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  • Habitués
Posté(e)

Et alors? C'est exactement ce que je disais plus haut. Il n'y a pas photo entre du poisson frais et du poisson congelé. Et puisque nous sommes beaucoup plus pauvres au Québec qu'en Alberta, pour ce qui me concerne, entre acheter de la nourriture de qualité ( à cuisiner bien sûr) et magasiner pour des babioles ou aller dans des restaurants douteux, il n'y a pas photo.

relis ce que j'avais écrit plus haut , j'ai dit comparer les prix je parlias pas de la qualité.

Tu disais que le congelé ne coute pas moins cher que le frais

Relisez ce que j'ai écrit plus haut. J'ai écrit : " De 2, non, ce n'est pas moins cher d'acheter de la viande déjà congelée. Tout dépend de l'endroit où vous l'achetez."

Et surtout, on s'apitoyait simplement sur votre sort qui n'est pas enviable, puisque vous en êtes réduit à acheter de la viande congelée et de la malbouffe. C'est tout.

Moi je mange pas du congelé , c'est Sarah qui le proposait .

Puis j'aimerai bien que tu me donnes les endroits ou on peut acheter du poisson frais pour moins cher que celui surgelé.

Et ben tu fait dur si tu es persuadé que ton fast food asiatique utilise des produits frais ... C'est pas parce que tu vois pas l'emballage que tu mange pas du congelé ...

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Je vois pas le rapport la? Faut il avoir une famille pour manger raisonnablement?

Sachant que tu est seul, tu dois pouvoir te permette bien plus qu'une famille de 4? Non!

Cyrille

Il faut acheter par exemple de la viande ( ca s'applique à d'autres produits aussi )en gros pour faire des économies, si on vit seul on va gaspiller la bouffe et on va finir par jeter ce qu'on consomme pas

Tu peux conserver en congélant la viande en plusieurs portions. Ensuite, tu les utilise au fur et à mesure pour du spaguetti, des nouilles, du pain de viande, de la lasagne, des hamburgers, etc.

Justement la viande congelée c'est pas bien pour la santé.

Si tu congèles la viande lorsqu'elle est fraîche il n'y a pas de problème. C'est moins nocif pour la santé que les autres cochonneries dont tu fais toujours la promotion!

La viande congelée coute moins cher au supermarché par rappot à la viande fraiche. Tant qu'`y à faire , il vaut mieux acheter la viande congelée directement du supermarché. Pourquoi alors les gens paient plus pour acheter le viande fraiche ?

Pauvre, mais pauvre Ouest-Canadien !!!! Il finit par me faire pitié. Quelle vie de m..... qu'il a !!!!!

Mais c'est sarah qui me propose de congeler la viande, alors si on suit sa logique on peut acheter la vinade congelée directement du supermarché pour moins cher.

D'abord, vous ne connaissez rien de la qualité de la viande qui a été congelée par une usine inconnue. De 2, non, ce n'est pas moins cher d'acheter de la viande déjà congelée. Tout dépend de l'endroit où vous l'achetez. De 3 puisque vous gagnez autant d'argent, vous allez chipoter sur un prix de viande et acheter n'importe quoi juste parce que c'est moins cher?

Oui, effectivement, je fais attention aux spéciaux, je ne gaspille pas mon argent, je planifie, mais il y a des postes incontournables où la qualité prévaut sur le bas prix.

Il ne comprend pas que d'acheter de la viande fraiche, de faire des plats pour la semaine et de congeler le reste pour la semaine suivante est mieux que d'acheter de la bouffe surgelée en usine. J'abandonne je sais pas comment lui expliquer autrement!

Modifié par SarahJade
  • Habitués
Posté(e)

Si je comprends bien, un expatrié étant hautement qualifié et ayant un poste soit technique (à haute valeur ajouté bien sûr) ou de cadre, a difficilement des difficulté à retrouvé le même niveau d'emploi au début, disont que le marché du travail canadien (grosso modo) éxige à ces nouveaux immigrants de faire leurs preuves et donc de les obligés à accepté des postes subalternes, ce qui peut être decevant au début, je le conçois!

En revanche quand une personne qui a été titulaire d'un poste certe qualifié en France mais en bas de l'échelle et avec des perpespectives d'évolutions (en France) très saturé, peu espérer mieux (puisqu'il est moins éxigent) et avec des perspectives d'évolutions meilleurs....

Est ce que ce point de vue est conforme à la réalité?

  • Habitués
Posté(e)

Si je comprends bien, un expatrié étant hautement qualifié et ayant un poste soit technique (à haute valeur ajouté bien sûr) ou de cadre, a difficilement des difficulté à retrouvé le même niveau d'emploi au début, disont que le marché du travail canadien (grosso modo) éxige à ces nouveaux immigrants de faire leurs preuves et donc de les obligés à accepté des postes subalternes, ce qui peut être decevant au début, je le conçois!

En revanche quand une personne qui a été titulaire d'un poste certe qualifié en France mais en bas de l'échelle et avec des perpespectives d'évolutions (en France) très saturé, peu espérer mieux (puisqu'il est moins éxigent) et avec des perspectives d'évolutions meilleurs....

Est ce que ce point de vue est conforme à la réalité?

À mon avis la seule réponse possible et honnête, c'est : ça dépend...

Ça dépend du domaine, ça dépend de la conjoncture, ça dépend de la personne et ça dépend aussi du facteur chance.

  • Habitués
Posté(e)

Salut Guillamer62 et merci d’avoir recentrer le débat.

Pour répondre directement à ta question, vu que les normes de « hautement qualifié » sont différents dans le jargon Canadien (plus généralement Nord-américain), alors effectivement un « expatrié étant hautement qualifié » n’aura pas le même traitement ici au Canada que ce qu’il a dans son pays natal, car les normes, les règlements et les codes ne sont pas les mêmes.

Combien de fois entendons nous les gens choquées lorsqu’on leur dise, qu’ici un Outilleur-Ajusteur a été choisi pour tel ou tel poste plutôt qu’un Français, Roumain ou Colombien titulaire d’un grand diplôme d’une grande école d’ingénierie de son pays. J’avoue que c’est outrant lorsqu’on posait le fait comme cela, mais avec un peu de recul et une bonne compréhension des rouages de la vie professionnelles du Canada, on saisit bien pourquoi.

Comme t’as répondu Beaucoudonc, plusieurs facteurs feront de sorte à ce que cet espoir soit réalisable ou non. Il n’y a pas de réponse toute faite. Mais ce dont on est sure c’est que les employeurs canadiens mettent le point beaucoup plus sur l’expérience du travail acquise au Canada et recherchent des employés qui connaissent, non pas juste le côté technique du travail, mais en plus qu’ils connaissent la culture de l’entreprise, le milieu social et les attentes de leurs employeurs. Alors bien diplômé ou moins diplômé (certes que être diplômé vaut mieux que de ne pas l’être du tout) ce n’est pas ce qui est préalablement PRIMORDIAL recherché.

Pour répondre d’une manière générale au sujet initial qui traite de la «La dure réalité des immigrants », tout le monde sait et personne ne peut ignorer qu’il y a toutes sortes d’obstacles et de défis -mais aussi de récompenses- pour les immigrants en général et les nouveaux arrivants en particulier. Il ne fait pas de doute qu’il est difficile de faire ses débuts au Canada. On ne le répèterait pas assez et je vais le reprendre encore une fois: OUI C’EST TRES DIFFICILE DE FAIRE SES DÉBUTS AU CANADA. J’ajouterais: mais que rien n’est impossible non plus.

Tout est une question, d’abord, de préparation et surtout d’adaptation (j’insiste sur ces deux points).

A la lecture du sujet il en ressort que les points suivants constituent des barrières pour avoir un travail :

ü La barrière de la langue

ü Le pré-requis d’avoir de l’expérience au Canada

ü Le manque de contacts

ü Et tout à la fin on a soulevé le fait suivant : «Du point de vue des participants, plus ils ont d’information, et le plus tôt ils l’obtiennent dans le processus d’immigration, mieux c’est pour eux», a conclu le rapport.

De ce fait si l’immigrant s’était préparé à améliorer son apprentissage des langues Français/Anglais avant son arrivée (comme avait commenté notre ami VENIZIANO dans son intervention), s’était informé des associations et organismes de son domaine de travail et commençait à les contacter, s’était informé sur la situation du marché d’une manière plus active, et mieux que tout cela, si tout immigrants s’était activement informé de (dixit le titre de ce topic lui même) la dure réalité des immigrants au canada … cela aura facilité un peu l’absorption du choc lors de leurs débuts au canada et leurs aura permis d’avoir quelques cordes de plus dans leurs arc. C’est ce que j’insinuais par la PRÉPARATION !

Pour le dernier point cité en haut (issu de la lecture du rapport), concernant les constats des immigrants sur les facteurs qui constituent des obstacles, j’ai une sorte de réserve : on entend souvent les plaintes qu’il y a eu un manque d’information, ce qui a induit beaucoup de personnes en erreurs, ou qui les a poussé à avoir de haute attentes mais qu’ils sont déçus une fois la réalité en face, hors depuis plus de 10 ans, l’accès à l’information est tellement phénoménale (Internet) qu’on ne peut plus se permettre de dire « je ne savais pas » (Pensons aux anciens arrivants avant l’avènement de l’Internet).

Un exemple : Dans un rapport de 2003, Statistique Canada a constaté que le manque d’expérience canadienne était l’obstacle le plus courant pour les nouveaux arrivants cherchant à obtenir un emploi valorisant au Canada et que cet obstacle persistait deux ans après leur arrivée.

Nous avons tous lu? Ok !

Qu’est ce qui est dit (ou plutôt écrit) ?

- Il est bien écrit clairement, nettement et précisément que « le manque d’expérience canadienne était l’obstacle le plus courant pour les nouveaux arrivants ».

Parfait ! Et c’est en quelle année ceci est écrit s’il vous plait ?

- En 2003.

Bon ! Cela va faire combien de temps maintenant ?

- Euhh plus de 10 ans.

Très bien. Alors cela va faire plus de 10 ans que tout le monde est censé être informé que (répétons tous ensemble) LE MANQUE D’EXPÉRIENCE CANADIENNE EST L’OBSTACLE LE PLUS COURANT POUR LES NOUVEAUX ARRIVANTS !!!

à titre d’indication ceci est tiré de :

- L’étude de Statistique Canada,

- Intitulée « Enquête longitudinale auprès des immigrants du Canada :Le processus, les progrès et les perspectives »,

- De l’année 2003,

- Se trouvant à la page 40,

- Disponible en ligne à : www.statcan.gc.ca/pub/89-611-x/89-611-x2003001-fra.pdf

- Et dont la date de consultation : 29 mai 2012

Maintenant puisque nous le savons tous (et ce pendant plus de 10 ans), Que faut-il faire pour y remédier ?

Voici quelques suggestions :

Nous l’avons surement entendu par beaucoup de canadiens : Faire du bénévolat, mais non pas n’importe lequel. Si possible en faire dans d’entreprises liées à sa profession, si bien sûr elles sont ouvertes à l’idée ou le faire avec des associations qui ELLES travaillent étroitement avec CES entreprises liées à sa profession.

Faire partie d’un groupe de mentorat professionnel (L’organisme MOSAIC, en Colombie-Britannique, offre un programme du genre). Chercher activement cette société qui accepte ce genre d’activité, qui permet à l’immigrant de « glisser doucement dans le bain » afin de s’imprégner de la vie au quotidien de son secteur de travail.

Contacter les organismes d’aide aux nouveaux-arrivants de sa région qui offrent gratuitement de l’aide pour se trouver un emploi et bénéficier des activités de réseautage avec des employeurs locaux. Mais attention soyez très actif et exigez sagement de votre conseiller de vous offrir du vrai aide, pas du n’importe quoi (un peu comme lorsque l’agent appliquait sur l’immigrant ce qu’il a appris à l’école ou à l’université). Soyez professionnel dans votre approche, un peu comme dire à l’agent « je ne suis pas venu perdre mon temps, j’ai galérer dans ma vie pour arriver à un but et tu as intérêt à bouger comme moi-même qui continue à bouger, pour m’aider à y parvenir car je sais ce que je vaux ». Bien sure tout est dans le dosage, et surtout la façon de faire passer le message :wink:

J’ai aussi lu quelques part sur le site de Monster que si vous vivez au Québec, vous pouvez acquérir de l’expérience canadienne en travaillant dans ce qu’on appelle une entreprise d’entraînement (A practice firm PF). Il s’agit d’entreprises spécialement créées qui interagissent uniquement entre elles. Il n’est pas question ici d’argent ni de salaire. Les entreprises d’entraînement sont des établissements de formation qui vous permettent d’occuper un emploi précis comme s’il existait vraiment. On retrouve une trentaine de ces entreprises au Québec, et une en Ontario. On peut obtenir la liste de ces entreprises sur le site du Réseau canadien des entreprises d’entraînement (RCEE).

http://www.rcee-cpfn.ca/index.php?lang=fr

Accepter un poste d’un échelon moins élevé pour acquérir cette fameuse «expérience canadienne, néanmoins chercher un emploi offrant des perspectives d’avancement dans votre domaine, quelque chose qui tend après quelques mois vers une possibilité tangible d’avoir LE poste tant convoité.

C’est ce que j’insinuais par l’ADAPTATION !

Je conclurais par vous dire, que les immigrants ne commencent pas par 0 zéro (Je l’entends souvent mais je suis contre ce principe). Car voyez-vous, tous les immigrants ont accumulé un savoir, ils ont acquis d’une manière ou d’une autre un savoir-faire et ont forcément pu adopter savoir-être. Leurs vies est pleine d’expériences, bonnes ou mauvaises, alors si leur diplôme ne leur confèrent pas LE poste qu’ils veulent, ils amènent avec eux toute une armada d’outils pour se tisser une place dans ce beau pays qu’est le Canada. Ils ont juste besoin de les aiguiser en se préparant et s’adaptant à leur nouvelle vie.

Bonne chance

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Si je comprends bien, un expatrié étant hautement qualifié et ayant un poste soit technique (à haute valeur ajouté bien sûr) ou de cadre, a difficilement des difficulté à retrouvé le même niveau d'emploi au début, disont que le marché du travail canadien (grosso modo) éxige à ces nouveaux immigrants de faire leurs preuves et donc de les obligés à accepté des postes subalternes, ce qui peut être decevant au début, je le conçois!

C'est rare que quelqu'un ayant vraiment des habiletés exceptionnelles occupe des postes subalternes, surtout si elle a déjà un emploi au Canada avant de partir...

Je pense plus que certains immigrants ont parfois un décalage entre la valeur qu'ils estiment pour leurs habiletés et la valeur réelle sur le marché...

Modifié par TheMan
  • Habitués
Posté(e) (modifié)

L'équation est simple, l'immigration favorise plus ceux qui sont hautement qualifiés, même chez eux, tandis que les employeurs d'ici cherchemt surtout à embaucher ceux qui ont des expériences pertinentes dans leur domaines ici et non pas ailleurs. Donc il est évident que la début d'immigration en termes d'employabilité "révé" pour les immigrants demeure difficile.

Certes les choses semblent souvent pas évidentes pour un nouveau arrivant qui commence à cotoyer le marché du travail québecois, mais on oublie souvent que les normes ici sont totalement différentes de celles d'ailleurs, et c'est cela qui fait que les choses soient difficiles au début et ceci est valable pour tous le monde, d'où la nécessité d'apprivoiser le nouveau mode de vie d'ici, les façons de faire .. etc, ce processus d'adaptation aux nouvelles normes demande aussi du temps.

Sauf que difficile ne veut en aucun cas dire impossible ou jamais, tout se basera en réalité sur l'immigrant, sa volonté, son plan d'action, sa persévèrance, et comment il planifie et envisage les choses avec le temps et les opportunités offertes et surtout sa patiente afin d'atteindre ses objectifs. Sinon, oui, la chance peut parfois jouer son tour sauf que cette dernière est souvent provoquée que par des candidats proactifs qui ne baissent pas les bras et aillent de l'avant.

Il faut savoir que le projet d'immigration est un projet de vie et il est rare de se voir récolter le fruit de ses efforts juste au bout de quelques semaines/mois d'installation, ce que je pourrais vous assurez est que plus le temps passe tout en étant proactifs et motivés, plus vous y croiserez d'opportunités, ici vous vous trouverez tous ce dont vous en aurez besoin afin de recommencer votre vie et évoluer

Modifié par veniziano
  • Habitués
Posté(e)

L'équation est simple, l'immigration favorise plus ceux qui sont hautement qualifiés, même chez eux, tandis que les employeurs d'ici cherchemt surtout à embaucher ceux qui ont des expériences pertinentes dans leur domaines ici et non pas ailleurs.

Les employeurs cherchent aussi des personnes possédant une expérience à l'étranger sans nécessairement en avoir une au Canada sinon les PTT n'existeraient pas.

Je suis toujours surprise par le décalage entre ce que je lis ici et ce que j'ai vécu.J'avais été vraiment surprise de la facilité et de la vitesse à obtenir un emploi au Canada (de niveau équivalent à celui que j'occupais en France après 15 ans d'expérience).Je pense que cela tient beaucoup au secteur d'activité et au nombre d'années d'expérience acquises à l'étranger ou alors,comme le dit Theman,certains immigrants ne sont pas réalistes quant à leur niveau de compétence.

  • Habitués
Posté(e)

L'équation est simple, l'immigration favorise plus ceux qui sont hautement qualifiés, même chez eux, tandis que les employeurs d'ici cherchemt surtout à embaucher ceux qui ont des expériences pertinentes dans leur domaines ici et non pas ailleurs.

Les employeurs cherchent aussi des personnes possédant une expérience à l'étranger sans nécessairement en avoir une au Canada sinon les PTT n'existeraient pas.

Je suis toujours surprise par le décalage entre ce que je lis ici et ce que j'ai vécu.J'avais été vraiment surprise de la facilité et de la vitesse à obtenir un emploi au Canada (de niveau équivalent à celui que j'occupais en France après 15 ans d'expérience).Je pense que cela tient beaucoup au secteur d'activité et au nombre d'années d'expérience acquises à l'étranger ou alors,comme le dit Theman,certains immigrants ne sont pas réalistes quant à leur niveau de compétence.

En effet, les choses ne sont pas les mêmes pour tous les domaines, mais lorsque je réponds ici faut aussi que je me base sur le contexte, c'est-à-dire que je m'adresse surtout à des hauts qualifiés (ingénieur, maitrise ..etc), il est claire que sans équivalence de diplôme et surtout sans une expérience pertinente dans le domaine (et dans un poste similaire ou équivalent), il n'est pas simple d'être embauché par un employeur dans ce cas là vu que les normes et les attentes ici ne sont pas forcément les mêmes que l'on a l'habitudes d,avoir dans le pays d'origine, les choses sont très différentes ici et il faut le savoir.

  • Habitués
Posté(e)

L'équation est simple, l'immigration favorise plus ceux qui sont hautement qualifiés, même chez eux, tandis que les employeurs d'ici cherchemt surtout à embaucher ceux qui ont des expériences pertinentes dans leur domaines ici et non pas ailleurs.

Les employeurs cherchent aussi des personnes possédant une expérience à l'étranger sans nécessairement en avoir une au Canada sinon les PTT n'existeraient pas.

Je suis toujours surprise par le décalage entre ce que je lis ici et ce que j'ai vécu.J'avais été vraiment surprise de la facilité et de la vitesse à obtenir un emploi au Canada (de niveau équivalent à celui que j'occupais en France après 15 ans d'expérience).Je pense que cela tient beaucoup au secteur d'activité et au nombre d'années d'expérience acquises à l'étranger ou alors,comme le dit Theman,certains immigrants ne sont pas réalistes quant à leur niveau de compétence.

En effet, les choses ne sont pas les mêmes pour tous les domaines, mais lorsque je réponds ici faut aussi que je me base sur le contexte, c'est-à-dire que je m'adresse surtout à des hauts qualifiés (ingénieur, maitrise ..etc), il est claire que sans équivalence de diplôme et surtout sans une expérience pertinente dans le domaine (et dans un poste similaire ou équivalent), il n'est pas simple d'être embauché par un employeur dans ce cas là vu que les normes et les attentes ici ne sont pas forcément les mêmes que l'on a l'habitudes d,avoir dans le pays d'origine, les choses sont très différentes ici et il faut le savoir.

Le diplôme n'est en rien un frein à l'embauche.Je suis ingénieur,mon diplôme n'est pas reconnu par les institutions québécoises mais l'est sans problème par les entreprises et c'est ce qui compte.Là encore cela dépend du domaine d'activité et de la réglementation,dans la construction ou la comptabilité il faut être inscrit à un ordre,pas dans l'informatique (où les emplois qualifiés et hautement qualifiés abondent).On ne peut donc pas généraliser,chaque secteur d'activité a ses particularités.Ce qui est important est de connaitre le marché du travail et ses contraintes avant d'immigrer et d'avoir des attentes réalistes.

  • Habitués
Posté(e)

L'équation est simple, l'immigration favorise plus ceux qui sont hautement qualifiés, même chez eux, tandis que les employeurs d'ici cherchemt surtout à embaucher ceux qui ont des expériences pertinentes dans leur domaines ici et non pas ailleurs.

Les employeurs cherchent aussi des personnes possédant une expérience à l'étranger sans nécessairement en avoir une au Canada sinon les PTT n'existeraient pas.

Je suis toujours surprise par le décalage entre ce que je lis ici et ce que j'ai vécu.J'avais été vraiment surprise de la facilité et de la vitesse à obtenir un emploi au Canada (de niveau équivalent à celui que j'occupais en France après 15 ans d'expérience).Je pense que cela tient beaucoup au secteur d'activité et au nombre d'années d'expérience acquises à l'étranger ou alors,comme le dit Theman,certains immigrants ne sont pas réalistes quant à leur niveau de compétence.

En effet, les choses ne sont pas les mêmes pour tous les domaines, mais lorsque je réponds ici faut aussi que je me base sur le contexte, c'est-à-dire que je m'adresse surtout à des hauts qualifiés (ingénieur, maitrise ..etc), il est claire que sans équivalence de diplôme et surtout sans une expérience pertinente dans le domaine (et dans un poste similaire ou équivalent), il n'est pas simple d'être embauché par un employeur dans ce cas là vu que les normes et les attentes ici ne sont pas forcément les mêmes que l'on a l'habitudes d,avoir dans le pays d'origine, les choses sont très différentes ici et il faut le savoir.

Le diplôme n'est en rien un frein à l'embauche.Je suis ingénieur,mon diplôme n'est pas reconnu par les institutions québécoises mais l'est sans problème par les entreprises et c'est ce qui compte.Là encore cela dépend du domaine d'activité et de la réglementation,dans la construction ou la comptabilité il faut être inscrit à un ordre,pas dans l'informatique (où les emplois qualifiés et hautement qualifiés abondent).On ne peut donc pas généraliser,chaque secteur d'activité a ses particularités.Ce qui est important est de connaitre le marché du travail et ses contraintes avant d'immigrer et d'avoir des attentes réalistes.

Oui mais tu pourras pas être engagée en tant qu'ingénieur informatique mais si tu obtiens un emploi connexe. C'est illégal de porter le titre d'ingénieur sans faire partie de l'ordre et ce peu importe le domaine...

  • Habitués
Posté(e)

... Disons, que c est interdit de signer 'ingénieur du Québec' quand on ne paie pas à cette secte.

  • Habitués
Posté(e)

L'équation est simple, l'immigration favorise plus ceux qui sont hautement qualifiés, même chez eux, tandis que les employeurs d'ici cherchemt surtout à embaucher ceux qui ont des expériences pertinentes dans leur domaines ici et non pas ailleurs.

Les employeurs cherchent aussi des personnes possédant une expérience à l'étranger sans nécessairement en avoir une au Canada sinon les PTT n'existeraient pas.

Je suis toujours surprise par le décalage entre ce que je lis ici et ce que j'ai vécu.J'avais été vraiment surprise de la facilité et de la vitesse à obtenir un emploi au Canada (de niveau équivalent à celui que j'occupais en France après 15 ans d'expérience).Je pense que cela tient beaucoup au secteur d'activité et au nombre d'années d'expérience acquises à l'étranger ou alors,comme le dit Theman,certains immigrants ne sont pas réalistes quant à leur niveau de compétence.

En effet, les choses ne sont pas les mêmes pour tous les domaines, mais lorsque je réponds ici faut aussi que je me base sur le contexte, c'est-à-dire que je m'adresse surtout à des hauts qualifiés (ingénieur, maitrise ..etc), il est claire que sans équivalence de diplôme et surtout sans une expérience pertinente dans le domaine (et dans un poste similaire ou équivalent), il n'est pas simple d'être embauché par un employeur dans ce cas là vu que les normes et les attentes ici ne sont pas forcément les mêmes que l'on a l'habitudes d,avoir dans le pays d'origine, les choses sont très différentes ici et il faut le savoir.

Le diplôme n'est en rien un frein à l'embauche.Je suis ingénieur,mon diplôme n'est pas reconnu par les institutions québécoises mais l'est sans problème par les entreprises et c'est ce qui compte.Là encore cela dépend du domaine d'activité et de la réglementation,dans la construction ou la comptabilité il faut être inscrit à un ordre,pas dans l'informatique (où les emplois qualifiés et hautement qualifiés abondent).On ne peut donc pas généraliser,chaque secteur d'activité a ses particularités.Ce qui est important est de connaitre le marché du travail et ses contraintes avant d'immigrer et d'avoir des attentes réalistes.

Oui mais tu pourras pas être engagée en tant qu'ingénieur informatique mais si tu obtiens un emploi connexe. C'est illégal de porter le titre d'ingénieur sans faire partie de l'ordre et ce peu importe le domaine...

On s'en moque de ne pas avoir le titre tant qu'on a le poste.

... Disons, que c est interdit de signer 'ingénieur du Québec' quand on ne paie pas à cette secte.

C'est ça! Mais par contre on peut occuper un poste de directeur informatique sans problème :biggrin2:

  • Habitués
Posté(e)

... Disons, que c est interdit de signer 'ingénieur du Québec' quand on ne paie pas à cette secte.

Je sais j'ai le même problème pour ma profession!!

  • Habitués
Posté(e)

Tu est ingénieur d un pays étranger ou fait des études en dehors du Canada ?

  • Habitués
Posté(e)

Tu est ingénieur d un pays étranger ou fait des études en dehors du Canada ?

Non mais ma profession m'oblige à faire partie d'un ordre sinon je peux pas pratiquer dans la plupart des milieux de travail.

  • Habitués
Posté(e)

le titre est protégé comme dans de nombreux pays tel la france... interdit d'employé ingénieur diplômé...

faut pas se leurrer les écoles ne se valent pas d'un endroit à un autre, ni les professeurs...

​suffit de voir des compétitions internationales au niveau universitaires...

  • Habitués
Posté(e)

C'est tout à fait normal de protéger un titre sinon il perd de sa valeur.Par contre la protection ne se fait pas de la même manière d'un pays à l'autre,au Canada,pour certains ingénieurs il faut payer une cotisation annuelle auprès d'un ordre (chaque province ayant son ordre).Un ingénieur perd-il ses compétences parce qu'il ne paye pas? Non et pourtant il est déchu de son titre.

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

C'est tout à fait normal de protéger un titre sinon il perd de sa valeur.Par contre la protection ne se fait pas de la même manière d'un pays à l'autre,au Canada,pour certains ingénieurs il faut payer une cotisation annuelle auprès d'un ordre (chaque province ayant son ordre).Un ingénieur perd-il ses compétences parce qu'il ne paye pas? Non et pourtant il est déchu de son titre.

En effet, à voir les ponts conçus par des iniénieurs ( :wink: ), on se demande si ça donne vraiment quelque chose qu'ils fassent partie d'un ordre...

Modifié par SarahJade
  • Habitués
Posté(e)

C'est tout à fait normal de protéger un titre sinon il perd de sa valeur.Par contre la protection ne se fait pas de la même manière d'un pays à l'autre,au Canada,pour certains ingénieurs il faut payer une cotisation annuelle auprès d'un ordre (chaque province ayant son ordre).Un ingénieur perd-il ses compétences parce qu'il ne paye pas? Non et pourtant il est déchu de son titre.

En effet, à voir les ponts conçus par des iniénieurs ( :wink: ), on se demande si ça donne vraiment quelque chose qu'ils fassent partie d'un ordre...

Ben pour ceux que je connais :

- Tu as repris les cours, tu as passé les épreuves, tu payes, tu as le titre d'iniénieur, tu as le travail et le salaire.

- Tu n'as pas voulu reprendre les cours, tu n'as pas le titre, tu as le travail, tu n'as pas le salaire qui va avec. Tout bénef pour les employeurs.

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