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Je dédie ce texte à immigrant_1978 et à tous les malheureux colonisés francophones qui auraient préféré l'être par l'Angleterre plutôt que par la France. ;)

immigrant_1978 a écrit:

Moi je sens aucun attachement à la langue francaise qui a été imposée aux maghrébins par le colonisation francaise. J'aurai préféré que mon pays soit colonisé par l'Angelterre au lieu de la France. Comme ca on parlerait anglais comme deuxieme langue à la place du francais, une langue en déclin par rapport à la langue internationale. Parler francais comme deuxieme langue ne nous a servi qu'à nous isoler du monde.Certains pays du moyen orient notament les pays du Golfe parlent anglais comme deuxieme langue et leur économie est plus dynamique parce qu'ils échangent avec les USA, premiére puissance mondiale en plus du tout le reste du monde qui parle anglais comme langue seconde.

Meme les pays africains anglophones comme le Ghana s'en sortent mieux que les pays africians francophones.

Donc c'est pour cela que si j'avais eu des enfants je préférerai les scolariser en anglais.

Frénésie de l'immersion anglaise

Pour un Québec mi-lingue !

Qu'ils soignent leurs complexes !

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chronique de Nic Payne

vendredi 18 mars 2011

Quand on discute de l'enseignement de l'anglais au Québec, tout comme lorsqu'on aborde la question du cégep en français pour tous, le débat part immanquablement dans tous les sens, et on confond allègrement certaines choses.

Par exemple, on oublie rapidement la différence entre l'apprentissage des fondements d'une langue seconde à l'école, et la pleine maîtrise de cette langue, qui s'acquiert dans un contexte de nécessité. En ce sens, là où l'on croit voir la faillite du système d'éducation à enseigner correctement l'anglais, peut ne se trouver que la simple démonstration de la non-nécessité de parler cette langue pour tel ou tel individu.

Au lieu de se faire les colporteurs de l'asservissement linguistique tous azimuts, ceux qui déplorent que le Québec soit " seulement " six fois plus bilingue que le Canada et neuf fois plus trilingue devraient se réjouir quand ils voient qu'il y a moyen de fonctionner en français, et uniquement en français, à Québec, Bonaventure ou Val D'Or. Nous devrions avoir l'ambition d'élargir cet horizon, et non pas rougir de honte devant notre propre succès.

Évidemment, cette aspiration peut paraître extravagante quand on l'aborde à l'aulne de ce qu'un statut de province laisse normalement entrevoir.

Mais voilà, la poursuite de ce genre d'idéal, en passant par l'unilinguisme institutionnel y compris dans les écoles, rencontre souvent la résistance de ceux qui veulent y voir un déni de la valeur, indubitable j'en conviens, du plurilinguisme individuel, et qui en viennent parfois à donner l'impression qu'ils s'inquiètent davantage de la situation de l'anglais que de celle du français, ce qui est proprement absurde.

Cela témoigne d'une autre zone de confusion dans ce débat : on ne fait pas toujours la distinction entre l'adhésion aux vertus du plurilinguisme, et le besoin irrépressible d'identification à une culture dont on croit mordicus qu'elle " ouvre sur le monde ", qu'elle rend riche et prospère, qu'elle branche directement sur le cosmos, sinon sur l'univers, et quoi encore. Dans cette perspective, il arrive pour certains que l'apprentissage de l'anglais comme langue seconde ne suffise pas à combler leur avidité de bilinguisme anglais-français ; Il faudrait être " parfaitement bilingue ", souhait qui évoque une idéologie du bilinguisme selon laquelle un individu doit posséder de façon égale deux langues et deux cultures. Avant même de débattre du degré de faisabilité d'une telle chose, le simple fait qu'on s'y sente tenu, pour atteindre ce qui serait l'ultime échelon de l'accès aux vertus de l'anglais, et ce même en prenant compte de ce qui pourrait arriver au français si tous les Québécois faisaient de même, montre bien à quel point on accorde à la langue anglaise une aura de passeport pour la supériorité.

Or, les États-Uniens d'Amérique, aux prises avec d'effarants taux de pauvreté mais tout anglais qu'ils soient, sont-ils plus " ouverts sur le monde " que les Québécois ? Plus cultivés ? Les Français, beaucoup moins anglophones que nous, sont-ils en faillite et incultes, ou ne sont-ils pas la cinquième puissance du monde ? Les Québécois qui s'exportent partout sur le globe dans des populations qui sont bien loin de toujours parler anglais, et ceux qui envahissent la Floride, l'ouest canadien ou Plattsburgh, sont-ils d'inénarrables mésadaptés linguistiques ?

Ce besoin d'assimilation à l'anglais qui n'a rien à voir avec l'intérêt réel que mérite certainement cette langue, bien que d'aucuns annoncent aujourd'hui son affaiblissement graduel dans le monde est loin d'être particulier au Québec, mais il prend ici une tournure dramatique, puisqu'il s'agit précisément de la langue au profit de laquelle les francophones s'assimilent sans répit dans ce pays qui n'est pas le nôtre, et qui nous minorise implacablement.

Justement, qu'en est-il du français au Québec ? Sauf pour ceux qui font du nivellement par le bas et de la médiocrité des critères acceptables, n'importe quel observateur objectif doit admettre que le français parlé et écrit ici est dans un état, disons, problématique. N'est-il pas spectaculairement évident que ce problème n'est pas apprécié à sa juste valeur actuellement ? On peut faire ce constat sereinement, sans blâmer inutilement les Québécois. Il s'agit d'un état de fait, autrement plus démontrable, me semble-t-il, que les prétentions des promoteurs effrénés de toujours plus d'anglais.

C'est dans ce contexte que le projet délirant d'immersion générale forcée, soumis récemment par un gouvernement Libéral cherchant désespérément à faire diversion sur d'autres dossiers, et plutôt bien accueilli par le PQ, se révèle dans toute son absurdité. Sur la foi de perceptions éminemment discutables, on veut, comme si cela était nécessaire, augmenter la force d'attraction de l'anglais. Est-ce un mauvais réflexe, ou de l'auto-destruction pure et simple ?

Une bonne maîtrise de sa langue maternelle facilite l'apprentissage, et la bonne maîtrise, d'une autre langue. Dans l'état actuel des choses, ce n'est pas exactement ce qui se passe au Québec ; En s'anglicisant davantage sans redresser l'état du français, nous sommes plutôt sur le chemin douloureux de la perte d'une langue au profit d'une autre. Cela a-t-il déjà été, pour quelque collectivité que ce soit, annonciateur à court terme de lendemains qui chantent ?

L'avenue dans laquelle nous poussent les mordus de l'anglais obligatoire pour tous, risque de passer par l'enfoncement lancinant dans un dialecte de deuxième ordre. Le Québec mérite beaucoup mieux que cela, et à travers lui, la planète entière et tous ceux qui, dans ce monde, désirent célébrer la complémentarité et la diversité des cultures davantage que l'uniformisation.

Chose certaine, on ne sera jamais " parfait-bilingue " en parlant mal français... Peut-être faudrait-il plutôt dire milingue ( ! ), comme dans demi-français-demi-anglais !

Au fond, ces deux dossiers sur la langue et l'enseignement posent une seule question, toute simple : Voulons nous que le français soit la langue commune, la langue nationale du Québec ? Si oui, il est absolument normal que l'instruction se fasse ici en français, d'un bout à l'autre du cursus scolaire.

La pertinence de l'apprentissage d'autres langues n'a rien à voir là-dedans. L'enseignement dans la langue nationale est la norme partout sur la planète, sans que l'on ne crie sans arrêt au repli-sur-soi ou à l'infirmité. Faire de même au Québec ne devrait empêcher personne d'apprendre toutes les autres langues qu'il veut.

Pour ce qui est d'un enseignement de l'anglais plus poussé que celui qui se donne déjà dans le réseau d'enseignement québécois, pourquoi ne pas envisager de l'offrir, et de le faire aussi pour l'espagnol et le mandarin, par exemple, aux étudiants de certaines spécialités collégiales et universitaires dans lesquelles cela serait très utile ou nécessaire, si des experts qualifiés et non des politiciens démagogues le jugent approprié ? Ceci dit en prenant pour acquis qu'on aurait, au préalable, fait ce qu'il faut pour que tous acquièrent une vraie bonne maîtrise du français.

Les Québécois, même si on ne cesse de les bourrer de complexes en laissant entendre que la maîtrise de sa seule langue maternelle est une honte, sont parfaitement à même de comprendre qu'ici comme ailleurs, la langue nationale est un puissant outil de cohésion et de rassemblement, que la notre se trouve à être l'une des plus prestigieuses et parlées dans l'histoire du monde et encore aujourd'hui, et qu'elle marque notre unicité sur ce continent, ce qui devrait être porteur d'extraordinaires opportunités de développement et de prospérité.

Si les Libéraux, Péquistes, et une certaine élite, par paresse, en raison d'intérêts inavouables ou par manque de jugement, sont incapables de nous servir mieux qu'un ramassis de mesures anglicisantes mal inspirées, sans même se rendre compte que le français prend le bord, qu'ils s'en aillent, qu'ils prennent leur retraite, ou qu'ils soignent leurs complexes : Two five four, six-o one one * !

Nic Payne

* numéro de téléphone et célèbre slogan publicitaire d'une école linguistique connue.

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pour un Quebec unilingue Francais avec de réel possibilité d'apprendre correctement

une langue seconde (qui sera sans doute majoritairement l'anglais, mais pas obligatoirement) au primaire

et au secondaire.

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pour un Quebec unilingue Francais avec de réel possibilité d'apprendre correctement

une langue seconde (qui sera sans doute majoritairement l'anglais, mais pas obligatoirement) au primaire

et au secondaire.

Tout a fait d'accord Grizzli (hey met une étoile dans le calendrier, on est d'accord ^_^ )

Je suis d'accord avec la plupart des choses que dit Nic Payne dans le texte que Kobico a publié.....sauf sur l'histoire que c'est un problème d'apprendre l'anglais dès le jeune âge.

Je serais, comme Grizzli je penses, tout a fait d'accord avec l'idée de Julius Grey qui est d'abolir complètement les sytème scolaire francais et le système scolaire anglais au Québec et le remplacer par un seul système, totalement bilingue...avec une forte proportion majoritaire francophone...genre 60% de cours franco, 40% de cours anglo...ou 70-30, ou 75-25 aussi, je laisserais aux experts de le déterminer.

Nos enfants sortiraient de ce système scolaire parfaitement bilingue, mais majoritairement francophone.

Maintenant on en a déja parlé sur ce forum, la plupart des immigrants (et plusieurs Québécois aussi) étaient d'accord.

Mais ce que je voulais ajouter a cette discussion aujourd'hui, c'est que Julius Grey disait lui-même que l'endroit ou vendre cette idée serait le plus difficile, c'est chez les anglophone !

Parce que comprenez bien qu'ils perdraient complètement ce qui fait le ciment de leur communauté, l'école anglaise, les valeurs anglaise, les facons de faire anglaise.

C'est donc tout un problème qui n'est pas pret de se régler.

jimmy

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pour un Quebec unilingue Francais avec de réel possibilité d'apprendre correctement

une langue seconde (qui sera sans doute majoritairement l'anglais, mais pas obligatoirement) au primaire

et au secondaire.

Tout a fait d'accord Grizzli (hey met une étoile dans le calendrier, on est d'accord ^_^ )

Je suis d'accord avec la plupart des choses que dit Nic Payne dans le texte que Kobico a publié.....sauf sur l'histoire que c'est un problème d'apprendre l'anglais dès le jeune âge.

Je serais, comme Grizzli je penses, tout a fait d'accord avec l'idée de Julius Grey qui est d'abolir complètement les sytème scolaire francais et le système scolaire anglais au Québec et le remplacer par un seul système, totalement bilingue...avec une forte proportion majoritaire francophone...genre 60% de cours franco, 40% de cours anglo...ou 70-30, ou 75-25 aussi, je laisserais aux experts de le déterminer.

Nos enfants sortiraient de ce système scolaire parfaitement bilingue, mais majoritairement francophone.

Maintenant on en a déja parlé sur ce forum, la plupart des immigrants (et plusieurs Québécois aussi) étaient d'accord.

Mais ce que je voulais ajouter a cette discussion aujourd'hui, c'est que Julius Grey disait lui-même que l'endroit ou vendre cette idée serait le plus difficile, c'est chez les anglophone !

Parce que comprenez bien qu'ils perdraient complètement ce qui fait le ciment de leur communauté, l'école anglaise, les valeurs anglaise, les facons de faire anglaise.

C'est donc tout un problème qui n'est pas pret de se régler.

jimmy

toi aussi mets un etoile,

je suis aussi d'accord avec toi.

....

par contre j'apporterais une legere variante

systeme scolaire unique

pour les quebecois francophones et les immigrants (qui ont donc choisi le quebec)

75% des cours en francais et 25 % en anglais (ou une variante proche de ca)

pour les quebecois anglophones

75% des cours en anglais et 25 % en francais. (ou une variante proche de ca)

Modifié par grizzli
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Posté(e) (modifié)

Et bien 2 étoiles alors. Pour une fois qu'on est d'accord avec Jimmy ca se fête !!! :drinks:

Un Québec entièrement français oui, mais pas en abolissant l'anglais. Un peu comme ça se fait dans tous les pays finalement, une seule langue parlée, mais que les gens sachent parler anglais car dans le monde du travail, ça peut etre nécessaire. Et que les anglos se mettent au francais comme les francais se mettent à l'anglais. Le 75-25 de grizzli serait plutot pas mal effectivement.

Je suis aussi d'accord avec l'article ou il faudrait renforcer aussi les bases du francais (c'est valable en France aussi d'ailleurs). Le francais n'est pas une langue facile, donc justement une bonne maitrise est nécessaire.

On en viendrait a une grande proportion de gens bilingue voir trilingue un peu comme ça se fait au Nouveau-Brunswick.

Et pour fait plaisir a Jimmy (je suis dans un bon jour Jimmy, je te fais des fleurs, tu remarqueras) : les anglo unilingues seraient bien emmerdés de voir un Québec qui a appris à 100% l'anglais et qui les emmerde quand meme !!! :D

Modifié par laureenfr
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Posté(e)

Et bien 2 étoiles alors. Pour une fois qu'on est d'accord avec Jimmy ca se fête !!! :drinks:

Un Québec entièrement français oui, mais pas en abolissant l'anglais. Un peu comme ça se fait dans tous les pays finalement, une seule langue parlée, mais que les gens sachent parler anglais car dans le monde du travail, ça peut etre nécessaire. Et que les anglos se mettent au francais comme les francais se mettent à l'anglais. Le 75-25 de grizzli serait plutot pas mal effectivement.

Je suis aussi d'accord avec l'article ou il faudrait renforcer aussi les bases du francais (c'est valable en France aussi d'ailleurs). Le francais n'est pas une langue facile, donc justement une bonne maitrise est nécessaire.

On en viendrait a une grande proportion de gens bilingue voir trilingue un peu comme ça se fait au Nouveau-Brunswick.

Et pour fait plaisir a Jimmy (je suis dans un bon jour Jimmy, je te fais des fleurs, tu remarqueras) : les anglo unilingues seraient bien emmerdés de voir un Québec qui a appris à 100% l'anglais et qui les emmerde quand meme !!! :D

Ca se voit que tu n'es pas sortie de Montréal, toi. À l'exception de Montréal et de l'Outaouais et ailleurs en région au Québec, il n'est pas rare de tomber sur des québécois qui ne savent pas dire deux mots en anglais comme c'est le cas en France.

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Et bien .. ça se sait que !!!! Better English More Opportunities ...

Ce besoin d'assimilation à l'anglais qui n'a rien à voir avec l'intérêt réel que mérite certainement cette langue, bien que d'aucuns annoncent aujourd'hui son affaiblissement graduel dans le monde est loin d'être particulier au Québec, mais il prend ici une tournure dramatique, puisqu'il s'agit précisément de la langue au profit de laquelle les francophones s'assimilent sans répit dans ce pays qui n'est pas le nôtre, et qui nous minorise implacablement.

c'est faux il n'ya qu'à voir au tout de nous l'engouement que les gens ont à apprendre cette langue (une langue facile faut le souligner)

la langue française au Québec utilisé comme un élément pour renforcer sa cohésion, son identité et sa place en Amérique du nord , là tout me semble normal .... :8):

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pour un Quebec unilingue Francais avec de réel possibilité d'apprendre correctement

une langue seconde (qui sera sans doute majoritairement l'anglais, mais pas obligatoirement) au primaire

et au secondaire.

Tout a fait d'accord Grizzli (hey met une étoile dans le calendrier, on est d'accord ^_^ )

Je suis d'accord avec la plupart des choses que dit Nic Payne dans le texte que Kobico a publié.....sauf sur l'histoire que c'est un problème d'apprendre l'anglais dès le jeune âge.

Je serais, comme Grizzli je penses, tout a fait d'accord avec l'idée de Julius Grey qui est d'abolir complètement les sytème scolaire francais et le système scolaire anglais au Québec et le remplacer par un seul système, totalement bilingue...avec une forte proportion majoritaire francophone...genre 60% de cours franco, 40% de cours anglo...ou 70-30, ou 75-25 aussi, je laisserais aux experts de le déterminer.

Nos enfants sortiraient de ce système scolaire parfaitement bilingue, mais majoritairement francophone.

Maintenant on en a déja parlé sur ce forum, la plupart des immigrants (et plusieurs Québécois aussi) étaient d'accord.

Mais ce que je voulais ajouter a cette discussion aujourd'hui, c'est que Julius Grey disait lui-même que l'endroit ou vendre cette idée serait le plus difficile, c'est chez les anglophone !

Parce que comprenez bien qu'ils perdraient complètement ce qui fait le ciment de leur communauté, l'école anglaise, les valeurs anglaise, les facons de faire anglaise.

C'est donc tout un problème qui n'est pas pret de se régler.

jimmy

toi aussi mets un etoile,

je suis aussi d'accord avec toi.

....

par contre j'apporterais une legere variante

systeme scolaire unique

pour les quebecois francophones et les immigrants (qui ont donc choisi le quebec)

75% des cours en francais et 25 % en anglais (ou une variante proche de ca)

pour les quebecois anglophones

75% des cours en anglais et 25 % en francais. (ou une variante proche de ca)

Ouein, plus ou moins d'accord Grizzli (c'était trop beau :lol: )

L'idée était d'avoir UN SEUL système, UN SEUL programme d'éducation, UN SEUL curcus.

Quand les jeunes sortent de leurs études, ils auront tous la même éducation, la même culture générale, le même niveau.

C'était ca aussi l'idée de Julius Grey...et si je me rappelle bien c'est pour ca qu'il y allait avec 60%-40%.

Le 40% de cours en anglais faisait accepter aux anglophone le fait qu'il n'y aurait plus de réseau scolaire anglos.

Mais bon, on est la a discuter de ca comme si c'était nous qui décidions :lol:

jimmy

Modifié par jimmy
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Posté(e) (modifié)

Ca se voit que tu n'es pas sortie de Montréal, toi. À l'exception de Montréal et de l'Outaouais et ailleurs en région au Québec, il n'est pas rare de tomber sur des québécois qui ne savent pas dire deux mots en anglais comme c'est le cas en France.

Oui je le sais que quand tu sors de Montreal, ca parle moins anglais... mais justement, si tu savais lire un peu, tu m'aurais pas fait cela comme réflexion.

Mais bon comme t'as une énorme frustration contre le Québec ET la France, c'est pas de ma faute coco... apres tout, le fil a été démarré grace a tes propos...

Modifié par laureenfr
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Posté(e)

Ca se voit que tu n'es pas sortie de Montréal, toi. À l'exception de Montréal et de l'Outaouais et ailleurs en région au Québec, il n'est pas rare de tomber sur des québécois qui ne savent pas dire deux mots en anglais comme c'est le cas en France.

C'est ce que l'article dit, Bouffi: à Québec, à Val-d'or et à Bonaventure, on n'a pas besoin de l'anglais pour vivre. Ça fait des centaines de milliers de personnes qui n'ont absolument pas à rougir d'être unilingues. Comme des Torontois que tu côtoies tous les jours. Comme des centaines de milliers de Tunisiens qui ne parlent que l'arabe et qui ne s'en portent pas plus mal.

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Et bien .. ça se sait que !!!! Better English More Opportunities ...

Ce besoin d'assimilation à l'anglais qui n'a rien à voir avec l'intérêt réel que mérite certainement cette langue, bien que d'aucuns annoncent aujourd'hui son affaiblissement graduel dans le monde est loin d'être particulier au Québec, mais il prend ici une tournure dramatique, puisqu'il s'agit précisément de la langue au profit de laquelle les francophones s'assimilent sans répit dans ce pays qui n'est pas le nôtre, et qui nous minorise implacablement.

c'est faux il n'ya qu'à voir au tout de nous l'engouement que les gens ont à apprendre cette langue (une langue facile faut le souligner)

Il me semble que l'anglais perd quand meme pas mal de terrain face a l'espagnol et l'arabe notamment. Et quand on voit aux USA ce qui se passe, l'anglais se fait pas mal bouffer par l'espagnol justement.

Apres oui y'a de plus en plus de gens qui apprennent cette langue parce qu'elle sert dans les affaires avant tout.

Mais crois moi, j'ai pas appris l'anglais pour m'amuser (et je pense que pour beaucoup c'est comme cela), c'est plus par nécessité.

On apprend l'italien pour la beauté de la langue, mais l'anglais c'est plus parce que tout le monde s'en sert comme moyen universel de communication.

Tout ça a la base, c'est de la faute de Napoléon finalement. Il aurait pas vendu la Louisiane aux Anglais, on en serait pas la ! :ph34r:

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Ca se voit que tu n'es pas sortie de Montréal, toi. À l'exception de Montréal et de l'Outaouais et ailleurs en région au Québec, il n'est pas rare de tomber sur des québécois qui ne savent pas dire deux mots en anglais comme c'est le cas en France.

Comme des centaines de milliers de Tunisiens qui ne parlent que l'arabe et qui ne s'en portent pas plus mal.

Ca dépend ou ils travaillent. Un avocat en Tunisie n'a pas besoin du francais parce que tout est en arabe dans son domaine. Par contre s'il travaille comme comptable, la langue économique de la Tunisie c'est le francais.

  • Habitués
Posté(e)
Tout ça a la base, c'est de la faute de Napoléon finalement. Il aurait pas vendu la Louisiane aux Anglais, on en serait pas la !

Exact, le tabarnouche de Napoléon :spiteful:

Mais le plus drôle de cette histoire c'est que selon les lois internationale d'aujourd'hui , cette vente ne serait pas légale !

Je me rappelle avoir dit ca un américain...qui après quelques secondes de réflexion m'a dit : ben vous pouvez la reprendre la Louisianne, on en veut plus ! :lol:

jimmy

  • Habitués
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Ca se voit que tu n'es pas sortie de Montréal, toi. À l'exception de Montréal et de l'Outaouais et ailleurs en région au Québec, il n'est pas rare de tomber sur des québécois qui ne savent pas dire deux mots en anglais comme c'est le cas en France.

Comme des centaines de milliers de Tunisiens qui ne parlent que l'arabe et qui ne s'en portent pas plus mal.

Ca dépend ou ils travaillent. Un avocat en Tunisie n'a pas besoin du francais parce que tout est en arabe dans son domaine. Par contre s'il travaille comme comptable, la langue économique de la Tunisie c'est le francais.

hein c'est vrai?? tu es en train de me dire que c'est comme ici... ben alors qu'est ce que tu nous fais c... à perpétuellement chercher la petite bête!! si au moins on arrivait à savoir ou tu veux en venir en dehors de ton éternel discours que le québec c'est de la merde, les quebecois sont racistes, et personne ici n'a voulu de toi!!

  • Habitués
Posté(e)

Tout ça a la base, c'est de la faute de Napoléon finalement. Il aurait pas vendu la Louisiane aux Anglais, on en serait pas la !

Exact, le tabarnouche de Napoléon :spiteful:

Mais le plus drôle de cette histoire c'est que selon les lois internationale d'aujourd'hui , cette vente ne serait pas légale !

Je me rappelle avoir dit ca un américain...qui après quelques secondes de réflexion m'a dit : ben vous pouvez la reprendre la Louisianne, on en veut plus ! :lol:

jimmy

si le tsar russe savait à l'époque que l'Alaska contenait toutes ces richesses pétroliéres, il ne l'aurait pas vendu non plus :biggrin:

  • Habitués
Posté(e)

Ca se voit que tu n'es pas sortie de Montréal, toi. À l'exception de Montréal et de l'Outaouais et ailleurs en région au Québec, il n'est pas rare de tomber sur des québécois qui ne savent pas dire deux mots en anglais comme c'est le cas en France.

Comme des centaines de milliers de Tunisiens qui ne parlent que l'arabe et qui ne s'en portent pas plus mal.

Ca dépend ou ils travaillent. Un avocat en Tunisie n'a pas besoin du francais parce que tout est en arabe dans son domaine. Par contre s'il travaille comme comptable, la langue économique de la Tunisie c'est le francais.

hein c'est vrai?? tu es en train de me dire que c'est comme ici... ben alors qu'est ce que tu nous fais c... à perpétuellement chercher la petite bête!! si au moins on arrivait à savoir ou tu veux en venir en dehors de ton éternel discours que le québec c'est de la merde, les quebecois sont racistes, et personne ici n'a voulu de toi!!

J'interviens pas que pour critiquer le Québec,j'avais critiqué certains aspects certes mais pourquoi vous lisez toujours mes messages avec arriére pensée ?

  • Habitués
Posté(e)

J'interviens pas que pour critiquer le Québec,j'avais critiqué certains aspects certes mais pourquoi vous lisez toujours mes messages avec arriére pensée ?

Voyons mon beau, tu as vécu en Alberta et maintenant a Toronto...et jamais tu ne parles de ces villes, tu racontes toujours comment c'est nul le Québec, tout est si parfait a Toronto ?

jimmy

  • Habitués
Posté(e)

J'interviens pas que pour critiquer le Québec,j'avais critiqué certains aspects certes mais pourquoi vous lisez toujours mes messages avec arriére pensée ?

Voyons mon beau, tu as vécu en Alberta et maintenant a Toronto...et jamais tu ne parles de ces villes, tu racontes toujours comment c'est nul le Québec, tout est si parfait a Toronto ?

jimmy

J'ai déja répondu à des fils sur l'Alberta et l'ontario dans le sous forum ROC. Mais comme je vois qu'il y a plus de fils sur le Québec, je me permets d'y participer d'autant plus que je suis passé par le Québec et que le Québec est une province du Canada ou je réside.

Comme je lis beacoup plus des comptes rendus positifs sur le Québec ici , donc je me permets de parler de ce qui y est négatif pour réequiliber un peu.

  • Habitués
Posté(e)

Ca dépend ou ils travaillent. Un avocat en Tunisie n'a pas besoin du francais parce que tout est en arabe dans son domaine. Par contre s'il travaille comme comptable, la langue économique de la Tunisie c'est le francais.

Donc, comme il y a des millions de Tunisiens ne sont ni comptables, ni avocats d'affaires, ni chercheurs universitaires, ils peuvent très bien se passer du français et vivre en arabe sans jamais en souffrir. Pourquoi ce ne serait pas le cas des milliers de Québécois qui ne sont ni avocats, ni comptables, ni chercheurs?

  • Habitués
Posté(e)

Ca dépend ou ils travaillent. Un avocat en Tunisie n'a pas besoin du francais parce que tout est en arabe dans son domaine. Par contre s'il travaille comme comptable, la langue économique de la Tunisie c'est le francais.

Donc, comme il y a des millions de Tunisiens ne sont ni comptables, ni avocats d'affaires, ni chercheurs universitaires, ils peuvent très bien se passer du français et vivre en arabe sans jamais en souffrir. Pourquoi ce ne serait pas le cas des milliers de Québécois qui ne sont ni avocats, ni comptables, ni chercheurs?

Estce que j'ai dit le contraire ? :blink:

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