Invité Posté(e) 14 avril 2013 Posté(e) 14 avril 2013 (modifié) Pour Antoine, c'est aussi l'autre réalité de Paris. Tous ces gens qui vont préférer voler, dealer plutôt que de travailler. Cependant quand tu vois le rejet que la société peut avoir vis-à-vis de toi à tous les niveaux, la délinquance est plus que prévisible. La société vit dans un état d'apartheid où on veut te cantonner géographiquement et socialement à une position. A un moment ça ne peut que exploser. Et ce que tu dis est vrai c'est difficile pour tout le monde mais ce qui va être dur pour toi va être pire pour moi. Sans compter que ce discours sur les racailles ça m’écœure à force. Pourquoi va-t-on sureprésenter le comportement d'une bande de petits cons alors que ceux qui travaillent, qui se battent pour leur avenir on n'en parle jamais ? C'est comme parler des deux, trois tarés salafistes que la police arrête et expliquer que l'Islam est incompatible avec les valeurs françaises. Est-ce qu'on parle de rééduquer tous les jeunes français aux valeurs du libéralisme quand Julien Coupat sabote des lignes de chemin de fer ? Quand une société vit dans le rejet, elle crée les conditions de sa propre implosion. "Dans le modèle d'intégration, les minorités sont rendues responsables des inégalités" Sociodémographe, Patrick Simon est directeur d'étude à l'Institut national d'études démographiques (INED). Parmi ses recherches sur les phénomènes de discriminations ethniques, il a conduit l'enquête Trajectoires et Origines (TeO, 2008) qui a permis, pour la première fois, d'analyser l'impact des origines dans les chances d'accès aux biens, aux services et aux droits. Grand entretien avec l'initiateur de la petite révolution appelée TeO, qui sera publiée en septembre prochain, aux éditions de l'INED. On parle beaucoup de discrimination, mais comment fait-on pour l’observer ? Qu'est-ce qu'une discrimination ? Patrick Simon. Cela peut paraître paradoxal et provocateur, mais je dirais que la discrimination n'existe pas comme événement. Elle n’est pas manifeste pour les victimes. Elles peuvent soupçonner d'avoir été victimes mais elles ne savent pas vraiment pourquoi elles n’ont pas eu tel emploi, tel logement, telle orientation scolaire ou tel service. La discrimination n'existe pas non plus pour ceux qui prennent les décisions. Ils n’ont d'ailleurs pas souvent conscience de choisir sur des critères discriminatoires. C'est un univers complexe, insidieux, dont il faut déconstruire les mécanismes fondés sur des préjugés et des stéréotypes masqués. Dans votre enquêteTrajectoires et Origines de 2008, vous avez procédé à cette déconstruction. Quelles ont été vos conclusions ? Patrick Simon. Nous avons essayé de recueillir l’expérience des personnes exposées aux discriminations à partir de deux types de question : en parlant directement de discrimination et en décrivant des situations où des discriminations ont pu se produire. Et de fait, les enquêtés ont rencontré des situations de discrimination mais ne les ont pas vécues comme telles. Ceci dit, même sous-déclarées, les discriminations sont malgré tout le lot de 26% des immigrés et 31% des descendants de deux parents immigrés, à comparer aux déclarations faites par 10% de la population majoritaire. Cette distorsion se retrouve dans les situations à l’accès à l’emploi, sur le lieu de travail, à l’école ou à l’accès aux services. Et parmi les immigrés et leurs descendants, on observe un net clivage entre les personnes d’origine européenne qui témoignent d’un niveau de discrimination comparable à la population majoritaire, et celles d’origine maghrébine, africaine ou asiatique qui se montrent les plus exposées. Les originaires des départements d’Outre mer connaissent également de hauts niveaux d’expérience de discrimination. Cela découpe assez bien les « minorités visibles ». Qu'est-ce qui vous a conduit à conclure que les musulmans étaient davantage victimes de discriminations ? Patrick Simon. On peut se demander s’il y a des facteurs qui augmentent la probabilité de se déclarer discriminé, et de fait on observe que les hommes, les moins de 35 ans, les chômeurs et les plus diplômés font plus souvent état de discrimination que les autres. Nous avons également trouvé un résultat un peu inattendu : parmi les « minorités visibles », les personnes se déclarant de religion musulmane connaissent également une probabilité spécifique et plus élevée de rencontrer une discrimination. Ce résultat est obtenu en contrôlant pour l’origine, c’est-à-dire que les Musulmans d’origine maghrébine ou africaine ont plus de risque d’être discriminés que ceux qui se déclarent sans religion (ou d’une autre religion, mais c’est beaucoup plus rare). Il ne concerne pas la discrimination religieuse en tant que telle, mais une expérience générale. Il est certain que la focalisation sur l’Islam dans le débat français – focalisation qui est observée également aux Pays-Bas, en Grande-Bretagne, en Belgique, dans les pays scandinaves ou en Allemagne- favorise l’émergence du « Musulman » comme une figure problématique. Les controverses du foulard (1989 et 2004) et du Niqab, le débat plus récent et surréaliste sur la viande Halal, les critiques envers les prières de rue, les tensions dans certaines villes autour de la construction de mosquées, et d’une façon générale la crainte d’un repli identitaire autour d’une lecture fondamentaliste de l’Islam et ses conséquences en termes d’organisation sociale et de réseaux de relation ont contribué à cette fixation. Pourtant, les informations dans l’enquête TeO montrent que s’il y a bien une ségrégation des Musulmans dans l’espace urbain, on n’observe pas la création de réseaux de sociabilité à base religieuse. Les unions mixtes avec des athées ou des conjoints ayant une autre religion sont de l’ordre de 20%, à un niveau comparable de celui observé pour les Catholiques. Il y a des petits milieux où la forte religiosité se conjugue avec la formation d’une sous-société exclusive, mais d’un point de vue statistique ces milieux ne représentent pas plus de 10% des Musulmans. Ce sont pourtant eux qui focalisent l’attention et les discours. Pourtant certains, parmi les victimes de discriminations, réussissent à rompre le plafond de verre ? Patrick Simon. Oui et la réussite sociale de certains membres des minorités visibles n’est pas contradictoire avec le maintien d’inégalités fortes pour les autres. Les discriminations opèrent des filtrages mais n’interdisent pas complètement l’accès aux responsabilités ou à des biens et services. Quand un testing auprès d’employeurs montre qu’à CV comparable, un candidat d’origine maghrébine a cinq fois moins de chances d’être appelé pour un entretien d’embauche, cela veut dire qu’il lui faudra envoyer cinq fois plus de CV pour obtenir le même résultat qu’un candidat de la population majoritaire. La conséquence est un plus fort taux de chômage, des risques de déclassement professionnel beaucoup plus élevés et le sentiment de se faire claquer des portes sur les doigts tout le temps. C’est ça la discrimination dans un régime formellement égalitaire. Ce régime formellement égalitaire empêche-t-il une remise en cause du système discriminatoire ? Patrick Simon. Le modèle de société français est « colorblind », c’est-à-dire qu’il est aveugle à la couleur. Cela vaut pour les politiques et les lois qui ne font pas de différences selon les origines, mais aussi pour l'interprétation des faits sociaux. Or, ce que les discriminations montrent c’est que les rapports sociaux ne sont pas « colorblind », et qu’au-delà de la citoyenneté juridique, d’importantes différences de jugements et de traitements sont fondées sur l’origine. La perception des origines structure les comportements et les décisions que l'on prend. Ces caractéristiques sont actives même si ce ne sont pas des catégories administratives. Les descendants d'immigrés maghrébins et africains, qui sont des citoyens nés en France, ne sont pas perçus de la même manière que les autres enfants avec lesquels ils ont grandi. Ils sont davantage traités comme l'ont été leurs parents et partent avec un handicap lié à l’origine qui s’ajoute à celui du milieu social. Une double pénalité en quelque sorte : de classe et de race. La censure sur les origines se retourne contre les victimes de discriminations : comment dire qu’on a été écarté à cause de ses origines dans un pays qui se considère au-dessus du racisme ? Du coup, nous vivons dans une société du mensonge et d'hypocrisie absolue. Notre dispositif de lutte contre les discriminations est largement inefficace parce qu’il part de présupposés complètement faux. Pourtant, le thème de la diversité et des discriminations ont pris une place croissante dans les discours politiques et institutionnels... Patrick Simon. Effectivement. Mais les programmes d’action contre les discriminations restent peu opérationnels au-delà de formations à la connaissance du phénomène et du cadre juridique. C’est bien, mais loin d’être suffisant. Lorsque l’on regarde le contenu des plans de lutte contre les discriminations, qui sont inscrits dans la politique de la ville, on s’aperçoit qu'ils relèvent de la politique d’intégration. On intervient sur le modelage d'une population défavorisée, qui l'est d'autant plus qu'elle est rassemblée au même endroit. La politique de la ville veut faire rentrer les quartiers et leurs populations dans le droit commun, c’est-à-dire en réduisant les écarts à la norme. Par exemple, les missions locales font du coaching avec les jeunes pour les préparer au monde de l’entreprise, afin qu'ils ressemblent à l'employé idéal et devienne donc employable. Mais comment fait-on lorsque c’est l’origine ou la couleur de peau qui ne correspond pas à l’entreprise ? Lorsqu'on est un Noir très cultivé, hyperdiplômé, avec le look approprié et sans accent, on reste noir et la mauvaise nouvelle qu'on doit dire à tous, y compris à ceux qui pensent que les inégalités de classe expliquent tout, c'est que la discrimination existe même dans les classes supérieures. Le système de triage est transversal à la stratification sociale, et c’est ce système qu’il faut changer, pas ceux qu’il écrème pour non-conformité. Pour vous, le discours sur l'intégration est en opposition avec la lutte contre les discriminations. Pourquoi ? Patrick Simon. Ce discours sur l'intégration s'adresse à des outsiders, des nouveaux venus, qui doivent faire des efforts pour s’adapter à la matrice sociale, en apprendre les codes et les usages. L’idée est que les immigrés doivent incorporer la norme dominante dans leur système de valeurs et leurs pratiques sociales et culturelles. C’est la condition à leur participation à la société. Cette mise aux normes est attendue également de leurs enfants nés en France. Il est déjà discutable de refuser aux immigrés le droit de changer la société où ils vivent, mais cette exigence est carrément irrecevable à l’égard de leurs enfants. Or c’est ce qui se passe : les conflits récurrents autour du « communautarisme » et de l’islam sont des conflits de normes, un blocage de la société française pour s’adapter à sa diversité. Il y a une autre fonction des normes qui mettent les immigrés et leurs descendants en difficulté pour utiliser le système. Pour pouvoir exploiter les ressources scolaires, économiques et sociales à plein, il faut détenir les codes. Et lorsqu'on ne les possède pas, on subit l'inégalité. Par exemple, le rendement des diplômes repose sur des compétences supplémentaires qui ne sont pas délivrées par l’école : le bon stage en cours de formation, le réseau pour accéder à l’entreprise ou optimiser sa demande d’emploi. Les immigrés, comme les familles prolétaires, ne détiennent pas les clés d’entrée dans les sphères supérieures. Alors qu'attend la société de ces descendants d'immigrés ? Patrick Simon. Qu'ils se fassent discrets, qu'ils n'existent pas collectivement et qu’ils acceptent une position subordonnée. Les descendants d'immigrés maghrébins essaient de satisfaire ces critères d'invisibilité. D'un côté, ils ne veulent pas être renvoyés à un label de descendants d'immigrés, et en même temps, ils revendiquent leur identité. Or le problème principal n'est pas l'identité, mais l'utilisation de l'identité comme source de disqualification dans les discours politiques. L'erreur dans le débat public et dans les sciences sociales, c'est de prendre l'identité comme étant la source de la stigmatisation. En démographie, nous utilisons des statistiques et pour cela nous construisons des catégories. Nous essayons ainsi de répondre à la question du rôle de l'origine pour contribuer à déconstruire les stéréotypes, à dé-stigmatiser et à restituer les logiques sociales dans la France multiculturelle. Que préconisez-vous pour mieux lutter contre les discriminations ? Patrick Simon. Le problème réside dans l’organisation du système qui produit des filtrages sur de nombreux critères qui ne devraient pas intervenir : le sexe, l’origine ethnique ou raciale, l’âge, la religion, l’orientation sexuelle, etc. Le système est en quelque sorte crypté pour favoriser les bénéficiaires principaux : les hommes, blancs, hétéros, non musulmans. La lutte contre les discriminations consiste d’abord à faire en sorte que les traitements soient impartiaux en supprimant le cryptage qui empêche la participation des minorités à toutes les sphères de la société. En bref, à démolir les préférences qui régissent l’organisation de la société pour la rendre plus fluide et ouverte. Modifié 14 avril 2013 par Jeremy971
Habitués dentan Posté(e) 14 avril 2013 Habitués Posté(e) 14 avril 2013 Facile de toujours rejeter la faute sur les autres. loicdu83 a réagi à ceci 1
Invité Posté(e) 14 avril 2013 Posté(e) 14 avril 2013 Bonjour, il y a du racisme par tout. En France, en Espagne, en UK..........
Habitués dentan Posté(e) 14 avril 2013 Habitués Posté(e) 14 avril 2013 Bonjour, il y a du racisme par tout. En France, en Espagne, en UK.......... Au Canada, Au Maroc, en Algérie, au Liban, au Japon, en Chine, en Haïti, au Brésil etc!
Habitués Patrice Bouvart Posté(e) 14 avril 2013 Habitués Posté(e) 14 avril 2013 oui du racisme partout sauf quand ont le dénonce dans certain pays tes toi meme traiter de racisme certain traitre des employeurs de raciste car ça candidature a était refuser , je vais vous donner un exemple a ce sujet une association qui lutte contre le racisme a voulu piégé des employeurs et ce sont cassé le nez après ça ils ont fait des essais comme retirer la photo ou mettre un nom Européen et la personne n'a pas pour autant prise , ça veut pas dire que ça n'existe pas la différence pour l'emplois encore mieux 2011 une grande enseigne de grande distribution ( Lidl ) le patron a était condamné a une amende pour avoir refuser un emplois dans un de ces magasins , pourtant 90% de ces employés sont Maghrebin ou d'origine africaine il y a de l'abus des que l'ont refuse un emplois ou un logement l'excuse du racisme ça veut pas dire que cela n'existe pas moi j'ai eu du mal a avoir un emplois ou un logement donc si je suis certain résonnement je doit les poursuivre de racisme ??? je faisait des livraison sur paris et banlieu tout les employé était issus l'immigration a 100% alors quand j'entend certain dire ont ma refuser un poste donc le patron est raciste ça fait rire
Habitués Amira31 Posté(e) 14 avril 2013 Habitués Posté(e) 14 avril 2013 Okay! C'est effrayant de voir ce que les gens pensent de nous!!! Avant de pouvoir juger du niveau de "racisme" et tout et tout, faut d'abord prendre 2 petites minutes pour comprendre l'histoire d'un pays et les batailles qu'il a mené. Je suis une fille qui est née et vit toujours d'ailleurs à Québec (la ville de Québec), comme plusieurs l'ont dit, le racisme est partout, ce qui faut comprendre avec le Québec, c'est que le problème c'est la langue, le gouvernement fait tout pour préserver le français dans notre culture, malgré le fait que le ROC ai tenté plusieurs ffois de nous assimiler, on est 8 millions sur 34 millions à parlé le français. Je ne crois pas que ce soit une question de racisme, seulement une question de préservation du patrimoine (et je ne suis pas d'accord à 100% avec ce genre de politique soit dit en passant.) Bref, de ce que j'en sait, à Québec (la ville), je n'ai que très rarement été témoin de racisme, nous ne sommes pas des monstres, nous savons vivre, même qu'apparemment nous sommes très accueillants!!! Pour ces histoires de "tu ne parles assez bien le français" ... c'est des histoires archaiques de politique gouvernementale inutile je vous l'accorde, mais ça ne fait pas de nous un "peuple" raciste ? En tout cas, je veux pas m'ostiner avec vous autres ... je voulais juste apporter une petite précision!! Bonjour, C'est vrai Karima, le thread de Lady_Val parait très gentille , j'aimerais bien la contacter si elle le veuille bien pour me renseigner Lady_VaL a réagi à ceci 1
Invité mckenzie Posté(e) 14 avril 2013 Posté(e) 14 avril 2013 (modifié) Les personnes racistes ici au Québec sont tes compatriotes, je veux bien dire les maghrébins. Alors demande leur pourquoi.... Effectivement, il y a énormément d'intolérance et de racisme chez beaucoup de Maghrébins ( Algériens, Marocains, Tunisiens ) ... intolérance haine et racisme anti-Juif par exemple dans la communauté maghrébine qui atteint un niveau inquiétant. Il y a aussi le racisme anti-Noir et le racisme anti-Chinois qui est aussi très présent dans la communauté maghrébine. Alors lorsqu'un immigrant maghrébin quitte son pays pour le Canada, il va quitter pour un pays, le Canada, beaucoup plus tolérant que son pays d'origine... Modifié 14 avril 2013 par mckenzie
Habitués karima76 Posté(e) 14 avril 2013 Auteur Habitués Posté(e) 14 avril 2013 (modifié) Les personnes racistes ici au Québec sont tes compatriotes, je veux bien dire les maghrébins. Alors demande leur pourquoi.... Effectivement, il y a énormément d'intolérance et de racisme chez beaucoup de Maghrébins ( Algériens, Marocains, Tunisiens ) ... intolérance haine et racisme anti-Juif par exemple dans la communauté maghrébine qui atteint un niveau inquiétant. Il y a aussi le racisme anti-Noir et le racisme anti-Chinois qui est aussi très présent dans la communauté maghrébine. Alors lorsqu'un immigrant maghrébin quitte son pays pour le Canada, il va quitter pour un pays, le Canada, beaucoup plus tolérant que son pays d'origine... est ce des études qui ont été faites ou juste ce qui t'as paru ? parce que je suis algérienne et je ne suis pas raciste que ce soit envers les chinois ou autres Modifié 14 avril 2013 par karima76
Habitués Amira31 Posté(e) 14 avril 2013 Habitués Posté(e) 14 avril 2013 (modifié) mckenzie, on 14 Apr 2013 - 22:18, ................................................................ Le racisme n'est pas inné chez les algériens! Les plus grands racistes qui ont décimés 6 millions de Juifs, n'étaient ni Algériens, ni Marocains ni Tunisiens Les gens veulent fuir les guerres, la malvie et l'oppression des dictatures et toi tu racontes des sornettes pour dissuader les futurs immigrants J'ai pris note de plusieurs forums d'immigration à Québec celui ou celle qui essaie de me dissuader pour immigrer au Canada, je le dénoncerais à mon arrivé la bas sur le sol Canadien. Car si on a construit un projet pour immigrer au Canada c'est qu'on l'aime, on aime ce pays et point. et ceux qui essaient de nous barrer le chemin on nous taxant de racistes seront démasqués un jour Modifié 14 avril 2013 par Amira31 Lotus01 et karima76 ont réagi à ceci 2
Habitués karima76 Posté(e) 14 avril 2013 Auteur Habitués Posté(e) 14 avril 2013 mckenzie je suis désolée mais si tu veux parler du racisme des algériens tu peux en créer un topic à part car sur ce fil on en parle surtout de celui du Québec (s'il en existe et quel en est son degré)
Habitués Addicttotravel Posté(e) 14 avril 2013 Habitués Posté(e) 14 avril 2013 Je déteste les personnes qui obtiennent leur visa ou RP au Canada de façon frauduleuse. est-ce être raciste? Je ne pense pas. on a pas besoin de connaître vos sentiments personnels, gardez vos émotions pour vous Sinon, vous allez tomber malade, car les gens circulent depuis la nuit des temps oui c'est vrai les gens circulent depuis la nuit des temps , mais de nos jours ils détruisent tout comme un essaim de grillons , personnellement je préfère l'immigration d'avant que d'aujourd'hui Ça veut dire?
leocanada Posté(e) 14 avril 2013 Posté(e) 14 avril 2013 salut je voudrais avoir des témoignages d'immigrants maghrébins français ou autres et même celui des québecois pour ce qui est du racisme au Québec et au Canada est ce qu'il en existe caché ou voyant car il me semble que j'ai entendu dire par exemple que la racisme est plus voyant dans une ville comme Québec qu'à Montréal alors quant est-il réellement ? karima en tous cas, c'est plus tolérant qu'en Algérie...il faut s'adapter au pays d'accueil...
Habitués Cherrybee Posté(e) 14 avril 2013 Habitués Posté(e) 14 avril 2013 mckenzie, on 14 Apr 2013 - 22:18, ................................................................ J'ai pris note de plusieurs forums d'immigration à Québec celui ou celle qui essaie de me dissuader pour immigrer au Canada, je le dénoncerais à mon arrivé la bas sur le sol Canadien. ceux qui essaient de nous barrer le chemin on nous taxant de racistes seront démasqués un jour Comme c'est ridicule! C'est très bien de ne pas être raciste. Mais la fumette au Québec, c'est aussi illégal
Habitués Patrice Bouvart Posté(e) 14 avril 2013 Habitués Posté(e) 14 avril 2013 (modifié) Je déteste les personnes qui obtiennent leur visa ou RP au Canada de façon frauduleuse. est-ce être raciste? Je ne pense pas. on a pas besoin de connaître vos sentiments personnels, gardez vos émotions pour vous Sinon, vous allez tomber malade, car les gens circulent depuis la nuit des temps oui c'est vrai les gens circulent depuis la nuit des temps , mais de nos jours ils détruisent tout comme un essaim de grillons , personnellement je préfère l'immigration d'avant que d'aujourd'hui Ça veut dire? ça veut dire qu'il y a des bon immigré et des mauvais je rajouterais que le canada est un très bon exemple car très dur avec les lois il choisisse correctement leur immigré ce que je voulais dire aussi nos ancien avait moins problème avec l'immigration que de nos jours il arrive encore que des extrèmiste arrive a passer a travers les maillons ce qui fait du racisme a cause d'eux ces groupe de plus en plus gros polue la vie des bon immigré voila jeune fille j'espère que mon explication vous convient Modifié 14 avril 2013 par Patrice Bouvart
Habitués Kweli Posté(e) 15 avril 2013 Habitués Posté(e) 15 avril 2013 ça veut dire qu'il y a des bon immigré et des mauvais Juste par curiosité, toi tu fais partie de quelle catégorie? Des bons ou des mauvais? Et pourquoi?
Habitués Kweli Posté(e) 15 avril 2013 Habitués Posté(e) 15 avril 2013 C'est comme parler des deux, trois tarés salafistes que la police arrête et expliquer que l'Islam est incompatible avec les valeurs françaises. Est-ce qu'on parle de rééduquer tous les jeunes français aux valeurs du libéralisme quand Julien Coupat sabote des lignes de chemin de fer ? Le plus grand danger, ce n'est pas vraiment le racisme. Celui-ci existe, mais tant que les gens sont capables d'exercer leur esprit critique, de remettre en question leurs schèmes de pensée, ça peut aller. Le plus grand danger, c'est la renonciation à la réflexion individuelle et collective. C'est l'acceptation aveugle de tout ce que les médias nous présentent. C'est de suivre aveuglément les partis populistes et leurs raccourcis imbéciles. Tantôt, on disait au téléjournal à quel point la communauté italienne est affectée par la Commission Charbonneau, à cause des Tomassi, Zambito et Coretti. Or, les premières victimes de la corruption sont justement des Italiens non originaires des familles mafieuses. Un exemple qui démontre à quel point les racistes comptent sur nos émotions pour réaliser leurs basses besognes.
Habitués Patrice Bouvart Posté(e) 15 avril 2013 Habitués Posté(e) 15 avril 2013 ça veut dire qu'il y a des bon immigré et des mauvais Juste par curiosité, toi tu fais partie de quelle catégorie? Des bons ou des mauvais? Et pourquoi? pour l'instant personne vue que j'ai pas encore mes papiers pour l'instant avec mon statut de touriste j'ai enfreind aucune lois , ni agresser personne physiquement et verbalement , ni imposé ma façon de vivre je pourrais répondre a ta question dans quelques année , je te ferais le bilan
Invité mckenzie Posté(e) 15 avril 2013 Posté(e) 15 avril 2013 (modifié) mckenzie je suis désolée mais si tu veux parler du racisme des algériens tu peux en créer un topic à part car sur ce fil on en parle surtout de celui du Québec (s'il en existe et quel en est son degré) J'ai répondu à ta question... oui le racisme existe au Québec et au Canada comme partout ailleurs mais beaucoup moins qu'en Algérie, le Québec et le Canada étant des sociétés beaucoup plus tolérantes que l'Algérie. Alors soit rassuré et reste zen. mckenzie, on 14 Apr 2013 - 22:18, ................................................................ Le racisme n'est pas inné chez les algériens! Les plus grands racistes qui ont décimés 6 millions de Juifs, n'étaient ni Algériens, ni Marocains ni Tunisiens Les gens veulent fuir les guerres, la malvie et l'oppression des dictatures et toi tu racontes des sornettes pour dissuader les futurs immigrants J'ai pris note de plusieurs forums d'immigration à Québec celui ou celle qui essaie de me dissuader pour immigrer au Canada, je le dénoncerais à mon arrivé la bas sur le sol Canadien. Car si on a construit un projet pour immigrer au Canada c'est qu'on l'aime, on aime ce pays et point. et ceux qui essaient de nous barrer le chemin on nous taxant de racistes seront démasqués un jour J'ai jamais dit que le racisme était inné chez les algériens alors Amira31 arrête de dire des conneries. Et ton argumentation est de type totalitaire comme à l'époque de la dictature communiste en URSS à l'époque des goulags. Contrairement à l'Algérie qui est un pays liberticide où le prosélytisme chrétien est interdit, et où par exemple des peines de prisons sont prévues pour ceux qui boivent de l'eau ou mangent pendant le jeûne du ramadan , le Canada lui est un pays libre où la liberté d'expression est garantie par la charte canadienne des droits et libertés. J'ai simplement dit que le racisme était à un niveau inquiétant dans la communauté maghrébine, racisme anti-Noir au Maroc et ailleurs au Maghreb, racisme anti-Chinois en Algérie, racisme anti-Juif et haine et intolérance anti-Israël très présent dans la communauté maghrébine etc. Les ouvriers chinois en Algerie confrontés au racisme Reportage sur un phénomène scandaleux Ils ont traversé presque la terre entière, la mer du Japon, locéan, voire même lEurope et les pays arabes pour arriver enfin en Algérie et contribuer à la relance économique. Si ailleurs les ressortissants chinois ne souffrent pas de problèmes de discrimination, dans les chantiers de Aïn Bénian, dans la banlieue ouest dAlger, ils font face à des comportements intolérants, voire racistes. Ce sont des centaines de Chinois qui se sont exilés pour nous construire des logements en un temps record. Les Algériens, pour leur part, ne sont pas prêts à reconnaître leurs efforts et les accueillir au même titre que les autres travailleurs étrangers. Regards sceptiques, moqueries, insultes... Autant de comportements de nos concitoyens qui traduisent une discrimination à légard des ouvriers chinois. Ces derniers se plaignent également de la qualité des services quils reçoivent dans les cafés ou les salons de coiffure, qualité nettement inférieure à celle dont bénéficient les autres clients. Comme notre voisin le maroc ou celui lointain le sénégal, lAlgérie vit désormais à lheure chinoise au point de verser dans la phobie dinvasion. Il faut savoir que les derniers chiffres officiels indiquent que 32 000 étrangers travaillent légalement en Algérie, représentant quelque 105 nationalités, dont les Chinois constituant la communauté étrangère la plus importante avec 45% des effectifs, soit près de 14 400 travailleurs. La plupart des grands chantiers de construction (logements, barrages, routes...) ont ainsi été raflés par plusieurs groupes chinois de BTP présents en Algérie, dont le géant public China State, Construction&Engineering Corporation (CSCEC), ZCIGC... Les Chinois sont compétitifs et ils travaillent vite, explique un responsable algérien qui a requis lanonymat. Un architecte raille de son côté : Peut-être quils travaillent bien mais, surtout, ils comprennent vite à qui il faut distribuer des enveloppes. La main-duvre employée par ces grands groupes est en effet importée de Chine au grand dam de nombreux Algériens qui ne comprennent pas pourquoi on fait appel à des étrangers alors que le pays souffre de chômage. Pis, selon un radio-trottoir effectué durant notre reportage, certains Algériens accusent les groupes chinois demployer des prisonniers pour diminuer les coûts. Cest faux. Il sagit de travailleurs honnêtes, venus dans la majorité du temps de campagnes de notre pays et de manière légale, assurent des directeurs dentreprise chinoise, notamment M. Chenweiynam, de la société ZCIGC. Mais il faut se rendre à lévidence que la faillite du BTP en Algérie dans les années 1990 a complètement déstructuré le secteur au point où ce dernier a connu une pénurie de maçons et de manuvres.Le long chemin de la cohabitation Alibaba, les bridés, mangeurs de chien... Des propos qui choquent, pourtant c'est ainsi que certains Algériens les qualifient. Ces ouvriers ont gros sur le coeur ; ils en ont entendu de toutes les couleurs. Cela ma pris beaucoup de temps pour comprendre ce que signifie Alibaba et pourquoi ils nous appellent ainsi, mais je ne vois toujours pas le rapport, confie Pierre, un jeune cadre chinois. Il est un peu surpris lorsque nous lui avons posé cette question : Comment se comportent les Algériens avec vous ? Il esquisse un sourire moqueur : Bien... Je ne parlerai pas de la méchanceté des adultes car je pense que ce sont des voyous ou encore des personnes qui n'ont rien à faire de leur journée. Ce qui m'effraie, c'est le comportement des enfants. Que d'insultes dans leur bouche ! On ne peut plus marcher seul dans la banlieue algéroise, on s'arrange pour circuler tout le temps en groupe. Trop de haine. Trop d'agression.http://algerie.actudz.com/article1552.html Modifié 15 avril 2013 par mckenzie
Invité mckenzie Posté(e) 15 avril 2013 Posté(e) 15 avril 2013 salut je voudrais avoir des témoignages d'immigrants maghrébins français ou autres et même celui des québecois pour ce qui est du racisme au Québec et au Canada est ce qu'il en existe caché ou voyant car il me semble que j'ai entendu dire par exemple que la racisme est plus voyant dans une ville comme Québec qu'à Montréal alors quant est-il réellement ? karima en tous cas, c'est plus tolérant qu'en Algérie...il faut s'adapter au pays d'accueil... Exact. Le Québec est beaucoup plus tolérant que l'Algérie où le racisme anti-Juif et la haine et l'intolérance anti-Israël sont à un niveau inquiétant, le racisme anti-Chinois et anti-Noir est également très présent en Algérie, et de plus le prosélytisme chrétien est interdit en Algérie et les Chrétiens sont persécutés en Algérie... Bref oui le Québec est effectivement beaucoup plus tolérant que l'Algérie. Source : France SoirLes chrétiens dAlgérie persécutés Depuis plusieurs années, procès, persécutions et discriminations en tout genre se multiplient contre les chrétiens en Algérie , où lislam est religion dEtat. Le 21 septembre dernier, le procureur du tribunal dAïn-el-Hammam, bourgade de Kabylie, située à 150 à lest dAlger a requis trois ans de prison ferme à lencontre dHocine Hocini, 44 ans, et de Salem Fellak, 34 ans, deux ouvriers coupables davoir rompu dun casse-croûte le jeûne du ramadan. Le 12 août, sur un chantier, ils sétaient accordé une pause déjeuner. Arrêtés par la police « en flagrant délit de consommation de denrées alimentaires », ils étaient immédiatement inculpés pour « atteinte et offense aux préceptes de lislam ». Durant le procès, à Hocine Hocini qui rappelait quil nétait pas musulman, mais chrétien, le procureur aurait conseillé de « quitter ce pays, qui est une terre dislam ». Le verdict sera rendu le 5 octobre.Toujours, en Kabylie, à Larbâa-Nath-Irathen, quatre autres chrétiens, animateurs dune église pentecôtiste, devaient comparaître dimanche pour « pratique dun culte non musulman sans autorisation ». Le procès est reporté au 10 octobre. Le 8 novembre, ce sont huit hommes qui seront jugés par le tribunal dAkbou pour « atteinte et offense aux préceptes de lislam ». Durant le mois du ramadan, ils avaient été interpellés dans un fast-food fermé dOueellaguen, à une soixantaine de kilomètres de Béjaïa. A Tizi Ozou, ce sont des travaux derrière le mur denceinte de léglise protestante qui ont indisposé le préfet. Sappuyant sur « un défaut de permis de construire », il a demandé larrêt du chantier.« Une escalade de lintolérance » Dénonçant une « nouvelle escalade de lintolérance religieuse » qui survient dans « un climat politique délétère », le collectif SOS Libertés, qui, créé au printemps 2008 lors dune précédente campagne antichrétienne, regroupe des artistes et des intellectuels algériens, assure de « sa solidarité » les « victimes de larbitraire ». Et dexiger « le seul verdict juridiquement et moralement acceptable : la relaxe de tous les inculpés poursuivis pour délit de conscience ». Si larticle un de la Constitution algérienne de 1963 précise que « lAlgérie est une démocratique et populaire », son article quatre stipule : « lislam est la religion de lEtat », tout en précisant : « La République garantit à chacun le respect de ses opinions et de ses croyances, et le libre exercice des cultes. » En 1976, une nouvelle Constitution garantit « la liberté de conscience et dopinion ». Mais rien de vraiment précis sur la liberté de culte, ni dans la troisième Constitution du 23 février 1989. En revanche, lordonnance du 15 février 2006, signée du président Abdelaziz Bouteflika, fixe « les conditions dexercice des cultes autres que musulman ». Elle prévoit : « Une peine de deux à cinq ans de prison ferme et une amende de 50 à 100 millions de centimes (en dinars) sont réservées à quiconque incite, contraint ou utilise des moyens de séduction tendant à convertir un musulman à une autre religion ou fabrique, entrepose ou distribue des documents imprimés ou métrages audiovisuels ou tout autre support ou moyen qui visent à ébranler la foi dun musulman. »Alors les procès vont se multiplier. Dès 2006, une vingtaine détudiants africains, qui participent à une rencontre biblique à Tizi Ouzou sont expulsés, de même quen novembre 2007, de jeunes Brésiliens, pourtant invités par larchevêque dAlger, Mgr Henri Tessier. Le mois suivant, un directeur décole et un instituteur, Algériens, sont radiés de léducation nationale pour « prosélytisme ». Le 27 janvier 2008, trois protestants sont accusés davoir « proféré des injures contre la religion et la personne du prophète ». Trois jours plus tard, un prêtre catholique dOran est condamné à un an de prison avec sursis pour avoir prié, le lendemain de Noël, avec un groupe dimmigrés camerounais catholiques. Le 26 mars, lancien président de lEglise protestante, Hugh Johnson, 74 ans, en Algérie depuis 1963, est expulsé Président de lEglise protestante dAlgérie, qui assure compter 30.000 fidèles, essentiellement en Kabylie, le pasteur Mustapha Krim, a lancé la semaine dernière un appel solennel aux plus « hautes autorités de lEtat » afin que soit mis « un terme à ces dérives ». Ces pays où la tolérance nexiste pas En 2009, 34 prêtres, séminaristes, religieux ou religieuses ont été assassinés dans le monde, parce que chrétiens. Sans aller jusquà la mort, dans bien des pays musulmans le sort des chrétiens nest guère enviable : statut de dhimmi, autrement dit inférieur bien que la traduction du mot signifie « hôte protégé », interdiction dentrer dans ladministration, de posséder une Bible, de se convertir, de construire une église, dassister à un office religieux, conversions par la force Lannée 2010 aura été marquée par une recrudescence des persécutions Le 6 janvier, en Egypte, six coptes sont assassinés. Entre le 12 et le 20, en Irak, trois commerçants de Mossoul tombent devant chez eux, sous des balles « inconnues ». En mars, le Maroc expulse plusieurs dizaines détrangers accusés de prosélytisme chrétiens. Seize dentre eux travaillaient dans un orphelinat. En Malaisie, les chrétiens nont plus le droit dutiliser le nom « Allah » pour désigner Dieu dans leurs publications, une coutume pourtant vieille de plusieurs siècles. Au Pakistan, trois hommes sont condamnés à la prison pour blasphème, un autre est brûlé vif devant un commissariat, sans que les policiers ninterviennent En 2006, dans une interview au quotidien italien La Stampa, Mgr Velasio De Paolis, à lépoque secrétaire du tribunal suprême de la Signature apostololique au Vatican, affirmait : « Le problème principal est que lislam est fermé au point de ne pas admettre la réciprocité En terre dislam, dès que lEglise se présente dans son authenticité, elle est accusée de prosélytisme. » Il ajoutait : « Cela fait plus dun demi-siècle que lOccident a des relations avec les pays arabes, et na jamais été capable dobtenir la moindre concession sur les droits humains. »http://www.francesoir.fr/actualite/international/chretiens-d%E2%80%99algerie-persecutes-57378.html
Habitués Patrice Bouvart Posté(e) 15 avril 2013 Habitués Posté(e) 15 avril 2013 salut je voudrais avoir des témoignages d'immigrants maghrébins français ou autres et même celui des québecois pour ce qui est du racisme au Québec et au Canada est ce qu'il en existe caché ou voyant car il me semble que j'ai entendu dire par exemple que la racisme est plus voyant dans une ville comme Québec qu'à Montréal alors quant est-il réellement ? karima en tous cas, c'est plus tolérant qu'en Algérie...il faut s'adapter au pays d'accueil... Exact. Le Québec est beaucoup plus tolérant que l'Algérie où le racisme anti-Juif et la haine et l'intolérance anti-Israël sont à un niveau inquiétant, le racisme anti-Chinois et anti-Noir est également très présent en Algérie, et de plus le prosélytisme chrétien est interdit en Algérie et les Chrétiens sont persécutés en Algérie... Bref oui le Québec est effectivement beaucoup plus tolérant que l'Algérie. >Source : France SoirLes chrétiens dAlgérie persécutés Depuis plusieurs années, procès, persécutions et discriminations en tout genre se multiplient contre les chrétiens en Algérie , où lislam est religion dEtat. Le 21 septembre dernier, le procureur du tribunal dAïn-el-Hammam, bourgade de Kabylie, située à 150 à lest dAlger a requis trois ans de prison ferme à lencontre dHocine Hocini, 44 ans, et de Salem Fellak, 34 ans, deux ouvriers coupables davoir rompu dun casse-croûte le jeûne du ramadan. Le 12 août, sur un chantier, ils sétaient accordé une pause déjeuner. Arrêtés par la police « en flagrant délit de consommation de denrées alimentaires », ils étaient immédiatement inculpés pour « atteinte et offense aux préceptes de lislam ». Durant le procès, à Hocine Hocini qui rappelait quil nétait pas musulman, mais chrétien, le procureur aurait conseillé de « quitter ce pays, qui est une terre dislam ». Le verdict sera rendu le 5 octobre.Toujours, en Kabylie, à Larbâa-Nath-Irathen, quatre autres chrétiens, animateurs dune église pentecôtiste, devaient comparaître dimanche pour « pratique dun culte non musulman sans autorisation ». Le procès est reporté au 10 octobre. Le 8 novembre, ce sont huit hommes qui seront jugés par le tribunal dAkbou pour « atteinte et offense aux préceptes de lislam ». Durant le mois du ramadan, ils avaient été interpellés dans un fast-food fermé dOueellaguen, à une soixantaine de kilomètres de Béjaïa. A Tizi Ozou, ce sont des travaux derrière le mur denceinte de léglise protestante qui ont indisposé le préfet. Sappuyant sur « un défaut de permis de construire », il a demandé larrêt du chantier.« Une escalade de lintolérance » Dénonçant une « nouvelle escalade de lintolérance religieuse » qui survient dans « un climat politique délétère », le collectif SOS Libertés, qui, créé au printemps 2008 lors dune précédente campagne antichrétienne, regroupe des artistes et des intellectuels algériens, assure de « sa solidarité » les « victimes de larbitraire ». Et dexiger « le seul verdict juridiquement et moralement acceptable : la relaxe de tous les inculpés poursuivis pour délit de conscience ». Si larticle un de la Constitution algérienne de 1963 précise que « lAlgérie est une démocratique et populaire », son article quatre stipule : « lislam est la religion de lEtat », tout en précisant : « La République garantit à chacun le respect de ses opinions et de ses croyances, et le libre exercice des cultes. » En 1976, une nouvelle Constitution garantit « la liberté de conscience et dopinion ». Mais rien de vraiment précis sur la liberté de culte, ni dans la troisième Constitution du 23 février 1989. En revanche, lordonnance du 15 février 2006, signée du président Abdelaziz Bouteflika, fixe « les conditions dexercice des cultes autres que musulman ». Elle prévoit : « Une peine de deux à cinq ans de prison ferme et une amende de 50 à 100 millions de centimes (en dinars) sont réservées à quiconque incite, contraint ou utilise des moyens de séduction tendant à convertir un musulman à une autre religion ou fabrique, entrepose ou distribue des documents imprimés ou métrages audiovisuels ou tout autre support ou moyen qui visent à ébranler la foi dun musulman. »Alors les procès vont se multiplier. Dès 2006, une vingtaine détudiants africains, qui participent à une rencontre biblique à Tizi Ouzou sont expulsés, de même quen novembre 2007, de jeunes Brésiliens, pourtant invités par larchevêque dAlger, Mgr Henri Tessier. Le mois suivant, un directeur décole et un instituteur, Algériens, sont radiés de léducation nationale pour « prosélytisme ». Le 27 janvier 2008, trois protestants sont accusés davoir « proféré des injures contre la religion et la personne du prophète ». Trois jours plus tard, un prêtre catholique dOran est condamné à un an de prison avec sursis pour avoir prié, le lendemain de Noël, avec un groupe dimmigrés camerounais catholiques. Le 26 mars, lancien président de lEglise protestante, Hugh Johnson, 74 ans, en Algérie depuis 1963, est expulsé Président de lEglise protestante dAlgérie, qui assure compter 30.000 fidèles, essentiellement en Kabylie, le pasteur Mustapha Krim, a lancé la semaine dernière un appel solennel aux plus « hautes autorités de lEtat » afin que soit mis « un terme à ces dérives ». Ces pays où la tolérance nexiste pas En 2009, 34 prêtres, séminaristes, religieux ou religieuses ont été assassinés dans le monde, parce que chrétiens. Sans aller jusquà la mort, dans bien des pays musulmans le sort des chrétiens nest guère enviable : statut de dhimmi, autrement dit inférieur bien que la traduction du mot signifie « hôte protégé », interdiction dentrer dans ladministration, de posséder une Bible, de se convertir, de construire une église, dassister à un office religieux, conversions par la force Lannée 2010 aura été marquée par une recrudescence des persécutions Le 6 janvier, en Egypte, six coptes sont assassinés. Entre le 12 et le 20, en Irak, trois commerçants de Mossoul tombent devant chez eux, sous des balles « inconnues ». En mars, le Maroc expulse plusieurs dizaines détrangers accusés de prosélytisme chrétiens. Seize dentre eux travaillaient dans un orphelinat. En Malaisie, les chrétiens nont plus le droit dutiliser le nom « Allah » pour désigner Dieu dans leurs publications, une coutume pourtant vieille de plusieurs siècles. Au Pakistan, trois hommes sont condamnés à la prison pour blasphème, un autre est brûlé vif devant un commissariat, sans que les policiers ninterviennent En 2006, dans une interview au quotidien italien La Stampa, Mgr Velasio De Paolis, à lépoque secrétaire du tribunal suprême de la Signature apostololique au Vatican, affirmait : « Le problème principal est que lislam est fermé au point de ne pas admettre la réciprocité En terre dislam, dès que lEglise se présente dans son authenticité, elle est accusée de prosélytisme. » Il ajoutait : « Cela fait plus dun demi-siècle que lOccident a des relations avec les pays arabes, et na jamais été capable dobtenir la moindre concession sur les droits humains. »http://www.francesoir.fr/actualite/international/chretiens-d%E2%80%99algerie-persecutes-57378.html je suis votre commentaire il faut bien comprendre de nos jours la vérité fait peur a certain et je dit ça a ceux qui accepte pas la vérité au contraire la vérité fait avancer les choses je sais pas si vous d'accord avec moi
Messages recommandés