Habitués jarkael Posté(e) 16 février 2006 Habitués Posté(e) 16 février 2006 Bon, les amis, je viens de voir les Invasions barbares, et j'en sorstout deprimé.Certes, il faut le voir comme une satire du modele quebecois, cecidit, j'espere qu'elle est TRES exagerée.Le systeme de sante (les hopitaux) et le syndicalisme quebecois en prennent pour leurs grades.Amis residents, ayant vu le film, et ayant malheureusement euaffaire aux hopitaux et aux syndicats, rassurez-moi !!! Citer
Habitués cherry Posté(e) 16 février 2006 Habitués Posté(e) 16 février 2006 Comme tu dis: c'est une satire.Le réalisateur et scénariste Denis Arcand est toujours très cynique dans ses films. Le système de santé québécois est loin d'être parfait, mais il n'y a quand même pas plein de fils qui pendent partout! Pour ce qui est des syndicats, comme partout, il y a des abus parfois. Mais bon, Arcand a poussé cette impression à l'extrême!Bref, ce n'est qu'un film... Citer
Habitués petiboudange Posté(e) 16 février 2006 Habitués Posté(e) 16 février 2006 (modifié) Un beau film satirique yep... Non parce que vous pourrez pas non plus soigner votre cancer à l'Héroïne avec complicité policière désolée de vous le dire Modifié 16 février 2006 par petiboudange Citer
Habitués Zemida Posté(e) 16 février 2006 Habitués Posté(e) 16 février 2006 Personnellement, j'ai vu ce film avec un autre regard !J'ai trouvé que c'était un très beau message sur les relations humaines, l'amitié, la maladie, et surtout la fin de vie, qui est une période très délicate pour l'entourage :closedeyes: Et j'ai vraiment apprécié la note d'humour qui, en toutes circonstances de la vie, peut être présente.Très beau film je trouve, et au cinéma, c'était encore plus émouvant, compte tenu de la taille de l'écran !A voir et revoir, en ce qui me concerne !Maintenant pour les hopitaux et les syndicats, je ne peux pas en parler ... je n'y suis pas :dodotime: Bon film à tous ceux qui pourront le voir donc ...Zémida Citer
Habitués jimmy Posté(e) 16 février 2006 Habitués Posté(e) 16 février 2006 Zemida :J'ai trouvé que c'était un très beau message sur les relations humaines, l'amitié, la maladie, et surtout la fin de vie, qui est une période très délicate pour l'entourage Et j'ai vraiment apprécié la note d'humour qui, en toutes circonstances de la vie, peut être présente.Effectivement c'est un très beau film, très émouvant.C'est un "snapshot" (photo instantanné) de la société Québécoise en ce début de siècle.Une photo qui montre ce que l'on a fait de bien et la ou on s'est planté.L'histoire de hopitaux et des syndicats n'est qu'anecdotique.jimmy Citer
Habitués laurent33 Posté(e) 16 février 2006 Habitués Posté(e) 16 février 2006 Un très beau film qui montre encore une fois que les québecois savent faire du grand cinema.Je reste très peu au fait de la production culturelle québecoise, mais le cinema d'Arcand et le théâtre de Lepage, moi j'adore ! Citer
Habitués jarkael Posté(e) 16 février 2006 Auteur Habitués Posté(e) 16 février 2006 En effet, je dois ponderer mon commentaire.Si le film est relativement peu flateur pour le modele de sante Quebecois, il montre clairementce que le mot "amitié" veut dire outre Atlantique.Et montre aussi, que le Québéc sait faire un cinéma tres ... humain et touchant. Citer
Habitués MIMOSA06 Posté(e) 16 février 2006 Habitués Posté(e) 16 février 2006 En effet, je dois ponderer mon commentaire.Si le film est relativement peu flateur pour le modele de sante Quebecois, il montre clairementce que le mot "amitié" veut dire outre Atlantique.Et montre aussi, que le Québéc sait faire un cinéma tres ... humain et touchant.beau film effectivement, drole , touchant et réaliste ,mais personnellement je touve les dialiogues assez vulgaires par moment et à ne pas mettre devant toutes les oreilles...du moins avant 14 ans ! Citer
Habitués 3Tinamours Posté(e) 16 février 2006 Habitués Posté(e) 16 février 2006 A prendre aussi comme la suite du Déclin de l'empire américain Citer
O'Hana Posté(e) 16 février 2006 Posté(e) 16 février 2006 Beau film effectivement.Avec le temps, je comprend mieux le choix du titre - Les Invasions Barbares - ou plutôt, je m'amuse à trouver par moi-même sa signification comme pour mieux comprendre Arcand (sans pour autant lire les critiques sur son film ou ses interviews à ce sujet).Nous aurons tous remarqué la brève scène où l'on voit le gardien de l'hôpital regarder les attentats du 09/11 à la télévision qui illustre, à mon sens, cette crainte des nord-américains face à la montée de l'intégrisme (qui n'est pas sans rappeler la conquête de l'espagne par les Maures il y a plusieurs siècles).Nous aurons tous remarqué la satyre sur l'état du système hospitalier québécois au point de devenir un débat au sein de la société québécoise (faut-il le privatiser ou non avec ce que cela implique en termes de choix de société) qui veut préserver sa différence sociale face à l'ultralibéralisme barbare de leur puissant voisin du sud.Paradoxalement, le fils de Rémy Girard dans le film (Rousseau) personnifie à plusieurs égard ce néolibéralisme par sa profession et les moyens dont il dispose pour que son père puisse bénéficier de conditions d'hospitalisation particulières. Cela vient donc en rajouter à la tension déjà existante dans la relation père-fils (mais c'est savoureux à voir en tant que spectateur !).Alors face à tout cela, cette bande d'amis se réfugie avec délectation dans les souvenirs du passé, dans les plaisirs rabelaisiens de la nourriture et du bon vin, sans oublier les relations intimes et intenses entre eux tous (et avec leurs enfants).Dernier petit clin d'oeil face aux invasions barbares, clin d'oeil littéraire probablement (merci à Jimmy de me l'avoir fait remarquer) : la fin du film montre Marie-Josée Croze face à la bibliothèque de Girard où on peut y voir clairement l'ouvrage de Soljénitsyne - "L'archipel du Goulag" - qui est connu pour avoir combattu la tyrannie. Peut-être une façon d'y voir, une dernière fois, le Québec comme l'archipel d'une certaine culture dans un océan de culture uniformisante à la façon états-unienne, donc barbare d'un point de vue culturel.Les barbares ne viennent plus de l'est comme auparavant : ils sont là, tout autour de nous déjà O'Hana Citer
Habitués petiboudange Posté(e) 16 février 2006 Habitués Posté(e) 16 février 2006 Belle analyse O'Hana... ça vaut autant le coup de te lire que de le voir dis-donc Citer
Invité Posté(e) 16 février 2006 Posté(e) 16 février 2006 NB: lorsque les maures ont envahis l'espagne il y a quelques siecles maintenant, ils étaient parmi les peuples les plus ouverts d'esprits et les plus tolérants de la planéte, pas grand chose à voir avec l'intégrisme actuel.Quant aux invasions barbares, un superbe film, pas grand chose de plus à en dire, quant au système de santé, le modèle français se casse la figure, on verra avec le temps lequel est le plus viable... Citer
Habitués Redflag Posté(e) 16 février 2006 Habitués Posté(e) 16 février 2006 Salut la gang, Les invasions barabares sont un superbe film en effet. Je viens tout juste de voir pour la première fois "Le déclin de l'empire américain", dont les Invasions sont la suite comme la indiqué Manmanbis. Le déclin date de 1986 ou 1987 et a assez mal vieilli visuellement je trouve, en plus d'être un peu longuet parfois. J'ai préféré de loin les Invasions. Un seule truc m'avait choqué : la scène de Sophie Lorain dans la chambre d'hôpital qui est vraiment surjouée à mon goût. Pour revenir à la satire du système hospitalier, c'est vraiment une satire. La seule fois où j'ai vu des fils pendre du plafond dans les hopitaux au Québec, c'est que le coin était en rénovation et la zone de travaux était clairement délimitée... Redflag Citer
Habitués Curieuse Posté(e) 16 février 2006 Habitués Posté(e) 16 février 2006 Les invasions barbares étaient aussi la vieillesse, la maladie et la mort dans ce film. Ce film de baby boomer? Car qu?est-ce que ce film sinon un quasi règlement de comptes entre la génération qui a profité de tout et la jeune génération d?aujourd?hui qui doit se débrouiller avec les restes et devoir jouer le jeu pour survivre?. Les uns ont pu se payer le luxe de leurs beaux principes moraux. Les autres doivent ramer dans un monde de plus en plus dur ou les principes sont quelquefois une menace à leur survie. Au grand dam d?ailleurs des intellectuels vieillissant qui les accusent de ne plus avoir d?idées ni de principes..Le génie d?Arcand est qu?il a décrit les deux camps avec autant de virulence pour un que pour l?autre.Si on se range du côté des jeunes, on y voit une génération de baby boomers qui a honteusement profité du système jusqu?à n?en laisser que des miettes aujourd?hui, qui se sont placés les pieds dans un monde ou tout était relativement plus facile que maintenant, qui ont nourri et engraissé des syndicats qui sont devenus des monstres, qui se font chèrement payer pour des postes bidons en Italie, qui se croient encore l?élite comme au temps des années 70 alors que ceux qui les suivent en savent autant sinon plus qu?eux et sont de plus beaucoup plus pragmatiques. Le monde a évolué mais eux sont resté assis sur leurs lauriers fanés et sont tout surpris qu?on ne les remercient pas...De l?autre côté, c?est de la soixante blessé qu?il s?agit ici. Du temps révolu de l?intellectualisme triomphant, de l?édonisme érigé en mode de vie, de la liberté de penser et d?agir, de l?argent facile et des années sabatiques, de la conviction d?avoir changé les choses, et de la consternation devant le peu de reconnaissance qu?on leur accorde maintenant. Ils sont outrés de constater que les jeunes ne fassent pas comme eux en marchant dans leur traces. Plus ils vieillissent, plus ils ont peur de disparaître.Bref, un excellent film qui fait réfléchir? Citer
Habitués MIMOSA06 Posté(e) 16 février 2006 Habitués Posté(e) 16 février 2006 Trés fine analyse de o hana et tu as raison on voit ce film sous des angles différents et a chaque fois beaucoup de profondeur. Au final cela me fais penser que le cinéma QUEBECOIS est beaucoup plus subtil qu'on le croit , un peu comme LA GRANDE SEDUCTION , derriere une comédie il y a beaucoup de réalisme. Citer
O'Hana Posté(e) 16 février 2006 Posté(e) 16 février 2006 NB: lorsque les maures ont envahis l'espagne il y a quelques siecles maintenant, ils étaient parmi les peuples les plus ouverts d'esprits et les plus tolérants de la planéte, pas grand chose à voir avec l'intégrisme actuel.Je n'en doute pas : à posteriori, l'apport mauresque dans l'histoire de l'Espagne est incontestable d'une richesse extraordinaire (les palais de l'Alhambra à Grenade en sont un très bel et surtout très beau exemple). Ce n'est pas de ce point de vue que j'amenais l'idée du barbarisme. Plutôt du point de vue occidental à l'époque qui voyait dans cette conquête une hérésie à plusieurs niveaux (ce qui rendait la Reconquête encore plus importante). Le rapprochement avec les attentats du 09/11 est probablement tiré par les cheveux mais je le trouve intéressant.Le génie d?Arcand est qu?il a décrit les deux camps avec autant de virulence pour un que pour l?autre.En effet, la question générationnelle est présente durant tout le film. Cela peut paraître en effet insultant voire même indécent de voir cette génération de baby-boomers intellectuels être aussi cyniques alors qu'ils ont largement profité de l'euphorie qui régnait à l'époque de leur jeunesse. Cela peut même paraître choquant de voir ces baby-boomers dénoncer la perte d'idéaux des générations actuelles ... Mais quel plaisir incroyable de voir la scène où Girard tempête contre l'Occident qui n'a même pas élevé de monument à l'holocauste des indiens en Amérique du Nord !Au final cela me fais penser que le cinéma QUEBECOIS est beaucoup plus subtil qu'on le croit , un peu comme LA GRANDE SEDUCTION , derriere une comédie il y a beaucoup de réalisme.Exactement. Bien sûr, on peut voir dans ce film les phénomènes de la mondialisation, des régions éloignées victimes inéluctables du sinistre économique ... Mais en même temps, c'est toute la honte de l'assistance-emploi et la fierté face au sens du travail qui est en filigrane durant tout le film à mon sens !O'Hana Citer
Habitués cherry Posté(e) 16 février 2006 Habitués Posté(e) 16 février 2006 Les invasions barbares étaient aussi la vieillesse, la maladie et la mort dans ce film. Ce film de baby boomer? Car qu?est-ce que ce film sinon un quasi règlement de comptes entre la génération qui a profité de tout et la jeune génération d?aujourd?hui qui doit se débrouiller avec les restes et devoir jouer le jeu pour survivre?. Les uns ont pu se payer le luxe de leurs beaux principes moraux. Les autres doivent ramer dans un monde de plus en plus dur ou les principes sont quelquefois une menace à leur survie. Au grand dam d?ailleurs des intellectuels vieillissant qui les accusent de ne plus avoir d?idées ni de principes..Le génie d?Arcand est qu?il a décrit les deux camps avec autant de virulence pour un que pour l?autre.Si on se range du côté des jeunes, on y voit une génération de baby boomers qui a honteusement profité du système jusqu?à n?en laisser que des miettes aujourd?hui, qui se sont placés les pieds dans un monde ou tout était relativement plus facile que maintenant, qui ont nourri et engraissé des syndicats qui sont devenus des monstres, qui se font chèrement payer pour des postes bidons en Italie, qui se croient encore l?élite comme au temps des années 70 alors que ceux qui les suivent en savent autant sinon plus qu?eux et sont de plus beaucoup plus pragmatiques. Le monde a évolué mais eux sont resté assis sur leurs lauriers fanés et sont tout surpris qu?on ne les remercient pas...De l?autre côté, c?est de la soixante blessé qu?il s?agit ici. Du temps révolu de l?intellectualisme triomphant, de l?édonisme érigé en mode de vie, de la liberté de penser et d?agir, de l?argent facile et des années sabatiques, de la conviction d?avoir changé les choses, et de la consternation devant le peu de reconnaissance qu?on leur accorde maintenant. Ils sont outrés de constater que les jeunes ne fassent pas comme eux en marchant dans leur traces. Plus ils vieillissent, plus ils ont peur de disparaître.Bref, un excellent film qui fait réfléchir?Bien résumé! Je suis sortie du cinéma avec un drôle de feeling et je n'arrivais pas à mettre le doigt sur le bobo. J'avais aimé le film, mais... Puis j'ai lu la chronique de Martineau à ce propos et j'ai compris: Denys Arcand est un babyboomer et sa vision de la jeunesse et de l'avenir n'est pas très positive. Il nous regarde avec condescendance, du genre "après nous, le déluge". Fils à l'argent, fille junkie, étudiants indifférents, inculture. Seul élement positif de ce portrait: la fille qui fait une ride en bateau et envoie des vidéos. Mais bon, son personnage est bien secondaire. Pour le reste, c'est hyper-négatif. Pour ce qui est de la fin du film, on jurerait que le personnage joué par Croze n'a jamais vu de livres de sa vie!La lettre de Martineau à Arcand ici Citer
Invité Posté(e) 16 février 2006 Posté(e) 16 février 2006 Je n'en doute pas : à posteriori, l'apport mauresque dans l'histoire de l'Espagne est incontestable d'une richesse extraordinaire (les palais de l'Alhambra à Grenade en sont un très bel et surtout très beau exemple). Ce n'est pas de ce point de vue que j'amenais l'idée du barbarisme. Plutôt du point de vue occidental à l'époque qui voyait dans cette conquête une hérésie à plusieurs niveaux (ce qui rendait la Reconquête encore plus importante). Le rapprochement avec les attentats du 09/11 est probablement tiré par les cheveux mais je le trouve intéressant.Ok, nous sommes d'accord, alors.Quant au rapprochement, nous pourrons essayer d'en discuter lors de mon prochain séjour outre atlantique, je ne pense pas que le forum soit le lieu idéal pour ce genre de débat Citer
Habitués Lleo Posté(e) 16 février 2006 Habitués Posté(e) 16 février 2006 Je trouve ce film un peu plein de stereotypes... :closedeyes: Citer
Habitués Curieuse Posté(e) 16 février 2006 Habitués Posté(e) 16 février 2006 Les invasions barbares étaient aussi la vieillesse, la maladie et la mort dans ce film. Ce film de baby boomer? Car qu?est-ce que ce film sinon un quasi règlement de comptes entre la génération qui a profité de tout et la jeune génération d?aujourd?hui qui doit se débrouiller avec les restes et devoir jouer le jeu pour survivre?. Les uns ont pu se payer le luxe de leurs beaux principes moraux. Les autres doivent ramer dans un monde de plus en plus dur ou les principes sont quelquefois une menace à leur survie. Au grand dam d?ailleurs des intellectuels vieillissant qui les accusent de ne plus avoir d?idées ni de principes..Le génie d?Arcand est qu?il a décrit les deux camps avec autant de virulence pour un que pour l?autre.Si on se range du côté des jeunes, on y voit une génération de baby boomers qui a honteusement profité du système jusqu?à n?en laisser que des miettes aujourd?hui, qui se sont placés les pieds dans un monde ou tout était relativement plus facile que maintenant, qui ont nourri et engraissé des syndicats qui sont devenus des monstres, qui se font chèrement payer pour des postes bidons en Italie, qui se croient encore l?élite comme au temps des années 70 alors que ceux qui les suivent en savent autant sinon plus qu?eux et sont de plus beaucoup plus pragmatiques. Le monde a évolué mais eux sont resté assis sur leurs lauriers fanés et sont tout surpris qu?on ne les remercient pas...De l?autre côté, c?est de la soixante blessé qu?il s?agit ici. Du temps révolu de l?intellectualisme triomphant, de l?édonisme érigé en mode de vie, de la liberté de penser et d?agir, de l?argent facile et des années sabatiques, de la conviction d?avoir changé les choses, et de la consternation devant le peu de reconnaissance qu?on leur accorde maintenant. Ils sont outrés de constater que les jeunes ne fassent pas comme eux en marchant dans leur traces. Plus ils vieillissent, plus ils ont peur de disparaître.Bref, un excellent film qui fait réfléchir?Bien résumé! Je suis sortie du cinéma avec un drôle de feeling et je n'arrivais pas à mettre le doigt sur le bobo. J'avais aimé le film, mais... Puis j'ai lu la chronique de Martineau à ce propos et j'ai compris: Denys Arcand est un babyboomer et sa vision de la jeunesse et de l'avenir n'est pas très positive. Il nous regarde avec condescendance, du genre "après nous, le déluge". Fils à l'argent, fille junkie, étudiants indifférents, inculture. Seul élement positif de ce portrait: la fille qui fait une ride en bateau et envoie des vidéos. Mais bon, son personnage est bien secondaire. Pour le reste, c'est hyper-négatif. Pour ce qui est de la fin du film, on jurerait que le personnage joué par Croze n'a jamais vu de livres de sa vie!La lettre de Martineau à Arcand iciWow! J'avais pas vu ça... Ce Martineau est une bibitte bien étrange. Il peut pondre d'excellentes chroniques comme celle-ci et d'autres beaucoup plus lamentables qui frisent la démagogie. En tout cas, au moins on s'ennuie pas... Citer
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