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Posté(e) (modifié)

Le Centre de recherche-action sur les relations raciales rapporte qu'au moins six résidents étrangers ont récemment été expulsés de la faculté de médecine, après avoir été évalués injustement. Selon l'organisme, il s'agit de cas de discrimination systémique.

A lire sur ce site internet ...

http://www.radio-can..._medium=twitter

Modifié par Létranger
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Depuis que je suis au Québec, j'ai eu affaire à deux médecins: le premier d'origine russe, et le deuxième (mon médecin de famille) est une Chinoise :whistlingb:

Qu'ils sont racistes ces Québécois :rolleyes:

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Suite de l'article:

Le directeur du Centre, Fo Niemi, parle « d'évaluations biaisées » et de « comportements vexatoires », voire « de harcèlement psychologique en milieu de travail ». Les six personnes touchées sont principalement d'origine magrébine.

Le Collège des médecins refuse de se prononcer sur les cas cités. Mais le secrétaire du Collège, Dr Yves Robert, n'est pas prêt à généraliser la situation à l'ensemble des facultés de médecine. « Il faut être prudent avant de tirer des conclusions générales sur des cas qui pourraient être isolés », estime-t-il.

Il rappelle que plusieurs médecins étrangers réussissent leur résidence, et qu'il arrive également que des Québécois, qui ont fait tout le parcours dans le même système, échouent.

Commentaire 1 d'un professeur en médecine:

Les médecins étrangers ont en effet plus de difficultés à s'intégrer professionnellement et à atteindre les objectifs de formation canadiens des différents programmes de résidence. La majorité d'entre eux sont compétents et atteignent ces objectifs, mais le but ultime du collèges de médecins et du collège royal des médecins et chirurgiens du Canada (qui octroie les certificats en médecins spécialisée) est la protection de la population en ne diplômant que les gens jugés compétents selon des critères pré-déterminés. Si un candidat échoue de façon répétée à atteindre ces objectifs, il sera exclu, comme dans toute formation professionnelle avancée. Comme le disait le Dr Robert, des "québécois de souches" échouent aussi, mais certes, moins souvent... Cessez de voir de la conspiration et du racisme partout ! Par contre, je n'exclus pas que des situations discriminatoires soient possibles, mais beaucoup plus exceptionnelles que vous ne pouvez le croire...Réponse d'un lecteur:

racisme et conspiration nenni, mais protectionnisme certainement. C'est complètement aberrant les épreuves, les délais et les frais que les médecins étrangers doivent connaître avant que de pouvoir faire leur métier ici. Et lorsque l'on veut maintenir une pénurie volontairement, comment s'y prend t-on ? hmmm ?Et réponse 2 du même professeur en médecine:

Votre raisonnement semble juste mais...

je crois que le Gouvernement du Quebec et du Canada font fausse route en laissant croire a un medecin forme a l etranger ( Afrique du Nord et Afrique au sud du Sahara ) qu il pourra pratiquer au Canada s'il reussit des examens theoriques d'équivalence.

Ce médecin étranger a déjà investi des années d étdes longues ( au moins 6 ans) et souvent des années de pratique dans son pays de diplomation et de l argent, et des efforts et des espoirs immenses pour se voir acculé à ne pas pratiquer sa profession au Canada. Retourner au point de départ ( pays de ses études medicales ) constitue un échec a ses yeux et de ses anciens confrères.

Trois solutions :

1) Lui faire passer les examens théoriques avant de mettre pied au Canada

2) S il échoue les tests pratiques, lui offrir la possibilité de pratiquer comme super-infirmières sous supervision médicale

3) ou seulement a l intérieur d un hôpital québécois sous supervision médicale pendant 5 ans

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Commentaire 1 d'un professeur en médecine:

Les médecins étrangers ont en effet plus de difficultés à s'intégrer professionnellement et à atteindre les objectifs de formation canadiens des différents programmes de résidence. La majorité d'entre eux sont compétents et atteignent ces objectifs, mais le but ultime du collèges de médecins et du collège royal des médecins et chirurgiens du Canada (qui octroie les certificats en médecins spécialisée) est la protection de la population en ne diplômant que les gens jugés compétents selon des critères pré-déterminés. Si un candidat échoue de façon répétée à atteindre ces objectifs, il sera exclu, comme dans toute formation professionnelle avancée. Comme le disait le Dr Robert, des "québécois de souches" échouent aussi, mais certes, moins souvent... Cessez de voir de la conspiration et du racisme partout ! Par contre, je n'exclus pas que des situations discriminatoires soient possibles, mais beaucoup plus exceptionnelles que vous ne pouvez le croire...

Il semble qu'ils échouent plusieurs fois aux évaluations...et il n'est toujours pas précisé combien de résidents réussissent.

Avec une telle attitude, ces gens ne font qu'aggraver et renforcer les éventuels a-priori des évaluateurs.

De tels articles remettant en cause les compétences d'évaluations des moniteurs dessert les intérêts des résidents diplômés à l'étranger.

Les moniteurs sont formés très sérieusement, les critères d'évaluation sont précis. Je suis passé par ce crible, maintenant je suis du coté des évaluateurs et je vous garanti que je ne confierai pas mes enfants à certains "médecins" quelques soient leurs origines..

Le Québec est en pénurie de médecins, et certains médecins risquent de rendre le Québec en pénurie de malades....

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Posté(e) (modifié)

:mellow: Le Centre de recherche-action sur les relations raciales CRARR n'est aucunement une organisation objective mais un groupe de pression biaisé qui voit de la discrimination partout quittent à en inventer parce sinon ils vont se retrouver sans emploi et l'organisation va disparaître. dry.gifCa ne veut pas dire qu'il n'y a pas de discrimination, ca veut dire qu'il faut arrêter de voir faussement de la discrimination partout comme le fait le CRARR. Ici les critères sont les mêmes pour les médecins étrangers que pour les médecins québécois alors le processus est juste et équitable.

Citation de l'article de Radio-Canada en question

Le Collège des médecins refuse de se prononcer sur les cas cités. Mais le secrétaire du Collège, Dr Yves Robert, n'est pas prêt à généraliser la situation à l'ensemble des facultés de médecine. « Il faut être prudent avant de tirer des conclusions générales sur des cas qui pourraient être isolés », estime-t-il.

Il rappelle que plusieurs médecins étrangers réussissent leur résidence, et qu'il arrive également que des Québécois, qui ont fait tout le parcours dans le même système, échouent.

Modifié par Peaceman

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