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Le Québec peine à intégrer les travailleurs immigrants


Adel2009

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  • Habitués

et les gars et les filles c'est terrible à comprendre çà ...

on applique la préférence nationale : c'est discriminant pour nous (les immigres) mais comme bien d'autres pays dont la France la diffèrence c'est qu'ici on se cache un peu plus mais les faits sont là ...

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  • Habitués
747fan

on applique la préférence nationale : c'est discriminant pour nous (les immigres)

mais comme bien d'autres pays dont la France la diffèrence

c'est qu'ici on se cache un peu plus mais les faits sont là

747fan, si tu penses ça, pourquoi avoir immigré au Québec ? :wacko:

C'est complètement illogique ton affaire...:rolleyes:

Es-tu masochiste ? :wacko:

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747fan

on applique la préférence nationale : c'est discriminant pour nous (les immigres)

mais comme bien d'autres pays dont la France la diffèrence

c'est qu'ici on se cache un peu plus mais les faits sont là

747fan, si tu penses ça, pourquoi avoir immigré au Québec ? wacko.gif

C'est complètement illogique ton affaire...rolleyes.gif

Es-tu masochiste ? wacko.gif

Mais 747fan est sans doute venu au Québec avec les meilleures intentions du monde, et il répondait forcément aux critères, puisqu'il vit ici. Sauf qu'à l'arrivée et avec le passage du temps, l'immigrant se rend compte que le discours encourageant et accueillant ne colle pas vraiment à la réalité ... mais ça, c'est une chose que l'on apprend seulement lorsqu'on est rendu ici, sur place.

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Article du Devoir d'aujourd'hui (samedi 10 avril) :

Le paradoxe de l'immigration

Bien accueillis, les nouveaux venus sont rapidement laissés à eux-mêmes

Lisa-Marie Gervais 10 avril 2010 Actualités en société image.jpg Photo : Agence Reuters Larry DowningLe marché du travail est un obstacle de taille à l'intégration.Le Québec peine à intégrer ses immigrants, révélait cette semaine une étude commandée par le CIRANO. Pis, il est en queue de peloton lorsque comparé à l'Ontario et à la Colombie-Britannique, deux provinces où le taux d'immigration est élevé. Simple question de discrimination? Il semblerait que le problème soit plus complexe.

Les Québécois vieillissent, prennent leur retraite. Devant cette désertion du marché du travail, le Québec est forcé de s'en remettre à sa main-d'oeuvre immigrante, qui représentait en 2006 11 % de la population totale. Il n'est d'ailleurs pas de question qui fasse davantage consensus, tant dans les partis politiques que dans les syndicats et autres groupes de pression.

Non seulement la Belle Province intègre-t-elle très mal ses immigrants, mais elle le fait également beaucoup moins bien que dans le reste du Canada, révèle une étude du Centre interuniversitaire de recherche en analyse des organisations (CIRANO) intitulée Immigration au Québec: politiques et intégration au marché du travail. En 2006, le taux d'emploi des immigrants au Québec était inférieur de 11,4 points à celui des Québécois nés ici, soit un écart deux fois plus grand que celui observé dans les deux autres provinces, l'Ontario (5 points) et la Colombie-Britannique (5,1 points).

Le Québec a ouvert ses portes, et les immigrants arrivent, nombreux. La grille de sélection pour attirer une main-d'oeuvre qualifiée et qui parle français fonctionne, rappelle Maude Boulet, doctorante en relations industrielles à l'Université de Montréal et coauteure, avec Brahim Boudarbat, de l'étude publiée cette semaine. Les immigrants sont de plus en plus qualifiés la proportion des immigrants récents du Québec (âgés de 25 ans et plus) qui détiennent au moins un baccalauréat est passée de 15,4 % en 1981 à 51 % en 2006 et ils sont beaucoup plus nombreux à parler le français à l'arrivée (60,4 % des immigrants admis au Québec en 2008 parlaient le français).

Beau paradoxe, reconnaissent les observateurs de la scène immigrante. «On favorise l'immigration des personnes ayant des diplômes supérieurs, on leur donne des cours de français si elles ne le connaissent pas déjà, mais après ça, on ne les aide plus», dit la professeure en relations industrielles à l'UdeM Marie-Thérèse Chicha, qui déplore le sous-financement de l'intégration. «Les politiques d'immigration ne sont pas cohérentes avec les politiques d'intégration. C'est du gaspillage de compétences.»

Afin de hausser le taux d'emploi des nouveaux arrivants, le député péquiste de LaPrairie, François Rebello, souhaite que les dirigeants fassent preuve de plus de transparence et rendent des comptes. «Il faut être intransigeants à l'égard de ceux qui discriminent, insiste M. Rebello. Et c'est au gouvernement de donner l'exemple.»

Le sociologue de l'UQAM Jean Renaud abonde dans ce sens: le gouvernement, comme premier employeur, devrait servir de modèle. «Il y aurait moyen d'accélérer leur embauche. Il y a des milliers de solutions, des choses qui se font déjà ailleurs. Mais lesquelles sont applicables? On peut penser au mentorat», indique M. Renaud. Mais avant de parler solutions, voyons un peu la genèse du problème de l'intégration des immigrants, qui touche dans une plus forte proportion les immigrants originaires de l'Afrique du Nord (Maghreb) et du Moyen-Orient.

Racistes, les employeurs ?

Pour Marie-Thérèse Chicha, la lente intégration des immigrants sur le marché du travail pourrait s'expliquer en partie par des pratiques discriminatoires des employeurs. «Ils sont très réticents à embaucher des immigrants. Ils ont peur que ceux-ci se mettent à demander des congés. Cette idée que les immigrants vont chercher à demander des accommodements est très répandue, souligne-t-elle. Mais il y a aussi des employeurs de bonne volonté qui n'engagent pas d'immigrants de peur d'être accusés de discrimination s'ils licencient quelqu'un strictement pour une question d'incompétence. Mais c'est un mythe, il n'y a pas d'immigrants qui font ça», a-t-elle dit.

Reconnaissant que ce n'est pas le cas de tous les employeurs, Jean Renaud remarque qu'il y a une réelle discrimination à l'embauche, «qui se voit sur le terrain». On n'a qu'à penser à ces histoires qui défraient à l'occasion les manchettes d'immigrants qui ont soumis le même curriculum vitae à une entreprise, l'un avec un nom à consonance québécoise et l'autre avec un nom, disons, plus «exotique». Le CV de «M. Tremblay» est bien sûr privilégié, dans la grande majorité des cas.

N'empêche, selon le sociologue, cette attitude s'estompe après un certain temps. Au fil de ses recherches quantitatives et qualitatives, ce spécialiste des questions d'immigration a remarqué que le «coefficient Maghreb», c'est-à-dire l'ensemble des facteurs associés à l'origine d'une personne originaire de l'Afrique du Nord et pouvant nuire à son intégration, se fait sentir au début de l'établissement. «Mais après trois ans, les études montrent que ce n'est plus significatif. Si c'était de la discrimination, ce coefficient serait toujours significatif. L'employeur s'adapte et apprend à décoder ce que vaut un diplôme du Maghreb», a-t-il expliqué.

Et si le Québec fait moins bien que l'Ontario et la Colombie-Britannique, c'est qu'il n'est pas aussi habitué qu'eux à accueillir des immigrants, estime Jean Renaud. «Le Québec n'a que 30 ans de pratique avec l'immigration. Ça date de la loi 101. Avant ça, l'immigration était plutôt gérée par le côté anglophone du Québec, a-t-il soutenu. Mais on est encore en train de se chicaner sur le foulard. C'est comme si on confirmait le fait que c'est normal de discriminer. L'employeur envoie le message que ce ne sont pas des gens comme nous, qu'ils sont marginaux. Ça n'aide pas à rehausser le taux d'emploi.»

Professeure à l'École des sciences de la gestion de l'UQAM, Sylvie Gravel ne croit pas qu'il est exact de parler de discrimination de la part des employeurs. «Les grandes entreprises ont fait beaucoup d'effort pour redresser la situation et éliminer toutes les étapes qui portent préjudice aux immigrants», assure-t-elle. Elle remarque qu'un grand nombre de petites entreprises ont recours à des immigrants. Certains employeurs du secteur agricole vont même se mettre à parler espagnol pour mieux communiquer avec leurs employés latino-américains. «Le vrai problème, c'est d'intégrer les immigrants dans un emploi qui correspond à leur diplôme. On est en pénurie de main-d'oeuvre dans certains secteurs pour lesquels on n'a pas nécessairement sollicité des immigrants», rappelle Mme Gravel, en précisant que c'est en train de changer.

La faute de la grille... et de la langue

La grille n'est donc pas si adéquate que ça. Jean Renaud, qui s'est intéressé aux variables permettant d'améliorer les prédictions d'accès à l'emploi pour un nouvel arrivant, a constaté que la grille de sélection ne comptait que pour 13 % dans ce savant calcul. «On a essayé de voir combien de temps ça prend à un immigrant pour avoir un emploi qualifié et quels sont les facteurs qui permettent d'expliquer ça. La grille ne compte pas pour beaucoup», note-t-il. Selon lui, cette grille utilisée par le ministère de l'Immigration et des Communautés culturelles n'est pas nécessairement conçue pour d'abord sélectionner de bons ouvriers appariés aux emplois disponibles. «Elle a avant tout comme but de nous choisir des concitoyens, des gens avec qui on va vivre. Des concitoyens qui deviendront nos amis, nos voisins, des gens qui vont tomber amoureux avec nos enfants.»

Certes, des problèmes plus structurels liés aux blocages que peuvent engendrer certains ordres professionnels dans le cas des professions réglementées sont désormais connus. L'attention a été moins portée sur les problèmes d'intégration sur le marché du travail causés par l'obligation, dans certains cas, de parler le français et l'anglais. «Il existe des exigences de bilinguisme pour un certain niveau d'emploi», note François Rebello. «Le fait de ne pas parler anglais est souvent un frein plus grand à l'emploi que le fait de ne pas parler français», ajoute-t-il, constatant que cette réalité bien québécoise nuit à certains membres de la communauté maghrébine, par exemple, qui connaissent souvent mieux le français que l'anglais.

Les études de Jean Renaud ne lui ont pourtant pas permis de conclure que le facteur de la langue était significatif. «La connaissance de l'anglais et du français n'est pas un facteur qui augmente l'accès au marché du travail. C'est plutôt une question de réseau au sens très large.»

Marie-Thérèse Chicha abonde. «Il ressort que la majorité des entreprises québécoises ont recours aux réseaux de connaissances pour leur recrutement. Et même quand ils sont diplômés du Québec, [les immigrants] n'arrivent pas nécessairement à se créer un réseau de connaissances susceptible de les aider à trouver un emploi. Ils n'ont pas un bon réseau culturel pour les informer informellement. Souvent, leur réseau est constitué de gens d'Emploi Québec ou des universités, qui ne les orientent pas nécessairement vers des emplois qui sont porteurs», fait-elle remarquer.

Pour sa part, Sylvie Gravel insiste sur l'importance de laisser le temps aux immigrants de bien apprivoiser leur milieu de travail. «Il faut comprendre la difficulté [pour les immigrants] de passer l'étape de la probation. On va reprocher à des gens de ne pas bien fonctionner dans le milieu, de ne pas être sociables parce qu'ils ne vont pas prendre une bière après le travail ou parce qu'ils ne jouent pas aux hockey avec les employés. Mais on oublie qu'il y a un élément qui s'appelle s'insérer dans une culture organisationnelle et une dynamique de socialisation», conclut-elle en appelant à plus d'indulgence.

Comme quoi il ne suffit pas d'avoir la tête de l'emploi. Encore faut-il s'assurer de la viabilité du «vivre ensemble».

http://www.ledevoir....e-l-immigration

Les commentaires des lecteurs, qui suivent l'article, sont très intéressants par ailleurs. blink.gif

Modifié par Ensaimada
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  • Habitués

747fan

on applique la préférence nationale : c'est discriminant pour nous (les immigres)

mais comme bien d'autres pays dont la France la diffèrence

c'est qu'ici on se cache un peu plus mais les faits sont là

747fan, si tu penses ça, pourquoi avoir immigré au Québec ? :wacko:

C'est complètement illogique ton affaire...:rolleyes:

Es-tu masochiste ? :wacko:

non c'est la réalité et je ne vis pas au pays des bisounours mais je suis pas un bon exemple je bosse pour une compagnie que posséde des cries et des inuits, basée en Ontario et je quitte le Québec.

quand tu comprendras que chaque immigré a une expérience personnelle et que la preference nationale et le repli identitaire sont des realites ecrites et constatées. elles te derangent too bad c est la realite aujourd'hui ...

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  • Habitués

Ensaimada,

merci de cet article.

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  • Habitués
quand tu comprendras que chaque immigré a une expérience personnelle et que la preference nationale et le repli identitaire sont des realites ecrites et constatées. elles te derangent too bad c est la realite aujourd'hui ...

Il va sûrement te répondre que c'est de ta faute et que si tu t'étais renseigné tu l'aurais su plus tôt :lol:

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  • Habitués

peu pas te dire il ecrit ce qu'il veut la fonction "ignorés" me sauve bien du temps lol ...!!!

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peu pas te dire il ecrit ce qu'il veut la fonction "ignorés" me sauve bien du temps lol ...!!!

laugh.gif Oui, j'avoue que la fonction « Ignorer » est souvent la meilleure réponse. Et on ne perd pas de temps.

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  • Habitués
peu pas te dire il ecrit ce qu'il veut la fonction "ignorés" me sauve bien du temps lol ...!!!

C'est dommage de l'ignorer parce qu'il représente bien cette part de Québecois xénophobes et qui rejettent tout sur les immigrants.

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  • Habitués

il n'est même pas au Québec ...!!!

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  • Habitués

747fan

on applique la préférence nationale : c'est discriminant pour nous (les immigres)

mais comme bien d'autres pays dont la France la diffèrence

c'est qu'ici on se cache un peu plus mais les faits sont là

747fan, si tu penses ça, pourquoi avoir immigré au Québec ? wacko.gif

C'est complètement illogique ton affaire...rolleyes.gif

Es-tu masochiste ? wacko.gif

Mais 747fan est sans doute venu au Québec avec les meilleures intentions du monde, et il répondait forcément aux critères, puisqu'il vit ici. Sauf qu'à l'arrivée et avec le passage du temps, l'immigrant se rend compte que le discours encourageant et accueillant ne colle pas vraiment à la réalité ... mais ça, c'est une chose que l'on apprend seulement lorsqu'on est rendu ici, sur place.

Bonjour.

L'équation est si simple s'il existe une volonté de changement politique.

Le service d'immigration devra instaurer une politique claire sans tatouage de marketing....les mêmes critères de sélection fédérale.

1. Seuil de 6000 $par exemple au minimum pour un célibataire et 10.000 $ pour un couple.

2. Chercher des profils ( francophones ok) mais qui répondent aux besoins du marché du Québec.

3.Test écrit et oral du français ( par exemple TCF + niveau acceptable anglais).

4.Réduire le délai infernal pour certains pays.

5. Sensibiliser les employeurs québecois pour faciliter l'intégration des arrivants.

Vaut mieux intégrer 50% que de ramener 30.000 personnes chaque année qui pèse sur le budget provincial.

Vive le far West.wub.gif

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  • Habitués

peu pas te dire il ecrit ce qu'il veut la fonction "ignorés" me sauve bien du temps lol ...!!!

laugh.gif Oui, j'avoue que la fonction « Ignorer » est souvent la meilleure réponse. Et on ne perd pas de temps.

Difficile de l'ignorer quand les gens "quotent" ses messages :(

J'aimerais bien qu'on m'indique comment ignorer les "quotes" indésirables.

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747fan

on applique la préférence nationale : c'est discriminant pour nous (les immigres)

mais comme bien d'autres pays dont la France la diffèrence

c'est qu'ici on se cache un peu plus mais les faits sont là

747fan, si tu penses ça, pourquoi avoir immigré au Québec ? wacko.gif

C'est complètement illogique ton affaire...rolleyes.gif

Es-tu masochiste ? wacko.gif

Mais 747fan est sans doute venu au Québec avec les meilleures intentions du monde, et il répondait forcément aux critères, puisqu'il vit ici. Sauf qu'à l'arrivée et avec le passage du temps, l'immigrant se rend compte que le discours encourageant et accueillant ne colle pas vraiment à la réalité ... mais ça, c'est une chose que l'on apprend seulement lorsqu'on est rendu ici, sur place.

Bonjour.

L'équation est si simple s'il existe une volonté de changement politique.

Le service d'immigration devra instaurer une politique claire sans tatouage de marketing....les mêmes critères de sélection fédérale.

1. Seuil de 6000 $par exemple au minimum pour un célibataire et 10.000 $ pour un couple.

2. Chercher des profils ( francophones ok) mais qui répondent aux besoins du marché du Québec.

3.Test écrit et oral du français ( par exemple TCF + niveau acceptable anglais).

4.Réduire le délai infernal pour certains pays.

5. Sensibiliser les employeurs québecois pour faciliter l'intégration des arrivants.

Vaut mieux intégrer 50% que de ramener 30.000 personnes chaque année qui pèse sur le budget provincial.

Vive le far West.wub.gif

D'accord avec vous. À la lumière de ce rapport, le Québec devra sans doute songer à réviser ses critères de sélection et aussi, surtout, augmenter le seuil financier minimum requis pour les nouveaux arrivants.

D'ailleurs, vous pouvez lire les commentaires à la suite de l'article que j'ai posté; c'est assez éloquent ...

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  • Habitués

747fan

on applique la préférence nationale : c'est discriminant pour nous (les immigres)

mais comme bien d'autres pays dont la France la diffèrence

c'est qu'ici on se cache un peu plus mais les faits sont là

747fan, si tu penses ça, pourquoi avoir immigré au Québec ? wacko.gif

C'est complètement illogique ton affaire...rolleyes.gif

Es-tu masochiste ? wacko.gif

Mais 747fan est sans doute venu au Québec avec les meilleures intentions du monde, et il répondait forcément aux critères, puisqu'il vit ici. Sauf qu'à l'arrivée et avec le passage du temps, l'immigrant se rend compte que le discours encourageant et accueillant ne colle pas vraiment à la réalité ... mais ça, c'est une chose que l'on apprend seulement lorsqu'on est rendu ici, sur place.

Bonjour.

L'équation est si simple s'il existe une volonté de changement politique.

Le service d'immigration devra instaurer une politique claire sans tatouage de marketing....les mêmes critères de sélection fédérale.

1. Seuil de 6000 $par exemple au minimum pour un célibataire et 10.000 $ pour un couple.

2. Chercher des profils ( francophones ok) mais qui répondent aux besoins du marché du Québec.

3.Test écrit et oral du français ( par exemple TCF + niveau acceptable anglais).

4.Réduire le délai infernal pour certains pays.

5. Sensibiliser les employeurs québecois pour faciliter l'intégration des arrivants.

Vaut mieux intégrer 50% que de ramener 30.000 personnes chaque année qui pèse sur le budget provincial.

Vive le far West.wub.gif

D'accord avec vous. À la lumière de ce rapport, le Québec devra sans doute songer à réviser ses critères de sélection et aussi, surtout, augmenter le seuil financier minimum requis pour les nouveaux arrivants.

D'ailleurs, vous pouvez lire les commentaires à la suite de l'article que j'ai posté; c'est assez éloquent ...

oui exacte...Cette journaliste tirait la sonette d'alarme mais faut que les politiciens laissent le tapage médiatique...

Au moins au far west y a moins de bruitlaugh.gif

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  • Habitués
il n'est même pas au Québec ...!!!

Derriére son pseudo se cache un vrai Québecois pure laine qui vit au Québec. Il est connu pour ces positions contre l'immigration au Québec.

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  • Habitués

il n'est même pas au Québec ...!!!

Derriére son pseudo se cache un vrai Québecois pure laine qui vit au Québec. Il est connu pour ces positions contre l'immigration au Québec.

Des noms, tu pourrais rajouter ça à la liste de tout ceux que tu dois nous donner, pour mémoire :

les membres fondateurs

les Québécois bannis

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  • Habitués

il n'est même pas au Québec ...!!!

Derriére son pseudo se cache un vrai Québecois pure laine qui vit au Québec. Il est connu pour ces positions contre l'immigration au Québec.

Tu peux être rassurer d'un point que ça reste un forum du virtuel qoui..personne n'est porte parole du peuple canadien y compris le peuple québecois ....personne ne bougera ses fesses pour dire un seul mot en public... jaser et chialler une qualité québecoise laugh.gif ...

l'immigration est un choix stratégique national de l'Etat canadien avec approbation des gouvernements provinciaux..

Le seul hic qu'au Québec qu'on arrive pas à contrôler l'ampleur de cette immigration enfin une catégorie qui dérange ajoutant une vaste masse de parrainage et de refugiés imposés par Otawa laugh.gif

Entre un forum et la réalité y a le manche séparant Paris de Manchester wub.gif

Tu peux dormir tranquille. c'est juste un volcan au café.

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  • Habitués
l'immigration est un choix stratégique national de l'Etat canadien avec approbation des gouvernements provinciaux..

Le seul hic qu'au Québec qu'on arrive pas à contrôler l'ampleur de cette immigration enfin une catégorie qui dérange ajoutant une vaste masse de parrainage et de refugiés imposés par Otawa laugh.gif

Entre un forum et la réalité y a le manche séparant Paris de Manchester wub.gif

Tu peux dormir tranquille. c'est juste un volcan au café.

Je ne pense pas que l'immigration soit vraiment un problème au Québec. Sauf que certains découvrent petit à petit que les immigrants ne vont pas devenir de futurs québecois de souche mais ils ont leur propre personnalité, leur propre opinion et leur propre culture. Comme le dit fort justement 747fan, ça entraîne chez certains un repli identitaire et une préférence nationale.

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  • Habitués

ce n'est qu'un vote virtuel faut pas t'arrêter à çà il y a une vie en dehors du forum ...

peu pas te dire il ecrit ce qu'il veut la fonction "ignorés" me sauve bien du temps lol ...!!!

laugh.gif Oui, j'avoue que la fonction « Ignorer » est souvent la meilleure réponse. Et on ne perd pas de temps.

Difficile de l'ignorer quand les gens "quotent" ses messages :(

J'aimerais bien qu'on m'indique comment ignorer les "quotes" indésirables.

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