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Nouvelles embûches pour les médecins diplômés à l'étrange


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Nouvelles embûches pour les médecins diplômés à l'étranger

Une enquête est réclamée devant des allégations de racisme par le Centre de recherche-action sur les relations raciales

Louise-Maude Rioux Soucy 31 mars 2011 Santéimage.jpg

Photo : Agence Reuters Lucas Jackson

Une fois admis en résidence, certains médecins diplômés à létranger feraient face à des décisions arbitraires et à des comportements méprisants, voire racistes selon le Centre de recherche-action sur les relations raciales.

La discrimination systémique vécue par des médecins diplômés à l'étranger ne se limiterait pas au processus de sélection pour un poste de résidence. Une fois admis à ce stage très convoité, certains d'entre eux feraient face à des décisions arbitraires et à des comportements méprisants, voire racistes. Une situation qui doit impérativement cesser, a dénoncé hier le Centre de recherche-action sur les relations raciales (CRARR), qui réclame une enquête.

En point de presse hier, son directeur général, Fo Niemi, a levé le voile sur six cas «troublants de résistance à l'intégration». Ces six médecins ont tous réussi les équivalences du Collège des médecins, comme les examens d'entrée à la résidence. Mais ils ont vite déchanté devant les nouveaux obstacles qui se sont dressés devant eux, raconte M. Niemi. «Ils se sont aperçus que les critères d'évaluation des hôpitaux et des facultés sont très flous, et qu'ils ouvrent la porte à l'arbitraire et à l'iniquité.»

À l'hôpital, certains ont même essuyé des comportements ouvertement vexatoires ou méprisants de la part de superviseurs et d'autres membres de l'équipe de soins, créant ainsi un milieu de travail «toxique». «Un superviseur avec lequel j'avais des problèmes m'a dit qu'il ne voulait plus de médecins étrangers sur son équipe, que dorénavant il voulait seulement des François Tremblay», a témoigné le Dr Omar Addou.

Le médecin d'origine marocaine a récemment été expulsé du programme de chirurgie orthopédique de l'Université de Montréal après plusieurs mois de pratique en milieu hospitalier. À son arrivée au Québec, en 2006, M. Addou est allé décrocher une maîtrise en administration de la santé tout en allant chercher ses équivalences au Collège. Cela fait, il a fait une demande de résidence qui a été acceptée sur le champ, en 2008. «Ma première année s'est déroulée sans aucun problème.»

C'est à la seconde que tout s'est gâché. «J'ai fait un stage à Sacré-Coeur, avec un superviseur qui était en conflit ouvert avec moi. Il m'a donné un échec.» Pour son second stage, le Dr Addou s'est retrouvé au même endroit, avec le même superviseur, ce qui est contraire aux règles habituelles. Il a essuyé un nouvel échec, qui l'a conduit à son expulsion du programme. «J'ai vu 12 années d'études partir en fumée. Quand on est expulsé, on perd notre licence et c'est la fin de notre carrière au Canada.»

Ce dernier déplore le deux poids, deux mesures qui prévaudrait à la résidence. «Je n'ai eu droit à aucun recours même s'il a été établi que mon dossier était basé sur des informations biaisées, parfois même erronées, et qu'il y a eu violation des principes d'équité procédurale et de justice naturelle.»

Cette histoire recoupe en partie celle de Zaara Bouchouared, médecin d'origine algérienne qui a dû se battre pour être admise à la résidence en soins intensifs. Sa première année s'est déroulée sans anicroche. Puis le climat s'est détérioré. Déjà, à l'automne dernier, la Dre Bouchouared s'était confiée au Devoir à propos de son découragement. «À l'hôpital, à compétences égales, le médecin étranger passe toujours en second.»

Depuis, les choses se sont accélérées et la Dre Bouchouared fait face elle aussi à une expulsion. Elle a déposé une plainte et un grief de harcèlement discriminatoire et psychologique contre son superviseur. Mais ses espoirs sont minces. «Alors que la population du Québec a désespérément besoin de médecins, le Québec devient un cimetière et un cul-de-sac professionnel pour les médecins formés à l'étranger.»

Pour Fo Niemi, ces témoignages justifient pleinement que la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (CDPDJ) mène une nouvelle enquête. Ce dernier rappelle que, l'automne dernier, la Commission avait conclu que le processus de sélection des universités a bel et bien donné lieu à une discrimination systémique. Les facultés de médecine avaient formellement nié cette lecture des faits.

source :

http://www.ledevoir.com/societe/sante/320041/nouvelles-embuches-pour-les-medecins-diplomes-a-l-etranger

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  • 2 weeks later...

Ce n'est pas le premier article que je lis sur ce sujet, ça fait peur pour nous nouveaux arrivants!

Ceci dit, quand j'étais en France, on m'a souvent rappelé mes origines; mais on m'a aussi jugé sur mes compétences!

N'existe-t-il pas une association de défense des médecins étrangers ou d'origine étrangère? Dans le domaine de la chirurgie cardiovasculaire, on ne m'encourage pas à venir alors qu'il y a des patients qui meurent car ils ne sont pas pris en charge à temps faute de praticien!!!!

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  • 3 weeks later...

Nouvelles embûches pour les médecins diplômés à l'étranger

Une enquête est réclamée devant des allégations de racisme par le Centre de recherche-action sur les relations raciales

Louise-Maude Rioux Soucy 31 mars 2011 Santéimage.jpg

Photo : Agence Reuters Lucas Jackson

Une fois admis en résidence, certains médecins diplômés à l'étranger feraient face à des décisions arbitraires et à des comportements méprisants, voire racistes selon le Centre de recherche-action sur les relations raciales.

La discrimination systémique vécue par des médecins diplômés à l'étranger ne se limiterait pas au processus de sélection pour un poste de résidence. Une fois admis à ce stage très convoité, certains d'entre eux feraient face à des décisions arbitraires et à des comportements méprisants, voire racistes. Une situation qui doit impérativement cesser, a dénoncé hier le Centre de recherche-action sur les relations raciales (CRARR), qui réclame une enquête.

En point de presse hier, son directeur général, Fo Niemi, a levé le voile sur six cas «troublants de résistance à l'intégration». Ces six médecins ont tous réussi les équivalences du Collège des médecins, comme les examens d'entrée à la résidence. Mais ils ont vite déchanté devant les nouveaux obstacles qui se sont dressés devant eux, raconte M. Niemi. «Ils se sont aperçus que les critères d'évaluation des hôpitaux et des facultés sont très flous, et qu'ils ouvrent la porte à l'arbitraire et à l'iniquité.»

À l'hôpital, certains ont même essuyé des comportements ouvertement vexatoires ou méprisants de la part de superviseurs et d'autres membres de l'équipe de soins, créant ainsi un milieu de travail «toxique». «Un superviseur avec lequel j'avais des problèmes m'a dit qu'il ne voulait plus de médecins étrangers sur son équipe, que dorénavant il voulait seulement des François Tremblay», a témoigné le Dr Omar Addou.

Le médecin d'origine marocaine a récemment été expulsé du programme de chirurgie orthopédique de l'Université de Montréal après plusieurs mois de pratique en milieu hospitalier. À son arrivée au Québec, en 2006, M. Addou est allé décrocher une maîtrise en administration de la santé tout en allant chercher ses équivalences au Collège. Cela fait, il a fait une demande de résidence qui a été acceptée sur le champ, en 2008. «Ma première année s'est déroulée sans aucun problème.»

C'est à la seconde que tout s'est gâché. «J'ai fait un stage à Sacré-Coeur, avec un superviseur qui était en conflit ouvert avec moi. Il m'a donné un échec.» Pour son second stage, le Dr Addou s'est retrouvé au même endroit, avec le même superviseur, ce qui est contraire aux règles habituelles. Il a essuyé un nouvel échec, qui l'a conduit à son expulsion du programme. «J'ai vu 12 années d'études partir en fumée. Quand on est expulsé, on perd notre licence et c'est la fin de notre carrière au Canada.»

Ce dernier déplore le deux poids, deux mesures qui prévaudrait à la résidence. «Je n'ai eu droit à aucun recours même s'il a été établi que mon dossier était basé sur des informations biaisées, parfois même erronées, et qu'il y a eu violation des principes d'équité procédurale et de justice naturelle.»

Cette histoire recoupe en partie celle de Zaara Bouchouared, médecin d'origine algérienne qui a dû se battre pour être admise à la résidence en soins intensifs. Sa première année s'est déroulée sans anicroche. Puis le climat s'est détérioré. Déjà, à l'automne dernier, la Dre Bouchouared s'était confiée au Devoir à propos de son découragement. «À l'hôpital, à compétences égales, le médecin étranger passe toujours en second.»

Depuis, les choses se sont accélérées et la Dre Bouchouared fait face elle aussi à une expulsion. Elle a déposé une plainte et un grief de harcèlement discriminatoire et psychologique contre son superviseur. Mais ses espoirs sont minces. «Alors que la population du Québec a désespérément besoin de médecins, le Québec devient un cimetière et un cul-de-sac professionnel pour les médecins formés à l'étranger.»

Pour Fo Niemi, ces témoignages justifient pleinement que la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (CDPDJ) mène une nouvelle enquête. Ce dernier rappelle que, l'automne dernier, la Commission avait conclu que le processus de sélection des universités a bel et bien donné lieu à une discrimination systémique. Les facultés de médecine avaient formellement nié cette lecture des faits.

source :

http://www.ledevoir....es-a-l-etranger

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vraiment tout ceci m'ecoeure moi meme je suis médecin et je me demande si avec tout ça je ne vais pas abandonner mon projet d'emmigration puisque quand on regarde dans leur site ils nous promettent la non discrimination. alors vraiment ça ne vaut pas la peine surtout que tu abandonnes le stress de ton pays à 10% et tu viens trouver un autre à 50% ça ne vaut vraiment pas la peine. allez voir dans le site du gouvernement quebequois. vraiment je suis desesperée que je quitte mon pays étant medecin et que dans un autre pays on me rabaisse jusqu'au chauffeur de taxis vraiment je suis scandalisée quelle humiliation.

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Bonjour médecins étrangers et qui veulent immigrer au Québec

1-au Québec si tu veux recommencer a l'université 2 places pour les médecins étrangers et il y a centaines des demandes ils choisissent 2 étudiants seulement(tu acceptes le minimum et ils veulent pas te laisser continuer).

2-pour permis restrictif 70 permis par an condition :tu es spécialiste et t'as travaillé 2 ans minimum après la spécialité (1 ou 2 par spécialités et il y a des milliers des dossiers au recrutement santé Québec ).ils acceptent un médecin dans les régions éloignées ou il y a un poste vacant depuis longtemps ou les médecins québécois ils veulent pas y aller .

3- permis Régulier il faut que tu passe les 3 examens (MCCEE,MCCQE1,MCCQE2) après c'est pas sur que tu auras un place résidant il y a 2 ans60 places qui sont rester vacant a l'université de Montréal pour les nouveaux internes et il y a beaucoup des médecins étrangers qui ont passé les trois examens de l'équivalence comme leurs étudiants ils n'ont pas arriver a entrer au système,il te laisse même pas de faire un stage bénévole c'est quand tu seras convoqué a un interview et c'est rare pour la residence ils te dit:

A- Ah ca fait longtemps que tu es en arrêt de travaille? (c'est pas ta faute c'est leur faute)

B-on préfère les gens qui ont fini leurs études ici et qui sont plus jeune que toi.

et autres questions merdique de la part des médecins a l'interview,ce sont les mêmes médecins que t'as envoyé des lettres pour eux pour faire un stages d'observateur et bénévole et ils n'ont pas accepter ta demande......ect

4-C'est nouveau maintenant il y a des risques d'expulsion illogique(certains d'entre eux feraient face à des décisions arbitraires et à des comportements méprisants, voire racistes)Dr Omar Addou et la Dre Bouchouared.

source :

http://www.ledevoir....es-a-l-etranger

moi je n'ai pas vu dans les références médicales (infarctus de myocarde québécois,polytraumatisé québécois,pneumonie québécois ....ect)dans tout le monde qui passe les mêmes examens il a le droit de travailler sauf au Québec mais c'est de la jalousie et la discrimination.

Résultat quelques médecins passent peut être 4 %!!!!!! par coïncidence et eux c'est pas la règle.

Tu perdras minimum 6000 dollars seulement pour les papiers et RCMC et examens,tu détruit ta carrière dans ton pays ,des stress insupportables .

Tous ce qui est écrit qui ont besoin des médecins étrangers c'est n'est pas vrai!!!!!!!!!!!

ils veulent Jean-François Trembly, qui est né et qui vit au Québec. même si la liste d'attente 1 an pour voir un médecin de famille !!!!!!!!!!!!!

si vous voulez exercer la médecine cherchez un autre pays ils veulent au Québec des gens sur qualifiés pour faire des enfants et faire les sales boulots qui veulent pas les faire!!!!!!!

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  • Habitués

A te revoilà monsieur Malanbouché ....

Tu es incorrigible, j'ai beau te donner des indications claires et des chiffres et TOI tu restes sur tes idées toutes faites.

Actuellement, les problèmes sont surtout lié à l'arrivée des grosses cohortes, beaucoup de médecins Québécois arrivent sur le marché du travail et en résidence, ce qui limite le nombre de place, y compris pour les jeunes candidats etrangers qui veulent faire leur cursus complet au Québec.

C'est la préférence nationale, comment leur reprocher ?

Il n'y a aucun racisme la dessous, simplement que la gestion des places devient de plus en plus difficille pour l'obtention des stages, même en ayant ouvert d'autre lieux de stage en régions éloignées.

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  • 2 weeks later...
  • Habitués

Même les étudiants «québécois de souche» de médicine ont des difficultés à trouver un poste de médecin.

Pourquoi?

Les médecins font de gros salaires (150000$ et plus) parce qu'ils sont rares dans le marché local.

S'il y aurait une grande quantité de médecins disponibles, qu'est-ce qui arriverait? Leurs salaires seraient plus petits.

It's all about money folks...

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A te revoilà monsieur Malanbouché ....

Tu es incorrigible, j'ai beau te donner des indications claires et des chiffres et TOI tu restes sur tes idées toutes faites.

Actuellement, les problèmes sont surtout lié à l'arrivée des grosses cohortes, beaucoup de médecins Québécois arrivent sur le marché du travail et en résidence, ce qui limite le nombre de place, y compris pour les jeunes candidats etrangers qui veulent faire leur cursus complet au Québec.

C'est la préférence nationale, comment leur reprocher ?

Il n'y a aucun racisme la dessous, simplement que la gestion des places devient de plus en plus difficille pour l'obtention des stages, même en ayant ouvert d'autre lieux de stage en régions éloignées.

navrée mais ta réponse n'est pas vraiment convainquante

plus on lit de témoignages (à peu de chose près qui racontent la même chose) plus on a du mal à croire à te croire : " il n'y a aucun racisme la dessous " !!!!

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  • Habitués

Agentino2003 emploi une epxression qui m'interpelle: "Québécois de souche". Il semble qu'on l'oppose à "immigrants". Mais c'est qui les "québécois de souche"? Les indiens ? Parce tous les autres sont immigrants me semble-t-il. La seule variable c'est l'époque d'immigration, non??

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  • Habitués

Bonjour

Au Québec, les Québécois «de souche» ou «pure laine» sont les descendants directs des colons français qui se sont établis ici au XVIIème siècle.

Un peu comme en Amérique Latine, où les «familles traditionnelles» sont celles qui descendent directement des colons espagnols du XVIème siècle.

Les Autochtones ont aussi été des immigrants, ils sont arrivés de l'Asie (par le passage de Bering) il y a environ 14000 ans.

Agentino2003 emploi une epxression qui m'interpelle: "Québécois de souche". Il semble qu'on l'oppose à "immigrants". Mais c'est qui les "québécois de souche"? Les indiens ? Parce tous les autres sont immigrants me semble-t-il. La seule variable c'est l'époque d'immigration, non??

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  • Habitués

A te revoilà monsieur Malanbouché ....

Tu es incorrigible, j'ai beau te donner des indications claires et des chiffres et TOI tu restes sur tes idées toutes faites.

Actuellement, les problèmes sont surtout lié à l'arrivée des grosses cohortes, beaucoup de médecins Québécois arrivent sur le marché du travail et en résidence, ce qui limite le nombre de place, y compris pour les jeunes candidats etrangers qui veulent faire leur cursus complet au Québec.

C'est la préférence nationale, comment leur reprocher ?

Il n'y a aucun racisme la dessous, simplement que la gestion des places devient de plus en plus difficille pour l'obtention des stages, même en ayant ouvert d'autre lieux de stage en régions éloignées.

navrée mais ta réponse n'est pas vraiment convainquante

plus on lit de témoignages (à peu de chose près qui racontent la même chose) plus on a du mal à croire à te croire : " il n'y a aucun racisme la dessous " !!!!

Une vraie logique de crêpière! w00t.gif

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  • Habitués

Cher Argentino 2003,

c'est bien ce qui se dit, mais ça ne me convainc pas. Peux-tu me dire en quoi les descendants des colons français sont plus "de souche" que les autochtones. Tu soulignes toi-même que les autochtones se sont installés là bien longtemps avant eux !!!

N'est-ce pa simplement de reflet d'un rapport de forces ??

Modifié par marko33
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  • Habitués

Marko33,

Tu as demandé à qui on appelle «Québécois de souche» au Québec, puis j'ai répondu à ta question.

Je ne sais pourquoi ils ont décidé de se nommer comme ça, mais c'est une réalité.

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  • Habitués

Ces sujets ont déjà été traité, les liens se retrouvent un peu partout sur ce forum, et tu ne tiens pas compte de l'évolution positive dans le recrutement actuel, parce que tu n'es pas sur place....

J'aimerai que tu recherches des liens encore plus anciens, tu sais le temps où pauline marois était ministre de la santé...tu sauras enfin ce qu'était le recrutement à cette époque là !

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c'est quoi une logique de crepière???

Saches que non seulement tu es toujours peu convainquant mais en plus tu nous donnes la preuve grande ouverture d'esprit et intelligence !!

allez la discussion reste ouverte .....

A te revoilà monsieur Malanbouché ....

Tu es incorrigible, j'ai beau te donner des indications claires et des chiffres et TOI tu restes sur tes idées toutes faites.

Actuellement, les problèmes sont surtout lié à l'arrivée des grosses cohortes, beaucoup de médecins Québécois arrivent sur le marché du travail et en résidence, ce qui limite le nombre de place, y compris pour les jeunes candidats etrangers qui veulent faire leur cursus complet au Québec.

C'est la préférence nationale, comment leur reprocher ?

Il n'y a aucun racisme la dessous, simplement que la gestion des places devient de plus en plus difficille pour l'obtention des stages, même en ayant ouvert d'autre lieux de stage en régions éloignées.

navrée mais ta réponse n'est pas vraiment convainquante

plus on lit de témoignages (à peu de chose près qui racontent la même chose) plus on a du mal à croire à te croire : " il n'y a aucun racisme la dessous " !!!!

Une vraie logique de crêpière! w00t.gif

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A te revoilà monsieur Malanbouché ....

Tu es incorrigible, j'ai beau te donner des indications claires et des chiffres et TOI tu restes sur tes idées toutes faites.

Actuellement, les problèmes sont surtout lié à l'arrivée des grosses cohortes, beaucoup de médecins Québécois arrivent sur le marché du travail et en résidence, ce qui limite le nombre de place, y compris pour les jeunes candidats etrangers qui veulent faire leur cursus complet au Québec.

C'est la préférence nationale, comment leur reprocher ?

Il n'y a aucun racisme la dessous, simplement que la gestion des places devient de plus en plus difficille pour l'obtention des stages, même en ayant ouvert d'autre lieux de stage en régions éloignées.

navrée mais ta réponse n'est pas vraiment convainquante

plus on lit de témoignages (à peu de chose près qui racontent la même chose) plus on a du mal à croire à te croire : " il n'y a aucun racisme la dessous " !!!!

Je suis un médecin de nationalité autre que canadienne, et je désire m'installer au Québec, je passe des tests, je fais un stage et je ne suis vraiment pas bon, je manque même de tuer un client en voulant l'intuber àvec une sonde rectale !

Le Canada me dit, que je ne fais pas l'affaire et que je dois me perfectionner avant de pouvoir travailler dans un établissement Québécois ou Canadien

Est ce une raison raciste ?

Les Québécois sont formés dès le CEGEP pour devenir médecin et la selection est plus rude que les tests qui sont demandés aux Médecins étrangers,

Est-ce raciste que de préférer les jeunes Québécois ?

Le mot raciste est tellement galvaudé, que vous ne savez même plus ce que ça veut dire ! :sleeping:

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