compense pour des emprunts toujours plus élevés. « Chérie, mettons le quatre-roues et nos deux semaines à Cuba sur la marge de crédit hypothécaire, elle est juste à 3 %! » D’autres se payent des maisons trop grosses pour leurs moyens, ou traînent huit cartes de crédit. Sans que ça paraisse trop dans leurs paiements mensuels…

L’autre raison pourquoi ça semble aller bien, c’est que le poids des actifs (comme la valeur de votre maison) par rapport aux dettes demeure « sain ». Comment? Grâce à cette chère bulle immobilière. Qui a fait gonfler — sur papier, rappelons-le — la valeur de la maison ou du chalet. Le hic ici, c’est que plusieurs utilisent cette valeur sur papier pour emprunter et dépenser. L’utilisation des marges de crédit hypothécaires a augmenté par un facteur de huit depuis 2001, rappelait récemment la Banque du Canada…

La loi de Murphy

Les hypothèses qui sous-tendent le constat de Desjardins sont très fragiles. La valeur du côté « actifs » du bilan l’est surtout sur papier, et peut changer. C’est fort possible que dans les mois ou années à venir, le prix des maisons stagne, ou même qu’il chute. (Demandez aux Américains, à des propriétaires en Colombie-Britannique et bientôt à plusieurs Torontois…) Alors que les dettes, elles, vont demeurer et même continuer d’augmenter — encore plus si les taux d’intérêt se réveillent!

La vérité, c’est que les Québécois n’ont jamais été aussi vulnérables. Plusieurs sont mal préparés si un choc se produit (perte d’emploi, séparation, rénovation imprévue dans la maison, hausse des taux hypothécaires, économie qui flanche, etc.) Ces gens doivent garder en tête l’implacable loi de Murphy : « ce qui peut mal tourner finira un jour par mal tourner »…

Les économistes de Desjardins en sont conscients. Et notent que « la remontée du coût d’emprunt, qui paraît lointaine, aura toutefois un impact majeur sur le bilan des ménages d’ici quelques années. » C’est d’autant plus vrai avec la popularité croissante des marges de crédit personnelles et des prêts hypothécaires à taux variables.

Pris à la gorge

Dans leur conclusion, les auteurs suggèrent aux ménages de profiter des bas taux d’intérêt actuels pour payer leurs dettes et améliorer leur bilan. C’est aussi ce que s’est tué à répéter le gouverneur de la Banque du Canada Mark Carney ces dernières années. Avec quel résultat? Les Québécois, comme les Canadiens… s’endettent encore plus!

À voir notre tendance à surconsommer, ces taxes qui nous étranglent de plus en plus, l’inflation au supermarché, et le marché de l’emploi qui s’essouffle… rien n’indique que la tendance va changer.

Alors si je me fie aux économistes de Desjardins, il faut se croiser les doigts pour que les taux d’intérêt demeurent au plancher jusqu’à la mort. Et prier pour que le prix de votre maison continue à grimper, pour l’éternité…

Source : http://descoteaux.argent.canoe.ca/2012/12/05/

  • Habitués
Posté(e)

Egalement lié à l'explosion des prix immobiliers sans augmentation des revenus pour compenser : c'est financé mathématiquement par des prêts immobiliers plus élevés.

Invité mckenzie
Posté(e) (modifié)
c'est aussi une course à l'endettement...

Les finances personnelles des Québécois saventurent plus profond en terrain dangereux. Quoiquen disent les économistes qui tentent gentiment de nous rassurer.

Le taux dendettement des Québécois continue de grimper en flèche depuis le tournant des années 2000. Les dettes augmentent plus rapidement que les revenus.

Mais notre situation financière nest pas si pire, selon une étude de Desjardins. Pour deux raisons, surtout. Dabord, les taux dintérêt demeurent bas (et devraient y rester pour quelque temps encore). Ce qui aide à réduire les paiements mensuels sur lhypothèque ou la marge de crédit, par exemple.

Le hic, cest que ce faible coût du crédit compense pour des emprunts toujours plus élevés. « Chérie, mettons le quatre-roues et nos deux semaines à Cuba sur la marge de crédit hypothécaire, elle est juste à 3 %! » Dautres se payent des maisons trop grosses pour leurs moyens, ou traînent huit cartes de crédit. Sans que ça paraisse trop dans leurs paiements mensuels

Lautre raison pourquoi ça semble aller bien, cest que le poids des actifs (comme la valeur de votre maison) par rapport aux dettes demeure « sain ». Comment? Grâce à cette chère bulle immobilière. Qui a fait gonfler sur papier, rappelons-le la valeur de la maison ou du chalet. Le hic ici, cest que plusieurs utilisent cette valeur sur papier pour emprunter et dépenser. Lutilisation des marges de crédit hypothécaires a augmenté par un facteur de huit depuis 2001, rappelait récemment la Banque du Canada

La loi de Murphy

Les hypothèses qui sous-tendent le constat de Desjardins sont très fragiles. La valeur du côté « actifs » du bilan lest surtout sur papier, et peut changer. Cest fort possible que dans les mois ou années à venir, le prix des maisons stagne, ou même quil chute. (Demandez aux Américains, à des propriétaires en Colombie-Britannique et bientôt à plusieurs Torontois) Alors que les dettes, elles, vont demeurer et même continuer daugmenter encore plus si les taux dintérêt se réveillent!

La vérité, cest que les Québécois nont jamais été aussi vulnérables. Plusieurs sont mal préparés si un choc se produit (perte demploi, séparation, rénovation imprévue dans la maison, hausse des taux hypothécaires, économie qui flanche, etc.) Ces gens doivent garder en tête limplacable loi de Murphy : « ce qui peut mal tourner finira un jour par mal tourner »

Les économistes de Desjardins en sont conscients. Et notent que « la remontée du coût demprunt, qui paraît lointaine, aura toutefois un impact majeur sur le bilan des ménages dici quelques années. » Cest dautant plus vrai avec la popularité croissante des marges de crédit personnelles et des prêts hypothécaires à taux variables.

Pris à la gorge

Dans leur conclusion, les auteurs suggèrent aux ménages de profiter des bas taux dintérêt actuels pour payer leurs dettes et améliorer leur bilan. Cest aussi ce que sest tué à répéter le gouverneur de la Banque du Canada Mark Carney ces dernières années. Avec quel résultat? Les Québécois, comme les Canadiens sendettent encore plus!

À voir notre tendance à surconsommer, ces taxes qui nous étranglent de plus en plus, linflation au supermarché, et le marché de lemploi qui sessouffle rien nindique que la tendance va changer.

Alors si je me fie aux économistes de Desjardins, il faut se croiser les doigts pour que les taux dintérêt demeurent au plancher jusquà la mort. Et prier pour que le prix de votre maison continue à grimper, pour léternité

Source : http://descoteaux.argent.canoe.ca/2012/12/05/

:lol: Le sujet est sur le revenu des ménages et Claranne sort un article sur l'endettement personnel. Claranne et ses diversions. De plus l'article vient du Canal Argent, un bidule de Québécor, groupe Québécor spécialisé dans le jaunisme journalistique et le sensationalisme à outrance... lol ! Bien que le problème de l'endettement personnel est un problème réel au Canada, la France et la zone euro vont faire faillite bien avant le Canada, Canada qui a encore sa cote de crédit AAA ( la meilleure qui soit ) alors que la France a été dégradé par Moody's et Standard and Poor's, que la croissance économique de la France est médiocre, que le chômage explose en France etc... alors faut relativiser.

Modifié par mckenzie
  • Habitués
Posté(e)

Hop un peu de trollage de Mc Kenzie, c'est vrai que ça ne manquait pas vraiment...

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

.

Modifié par caroline77
Invité mckenzie
Posté(e) (modifié)

:innocent: Tenir compte du revenu disponible des ménages après impôt et ne pas tenir compte des programmes sociaux différents dans chacune des provinces et du coût de la vie différent dans chacune des provinces est une statistique tronquée. Par exemple, on pait moins d'impôt dans les autres provinces mais on a moins de services gouvernementaux aussi. Par exemple le service de garderie à 7 $ par jour qui existe au Québec mais qui n'existe pas dans les autres provinces canadiennes. Payer par exemple 40 $ par jour au Manitoba pour la garderie comparé à 7 $ par jour au Québec, çela a un impact important dans le budget du Manitobain. Aussi le coût de la vie est aussi très important. Par exemple, le revenu disponible après impôt est important à Vancouver mais le prix des logements et maisons est horriblement cher à Vancouver, ce qui fait que des gens de Vancouver quittent Vancouver pour Montréal ou d'autres villes ayant un coût du logement et un coût de la vie plus abordable. Bref ces deux autres facteurs sont également à prendre en considération.

Fièvre immobilière: quitter Vancouver

NICOLAS BÉRUBÉ

La Presse

(VANCOUVER) Pour la première fois en 40 ans, Vancouver est victime d'un solde migratoire négatif: les gens qui quittent la ville sont plus nombreux que ceux qui y arrivent. Les prix des maisons - les plus hauts du Canada et parmi les plus élevés du monde - sont, de plus en plus, vus comme étant problématiques. Voyage au coeur d'une ville au point d'ébullition.

L'un des taudis les plus chers du monde est un bungalow blanc et vert, construit dans les années 50 au coin de la rue Balsam et de la 22e Avenue, à Vancouver.

L'escalier du porche tombe en ruine. Les murs blancs sont sales. La clôture qui entoure la minuscule cour est en partie écroulée. Le terrain comprend un petit arbre malade, et fait à peine 17 mètres de largeur.

Le tout est sur le marché pour 2 489 000$.

Si le prix vous fait sourciller, vous ne venez pas de Vancouver. Ici, personne n'est surpris. En juin, le prix moyen d'une maison unifamiliale trônait à 1 215 265$, une hausse de plus de 800 000$ depuis 2001. Cela place Vancouver au sommet du palmarès des villes les plus chères du Canada, et même, selon certains analystes, du monde anglo-saxon, devant New York et Londres.

Partout au Canada, la hausse faramineuse des prix de l'immobilier depuis 10 ans - un phénomène sans précédent dans l'histoire du pays - a transformé tout propriétaire en investisseur heureux de sa bonne étoile. À Vancouver, cette fièvre a atteint des sommets jamais vus.

Cam Good, l'un des agents immobiliers les plus connus de Vancouver, se montre direct. À ceux qui s'inquiètent des prix, M. Good résume la situation ainsi:

«Si vous ne voulez pas [payer les prix de Vancouver]... eh bien, peut-être que vous devriez aller vivre ailleurs. N'importe quelle ville aussi belle, aussi populaire, présentera ces ennuis. Ou bien vous voulez y vivre, ou bien vous ne voulez pas.»

Plus cher que Hong Kong

Deirdre Marconato ne connaît pas Cam Good, mais ses propos lui sont familiers. Elle entend régulièrement ses voisins et connaissances dire que Vancouver est «le meilleur endroit du monde».

«C'est une phrase très prétentieuse, mais c'est dit sans aucune gêne, c'est accepté comme une vérité immuable», dit-elle.

Mme Marconato considérait elle aussi que Vancouver était un endroit idéal quand elle y est arrivée, en 2008. Son mari, qui fait une carrière internationale comme analyste financier, et elle avaient décidé de vendre leur appartement à Hong Kong pour déménager sur la côte ouest canadienne, d'où Mme Marconato est originaire. Ils voulaient s'établir avec leur fille dans un endroit accueillant, près de bonnes écoles, de l'océan et des montagnes.

Quand La Presse l'a rencontrée dans sa maison du quartier cossu de Vancouver Ouest, à la fin juin, Mme Marconato était occupée à remplir ses dernières boîtes. Son aventure tirait à sa fin: après trois ans passés à Vancouver, la famille rentre à Hong Kong.

Dès leur arrivée, les Marconato ont vu que quelque chose clochait. Pourtant à l'aise financièrement et habitués au coût de la vie de Hong Kong, ils ont été estomaqués lorsqu'ils ont vu le prix des maisons. Ils se sont tournés vers la location.

Or, être locataire à Vancouver, c'est faire partie d'une sous-classe, a vite réalisé Mme Marconato. «Quand je dis aux gens que nous louons notre maison, leur regard change. C'est comme si c'était honteux d'être locataire», dit-elle.

La vie de quartier dans Vancouver Ouest n'est pas non plus ce qu'elle imaginait. «Au moins 60% des maisons de mon quartier ont été vendues depuis deux ans. Plusieurs sont vides. Ça fait une ambiance très froide. Nous invitons les gens, mais on ne se fait jamais rendre la pareille. J'ai vécu à Londres, à Paris, à Singapour et à Toronto, et je n'ai jamais vécu une telle situation.»

Vancouver Ouest n'est pas non plus à l'abri du crime: plusieurs fusillades de gangs ont eu lieu dans le quartier depuis deux ans. Un élève de l'école secondaire que fréquente sa fille a été poignardé devant l'école.

Il y a quelques mois, un chasseur de têtes a pris contact avec le mari de Mme Marconato pour lui offrir un emploi à Hong Kong. La décision de partir s'est prise rapidement.

Mme Marconato dit être déçue de voir son «rêve canadien» s'achever.

«Je ne comprends pas comment les gens font pour vivre à Vancouver, dit-elle. À Hong Kong, la vie est chère, mais les salaires sont élevés. Ici, les emplois ne sont pas très bien rémunérés. Les gens doivent s'endetter massivement pour mener un train de vie normal. Ce n'est pas ce que nous voulons.»

50% de Detroit

Malgré son emplacement unique et la beauté de ses environs, Vancouver a l'économie d'une métropole nord-américaine de taille modeste.

L'économie de Vancouver représente moins de 50% de celle de Detroit, selon PricewaterhouseCoopers. Les salaires y sont inférieurs à ceux de Toronto. Pourtant, en 2011, le prix moyen des logements représente 9,5 fois le revenu moyen des ménages, un sommet au Canada. (Les économistes estiment que le marché est sain quand les logements représentent en moyenne trois fois le revenu moyen des ménages.)

Bien des gens attribuent la hausse des prix aux Asiatiques fortunés qui investissent sur la côte Ouest. Or, «l'invasion asiatique» semble être largement un phénomène anecdotique: un récent rapport de l'Urban Futures Institute, une firme de recherche de Vancouver, montre que, sur les 55 512 maisons vendues répertoriées en 2010, 195 ont été achetées par des gens en provenance de l'extérieur du Canada. Cela représente 0,4% des acheteurs cette année-là, l'une des plus actives de la décennie pour le volume des ventes, note l'analyste Andrew Ramlo.

«Nos données contredisent les histoires et anecdotes qui circulent à Vancouver, selon lesquelles la demande des investisseurs étrangers est le moteur de la hausse importante des prix de l'immobilier», observe-t-il.

Qui plus est, pour la première fois depuis que les données ont commencé à être compilées, en 1972, Statistique Canada a noté une baisse de l'immigration internationale en Colombie-Britannique, dans le dernier trimestre de 2010. Au total, 7353 résidents non permanents ont quitté la province, renversant une tendance à la hausse observée depuis des décennies. Cette baisse est unique, et il est trop tôt pour savoir si elle se répétera en 2011.

Doutes sur la «fièvre»

Chose certaine, le coût de la vie est de plus en plus montré du doigt par les gens qui quittent Vancouver.

L'auteure et traductrice Mariko McDonald a quitté la ville, il y a trois ans et demi, pour déménager à Montréal. C'est le prix des loyers qui lui a donné l'envie de partir.

«Le coût des loyers a perdu tout lien avec les salaires, dit-elle en entrevue téléphonique. Je dépensais de 60 à 70% de mon salaire pour me loger. Sortir dans un bar ou au resto était impossible. Je ne voyais tout simplement pas d'avenir pour moi là-bas.»

http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201110/15/01-4457609-fievre-immobiliere-quitter-vancouver.php

Modifié par mckenzie
Invité mckenzie
Posté(e)
Hop un peu de trollage de Mc Kenzie, c'est vrai que ça ne manquait pas vraiment...

:Crylol: C'est plutôt toi Caroline77 qui fait du trollage, tu as fait un message sur l'endettement alors que l'article en question était sur le revenu disponible après impôts selon les provinces canadiennes... :whistlingb:

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Mais t'es vraiment une grosse Co****sse macTruc..

*

Toujours avec tes liens pourriis, de parti pris, et sans même lire les auitres.

tu vomis sur la France sans rien y connaitre, à croire que tu as été refusée par elle (ce qui ne serait pas étonnant vu ta connerie)

tu n'apportes rienj au débat que ta haine des autres!

Retourne dans ton canapé te chatouiller avec tes liens moisis et lache nous !!

Modifié par Claranne
  • Habitués
Posté(e) (modifié)

.

Modifié par caroline77
Posté(e)

Cela dit pour une fois il n'a pas totalement tort. Comparer des revenus disponibles en valeurs absolu sans tenir compte du coût de la vie ne signifie pas grand chose.

Après c'est aussi n'importe quoi que de lier ainsi la côte d'un pays et l'endettement des ménages.

En effet on peut avoir davantage de revenus disponibles mais si on possède également un taux d'entettement plus élevé, pas sur qu'on vit forcemment mieux. En clair ça sert à rien de gagner 10000$ par mois si on doit en dépenser 8000 rien que pour se loger.

Mais pour en revenir au Québec, c'est sur que ça n'a jamais été réellement un eldorado. Si vous débarquez ici pensant faire fortune c'est clair qu'il existe de grande chance de se briser les dents sur la glace. On est ici dans un marche local restreint avec 7 millions d'habitant ( rien que l'iDF fait quasi deux fois plus ...), étalé sur un territoire grand comme la moitié de l'Europe, avec en plus parfois de nombreux problèmes de corruption etc...

Bref tout ça pour dire que si c'est après l'argent que vous courez, il existe bien d'autres places dans ce monde qui proposent davantage.

  • Habitués
Posté(e)

Pour plus d'infos sur la théorie voici un truc intéressant mais je sais si les donnée incluses sont fiables mais vous allez apprendre une certaine terminologie.

Le revenu familial

  • Habitués
Posté(e)

:innocent: Tenir compte du revenu disponible des ménages après impôt et ne pas tenir compte des programmes sociaux différents dans chacune des provinces et du coût de la vie différent dans chacune des provinces est une statistique tronquée. Par exemple, on pait moins d'impôt dans les autres provinces mais on a moins de services gouvernementaux aussi. Par exemple le service de garderie à 7 $ par jour qui existe au Québec mais qui n'existe pas dans les autres provinces canadiennes. Payer par exemple 40 $ par jour au Manitoba pour la garderie comparé à 7 $ par jour au Québec, çela a un impact important dans le budget du Manitobain. Aussi le coût de la vie est aussi très important. Par exemple, le revenu disponible après impôt est important à Vancouver mais le prix des logements et maisons est horriblement cher à Vancouver, ce qui fait que des gens de Vancouver quittent Vancouver pour Montréal ou d'autres villes ayant un coût du logement et un coût de la vie plus abordable. Bref ces deux autres facteurs sont également à prendre en considération.

Fièvre immobilière: quitter Vancouver

NICOLAS BÉRUBÉ

La Presse

(VANCOUVER) Pour la première fois en 40 ans, Vancouver est victime d'un solde migratoire négatif: les gens qui quittent la ville sont plus nombreux que ceux qui y arrivent. Les prix des maisons - les plus hauts du Canada et parmi les plus élevés du monde - sont, de plus en plus, vus comme étant problématiques. Voyage au coeur d'une ville au point d'ébullition.

L'un des taudis les plus chers du monde est un bungalow blanc et vert, construit dans les années 50 au coin de la rue Balsam et de la 22e Avenue, à Vancouver.

L'escalier du porche tombe en ruine. Les murs blancs sont sales. La clôture qui entoure la minuscule cour est en partie écroulée. Le terrain comprend un petit arbre malade, et fait à peine 17 mètres de largeur.

Le tout est sur le marché pour 2 489 000$.

Si le prix vous fait sourciller, vous ne venez pas de Vancouver. Ici, personne n'est surpris. En juin, le prix moyen d'une maison unifamiliale trônait à 1 215 265$, une hausse de plus de 800 000$ depuis 2001. Cela place Vancouver au sommet du palmarès des villes les plus chères du Canada, et même, selon certains analystes, du monde anglo-saxon, devant New York et Londres.

Partout au Canada, la hausse faramineuse des prix de l'immobilier depuis 10 ans - un phénomène sans précédent dans l'histoire du pays - a transformé tout propriétaire en investisseur heureux de sa bonne étoile. À Vancouver, cette fièvre a atteint des sommets jamais vus.

Cam Good, l'un des agents immobiliers les plus connus de Vancouver, se montre direct. À ceux qui s'inquiètent des prix, M. Good résume la situation ainsi:

«Si vous ne voulez pas [payer les prix de Vancouver]... eh bien, peut-être que vous devriez aller vivre ailleurs. N'importe quelle ville aussi belle, aussi populaire, présentera ces ennuis. Ou bien vous voulez y vivre, ou bien vous ne voulez pas.»

Plus cher que Hong Kong

Deirdre Marconato ne connaît pas Cam Good, mais ses propos lui sont familiers. Elle entend régulièrement ses voisins et connaissances dire que Vancouver est «le meilleur endroit du monde».

«C'est une phrase très prétentieuse, mais c'est dit sans aucune gêne, c'est accepté comme une vérité immuable», dit-elle.

Mme Marconato considérait elle aussi que Vancouver était un endroit idéal quand elle y est arrivée, en 2008. Son mari, qui fait une carrière internationale comme analyste financier, et elle avaient décidé de vendre leur appartement à Hong Kong pour déménager sur la côte ouest canadienne, d'où Mme Marconato est originaire. Ils voulaient s'établir avec leur fille dans un endroit accueillant, près de bonnes écoles, de l'océan et des montagnes.

Quand La Presse l'a rencontrée dans sa maison du quartier cossu de Vancouver Ouest, à la fin juin, Mme Marconato était occupée à remplir ses dernières boîtes. Son aventure tirait à sa fin: après trois ans passés à Vancouver, la famille rentre à Hong Kong.

Dès leur arrivée, les Marconato ont vu que quelque chose clochait. Pourtant à l'aise financièrement et habitués au coût de la vie de Hong Kong, ils ont été estomaqués lorsqu'ils ont vu le prix des maisons. Ils se sont tournés vers la location.

Or, être locataire à Vancouver, c'est faire partie d'une sous-classe, a vite réalisé Mme Marconato. «Quand je dis aux gens que nous louons notre maison, leur regard change. C'est comme si c'était honteux d'être locataire», dit-elle.

La vie de quartier dans Vancouver Ouest n'est pas non plus ce qu'elle imaginait. «Au moins 60% des maisons de mon quartier ont été vendues depuis deux ans. Plusieurs sont vides. Ça fait une ambiance très froide. Nous invitons les gens, mais on ne se fait jamais rendre la pareille. J'ai vécu à Londres, à Paris, à Singapour et à Toronto, et je n'ai jamais vécu une telle situation.»

Vancouver Ouest n'est pas non plus à l'abri du crime: plusieurs fusillades de gangs ont eu lieu dans le quartier depuis deux ans. Un élève de l'école secondaire que fréquente sa fille a été poignardé devant l'école.

Il y a quelques mois, un chasseur de têtes a pris contact avec le mari de Mme Marconato pour lui offrir un emploi à Hong Kong. La décision de partir s'est prise rapidement.

Mme Marconato dit être déçue de voir son «rêve canadien» s'achever.

«Je ne comprends pas comment les gens font pour vivre à Vancouver, dit-elle. À Hong Kong, la vie est chère, mais les salaires sont élevés. Ici, les emplois ne sont pas très bien rémunérés. Les gens doivent s'endetter massivement pour mener un train de vie normal. Ce n'est pas ce que nous voulons.»

50% de Detroit

Malgré son emplacement unique et la beauté de ses environs, Vancouver a l'économie d'une métropole nord-américaine de taille modeste.

L'économie de Vancouver représente moins de 50% de celle de Detroit, selon PricewaterhouseCoopers. Les salaires y sont inférieurs à ceux de Toronto. Pourtant, en 2011, le prix moyen des logements représente 9,5 fois le revenu moyen des ménages, un sommet au Canada. (Les économistes estiment que le marché est sain quand les logements représentent en moyenne trois fois le revenu moyen des ménages.)

Bien des gens attribuent la hausse des prix aux Asiatiques fortunés qui investissent sur la côte Ouest. Or, «l'invasion asiatique» semble être largement un phénomène anecdotique: un récent rapport de l'Urban Futures Institute, une firme de recherche de Vancouver, montre que, sur les 55 512 maisons vendues répertoriées en 2010, 195 ont été achetées par des gens en provenance de l'extérieur du Canada. Cela représente 0,4% des acheteurs cette année-là, l'une des plus actives de la décennie pour le volume des ventes, note l'analyste Andrew Ramlo.

«Nos données contredisent les histoires et anecdotes qui circulent à Vancouver, selon lesquelles la demande des investisseurs étrangers est le moteur de la hausse importante des prix de l'immobilier», observe-t-il.

Qui plus est, pour la première fois depuis que les données ont commencé à être compilées, en 1972, Statistique Canada a noté une baisse de l'immigration internationale en Colombie-Britannique, dans le dernier trimestre de 2010. Au total, 7353 résidents non permanents ont quitté la province, renversant une tendance à la hausse observée depuis des décennies. Cette baisse est unique, et il est trop tôt pour savoir si elle se répétera en 2011.

Doutes sur la «fièvre»

Chose certaine, le coût de la vie est de plus en plus montré du doigt par les gens qui quittent Vancouver.

L'auteure et traductrice Mariko McDonald a quitté la ville, il y a trois ans et demi, pour déménager à Montréal. C'est le prix des loyers qui lui a donné l'envie de partir.

«Le coût des loyers a perdu tout lien avec les salaires, dit-elle en entrevue téléphonique. Je dépensais de 60 à 70% de mon salaire pour me loger. Sortir dans un bar ou au resto était impossible. Je ne voyais tout simplement pas d'avenir pour moi là-bas.»

http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201110/15/01-4457609-fievre-immobiliere-quitter-vancouver.php

Ah ça y est, tu nous ressors les vieux articles et liens. Ça sent le disque rayé tout ça ....C'est vrai, tout le monde quitte Vancouver, c'est le désert total ici, je me demande ce que je fais encore la d'ailleurs..... :sleeping:

Invité mckenzie
Posté(e) (modifié)

:innocent: Tenir compte du revenu disponible des ménages après impôt et ne pas tenir compte des programmes sociaux différents dans chacune des provinces et du coût de la vie différent dans chacune des provinces est une statistique tronquée. Par exemple, on pait moins d'impôt dans les autres provinces mais on a moins de services gouvernementaux aussi. Par exemple le service de garderie à 7 $ par jour qui existe au Québec mais qui n'existe pas dans les autres provinces canadiennes. Payer par exemple 40 $ par jour au Manitoba pour la garderie comparé à 7 $ par jour au Québec, çela a un impact important dans le budget du Manitobain. Aussi le coût de la vie est aussi très important. Par exemple, le revenu disponible après impôt est important à Vancouver mais le prix des logements et maisons est horriblement cher à Vancouver, ce qui fait que des gens de Vancouver quittent Vancouver pour Montréal ou d'autres villes ayant un coût du logement et un coût de la vie plus abordable. Bref ces deux autres facteurs sont également à prendre en considération.

Fièvre immobilière: quitter Vancouver

NICOLAS BÉRUBÉ

La Presse

(VANCOUVER) Pour la première fois en 40 ans, Vancouver est victime d'un solde migratoire négatif: les gens qui quittent la ville sont plus nombreux que ceux qui y arrivent. Les prix des maisons - les plus hauts du Canada et parmi les plus élevés du monde - sont, de plus en plus, vus comme étant problématiques. Voyage au coeur d'une ville au point d'ébullition.

L'un des taudis les plus chers du monde est un bungalow blanc et vert, construit dans les années 50 au coin de la rue Balsam et de la 22e Avenue, à Vancouver.

L'escalier du porche tombe en ruine. Les murs blancs sont sales. La clôture qui entoure la minuscule cour est en partie écroulée. Le terrain comprend un petit arbre malade, et fait à peine 17 mètres de largeur.

Le tout est sur le marché pour 2 489 000$.

Si le prix vous fait sourciller, vous ne venez pas de Vancouver. Ici, personne n'est surpris. En juin, le prix moyen d'une maison unifamiliale trônait à 1 215 265$, une hausse de plus de 800 000$ depuis 2001. Cela place Vancouver au sommet du palmarès des villes les plus chères du Canada, et même, selon certains analystes, du monde anglo-saxon, devant New York et Londres.

Partout au Canada, la hausse faramineuse des prix de l'immobilier depuis 10 ans - un phénomène sans précédent dans l'histoire du pays - a transformé tout propriétaire en investisseur heureux de sa bonne étoile. À Vancouver, cette fièvre a atteint des sommets jamais vus.

Cam Good, l'un des agents immobiliers les plus connus de Vancouver, se montre direct. À ceux qui s'inquiètent des prix, M. Good résume la situation ainsi:

«Si vous ne voulez pas [payer les prix de Vancouver]... eh bien, peut-être que vous devriez aller vivre ailleurs. N'importe quelle ville aussi belle, aussi populaire, présentera ces ennuis. Ou bien vous voulez y vivre, ou bien vous ne voulez pas.»

Plus cher que Hong Kong

Deirdre Marconato ne connaît pas Cam Good, mais ses propos lui sont familiers. Elle entend régulièrement ses voisins et connaissances dire que Vancouver est «le meilleur endroit du monde».

«C'est une phrase très prétentieuse, mais c'est dit sans aucune gêne, c'est accepté comme une vérité immuable», dit-elle.

Mme Marconato considérait elle aussi que Vancouver était un endroit idéal quand elle y est arrivée, en 2008. Son mari, qui fait une carrière internationale comme analyste financier, et elle avaient décidé de vendre leur appartement à Hong Kong pour déménager sur la côte ouest canadienne, d'où Mme Marconato est originaire. Ils voulaient s'établir avec leur fille dans un endroit accueillant, près de bonnes écoles, de l'océan et des montagnes.

Quand La Presse l'a rencontrée dans sa maison du quartier cossu de Vancouver Ouest, à la fin juin, Mme Marconato était occupée à remplir ses dernières boîtes. Son aventure tirait à sa fin: après trois ans passés à Vancouver, la famille rentre à Hong Kong.

Dès leur arrivée, les Marconato ont vu que quelque chose clochait. Pourtant à l'aise financièrement et habitués au coût de la vie de Hong Kong, ils ont été estomaqués lorsqu'ils ont vu le prix des maisons. Ils se sont tournés vers la location.

Or, être locataire à Vancouver, c'est faire partie d'une sous-classe, a vite réalisé Mme Marconato. «Quand je dis aux gens que nous louons notre maison, leur regard change. C'est comme si c'était honteux d'être locataire», dit-elle.

La vie de quartier dans Vancouver Ouest n'est pas non plus ce qu'elle imaginait. «Au moins 60% des maisons de mon quartier ont été vendues depuis deux ans. Plusieurs sont vides. Ça fait une ambiance très froide. Nous invitons les gens, mais on ne se fait jamais rendre la pareille. J'ai vécu à Londres, à Paris, à Singapour et à Toronto, et je n'ai jamais vécu une telle situation.»

Vancouver Ouest n'est pas non plus à l'abri du crime: plusieurs fusillades de gangs ont eu lieu dans le quartier depuis deux ans. Un élève de l'école secondaire que fréquente sa fille a été poignardé devant l'école.

Il y a quelques mois, un chasseur de têtes a pris contact avec le mari de Mme Marconato pour lui offrir un emploi à Hong Kong. La décision de partir s'est prise rapidement.

Mme Marconato dit être déçue de voir son «rêve canadien» s'achever.

«Je ne comprends pas comment les gens font pour vivre à Vancouver, dit-elle. À Hong Kong, la vie est chère, mais les salaires sont élevés. Ici, les emplois ne sont pas très bien rémunérés. Les gens doivent s'endetter massivement pour mener un train de vie normal. Ce n'est pas ce que nous voulons.»

50% de Detroit

Malgré son emplacement unique et la beauté de ses environs, Vancouver a l'économie d'une métropole nord-américaine de taille modeste.

L'économie de Vancouver représente moins de 50% de celle de Detroit, selon PricewaterhouseCoopers. Les salaires y sont inférieurs à ceux de Toronto. Pourtant, en 2011, le prix moyen des logements représente 9,5 fois le revenu moyen des ménages, un sommet au Canada. (Les économistes estiment que le marché est sain quand les logements représentent en moyenne trois fois le revenu moyen des ménages.)

Bien des gens attribuent la hausse des prix aux Asiatiques fortunés qui investissent sur la côte Ouest. Or, «l'invasion asiatique» semble être largement un phénomène anecdotique: un récent rapport de l'Urban Futures Institute, une firme de recherche de Vancouver, montre que, sur les 55 512 maisons vendues répertoriées en 2010, 195 ont été achetées par des gens en provenance de l'extérieur du Canada. Cela représente 0,4% des acheteurs cette année-là, l'une des plus actives de la décennie pour le volume des ventes, note l'analyste Andrew Ramlo.

«Nos données contredisent les histoires et anecdotes qui circulent à Vancouver, selon lesquelles la demande des investisseurs étrangers est le moteur de la hausse importante des prix de l'immobilier», observe-t-il.

Qui plus est, pour la première fois depuis que les données ont commencé à être compilées, en 1972, Statistique Canada a noté une baisse de l'immigration internationale en Colombie-Britannique, dans le dernier trimestre de 2010. Au total, 7353 résidents non permanents ont quitté la province, renversant une tendance à la hausse observée depuis des décennies. Cette baisse est unique, et il est trop tôt pour savoir si elle se répétera en 2011.

Doutes sur la «fièvre»

Chose certaine, le coût de la vie est de plus en plus montré du doigt par les gens qui quittent Vancouver.

L'auteure et traductrice Mariko McDonald a quitté la ville, il y a trois ans et demi, pour déménager à Montréal. C'est le prix des loyers qui lui a donné l'envie de partir.

«Le coût des loyers a perdu tout lien avec les salaires, dit-elle en entrevue téléphonique. Je dépensais de 60 à 70% de mon salaire pour me loger. Sortir dans un bar ou au resto était impossible. Je ne voyais tout simplement pas d'avenir pour moi là-bas.»

http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201110/15/01-4457609-fievre-immobiliere-quitter-vancouver.php

Ah ça y est, tu nous ressors les vieux articles et liens. Ça sent le disque rayé tout ça ....C'est vrai, tout le monde quitte Vancouver, c'est le désert total ici, je me demande ce que je fais encore la d'ailleurs..... :sleeping:

Je donne souvent de nouveaux articles et liens, le dernier en date celui de David Abiker de la revue l'Express... et il y a constamment de nouveaux membres sur ce forum donc certains n'ont peut-être pas lu certains articles moins récents. E j'ai jamais dit que tout le monde quitte Vancouver... j'ai dit que plusieurs quittent Vancouver à cause du prix élevé des logements et des maisons. Et c'est vrai. Et ce que j'ai dit est confirmé par l'article du journal La Presse...:sorcerer:

Modifié par mckenzie
Posté(e)

On pourrait te parler aussi des gens qui quittent le Québec pour diverses raisons.

Puis n'as tu jamais entendu parler des "snowbird" québécois ? Ils seraient 300000 à 40000 a chaque hiver apparemment.

  • Habitués
Posté(e)
On pourrait te parler aussi des gens qui quittent le Québec pour diverses raisons.

Puis n'as tu jamais entendu parler des "snowbird" québécois ? Ils seraient 300000 à 40000 a chaque hiver apparemment.

Un "snowbird" ne quitte pas pour des raisons fiscales, ils quittent pour aller au soleil et jamais plus de 6 mois afin de ne pas perdre l'assurance maladie. La majorité fai et paie leurs impôts au Canada.

Invité mckenzie
Posté(e) (modifié)
On pourrait te parler aussi des gens qui quittent le Québec pour diverses raisons.

Puis n'as tu jamais entendu parler des "snowbird" québécois ? Ils seraient 300000 à 40000 a chaque hiver apparemment.

:rofl: Une autre ineptie de Je rêve... les "snowbirds" québécois passent une partie de l'hiver en Floride pour des raisons climatiques évidentes et reviennent ensuite au Québec le reste de l'année, ils ne quittent pas de façon définitive le Québec, ils passent simplement une partie de l'hiver en Floride alors que ceux qui quittent les logements et maisons horriblement cher de Vancouver quittent Vancouver de façon DÉFINITIVE... et pour ton information, il y aussi plein de "snowbirds" dans les provinces anglophones aussi qui passent une partie de l'hiver en Floride ou en Californie...:whistlingb:

Modifié par mckenzie
  • Habitués
Posté(e)
:rofl: Une autre ineptie de Je rêve... les "snowbirds" québécois passent une partie de l'hiver en Floride pour des raisons climatiques évidentes et reviennent ensuite au Québec le reste de l'année, ils ne quittent pas de façon définitive le Québec, ils passent simplement une partie de l'hiver en Floride alors que ceux qui quittent les logements et maisons horriblement cher de Vancouver quittent Vancouver de façon DÉFINITIVE... et pour ton information, il y aussi plein de "snowbirds" dans les provinces anglophones aussi qui passent une partie de l'hiver en Floride ou en Californie... :whistlingb:

Tout comme il y a des tas de gens qui quittent le Québec de manière DÉFINITIVE aussi pour tout un tas de raisons diverses. Ce n'est pas réservé qu'à Vancouver, comme tu le dis sans arrêt.....

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