Habitués Automne Posté(e) 31 octobre 2016 Habitués Posté(e) 31 octobre 2016 Le nombre de nouveaux arrivants francophones en Ontario est à la baisse et à son plus bas niveau depuis 2000, selon des données obtenues par Radio-Canada. http://ici.radio-canada.ca/regions/ontario/2016/10/31/001-immigration-francophone-ontario.shtml Un texte d’Annie Poulin L'année dernière, 2061 immigrants francophones ont choisi de s'installer en Ontario. En comparaison, ils étaient 3574 en 2010, selon des données du ministère des Affaires civiques et de l'Immigration de l'Ontario. En 2012, la province s'était pourtant engagée à accueillir plus d'immigrants francophones. Le gouvernement s'était fixé une cible de 5 % de l'immigration totale. Trois ans plus tard, la proportion de nouveaux arrivants francophones a glissé légèrement sous la barre des 2 %. Il y a lieu de se poser [la question] : est-ce que c'est réellement une priorité [du gouvernement]? François Boileau, commissaire aux services en français Le commissaire aux services en français de l'Ontario, François Boileau, se dit alarmé par les dernières statistiques. « Il y a une pente, malheureusement cette pente elle est glissante, elle s'en va vers le bas. L'analyse elle est donc négative », conclut-il. La province reste optimiste La ministre déléguée aux Affaires francophones, Marie-France Lalonde, affirme que le gouvernement a pris des mesures pour stimuler l'immigration francophone. « On a mis en place des mécanismes, un comité d'experts qui va amener des recommandations », explique-t-elle. Ce comité a déjà remis au gouvernement un rapport sur les moyens d'attirer plus d'immigrants francophones. Elle souligne qu'en mars, Ottawa s'est donné une stratégie pour stimuler l'immigration francophone hors Québec. Durant l'été, les provinces canadiennes se sont aussi entendues pour une cible de 5 % en la matière. Je pense qu'il y a pas mal de choses positives qui s'en viennent. Marie-France Lalonde, ministre déléguée aux Affaires francophones Des solutions Le directeur du Réseau de soutien à l'immigration francophone du Centre-Sud-Ouest de l'Ontario, Alain Do Bi, a coprésidé le comité d'experts mandatés par la province pour trouver des solutions. Il pense que l'Ontario doit redoubler d'efforts pour se démarquer comme terre d'accueil et cibler les étudiants étrangers. La solution passerait également par une augmentation des incitatifs et des mesures d'accompagnement en français. Selon lui, la province devrait renforcer ses fournisseurs de services francophones. Le ministère de l'Immigration de l'Ontario affirme que le rapport sera rendu public dans les prochaines semaines. Citer
Habitués kuroczyd Posté(e) 31 octobre 2016 Habitués Posté(e) 31 octobre 2016 On voit bien que la baisse n'a pas commence quand le principe de l "avantage francophone" a été écarté pour deux ans. Ca explique aussi pourquoi l'Ontario essaye dernièrement de draguer fortement les francophones. Citer
Habitués Milio802000 Posté(e) 31 octobre 2016 Habitués Posté(e) 31 octobre 2016 il y a 53 minutes, kuroczyd a dit : On voit bien que la baisse n'a pas commence quand le principe de l "avantage francophone" a été écarté pour deux ans. Ca explique aussi pourquoi l'Ontario essaye dernièrement de draguer fortement les francophones. Au deuxième trimestre de 2016, 48,6 % des nouveaux immigrants ont déclaré connaître le français lors de leur admission comparativement à 59,4 % des nouveaux arrivants au trimestre équivalent de 2015. A correler avec ça aussi Et j'en rajoute une couche pour 2016 VS 2015 toujours immigrants nés en Afrique a par contre diminué (- 466), particulièrement celui des immigrants originaires de l'Afrique du Nord (- 458). Citer
Habitués jimmy Posté(e) 31 octobre 2016 Habitués Posté(e) 31 octobre 2016 ...mais c'est aussi peut-être parce que les immigrants sont de moins en moins dupes....et sont maintenant plus informés que c'est de la foutaise que l'on peut vivre en français en Ontario....ou même n'importe ou a l'extérieur du Québec Le Québec est la seule terre ou l'on peut (encore) vivre en français en Amérique...protégeons ce fragile héritage MissNass, Cherrybee, seba666 et 1 autre ont réagi à ceci 4 Citer
Habitués Kweli Posté(e) 31 octobre 2016 Habitués Posté(e) 31 octobre 2016 il y a 7 minutes, jimmy a dit : ...mais c'est aussi peut-être parce que les immigrants sont de moins en moins dupes....et sont maintenant plus informés que c'est de la foutaise que l'on peut vivre en français en Ontario....ou même n'importe ou a l'extérieur du Québec Le Québec est la seule terre ou l'on peut (encore) vivre en français en Amérique...protégeons ce fragile héritage Je ne pense pas qu'il faut chercher la cause dans le choix des immigrants. Le plus gros bassin de francophones se trouve en Afrique mais les changements aux politiques d'immigration ont tendance à les refouler. Je te donne deux exemples faciles: la preuve de fonds: le montant de 22 603 $ pour une famille de 4 (deux parents et deux enfants) représentent 14 millions de francs rwandais aujourd'hui. Si un fonctionnaire comme moi arrive à mettre 100 000 FRW tous les mois pour réaliser son rêve d'immigration, il lui faudra 12 ans avant d'amasser cette somme. Et encore, ce montant n'inclut pas les frais de dossiers, la visite médicale, les frais de RP, les billets d'avion si le billet arrive, etc. L'entrées Express qui favorise les candidats ayant déjà un emploi: déjà, les diplômes et les expériences des Africains ne sont pas reconnus. Donc, en partant, les candidats ont des chances limitées. Pour dire la vérité toute plate, les Africains qui ont plus de chances sont ceux qui ont fait un petit crochet en Europe ou un autre continent et qui y obtiennent une qualification professionnelle reconnue. Au passage, ils y travaillent et leur salaire leur permet d'amasser les sommes requises. Sinon il faut se rabattre sur le parrainage. WENDYR et HopeQuebec ont réagi à ceci 2 Citer
Gaston_ Posté(e) 31 octobre 2016 Posté(e) 31 octobre 2016 3 hours ago, jimmy said: ...mais c'est aussi peut-être parce que les immigrants sont de moins en moins dupes....et sont maintenant plus informés que c'est de la foutaise que l'on peut vivre en français en Ontario....ou même n'importe ou a l'extérieur du Québec Le Québec est la seule terre ou l'on peut (encore) vivre en français en Amérique...protégeons ce fragile héritage Ces statistiques ne tiennent pas compte des immigrants sélectionnés par le Québec qui s'installent en Ontario. Citer
Habitués jimmy Posté(e) 31 octobre 2016 Habitués Posté(e) 31 octobre 2016 il y a 12 minutes, Gaston_ a dit : Ces statistiques ne tiennent pas compte des immigrants sélectionnés par le Québec qui s'installent en Ontario. Ah tu parles des crosseurs qui se servent de la facilité que le Québec offre aux immigrants francophones et qui renie leur parole en crissant leur camp en Ontario ? Effectivement ces stats ne tiennent pas compte de ces trou du c... Kamouraskois, Cherrybee et Milio802000 ont réagi à ceci 3 Citer
Habitués trefle Posté(e) 31 octobre 2016 Habitués Posté(e) 31 octobre 2016 Il y a 3 heures, Kweli a dit : Je ne pense pas qu'il faut chercher la cause dans le choix des immigrants. Le plus gros bassin de francophones se trouve en Afrique mais les changements aux politiques d'immigration ont tendance à les refouler. Je te donne deux exemples faciles: la preuve de fonds: le montant de 22 603 $ pour une famille de 4 (deux parents et deux enfants) représentent 14 millions de francs rwandais aujourd'hui. Si un fonctionnaire comme moi arrive à mettre 100 000 FRW tous les mois pour réaliser son rêve d'immigration, il lui faudra 12 ans avant d'amasser cette somme. Et encore, ce montant n'inclut pas les frais de dossiers, la visite médicale, les frais de RP, les billets d'avion si le billet arrive, etc. L'entrées Express qui favorise les candidats ayant déjà un emploi: déjà, les diplômes et les expériences des Africains ne sont pas reconnus. Donc, en partant, les candidats ont des chances limitées. Pour dire la vérité toute plate, les Africains qui ont plus de chances sont ceux qui ont fait un petit crochet en Europe ou un autre continent et qui y obtiennent une qualification professionnelle reconnue. Au passage, ils y travaillent et leur salaire leur permet d'amasser les sommes requises. Sinon il faut se rabattre sur le parrainage. Il arrive aussi que la famille donnée en exemple fasse appel à leurs familles pour réunir les fonds suffisants, les mettre sur un compte bancaire et voilà la preuve faite. Citer
Habitués Milio802000 Posté(e) 31 octobre 2016 Habitués Posté(e) 31 octobre 2016 Il y a 6 heures, jimmy a dit : ...mais c'est aussi peut-être parce que les immigrants sont de moins en moins dupes....et sont maintenant plus informés que c'est de la foutaise que l'on peut vivre en français en Ontario....ou même n'importe ou a l'extérieur du Québec Le Québec est la seule terre ou l'on peut (encore) vivre en français en Amérique...protégeons ce fragile héritage Mais Jimmy cr que j'ai posté c'est des Stats Quebec Au deuxième trimestre de 2016, 48,6 % des nouveaux immigrants ont déclaré connaître le français lors de leur admission comparativement à 59,4 % des nouveaux arrivants au trimestre équivalent de 2015. A correler avec ça aussi Et j'en rajoute une couche pour 2016 VS 2015 toujours immigrants nés en Afrique a par contre diminué (- 466), particulièrement celui des immigrants originaires de l'Afrique du Nord (- 458). C'est dommage non Citer
Habitués jimmy Posté(e) 31 octobre 2016 Habitués Posté(e) 31 octobre 2016 il y a 4 minutes, Milio802000 a dit : Mais Jimmy cr que j'ai posté c'est des Stats Quebec Au deuxième trimestre de 2016, 48,6 % des nouveaux immigrants ont déclaré connaître le français lors de leur admission comparativement à 59,4 % des nouveaux arrivants au trimestre équivalent de 2015. A correler avec ça aussi Et j'en rajoute une couche pour 2016 VS 2015 toujours immigrants nés en Afrique a par contre diminué (- 466), particulièrement celui des immigrants originaires de l'Afrique du Nord (- 458). C'est dommage non Oui c'est dommage. Moi je réagissais surtout aux chiffres concernant l'Ontario Quand au Québec, si vraiment la tendance que tu énumères se maintien, c'est a dire que 51,4% des nouveaux arrivants ne connaissent pas le français....c'est épouvantable Merci aux tatas (ils se reconnaîtront) qui ont voté pour Couillard et les Libéraux...avec une ministre de l'immigration anglophone, tabarnak Citer
Habitués juetben Posté(e) 31 octobre 2016 Habitués Posté(e) 31 octobre 2016 il y a 4 minutes, jimmy a dit : Oui c'est dommage. Moi je réagissais surtout aux chiffres concernant l'Ontario Quand au Québec, si vraiment la tendance que tu énumères se maintien, c'est a dire que 51,4% des nouveaux arrivants ne connaissent pas le français....c'est épouvantable Merci aux tatas (ils se reconnaîtront) qui ont voté pour Couillard et les Libéraux...avec une ministre de l'immigration anglophone, tabarnak Ceux qui sont arrivés au Québec en 2016 n'ont absolument rien à voir avec le gouvernement Couillard! Un csq c'est entre 2 et 3 ans de delais... Citer
Habitués Chimel Posté(e) 31 octobre 2016 Habitués Posté(e) 31 octobre 2016 Quelqu'un peut-il m'expliquer pourquoi un immigrant irait s'installer en Ontario "dans le but d'être francophone " ? Pas d'hôpital ou d'université dans notre langue ... À l'attention de nos amis en attente de la résidence permanente. Ne perdez pas votre temps. On ne parle pas français en Ontario . Milio802000 a réagi à ceci 1 Citer
Habitués Kweli Posté(e) 31 octobre 2016 Habitués Posté(e) 31 octobre 2016 (modifié) il y a 13 minutes, Chimel a dit : Quelqu'un peut-il m'expliquer pourquoi un immigrant irait s'installer en Ontario "dans le but d'être francophone " ? Pas d'hôpital ou d'université dans notre langue ... À l'attention de nos amis en attente de la résidence permanente. Ne perdez pas votre temps. On ne parle pas français en Ontario . Parce que tu présumes que les gens cherchent vraiment à vivre en français? Ce n'est pas vraiment le critère prédominant. Sinon il n'y aurait pas tant de Français établis aux USA et UK. Les gens du 21ème siècle immigrent pour diverses raisons et la langue n'est pas la principale. Moi-même je ne suis pas venue au Québec à la recherche d'une vie en français. N'importe quelle contrée qui pouvait m'offrir la sainte-paix aurait fait l'affaire. Modifié 31 octobre 2016 par Kweli Citer
Habitués Milio802000 Posté(e) 31 octobre 2016 Habitués Posté(e) 31 octobre 2016 il y a 15 minutes, jimmy a dit : Oui c'est dommage. Moi je réagissais surtout aux chiffres concernant l'Ontario Quand au Québec, si vraiment la tendance que tu énumères se maintien, c'est a dire que 51,4% des nouveaux arrivants ne connaissent pas le français....c'est épouvantable Merci aux tatas (ils se reconnaîtront) qui ont voté pour Couillard et les Libéraux...avec une ministre de l'immigration anglophone, tabarnak Et ce qui est bizarre aussi , beaucoup de francophones ont eu leur CSQ c'est à dire le ok québécois , Mais arrivé au volet federal un blocage monstre on traine un an voire plus , c'est à n'y rien comprendre moi aussi je crie haut et fort que rien ne sert d'accueillir des personnes qui ne défendent pas l'idée de vivre la francophonie au quotidien, Citer
Habitués jimmy Posté(e) 31 octobre 2016 Habitués Posté(e) 31 octobre 2016 il y a 33 minutes, juetben a dit : Ceux qui sont arrivés au Québec en 2016 n'ont absolument rien à voir avec le gouvernement Couillard! Un csq c'est entre 2 et 3 ans de delais... Alors de un, au cours des 14 dernières années les Libéraux ont été au pouvoir 12 ans tsé... Et de deux (et la je vais en faire baver quelques uns) une connaissance, très très proche de moi a obtenu son CSQ dans un dossier de parrainage en.....11 jours au mois d'aout dernier. Faque oui les Libéraux sont des fossoyeurs du Québec francophone Citer
Habitués jimmy Posté(e) 31 octobre 2016 Habitués Posté(e) 31 octobre 2016 il y a 23 minutes, Kweli a dit : Parce que tu présumes que les gens cherchent vraiment à vivre en français? Ce n'est pas vraiment le critère prédominant. Sinon il n'y aurait pas tant de Français établis aux USA et UK. Les gens du 21ème siècle immigrent pour diverses raisons et la langue n'est pas la principale. Moi-même je ne suis pas venue au Québec à la recherche d'une vie en français. N'importe quelle contrée qui pouvait m'offrir la sainte-paix aurait fait l'affaire. Tu soulève quelque chose de très intéressant Kweli. Il faut vraiment blâmer nos gouvernements de ne pas expliquer les choses clairement aux immigrants au Québec (note pour Juetben : je blâme également le PQ la dessus) Il faut savoir deux choses importantes: de un le Canada (y compris le Québec) est ouvert a l'immigration parce que nous avons un immense territoire et peu de population....et on ne fait pas assez de bébé. Plus il y a de population, plus il y a d'activité économique , mieux c'est pour tout le monde.....et surtout cela fait pleins de gens pour payer ma pension...(bon pas seulement la mienne tsé ) Deuxièmement...et c'est ca qui devrait être expliqué aux candidats a l'immigration, c'est que le Québec pourrait très bien s'en remettre au gouvernement canadien, comme le font toutes les autres provinces, pour s'occuper de sélectionner des immigrants et ainsi augmenter la population au Québec aussi. Mais non, nous avons décidé collectivement, sous la gouverne du gouvernement de René Lévesque (PQ) en 1977 de se payer notre propre ministère de l'immigration (qui nous coute autour de 300 Millions par année) ...et le but de cette décision collective est de : FAVORISER L'IMMIGRATION FRANCOPHONE POUR MAINTENIR ET MEME AUGMENTER LE NOMBRE DE FRANCOPHONE Mais bon, cela était dans l'esprit que nous ne serions pas pogné avec une gang de tatas Libéraux au gouvernement ....dont une ministre de l'immigration anglophone qui s'en calice pas mal de l'immigration francophone ou pas. Et oui cher immigrants, vous, dans la plupart des cas, avez été sélectionné parce que vous parlez....et l'on présume que vous allez vivre en français et consommer de la culture francophone. Alors cela est extrêmement frustrant pour les Québécois de se faire dire par CERTAINS immigrants que ceux ci s'en foutent pas mal du fait français au Québec Crisse vous seriez même pas rentré si ce n'était de ce petit détail Mais bon, je ne les blâme qu'a moitié, la vraie faute vient du gouvernement Québécois qui n'explique pas ces choses. Citer
Habitués juetben Posté(e) 31 octobre 2016 Habitués Posté(e) 31 octobre 2016 il y a 26 minutes, jimmy a dit : Alors de un, au cours des 14 dernières années les Libéraux ont été au pouvoir 12 ans tsé... Et de deux (et la je vais en faire baver quelques uns) une connaissance, très très proche de moi a obtenu son CSQ dans un dossier de parrainage en.....11 jours au mois d'aout dernier. Faque oui les Libéraux sont des fossoyeurs du Québec francophone Le parrainage et l'immigration traditionnelle sont 2 choses différentes jimmy... Pour le parrainage tu n'as absolument pas besoin de passer de tests de langues, d'ailleurs les critères du parrainage sont vraiment bas (aucun revenu minimum...) et cela a toujours été comme ça que se soit libéral ou pq! Ne mélange pas les procédures et formes d'obtention de la RP... Citer
Habitués Kweli Posté(e) 31 octobre 2016 Habitués Posté(e) 31 octobre 2016 il y a 3 minutes, jimmy a dit : Et oui cher immigrants, vous, dans la plupart des cas, avez été sélectionné parce que vous parlez....et l'on présume que vous allez vivre en français et consommer de la culture francophone. Alors cela est extrêmement frustrant pour les Québécois de se faire dire par CERTAINS immigrants que ceux ci s'en foutent pas mal du fait français au Québec. Crisse vous seriez même pas rentré si ce n'était de ce petit détail Le problème est que le français ne paye pas les factures si tu n'as pas de job. Alors difficile de blâmer un professionnel qui se pousse dans une province où les ordres professionnels ne font pas ch**r les immigrants. Comme tu le dis, c'est la faute des gouvernements successifs si les bottines ne suivent jamais les babines. À moins d'avoir la bougeotte chevillée au corps, je ne vois pas pourquoi je quitterais une province francophone en plus des programmes sociaux qui font l'envie de tous les nord-américains. Citer
Habitués jimmy Posté(e) 31 octobre 2016 Habitués Posté(e) 31 octobre 2016 (modifié) il y a 8 minutes, Kweli a dit : Le problème est que le français ne paye pas les factures si tu n'as pas de job. Alors difficile de blâmer un professionnel qui se pousse dans une province où les ordres professionnels ne font pas ch**r les immigrants. Ah come on Kweli, ne donne pas de la fausse information la Les professionnels rencontre EXACTEMENT les mêmes problème dans les autres provinces...et pour les mêmes raisons La seule différence c'est que au Québec on demande (aux professionnels) de parler français pour pratiquer leur métier.....évidemment on ne leur demande pas ca au Canada anglais Alors évidemment pour un immigrant qui ne vient pas d'un pays francophone, cela peut être plutôt contraignant C'est le prix a payer pour vivre en français en Amérique du nord Mais a part ça, ils rencontrent les mêmes problèmes d'intégration, de permis de travail , de se conformer aux ordres professionnels (...de l'Ontario, du Manitoba etc....) Modifié 31 octobre 2016 par jimmy Citer
Habitués Kweli Posté(e) 31 octobre 2016 Habitués Posté(e) 31 octobre 2016 il y a 13 minutes, jimmy a dit : Ah come on Kweli, ne donne pas de la fausse information la Les professionnels rencontre EXACTEMENT les mêmes problème dans les autres provinces...et pour les mêmes raisons La seule différence c'est que au Québec on demande (aux professionnels) de parler français pour pratiquer leur métier.....évidemment on ne leur demande pas ca au Canada anglais Mais a part ça, ils rencontrent les mêmes problèmes d'intégration, de permis de travail , de se conformer aux ordres professionnels (...de l'Ontario, du Manitoba etc....) Non, les provinces n'ont pas exactement les mêmes exigences. Par exemple, une de mes bonnes amies médecin va bientôt déménager de Montréal pour aller en Alberta. Elle devra d'abord travailler en région et sous supervision et sera par la suite reconnue comme médecin. Au Québec, toutes ses tentatives ont frappé un mur. N'oublie pas non plus que je suis passée par là. Lors de ma maîtrise, j'ai été sur tous les tableaux d'honneur possibles et imaginables, j'ai reçu des bourses de mérite et remporté des concours d'excellence. Au sprint final, tous avaient un emploi ... sauf moi. J'arrivais à obtenir des entrevues au Saskatchewan et au Manitoba, auprès des conseils scolaires francophones, alors qu'aucune commission scolaire québécoise n'a voulu de moi. Combien de gens ont vécu la même situation que moi? Plus que tu ne le penses! Citer
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