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Trop qualifié, mal adapté, impossible de faire carrière au Québec...


kyo

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Est-ce que le problème c'est la langue? C'mon, c'est pas si difficile d'acquérir une connaissance d'une deuxième langue, surtout sur place. Pensez que, dans le cas de l'Europe, excepté les Belges, Français et Suisses, le reste de citoyens sont arrivés ici après avoir apprit le français ou sont en train de l'apprendre.

On ne devient pas bilingue en deux temps, trois mouvements...

Ce n'est pas si facile de vivre dans un pays où l'on ne parle pas la langue, et surtout pour le travail.

Absolument!!! C'est une illusion de croire qu'en venant dans le ROC ou aux US, vous pourrez trouver le job de vos reves, super bien paye...etc...si vous ne parlez pas un Anglais plus que correct. Il faut quand meme un niveau qui tient la route si vous voulez esperer avoir un bon emploi et une carriere dans le secteur qui vous interesse.

Et meme si le fait d'etre sur place accelere l'apprentissage de la langue, puisque plus ou moins en immersion totale, il ne faut pas s'imaginer que vous parlerez couramment en 3 mois. Pour le bilinguisme, au vrai sens du terme, cela prend des annees.

Stephanie.

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  • Habitués

Merci de mettre les choses au clair, Blueberry.

Magic777, tu ne m'as pas cloué le bec sur l'autre discu, je trouvais simplement plus utile d'aller me curer les ongles.

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  • Habitués
Après Magic777 et ses "Les minorités nous volent nos jobs", voici Dinoulet et "Les femmes nous volent nos jobs".

Tu sais lire le français ???

En tout cas, je n'ai jamais rien dit des propos que tu me tiens là, 100% stupidement.

J'ai osé dire un truc original et qui dont est sûrement cacophonique pour toi, mais de là à "avoir des voix" (style Jeanne d'Arc), il y a tout un pas.

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  • Habitués
Après Magic777 et ses "Les minorités nous volent nos jobs", voici Dinoulet et "Les femmes nous volent nos jobs".

Bienvenue à l'âgecanonix!

Tu es malhonnête JayJay... J'ai jamais dit ça. Moi je suis pour l'immigration. Tu es amer parce que je t'ai cloué le bec dans un autre thread...LOL ! Déformer mes propos comme tu le fait, c'est pitoyable et malhonnête....

A première vue JayJay, on est plus d'un à penser que ton "bilinguisme" est à revoir !!

Apprends à LIRE autre chose que tes documents administratifs.

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  • Habitués
J'ai mon idée, là-dessus ! Oui ... je suis en forme ce soir.

Il y a sûrement une chose à accepter ici:

1°) on est chez les Canadiens;

2°) et surtout ... on est chez les Canadiennes !

La féminisation de cette société est un fait marquant. On peut le sentir très fort dans la façon dont est géré le système d'enseignement mais aussi dans les contacts avec l'administration ("sois sage ou prends-toi une fessée") ainsi que dans l'importance donnée aux aspects relationnels.

J'ose (car décidément, ce soir, je suis très en forme) imaginer que le gars qui a est Bac+10, et dont il est sujet dans ce fil de discussion, ne provient pas d'un environnement culturel où les femmes ont toujours le dernier mot et qu'il lui manque donc l'essentiel: comprendre les règles du jeu tel qu'il a lieu en ce pays.

La féminisation de la société comme tu l'appelles est en fait une société où les femmes et les hommes sont égaux. Les femmes commencent à être prépondérantes dans certaines sphères : juste retour du balancier? Il reste qu'elles seront toujours désavantagées... parce que ce sont elles qui portent les enfants. Ce qui est "annulé" par les congés parentaux dont les pères peuvent bénéficier, on verra dans quelques années à quel point. Les femmes n'ont pas toujours le dernier mot. Elles l'ont parfois. Ce qui est statistiquement juste et normal. Évidemment, il y en a que ça gêne et qui aiment leurs femmes soumises et même un peu bébêtes, soit parce que, narcissiques, ils se sentent menacés par l'égalité féminine.

"Tu sais lire le français" : je pense que je le fait un peu mieux que toi, et que je l'écris mieux que toi également : oh mais quoi??? Ce n'est pas possible n'est-ce pas, les Québécois sont TELLEMENT POURRIS en langue française...

Modifié par JayJay
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  • Habitués
Pour le bilinguisme, au vrai sens du terme, cela prend des annees.

... Et ça dépend beaucoup de l'envie de chacun d'y passer du temps, de ses talents, des moyens qu'il y consacre etc.

Il faut aimer apprendre une langue.

Il faut aimer ses contraintes, ses complications, ses différences.

Si on vient d'un pays comme la Belgique, c'est plus facile. On y est habitués à supporter la langue néerlandaise. Après ça, on se jète volontiers dans l'étude de l'anglais.

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"Tu sais lire le français" : je pense que je le fait un peu mieux que toi...

Apprends déjà à conjuguer le verbe faire: "je fais" ...

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  • Habitués
"Tu sais lire le français" : je pense que je le fait un peu mieux que toi...

Apprends déjà à conjuguer le verbe faire: "je fais" ...

C'est quoi le rapport avec la choucroute ?

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  • Habitués

Oh j'ai fait UNE faute en tapant vite !!! Voilà qui va réussir à prouver que M. Dinoulet a raison lorsqu'il dit que les Québécois ne savent pas parler français !!! Tu dois être content, n'est-ce pas? Tu vas pouvoir t'endormir ce soir avec la satisfaction du travail accompli : super. Heureusement ta vie n'est pas inutile, tu vois.

"on se jète volontiers" : jette serait préférable. C'est tellement facile... on pourrait y passer des heures... Tiens, Dinoulet, un nonosse pour toi, amuse-toi à dénicher les fautes d'orthographe, ça va t'occuper, et ce sera pas trop difficile pour ton ti-cerveau.

Modifié par JayJay
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Veuillez continuer vos discordes personnelles par MP, le forum n'est pas l'endroit pour cela. Merci.

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  • Habitués
Pour le bilinguisme, au vrai sens du terme, cela prend des annees.

... Et ça dépend beaucoup de l'envie de chacun d'y passer du temps, de ses talents, des moyens qu'il y consacre etc.

Il faut aimer apprendre une langue.

Il faut aimer ses contraintes, ses complications, ses différences.

Si on vient d'un pays comme la Belgique, c'est plus facile. On y est habitués à supporter la langue néerlandaise. Après ça, on se jète volontiers dans l'étude de l'anglais.

Oui, mais quand bien meme, le bilinguisme au sens reel du terme n'est jamais atteint, pour les gens qui apprennent une deuxieme langue etrangere, peu importe laquelle, et surtout en commencant a l'apprendre a l'age adulte. Ils parleront couramment, ce qui est deja tres bien, mais ne seront pas "bilingues" au vrai sens du terme.

Stephanie.

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  • Habitués
Oui, mais quand bien meme, le bilinguisme au sens reel du terme n'est jamais atteint, pour les gens qui apprennent une deuxieme langue etrangere, peu importe laquelle, et surtout en commencant a l'apprendre a l'age adulte. Ils parleront couramment, ce qui est deja tres bien, mais ne seront pas "bilingues" au vrai sens du terme.

Les anglophones ont le cul dans le beurre par rapport à cette question: ils ne doivent même pas se la poser.

Et c'est vrai qu'en plus, ils ont tendance à parler leur langue avec une remarquable fluidité. Mais ... ça dépend desquels. Il y en a qui sont plus agréables.

Et il y a des boulots où on n'est pas constamment sollicité: ça fait une grosse différence, aussi ! Je ne prendrai pas l'exemple extrême du balayeur de rue ou du nettoyeur de chiottes, mais tout de même, il faut relativiser un tout petit peu la pression que ça représente d'être en milieu anglophone.

Si par contre on est dans le commerce, on a intérêt à tenir la route et à faire preuve d'endurance.

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  • Habitués

Dinoulet, désolée mais je ne comprends pas, tout comme JayJay, ta référence à la féminisation. Où est le rapport avec les déboires administratives?

À mon avis, au moins le Québec, avec ses femmes, est capable de se remettre en question, de reconnaître que certaines affaires clochent et de là, de chercher des solutions. "Marche au pas sinon tu en manges une" est plutôt le propre des pays qui carburent à la testostérone, comme le Zimbabwe ou l'Iran. Tant mieux si au Québec, ce que nous (hommes et femmes) avons entre deux oreilles compte beaucoup plus que ce que nous avons entre les jambes...

Angela, féministe et fière de l'être. Vive les Québécoises!

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  • Habitués
Dinoulet, désolée mais je ne comprends pas, tout comme JayJay, ta référence à la féminisation. Où est le rapport avec les déboires administratives?

Tu n'es peut-être pas sans savoir, qu'un enjeu important dans ce fil de discussion était (est ?) de comprendre pourquoi la personne concernée, dans ce même sujet, a été l'objet de tracas qu'il aurait pu éviter, en étant mieux préparé.

Les femmes apparemment veulent à la fois:

- que tout soit aussi féminisé que possible, ce qui semble le cas au Canada;

- que personne ne s'en aperçoive OU n'en dise rien du tout, comme si ça risquait de casser la baraque.

Mais non ... Mais non ... On n'est pas tous des petits gamins.

Si ça nous prend de mettre le pied dans le plat, on le fait, sans demander la permission à maman.

Ok ... ?

Quant à la lourdeur administrative, le côté obsessionnel "c'est comme ça", carré à outrance, je n'en démordrai pas: c'est un signe comme un autre d'une atmosphère où les notions d'esprit critique et d'inventivité sont balayées. Mais est-ce que j'en parle pour m'en plaindre ? Non, et c'est la nuance que plus d'un(e) ne réussira pas à saisir.

Il me plaît seulement que les gens sachent comment ça tourne ici.

Note bien: comme preuve de ma modération ... je n'ai rien dit concernant l'atmosphère qu'il y a dans les salles de classe québécoises, où "il faut du personnel pédagogique" (bla bla, bla bla et re bla bla) plutôt que des gens qui ont envie d'enseigner.

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  • Habitués
Les femmes apparemment veulent à la fois:

- que tout soit aussi féminisé que possible, ce qui semble le cas au Canada;

- que personne ne s'en aperçoive OU n'en dise rien du tout, comme si ça risquait de casser la baraque.

Mais non ... Mais non ... On n'est pas tous des petits gamins.

Si ça nous prend de mettre le pied dans le plat, on le fait, sans demander la permission à maman.

Ok ... ?

Quant à la lourdeur administrative, le côté obsessionnel "c'est comme ça", carré à outrance, je n'en démordrai pas: c'est un signe comme un autre d'une atmosphère où les notions d'esprit critique et d'inventivité sont balayées. Mais est-ce que j'en parle pour m'en plaindre ? Non, et c'est la nuance que plus d'un(e) ne réussira pas à saisir.

Il me plaît seulement que les gens sachent comment ça tourne ici.

Note bien: comme preuve de ma modération ... je n'ai rien dit concernant l'atmosphère qu'il y a dans les salles de classe québécoises, où "il faut du personnel pédagogique" (bla bla, bla bla et re bla bla) plutôt que des gens qui ont envie d'enseigner.

Je comprends de moins en moins le rapport entre les femmes et la rigidité mais bon! La rigidité combinée à la volonté de faire croire que tout baigne, ce n'est pas à proprement parler une tare apparentée à la féminité. Pourquoi crois-tu que les Québécois ont donné un coup de pied dans le cul à l'Église Catholique? Parce qu'elle est imbattable au jeu de l'hypocrisie et de la rigidité (dans l'ordre que vous voulez). N'est-ce pas là un exemple d'une institution patriarcale à souhait?

Quant à l'atmosphère de nos écoles ... et à la qualité du personnel ... Disons qu'ils ne sont pas parfaits. D'un autre côté, avoue que nous non plus. Que veut-tu qu'ils fassent de nos enfants-rois pourris? Et le pire: nous devenons une société de plus en plus difficile à satisfaire ...

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  • Habitués
Absolument!!! C'est une illusion de croire qu'en venant dans le ROC ou aux US, vous pourrez trouver le job de vos reves, super bien paye...etc...si vous ne parlez pas un Anglais plus que correct. Il faut quand meme un niveau qui tient la route si vous voulez esperer avoir un bon emploi et une carriere dans le secteur qui vous interesse.

Et meme si le fait d'etre sur place accelere l'apprentissage de la langue, puisque plus ou moins en immersion totale, il ne faut pas s'imaginer que vous parlerez couramment en 3 mois. Pour le bilinguisme, au vrai sens du terme, cela prend des annees.

Stephanie.

Oui, c'est vrai qu'arriver ici à l'ouest sans avoir la langue ce n'est pas facile, mais d'autre côté, j'ai parlé et lu des cas de beaucoup de personnes qui sont forcés à étudier de nouveau quelques années pour ce que le Québec reconnait ses diplômes.

Alors, au lieu de recommencer étudier une carrière au Québec, pourquoi pas commencer ses études linguistiques d'anglais pour pouvoir trouver quelque chose ailleurs sans devoir faire une carrière ou une partie de sa carrière? Ou même des autres études dont qu'ils ont pas d'expérience.

L'Alberta paye aussi des cours d'anglais gratuitement pour acquerir une connaissance pratique de la langue comme beaucoup des immigrants non francophones font à Québec avec le français.

Modifié par jca
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  • Habitués
Que veut-tu qu'ils fassent de nos enfants-rois pourris?

Depuis qu'un certain Charlemagne a inventé les écoles, les enfants étaient appelés à se transformer en adultes.

Il a fallu attendre des gens porteurs de théories totalement fumeuses, du genre de Françoise Dolto, pour que la tendance s'inverse.

D'énormes coulées de blabla, vaguement soixante-huitard, se sont effondrées sur le système éducatif de nombreux pays.

Ces coulées étaient et sont de couleur rose-bonbon.

Mais le point essentiel, pour en revenir au sujet de ce fil, c'est que les gens qui arrivent doivent avoir en tête que:

- certains des problèmes qui pourrissent la vie des Européens se font sentir ici aussi;

- ... et au Québec en particulier. Notamment, aussi, la tendance à vouloir marier la figue socialiste et le raisin capitaliste.

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  • Habitués
Mais le point essentiel, pour en revenir au sujet de ce fil, c'est que les gens qui arrivent doivent avoir en tête que:

- certains des problèmes qui pourrissent la vie des Européens se font sentir ici aussi;

- ... et au Québec en particulier. Notamment, aussi, la tendance à vouloir marier la figue socialiste et le raisin capitaliste.

C'est tout de même moins prononcé qu'en Europe. Pour le moment ;)

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  • Habitués
Les femmes apparemment veulent à la fois:

- que tout soit aussi féminisé que possible, ce qui semble le cas au Canada;

- que personne ne s'en aperçoive OU n'en dise rien du tout, comme si ça risquait de casser la baraque.

Mais non ... Mais non ... On n'est pas tous des petits gamins.

Si ça nous prend de mettre le pied dans le plat, on le fait, sans demander la permission à maman.

Ok ... ?

Quant à la lourdeur administrative, le côté obsessionnel "c'est comme ça", carré à outrance, je n'en démordrai pas: c'est un signe comme un autre d'une atmosphère où les notions d'esprit critique et d'inventivité sont balayées. Mais est-ce que j'en parle pour m'en plaindre ? Non, et c'est la nuance que plus d'un(e) ne réussira pas à saisir.

Il me plaît seulement que les gens sachent comment ça tourne ici.

Note bien: comme preuve de ma modération ... je n'ai rien dit concernant l'atmosphère qu'il y a dans les salles de classe québécoises, où "il faut du personnel pédagogique" (bla bla, bla bla et re bla bla) plutôt que des gens qui ont envie d'enseigner.

Et c'est à cause des femmes? Okay... :mellow:

Euh, corrige-moi si je me trompe, mais la France est encore plus compliquée et rigide niveau bureaucratie et pourtant, c'est une société machiste. Quant aux Américaines, tu ne peux pas trouver femmes plus castratrices (t'as qu'à regarder les nombreux talkshows américains où l'on casse de l'homme), mais ce pays est semble-t-il le modèle à suivre. Ta théorie ne tient donc pas la route.

Tu pointes dans la mauvaise direction. Toi qui penses avoir tout compris alors que tu n'es là que depuis quelques semaines, ne te laisse pas aveugler par tes petites frustrations ou tes petites réussites et sois plus raffiné dans tes observations. Pour le moment, ça a plus l'air d'un gros égo trip ton affaire...

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  • Habitués
Que veut-tu qu'ils fassent de nos enfants-rois pourris?

Depuis qu'un certain Charlemagne a inventé les écoles, les enfants étaient appelés à se transformer en adultes.

Il a fallu attendre des gens porteurs de théories totalement fumeuses, du genre de Françoise Dolto, pour que la tendance s'inverse.

D'énormes coulées de blabla, vaguement soixante-huitard, se sont effondrées sur le système éducatif de nombreux pays.

Ces coulées étaient et sont de couleur rose-bonbon.

Mais le point essentiel, pour en revenir au sujet de ce fil, c'est que les gens qui arrivent doivent avoir en tête que:

- certains des problèmes qui pourrissent la vie des Européens se font sentir ici aussi;

- ... et au Québec en particulier. Notamment, aussi, la tendance à vouloir marier la figue socialiste et le raisin capitaliste.

:unknw: c'est quoi cette ratatouille ?

l'idée d'enfance est très récente dans notre monde occidental, je ne vois pas ce que Charlemagne (qui n'a pas inventé l'école pour tous mais pour quelques privilégiés) a fait pour que les enfants (qui à son époque n'en étaient pas) deviennent adultes ?

les enfants n'ont été reconnus comme "enfant" que très tardivement et en fait il a fallu les lois contre le travail des enfants en GB pour que juridiquement ils soient un peu protégés.

nous devons nos "grandes vacances" au fait que les enfants étaient libérés de l'école pour les travaux des champs d'été où ils travaillaient comme des adultes.

et encore, il faudrait distinguer entre enfant et adolescent. en fait, ces notions ont largement fluctué dans le temps et sont loin d'être universelles.

F Dolto a eu le mérite d'interpeler ses confrères sur le cas des enfants, dont ils se moquaient totalement parce que ce n'était pas assez valorisant de s'occuper des gamins.

Quiconque se souvient de la France d'avant mai 68 (ou des USA ou autre) sait combien la vie était étriquée, coincée et petit bourgeois, catho ou wasp puritaine. [euh je suis pas si vieille, mais ma mère était une militante féministe donc j'ai été élevée dans la religion du avant/après.] le rose-bonbon hypocrite c'était avant, pas après.

je connais pas mal d'hommes qui sont ravis de ce que la vie soit bien plus rigolote grâce aux féministes. entre eux, ils finissaient par s'ennuyer ferme.

quand à la fin de ce message :wacko::help::rolleyes::nea::unknw::whistlingb::shok::girl_devil::hi::lazy:

B :biohazar:

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